Procure totale de la sécurité sociale – Wikipedia

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Le Procure totale de la sécurité sociale (GRSS) est une statistique de synthèse. Crée à l’aide d’une variété de sources statistiques (calculs de la sécurité sociale, statistiques des finances publiques (EFS), statistiques suisses de la sécurité sociale (SVS), etc.), vous informe des dépenses et du financement dans le domaine de la sécurité sociale. Du côté de la production, les avantages sociaux, du revenu sont les contributions sociales des employeurs et des employés, les primes de tête de l’assurance maladie obligatoire, les contributions du secteur public et le revenu au centre d’intérêt.

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Le GRSS est comparable à l’échelle internationale car il se trouve sur le “système européen des statistiques de protection sociale intégrés” (ESSOSS) développé par Eurostat [d’abord] basé.

La dépense totale de sécurité sociale a augmenté en 2010 (actuellement des données provisoires) en Suisse à 153 milliards de CHF (CHF 2000: CHF 107 milliards). Le revenu était de 176 milliards de CHF en 2010. Le véritable noyau du GRSS forme des avantages sociaux. Ils résultent du total des éditions moins les frais de mise en œuvre et autres dépenses (administratives) et en 2010 était de 139 milliards de CHF. [2]

En tant que base juridique pour le projet de loi global de sécurité sociale, le postulat de la Commission de sécurité sociale et de santé du Conseil national du 17 février 1995 ainsi que de la Federal Statistics Act Art. 10, paragraphe 2, à partir du 9 octobre 1992. [3]

En Suisse, les premières tentatives d’obtenir un aperçu total des finances de la sécurité sociale datées des années 1970 et 1980. Le précurseur direct des statistiques de synthèse d’aujourd’hui est le “budget social de la Suisse”, que P. Gilliand et S. Rossini ont développé dans le cadre du projet du Fonds national “Changement dans la vie et la sécurité sociale” pour les années 1990 et 1993. MÉTÉSIQUE, ce travail s’appuie contre l’Essoss alors valide. En 1995, S. Greppi a mis à jour le «budget social de la Suisse». L’année suivante, Eurostat a publié un nouveau manuel d’Essoss. Le BFS a adopté les directives méthodologiques de ce nouveau manuel en ce qui concerne la comparabilité des GRS suisses avec les factures globales des pays de l’UE un à un. En raison de cette méthodologie Essoss standardisée, certains domaines qui sont importants pour la politique sociale en Suisse doivent être exclus. Par exemple, les déductions fiscales avec une composante de politique sociale importante sont exclues du calcul global.

Les informations sur les finances de la sécurité sociale, selon les institutions (AHV, IV, etc.), sont transformées en millions de francs selon les institutions (AHV, IV, IV, etc.). Les valeurs et les indicateurs du GRSS ne sont indiqués qu’au niveau national. Les avantages sociaux calculés peuvent être divisés en huit besoins ou risques suivants (fonctions donc appelées): maladie / soins de santé, handicap, âge, survivants, famille et enfants, chômage, vivant et exclusion sociale. Ils forment le noyau réel de la méthodologie Essoss et permettent des comparaisons internationales détaillées. Mais également d’un point de vue national, ils montrent les risques et les besoins dans quelle mesure sont couvertes par les avantages sociaux de l’État providence. La plus grande partie des avantages sociaux (44%) ne s’applique plus à la fonction ancienne. Un bon trimestre (27%) des dépenses est utilisé dans le domaine de la maladie / des soins de santé. En troisième place, les avantages sociaux de la fonction d’invalidité suivent.

Le projet de loi global de sécurité sociale est rédigé chaque année par le Federal Statistics Office. La publication de l’année 2012 se concentre sur les différentes fonctions d’une part et d’autre part sur la comparabilité internationale. Par exemple, il s’avère que la Suisse (mesurée en force d’achat) est l’un des leaders absolus de la fonction de l’âge. En revanche, relativement peu d’avantages sociaux pour la fonction familiale / enfants sont présentés. De plus, le GRSS fait la distinction entre les avantages sociaux basés sur les besoins et non basés, par lesquels la partie la plus importante des services ne dépend pas des besoins de la fonction de l’âge (pensions anciennes du premier et deuxième pilier). La série chronologique des données existe depuis 1950. Cependant, les chiffres des quatre premières décennies sont basés sur des estimations, qui sont affectées par une certaine incertitude.

Le Federal Office for Social Insurance publie le projet de loi global de sécurité sociale (GRSV) [4] . Cela comprend les revenus et les dépenses des branches de sécurité sociale AHV, IV, EL, KV, UV, ALV, EO et FZ. Le GRSV permet principalement des analyses d’un point de vue national et peut répondre à des questions sur les institutions de sécurité sociale.

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  1. Système européen de statistiques de protection sociale intégrées. Résumé de la législation. Dans: Eur-flux. Bureau des publications de l’Union européenne, Consulté le 13 octobre 2021 .
  2. Bill total – Indicateurs – Données nationales et comparaisons internationales ( Mémento des Originaux du 17 novembre 2012 dans Archives Internet ) Info: Le lien d’archive a été utilisé automatiquement et non encore vérifié. Veuillez vérifier le lien d’origine et d’archiver en fonction des instructions, puis supprimez cette note. @d’abord @ 2 Modèle: webachiv / iabot / www.bfs.admin.ch
  3. Loi nationale des statistiques du 9 octobre 1992 (BSTATG)
  4. Office fédéral pour l’assurance sociale (BSV), Bill de sécurité sociale (GRSV) ( Mémento des Originaux à partir du 18 novembre 2016 Archives Internet ) Info: Le lien d’archive a été utilisé automatiquement et non encore vérifié. Veuillez vérifier le lien d’origine et d’archiver en fonction des instructions, puis supprimez cette note. @d’abord @ 2 Modèle: webachiv / iabot / www.bsv.admin.ch

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