[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/banksprachen-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/banksprachen-wikipedia\/","headline":"Banksprachen – Wikipedia","name":"Banksprachen – Wikipedia","description":"before-content-x4 La distribution approximative des langues Bantus (orange) et des autres familles de langues africaines. Les langues Bantus (gris-vert) dans","datePublished":"2022-01-06","dateModified":"2022-01-06","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/2\/23\/African_language_families_de.svg\/320px-African_language_families_de.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/2\/23\/African_language_families_de.svg\/320px-African_language_families_de.svg.png","height":"347","width":"320"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/banksprachen-wikipedia\/","wordCount":15015,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 La distribution approximative des langues Bantus (orange) et des autres familles de langues africaines. Les langues Bantus (gris-vert) dans les langues du Congo du Niger Le Bantprachen Formez un sous-groupe de la branche Volta Congo des langues du Congo du Niger africain. Il y a environ 500 langues Bantus qui sont parl\u00e9es d’environ 200 millions de personnes. Ils sont r\u00e9pandus dans toute l’Afrique du Moyen et du Sud et les langues les plus parl\u00e9es dans tous les pays, quoique en tant que langue officielle, sont g\u00e9n\u00e9ralement utilis\u00e9es en anglais, en fran\u00e7ais ou en portugais. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans le nord-ouest, la r\u00e9gion de Bantu borde les autres langues du Congo du Niger, dans le nord-est de Nilosaharian et Afroasien (plus pr\u00e9cis\u00e9ment s\u00e9mitique et custititique). Dans le sud-ouest, les langues Khois forment une enclave dans la zone Banttu (voir carte). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La science des langues de Bantus et des cultures et des peuples associ\u00e9s devient Aider appel\u00e9. Il s’agit d’une sous-zone d’\u00e9tudes africaines. La d\u00e9signation Aider \u00e9tait (dans l’orthographe B\u00e2-ntu ) Introduit par W.H. I. Bleek en 1856 dans la discussion linguistique comme nom pour le groupe de langue africaine.C’\u00e9tait une reconstruction du terme suspect\u00e9 pour les \u00abhumains\u00bb dans la pr\u00e9forme commune suppos\u00e9e de ces langues. Le pr\u00e9fixe de classe nominale se dresse pas- Pour “les gens, les gens, les gens” et la racine -tu- Pour toute; n’importe quel “. [2] Dans les ann\u00e9es 1980, un groupe de linguistes sud-africains a provoqu\u00e9 la critique, le nom Aider Il ne convient donc pas comme nom pour une famille de langues, le pr\u00e9fixe pas- se r\u00e9f\u00e8re uniquement aux gens tandis que les langues avec le pr\u00e9fixe pour- devrait \u00eatre mentionn\u00e9 pour des objets culturels.La famille des langues doit donc \u00eatre Quelque chose \u00eatre renomm\u00e9. Le mot quelque chose Existe r\u00e9ellement dans certaines langues de Bantus, mais a une importance tr\u00e8s g\u00e9n\u00e9rale des “choses”, parfois m\u00eame avec des nuances de sens d\u00e9sobligeantes. [3] Le terme Quelque chose a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 de temps en temps en Afrique du Sud au moins jusqu’aux ann\u00e9es 1990, mais n’a pas pr\u00e9valu \u00e0 l’international. [4] La langue Bantus la plus connue et la plus fr\u00e9quemment parl\u00e9e est le Swahili (\u00e9galement Suaheli, Kiswahili ou Kisuaheli). Le tableau suivant contient toutes les langues Bantus avec au moins 3 millions de locuteurs et donne une estimation du nombre de ses haut-parleurs, leur classification au sein du Syst\u00e8me de guthrie (voir ci-dessous) et sa principale zone de distribution.Certaines de ces langues sont si appel\u00e9es Langue commune qui non seulement a appris dans une langue maternelle (en premi\u00e8re langue), mais qui sont \u00e9galement acquis par de nombreux orateurs comme une deuxi\u00e8me ou une langue tierce afin de permettre la communication dans un domaine plus large \u00e0 travers les limites de la langue des groupes ethniques individuels. Bantus Languages \u200b\u200bavec au moins 3 millions de locuteurs Langue Alternative Nombre de conf\u00e9renciers (en million) Zone guthrie Zone de distribution principale Swahili Suheli, Kisuuel 80 (2005) [5] G40 Tansanie, Kenie, Ouganda, Ruanda, Burundi, Congo [L 1] , Mozambique Shona Anglais 12 (2007) [6] S10 Zimbabwe, Sambie zoulou Isizulu 16 (2002) [7] S40 Afrique S\u00fcd, Lesotho, Swatini, Malawi Lagune Chichewa 12 (2007) [8] N30 Malawi, Saki touch\u00e9 Lingala les insultes 25 (2010) [9] C40 Kongo [L 1] , Kongo-Brazzaville [L 2] Rwanda Kinyarwanda 10 (2007) [dix] J60 Ruanda, Burundi, Ouganda, Congo [L 1] Xhosa Xhosa 19 (2015) [11] S40 S\u00fcdafrika, Lesotho Luba-kasa\u00ef Enfant 7 (1991) [douzi\u00e8me] L30 Kongo [L 1] Kikuyu Gikuyu 6.6 (2009) [13] E50 Kenya Kituba \u00catre 5 H10 Kongo [L 1] , Kongo-Brazzaville [L 2] (Langue cr\u00e9ole bas\u00e9e sur le Congo) Beaut\u00e9 Anglais 5 j1 Ouganda Rundi Kirundi 5 J60 Burundi, Ruanda, Ouganda Michuwa P\u00e8re 5 P30 Mozambique Sotho ANGLAIS 5 S30 Lesotho, S\u00fcdafrika Tswana D\u00e9cors 5 S30 Botswana, S\u00fcd Africa Mucus Meubles 4 R1 Angola (Benguela) Pieds Anglais, Nord-Sotho 4 S30 S\u00fcd Afrika, Botswana Lauyia Luluyia 3.6 J30 Kenya Bemba Bifurquer 3.6 M40 Sambie, Congo [L 1] Tsonga L’anglais 3.3 S50 Afrique du Sud, Mozambique, Zimbabwe Imaginer Pousser 3.2 F20 Tanzanie Cha\u00eene Crocodile 3 E20 Kenya Mucus Kimbundu 3 H20 Angola (Luanda) \u2191 un b c d C’est F “Congo” repr\u00e9sente le R\u00e9publique D\u00e9mocratique du Congo \u2191 un b “Kongo-Brazzaville” pour le R\u00e9publique du Congo Les pr\u00e9fixes de classe pour les noms de langue (par exemple Ki-, kinya-, chi-, lu-, se-, isi- ) ne sont g\u00e9n\u00e9ralement plus utilis\u00e9s dans la litt\u00e9rature linguistique. Dans cet article \u00e9galement, le formulaire court est utilis\u00e9 sans pr\u00e9fixe, c’est-\u00e0-dire B. Beaut\u00e9 au lieu de Anglais . (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Il existe de nombreuses autres langues Bantus avec plus d’un million de locuteurs. Pour la plupart des langues, il n’y a aucune estimation pr\u00e9cise du nombre de locuteurs.L’appendice “Bantus Languages \u200b\u200bAfter Guthrie” \u00e0 la fin de cet article offre un aper\u00e7u des langues Bantus avec au moins 100 000 haut-parleurs. Table of ContentsL’histoire de la recherche et la position d’aujourd’hui des langues de Bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Aper\u00e7u de l’histoire de la recherche [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9veloppement des th\u00e9ories sur l’origine des langues Bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Richard Lepsius [ Modifier | Modifier le texte source ]] August Schleicher [ Modifier | Modifier le texte source ]] Carl Meinhof [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diedrich Westermann et Joseph Greenberg [ Modifier | Modifier le texte source ]] La position des langues de Bantus dans le Congo du Niger [ Modifier | Modifier le texte source ]] Urheimat des langues bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Extension des peuples bantou [ Modifier | Modifier le texte source ]] Phonologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Nominalmorphologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Classes nominales [ Modifier | Modifier le texte source ]] Exemples de classes nominales [ Modifier | Modifier le texte source ]] Adjectifs et concordance dans la phrase nominale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Concordance du sujet et du pr\u00e9dicat [ Modifier | Modifier le texte source ]] Construction possessive [ Modifier | Modifier le texte source ]] Classe et signification [ Modifier | Modifier le texte source ]] Pronomina [ Modifier | Modifier le texte source ]] Num\u00e9ro de mots [ Modifier | Modifier le texte source ]] Verbalmorphologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9rivations verbales, aspect et tempus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Construction verbale dans le swahili [ Modifier | Modifier le texte source ]] Nordwest-Bantu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Zentral-s\u00fcd-bandou [ Modifier | Modifier le texte source ]] Bantprachen [ Modifier | Modifier le texte source ]] Langues africaines [ Modifier | Modifier le texte source ]] Lexique [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’histoire de la recherche et la position d’aujourd’hui des langues de Bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Aper\u00e7u de l’histoire de la recherche [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e8s 1659, Giacinto Brussiotto a publi\u00e9 une grammaire latine du langage Congo. Wilhelm Bleek a d\u00e9crit pour la premi\u00e8re fois les classes nominales des langues Bantus (voir ci-dessous) et a fa\u00e7onn\u00e9 le terme Aider . Carl Meinhof a d\u00e9velopp\u00e9 sa premi\u00e8re grammaire comparative (1901). Malcolm Guthrie l’a class\u00e9 en 1948 et l’a divis\u00e9 en 16 zones g\u00e9ographiques en 1967-1971, ce qu’il a fait r\u00e9f\u00e9rence avec les lettres A – S (sans i, o, q). Dans ces zones, les langues sont regroup\u00e9es et num\u00e9rot\u00e9es en dix unit\u00e9s (voir: Classification des langues Bantus selon Guthrie). Guthrie a \u00e9galement reconstruit le Proto-Bantu en tant que pr\u00e9d\u00e9cesseur hypoth\u00e9tique de toutes les langues Bantus d’aujourd’hui. Joseph Greenberg a class\u00e9 le Bantugruppe comme une sous-sous-unit\u00e9 des langues du Congo du Niger (voir ci-dessous). Auparavant, les langues de Bantus, en particulier Carl Meinhof et ses \u00e9l\u00e8ves, \u00e9taient consid\u00e9r\u00e9es comme leur propre famille de langues, qui ont \u00e9t\u00e9 compar\u00e9es aux discours Sud dans la zone de distribution des langues africaines noires. D\u00e9veloppement des th\u00e9ories sur l’origine des langues Bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Depuis 1860, de nombreux chercheurs en langues sont aux prises avec la question d’origine (maison originale) et l’\u00e9mergence des langues de Bantus. Certaines hypoth\u00e8ses historiquement importantes sont r\u00e9pertori\u00e9es ici afin de faire le processus difficile jusqu’\u00e0 l’explication d’aujourd’hui du Bantu en tant que sous-unit\u00e9 des langues du Congo du Niger. Richard Lepsius [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’\u00e9gyptologue Richard Lepsius est all\u00e9 \u00e0 la sienne en 1880 Grammaire nubienne En Afrique \u00e0 partir de trois zones linguistiques, par laquelle il n’a pas pris en compte le groupe khoisan: (1) les langues de Bantus en Afrique australe, la langue des “n\u00e8gres” r\u00e9elles, (2) les “langues n\u00e8gres” entre l’\u00e9quateur et le Sahara, les langues soudanaises, (3) Hamitique (\u00c9gyptien (Egyptien, cushite, berbe) en Afrique du Nord. Les principales caract\u00e9ristiques de ces groupes de langues sont le syst\u00e8me de classe du syst\u00e8me de plaisir de Bantu et Hamiten, qui a immigr\u00e9 de l’Asie occidentale en Afrique. Par leur p\u00e9n\u00e9tration, ils ont pouss\u00e9 des parties de la population pr\u00e9c\u00e9dente vers l’Afrique du Sud (juste le Bantu, qui a gard\u00e9 leur forme de langue “pure”); D’autres groupes se sont m\u00e9lang\u00e9s aux Hamites et ont form\u00e9 des langues mixtes – le Sudlanden – qui n’avait pas de syst\u00e8me de classe ni de g\u00e9not prononc\u00e9. Il a d\u00e9crit sa grammaire comme “informelle”, “dos” et “flipp\u00e9”. August Schleicher [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le August-europ\u00e9en, August Schleicher, a eu une id\u00e9e compl\u00e8tement diff\u00e9rente qu’il a publi\u00e9 en 1891. \u00c0 son avis, l’Afrique \u00e9tait initialement inhabit\u00e9e et a \u00e9t\u00e9 peupl\u00e9e en quatre grandes vagues d’Asie du Sud-Ouest: Le “Buschm\u00e4nner” (en fait SAN) et “Hottentots” (en fait Khoikhoi) Le “Negervolker” du Soudan, les “Nigriters”, appel\u00e9s So, Mourir Les “Hamites”. Il a suppos\u00e9 que les Nigrites soudaniens avaient d\u00e9j\u00e0 eu un syst\u00e8me de classe rudimentaire et imparfait, que les peuples bantou ont ensuite termin\u00e9 et prononc\u00e9. Pour lui, le Nigrid ou le Soudanien \u00e9tait un pr\u00e9curseur \u00e9volutif du Bantu, et non le r\u00e9sultat de la d\u00e9composition comme avec Lepsius. Carl Meinhof [ Modifier | Modifier le texte source ]] Entre 1905 et 1935, l’Africaniste Carl Meinhof a dit \u00e0 plusieurs reprises sur la cr\u00e9ation des langues de Bantus; Il contraste clairement avec les hypoth\u00e8ses de Lepsius et Schleicher. Pour lui, ce n’est pas la langue Bantus, mais les discours Sud sont originaux nibritiques. Bantu est un langage mixte avec une \u00abm\u00e8re\u00bb nibritique (substrat) et un \u00abp\u00e8re\u00bb hamitique (superstrate). Selon Meinhof, le r\u00e8glement de l’Afrique a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9 en trois couches linguistiques: (1) les discours Nigrical Sud, (2) les langues hamitiques et (3) les langues Bantus comme une forme mixte de la nigrea et du hamitique. Diedrich Westermann et Joseph Greenberg [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diedrich Westermann a initialement suppos\u00e9 que les \u00e9tudiants de Meinhof d’un substrat nigral commun des langues du Soudan et de Bantus. \u00c0 partir de 1948, cependant, il provenait de plus en plus du soulagement primaire g\u00e9n\u00e9tique du occidental Les discours Sud et les langues de Bantus convaincent comment il a pr\u00e9sent\u00e9 dans plusieurs publications. Il a pr\u00e9par\u00e9 le sol \u00e0 l’approche du Congo du Niger de Greenberg. Joseph Greenberg a constamment poursuivi les approches de Westermann et a \u00e9tabli en 1949 le congo-phylum du Niger en tant que famille de grandes langues en Afrique de l’Ouest et du Sud, qui est incluse dans les langues de Bantus et qui a \u00e9merg\u00e9 d’un noyau nigridien de Nudan occidental. La structure de cette famille a chang\u00e9 