[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/berliner-volks-zeitung-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/berliner-volks-zeitung-wikipedia\/","headline":"Berliner Volks-Zeitung-Wikipedia","name":"Berliner Volks-Zeitung-Wikipedia","description":"Le Berliner Volks-Zeitung (BVZ) de 1904 \u00e0 1944 a \u00e9t\u00e9 un journal r\u00e9gional du quotidien allemand de la r\u00e9gion du","datePublished":"2018-01-12","dateModified":"2018-01-12","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ec\/Titelkopf_Volkszeitung_29.11.1891.jpg\/440px-Titelkopf_Volkszeitung_29.11.1891.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ec\/Titelkopf_Volkszeitung_29.11.1891.jpg\/440px-Titelkopf_Volkszeitung_29.11.1891.jpg","height":"105","width":"440"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/berliner-volks-zeitung-wikipedia\/","wordCount":4872,"articleBody":"Le Berliner Volks-Zeitung (BVZ) de 1904 \u00e0 1944 a \u00e9t\u00e9 un journal r\u00e9gional du quotidien allemand de la r\u00e9gion du Grand Berlin. Il a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 en 1933 par l’\u00e9diteur de Rudolf Mosse, puis via Buchdd Griefprint GmbH et \u00e0 partir de 1937 \u00e0 l’\u00e9diteur allemand. Le pr\u00e9d\u00e9cesseur direct de la feuille \u00e9tait celui fond\u00e9 par Franz Duncker en 1853 Volks-Zeitung . Titre-chef du 29 novembre 1891 Une large partie de la population, en particulier les travailleurs et la petite bourgeoisie, a \u00e9t\u00e9 \u00e9tablie en tant que groupe cible. L’objectif du contenu \u00e9tait sur les rapports sensationnels et le divertissement. Le temps de ses informations sur l’existence de la vie \u00e9conomique \u00e9tait clairement sous-repr\u00e9sent\u00e9. Dans l’Empire allemand, la feuille a domin\u00e9 en particulier dans les ventes de rues solides et s’est transform\u00e9e en un journal de boulevard \u00e0 succ\u00e8s. Jusqu’en 1918, l’\u00e9quipe \u00e9ditoriale a pratiqu\u00e9 le journalisme interpr\u00e9tatif, qui \u00e9tait respect\u00e9 \u00e0 la neutralit\u00e9 et \u00e0 l’\u00e9quilibre politique des rapports. Dans la R\u00e9publique de Weimar, le Berliner Volks-Zeitung Positions r\u00e9publicaines. Pendant ce temps, elle a souvent emm\u00e9nag\u00e9 dans la sous-ligne Mitteilungsblatt du DDP Berlin , une position gauche -lib\u00e9rale et est devenue une feuille de parti non officielle du Parti d\u00e9mocrate allemand (DDP). L’\u00e9quipe \u00e9ditoriale a ainsi pratiqu\u00e9 un journalisme d’opinion clairement reconnaissable, qui a contribu\u00e9 \u00e0 une baisse significative de l’\u00e9dition et \u00e0 un risque \u00e0 l’existence de l’\u00e9diteur. Apr\u00e8s la saisie du pouvoir des national-socialistes et la synchronisation obligatoire, le tablo\u00efd a \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9. Gr\u00e2ce \u00e0 une assurance d’abonn\u00e9s particuli\u00e8rement favorable et \u00e0 une relance, dans laquelle les graphiques, la police, le texte, l’image et le m\u00e9ttage ont re\u00e7u une pr\u00e9sentation moderne, le journal est de nouveau devenu un centre de capital publique \u00e9lev\u00e9 de 1933. Les origines du Berliner Volks-Zeitung Allez \u00e0 celui fond\u00e9 par Franz Duncker