[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/anancus-wiwikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/anancus-wiwikipedia\/","headline":"Anancus – Wiwikipedia","name":"Anancus – Wiwikipedia","description":"before-content-x4 Anancus (De grec: un- = un- et lat.: ancus = incurv\u00e9) est un genre \u00e9teint des animaux du tronc","datePublished":"2020-11-02","dateModified":"2020-11-02","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/4\/4a\/Pictogram_voting_info.svg\/15px-Pictogram_voting_info.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/4\/4a\/Pictogram_voting_info.svg\/15px-Pictogram_voting_info.svg.png","height":"15","width":"15"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/anancus-wiwikipedia\/","wordCount":2858,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Anancus (De grec: un- = un- et lat.: ancus = incurv\u00e9) est un genre \u00e9teint des animaux du tronc et est sorti de la Gomptheria. Une distinction est faite entre dix types. Anancus Avec plus de 3,5 m\u00e8tres de hauteur d’\u00e9paule, faisant partie des plus grands genres des animaux de tronc et vivait il y a environ 7 \u00e0 2 millions d’ann\u00e9es. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Anancus \u00c9tait une grande proboscis et, par rapport \u00e0 la Gomptheria, avait d\u00e9j\u00e0 des caract\u00e9ristiques beaucoup plus d\u00e9velopp\u00e9es en direction des vrais \u00e9l\u00e9phants (Elephantidae). Il avait donc un cr\u00e2ne court avec un toit de cr\u00e2ne en forme de convexe et significativement plus \u00e9lev\u00e9 qu’avec ses parents tribaux-historiquement plus \u00e2g\u00e9s. Les alv\u00e9oles des d\u00e9fenses sup\u00e9rieures se tenaient dans un angle clair les uns contre les autres, les d\u00e9fenses elles-m\u00eames ont atteint jusqu’\u00e0 3 m de longueur. La m\u00e2choire inf\u00e9rieure a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9rablement raccourcie, ce qui signifiait que les dents de fermentation inf\u00e9rieures typiques de la Gompsheria \u00e9taient ralentis ou manquantes. [d’abord] [2] Le bit a \u00e9t\u00e9 caract\u00e9ris\u00e9 par trois molaires de Bunodonte dans chaque charge de m\u00e2choire. Les deux molaires avant avaient chacune quatre bandes avec des dents hautes fondantes aux extr\u00e9mit\u00e9s, tandis que la derni\u00e8re molaire avait cinq ou six bandes. Frappant avec les dents Anancus \u00c9tait que ces bandes n’\u00e9taient pas en continu, mais divis\u00e9es (demi-joche) et compens\u00e9es alternativement. Les deux derniers pr\u00e9molaires ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 form\u00e9s aux dents du lait. [3] [2] Les dents de la d\u00e9fense \u00e9taient presque compl\u00e8tement droites, ce qui a donn\u00e9 son nom au genre de rev\u00eatement et jusqu’\u00e0 3 m de long parmi les plus grands repr\u00e9sentants. Leur section crois\u00e9e en grande partie ronde diff\u00e9rait des d\u00e9fenses de la gomptheria, qui montraient souvent des compressions horizontales ou verticales. Une copie trouv\u00e9e dans les Siwaliks (Pakistan) en 2004 a montr\u00e9 une longueur de 2,72 m \u00e0 un maximum de 17,2 cm. [4] Les notables sont remarquables dans la section crois\u00e9e Lignes Schreger , Structures claires en forme de rosette et de couleur fonc\u00e9e qui remontent \u00e0 un changement r\u00e9gulier de la teneur en collag\u00e8ne dans la dentine. Ces structures sont \u00e9galement disponibles chez d’autres animaux de tronc avec de grandes d\u00e9fenses, telles que les \u00e9l\u00e9phants d’aujourd’hui, le mammouth, mais aussi avec des mastodontes. Les angles avec lesquels les lignes se rencontrent r\u00e9guli\u00e8rement Anancus Il est caract\u00e9ristique de ceux d’autres types de tronc. [4] [5] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La zone de distribution de Anancus comprenaient de larges zones de l’ancien monde. La proboscis \u00e9tait r\u00e9pandue dans toute l’Eurasie et a p\u00e9n\u00e9tr\u00e9 en Angleterre dans le nord, \u00e0 l’est, il a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9 sur les \u00eeles japonaises. [4] Il s’est \u00e9galement produit relativement souvent en Asie centrale. [6] De plus, Anancus \u00c9galement d\u00e9tect\u00e9 en Afrique du Nord et de l’Afrique centrale, mais il a disparu de la derni\u00e8re r\u00e9gion relativement t\u00f4t. [7] En Europe centrale, il y a des trouvailles de Anancus un peu rare. Ils sont d\u00e9tect\u00e9s dans les s\u00e9diments du Mioc\u00e8ne sup\u00e9rieur et du plioz\u00e8ne Rheinhessen et Hessens. La formation de Dorn-D\u00fcrkheim et le soi-disant gravier d’Arvernensis du bassin de Maiz sont des zones particuli\u00e8rement importantes ici. [2] Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, dix types de Anancus d\u00e9crit. Leur ind\u00e9pendance taxonomique n’est pas toujours s\u00e9curis\u00e9e, car, selon certains pal\u00e9ontologues, c’est aussi des synonymes. Devient ainsi Anancus Osiris \u00e9galement en tant que synonyme de Anancus kenyensis ou Anancus Alexevae en tant que tel de Anancus arvernensis vu. [8] [4] [9] Anancus Alexevae Baigusheva , 1971, Oberes Plioz\u00e4n, Europe; Anancus arvernensis ( Croizet & Bordereuse , 1828), type, Plioz\u00e4n au Pl\u00e9istoc\u00e8ne inf\u00e9rieur, Europe; Anancus capensis ( Palette , 2007); Anancus kazachstanensis ( Auberkova , 1974), Upper Plioz\u00e4n, Asie centrale; Anancus kenyensis ( Macinnes , 1942), Mioc\u00e8ne tardif d’Afrique centrale et d’Est, Plioz\u00e8ne d’Afrique du Nord; Anancus Osiris ( Arambourg , 1945), Plioz\u00e4n, Afrique du Nord; Anancus p\u00e9rimensis ( Fauconnier & Catetley , 1847), Asie du Sud (Siwaliks, Inde); Anancus Petrocchii ( Gigogne , 1965), Oberes Mioc\u00e8ne, Afrique du Nord; Anancus sinensis ( Bois de houblon , 1935), Plioz\u00e4n, Asie de l’Est; Ancus sivalensis ( Catetley , 1837), Plioz\u00e8ne Asie du Sud (Siwaliks, Pakistan). Anancus est apparu pour la premi\u00e8re fois \u00e0 la fin du Mioc\u00e8ne il y a environ 7 millions d’ann\u00e9es et a remplac\u00e9 T\u00e9tralophodon , \u00e0 partir de laquelle il est probablement descendu. Les deux genres sont \u00e9troitement li\u00e9s \u00e0 la Gomptheria. En raison de leur structure frappante des molaires avant avec quatre bandes horizontales, ils sont \u00e9galement appel\u00e9s gomptheria “t\u00e9tralophodonte”, tandis que les chercheurs attribuent la v\u00e9ritable gomptheria plus ancienne aux “trilophodontes”. La structure des dents de Bunodont sugg\u00e8re un mangeur de feuilles sp\u00e9cialis\u00e9 (navigateur). [7] Certains des derniers repr\u00e9sentants, comme Anancus Alexevae mais a \u00e9galement montr\u00e9 des ajustements aux paysages ouverts. [4] Dans le Pl\u00e9istoc\u00e8ne inf\u00e9rieur il y a environ 1,8 million d’ann\u00e9es, Anancus encore. L’extinction de ce cordonnier est probablement la cause des changements climatiques \u00e0 la transition de Plioz\u00e4n au Pl\u00e9istoc\u00e8ne, qui a favoris\u00e9 la propagation des paysages ouverts avec la formation des steppes en