Cinémathèque française – Wikipedia

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Le Cinémathèque française est un institut de cinéma français basé à Paris, qui est consacré à la préservation et à la propagation des films comme un atout culturel. L’Institut est principalement soutenu par les subventions gouvernementales.

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Le Cinémathèque française était en 1935 (initialement toujours sous le nom Cercle du cinéma ) Fondé par Henri Langlois et Georges Franju, qui s’était auparavant pris en charge du sauvetage et de l’entretien de copies cinématographiques.

Mais ce n’est qu’un an plus tard que vous pouviez commencer à travailler avec le soutien financier et moral de Paul Auguste Harlé. Sous la direction de Langlois, la Cinémathèque a commencé à collecter tout ce qui était lié au cinéma et au cinéma – caméras, projecteurs, affiches, livres et même accessoires.

Au cours de l’occupation allemande de la France pendant la Seconde Guerre mondiale, Langlois et ses collègues ont sauvé de nombreux films de l’accès par les nationaux-nationaux.

Langlois a dirigé la Cinémathèque dans un style plutôt “dure”, que personne ne regarde les cartes par qui que ce soit et s’est réveillé jalousement sur ses trésors. Bien qu’il ait collecté de grandes quantités de séquences, mais il ne préoccupait que peu de stockage de ces trésors professionnellement. Certains films ont également été détruits par un stockage inapproprié. Dans un cas, un camp de cinéma a complètement brûlé. Il n’y avait pas de listes d’archives depuis longtemps, Langlois avait tout à l’esprit. Les structures internes de la Cinémathèque ont été difficiles à voir pour les étrangers et très informelles. Pendant des décennies, Langlois Lotte Eisner, Marie Epstein (la sœur du réalisateur Jean Epstein) et Mary Meherson (l’épouse de Langlois) se sont tenues. [d’abord] [2]

Le “Memory of Cinema”, comme le Cinémathèque est également appelé, a eu un impact énorme sur les réalisateurs de la Nouvelle Vague (y compris François Truffaut, Jean-Luc Godard, Claude Chabrol et Alain Resnais). Certains d’entre eux étaient donc comme les enfants de la cinémathèque («Enfants de Cinémathèque»).

En 1968, il y a eu un scandale autour de la Cinémathèque lorsque le ministre de la Culture de l’époque et le cinéaste André Malraux a tenté de forcer le licenciement de Langlois en caressant les subventions de l’État. Le Cinémathèque a ensuite été fermé. Nach Massiven Demonstrationen und Protesten, Beginnend Am 12. Februar 1968, Gewissermaßen Am Vorabend der Mai-UNRUHEN Auf Fast Größen des Französchen Kinos (allen Voran Francre Godard, Alain Resnais), Muste Malraux Seinen Schritt Rückgängig Machen. Cette affaire dite de Langlois a été immortalisée dans plusieurs longs métrages, par exemple dans le générique d’ouverture de Truffauts Baisers volés (1968) et à Bertolucis Le rêveur (2003).

Le travail de la Cinémathèque pour la préservation de la culture cinématographique a été admiré dans de nombreux pays et il existe désormais des institutions similaires dans le monde qui s’efforcent de maintenir et de reconstruction de vieux films.

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En septembre 2005, la Cinémathèque a déménagé dans ses nouvelles chambres dans l’ancien “Centre américain” converti par l’architecte Frank O. Gehry (Rue de Bercy 51, 12th Arrondment, Paris).

La Française du Cinémathèque restaure plus de 200 films chaque année et montre 1300 films dans ses propres salles de démonstration. [3]

  • Le rêveur (Titre original Les rêveurs ) Grande-Bretagne, Italie, France, 2002, 110 min., Directeur: Bernardo Bertolucci
    Trois jeunes fans de cinéma apprennent à se connaître au Cinémathèque Française en février 1968 et jouent des scènes de classiques de films qu’ils ont vues là-bas.
  • Laurent Mannoni: Histoire de la Cinémathèque française. L’amour fou du cinéma. Éditions Gallimard, Paris 2006, ISBN 2-0707-7444-9.
  • Richard Roud: A passion for films. Henri Langlois and the Cinémathèque Française. Viking Press, New York 1983, ISBN 0-67-036687-0.
  1. États Cinsheasticoman / Muséra Buil – Flowarvary du film de Lexikon Milgon. Consulté le 14 mars 2021 .
  2. Murnau | Hans Helmut Prinzler. Consulté le 8 mars 2021 (Allemand).
  3. Cinémathèque française. Dans: Filmportal.de. Consulté le 2 février 2021 .

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