et Aaron Bernstein et r\u00e9guli\u00e8rement publi\u00e9 \u00e0 partir du 1er avril 1849 Votre journal \u00e9lectoral retour. En raison du contenu d\u00e9mocratique communiste et radical, la feuille a \u00e9t\u00e9 interdite \u00e0 plusieurs reprises par le minist\u00e8re prussien de l’int\u00e9rieur et \u00e9galement longtemps. Au 9 avril 1853, Duncker a repris les actions d’Amber et a dirig\u00e9 la semelle du journal Volks-Zeitung-organe pour tout le monde des gens fort. [d’abord] Au d\u00e9but des ann\u00e9es 1860, le Volks-Zeitung Apr\u00e8s avoir publi\u00e9 des statistiques \u00e0 environ 22 000 exemplaires, ont \u00e9t\u00e9 l’une des publications les plus requises dans la capitale prussienne. [2] En 1885, l’\u00e9diteur Emil Cohn a acquis le journal. Le journal \u00e9tait r\u00e9dacteur en chef entre 1884 et 1886 Adolph Phillips. Son successeur \u00e9tait Hermann Trescher, qui a remis le r\u00e9dacteur en chef \u00e0 Franz Mehring pour des raisons de sant\u00e9 en avril 1889. [3] [4] Mehring a travaill\u00e9 pour le Volks-Zeitung . En raison de ses opinions marxistes et du d\u00e9clin r\u00e9gulier associ\u00e9, il a de plus en plus mis en conflit avec Emil Cohn. Les multiuss se produisant contre les lois socialistes ont conduit \u00e0 l’interdiction r\u00e9p\u00e9t\u00e9e du journal et de l’existence de l’\u00e9diteur. Franz Mehring a \u00e9t\u00e9 lib\u00e9r\u00e9 sans pr\u00e9avis \u00e0 l’automne 1890. [5] En 1892, Karl Vollrath a repris le r\u00e9dacteur en chef, qui a jou\u00e9 ce poste pendant 23 ans jusqu’\u00e0 sa mort. [6] Vollrath a abandonn\u00e9 la lecture marxiste du journal, mais n’a pas pu arr\u00eater la baisse des exigences au cours des douze ann\u00e9es suivantes. \u00c0 travers la concurrence pour Berliner Tageblatt A fait le Volks-Zeitung De plus en plus dans les difficult\u00e9s financi\u00e8res et n’a conduit qu’une existence sombre. [7] En 1904, Cohn a vendu le journal \u00e0 son ex-entreprise et beau-fr\u00e8re Rudolf Mosse, qui le 1er juillet de la m\u00eame ann\u00e9e Berliner Volks-Zeitung renomm\u00e9. [8] Jusqu’en 1943 le Berliner Volks-Zeitung Chaque semaine douze fois, du mardi au samedi avec une \u00e9dition du matin et du soir, seulement le dimanche avec une \u00e9dition matinale (plus tard appel\u00e9e “Sunday BVZ”), seulement le lundi avec une \u00e9dition du soir. Environ un an avant l’embauche du journal, une r\u00e9duction a \u00e9t\u00e9 r\u00e9duite \u00e0 sept \u00e9ditions chaque semaine, qui ont \u00e9t\u00e9 vendues chaque jour la soir\u00e9e. Il a \u00e9t\u00e9 fabriqu\u00e9 au format Berlin. L’\u00e9dition du matin a co\u00fbt\u00e9 10 pfennigs et l’\u00e9dition du soir 5 Pfennig. Le quartier g\u00e9n\u00e9ral du journal \u00e9tait situ\u00e9 \u00e0 L\u00fctzowstra\u00dfe 104-105 jusqu’en 1904, puis jusqu’en 1939 au Mosshaus puis \u00e0 l’Ullsteinhaus \u00e0 Berlin. [9] [dix] Lorsque Mosse a repris le journal, l’\u00e9dition \u00e9tait inf\u00e9rieure \u00e0 20 000 exemplaires. Dix ans plus tard, elle est pass\u00e9e \u00e0 140 000 et a m\u00eame atteint 225 000 en 1916, selon les propres statistiques de la soci\u00e9t\u00e9. Enfin et surtout, le d\u00e9veloppement positif a \u00e9voqu\u00e9 que le Berliner