grande partie de l’Eurasie. [7] [4] Auguste Aymard, conservateur du Mus\u00e9e Crozatier au L\u00e9jure en France, dans la premi\u00e8re moiti\u00e9 du 19e si\u00e8cle dans la r\u00e9gion de la ville a fait des d\u00e9couvertes de dents et d’os de mastodontes, y compris une esp\u00e8ce qu’il a plus tard Anancus macroplus appel\u00e9. Un os du m\u00e9tacarpe et de deux dents de repas \u00e9taient en 1847 Bulletin de la Soci\u00e9t\u00e9 G\u00e9ologique de France d\u00e9crit, mais sans nommer le nom Anancus . [dix] La pal\u00e9ontologie \u00e9tait encore dans sa phase initiale \u00e0 l’\u00e9poque et elle a donc \u00e9t\u00e9 compil\u00e9e par une liste des esp\u00e8ces d\u00e9couvertes par Auguste Aymard \u00e0 l’occasion d’une r\u00e9union de l’Acad\u00e9mique soci\u00e9t\u00e9 en janvier 1855 [11] ainsi qu’une mention dans les \u00e9crits des Congr\u00e9s Scientifique de France 1855, [douzi\u00e8me] Cependant, aucune premi\u00e8re description valide du genre Anancus ou le type Anancus macroplus . Avec d’autres premiers mammif\u00e8res du Pl\u00e9istoc\u00e8ne de l’Auvergne, les fossiles des mastodontes ont \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9s dans le Croizet du Mus\u00e9e. En 1859, Edouard a compar\u00e9 celui Anancus macroplus dents \u00e9tiquet\u00e9es avec celles de Mastodon arvernensis Cela a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crit en 1828 par Jean-Baptiste Croizet et Antoine Claude Gabriel Jobert. Bien que Croizet et Jobert n’aient trouv\u00e9 que les dents de lait, Lartet a d\u00e9couvert qu’ils construisaient le m\u00eame b\u00e2timent que celui de Anancus macroplus avait. [13] Le pr\u00e9c\u00e9demment d\u00e9couvert Mastodon arvernensis \u00c9tait donc le type de type de genre Anancus Et le nom aussi Anancus arvernensis nouvellement combin\u00e9. Comme une ann\u00e9e de la premi\u00e8re description de Anancus est g\u00e9n\u00e9ralement donn\u00e9 en 1855, mais de nombreux pal\u00e9ontologues sont d’avis que ce genre n’\u00e9tait valable qu’en 1859 par les travaux de Lartet. [14] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4\u00c0 l’origine tu as vu Anancus comme un genre au sein de la Gomptheria de la surfamille de Gomphotheridea. Bas\u00e9 sur des enqu\u00eates r\u00e9centes, notamment De Jeheskel Shoshani et Pascal Tassy, \u200b\u200bcependant, il a \u00e9t\u00e9 transf\u00e9r\u00e9 de ce groupe et, en raison de son b\u00e2timent de cr\u00e2ne plus moderne, il a \u00e9t\u00e9 plac\u00e9 \u00e0 la base de la surfamille Elephantoidea, qui comprend \u00e9galement les Gompsheries, qui comprend \u00e9galement les \u00e9l\u00e9phants de Stegodonten et d’aujourd’hui. Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 affect\u00e9 \u00e0 une certaine famille (la famille Incertae Sedis). [15] [7] Cependant, certains pal\u00e9ontologues restent avec la structure traditionnelle et partent Anancus avec la Gomptheria. [4] \u2191 M. P. Ferretti und R. V. Tailor: Morphologie fonctionnelle et \u00e9cologie des proboscidiens de Villafranchiens du centre de l’Italie. Dans: G. Cavarretta et al. (Hrsg.): Le monde des \u00e9l\u00e9phants – Congr\u00e8s international. Conseil national de recherche (ROM), 103\u2013108 \u2191 un b c Ursula B. G\u00f6hlich: Urefans tertiaires d’Allemagne. Dans: Harald Meller (\u00e9d.): Royaume d’\u00e9l\u00e9phant – Un monde fossile en Europe. Halle \/ Saale, 2010, pp. 362\u2013372 \u2191 V.V. Titov: Grands mammif\u00e8res du Plioc\u00e8ne tardif de la Zele-East Azov. (Rostov am Don) 2008 \u2191 un b c d C’est F g Muhammad Akbar Khan, George Iliopoulos, Muhammad Akhtar, Abdul Ghafffar et Zubaid-ul-Haq: La plus longue d\u00e9fense de cf. Anancus sivalensis (Proboscidea, Mammalia) de la formation Tatrot des Siwaliks, Pakistan. Current Science 100 (2), 2011, S. 249\u2013255 \u2191 Maria Rita Palombo: Identification d’Elephantinae au moyen de sch\u00e9mas Schreger. Copie archiv\u00e9e ( M\u00e9mento des Originaux \u00e0 partir du 18 juin 2007 Archives Internet ) Info: Le lien d’archive a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 automatiquement et non encore v\u00e9rifi\u00e9. Veuillez v\u00e9rifier le lien d’origine et d’archiver en fonction des instructions, puis supprimez cette note. @d’abord @ 2 Mod\u00e8le: webachiv \/ iabot \/ www.incentives.uni-ainz.de \u2191 I. A. Vislobokova und M. V. Sotnikova: Faunas Plioc\u00e8ne avec des proboscidiens de l’ancienne Union sovi\u00e9tique. Dans: G. Cavarretta et al. (Hrsg.): Le monde des \u00e9l\u00e9phants – Congr\u00e8s international. Conseil national de recherche (ROM), 157\u2013160 \u2191 un b c d Jan van der Made: L’\u00e9volution des \u00e9l\u00e9phants et de leurs proches dans le contexte d’un climat et d’une g\u00e9ographie changeants. Dans: Harald Meller (\u00e9d.): Royaume d’\u00e9l\u00e9phant – Un monde fossile en Europe. Halle \/ Saale, 2010, pp. 340\u2013360 \u2191 E. Barbe suisse: Nouvel Annuaire pour la g\u00e9ologie et la pal\u00e9ontologie : Livrets mensuels: Volume 1996, num\u00e9ro 1. pp. 710\u2013711 \u2191 Karol Schauer: Notes et sources sur l’\u00e9volution de la Proboscidea en Afrique et en Asie. Dans: Harald Meller (\u00e9d.): Royaume d’\u00e9l\u00e9phant – Un monde fossile en Europe. Halle \/ Saale, 2010, p. 630\u2013650 \u2191 Soci\u00e9t\u00e9 G\u00e9ologique de France: S\u00e9ance du 11. janvier 1847. Bulletin de la Soci\u00e9t\u00e9 G\u00e9ologique de France, 2e s\u00e9r., IV, 1, S. 405\u2013421, 1847, S. 414\u2013415 \u2191 J. Dorlhac: Crat\u00e8re du Coupet . Annales de la Soci\u00e9t\u00e9 d’agriculture, sciences, arts et commerce du Puy, XIX, S. 497\u2013517, (1854), 1855, S. 507 \u2191 Congr\u00e9s Scientifique de France 1855. I, 1856, p. 241 et p. 271 \u2191 Edouard Lartet: Sur la dentition des proboscidiens fossiles (\u2033Dinotherium\u2033, mastodontes et \u00e9l\u00e9phants), et sur la distribution de leurs d\u00e9bris en Europe . Bulletin de la Soci\u00e9t\u00e9 g\u00e9ologique de France, s\u00e9ance du 21 mars 1859. 2e s\u00e9rie. T. XVI, S. 469\u2013516, 1859, S. 493 \u2191 Henry Fairfield Osborn: Proboscidea: une monographie de la d\u00e9couverte, de l’\u00e9volution, de la migration et de l’extinction des mastodontes et des \u00e9l\u00e9phants du monde. 1936, S. 631 \u2191 Jeheskel Shoshani und Pascal Tassy: Progr\u00e8s en taxonomie et classification proboscidiens, anatomie et physiologie et \u00e9cologie et comportement. Quaternaire International 126\u2013128, 2005, S. 5-20 Alan Turner, Mauricio Ant\u00f3n: \u00c9volution d’Eden. Un guide illustr\u00e9 sur l’\u00e9volution de la grande faune des mammif\u00e8res africains. Columbia University Press, New York NY 2004, ISBN 0-231-11944-5 Jordi Augusti, Mauricio Ant\u00f3n: Mammouths, sabertooths et hominid\u00e9s. 65 millions d’ann\u00e9es d’\u00e9volution des mammif\u00e8res en Europe. Columbia University Press, New York NY U. un. 2002, ISBN 0-231-11640-3. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/anancus-wiwikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Anancus – Wiwikipedia"}}]}]