[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/2020\/08\/03\/man-brunen-vor-ofm-tore-wikipedia-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/2020\/08\/03\/man-brunen-vor-ofm-tore-wikipedia-wikipedia\/","headline":"Man Brunen Vor ofm Tore – Wikipedia Wikipedia","name":"Man Brunen Vor ofm Tore – Wikipedia Wikipedia","description":"En 1917, la carte postale du bien-\u00eatre du don de guerrier colonial allemand publi\u00e9 apr\u00e8s une photo de Hans Baluschek","datePublished":"2020-08-03","dateModified":"2020-08-03","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","height":"19","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/2020\/08\/03\/man-brunen-vor-ofm-tore-wikipedia-wikipedia\/","wordCount":15533,"articleBody":" En 1917, la carte postale du bien-\u00eatre du don de guerrier colonial allemand publi\u00e9 apr\u00e8s une photo de Hans Baluschek (1870\u20131935) [d’abord] \u00c0 la fontaine devant la porte est le premier verset d’une chanson allemande qui est devenue connue \u00e0 la fois sous la forme d’une chanson d’art et sous la forme d’une chanson folklorique. Le titre original est L’arbre Linden . Le texte vient de Wilhelm M\u00fcller et appartient \u00e0 un cycle de po\u00e8me que M\u00fcller est impliqu\u00e9 Le voyage d’hiver \u00e9cras\u00e9. Franz Schubert a mis le cycle entier du po\u00e8me sous le titre Voyage d’hiver Et dans ce contexte aussi le Lindenbaum En tant que chanson d’art. Dans le traitement le plus connu et le plus populaire du cadre Schubertsch de Friedrich Silcher, le travail est devenu une chanson folklorique. Pour cette version, le verset initial du po\u00e8me est devenu naturalis\u00e9 comme titre. Wilhelm M\u00fcller a publi\u00e9 pour la premi\u00e8re fois le po\u00e8me comme L’arbre Linden dans Urania – Broch\u00e9 sur 1823 , l’un des livres de poche populaires du d\u00e9but du XIXe si\u00e8cle, qui contenaient des po\u00e8mes, des histoires et des rapports sur plusieurs centaines de pages. Les travaux ont form\u00e9 le cinqui\u00e8me po\u00e8me d’un cycle l\u00e0-bas, \u00e9cras\u00e9 Wanderlieder par Wilhelm M\u00fcller. Le voyage d’hiver. En 12 chansons. Le texte publi\u00e9 inchang\u00e9 par Christian G. Ackermann \u00e0 Dessau et avec un d\u00e9vouement \u00e0 Carl Maria von Weber dans une version compl\u00e8te de la version de la Voyage d’hiver Dans le deuxi\u00e8me ruban du Po\u00e8mes des papiers laiss\u00e9s par un horniste forestier itin\u00e9rant en 1824. [2] Table of ContentsTexte [ Modifier | Modifier le texte source ]] M\u00e9trique et formel [ Modifier | Modifier le texte source ]] Contexte: Le voyage d’hiver [ Modifier | Modifier le texte source ]] Construction [ Modifier | Modifier le texte source ]] Interpr\u00e9tations de texte formelles et contenu [ Modifier | Modifier le texte source ]] symbolisme [ Modifier | Modifier le texte source ]] Position dans le cycle global [ Modifier | Modifier le texte source ]] Comparaison des versions de Silcher et Schubert [ Modifier | Modifier le texte source ]] Retirer du cycle global [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diff\u00e9rences m\u00e9lodiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diff\u00e9rences harmonieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diff\u00e9rences formelles, rythmiques et professionnelles [ Modifier | Modifier le texte source ]] Critique du traitement de Silcher [ Modifier | Modifier le texte source ]] Texte [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c0 la fontaine devant la porte Il y a un arbre Linden: Je r\u00eave \u00bbdans son ombre Tant de beaux r\u00eaves. J’ai coup\u00e9 dans son \u00e9corce Tant de mot d’amour; Il a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 Freud et Leide Allez toujours vers lui. Je dois faire de la randonn\u00e9e m\u00eame aujourd’hui Pass\u00e9 dans la nuit profonde, J’ai encore dans le noir Les yeux se fermaient. Et ses branches se pr\u00e9cipitent Comme s’ils m’appelaient: Viens ici, compagnon, Ici, vous pouvez trouver votre repos! Les vents froids ont souffl\u00e9 Moi juste le visage; Le chapeau a vol\u00e9 de ma t\u00eate, Je n’ai pas tourn\u00e9. Maintenant je suis quelques heures Retir\u00e9 de cet endroit, Et j’entends toujours \u00e7a du bruit: Vous avez trouv\u00e9 le repos l\u00e0-bas! [3] M\u00e9trique et formel [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sans \u00e9carts, le po\u00e8me suit un mod\u00e8le formel fixe \u00e0 l’\u00e9poque de M\u00fcller: quatre strophes \u00e0 quatre faces, qui terminent deux syllabes et monosyllabique (alternance); Les syllabes finales des deuxi\u00e8me et quatri\u00e8me versets riment dans chaque strophe. Un compteur ouvert en continu est sauvegard\u00e9 au texte: Jamben avec trois \u00e9l\u00e9vateurs chacun. La forme est appel\u00e9e dans la litt\u00e9rature comme une chanson folklorique. “Folk Songs” ne suivent pas une certaine forme; Dans la collection de chansons folkloriques bien connue “Des Knaben Wunderhorn”, il existe une grande vari\u00e9t\u00e9 de compteurs g\u00e9r\u00e9s de mani\u00e8re variable, de sch\u00e9mas de rimes et de strophes. Cependant, la forme des chansons folkloriques \u00e9tait tr\u00e8s populaire aupr\u00e8s des romantiques en tant que forme de po\u00e8me de simplicit\u00e9, chantable, simplifi\u00e9e et d\u00e9j\u00e0 \u00e9tablie. Un exemple est le “le po\u00e8me de dix ans,” The Broken Ringle “de Eichendorff, au d\u00e9but de laquelle” dans une raison cool \/ une roue de moulin “va” les sons de l’arbre Linden. Cependant, M\u00fcller g\u00e8re le sch\u00e9ma de forme tr\u00e8s strictement dans ce po\u00e8me et se fait sans aucune variation. Presque tous les po\u00e8mes du Voyage d’hiver sont m\u00e9triques et officiellement li\u00e9s sous une forme similaire. Le \u00abflux calme de versets\u00bb qui en d\u00e9coule est \u00e0 peine touch\u00e9 par les sujets sombres et les humeurs du voyage d’hiver, comme le d\u00e9clare Rolf Vollmann. Ce contraste a de forts effets, Vollmann parle m\u00eame de “l’horreur”. [4] Erika von Borries soutient de la m\u00eame mani\u00e8re: le contraste entre la promenade calme de la langue et la d\u00e9claration inqui\u00e9tante donne au cycle du po\u00e8me une expression “effrayante et \u00e9trange”. [5] Contexte: Le voyage d’hiver [ Modifier | Modifier le texte source ]] Contexte de la chanson – Un voyage en hiver L’arbre Linden est une station dans une action assez vaguement plac\u00e9e sur laquelle les po\u00e8mes du cycle de M\u00fcller s’alignent. Avant le d\u00e9but, il existe une relation amoureuse rat\u00e9e entre le protagoniste, un jeune homme qui incarne l’ego lyrique. [6] La premi\u00e8re chanson du cycle, Bonne nuit , d\u00e9crit la situation de d\u00e9part: le \u00abje\u00bb quitte la maison des parents par une nuit d’hiver et se lance dans une randonn\u00e9e solitaire et sans cible, dont les stations reproduisent les po\u00e8mes du cycle. Ces stations comprennent des rivi\u00e8res glac\u00e9es et des hauteurs de roche