Volks-Zeitung Du service de nouvelles et d’images du Berliner Tageblatts ainsi que de l’organisation de publicit\u00e9 et de vente de routine de la Mosse Publishing House. Cependant, il n’y a pas d’informations confirm\u00e9es sur la quantit\u00e9 de circulation, car il n’y a eu aucun enqu\u00eates officielles avant 1933 et les statistiques de Mosse ont \u00e9t\u00e9 manifestement con\u00e7ues tr\u00e8s g\u00e9n\u00e9reusement \u00e0 ce moment-l\u00e0. [11] En termes de contenu, les mousses ont compl\u00e8tement chang\u00e9 la feuille. L’accent \u00e9tait mis sur des rapports sensationnels tels que les dossiers, les accidents, l’assassinat, les crimes et autres actes exceptionnels. Il y avait incontestablement une relation \u00e9troite avec Berliner Morgen-Zeitung aussi bien que Berliner Tageblatt Cela venait \u00e9galement de Mosse. Alors est venu sur les c\u00f4t\u00e9s du Berliner Volks-Zeitung Pas rarement les m\u00eames romans de continuation, les m\u00eames photos et les m\u00eames rapports d’impression. En tant qu’impression sp\u00e9ciale sp\u00e9ciale, la feuille comprenait un livreur dans un livret, un annuaire et un calendrier chaque ann\u00e9e. Les plats d’accompagnement r\u00e9guliers, par exemple le Journal illustr\u00e9 de la maison et du jardin , le Rundschau technique ou la Ulk, \u00c9taient aussi avec \u00e7a Berliner Tageblatt identique. [douzi\u00e8me] Comme toutes les publications Moss, le journal contenait de nombreuses publicit\u00e9s classifi\u00e9es et surtout des publicit\u00e9s commerciales tr\u00e8s luxuriantes ce week-end. En revanche, l’\u00e9dition du matin et du soir de la Berliner Volks-Zeitung consid\u00e9rablement dans la pr\u00e9sentation. L’\u00e9dition du matin \u00e9tait principalement compos\u00e9e de dix pages, avec quelques photos. La premi\u00e8re page n’avait que deux photos dans la t\u00eate en haut de 1929. Sous le chef du journal, la premi\u00e8re page est principalement rest\u00e9e ind\u00e9sirable et contenait un article directeur et un ou deux autres rapports ainsi que des titres lurid\u00e9s. L’int\u00e9rieur a trait\u00e9 de la politique, du local, du sport et de la culture. Le rapport sensationnel \u00e9tait permanent dans toutes les sections. D’un autre c\u00f4t\u00e9, l’\u00e9dition du soir n’avait qu’une moyenne de quatre pages sur lesquelles seules les photos ont \u00e9t\u00e9 affich\u00e9es. Sur le plan th\u00e9matique, les images avec des motifs sensationnels incoh\u00e9rents \u00e9taient principalement des accidents, des crimes, des catastrophes ou des scandales. Les seuls \u00e9l\u00e9ments de texte sur les pages photo \u00e9taient les titres au-dessus et sous les images. [13] Avec cette apparence, Mosse a consciemment et r\u00e9ussi \u00e0 saisir le Journal illustr\u00e9 de Berlin aussi bien que Berliner Morgenpost Son principal concurrent, l’Ullstein Verlag. Jusqu’\u00e0 l’effondrement de l’Empire allemand, le domin\u00e9 Berliner Volks-Zeitung Surtout dans les ventes de rue solides et se sont transform\u00e9s en un support de masse \u00e0 Berlin. Bien que Mosse ainsi que Vollrath soient des membres actifs du parti allemand de Freihnigen, la feuille – dans un groupe cible – des lecteurs – ne repr\u00e9sentait