plusieurs fois depuis cette approche originale; La derni\u00e8re version de Greenberg est son travail “Langues of Africa” \u200b\u200bde 1963. Apr\u00e8s Greenberg \u00e9galement, la structure interne du phylum du Congo du Niger a \u00e9t\u00e9 modifi\u00e9e plusieurs fois (voir les langues du Niger Congo), mais toutes les versions – \u00e9galement l’unit\u00e9 actuelle (par exemple Heine-Nurse 2000) – que les langues Bantus sont une unit\u00e9 inf\u00e9rieure du Congo du Niger, qui sont \u00e9troitement li\u00e9es aux langues banto\u00efdes soi-disant de l’est de l’est. La position des langues de Bantus dans le Congo du Niger [ Modifier | Modifier le texte source ]] La grande importance des langues de Bantus dans les langues du Congo du Niger (et donc dans le contexte des langues africaines en g\u00e9n\u00e9ral) montrent les figures suivantes: Sur environ 1400 langues du Niger Congo, 500 appartiennent au Bantugruppe; C’est plus d’un tiers. Sur les environ 350 millions de locuteurs d’une langue du Congo du Niger, 200 millions de 60% – ont un langage Bantus. N\u00e9anmoins, selon les r\u00e9sultats d’aujourd’hui, qui sont principalement bas\u00e9s sur les travaux de Joseph Greenberg, le Bantugruppe n’est qu’une unit\u00e9 de sous-inconnue du Congo du Niger. La position exacte du groupe bantou dans les langues du Congo du Niger montre le diagramme g\u00e9n\u00e9tique quelque peu simplifi\u00e9 suivant: Position des Bantu innerhalb des Niger-Kongo Niger-Kongo Cordon Demander atlantique Long Ijoid Volta-CongoNord-volant\u00c9quipage Gur (Voltaian) Senufo Adamawa-Difice S\u00fcd-volta-kongoPour Benue-CongoWest-Benue-Congo OST-BRENUE-KONGOPlatoid (Zentral-Nigerianisch)Bantoid-Cross-RiverCross-RiverBantoidNord-BantoidS\u00fcd-Bantoiddiverse kleinere GruppenGraslandBantuLa ligne de filiation complexe des langues Bantus est donc avec tous les membres interm\u00e9diaires: Niger-Kongo > Volta-Kongo> S\u00fcd-Volta-Kongo> Benuue-Kongo Banto\u00efde – Cross River> Banto\u00efde> S\u00fcd-Banto\u00efde> Aider . Pour la classification d\u00e9taill\u00e9e des langues Bantus au sein des groupes Guthrie avec sp\u00e9cification des nombres du porte-parole, voir la section \u00e0 la fin de l’article “Bantus Languages \u200b\u200bAfter Guthrie Zones” (pour les langues avec au moins 100 000 haut-parleurs) et le lien Web ci-dessous (pour toutes les langues Banttus). Toutes les th\u00e9ories sur l’origine des langues de Bantus font des d\u00e9clarations explicites ou implicites sur leur maison d’origine et se sont ensuite r\u00e9pandues aux zones de r\u00e8glement d’aujourd’hui des peuples bantou. Urheimat des langues bantus [ Modifier | Modifier le texte source ]] Selon sa classification-Bantu en tant que sous-groupe des langues banto\u00efdes, qui est par ailleurs r\u00e9pandue au Nig\u00e9ria et au Cameroun-Joseph Greenberg a mis la maison originale des langues de Bantus dans la vall\u00e9e du milieu de Benue (Ostnigeria) et dans le Cameroun occidental. C’est l’opinion que la plupart des chercheurs ont accept\u00e9 aujourd’hui. Malcolm Guthrie, en revanche, a d\u00e9clar\u00e9 en 1962 sur la base d’un Argumentation du toit de mots (Connexion entre des objets arch\u00e9ologiquement tangibles ou des esp\u00e8ces v\u00e9g\u00e9tales cultiv\u00e9es et les noms linguistiques pour cela) que Proto-Bantu a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 dans une zone au sud-est de la for\u00eat tropicale \u00e9quatoriale. De cette zone centrale, des migrations en forme d’\u00e9toile dans les zones de colonisation d’aujourd’hui ont \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9es. Le probl\u00e8me des banto\u00efdes connexes a parl\u00e9 dans l’Afrique de l’Ouest largement retir\u00e9e, en supposant que certains groupes pr\u00e9-bantoues avaient p\u00e9n\u00e9tr\u00e9 la jungle vers le nord \u00e0 l’aide de bateaux. Cette position Guthries ne joue plus un r\u00f4le dans la recherche d’aujourd’hui; En g\u00e9n\u00e9ral, une maison originale du Bantu nord De la for\u00eat tropicale tropicale, la grande majorit\u00e9 est la bonne approche de Greenberg Salle Ostnigeria-West pour. Extension des peuples bantou [ Modifier | Modifier le texte source ]] 1 = 3000\u20131500 v. Chr. Urheimat 2 = 1500 V. Chr. D\u00e9but de la propagation 2A = Ostbantu, 2B = Westbantu 3 = 1 000-500 V. Chr. Ostbtu – usewe-thefs 4\u20137 = nouvelle expansion vers le sud 9 = 500-0 v. Chr. Kongo-thiefs 10 = 0\u20131000 apr\u00e8s la derni\u00e8re phase de propagation Voies de propagation occidentale et orientale La propagation des peuples bantoues de leur ur\u00e9mie ouest-africaine dans l’ensemble de l’Afrique subsaharienne est l’un des plus grands mouvements de migration de l’humanit\u00e9. Il y a deux th\u00e9ories \u00e0 la question de savoir quels chemins que les groupes bantou ont maintenant emprunt\u00e9s de leur domicile d’origine, qui ne s’excluent pas mutuellement, mais ne d\u00e9finissent que diff\u00e9rents points focaux. Les premiers \u00c9tats (par exemple Heine-Hoff-Vossen 1977) que le premier Bantu se d\u00e9pla\u00e7ait principalement au sud de la c\u00f4te de “la for\u00eat tropicale”, un autre groupe \u00e0 l’extr\u00e9mit\u00e9 nord de la for\u00eat tropicale a \u00e9t\u00e9 initialement randonn\u00e9e \u00e0 l’est, puis au sud. Le groupe principal occidental a ensuite form\u00e9 un nouveau noyau \u00e0 la port\u00e9e inf\u00e9rieure du Congo, \u00e0 partir de laquelle la majorit\u00e9 des banta\u00e9mabodes dans la savane et dans les hauts plateaux d’Afrique de l’Est ont \u00e9merg\u00e9. La deuxi\u00e8me th\u00e9orie est principalement bas\u00e9e sur un contournement nord de la for\u00eat tropicale. Ces groupes se sont ensuite d\u00e9plac\u00e9s vers le sud de la zone des grands lacs d’Afrique de l’Est, puis ont form\u00e9 le Congo-Nucleus (ou unis avec lui), \u00e0 partir de laquelle la nouvelle colonie du sud-est et de l’Afrique du Sud a \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9e. En g\u00e9n\u00e9ral, les groupes bantous occidentaux et orientaux sont suppos\u00e9s qui correspondent aux deux routes de randonn\u00e9e principales. Chronologie de la propagation Selon Vansina (1995) et Iliffe (1995), le vocabulaire proto-bantou reconstruit (agriculture, production de c\u00e9ramique), les d\u00e9couvertes arch\u00e9ologiques (en particulier la c\u00e9ramique) et les produits (huile Palm, Yams, mais pas de c\u00e9r\u00e9ales) utilis\u00e9es par les groupes de Bantu pr\u00e9coces apr\u00e8s L’introduction de l’agriculture et de la poterie doit avoir eu lieu. Cela r\u00e9sulte de l’arch\u00e9ologie de l’est du Nig\u00e9ria et des Cameruns ouest comme une p\u00e9riode probable d’environ 3000 \u00e0 2500 avant JC. BC comme d\u00e9but du mouvement d’\u00e9migration. Tout d’abord, les premiers Bantu se sont rendus \u00e0 la prairies camerounaises, o\u00f9 d’autres termes pour l’agriculture, l’\u00e9levage de b\u00e9tail ( Ch\u00e8vre , Couenne ), La pisciculture et la construction de bateaux ont enrichi le vocabulaire. 