enneig\u00e9es, des villages et des cimeti\u00e8res – ainsi que l’arbre Linden. Le Voyage d’hiver a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crit comme un “monodrame” [7] Ou comme une s\u00e9quence de “po\u00e8mes de r\u00f4le”. [8] Dans toutes les stations, seul l’ego lyrique se parle, mais aussi avec la nature ou avec son c\u0153ur. Certains motifs se r\u00e9p\u00e8tent encore et encore: l’amour et le d\u00e9sir de mort, le contraste du paysage hivernal gel\u00e9 et les \u00e9motions qui coulent (en particulier sous la forme de larmes), malgr\u00e9 et la d\u00e9mission, mais surtout la randonn\u00e9e compulsive et compulsive. [9] [dix] Les contrastes linguistiques (larmes chaudes – neige, cong\u00e9lation – se solidifier – fondre, etc.) sont frappantes tout au long du cycle. Selon Erika von Borries, M\u00fcller r\u00e9ussit \u00e0 int\u00e9grer des formes anciennes et na\u00efves qui transmettent les exp\u00e9riences d’une modernit\u00e9. [11] Les leitmotils du tilleul , Dream and Calm, appara\u00eet plusieurs fois dans le cycle avec diff\u00e9rentes significations – selon les Borries, cette ambigu\u00eft\u00e9 repr\u00e9sente la repr\u00e9sentation po\u00e9tique d’un monde vide. [douzi\u00e8me] Le cycle et le terme Hiver (Voir Heines Conte de f\u00e9es hivernal ) Selon Achim Goeres, comme m\u00e9taphore d’une politique de restauration apr\u00e8s le Congr\u00e8s de Vienne. Comme pour Heine, \u00abl’hiver\u00bb politique se dresse de \u00abMai\u00bb (“May a \u00e9t\u00e9 pes\u00e9”) comme homologue politique. [13] La dimension politique du Voyage d’hiver D\u00e9crit Harry Goldschmidt comme ceci: \u00abDans leur unit\u00e9 irr\u00e9m\u00e9diable de vers et de son, le voyage d’hiver offre l’un des plus choquants, sinon le double certificat artistique le plus bristique de ce manque politique de libert\u00e9 qui a qualifi\u00e9 Heine de la v\u00e9ritable cause de l’ironie romantique et de la douleur mondiale. [\u2026] Qu’est-ce qui l’a conduit et pas m\u00eame dans la \u00abtaverne impitoyable\u00bb, la Cool Tavern of Death, qui l’a r\u00e9cemment rejoint au compagnon du Beggar et de Leiermann, est la charge de cent pond\u00e9rants du sort g\u00e9n\u00e9ral excessif. \u00bb [14] Le texte de M\u00fcller du Voyage d’hiver est apparu dans le magazine litt\u00e9raire interdit en 1822 Urania , de toutes choses, un texte de la raison de M\u00fcller \u00e0 l’interdiction \u00e9tait. Schubert n’\u00e9tait pas politiquement actif lui-m\u00eame, [13] Mais avait des contacts \u00e9troits avec les cercles de l’opposition intellectuelle. [15] [16] Il a \u00e9t\u00e9 tent\u00e9 de trouver les po\u00e8mes du Voyage d’hiver pour assembler en groupes. Norbert Michels, par exemple, commence \u00e0 partir de groupes de quatre (ici: L’arbre Linden , Inondation d’eau , Sur la rivi\u00e8re et R\u00fcckblick ), Selon lui, le premier po\u00e8me devrait toujours \u00eatre une innovation, une base psychologique ou un nouvel espoir \u00e9mergent du randonneur. [17] Construction [ Modifier | Modifier le texte source ]] D’apr\u00e8s la structure temporelle du po\u00e8me, il y a beaucoup trois parties: les deux premi\u00e8res strophes sont parfois intemporelles, parfois elles se rapportent \u00e0 un autre pass\u00e9. Ce n’est qu’avec la troisi\u00e8me strophe que je fais r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 l’action du Voyage d’hiver ; Il commence \u00e0 raconter, \u00e0 savoir un \u00e9v\u00e9nement bri\u00e8vement gauche: il (“aujourd’hui”) est pass\u00e9 devant l’arbre Linden. La sixi\u00e8me strophe contient un examen de l’ego, qui se trouve dans le pr\u00e9sent d\u00e9clar\u00e9 (“maintenant”). [18] Wilhelm M\u00fcller, Franz Schubert et Friedrich Silcher (de gauche \u00e0 droite) Avec la fontaine, la porte et l’arbre Linden, la premi\u00e8re peinture apporte des composants classiques d’un \u00abbel endroit\u00bb ou d’un locus Amoenus. Il suit un certain nombre d’images conventionnelles (Sweet Dream, Cher mot, joie et souffrance) qui borde le clich\u00e9 [19] Et \u00e9voquez un temps pass\u00e9 pass\u00e9 dans cet endroit. C’est pr\u00e9cis\u00e9ment cette partie de la chanson qui, par exemple, dans les repr\u00e9sentations sur les cartes postales [20] Tellement heureux d’\u00eatre reproduit sur la photo. Par rapport aux autres images de la nature du Voyage d’hiver , qui sont d\u00e9termin\u00e9s par la roche, la glace et la neige, la fontaine d’ensemble \/ porte \/ linden ressemble \u00e0 une \u00eele idyllique. Avec la troisi\u00e8me strophe, non seulement change la classification du temps, mais aussi l’humeur. L’idylle statique est contrast\u00e9e par le mouvement forc\u00e9 et agit\u00e9 de l’ego lyrique, qui m\u00e8ne devant l’arbre Linden. Bien qu’il y ait de la “nuit profonde” de toute fa\u00e7on, le randonneur refuse de contacter Eye: “Il ne veut pas ou ne peut pas regarder.” [21] Mais l’effet magn\u00e9tique que l’arbre de Linden a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 d\u00e9cern\u00e9 ci-dessus (“J’ai toujours boug\u00e9 […] pour lui”) est r\u00e9alis\u00e9 par un autre sens, l’audience: le bruit des branches sans feuilles que le randonneur entend comme un appel et une promesse. Christiane Wittkop fait r\u00e9f\u00e9rence aux vowels en U sombres qui fa\u00e7onnent cette promesse de r\u00e9demption de la randonn\u00e9e plus approfondie (au repos) – et sur les voyelles brillantes A et I, qui abandonnent clairement la strophe suivante (froid, degr\u00e9, visage, vent, souffl\u00e9). [22] Cette cinqui\u00e8me strophe se d\u00e9roule pour la premi\u00e8re fois pour un acte conscient de l’ego lyrique: il r\u00e9siste \u00e0 l’appel de l’arbre; Cette d\u00e9cision re\u00e7oit son propre verset, le quatri\u00e8me verset de cette strophe, tandis que les unit\u00e9s de sens incluent r\u00e9guli\u00e8rement deux lignes de lignes. L’ego d\u00e9cide de l’errance sans d\u00e9fense (sans chapeau) et pr\u00e9sente le froid et la force du vent son visage. La transition vers la sixi\u00e8me strophe se distingue une fois de plus par un changement brusque d’humeur. Maintenant, la situation narrative entre en sc\u00e8ne: le souvenir et me dire “\u00e0 quelques heures” des \u00e9v\u00e9nements des trois derni\u00e8res strophes. La derni\u00e8re strophe reprend \u00e0 nouveau le moment de l’intemporalit\u00e9 (“toujours”), qui a fa\u00e7onn\u00e9 les deux premi\u00e8res strophes, ainsi que la salutation des branches de Linden Tree de Strophe 4, qui, cependant, se trouve maintenant dans Iralilis (“finale”). Il peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9 comme une sorte de r\u00e9sum\u00e9 durable \u00e0 distance (“cet endroit … l\u00e0”). Interpr\u00e9tations de texte formelles et contenu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le texte de M\u00fcller et les deux interpr\u00e9tations musicales du texte ont provoqu\u00e9 des interpr\u00e9tations et des mod\u00e8les d’interpr\u00e9tation dans les sciences litt\u00e9raires et la musicologie li\u00e9es \u00e0 