que des int\u00e9r\u00eats prol\u00e9tariens. Pendant la vie des mousses, l’attention \u00e9tait strictement respect\u00e9e \u00e0 une certaine neutralit\u00e9 ou partisane. Fondamentalement, il y avait Berliner Volks-Zeitung \u00c0 ce moment-l\u00e0, un fait n’est pas un commentaire, mais en tant que rapport ou message. Lorsque Karl Vollrath est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 d’un accident vasculaire c\u00e9r\u00e9bral le 20 octobre 1915, Otto Nuschke a repris le r\u00e9dacteur en chef, qui est dans le Mosse-Verlag en tant que r\u00e9dacteur parlementaire pour cela depuis 1910 Berliner Tageblatt travaill\u00e9. [14] Nuschke, qui \u00e9tait moins journaliste, mais plus de politiciens, est rest\u00e9 r\u00e9dacteur Berliner Volks-Zeitung . \u00c0 partir de 1910, il a repr\u00e9sent\u00e9 le parti populaire avanc\u00e9 \u00e0 gauche en tant que secr\u00e9taire g\u00e9n\u00e9ral, en 1918, il a \u00e9t\u00e9 co-fondateur du Parti d\u00e9mocrate allemand (DDP), de 1919 \u00e0 1920 MP de l’Assembl\u00e9e nationale et de 1921 \u00e0 1933 membre du Parlement de l’\u00c9tat prussien. [15] Nuschke a peu contribu\u00e9 au journalisme d’investigation. En tout cas, le soi-disant “groupe Tageblatt” ( Berliner Tageblatt, Berliner Morgen-Zeitung, Berliner Volks-Zeitung ) En fait depuis 1917 sous la direction de Theodor Wolff, l’\u00e9diteur -in-chief du Berliner Tageblatts . Rudolf Mosse est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 en 1920 au ch\u00e2teau de Schenkendorf. Son gendre Hans Lachmann-Mosse est devenu le nouveau propri\u00e9taire de l’\u00e9diteur. Cependant, Wolff, dont les ambitions politiques ont \u00e9galement pr\u00e9valu en journalistique, ont fa\u00e7onn\u00e9 le d\u00e9veloppement ult\u00e9rieur avec Otto Nuschke. [16] \u00c0 partir de 1920 au plus tard, aucun journal de Mosse ne peut \u00eatre appel\u00e9 journaliste impartial. en particulier le Berliner Volks-Zeitung d\u00e9velopp\u00e9 en une feuille de combat et un porte-parole du DDP. Presque tous les articles contenaient d\u00e9sormais des commentaires dans lesquels les programmes d\u00e9mocratiques radicaux du DDP et leurs principes \u00e9conomiques du march\u00e9 priv\u00e9 ont \u00e9t\u00e9 forc\u00e9s. Bien que Nuschke et Wolff aient gard\u00e9 le style d’un journal de boulevard, les sujets ont s\u00e9lectionn\u00e9 une composante politique selon leurs points de vue ou leurs \u00e9v\u00e9nements manqu\u00e9s. Non seulement \u00e0 gauche, les droits ou les conservateurs ont \u00e9t\u00e9 men\u00e9s. L’\u00e9quipe \u00e9ditoriale de la Berliner Volks-Zeitung cibl\u00e9 dans. [17] Les m\u00e9thodes sont all\u00e9es bien au-del\u00e0 des attaques verbales. La fondation du Parti r\u00e9publicain d’Allemagne (RPD) de Wolff s’est rencontr\u00e9e sur une telle r\u00e9sistance qu’il a, entre autres, Carl von Ossietzky, qui, en tant qu’employ\u00e9 et r\u00e9dacteur en politique \u00e9trang\u00e8re de 1920 \u00e0 1924 Berliner Volks-Zeitung et \u00e9tait un membre fondateur du RPD. [18] La m\u00eame chose s’est produite au Ulk Kurt Tucholsky a travaill\u00e9 en tant que r\u00e9dacteur en chef, qui, dans une revue flagrante Theodor Wolff, a d\u00e9crit comme un “homme quelque