1500\u20131000 avant JC Il y a alors eu une migration de groupes bantou \u00e0 l’ouest de la for\u00eat tropicale s\u00e8che vers le sud jusqu’\u00e0 la port\u00e9e inf\u00e9rieure du Congo. L\u00e0, les bantouctures sont arch\u00e9ologiquement vers 500 \u00e0 400 avant JC. Chr. Passable. Ils ne connaissaient pas encore de traitement des m\u00e9taux. Certains de ces groupes ont continu\u00e9 vers le sud jusqu’au nord de la Namibie, d’autres ont agit\u00e9 l’est, se sont d\u00e9plac\u00e9s \u00e0 travers les grandes vall\u00e9es de la rivi\u00e8re et se sont unis au groupe oriental dans le Congo-Nucleus (voir ci-dessous). Le groupe oriental (probablement plus grand) est pass\u00e9 de 1500 avant JC. Colombie-Britannique du Cameroun le long du bord nord de la for\u00eat tropicale \u00e0 la r\u00e9gion des grands lacs de l’Afrique de l’Est. Il y a de 1000 avant JC. BC Preuve de la premi\u00e8re culture de c\u00e9r\u00e9ales (Sorghum), de l’\u00e9levage de bovins intensifs et – de 800 avant JC. Chr. – Premi\u00e8res preuves arch\u00e9ologiques de la transformation des m\u00e9taux et de la production de fer (fonte des fours au Rwanda et en Tanzanie). Les termes pour les m\u00e9taux et le traitement des m\u00e9taux se refl\u00e8tent \u00e9galement dans le proto- Ouest -Bantu, tandis que le Proto-Bantu ne le savait pas encore. Cette reprise culturelle chez les peuples bantou dans l’agriculture, l’\u00e9levage de bovins et le traitement des m\u00e9taux peuvent avoir \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9s par l’influence des groupes nilosahariens de la Niltal sup\u00e9rieure, o\u00f9 ce niveau culturel a \u00e9t\u00e9 atteint beaucoup plus t\u00f4t. Les peuples bantou repr\u00e9sentent \u00e9videmment le noyau de la culture de l’\u00e2ge du fer qui \u00e9tait r\u00e9pandu dans la r\u00e9gion des grands lacs d’Afrique de l’Est. Avec l’utilisation agricole plus intensive par le biais de Slash -Ups et le besoin de bois de chauffage pour la production de fer, les for\u00eats de la r\u00e9gion du lac africain est accompagn\u00e9e d’une grande r\u00e9gion d’Afrique par les humains. De la zone des grands lacs, l’Urewe-Bantu (comme en t\u00e9moigne leur c\u00e9ramique sp\u00e9cifique) a tir\u00e9 environ 500 avant JC. Progressivement dans toutes les r\u00e9gions de l’Afrique de l’Est et du Sud. Sur le sambesi, les c\u00e9ramiques Urewe de 300 avant JC. AVANT JC. Dans le premier post-si\u00e8cle chr\u00e9tien, l’Angola, le Malawi, la Sambie et le Zimbabwe ont \u00e9t\u00e9 atteints, au Mozambique du XIIe si\u00e8cle, enfin environ 500 apr\u00e8s JC-Afrique du Sud. Les peuples bantou ne se sont form\u00e9s que des formes de vie s\u00e9dentaire (avec la culture des friches) \u00e0 partir de 1000 apr\u00e8s JC, avant cela, il a forc\u00e9 la technologie \u00e0 la barre \u00e0 avancer constamment et la t\u00e2che des zones \u00e9puis\u00e9es. Le Khoisan a d\u00fb c\u00e9der la place \u00e0 la pression des peuples bantou, qui \u00e0 l’\u00e9poque peupait des zones beaucoup plus grandes de l’Afrique du Sud qu’aujourd’hui. Leur zone de retraite est devenue les zones d\u00e9sertiques et beaux-belles du sud de l’Angola, de la Namibie et des Botswanas, qui n’\u00e9taient pas adapt\u00e9es \u00e0 la culture du sorgho et \u00e9taient donc inutilisables pour le Bantu. M\u00eame les groupes ethniques r\u00e9sum\u00e9s comme \u00abpygm\u00e4en\u00bb vivaient probablement dans des zones coh\u00e9rentes plus grandes de l’Afrique centrale avant que le Bantu ne repousse \u00e0 quelques zones plus petites. Aujourd’hui, ils parlent les langues des peuples bantou voisins respectifs, mais cela avec des particularit\u00e9s sonores et lexicales qui peuvent revenir dans les langues pr\u00e9c\u00e9dentes. Malgr\u00e9 sa propagation sur une grande zone, les langues Bantus montrent un degr\u00e9 \u00e9lev\u00e9 de similitude grammaticale. La formation de classes nominales est particuli\u00e8rement caract\u00e9ristique – tous les noms sont divis\u00e9s en dix \u00e0 vingt classes en fonction de la langue, la classe du nome est caract\u00e9ris\u00e9e par un pr\u00e9fixe – l’influence de ces classes sur la congruence ou la concordance de toutes les cat\u00e9gories grammaticales (c’est-\u00e0-dire la classe du Nome est transf\u00e9r\u00e9e \u00e0 ses attributs. La formation nominale et verbale est essentiellement agglutinative; Les pr\u00e9fixes et les suffixes sont utilis\u00e9s. Les langues de Bantus partagent un grand vocabulaire commun, de sorte que plusieurs centaines de racines proto-bantu pouvaient \u00eatre reconstruites, dont les descendants se produisent dans presque toutes les zones du sch\u00e9ma Guthrie. Dans les langues Bantus en fonction de leur utilisation syntaxique, les discours ne doivent pas \u00eatre distingu\u00e9s en fonction de la forme externe. En plus de la nomina et des verbes d\u00e9j\u00e0 mentionn\u00e9s, il y a relativement peu d’adjectifs ind\u00e9pendants (la plupart sont des d\u00e9rivations de verbes), un syst\u00e8me incomplet de mots num\u00e9riques (7, 8 et 9 sont g\u00e9n\u00e9ralement des mots \u00e9trangers) et un riche inventaire de pronoms, par lequel les pronoms d\u00e9monstratifs peuvent exprimer jusqu’\u00e0 quatre niveaux diff\u00e9rents de proximit\u00e9 et de distance (“ce”, ces “et autres). La syntaxe est fortement d\u00e9termin\u00e9e morphosyntactiquement, en particulier par le syst\u00e8me de classe nominal et la concordance associ\u00e9e dans la phrase nominale et entre le sujet et le pr\u00e9dicat. La s\u00e9quence de mots habituelle est l’objet sujet-pr\u00e9dicat (SVO). Phonologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Historiquement, les langues Bantus ont une phon\u00e9tique simple. Les mots se composent de syllabes ouvertes, les sons de fermeture peuvent pr\u00e9natalis\u00e9 \u00eatre (par exemple Mb- ou nd- ). L’inventaire des consonnes consistait \u00e0 l’origine en des sons de fermeture nasaux et pr\u00e9lev\u00e9s sans voix: \/ P, b, o i, mb, t, d, n, nt, \/, il contenait \u00e9galement \/ \u2060T\u0283\u2060 \/ . Ces phon\u00e8mes \u00e9taient \u00e9galement largement conserv\u00e9s dans les langues Bantus d’aujourd’hui. Protobantu n’avait \u00e9videmment pas d’autres futurs, mais dans les langues de Bantus modernes, il y a \/ S, \u0283, Z, H, F, V \/ r\u00e9pandu. Ainsi, vous obtenez le stock consonne suivant, dont les langues individuelles n’ont pas tous les phon\u00e8mes (par ex. \/ \u2060Ts\u2060 \/ ou \/ \u2060T\u0283\u2060 \/ , \/ \u2060Dz\u2060 \/ ou \/ \u2060D\u0292\u2060 \/ ; Prenisal Series 1 ou 3, 2 ou 4): Inventaire consonante des langues Bantus d’aujourd’hui Consonne labial alv\u00e9olaire palatale v\u00e9laire Plosif non excit\u00e9 P T . K \u00e9jectif vocal B D . G implosif \u0181 \u018a . \u0193 Isdo . TS \/ DZ t\u0283 \/ d\u0292 . Se rapprocher B L . \u0194 Nasale M N avec moique \u014a Prenose 1 d\u00e9put\u00e9 NT . \u014bK Prenose 2 . nts nt\u0283 . Prenose 3 mb nd . onduler Prenose 4 . NDZ survivre . Les sons \u00e9jectifs correspondent \u00e0 la prononciation allemande de b , d et g . Les imposivlauts – en