M\u00fcller, Schubert et Silcher, mais aussi dans la r\u00e9f\u00e9rence de la sociologie musicale, les sciences historiques, les \u00e9tudes allemandes et la psychologie. Le cycle de M\u00fcller peut \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 diff\u00e9remment de l’aspect de l’utilisation des formes linguistiques, mais aussi en ce qui concerne le cadre de sens pr\u00e9vu (signification individuelle ou g\u00e9n\u00e9rale humaine ou politique). Ces diff\u00e9rentes options influencent \u00e9galement l’interpr\u00e9tation de la chanson de Lindenbaum avec ses m\u00e9taphores et ses caract\u00e9ristiques formelles. symbolisme [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans le po\u00e8me de M\u00fcller, en particulier les termes frappants, qui \u00e9taient d\u00e9j\u00e0 symboliques dans la vie quotidienne et dans la litt\u00e9rature: la fontaine, L’arbre Linden la promenade le chapeau Dans la po\u00e9sie de M\u00fcller, ainsi que dans le cadre de Schuber, ces symboles gardent principalement leur importance ambivalente. La fontaine La fontaine est un symbole ambigu fr\u00e9quemment li\u00e9 dans la litt\u00e9rature et les contes de f\u00e9es. Il peut repr\u00e9senter l’ambivalence de la vie et du danger mortel. [23] Le mot allemand nomme ainsi \u00e0 la fois la source qui coule librement et son eau, la source librement \u00e9coul\u00e9e et la fontaine creus\u00e9e. D’une part, il a des aspects de vie en tant que source, Eau de la vie \u00e9ternelle , Symbole de croissance et de renouvellement (fontaine de fontaine), et est \u00e9galement un point de rencontre social. Il est \u00e9galement un symbole d’amour, de publicit\u00e9 nuptiale et de mariage. D’un autre c\u00f4t\u00e9, il incarne \u00e9galement l’acc\u00e8s \u00e0 des couches cach\u00e9es, cr\u00e9atives et souvent destructrices de l’\u00e2me en raison de sa profondeur souvent non reconnaissable. [24] L’arbre Linden \u00c0 la fontaine devant la porte – carte postale de l’image autrichienne de 1913. L’arbre Linden a une signification particuli\u00e8re dans le symbolisme et la m\u00e9taphore de l’arbre. \u00c0 l’\u00e9poque de M\u00fcller, le Linden \u00e9tait le point d’amour ou de rencontre des amoureux et du symbole de nature l\u00e9g\u00e8re et b\u00e9n\u00e9fique [25] Un motif \u00e9tabli dans la litt\u00e9rature et la musique allemandes, qui est sous les arbres de Linden ou la chanson folklorique du XVIe si\u00e8cle depuis Walther Il y a une lind dans cette vall\u00e9e avait \u00e9chang\u00e9. [26] Il repr\u00e9sentait \u00e9galement la maternit\u00e9, la fertilit\u00e9, la s\u00e9curit\u00e9, l’harmonie et la protection, la danse et les festivals. Voir l’interpr\u00e9tation de l’arbre Linden de Carl Gustav Jung comme Arbre des amoureux et de la maternit\u00e9 . Mais c’\u00e9tait aussi le lieu de la Cour (Cour Linden), une vieille r\u00e9union germanique de la jurisprudence (chose), le symbole de la communaut\u00e9, le condamn\u00e9 et le lieu d’ex\u00e9cution ainsi que le lieu pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 par le suicide. Il est devenu un symbole de la communaut\u00e9 qui, dans le texte de M\u00fcller, contrairement \u00e0 la solitude du randonneur. En m\u00eame temps, l’arbre Linden, avec le ch\u00eane, \u00e9tait consid\u00e9r\u00e9 comme l’arbre des Allemands et surtout la romance allemande. L’ensemble entier des deux premiers versets du po\u00e8me de M\u00fcller appara\u00eet encore et encore dans les ann\u00e9es vers 1800 comme un lieu de l’idylle: par exemple \u00e0 Goethes Hermann et Dorothea o\u00f9 les amoureux “devant le village” se rencontrent “, ombrag\u00e9s par la digne sombre sublime Linden”; ou dans le Souffrance du jeune Werther , o\u00f9 “juste en face de la ville est une fontaine”, comme un lieu de vie sociale et de fantaisie du paradis, et juste \u00e0 c\u00f4t\u00e9 d’une taverne sous deux arbres Linden. [27] Les deux premiers po\u00e8mes apparaissent dans Lindenbaum Comme une image dans le cadre – un tableau intemporel et bien connu de l’idylle. Cette “Fountain Linden” promet le randonneur \u00e0 la suite de la r\u00e9demption de son errant, le calme. [28] Dans le contexte du sujet sombre du Voyage d’hiver Avec ses nombreux symboles de mort, ce calme gagne la connotation du calme \u00e9ternel, la tentation \u00e0 la fin de la migration de la vie par le suicide. Cette interpr\u00e9tation \u00e9vidente est devenue extr\u00eamement puissante \u00e0 la r\u00e9ception de l’\u0153uvre. Un exemple important de cela est que Zauberberg Par Thomas Mann. L\u00e0, le narrateur r\u00e9pond \u00e0 la question de ce que le monde est derri\u00e8re la chanson de l’arbre de Linden: “C’\u00e9tait la mort. [\u2026] Et pourtant, la mort \u00e9tait \u00e0 l’origine de ces produits Holden. \u2026 Ce n’est peut-\u00eatre pas de la sympathie avec la mort, mais quelque chose de tr\u00e8s folk-lifelong, mais la sympathie spirituelle \u00e9tait de la sympathie avec la mort, la pi\u00e9t\u00e9 des sourcils, le significatif m\u00eame \u00e0 son d\u00e9but, qui ne devrait pas \u00eatre contest\u00e9 au plus calme; Mais dans le r\u00e9sultat, les r\u00e9sultats de l’obscurit\u00e9 \u00e9taient. ” [29] Le h\u00e9ros du Zauberberg , Hans Castorp, et son sort, perd enfin exactement le passage de la chanson sur les l\u00e8vres dans les batailles de la Premi\u00e8re Guerre mondiale, dans laquelle l’arbre Linden parle pour la premi\u00e8re fois: “comme s’ils se pr\u00e9cipitent vers vous”. La r\u00e9ception scientifique a \u00e9galement soulign\u00e9 \u00e0 plusieurs reprises ce lien du symbole de Linden dans le po\u00e8me de M\u00fcller avec la mort. [30] Le moi lyrique ressent l’effet magn\u00e9tique du d\u00e9sir de la mort, il reste \u00e0 obtenir dans la derni\u00e8re strophe; Mais vous r\u00e9sistez. Il “ne tourne pas” et reste avec sa randonn\u00e9e entra\u00een\u00e9e, dans la r\u00e9gion de la neige, de la glace et des vents froids. Heinrich Heine a formul\u00e9 exactement cette figure, le d\u00e9tournement du d\u00e9sir romantique de l’arbre de Linden et la subvention \u00e0 l’hiver contemporain, bien s\u00fbr beaucoup de discours ironique plus tard: Moonlight Drink Linden Flowers, Ils versent leurs parfums Et des chansons de Nightingallen R\u00e9alisent les feuilles et l’air. […] Oh, je te veux, un \u00eatre cher, Aime avouer, oh, je veux Qu’un vent froid du nord soudainement La fleur de neige blanche apporterait; Et que nous, couvert de fourrure Et dans le tra\u00eeneau color\u00e9, Rawl, fouetter, fouetter, \u00c9clat sur la rivi\u00e8re et les couloirs. [trente et un] Linden et Fountain “The Linden Tree (Winter Trip 5)” Pain d’huile d’Ingo K\u00fchl, 100 \u00d7 100 cm, 1996, propri\u00e9t\u00e9 priv\u00e9e Berlin Le groupe typique de Linden et Fountain En tant que c\u0153ur d’une colonie, en tant que point de rencontre social pour apporter de l’eau, le soir le soir, mais aussi un lieu de conf\u00e9rence est un v\u00e9ritable motif qui existe d\u00e9j\u00e0 bien avant le 19e