peu stupide” avec des principes “soi-disant si lib\u00e9raux” mais d’un seul facteur. [19] [20] La politisation du Berliner Volks-Zeitung a conduit \u00e0 une baisse continue de l’\u00e9dition. En particulier, le ton d’instruction a rencontr\u00e9 de moins en moins l’acceptation parmi de nombreux lecteurs. Divers d\u00e9put\u00e9s DDP ont utilis\u00e9 le document comme forum politique. Par exemple, Hugo Preu\u00df, qui a rejoint les structures f\u00e9d\u00e9rales et pour un \u00c9tat centraliste, lib\u00e9r\u00e9 dans lequel Berliner Volks-Zeitung “Appels r\u00e9guliers au peuple allemand”. [21] Nuschke, mais surtout le Hardliner Wolff, ferm\u00e9, les yeux devant les vraies conditions de la R\u00e9publique de Weimar et les besoins ainsi que les probl\u00e8mes de leurs lecteurs. Cela a abouti \u00e0 des suppl\u00e9ments publicitaires DDP constants et des programmes propag\u00e9s de \u00abcapitalisme social\u00bb, dans lesquels les travailleurs et les entrepreneurs devraient se reconna\u00eetre mutuellement \u00abdevoir, droite, performance et profit\u00bb. Ces id\u00e9es visionnaires \u00e9taient compl\u00e8tement hors de question avec l’augmentation du ch\u00f4mage, la r\u00e9duction des avantages sociaux, les augmentations d’imp\u00f4ts et sous la pression des charges de r\u00e9paration. [22] En cons\u00e9quence, les libres de gauche n’ont atteint qu’environ un pour cent aux \u00e9lections vers la fin de la R\u00e9publique de Weimar et sont tomb\u00e9es \u00e0 l’insignifiance. [23] L’\u00e9quipe \u00e9ditoriale li\u00e9e au parti a rencontr\u00e9 Hans Lachmann-Mosse, qui devant un lectorat politiquement en constante \u00e9volution, a de plus en plus critiqu\u00e9. De plus, la photo a \u00e9t\u00e9 prise en public – en particulier pour les travailleurs – que le DDP est un “parti de capital \u00e9lev\u00e9”. [24] L’\u00e9dition du Berliner Volks-Zeitung \u00e0 70 000. [25] L’Ullstein Verlag en a le plus profit\u00e9, qui avait un style d’actualit\u00e9s neutre mettant l’accent dans toutes ses publications jusqu’\u00e0 la fin de la R\u00e9publique de Weimar. Les lecteurs ont couru de Mosse, mais surtout des publicit\u00e9s, en particulier Berliner Morgenpost \u00c0 quoi, ainsi jusqu’en 1929, avec une \u00e9dition exorbitante de 614 680 exemplaires, qui a \u00e9t\u00e9 manifestement d\u00e9velopp\u00e9e pour le journal de taille sup\u00e9rieure de la R\u00e9publique Weimar. Jusqu’\u00e0 la fin, les \u00e9diteurs de l’Ullstein Verlag ont pratiqu\u00e9 un journalisme impartial. [26] [27] [28] Avec la baisse des charges des journaux Mosse, le prix du millier de contact a diminu\u00e9 dans le secteur de la publicit\u00e9. Le groupe a d\u00fb enregistrer d’immenses baisses des ventes dans toutes ses publications. Au printemps 1928, la banque de la maison de l’\u00e9diteur a soulign\u00e9 une prochaine insolvabilit\u00e9. Lachmann-Mosse a essay\u00e9 de tirer la barre par tous les moyens, mais a rencontr\u00e9 un peu de compr\u00e9hension avec des mesures d’aust\u00e9rit\u00e9 et des demandes de changement li\u00e9es au contenu \u00e0 Wolff et Nuschke. \u00c0 ce stade, un processus d’insolvabilit\u00e9 ordonn\u00e9 aurait pu sauver au moins des parties du groupe, avec le