swahili trois, dans Shona deux, \u00e0 Xhosa et Zulu seulement \u0181 – sont principalement reproduits dans l’\u00e9criture avec leurs homologues \u00e9jectifs. Ce sont des orthographes partiellement diff\u00e9renci\u00e9es, par exemple par un h r\u00e9approvisionn\u00e9. Certaines langues du sud de Bantus ont \u00e9galement pris en charge leurs clics en contact avec les langues khoisan. Cela s’applique avant tout aux langues des groupes Guthrie S40 et S50, en particulier Zulu (12 clics) et Xhosa (15). Mais Yeyi (ou Yeye) (R40) a \u00e9galement jusqu’\u00e0 20 clics, tandis que les parents locaux et les langues voisines, qui ont \u00e9galement eu et ont un contact avec les langues khoisan (par exemple Herero), n’ont aucune trace de sons de clics. Cela est probablement d\u00fb au fait que le Herero n’est entr\u00e9 en contact avec les langues khoisan beaucoup plus tard que le Xhosa et d’autres peuples vivant \u00e0 l’est du Kalahari. Le syst\u00e8me vocal Protobantu \u00e9tait compos\u00e9 des sept voyelles \/ i, e, \u0254, a, a, o, u, u, \/. Les langues de Bantus sont toujours conserv\u00e9es dans les centres centraux du nord-est et du nord-ouest aujourd’hui, tandis que l’autre (environ 60%) sur les cinq voyelles \/ i, \u025b, a, o, u, u, \/ A \u00e9t\u00e9 r\u00e9duit. Dans un certain nombre de langues de Bantus r\u00e9centes, les diff\u00e9rences entre les voyelles longues et courtes sont phon\u00e9miquement pertinentes. Il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 d\u00e9cid\u00e9 s’il s’agit d’une propri\u00e9t\u00e9 de protobant ou d’une innovation dans certains sous-groupes. Protobantu \u00e9tait certainement un langage sonore, ce qui signifie que la hauteur d’une syllabe est significative. Une grande partie des langues de Bantus (97% selon l’infirmi\u00e8re 2003) ont conserv\u00e9 cette propri\u00e9t\u00e9. La plupart des langues Bantus n’ont pas plus de deux diff\u00e9renciations Tons que soit comme haut ou n\u00e9faste peut \u00eatre caract\u00e9ris\u00e9. Mais il existe \u00e9galement des syst\u00e8mes plus complexes avec jusqu’\u00e0 quatre emplacements diff\u00e9rents. Quelques langues, y compris le swahili, ont perdu leur diff\u00e9renciation solide. Dans certaines langues de Bantus, il existe une forme d’harmonie vocale qui affecte la vocalisation de certains suffixes de d\u00e9rivation. Par exemple servante Derri\u00e8re la racine verbale charni\u00e8re (“Ouvrir”) la forme hing-ura (“Fermer”), derri\u00e8re le verbe Oh (“Lier”) mais la forme oh-heure (“Sans cravate”). La dissimilation des consonnes d\u00e9missionnaires du pr\u00e9fixe de la classe nominale et de la tige nominale montre l’auto-intention du kikuyu comme Gi-kuyu qui se forme r\u00e9guli\u00e8rement Ki-kuyu devrait \u00eatre (l’orthographe Kikuyu est tort en tant qu’endonyme, mais justifi\u00e9 comme un pr\u00e9fixe g\u00e9n\u00e9ral pour nommer Bantus Languages, tels que: B. \u00e0 Kikongo, Kiluba, Kituba, Kiswahili, Kirundi et plus de 100 autres noms de langue bantou). L’accent est sur la deuxi\u00e8me derni\u00e8re syllabe dans presque toutes les langues Bantus. Nominalmorphologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Classes nominales [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une caract\u00e9ristique sp\u00e9ciale des langues de Bantus est la division de la Nomina en classes si appel\u00e9es. Cependant, vous partagez cette caract\u00e9ristique avec une vari\u00e9t\u00e9 d’autres langues du Congo du Niger et \u00e9galement avec des langues d’origine compl\u00e8tement g\u00e9n\u00e9tique, par ex. B. Caucasien, Jennissei ou Langues australiennes. L’attribution d’un nom \u00e0 une classe a eu lieu \u00e0 l’origine selon la cat\u00e9gorie de sens d’un mot, mais appara\u00eet souvent dans les langues de Bantus d’aujourd’hui. Le genre grammatical z. B. Dans de nombreuses langues indo-europ\u00e9ennes, peut \u00eatre interpr\u00e9t\u00e9e comme une division de classe (afin que vous puissiez comprendre le latin comme une langue \u00e0 6 classes: masculin, f\u00e9minin et neutre, chacun au singulier et au pluriel). Il y avait une vingtaine de classes dans le protobant. Ce nombre a \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9 dans certaines des langues de Bantus d’aujourd’hui (par exemple dans le Ganda), dans d’autres, elle a \u00e9t\u00e9 r\u00e9duite \u00e0 une dizaine de classes. Les classes nominales ne sont marqu\u00e9es que par des pr\u00e9fixes. Les classes de Nomina et d’attributs associ\u00e9s ainsi que le sujet et le pr\u00e9dicat doivent correspondre \u00e0 la construction d’une phrase (concordance), mais les pr\u00e9fixes peuvent un Classe dans le nom, le mot num\u00e9rique, le pronom et le verbe varient. Dans la plupart des langues de Bantus, les classes – et les pr\u00e9fixes les marquent – forment le singulier ou le pluriel d’un mot par paires (voir ci-dessous les exemples des langues Ganda et Swahili). Exemples de classes nominales [ Modifier | Modifier le texte source ]] Exemples de classes nominales dans la langue Ganda: \u00e0 la racine -beaut\u00e9 :in-buganda “Un ganda” ba-ganda “Le peuple Ganda” (pluriel de la classe MU) Bu-danda “Le pays du Ganda” Luganda “La langue du Ganda” ki-ganda “Les choses culturelles du Ganda” (par exemple LiedGut) \u00e0 la racine -Noix :Dans la nature “Personne” pas de point “Personnes” la noix “Petite chose” Gu ntu “G\u00e9ant” va clouer “G\u00e9ants” Les tirets entre le pr\u00e9fixe et le tronc, qui sont constamment illustr\u00e9s dans cet article, ne sont pas utilis\u00e9s dans le Banta normal. Des exemples du swahili montrent la duplication g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9e des classes dans une classe singuli\u00e8re et une classe plurielle associ\u00e9e. Couple de classe singuli\u00e8re – pluriel en swahili Singulier Allemand Pluriel Allemand m-tu Personne \u00catre juste Personnes m-tooto Type Wa-toto Enfants m-ji Ville mi-ji Villes Ki-tu Ding vi-tu Choses tasser Panier Vi sap Autour ji-cho \u0152il Ma-cho Yeux \u00d8 Wairs Auto Ma-gari Enregistrer N-Jia Rue N-Jia Rue u-so Affronter The-Uso Visages Ki-tanda Lit We-Tanda des lits tu fumes Tourner les poussi\u00e8res Vall\u00e9es Pa-heli Lieu Pa-heli Lieux Adjectifs et concordance dans la phrase nominale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Il n’y a que relativement peu de racines adjectives r\u00e9elles dans les langues de Bantus, \u00e9videmment un h\u00e9ritage de la langue d’origine. La plupart des adjectifs sont d\u00e9riv\u00e9s des verbes. Dans de nombreux cas, des constructions relatives sont utilis\u00e9es, par ex. B. \u00abL’homme qui est fort (du verbe \u00eatre fort ) Au lieu de “l’homme fort”. Les adjectifs attributifs suivent leur loft, le pr\u00e9fixe nominal de la classe nominale du nom est pr\u00e9c\u00e9d\u00e9 de l’adjectif, de sorte que la confisence de la classe s’applique. De plus, des exemples du swahili: M-tu m-arri\u00e8re “Bonne personne” ( m-tu “Personne”, Super “grand”) Le plus grand “Big People” (le de- La classe est le pluriel du m- Classe) Le