si\u00e8cle. [32] Le lien entre Well et Linden Tree est \u00e9galement un motif bien connu dans le conte de f\u00e9es. Alors \u00e7a dit dans Le roi de la grenouille ou le fer Henry : “Il y avait une grande for\u00eat sombre pr\u00e8s du ch\u00e2teau du roi, et dans la for\u00eat sous un vieil arbre Linden se trouvait une fontaine: si la journ\u00e9e \u00e9tait assez chaude, l’enfant royal est sorti dans la for\u00eat et s’est assis au bord de la fontaine fra\u00eeche.” La promenade La randonn\u00e9e fait partie de la conscience humaine. La romance a fa\u00e7onn\u00e9 les topos de la randonn\u00e9e et de la randonn\u00e9e au 19e si\u00e8cle. La vision des r\u00e9alit\u00e9s panoramiques et sociales a \u00e9t\u00e9 caract\u00e9ris\u00e9e par le spectacle de son propre ego interne. Le symbole de la randonn\u00e9e est \u00e9galement dans l’\u0153uvre de Schubert, par ex. B. Dans le fantasme du randonneur et d’autres chansons, souvent \u00e0 trouver. [33] Le symbolisme de la randonn\u00e9e a illustr\u00e9 le caract\u00e8re sp\u00e9cial du voyage humain de la vie, dans lequel le danger, l’\u00e9chec et la mort sont inclus. Dans le Voyage d’hiver devient la \u00abrandonn\u00e9e dans l’imagination forc\u00e9e\u00bb, qui continue de conduire \u00e0 des relations humaines, dans les d\u00e9lires et la mort. [34] Avec le gain de l’exp\u00e9rience et de la maturation comme avec le compagnon de l’artisanat errant, le Schubertsche Wanderer a peu en commun. Le chapeau Le chapeau (ou sa perte) peut \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 comme un symbole de statut psychologique ou un symbole du pouvoir du porteur et de son signe de protection, ou il peut repr\u00e9senter une indication de la perte de pouvoir social. Une autre application po\u00e9tique de ce symbolisme peut \u00eatre trouv\u00e9e dans le po\u00e8me de Jakob van Hoddis avec le titre significatif Fin du monde (1911), qui commence par le verset tr\u00e8s similaire “Le citoyen vole de la t\u00eate pointue du chapeau”. La perte du chapeau lors de la sortie de la ville Le voyage d’hiver Peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9 comme “parabole pour un citoyen qui quitte la bourgeoisie”. [35] Selon C. G. Jung, la perte du chapeau peut \u00e9galement symboliser la “perte de sa propre ombre”. Le port d’un chapeau (voir Heckerhut) \u00e9tait \u00e9galement un engagement envers les attitudes \u00e0 la d\u00e9mocratique bourgeoise-d\u00e9mocratique, puis r\u00e9volutionnaires apr\u00e8s les guerres napol\u00e9oniennes. Feuille de titre de la premi\u00e8re partie de la premi\u00e8re partie de janvier 1828 L’art de la chanson de Schubert \u00e9tait \u00e0 travers le \u00c9cole Swabo-South-allemand Et la premi\u00e8re \u00e9cole de Berlin Song influence, ainsi qu’avec certains mod\u00e8les de r\u00f4le tels que Beethoven (Ad\u00e9la\u00efde, \u00e0 distance) ou Haydns Canzonettes anglaises et Mozarts Chanson de Veilchen . N\u00e9anmoins, son \u00e9mancipation de l’instrument d’accompagnement – avec ses propres motifs, ses formes d’accompagnement et ses r\u00e9f\u00e9rences primordiales – \u00e9tait une nouveaut\u00e9 compl\u00e8te dans la chanson \u00e0 l’\u00e9poque. [36] Le Lindenbaum , Fixant comme une chanson pour une voix masculine haute avec un accompagnement de piano, le num\u00e9ro 5 du cycle de la chanson se forme Voyage d’hiver par Franz Schubert (r\u00e9pertoire allemand n \u00b0 911-5). La chanson du Freundeskreis von Schubert a \u00e9t\u00e9 jou\u00e9e pour la premi\u00e8re fois. Joseph Von Spaun a rapport\u00e9 qu’un jour, Schubert est venu vers lui et lui a dit: “Venez \u00e0 Schober aujourd’hui, je chanterai un cycle de chansons horribles.” Avec le cycle mentionn\u00e9 ici, seul le premier d\u00e9partement du Voyage d’hiver Ce que l’on entendait, que Schubert a compos\u00e9 au d\u00e9but de 1827 et s’est produit devant ses amis en f\u00e9vrier 1827. Position dans le cycle global [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au d\u00e9but de 1827, Schubert a \u00e9tabli les douze premi\u00e8res chansons \u00e0 M\u00fcller, comme elle \u00e9tait dans le cinqui\u00e8me volume du Broch\u00e9 Urania apparu. Ce n’est qu’apr\u00e8s avoir rencontr\u00e9 le cycle complet de M\u00fcller de 24 chansons en automne, qui en 1824 \u00e9tait le deuxi\u00e8me volume du Po\u00e8mes des papiers laiss\u00e9s par un horniste forestier itin\u00e9rant Publi\u00e9, il a \u00e9galement \u00e9tabli les douze autres. Les douze secondes sont dans la derni\u00e8re main de M\u00fcller, mais ne sont pas simplement attach\u00e9es \u00e0 ce qui a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 \u00e0 l’avance, mais ins\u00e9r\u00e9. Schubert, en revanche, a gard\u00e9 la s\u00e9quence originale des douze premi\u00e8res chansons de M\u00fcller – si pour des raisons du processus de d\u00e9veloppement ou en raison de ses propres intentions musicales et constantes. [37] [38] En modifiant la position du tilleul Dans le cycle, il y a eu un changement de sens. Pendant le Lindenbaum Version globale publi\u00e9e dans la version globale de M\u00fcller de l’espoir principalement positif La poste est suivi par Schubert, le titre de r\u00e9signation plut\u00f4t interrogateur suit Inondation d’eau . [39] Cependant, le traitement de Friedrich Silcher \u00e9tait principalement responsable du succ\u00e8s de la chanson. Sur la base du cadre de Schubert de la premi\u00e8re strophe, il a mis \u00c0 la fontaine devant la porte 1846 pour quatre voix masculines a cappella. C’est surtout cette version qui a fait de la chanson une “chanson folklorique” et est responsable de son \u00e9norme conscience, car elle \u00e9tait souvent imprim\u00e9e dans les livres de chansons de l’\u00e9cole et de la chorale. Arnold Feil commente les exp\u00e9riences d’\u00e9coute courantes avec le Lindenbaum “Nous entendons \u00e0 peine la m\u00e9lodie de Schubert comme un” sage “du texte, qui ne n\u00e9cessite essentiellement aucune harmonie ou accompagnement, nous les entendons comme une partie sup\u00e9rieure d’un remplacement de chorale masculine \u00e0 quatre parties qui semble \u00eatre toute une chanson folklorique” [40] Le traitement de Silcher peut \u00eatre trouv\u00e9 en premier dans le num\u00e9ro VIII de son Chansons folkloriques, collect\u00e9es et fix\u00e9es pour quatre voix masculines , son travail principal, qui est apparu dans douze num\u00e9ros au cours de la p\u00e9riode de 1826 \u00e0 1860. Comme toutes les chansons folkloriques de Silcher, il est maintenant l\u00e0 comme une seule \u0153uvre, le contexte du Voyage d’hiver Donc manquant; Aussi le titre L’arbre Linden n’appara\u00eet plus. La citation suivante sugg\u00e8re que Silcher \u00e9tait conscient de ses simplifications dans le sens de l’utilisation de la musique folklorique: “Apr\u00e8s Franz Schubert, retravaill\u00e9 \u00e0 une m\u00e9lodie folklorique de F.S.” Les analyses principalement orient\u00e9es musicalement se concentrent g\u00e9n\u00e9ralement sur les questions suivantes: Comment Schubert