d\u00e9but de la crise \u00e9conomique mondiale en 1929, ce n’\u00e9tait plus possible. En d\u00e9cembre 1930, l’avocat en chef de longue date et repr\u00e9sentant autoris\u00e9 Martin Carbe a quitt\u00e9 l’\u00e9diteur. Il est pass\u00e9 \u00e0 Ullstein Verlag, qui a \u00e9t\u00e9 un \u00e9v\u00e9nement incroyable dans tout le paysage de la presse. En fait, la direction du groupe Mosse a tra\u00een\u00e9 la banque jusqu’\u00e0 l’automne 1932. [29] Bien que Berliner Tageblatt Les pertes les plus \u00e9lev\u00e9es, Lachmann-Mosse a pris la premi\u00e8re chose \u00e0 faire avec le Berliner Volks-Zeitung Contre-mesures. Le nombre de pages et de plats lat\u00e9raux a \u00e9t\u00e9 r\u00e9duit et les imprim\u00e9s en couleur ont \u00e9t\u00e9 \u00e9limin\u00e9s. Cela a \u00e9t\u00e9 suivi par des r\u00e9ductions honorifiques et des licenciements des \u00e9diteurs politiques. [30] En 1930, en consultation entre Hans Lachmann-Mosse et Theodor Wolff, un coup a \u00e9t\u00e9 retenti: le rejet d’Otto Nuschke. Le contexte a \u00e9t\u00e9 la fusion du DDP avec la population nationale du Reich (VNR) au parti d’\u00c9tat allemand. Contrairement \u00e0 Wolff, Nuschke n’avait aucune crainte de contact pour le VNR, qui \u00e9tait \u00e9troitement li\u00e9 \u00e0 l’ordre des jeunes allemands conservateurs-antismites. [trente et un] Nuschke est devenu le directeur g\u00e9n\u00e9ral du Parti d’\u00c9tat allemand et r\u00e9dacteur en chef du journal du parti nouvellement fond\u00e9 Ascension allemande . [32] Apr\u00e8s 1945, il a repris la pr\u00e9sidence du parti de la CDU orientale et est devenu adjoint de la RDA. Pour Lachmann-Mosse, le licenciement de Nuschkes n’\u00e9tait pas une lib\u00e9ration. Theodor Wolff lui-m\u00eame a repris la gestion \u00e9ditoriale de la Berliner Volks-Zeitung , a ordonn\u00e9 \u00e0 Kurt Caro d’\u00eatre r\u00e9dacteur en chef -in-chief au milieu de 1930 et a poursuivi sa ligne politique. Fondamentalement, le Th\u00e9odor de soixante ans, Theodor Wolff n’\u00e9tait non. Bien qu’il ait menac\u00e9 \u00e0 plusieurs reprises de d\u00e9missionner, mais s’est battu pour son entretien. Les rumeurs de retrait de Wolff ont non seulement provoqu\u00e9 beaucoup de troubles au sein de la main-d’\u0153uvre; Il a m\u00eame fait cela sur le sujet public dans des articles de journaux, afin que les difficult\u00e9s de l’\u00e9diteur n’\u00e9taient pas secr\u00e8tes \u00e0 Berlin politique. [33] Cela a \u00e9t\u00e9 suivi par l’effondrement \u00e9conomique du groupe Mosse \u00e0 l’automne 1932. La proc\u00e9dure de faillite a d\u00fb \u00eatre ouverte le 13 septembre 1932. Plus de 3 000 emplois \u00e9taient en jeu. Le v\u00e9rificateur Walter Haupt a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 administrateur d’insolvabilit\u00e9. Ce dernier a tent\u00e9 de poursuivre l’entreprise dans les soci\u00e9t\u00e9s de collecte, mais a \u00e9galement offert des parties de l’\u00e9diteur \u00e0 acheter, qu’il voulait restaurer la capacit\u00e9 d’agir et la liquidit\u00e9. [34] Ses efforts ont \u00e9chou\u00e9. Aucun acheteur potentiel n’a vu l’occasion de poursuivre l’\u00e9diteur sur le plan \u00e9conomique. [35] [36] Apr\u00e8s plusieurs \u00e9v\u00e9nements, Wolff a