panier est super “Big Basket” ( tasser “Panier”) Les VI-Baskets sont super “Big Basket” (le nous- La classe est le pluriel du pour- Classe) Tous les membres d’une phrase nominale, c’est-\u00e0-dire en plus du nom, \u00e9galement des pronoms possessifs, des adjectifs, des pronoms d\u00e9monstratifs et des mots num\u00e9riques, sont soumis \u00e0 la confiserie de classe (en dehors de quelques mots num\u00e9riques qui ont \u00e9t\u00e9 adopt\u00e9s \u00e0 partir de langues \u00e9trang\u00e8res, voir ci-dessous). Voici quelques exemples: Wa-tu wa-zuri wa-wili wa-le “Personnes” (-tu) “bien” (- CEPED) “deux” (-\u00e9pouser) “ceux” (-le) , “Ces deux bonnes personnes” Ki-kapu ki-dogo ki-le “Panier” (t\u00e2che) “plus petit” (-) “Ce” (-le) , “Ce petit panier” Vi-kapu vi-dogo vi-tata vi-le “Cercle” (Vi-cap) “Petit” (-) “trois” (-tuu) “ceux” (-le) , “Ces trois petits paniers”. Concordance du sujet et du pr\u00e9dicat [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le sujet du sujet doit \u00eatre enregistr\u00e9 par le pr\u00e9dicat d’une phrase de mani\u00e8re congrument, il y a donc \u00e9galement une concordance ici. Les exemples suivants du swahili montrent le principe (voir les d\u00e9tails de la construction verbale voir ci-dessous): Le panier est le plus grand moi en arrive “Le grand panier est arriv\u00e9” ( tasser “Panier”, -caf\u00e9 “arriver”, -moi- Champs parfaits) Remarque: m\u00eame pr\u00e9fixes de classe pour- Dans les noms et les verbes, ainsi d’allit\u00e9ration M-baby m-grave a-me-arrive “Le grand enfant” (m-tooto) “est arriv\u00e9” Remarque: verbal un- Le pr\u00e9fixe correspond au nominal m- Classe; So diff\u00e9rents morph\u00e8mes de pr\u00e9fixe avec la m\u00eame classe le plus beau — deux — fi- Fall “ceux” (wa-le) “deux” (Recherche) “bien” (bien-) “Les gens sont tomb\u00e9s” (-automne) Waites-Whites W-Si-Li-Arrival au Kenya \u00c9clair\u00e9 “\u00e9tranger” (\u00e9tranger) “Europ\u00e9en” (blanc) “beaucoup” ( w-egi “J’ai achet\u00e9 quelque chose (\u00e0 quoi appartient la classe AI)” IS-LI-MARD “Je l’ai entendu” ( -Entendre entendre) A-li-ared “Il m’a entendu” Is-and-lis “Je lis maintenant)” ( -Non- Pr\u00e9fixe actuel, -soma “lire”) Ni-ta-soma “Je lirai” ( -Ta- Pr\u00e9fixe futur) Ki-me-fika “Il est arriv\u00e9” ( -moi- Perfaiteur-pr\u00e9fixe, -caf\u00e9 arriver, pour- Sujet Ki Classe) in-so-so-shop “Quand j’attends” ( -JE- Konittonal, ce “attendez”) Bienfaisant Afin de pr\u00e9ciser que l’action est faite pour une personne, en plus du marqueur d’objet en fonction de la tige du verbe (mais avant la voyelle finale -un ) un suffixe de prestations si appel\u00e9 -je- ou -C’est- ins\u00e9r\u00e9. Exemple: A-li-Ni-Aanik-I-A-A Barua Analyse: subj (er) – temp (verg.) – obj (miR) – stamm ( Andik “Write”) – Benefak – End Vowel + Object ( des lettres “Bref”) “Il m’a \u00e9crit une lettre” Construction relative Les constructions relatives de la forme “L’enfant qui a lu un livre” est en Swahili par le pr\u00e9fixe relatif -vous- Pour le dire qui suit le pr\u00e9fixe Tempus. Exemples: m-toto-li-li-li-severma-somas “L’enfant qui a lu un livre” Livre Is-Ye-Ki-Read “Moi, qui (je) lis le livre” Passif Le passif est en verbes transitifs en ins\u00e9rant -Dans- ou -Wiliw- Avant la voyelle \u00e0 l’extr\u00e9mit\u00e9 infinitive (g\u00e9n\u00e9ralement -un ) marqu\u00e9. Exemples: ku-som-a “Lire”> Ku-som-w-a “\u00eatre lu” o\u00f9 you-a “Savoir”> Les Kuli-Junels sont. ( ku-telem-sha “Humilier”. Les exemples sont tir\u00e9s en partie de Campbell (1995). Aucune langue Bantus n’a d\u00e9velopp\u00e9 son propre script. Seul Swahili avait d\u00e9j\u00e0 repris le script arabe pour r\u00e9parer une litt\u00e9rature \u00e0 pr\u00e9dominance islamique-religieuse \u00e0 l’\u00e9poque pr\u00e9coloniale. En plus des explications th\u00e9ologiques, il y avait aussi des textes juridiques, des chroniques, des g\u00e9ographiques, des contes de f\u00e9es, des chansons et des \u00e9pop\u00e9es. Ces Epeens (par exemple “Le secret des secrets”, les “Hermal-Epos”) sont cr\u00e9\u00e9s en termes de contenu et officiellement, mais ont \u00e9galement des influences de la bantoucture de l’Afrique de l’Est. L’importance de la litt\u00e9rature arabis\u00e9e swahili peut \u00eatre compar\u00e9e \u00e0 celle des litt\u00e9ratures dans les langues en haoussa, ful, kanuri et berb\u00e8re, qui \u00e9taient \u00e9galement arabes (au XIe-14e si\u00e8cle). Depuis la fin du XIXe si\u00e8cle, le Swahili est \u00e9crit en latin, comme toutes les autres langues \u00e9crites de Bantus. M\u00eame sans \u00e9crire, les peuples bantou avaient une riche litt\u00e9rature orale, qui comprend des mythes, des contes de f\u00e9es, des fables, des proverbes, des chansons et des histoires tribales. Sous l’influence europ\u00e9enne – en particulier missionnaire -, l’alphabet latin a \u00e9t\u00e9 introduit principalement pour les plus grandes langues de Bantus depuis le milieu du 19e si\u00e8cle (principalement avec des modifications sp\u00e9cifiques \u00e0 la langue plus petites), les traductions bibliques \u00e9taient souvent les premiers textes \u00e9crits d’une langue. Depuis lors, une activit\u00e9 collective anim\u00e9e des missionnaires, des responsables administratives et des linguistes a \u00e9galement utilis\u00e9 des chansons sacr\u00e9es et profanes, disant et puzz les instructions, les mythes, les contes de f\u00e9es et les \u00e9pop\u00e9es des peuples bantou et les ont enregistr\u00e9s dans les langues originales. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, seules les traductions sont connues en Europe. En attendant, une nouvelle litt\u00e9rature noire tr\u00e8s \u00e9tendue et polyvalente s’est d\u00e9velopp\u00e9e, mais la plupart des auteurs modernes pr\u00e9f\u00e8rent l’une des langues coloniales comme des v\u00e9hicules de leurs \u0153uvres, car ils peuvent atteindre un groupe cible beaucoup plus important. Cependant, la bantoulitature orale joue un r\u00f4le important en tant que base de grandes zones de litt\u00e9rature n\u00e9o-africaine \u00e0 la fois en termes de contenu et de formellement. Les langues Bantus sont disponibles dans de nombreux dialectes et groupes de dialectes, de sorte qu’une division objective en langues individuelles n’est pas possible. Le nombre de langues Bantus est certainement de plusieurs centaines. Ethnologue (2015) r\u00e9pertorie un nombre total de 538 langues. Il n’y a pas non plus d’informations pr\u00e9cises possibles pour le nombre de conf\u00e9renciers, mais c’est certainement dans la fourchette \u00e0 trois millions de chiffres, environ 200 millions de locuteurs vers 2000 (soit environ 3,5% de la population mondiale \u00e0 l’\u00e9poque). [d’abord] Malcolm Guthrie a divis\u00e9 les langues Bantus en 16 groupes (“zones”) en 1948, auxquels il a fait r\u00e9f\u00e9rence avec les lettres A – S (sans i, o, q), par exemple la zone A = les langues de Bantus du Cameroun et de la Guin\u00e9e \u00e9quatoriale. Les langues sont regroup\u00e9es dans chaque zone en dix unit\u00e9s, par exemple le groupe A10 = Lundu-Balong et le