Catherine Grand – Wikipedia

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Noëlle-Catherine Grand , mieux connu comme Madame Talleyrand-Périgord, Princesse de Bénévent (Né le 21 novembre 1762 à Tharangambadi, Inde, † le 10 décembre 1834 à Pont-de-Sains près de Paris), était une maîtresse française, Salonnière et une beauté bien connue du 19e siècle. [d’abord]

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Noëlle-Catherine Verlee (ou Worlee) était la deuxième fille de la frégate lieutenant et capitaine de Port par Chandenagor Jean-Pierre Verlee et son épouse Laurence Alligne. En 1777, la famille a déménagé à Cherandenagor. Elle était là avec les Anglais avec l’origine française, George Francis Grand, lieutenant de la Fonction publique britannique , fait connaître. Le 7 avril 1778, elle l’a épousé dans l’église Chandersagor et le même jour dans le Église de Saint-Jean à Kalkutta. Le couple s’est installé à Kalkutta. Quelque temps plus tard, des rumeurs se sont produites selon lesquelles elle avait une histoire d’amour avec le riche officier et politicien irlandais Sir Philip Francis. Au début, Grand a ramené sa femme à Chandenagore, mais l’a envoyée en Angleterre quelques mois plus tard.

Après quelques aventures amoureuses en Angleterre, Catherine Grand est allée en France en 1783, où à Paris vous avez un salon littéraire bien connu dans le Rue du Sentier conduit et à l’un des notoires Parisiens de Paris. Le banquier Valdec de Lessart et l’entomologiste Maximilian Spinola faisaient partie de ses amants.

En 1792, le Palais de la Tuilerie a été pris d’assaut par la population parisienne et les délégués des provinces. Louis XVI. Capturé et amené en prison. Catherine Grand a réussi à s’échapper de Paris en Angleterre. Après la chute de Maximilien de Robespierre, elle est retournée en France et a été amenée en prison peu de temps après sous l’allégation de l’espionnage. Avant le Tribunal révolutionnaire, elle a été accusée d’émigrer et de condamner à mort pour avoir soutenu le comptoir-révolution et les contacts. De la prison, elle a demandé au ministre des Affaires étrangères, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord (1754-1838), pour intervention. La beauté et la grâce de la jeune femme ont eu un impact sur le ministre, un ancien évêque de l’Église catholique romaine.

François Gérard: Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, Huile sur toile, 1808

Après sa libération, Madame Grand a vécu avec Talleyrand dans la résidence officielle du ministre dans un mariage sauvage. Napoléon Bonaparte a appelé le Concordat de 1801 de Talleyrand pour épouser son amant ou les abandonner. En tout cas, Madame Grand ne pouvait pas représenter l’État français en tant que maîtresse par le ministre des Affaires étrangères. Le mari de Grand a été généreusement démissionné et récompensé par un poste dans la province du Cap après les avoir consentis au divorce. Le mariage de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord et Catherine Grand a eu lieu le 9 septembre 1802 dans la rue de Verneuil en présence de Bonaparte et de son épouse Joséphine de Beauharnais. L’intérêt de Talleyrand pour sa femme s’est considérablement refroidi après le mariage.

Madame Talleyrand s’est rendue en Angleterre. L’ambassadeur de France à Londres a médiatisé entre le couple Talleyrand et elle est retournée à Paris. Au cours des années suivantes, Madame Talleyrand a rempli ses fonctions en tant qu’épouse du ministre jusqu’à ce qu’elle laisse son mari au Congrès de Vienne. Lors de ce voyage, Talleyrand était accompagné de sa nièce, la comtesse Dorothea de Biron, et Madame Talleyrand a de nouveau quitté Paris. Elle a d’abord déménagé à Londres, plus tard à Bruxelles et a pris sa place de résidence au nord de Paris à Pont-de-Sains.

  • 1762-1798 Perte de non-Catherine (ou monde
  • 1798–1802 Noëlle-Catherine Grand
  • 1802–1834 Noëlle-Catherine de Talleyrand-Périgord
  • 1806–1813 Noëlle-Catherine de Talleyrand-Périgord, Princesse de Bénévent
  • Yvonne Robert Gaves: Des Plages du coromandel aux salens du Consulat et de L’ Empire
  1. Madame Grand, plus tard la princesse de Talleyrand

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