obtenu son licenciement le 3 mars 1933 de Lachmann-Mosse et a quitt\u00e9 l’Allemagne cinq jours plus tard. Hans Lachmann-Mosse s’est enfui \u00e0 Paris le 1er avril 1933 et a incit\u00e9 le groupe \u00e0 se convertir \u00e0 une fondation le 15 avril 1933. Le m\u00eame jour, Rudolf Mosse OHG a arr\u00eat\u00e9 tous les paiements. Le 12 juillet 1933, l’arr\u00eat de paiement final a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 \u00e0 la Fondation. Dans cette phase, la saisie du pouvoir des national-socialistes et la presse de la presse sont tomb\u00e9es. Joseph Goebbels a d\u00e9clar\u00e9 ne pas vouloir casser l’\u00e9diteur \u00e0 cause des nombreux emplois. Max Winkler a \u00e9t\u00e9 d\u00e9termin\u00e9 comme le nouvel administrateur d’insolvabilit\u00e9 \u00e0 l’automne 1933, qui en 1934 a transf\u00e9r\u00e9 tous les anciens journaux Mosse au Berliner Druckd-und Zeitungsbetrriebe AG, qui a \u00e9t\u00e9 sp\u00e9cialement fond\u00e9e en tant que r\u00e9cipiendaire. [37] Bien que l’\u00e9dition du Berliner Volks-Zeitung Entre autres choses, plus de b\u00e9n\u00e9fices ne pouvaient \u00eatre r\u00e9alis\u00e9s avec une assurance abonn\u00e9e favorable et une relance, n’importe quel journal Mosse. Au cours du plan de quatre ans et des mesures de rationalisation associ\u00e9es, le Berliner Volks-Zeitung 1937 \u00e0 l’\u00e9diteur allemand. Ici, la feuille avec de nombreuses photos et de courtes rapports est devenue une arriv\u00e9e en capital la plus lue dans les ventes de routes, qui, \u00e0 partir de 1940, a trouv\u00e9 de nombreux clients principalement aux portes des grands armements. L’\u00e9dition de l’\u00e9dition du soir \u00e0 elle seule a atteint 251 995 exemplaires par jour en 1943, qui \u00e9tait pour la plupart rapidement \u00e9puis\u00e9e par les travailleurs de la nuit. [38] En raison des mesures de “Total Warfare”, le Reichspressenkammer Paper avait sauv\u00e9 des restrictions au d\u00e9but de 1943, telles que “les changements dans l’apparence et la port\u00e9e des journaux, le d\u00e9classement temporaire des journaux et la fusion des journaux quotidiens de l’\u00e9diteur allemand”. [39] Dans cet \u00e9pisode le Berliner Volks-Zeitung \u00c0 partir de mars 1943 uniquement comme \u00e9dition du soir. Les abonn\u00e9s \u00e0 l’\u00e9dition matinale d\u00e9saffect\u00e9e ont repris le Berliner Morgenpost . [40] Le dernier num\u00e9ro a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 le 30 septembre 1944. Il a \u00e9t\u00e9 officiellement d\u00e9clar\u00e9 que le journal n’\u00e9tait pas publi\u00e9, mais avec le Berliner Morgenpost \u00eatre unis. [41] J\u00fcrgen Fr\u00f6lich: Le Berlin “Volks-Zeitung” 1853 \u00e0 1867. Lib\u00e9ralisme gauche prussien entre “r\u00e9action” et “r\u00e9volution d’en haut”. dans: \u00c9crits de l’Universit\u00e9 europ\u00e9enne , S\u00e9rie 3, History and Its Auxiliary Sciences, Volume 422. Lang Verlag, 1990, ISBN 3-631-42579-1. Elisabeth Kraus: La famille Mosse: Bourgeoisie juive allemande aux XIXe et 20e si\u00e8cles. C.H.Beck, 1999. Karsten Schilling: L’h\u00e9ritage d\u00e9truit: les journaux de Berlin de la R\u00e9publique de Weimar dans le portrait. 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