groupe A20 = Duala. Les langues individuelles sont num\u00e9rot\u00e9es dans chaque groupe de dix; Par exemple, A11 = Londo et A15 = MBO. Les dialectes sont marqu\u00e9s par de petites lettres, par ex. B. A15A = Nordost-MBO. Le syst\u00e8me de Guthrie est orient\u00e9 g\u00e9ographiquement. L’arrangement selon les r\u00e9gions g\u00e9ographiques a une corr\u00e9lation avec les relations g\u00e9n\u00e9tiques suspect\u00e9es des langues, mais les codes de Guthrie ne sont pas d\u00e9finis par une telle relation, et ils restent \u00e9galement si la vision de ces relations devait changer. [14] Dans ce qui suit, les zones individuelles avec leurs groupes de dizaines sont r\u00e9pertori\u00e9es et les langues sont donn\u00e9es avec au moins 100 000 locuteurs au sein des groupes TENS. La num\u00e9rotation individuelle des langues est distribu\u00e9e car elle s’av\u00e8re diff\u00e9rente selon l’auteur. Des d\u00e9tails sur ces langues peuvent \u00eatre trouv\u00e9s dans Ethnologue, qui est \u00e9galement la principale source de porte-parole.Les informations sur le porte-parole sont parfois fortement d\u00e9pass\u00e9es; Ils viennent de l’\u00e9dition 2015 de 2015 Ethnologue Cependant, en partie li\u00e9 aux publications des ann\u00e9es 1960 aux ann\u00e9es 1980. En raison de la forte croissance d\u00e9mographique de la r\u00e9gion, ces informations peuvent s’\u00e9carter de la situation actuelle un multiple (jusqu’\u00e0 500%) apr\u00e8s cinq d\u00e9cennies. Les zones A, B et C sont comme Nordwest-Bantu , le reste comme Zentral-s\u00fcd-bandou classifi\u00e9. Les langues avec au moins 1 million de locuteurs sont donn\u00e9es dans l’impression de graisse. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, le nombre de locuteurs de langue maternelle S1 est donn\u00e9, S2 est le porte-parole, y compris le deuxi\u00e8me porte-parole (uniquement sp\u00e9cifi\u00e9 s’il s’\u00e9carte de mani\u00e8re significative de S1). Nordwest-Bantu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Excellent emplacement des zones Guthrie Zone A – Kameru, YuquatorialGuineaa – 53 langues avec 5,1 millions de locuteurs Zone B – Gabun, Congo, Congo-Brazzaville – 40 langues avec 1,6 million de locuteurs Zone C-Central R\u00e9publique africaine, Congo, Kongo-Brazzaville – 69 langues avec 6,2 millions de locuteursCouvertures C10 C20 C30: chiffres (110 TSD.) C40 English-Tomba: Lingala (2 mio., S2 9 mio.), Budza (250 tsd.); Ntomba (100 tsd.); Bangi (110 tsd.), Bolie (100 TSD.) C50 Cow: Cow (200 TSD.), BWA (Libua) (200 TSD.), Kele (200 TSD.), Foma (160 TSD.) C60 Mongo: Mongo-Nkundu (400 TSD.), Ngando (220 TSD.) C70 Tetela: Tetela (750 TSD.), Kala (200 TSD.) C80 Bushong: Bushong (160 TSD.) Zentral-s\u00fcd-bandou [ Modifier | Modifier le texte source ]] Zone D – Congo, Ouganda, Tansanie – 36 langues avec 2,3 millions de locuteursD10: Mbole (100 TSD.), Appel (100 TSD.) D20 Lega-Kalanga: Lega-Shabunda (400 TSD.), Zimba (120 TSD.) D30 Locke: Retour (400 TSD.), Bilu (200 TSD.), Rat (120 TSD.) D40 Horns: Cornes (150 Ti.) D50 de: Hold (250 TSD.) Zone E – Kenie, Tansanie – 36 langues avec 16 millions de locuteursE10 qui: Gusii (Kisii) (2 mio.), Kuria (350 tsd.); Suba (160 tsd.) E20 Kikuyu-Ameru: Kikuyu (Kikuyu) (5,5 mio.), Cha\u00eene (2,5 mio.), Embu-First (450 TSD.); Meru (1,3 mio.), Tharaka (120 tsd.) E30 Chagga: Chagga (400 TSD.), Machame (300 TSD.), Vunjo (300 tsd.), Mochi (600 tsd.), RWA (100 tsd.) E40 NYIKA: NYIKA (GRAND) (650 TSD.), Drop (300 TSD.); Tauta (200 TSD.) Zone F – Tansanie – 16 langues avec 7 millions de locuteursF10 Tongwe: Mambwe-Lungu (400 TSD.), FIPA (200 TSD.) F20 sukuma-nyamwesi: Imaginer (3,2 mon.), Le personne (1,22 Myoo.) Quelque 2000.) F30 Nyilambi-Langi: Nyaturu (550 TSD.), Oilbam (Ranga (Rangi) (350 TSD.) Zone G – Tanzanie, Comores – 32 langues avec 82 millions de locuteursG10 Goa: Aller aller (1,3 mio.), un groupe (200 TSD.) G20 Shambala: Shambala (700 TSD.), ASU (500 TSD.) GR 30 Alelelele-Azle: Louguguugug) (700 mlom.) 300 kis.) Tab\u0254: 40, km\u0254: 40 100 40-4 G40 English: Swahili (Suaheli, Kisuaheli, Kiswahili) (2 millions, S2 80 millions), Commorical (650 TSD.) G50 Pogoro: Pogoro (200 TSD.) G60 Bena-Kinga: Hehe (Hehet) (750 TSD.), Bena (700 TSD.), Pangwa (100 TSD.), Kinga (140 TSD.) Zone H – Kongo, Kongo-Brazzaville, Angola – 22 langues avec 12,5 millions de locuteursH10 Congo: Kongo (Kikongo) (1,5 mio.), Yombe (1 mio.), Directions (120 tsd.); Kituba (Munuktuba) (5,4 mio., S2 6,2 mio.) Kreolsprache H20 Mbundu: Luanda Mbundu (Kimbundu, Loanda) (3 My mio.) H30 Yaka: Kiyaka (1 my.), Sondes (100 tsd.) H40 humains Zone J – Ouganda, Kenie, Tansanie, Congo, Ruanda, Burundi – 45 langues avec 35 millions de haut-parleursJ10 Soft-Skins: Beaut\u00e9 (Luganda) (3 my., S2 4 mio.), Chiga (1,5 mon.), Nyankore (Nkole) (1,7 mio.), Corde (Lusogy) (1.4 My.), Nyoro (500 tsd.), Toora (500 tsd.), Keny (400 tsd.), HEMA (130 TSD.), HEMA (130 TSD.) J20 Racing: Ces (Oluhaya, Ziba) (1,2 mio.), nyambo (440 tsd.), Parent (100 tsd.), Parent (100 tsd.), Parent (100 tsd), Kerebe (100 tsd.), Kwaya (100 tsd.), Talinga-wisi (100 tsd.) J30 Luyia: Lauyia . Masaba (750 tsd.), Gum (250 tsd.) J40 Inde-Konzo: Nandi (1 mio.), Konzo (350 TSD.) J50 Shi-Havu: Shi (650 TSD.), HAVU (500 TSD.), Fuliiru (300 TSD.), Hunde (200 TSD.), TEMBO (150 TSD.) J60 Runda-Rundi: Rwanda (Kinyarwanda) (7,5 mio.), Rundi (Kirundi) (5 mio.), Ha (1 mio.), Hangaza (150 tsd.), Shubi (150 tsd.) Zone K – Angola, Sambie, Congo, Namibie – 27 langues avec 4,6 millions de locuteursK10 Holu: Pende (450 TSD.) K20 connu: Museau (1 moo.), Luvale (700 tsd.), Luchezi (200 Tasd), rouge (250 tsd.), Haricots (250 tsd.), Crop (220 c. K30 Salampasu-Lunda: Lunda (Chilunda) (400 TSD.), Ruund (250 tsd.) K40 Kung: Lyana (110 TSD.) K50 K60 fois: (Rumba) (200 TSD.) K70 moi Zone L – Congo, Sambie – 14 langues avec 10,6 millions de locuteursL10 bwile L20 Songye: Songe (1 mio.), Bangubangu (170 tsd.), Binji (170 tsd.) Permission L30: Luba-kasa\u00ef (Chituba, West-Luba, Luba-Lula, Luva) (6,5 mio.), Luba-katanga (Kiluba, luba-shaba) (1,5 Mor.), Sanga (450 TSD.), Kanyok (200 TSD.), Hemba (180 TSD.) L40 Kaughte: un figuier (300 RSD.) Remarque L50 Zone M – Tansanie, Congo, Sambie – 19 langues avec 9 millions de locuteursM10 Figh-More M20 World Cities – Safwa: Ohhary) (650s) (650s) (650s) (650;, ” M30 Nyakyusa-Ngonde: Un Horkyusa Wake (1 mien.) M40 Figure: Bemba . M50 En cons\u00e9quence: LALA (400 TSD.), SEBA (170 TSD.); Num\u00e9ro (200 TSD.) M60 Tonga Lights: Arriv\u00e9 (Pays) (1,5 mio.), Hunter (170 TSD.) Zone N – Malawi, Tansanie, Sambie, Mosambik – 13 langues avec 13,8 millions de locuteursN10 Logcules: Mercy (200d (200d.), Guy (170S.), Phrases (150 Ted.) N20 r\u00e9cent: Tumbuka (Recette) (1,3 mio.) N30 Ocean: Lagune (Anglais, out, anglais) (9,5 moo.) N40 n’est pas-Senga: Ce (1,2 mio.), Nyungwe (250 TSD.), Kunda (200 TSD.); Nsenga (priez) (600 tsd.) Zone P – Tanissie, Malawi, Mosambik – 23 langues avec 12,6 millions de locuteursP10 Matumbi: Ngindo (220 TSD.), Rufiji (200 TSD.), NDERNERENKO (110 TSD.), Mongice (100 TSD.) P20 Yao: Les leurs (2 mon.), Croisades (1,4 mio.), le c\u00f4t\u00e9 (500 tsd.) P30: Michuwa (P\u00e8re, texte) (5 mio.), Qui (Ngungulu) (1,5 mio.), Chuwabo (600 tsd.), Khekola (200 200S.),),), Tauntine (150SS.), LOLO (150 Tid.), Slots (150 Tid.) Zone R – Angola, Namibie, Botswana – 12 langues avec 5,8 millions de locuteursR10 S\u00fcd-Mbundu: Meubles (4 mio.), Challengh (300 tsd.), Pantalon (150 tsd.) R20 Je suis comme: Je suis comme (700 TSD.), Animal (sshoma, onces) (400 TSD.) R30 HEREREO: Herero (150 TSD.) R40 he Zone S – Simbabwe, Mozambik, Botswana, Namibie, S\u00fcd Afrika – 26 langues avec 58 millions de locuteursS10 Shona: Shona (Anglais) (11 mio.) (Inkl. BEAUCOUP (1 million) et Kalanga (850 000)), divis\u00e9 (70 30, 25000.) 