et Silcher ont-ils pr\u00e9sent\u00e9 \/ impl\u00e9ment\u00e9 \/ mis en \u0153uvre l’all\u00e9gation textuelle de M\u00fcller en utilisant des techniques musicales, \u00e9ventuellement poursuivies, approfondies, aplaties ou \u00e9largies? Dans quelles caract\u00e9ristiques diff\u00e8rent ou contredisent les versions de Schubert et Silcher dans l’intention et la d\u00e9claration? Comparaison des versions de Silcher et Schubert [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les versions de Schubert et Silcher montrent un certain nombre de diff\u00e9rences en termes formels, m\u00e9lodiques, harmonieux et rythmiques. La forme de l’accompagnement (mais aussi les diff\u00e9rents conseils vocaux n\u00e9cessaires pour le chant de piano et de solo contrairement \u00e0 un arrangement pour la chorale) est \u00e9galement diff\u00e9rente. Tout cela provoque une interpr\u00e9tation musicale compl\u00e8tement diff\u00e9rente et parfois diam\u00e9tralement oppos\u00e9e du mod\u00e8le de texte identique. Retirer du cycle global [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le processus de r\u00e9solution d’une seule chanson \u00e0 partir d’un contexte global d’un cycle fourni par le compositeur de l’auditeur n\u00e9cessite presque toujours une perte ou un report de la perception musicale et de l’interpr\u00e9tation du contenu. Les relations motivantes avec et les allusions aux titres pr\u00e9c\u00e9dents et suivants sont g\u00e9n\u00e9ralement aussi perdus que les couvercles tonaux et les figurations rythmiques typiques. Clemens K\u00fchn \u00e9crit: \u00abDans un tel cycle, la chanson individuelle est dans un certain environnement \u00e0 partir duquel il peut difficilement \u00eatre supprim\u00e9 sans perte. [\u2026] Que la deuxi\u00e8me et la troisi\u00e8me strophe frappe un ton diff\u00e9rent [\u2026] qui ne per\u00e7oit toujours pas la m\u00eame m\u00e9lodie. \u00bb [41] L’int\u00e9gration tonale de l’arbre de Linden dans le support de pi\u00e8ces maintenu en mineur (le grand-major de “l’arbre Linden” dans le cadre de C mineur en solidification et mineur \u00e9lectrique dans “Water Flood”) est perdu dans une repr\u00e9sentation isol\u00e9e de la chanson (comme dans la version de Silcher). [41] La position sp\u00e9ciale du tilleul qui a un tour du cycle de gel\u00e9 (Larmes congel\u00e9es, solidification) Neige d\u00e9congel\u00e9e (Inondation d’eau, sur la rivi\u00e8re) marqu\u00e9, [42] Si dans la version de Silcher, ainsi que la forme particuli\u00e8rement contrast\u00e9e et fortement stylis\u00e9e de la chanson folklorique au sein d’un cycle de la chanson artistique et la premi\u00e8re apparition d’une chanson en majeure, qui, selon Peter G\u00fclke, a presque d\u00e9clench\u00e9 le “sort de la mineure” pour la premi\u00e8re fois par rapport \u00e0 la mineure pr\u00e9c\u00e9dente comme “Super Major”. [43] Le contraste sensible au cycle entre l’humeur m\u00e9lancolique Voyage d’hiver etles quelques titres plut\u00f4t plus l\u00e9gers ou positifs comme L’arbre Linden , Espace de printemps et La poste Le compositeur et musicologue Hans G\u00e1l se forme comme suit: \u00abC’est un ab\u00eeme de l’auto-tormentaire, qui suscite presque une sorte de honte. Dans les versets ici et l\u00e0, une nuance d’ironie tragique ne peut pas \u00eatre mal comprise. En musique, il devient d\u00e9sesp\u00e9r\u00e9. [\u2026] \u00c0 quel point les quelques \u00e9pisodes plus l\u00e9gers sont distribu\u00e9s tels que \u00abThe Lindenbaum\u00bb, \u00abSpring Stream\u00bb, \u00abThe Post\u00bb, et comment la volont\u00e9 des m\u00e9lancolistes de vivre est de trouver des consolations. \u00bb [44] Il existe \u00e9galement des pr\u00e9d\u00e9cesseurs de motivation et un suivi de l’arbre Linden ainsi que des figurations rythmiques typiques du titre dans le contexte du cycle global dans un titre unique isol\u00e9 comme non compr\u00e9hensible de Silcher. Une r\u00e9duction \u00e9l\u00e9mentaire, probablement due aux exigences d’une chanson folklorique chantable, est l’\u00e9limination de la courte partie m\u00e9diane dramatique, musicalement compl\u00e8tement diff\u00e9rente de la version Schubert (horloge 53 \u00e0 65 – The Cold Winds Biesen …) \u00e0 Silcher. La perte musicale de r\u00e9f\u00e9rences globales par une version motivante d’un seul titre est sp\u00e9cifiquement sur Lindenbaum Sous l’exemple suivant. La deuxi\u00e8me \u00e9tape de la main gauche de solidification (Bar 1, 44, 65, 69 et 103) suivi d’un saut et d’une deuxi\u00e8me seconde \u00e0 la baisse Lindenbaum Dans la partie sup\u00e9rieure de l’accompagnement de piano \u00e0 la barre 1, 3, 25, 27 et la section centrale (44, 47, 49 et 50), une correspondance \/ anticipation. [45] Un exemple des chansons, qui est invers\u00e9e dans la s\u00e9quence chronologique des chansons, donne la triade triolique vers le haut de la barre 59 \u00e0 66 de l’arbre Linden, qui est \u00e0 l’horloge 1 et de Inondation d’eau est ramass\u00e9 comme triola triolocally vers le haut. Diff\u00e9rences m\u00e9lodiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diff\u00e9rences de m\u00e9lodie reconnues en bleu avec Schubert et Silcher ( Exemples audio ? \/ \/ je ) Les guides de m\u00e9lodie des versions de Schuberts et Silcher sont identiques \u00e0 quatre-vingt-dix pour cent. Cependant, les dix pour cent restants, qui s’\u00e9cartent les uns des autres, sont cruciaux et souvent situ\u00e9s en termes de s\u00e9quences harmonieuses et formelles pour comprendre les deux versions. La premi\u00e8re diff\u00e9rence se trouve dans la barre 11 (Schubert). Schubert et Silcher commencent \u00e9galement l’horloge avec une note de quart en pointill\u00e9s et une huiti\u00e8me note ult\u00e9rieure. Tandis que Schubert a sur le ton avec un essai \u00e0 rouleaux en quelques secondes (A – SIG – FIS) continue, la version en soie apporte plut\u00f4t un huiti\u00e8me pointill\u00e9 avec un seizi\u00e8me ult\u00e9rieur (B – g) . [quarante-six] La derni\u00e8re deuxi\u00e8me \u00e9tape sur “Tree” est en panne \u00e0 Schubert, mais d’autre part, sur Silcher, s’est tourn\u00e9e vers le haut. Dans Tact 15, cependant, Silcher suit \u00e0 nouveau le mod\u00e8le triolical de Schubert. Diff\u00e9rences m\u00e9lodiques et rythmiques reconnues en bleu \u00e0 Schubert et Silcher ( Exemples audio ? \/ \/ je ) Une autre diff\u00e9rence est \u00e0 d\u00e9terminer dans la barre 23 \u00e0 Schubert (“… toujours …” pour lui … “). Schubert utilise une s\u00e9quence rythmique relativement difficile de quart – huiti\u00e8me – huiti\u00e8me – en pointill\u00e9s huiti\u00e8me – semestre. Silcher passe \u00e0 la version plus simple (probablement aussi en ce qui concerne le meilleur chant \u00e0 travers une chorale la\u00efque) \u00e0 un quart et quatre huiti\u00e8mes, que Schubert a utilis\u00e9es dans le temps 70\u201376. Cela change \u00e9galement, apr\u00e8s Schubert, la m\u00e9lodie et la partie “pour lui” est r\u00e9p\u00e9t\u00e9e selon les barreaux 74 \u00e0 76 (Schubert). Diff\u00e9rences harmonieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les diff\u00e9rences harmonieuses entre les deux versions sont \u00e9galement relativement insignifiantes d’un point de vue purement statistique. N\u00e9anmoins, ils (seules les deux premi\u00e8res strophes sont comparables de toute fa\u00e7on) sont positionn\u00e9es \u00e0 des points de tournage d\u00e9cisifs de la forme de la chanson du genre (bar 4, 8, phrase avant, suivi, etc.) et donnent ainsi \u00e0 la “mine musicale” un cours diff\u00e9rent. Un exemple de ceci est la fin du premier moteur \u00e0 quatre temps sur “-Baum” dans le temps 12. \u00c0 Schubert, il se termine sur le Tonika E Major, puis passe \u00e0 la majeure h dominante, o\u00f9 le d\u00e9but de la ligne suivante commence “I” avant que la m\u00e9lodie ne continue dans les deux versions. Silcher, en revanche, se termine sur “-Baum” dans le tonique (ici f majeure), ne change pas dans la transition vers la deuxi\u00e8me partie et commence la deuxi\u00e8me partie du tonique au d\u00e9but. [47] En ob\u00e9issant aux lois harmonieuses des clauses finales du front et apr\u00e8s la phrase et du “canon classique”, il produit le contraste avec la forme plut\u00f4t non conventionnelle de Schubert, qui, selon Peter Rummenh\u00f6ller, r\u00e9alise une “expression plus diversifi\u00e9e de la tension, de la tension, de la mise en sc\u00e8ne et de l’enfant”. [48] Les simplifications harmonieuses de Silcher peuvent \u00eatre observ\u00e9es dans de nombreux endroits. Au moins, l’accompagnement change harmonieusement dans le temps 17 sur un m\u00e9lodi\u00e9ton constant pr\u00e8s de Schubert, tandis que Silcher maintient simplement les harmonies. [49] Diff\u00e9rences formelles, rythmiques et professionnelles [ Modifier | Modifier le texte source ]] La diff\u00e9rence d\u00e9cisive est que la version de Silcher r\u00e9alise toujours toutes les strophes avec les m\u00eames moyens musicaux – il est bas\u00e9 sur l’instrumentation de la premi\u00e8re strophe de Schubert. Les six strophes du texte sont musicalement structur\u00e9es en quatre parties par Schubert. Les parties I et la partie II comprennent les strophes 1 et 2 et 3 et 4e partie III sous la forme d’un interm\u00e8de contrastant 5 et de la partie IV Stanza 6. [50] Il con\u00e7oit les diff\u00e9rentes strophes dans presque tous les aspects (technologie rythmique, harmonieuse et occup\u00e9e, dynamique). La version de Schubert correspond ainsi au type de Chanson de strophe vari\u00e9e , tandis que la version de Silcher Chanson de strophe simple repr\u00e9senter. [51] [52] Harry Goldschmidt voit m\u00eame que dans la chanson Chanson de strophe vari\u00e9e fusionn\u00e9 avec les principes de la forme de la sonate. [53] En outre, le pr\u00e9lude dans le seizi\u00e8me arbres rapides (horloge 1 \u00e0 8 selon Schubert de la barre 1), interludes (par exemple le bar 25 \u00e0 28) sont manquants (les six derni\u00e8res barres de Schubert). Une autre diff\u00e9rence importante est l’insertion de Schubert (horloge 45 \u00e0 58) avec sa d\u00e9claration “Les vents froids ont souffl\u00e9 sur mon visage …” Cette partie a peu \u00e0 voir avec la chanson r\u00e9elle. Musicalement, il ne peut \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9 que comme une continuation du seizi\u00e8me mouvement d’essai dans l’introduction et dans le premier interm\u00e8de (bar 25 \u00e0 28). On peut observer, cependant, qu’il \u00e9tait pr\u00e9vu par Schubert avec l’accompagnement dans des figures trioliques avant la deuxi\u00e8me strophe et est \u00e9galement repris par la suite. Partie un: La premi\u00e8re strophe est principalement rest\u00e9e similaire \u00e0 l’accompagnement de Schubert et Silcher. Dans les deux, l’accompagnement est principalement limit\u00e9 \u00e0 la parall\u00e8le rythmique – accompagn\u00e9 des exigences de l’occupation – accompagnement dans des triades principalement de type bloc (ou dans de rares cas de cordons septak). N\u00e9anmoins, il y a des diff\u00e9rences de d\u00e9tail. Il est difficile de d\u00e9cider si ceux-ci sont dus aux diff\u00e9rentes exigences professionnelles, telles que la plus grande mobilit\u00e9 d’un piano par rapport \u00e0 une chorale la\u00efque, qui est probablement destin\u00e9e \u00e0 Silcher, ou par d’autres intentions de Silchers. Alors que d\u00e9j\u00e0 dans la deuxi\u00e8me horloge [54] Sur les trois huit de “Nen – Vor – le” Rising Bass Tonic, troisi\u00e8me et dominant apporte la basse montante, la basse de Silcher r\u00e9p\u00e8te trois fois le ton de Tonalagrund. F. Schubert utilise des notes plus longues dans l’accompagnement d’une moiti\u00e9 et d’un quart de note que dans la m\u00e9lodie et produit ainsi un contraste \u00e9ventuellement pr\u00e9paratoire avec les huit suivants d’accompagnement dans la barre 4. Dans Silcher, l’ancien, le t\u00e9nor et la basse sont \u00e0 juste titre coupl\u00e9s \u00e0 la soprano avec la soprano. Alors que la version Silcher de l’horloge 5 est \u00e9galement harmonieusement d\u00e9tendue sur une demi-demie et une pause quart ult\u00e9rieure, Schubert apporte une fente du piano conduit \u00e0 Terzen. La proc\u00e9dure d\u00e9j\u00e0 connue peut \u00eatre vue dans la barre 10 – la version de Schubert est modifi\u00e9e par Silcher rythmiquement et en termes d’occupation et se retourne au moins d’un point de vue rythmique. Alors que l’accompagnement de Schubert ici est presque identique \u00e0 la m\u00e9lodie, Silcher dans les voix profondes (t\u00e9nor et basse) apporte la version plus compliqu\u00e9e – et pour une chorale non facile – de huiti\u00e8me, de sixi\u00e8me, quart en pointill\u00e9s par rapport \u00e0 la triste et trois huiti\u00e8mes en soprano et ancien. Deuxieme PARTIE: Dans cette partie, les diff\u00e9rences entre les deux versions sont directement audibles m\u00eame sans analyses th\u00e9oriques. Schubert apporte principalement des triols, tandis que Silcher r\u00e9p\u00e8te la strophe 1. Schubert garde l’accompagnement relativement vari\u00e9 ici. L’accompagnement purement triolique change plusieurs fois avec des triols et des huiti\u00e8mes, des triols ainsi que des huit et quartiers ou triols et des huiti\u00e8mes en pointill\u00e9s et seizi\u00e8me. Le triole est toujours pr\u00e9sent en permanence. Une diff\u00e9rence cruciale est que la premi\u00e8re partie de la deuxi\u00e8me strophe (horloge 28 \u00e0 36) en mi mineur au lieu de la fa\u00e7on dont la premi\u00e8re est maintenue en E Major. [53] Ce n’est qu’apr\u00e8s que cela se d\u00e9roule dans la barre 27 dans le E Major habituel. Le pr\u00e9sent est pr\u00e9sent\u00e9 ici dans Moll et le pass\u00e9 en major. M\u00eame la promesse du \u00abcalme \u00e0 travers l’arbre\u00bb \u200b\u200b(qui peut \u00e9galement \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9e comme une demande de suicide) est formul\u00e9e en majeure. En tant que possibilit\u00e9 d’interpr\u00e9tation non musicale, Clemens K\u00fchn pense que contrairement \u00e0 la premi\u00e8re strophe comme