Barbe Cat – Wikipedia

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Sel. Marie von der Incarnation

Barbe Acarie , né Barbara Avrillot (né le 1er février 1566 à Paris, † le 18 avril 1618 à Pontoise), était une carmélitine française qui a présenté le carmel téréien en France. Il est adoré comme un béni dans l’Église catholique romaine.

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À l’âge de seize ans, Barbe Acarie est devenue l’épouse de Pierre Acarie, avec qui elle a conduit un mariage heureux avec les six et trente ans, dont six enfants ont émergé. Au cours de sa vie conjugale, elle était convaincue qu’une vie inclinée à la prière mystique pourrait certainement être associée à l’engagement familial et social. Avec joie et amour, elle lui a fourni six enfants, trois filles et trois fils. Par sa naissance et son mariage, elle appartenait à la classe sociale supérieure de Paris. Très tôt, le puissant de la ville a demandé par la ville et la Cour royale française principalement en raison de sa gentillesse et de sa piété pour obtenir des conseils et des instructions. Son attitude l’a incitée à toujours rappeler que son pays est puissant que sa position, qui leur était confiée par Dieu, devait être comprise comme un service aux humains. Elle a elle-même utilisé son influence pour travailler à Paris pour les pauvres et les nécessiteux.

Son acte le plus étendu était qu’elle a apporté la branche de l’ordre de notre chère épouse du mont de Carmel en France par Theresa von Ávila. À la fin du XVIe et au début du XVIIe siècle, la situation politique en France a été très tendue en raison des guerres de Huguenot. Barbe Acarie et d’autres étaient convaincus que la France doit principalement être renouvelée dans la foi. Dans leur salon parisien, ceux qui se sentaient connectés à cette pensée se sont rencontrés. Lors de son premier voyage diplomatique en 1602, Saint Franz Von Sales a également rejoint ce cercle.

Barbe Acarie a reçu le soutien de Pierre de Bérulle pour l’introduction des carmétateurs insolents en France. En plus du renouvellement de sa propre piété, ils semblaient être les plus adaptés à tout le carmel pour faire progresser le renouvellement de l’église en France. Madame Acarie et son cercle ont donc envoyé une délégation en Espagne pour inviter des carmélites espagnoles en France. La première fondation de carmélite espagnole a eu lieu le 18 octobre 1604 à Paris.

Après la mort de son mari Pierre Acarie en 1614, Barbe Acarie lui-même est entrée dans le Carmel d’Amiens aux quarante-huit ans et a pris le nom de l’Ordre Marie von der Incarnation à. Même avant d’entrer, elle a toujours eu des expériences mystiques qui se sont renforcées dans sa vie dans le Carmel. Quand elle est entrée, elle l’avait demandé de pouvoir entrer dans le Carmel le plus pauvre de la France en tant qu’infirmière externe. Trois de leurs filles sont également devenues des carmétistes; L’un d’eux est devenu plus tard un sous-priateur d’Amiens. Sr. Marie von der Humernisation, déjà dessinée par la maladie, a pris sa profession solennelle le 8 avril 1615 à Amiens. L’année suivante, pour des raisons de santé, elle a été envoyée au Carmel de Pontoise, où elle est décédée à l’époque de complètement. Lorsque la nouvelle de sa mort le 18 avril 1618 est devenue connue à Pontoise, on a immédiatement parlé de la mort d’un saint.

Barbe Acarie a également eu une part de la propagation de deux autres communautés religieuses en France, celle de l’Oratorio de St. Philipp Neri et les Ursulines. Parmi les postulants du Carmel figuraient ceux qui n’avaient pas appelé au Carmel. Barbe Acarie a eu l’idée qu’ils pouvaient travailler dans l’éducation des filles. Avec son cousin, Mme. De Sainte-Blebeve, elle a donc amené Ursulinen à Paris.

Son fils Pierre s’est assuré que tous les documents nécessaires ont été compilés en 1622 afin d’ouvrir le processus de béatification. Cela a été achevé en 1632. Cependant, les documents sont restés à Rome. Ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle que le processus est devenu sous le pape Pie VI. Rouler à nouveau et a apporté à la fin. Paul de Montis a écrit une biographie d’Acarie publiée en 1778. [d’abord] Le 5 juin 1791, Sr. Marie de l’incarnation de la basilique Saint-Pierre à Rome a été bénie. Une autre biographie a été publiée cette année. [2] Une biographie originale allemande a été publiée l’année prochaine, qui aurait été écrite par une “carmélite inconnue de la province bavaroise”. [3] Une autre biographie a suivi lorsque la religion établie a remporté le terrain après la période révolutionnaire en France. [4] Votre journée de commémoration est le 18 avril.

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  1. Paul de la montagne: La Vie de la Vénérable Sœur Marie de l’Incarnation, Religieuse Converse Carmélite, Fondatice des Carmélites de France, dite dans le Monde, Mademoiselle Acarie. Ouvrage dédié a Madame Louise de France, Religieuse Carmélite, sous le nom de Sœur Thérese de S. Augustin, Prieure des Carmélites de S. Denis. Par M. l’Abbé de Montis, Docteur en Théologie, Censeur Royal, de l’Académie Royale des Belles-Lettres de la Rochelle . Paris : Chez Pierre-François Gueffier, Libraire-Imprimeur, 1778 ( Archive.org ).
  2. Bartholomeo Moirai: La vie de la Beata Mary d’Encarnación, nun Converse prophétie, des ordres de carmélite descalzas, et son fondateur en France, écrit par Bartolome Moirani, mort romaine . Joseph plié, Madrid 1791 ( Archive.org ).
  3. Brève description de la vie de la Séniture Sœur Maria de l’incarnation, fondatrice des carmeliters Barefüßer en France. Combattu par une carmélite aux pieds nus de la province bavaroise . Augsbourg: dans la librairie Joseph-Wolffischen, 1792 ( Archive.org ).
  4. Jean Baptiste Antoine Boucher: Vie de la Bienheureuse Sœur Marie de l’Incarnation, dite dans le monde Mademoiselle Acarie, Converse professe et Fondatrice des Carmelites réformées de France: Faite d’après des piéces authentiques; accompagnée de notes historiques, critiques & morales; & suivie 1°. d’une Appendice contenant des écrits & des maximes de la Bienheureuse, 2°. de Pieces justificatives . Chez H. Barbou, Imprimeur-Librarie, Paris 1800 ( Archive.org ).

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