[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/alfred-rochat-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/alfred-rochat-wikipedia\/","headline":"Alfred Rochat \u2013 Wikipedia","name":"Alfred Rochat \u2013 Wikipedia","description":"before-content-x4 Alfred Rochat (N\u00e9 le 17 avril 1833 \u00e0 Vevey, \u2020 le 13 mars 1910 \u00e0 Bex) \u00e9tait un romaniste","datePublished":"2022-03-12","dateModified":"2022-03-12","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/de.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","url":"https:\/\/de.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","height":"1","width":"1"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/alfred-rochat-wikipedia\/","wordCount":1140,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Alfred Rochat (N\u00e9 le 17 avril 1833 \u00e0 Vevey, \u2020 le 13 mars 1910 \u00e0 Bex) \u00e9tait un romaniste suisse. Il est devenu connu pour son amiti\u00e9 avec Conrad Ferdinand Meyer et sa coop\u00e9ration dans la Bible Elberfeld. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Rochat \u00e9tait le fils du pasteur de l’\u00e9glise libre Charles Rochat (1792-1838) et de son \u00e9pouse n\u00e9e en anglais Ann Eliza n\u00e9e Dorville (1797? \u20131837). D\u00e9j\u00e0 \u00e0 l’\u00e2ge de cinq ans, il a pass\u00e9 ses jours d’\u00e9cole \u00e0 T\u00fcbingen, o\u00f9 il est entr\u00e9 en contact avec les premiers d\u00e9buts du mouvement des fr\u00e8res allemands (il a v\u00e9cu dans la m\u00eame maison que Peter Nippel, 1848-1851 professeur de maison de la famille Grafferied et fondateur de la communaut\u00e9 de T\u00fcbingen). En 1853, Rochat a commenc\u00e9 \u00e0 \u00e9tudier la philologie \u00e0 Zurich, qu’il a achev\u00e9 en 1855 avec le doctorat. De 1856 \u00e0 1872, il a travaill\u00e9 comme conf\u00e9rencier priv\u00e9 pour la langue fran\u00e7aise et la litt\u00e9rature \u00e0 l’Universit\u00e9 de Zurich; Son objectif de recherche \u00e9tait sur la litt\u00e9rature du Moyen \u00c2ge et sur les dialectes romanes tels que la Provencal et le vieux ladin. \u00c0 la fin des ann\u00e9es 1850, Rochat a rencontr\u00e9 le po\u00e8te po\u00e8te po\u00e8te Ferdinand Meyer et s’est li\u00e9 d’amiti\u00e9 avec lui. Ensemble, ils ont commenc\u00e9 le Histoire romaine Pour traduire Theodor Mommens en fran\u00e7ais, qui a \u00e9chou\u00e9 en raison de difficult\u00e9s avec l’\u00e9diteur Hachette \u00e0 Paris. Meyer a souvent couru dans la maison de Rochats jusqu’au d\u00e9but des ann\u00e9es 1860 et a discut\u00e9 de ses plans po\u00e9tiques avec lui; La publication du Vingt ballades d’un suisse (1864) r\u00e9alis\u00e9 U. Cr\u00e9er chez Rochats. Rochat a fait Meyer, qui \u00e9tait revenu \u00e0 la foi chr\u00e9tienne apr\u00e8s une phase sceptique de plusieurs ann\u00e9es, avec la communaut\u00e9 de Zurich et d’autres groupes religieux libres. En 1872, Rochat a renonc\u00e9 \u00e0 son poste de professeur (sur lequel il ne d\u00e9pendait pas financi\u00e8rement) et s’est retir\u00e9 dans la vie priv\u00e9e. Il a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 Stuttgart et a de nouveau rejoint la communaut\u00e9 du fr\u00e8re. \u00c0 la fin des ann\u00e9es 1870, il a rencontr\u00e9 Rudolf Brockhaus, qui a termin\u00e9 son service militaire \u00e0 Stuttgart. Dans l’\u00e9diteur du p\u00e8re de Brockhaus, Carl, la Bible Elberfeld est apparue en 1871, et Rochat a propos\u00e9 de participer \u00e0 la r\u00e9vision n\u00e9cessaire de l’Ancien Testament (le Nouveau Testament a repris Emil D\u00f6nges, Rudolf Brockhaus lui-m\u00eame a travaill\u00e9 sur les deux testaments). La deuxi\u00e8me \u00e9dition compl\u00e8te \u00absoigneusement vue\u00bb de la Bible Elberfeld est apparue en 1891; D’autres \u00e9ditions ont suivi en 1898, 1901 et 1905. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4L’amiti\u00e9 de Rochat avec Conrad Ferdinand Meyer s’est refroidie pendant cette p\u00e9riode parce que ses int\u00e9r\u00eats s’\u00e9taient d\u00e9velopp\u00e9s trop \u00e9loign\u00e9s. Ils se sont toujours envoy\u00e9s leurs publications – Meyer a utilis\u00e9 le Rochat publi\u00e9 par Rochat Old Ledine Poem en Upper Engadine Dialect (1874) comme source pour son roman J\u00fcrg Jenatsch (1876), Rochat a fait \u00e0 Meyer plusieurs propositions de correction \u00e0 son amendement en 1880 Le Saint -, mais Meyer n’avait aucune compr\u00e9hension pour la vision litt\u00e9raire plus morale que l’esth\u00e9tique de Rochat; Dans une lettre \u00e0 sa s\u0153ur Betsy le 20 avril 1880, il \u00e9tait l’un des “esth\u00e9se [ische] sans instruction”, dont les jugements sont “presque des cheveux”. Apr\u00e8s la mort de Meyer en 1898, son biographe Adolf Frey a \u00e9galement demand\u00e9 \u00e0 Rochat des souvenirs du po\u00e8te. Le 6 janvier 1899, Rochat lui a envoy\u00e9 des informations que Frey a pris presque litt\u00e9ralement dans sa biographie. Livres [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c0 propos d’un Galois percheval auparavant inconnu. Un trait\u00e9 litt\u00e9raire-historique . Diss. Zurich 1855 Trois po\u00e8te suisse du XIIIe si\u00e8cle . Heidelberg 1856. Bertran de Born. \u00c9tude sur un po\u00e8te du douzi\u00e8me si\u00e8cle . Vevey 1859. Un po\u00e8me de vieille dame dans le dialecte sup\u00e9rieur d’Engadine . Zurich 1874. Essais [ Modifier | Modifier le texte source ]] “\u00c0 propos de la source de la chanson allemande Alexander”. Dans: Allemagne 1 (1856), S. 273\u2013290. “Wolfram von Eschenbach et Chrestiens de Troyes”. Dans: Allemagne 3 (1858), S. 81\u2013120. “Le parzival allemand, le conte del Graal et le concours de Chrestien”. Dans: Allemagne 4 (1859), S. 414\u2013420. \u201e\u00c9tude sur le vers d\u00e9casyllabe dans la po\u00e9sie fran\u00e7aise au moyen \u00e2ge\u201c. In: Annuaire pour les litt\u00e9ratures romanes et anglaises 11 (1869), S. 65\u201393. Adolf Frey: Conrad Ferdinand Meyer. Sa vie et ses \u0153uvres. Cotta, Stuttgart 1900. S. 134\u2013136. Adolf Frey (\u00e9d.): Lettres Conrad Ferdinand Meyers. En plus de ses critiques et essais. Haessel, Leipzig 1908. Bd. 2, S. 95. Ernst Eylenstein: \u00abCarl Brockhaus. Une contribution \u00e0 l’histoire de l’origine du starbysme en Allemagne \u00bb. Dans: Journal of Church History 56, NF 9 (1927), S. 275\u2013312, Hier 287, 292f. L’Universit\u00e9 de Zurich 1833-1933 et ses pr\u00e9curseurs. Publication comm\u00e9morative pour la c\u00e9l\u00e9bration du si\u00e8cle. \u00c9dit\u00e9 par le taux d’\u00e9ducation du canton de Zurich. \u00c9dit\u00e9 par Ernst Gagliardi, Hans Nabholz et Jean Strohl. \u00c9diteur de la Direction de l’\u00e9ducation, Zurich 1938. p. 491, 719, 987. Maria Nils: Betsy, la s\u0153ur Conrad Ferdinand Meyers. Huber, Frauenfeld \/ Leipzig 1943. p. 98, 100. David A. Jackson: Conrad Ferdinand Meyer avec des estimons auto-testimoniaux et des documents d’image. Monographie de Rowohlt 238. Rowohlt, Reinbek 1975. pp. 50, 86. Conrad Ferdinand Meyer: \u0152uvres compl\u00e8tes. \u00c9dition historique-critique. Lit avec Hans Zeller et Alfred Z\u00e4ch. Benteli, Berne 1958-1996. Vol. 6, p. 437, 459; Vol. 13, p. 291; Vol. 15, p. 771f. C. F. Correspondance Meyers. \u00c9dition historique-critique. \u00c9dit\u00e9 par Hans Zeller. Vol. 3: Conrad Ferdinand Meyer – Friedrich von Wy\u00df et Georg von Wy\u00df. Lettres 1855 \u00e0 1897. Benteli, Bern 2004. S. 307. C. F. Correspondance Meyers. \u00c9dition historique-critique. \u00c9dit\u00e9 par Wolfgang Lukas et Hans Zeller. Vol. 4.3: Correspondance de publication. Conrad Ferdinand Meyer, Betsy Meyer – Hermann Haessel avec des lettres associ\u00e9es et des documents de publication. Lettres 1880 \u00e0 1882. Wallstein, G\u00f6ttingen 2015. pp. 31, 36, 38f., 41f., 49, 365. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/alfred-rochat-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Alfred Rochat \u2013 Wikipedia"}}]}]