une “existence stable”, les triols deviennent oppos\u00e9s le “symbole mobile de la randonn\u00e9e” et la stabilit\u00e9 tonale des strophes \u00e0 chaque strophe. [55] Partie III: Autre introduction de la m\u00e9lodie (sans accords) dans l’interm\u00e8de ( Audience ? \/ \/ je ) L’interaction de Schubertsch est moins vocale que celle de fa\u00e7on assez dramatique et r\u00e9citative. Bien que certains intervalles de r\u00e9miniscences de la m\u00e9lodie d’origine soient d\u00e9finitivement pr\u00e9serv\u00e9s, la m\u00e9lodie vocale est souvent r\u00e9duite \u00e0 des r\u00e9p\u00e9titions sonores d\u00e9claratoires et \u00e0 des sauts indicibles quant au saut d’octave sur le mot “t\u00eate”. [56] Les mouvements mouvement\u00e9s, exclusivement sur le mouvement triolen du jeu initial et interm\u00e9diaire ainsi que de la main gauche r\u00e9p\u00e9titive, qui est pos\u00e9e par Schubert dans les r\u00e9gions de basses profondes – \u00e0 C sous plus tard, m\u00eame H- renforce encore cette impression. La pi\u00e8ce peut \u00e9galement \u00eatre comprise comme une variation et une impl\u00e9mentation en une seule. [50] Partie IV Dans la troisi\u00e8me strophe, Schubert combine des \u00e9l\u00e9ments des strophes pr\u00e9c\u00e9dentes. Il reste dans la strophe majeure et \u00e9vite le mineur de la deuxi\u00e8me strophe. Dans le m\u00eame temps, cependant, il maintient l’accompagnement principalement triolique de la strophe 2. Mais m\u00eame plus les deux strophes ne semblent pas non plus une apparence musicale. Alors Clemens K\u00fchn dit: “Si la m\u00e9lodie initiale se reproduise par la suite (‘maintenant je suis quelques heures’), c’est un chant\u00ab diff\u00e9rent \u00bb, comme la partie piano qui absorbe les triols, n’est pas la m\u00eame. Ce qui, au d\u00e9but, mais s’est d\u00e9j\u00e0 \u00e9loign\u00e9 par la m\u00e9moire de la fa\u00e7on dont le r\u00e9el et le vie a \u00e9t\u00e9 chant\u00e9, se r\u00e9v\u00e8le enfin comme fragile et apparent (\u00abVous \u00eates silencieux l\u00e0-bas!\u00bb). En g\u00e9n\u00e9ral, ce n’est pas rare – m\u00eame avec Schumann, Brahms ou Grieg – que les chansons varient diff\u00e9remment avec chaque strophe selon l’intention musicale. [57] Critique du traitement de Silcher [ Modifier | Modifier le texte source ]] Silcher est pour “l’auto-apparition d’une question bien s\u00fbr, avec laquelle il a presque supprim\u00e9 la strophe folk de la strophe du contexte global” comme une image du cadre “du cadre” [26] Et avec lui le “cadrage de l’arbre Linden” [58] rep\u00e9r\u00e9, fr\u00e9quemment r\u00e9pulsif. Son cadre est, par exemple, comme “une-dimensionnalisation \/ nivellement” [48] L’interpr\u00e9tation de texte plus complexe de la version de Schubert. Peter Rummenh\u00f6ller d\u00e9crit la version de Silcher comme “compr\u00e9hensible, folk et malheureusement aussi in\u00e9vitable”. [59] Frieder Reininghaus d\u00e9clare que la version de Silcher fait de la chanson de Schubert, bien qu’elle soit “Pour la vie et la mort” GO, un “Bourgeois et un dimanche apr\u00e8s-midi d’idylle dans la petite ville”. L’ambigu\u00eft\u00e9 et l’ironie “de M\u00fcller et Schubert sont compl\u00e8tement perdues. [60] Elmar Bozzetti critique que l’utopie de l’arbre de Linden, qui est reconnaissable par la forme vari\u00e9e de Schubert, devient une “r\u00e9alit\u00e9 biedermeier sans r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la r\u00e9alit\u00e9” par la forme non vergondienne et simplifi\u00e9e \u00e0 Silcher. [soixante-et-un] Clemens K\u00fchn croit que la version Silcher ne per\u00e7oit pas la “frappe d’un autre ton dans la deuxi\u00e8me et la troisi\u00e8me strophe” par la “toujours la m\u00eame m\u00e9lodie”. En raison de la “lissage sans danger inoffensive”, la chanson de la version de Silcher perd “la profondeur qu’il a dans l’original”. [41] En revanche, Joseph M\u00fcller-Blattau souligne que Silcher des trois strophes vari\u00e9es de Schubert avait distill\u00e9 la “m\u00e9lodie primitive” des variations de Schuber. La chanson et le cycle de Schubert ont inspir\u00e9 les compositeurs classiques ult\u00e9rieurs. Les chansons de Gustav Mahler d’un compagnon \u00e9mouvant proviennent clairement de l’intention textuelle et des d\u00e9tails de composition Voyage d’hiver ou. L’arbre Linden (Quatri\u00e8me chanson \u00e0 Mahler: “Il y avait un arbre Linden dans la rue, donc je me suis d’abord repos\u00e9 dans mon sommeil …”). [62] Anton von Webern a \u00e9galement une instrumentation du Voyage d’hiver avant. Dans de nombreux traitements est L’arbre Linden est devenu une partie populaire du r\u00e9pertoire des clubs de chant. L’attitude ambivalente de la chanson a souvent c\u00e9d\u00e9 la place \u00e0 banaliser la romance. Dans le Singenspiel, qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 en 1916, le Dreim\u00e4derlhaus quitte Schubert pour faire une d\u00e9claration d’amour pour son Hannerl ador\u00e9, Franz von Schober pr\u00e9sente la chanson de l’arbre de Linden. [63] Joue un r\u00f4le leitmotive L’arbre Linden Dans le roman de Thomas Mann. Dans le chapitre Abondance du puits des sons Hans Castorp La chanson est consacr\u00e9e \u00e0 une plaque gramophone. Dans le dernier chapitre Le Thunderbill Il passe \u00e0 la guerre avec la chanson sur ses l\u00e8vres; L’arbre Linden devient le symbole de ses sept ann\u00e9es insouciantes dans le sanatorium Berghof . La chanson est \u00e9galement cit\u00e9e dans le docteur de Thomas Mann Faustus. \u00c0 la fontaine devant la porte est \u00e9galement le titre d’un film \u00e0 domicile produit par Kurt Ulrich en 1952 avec Sonja Ziemann et Heli Finkenzeller, o\u00f9 une auberge a emprunt\u00e9 son nom au titre de la chanson. En plus des compositeurs du 20e si\u00e8cle, les \u00e9crivains, le dramaturge et les artistes visuels s’assoient avec le Voyage d’hiver \u00e0 part. Les affrontements de composition modernes proviennent de Hans Zender (t\u00e9nor et petit orchestre), Reiner Bredemeyer, Friedhelm D\u00f6hl (Streichquiintet) et Reinhard Febel. Hans Zender a express\u00e9ment d\u00e9crit son interpr\u00e9tation de 1993 comme “une interpr\u00e9tation compos\u00e9e”. Selon ses propres mots, il essaie de traduire les intentions de Schubert en un langage musical expressif accru du pr\u00e9sent \u00e0 travers l’histoire de la r\u00e9ception, des habitudes d’audition et de la pratique du rendement “. Cependant, D\u00f6hl combine le texte de M\u00fcller avec des textes de Georg Trakl et ses propres croyances socialistes. [soixante-quatre] Le Lindenbaum Dans la version de Schubert, presque tous des chanteurs connus du 20e si\u00e8cle ont pris et r\u00e9pertori\u00e9 dans toutes les voix de la soprano \u00e0 la basse. Quelques noms sont Hans Hotter, Lotte Lehmann, Peter Anders, Dietrich Fischer-Dieskau, Hermann Prey, Theo Adam, Peter Schreier, Ernst Haefliger, Olaf B\u00e4r, Brigitte Fassbaender, Ren\u00e9 Kollo et Thomas Hampson. Des pianistes de c\u00e9l\u00e8bres mondiaux tels que Gerald Moore, J\u00f6rg DeMus, Swjatoslaw Richter, Murray Perahia, Daniel Barenboim, Alfred Brendel, Wolfgang Sawallisch ou Andr\u00e1s Schiff ont agi comme compagnons. D’autres versions de chorale proviennent de Conradin Kreutzer, Ludwig Erk, Peter Hammmersteen [65] et Josef B\u00f6ck. De plus, il existe \u00e9galement des versions de chorale \u00e0 trois param\u00e8tres (par exemple de Stitia Zijderlaan) pour deux votes en soprano et un vieux. [66] De plus, il existe un traitement plus ou moins connu de la chanson pour diverses combinaisons instrumentales. Franz Liszt vient une version pour Piano pour deux mains , [soixante-sept] ce qui a beaucoup contribu\u00e9 \u00e0 la popularisation de la chanson et du cycle global. [68] Dans l’album Schubert-Liszt publi\u00e9 par Gustav Lazarus, la transcription virtuose Liszt est simplifi\u00e9e dans les affirmations techniques. Il existe \u00e9galement d’innombrables enregistrements avec une ligne instrumentale diff\u00e9rente. La voix chantante est faite par violoncelle, trombone, violon, clarinette, basson [69] Ou jou\u00e9 \u00e0 l’alto et des orchestres \u00e0 cordes, Piano Trio (Emmy Bettendorf), [70] La guitare ou d’autres combinaisons instrumentales accompagn\u00e9es. Une r\u00e9demption relativement libre dans la zone de classe pop telle que Helmut Lotti ou Nana Mouskouri avec des ensembles de cha\u00eenes denses ou des cordes renfor\u00e7ant le piano ne sont pas rares. Des auteurs-compositeurs politiquement engag\u00e9s tels que Franz Josef Degenhardt et Konstantin Wecker ainsi qu’Herman Van Veen et Achim Reichel ont \u00e9galement mis la chanson \u00e0 la musique. [71] La chanteuse fran\u00e7aise Mireille Mathieu a \u00e9galement un enregistrement. [72] Ce qui est parfois fait des versions de Schubert et Silcher aujourd’hui peut recevoir la citation suivante de la brochure publicitaire d’un orchestre \u00e9olien: \u00abLa\u00ab Lindenbaum \u00bbde Schubert est \u00e9galement devenue une exp\u00e9rience sonore tr\u00e8s sp\u00e9ciale, que les musiciens habill\u00e9s de robes compl\u00e8tement nouvelles. Que ce soit dans James, “ Sound Happy ” typique, dans le style Egerland, lourds du tuba ou dans la version humoristique de Spike Jones avec des sifflets, des fanfares et des effets de bang – les musiciens ont d\u00e9montr\u00e9 leur brillante technologie dans le “ Linden Tree ”. ” [soixante-treize] La ville nord de la Hesse de Bad Sooden-Allendorf annonce que Wilhelm M\u00fcller a \u00e9crit le po\u00e8me de la fontaine de la salle devant le Steingor Allendorfer, o\u00f9 se trouvait un vieux Linden Tree. Il y a aussi une planche avec le texte de la chanson. Cependant, rien n’indique que M\u00fcller a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 \u00e0 Allendorf. [74] Le restaurant H\u00f6ldrichsm\u00fchle \u00e0 Hinterbr\u00fchl pr\u00e8s de Vienne pr\u00e9tend \u00e0 son tour \u00eatre le lieu d’origine de la composition de Schubert. Cependant, il n’y a aucune indication de cela non plus. [75] Dans la version allemande de l’\u00e9pisode Le perdant (Code 7G03, sc\u00e8ne 03) Simpsons Barts Simpson rapt cette chanson – avec un texte fortement chang\u00e9, mais clairement reconnaissable. [76] (Dans la version originale, il chante “John Henry \u00e9tait un homme de conduite en acier”). [77] “\u00c0 la fontaine devant la grande porte, il y a une telle affaire Linden Tree Oh oui, j’ai r\u00eav\u00e9 dans son ombre, tant de beaux r\u00eaves, de beaux r\u00eaves sous ce singe – Horny Linden Tree, oh oui, oh oui.” [78] Aussi dans le film 1\u00bd chevaliers – \u00e0 la recherche de l’adorable rythme cardiaque La chanson est chant\u00e9e par la princesse et la dame de la cour sous la direction du professeur de chant et mentionn\u00e9e plus tard par Ritter Lance. [79] Reinhold Brinkmann: Franz Schubert, arbres Linden et identit\u00e9 allemande nationale. Interpr\u00e9tation d’une chanson. Conf\u00e9rences de Vienne \u00e0 la mairie, n \u00b0 107. Picus-Verlag, Vienne, ISBN 3-85452-507-9. Gabriel Br\u00fcgel: Communications critiques aux chansons folkloriques de Silcher, \u00e9galement une contribution \u00e0 la recherche de chansons folkloriques. Dans: Collectionneurs de la Soci\u00e9t\u00e9 de musique internationale. 15e ann\u00e9e, H. 3. 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(PDF; 1,9 Mo) Consult\u00e9 le 20 juin 2010 . \u2191 Par exemple, de Bernd Leistner dans la pr\u00e9face de l’\u00e9dition de travail de Wilhelm M\u00fcller, disponible en ligne ici: International Wilhelm-M\u00fcller-Gesellschaft \u2191 Vollmann, p. 182. \u2191 Voir aussi: Wittkop 1994 et Hufschmidt 1992. \u2191 La musique de l’histoire et du pr\u00e9sent , Volume 12, \u00e9d.: Friedrich Blume, DTV (B\u00e4renreiter), 1989, page 161 \u2191 Erika von Borries: Wilhelm M\u00fcller – Le po\u00e8te du voyage d’hiver – une biographie , C.H. Beck, 2007, S. 159 \u2191 Erika von Borries: Wilhelm M\u00fcller – Le po\u00e8te du voyage d’hiver – une biographie, C.H. Beck, 2007, pp. 165 et 169. \u2191 un b Achim Goeres: … Qu’est-ce que je veux aligner sous mon sommeil? – R\u00e9flexions sur le voyage d’hiver de Schubert. Goeres.de, consult\u00e9 le 20 juin 2010 . \u2191 Harry Goldschmidt: Schuberts Voyage d’hiver. Dans: \u00c0 la cause de la musique – parler et essayer. Verlag Philipp Reclam Jun. Leipzig, 1970, page 106 et 107 \u2191 Remarque: Ainsi, \u00e0 partir de 1818, Schubert a travaill\u00e9 dans un cercle priv\u00e9 autour d’Anton Ottenwald, Josef Kenner, Friedrich Mayr et Johann Senn, qui ont trait\u00e9 des questions litt\u00e9raires-artistiques, \u00e9thiques et nationales. En 1820, la police a effectu\u00e9 une visite des \u00e9crits \u00e0 Senn puis l’a emprisonn\u00e9e. Schubert aurait repris Vernatio et Insults lors de l’arrestation contre les fonctionnaires et a re\u00e7u un avertissement. (Apr\u00e8s Ernst Hilmar: Schubert , Rowohlt, 2e \u00e9d., Hambourg, 1997, page 29\u201331 et Otto Erich Deutsch: Franz Schubert – Les documents de sa vie , collect\u00e9 et expliqu\u00e9 par Erich Deutsch, nouvelle \u00e9dition de toutes les \u0153uvres, volume 5, Leipzig, 1964, page 88) \u2191 Remarque: “M\u00eame si Schubert n’\u00e9tait pas lui-m\u00eame un agitateur politique, il avait toujours des contacts permanents avec l’opposition politique, que Metternich avait secr\u00e8tement surveill\u00e9 par 10 000 pointes.”; Dans: Peter Vujica: Chansons M\u00fcller du sous-sol ( M\u00e9mento \u00e0 partir du 24 d\u00e9cembre 2015 Archives Internet ) dans: Journal of the Society of Music Friends \u00e0 Vienne, F\u00e9vrier 2005 \u2191 Norbert Michels: Wilhelm M\u00fcller – un voyage de vie – pour le 200e anniversaire du po\u00e8te , Boehlau, 1994, S. 101. \u2191 Hufschmidt, p. 96f., Wittkop, p. 113ff. et Brinkmann, pp. 18f. \u2191 Voir Hufschmidt, p. 96. \u2191 Voir les exemples sous le lien Web sur le “portail Goethe Time”. \u2191 Hufschmidt, p. 96. \u2191 Wittkop, S. 78. \u2191 Gerd Eversberg: Th\u00e9odor Storm et les m\u00e9dias. 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