100.) Vente S20: Vente (Chivennda) (1 My.) S60 Sotho-Tswana: Sotho (S\u00fcd-Sotho, Sesotho) (5 mio.), Pieds (Nord-Sotho, Sepedi, Transvaal-Sotho) (4 mio.),), S\u00fcd-Adebele (600 tsd.); Tswana (Sssss ywose as) (4 mioo.); Hezus (6000.) La navigation S40: zoulou (Anglais) (10 mio.), Xhosa (Anglais) (7,5 mi.), Ndebele (1.6 mon.), Swati (Siswati, Swazi) (1,7 mio.) S50 TSWA-RONGA: Tsonga (Anglais, Thonga, Shangaan (3,3 Mio.), Tshtswa (700 TSD.), Ronga (700 TSD.) S60 Chopi: Chopi (800 TSD.), Gitonga-inhambane (250 TSD.) Bantprachen [ Modifier | Modifier le texte source ]] Rev. F. W. Kolbe: Une \u00e9tude de langue bas\u00e9e sur Bantu. Tr\u00fcbner & Co., Londres 1888. R\u00e9impression 1972. Malcolm Guthrie: La classification des langues bantoues. Londres 1948. R\u00e9impression 1967. Bernd Heine, H. Hoff et R. Vossen: R\u00e9sultats r\u00e9cents sur l’histoire territoriale de Bantu. Sur l’histoire du langage et l’histoire de l’ethnoh en Afrique. Dans: W.J.G. M\u00f6hlig u. (\u00c9d.): Nouvelles contributions de la recherche africaine. Reimer, Berlin 1977. Derek Nurse et G\u00e9rard Philippson: Les langues bantoues. Routledge, Londres 2003. A.P. Hendrikse und G. Poulos: Une interpr\u00e9tation du continuum du syst\u00e8me de classe Bantu Noun. Dans: D.F. Gowlett: Contributions linguistiques africaines. Pretoria 1992. A.E. Meeussen: Reconstructions grammaticales bantu. African Linguistics 3: 80-122, 1967. Wilhelm J.G. M\u00f6hlig: Les langues Bantus au sens plus \u00e9troit. Dans: Bernd Heine u. (\u00c9d.): Les langues de l’Afrique. Buissons, Hambourg 1981. David Phillipson: Les randonn\u00e9es des peuples bantou. Dans: Marion K\u00e4lke (\u00e9d.): L’\u00e9volution des langues. Spectrum of Science, Heidelberg 2000. J. Vansina: De nouvelles preuves linguistiques et \u00abl’expansion bantou\u00bb. Journal of African History (JAH) 36, 1995. Benji Wald: Swahili et les langues bantoues. Dans: Bernard Comrie (\u00e9d.): Les principales langues du monde. Oxford University Press 1990. Langues africaines [ Modifier | Modifier le texte source ]] George L. Campbell: Compendium des langues du monde. Routledge, Londres 2000 (2e \u00e9dition) Joseph Greenberg: Les langues de l’Afrique. Mouton, The Hague et Indiana University Center, Bloomington 1963 Bernd Heine et autres (\u00e9d.): Les langues de l’Afrique. Buissons, Hambourg 1981 Bernd Heine et Derek Nurse (\u00e9d.): Langues africaines. Une introduction. Cambridge University Press 2000 John Iliffe: Histoire de l’Afrique , 2e \u00e9dition: C. H. Beck, Munich 2003 ISBN 3-406-46309-6 Lexique [ Modifier | Modifier le texte source ]] A.E. Meeussen: Reconstructions lexicales bantu. Tervuren, MRAC 1969, r\u00e9impression 1980 A. Coupez, Y. Bastin und E. Mumba: Bantu Lexical Reconstructions 2. 1998 Nicholas Awde: Swahili – Anglais \/ Anglais – Swahili Dictionary. Hippocrene Books, New York 2000 \u2191 un b Une \u00e9valuation de l’ethnologue (2015) se traduit par une estimation de 210 millions (voir dossier: Niger-Congo Speakers.png), la majorit\u00e9 des sources cit\u00e9es dans l’ethnologue date \u00e0 la fin des ann\u00e9es 1990 ou au d\u00e9but de 2000. \u2191 Ailverstein, Raymond O. (Januar 1968). “Une note sur le terme” Bantu “comme utilis\u00e9 pour la premi\u00e8re fois par W. H. I. Bleek”. \u00c9tudes africaines . 27 (4): 211\u2013212. doi: 10.1080 \/ 00020186808707298 \u2191 Joshua veut un Sempebwa, La structure ontologique et normative dans la r\u00e9alit\u00e9 sociale d’une soci\u00e9t\u00e9 bantou: une \u00e9tude syst\u00e9matique de l’ontologie et de l’\u00e9thique de Ganda 1978, p. 71.“Addenda” Journal sud-africain des langues africaines 4.1 (1984), S. 120, doi: 10.1080 \/ 02572117.1984.10587452 .Molefied Kete Asante, Mazmama, la Mazma, la Mazma, les Mazmas. Encyclop\u00e9die de la religion africaine (2009), p. 173 .David William Cohen, La tradition historique de Busoga, Makama et Kintu (1972). Joseph B. R. Gaie, Sana Mmolao, Le concept de Botho et du VIH \/ SIDA au Botswana (2007), p. 2 . \u2191 Noverino N. Canon Un manuel d’\u00e9tudes comparatives de kintu , Langue et litt\u00e9rature zoulu, Universit\u00e9 de Natal (1994). \u2191 Harald Haarmann, Language Almanach (2002) a estim\u00e9 environ 5 \u00e0 10 millions de locuteurs natifs et environ 30 millions de seconds conf\u00e9renciers.En revanche, Marten (2005) a une estimation d’un total de plus de 80 millions de conf\u00e9renciers,L. Marten: “Swahili” dans: Encyclop\u00e9die du langage et de la linguistique , 2e \u00e9dition. Elsevier, 2005. \u2191 Une estimation de 12 millions de locuteurs de Shona au sens plus \u00e9troit vient de Mikael Parkvall, “V\u00e4rldens 100 St\u00f6rsta Spr\u00e5k 2007”, dans Encyclop\u00e9die nationale (2007).Ethnologue (2015) a estim\u00e9 7,5 millions pour Shona dans un sens plus \u00e9troit (\u00e0 savoir: Karanga, Chimanyika, Korekore) pour l’ann\u00e9e 2000, et un total de 11 millions lorsque les dialectes \u00e9troitement li\u00e9s sont compt\u00e9s. \u2191 Le porte-parole de la langue maternelle en Afrique du Sud a \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9 comme 12 millions par le recensement sud-africain en 2011.Webb (2002) a estim\u00e9 16 millions pour le nombre total de locuteurs en 2002. Webb, Vic. 2002. \u00abLangue en Afrique du Sud: le r\u00f4le de la langue dans la transformation nationale, la reconstruction et le d\u00e9veloppement\u00bb, Impact: Studies in Language and Society, 14:78. \u2191 Mikael Parkvall, “Le plus grand langage du monde 2007”, dans Encyclop\u00e9die nationale (2007). \u2191 Michael Meeuwis, Un aper\u00e7u grammatical de Lingala (2010) estime un total de 25 millions de conf\u00e9renciers (S1 et S2).Ethnologue (2015) pr\u00e9sente 2,1 millions de S1 et 7 millions d’estimations S2 de 2000 et 1999. \u2191 Parkvall (2007) Sch\u00e4tzt 9,8 millions. Mikael Parkvall, “Le plus grand langage du monde 2007”, dans Encyclop\u00e9die nationale (2007). \u2191 Ethnologue (2015) cite le recensement sud-africain avec 8,1 millions de locuteurs natifs et estime un certain nombre d’environ 11 millions de langues secondes. \u2191 Selon une estimation de 1991, Ethnologue (2015) nomme S1 et environ 0,7 million de S2. \u2191 6,6 millions du recensement de 2009 dans le recensement kenyan selon Ethnologue (2015). \u2191 Mark van de Velde, Koen Bostoen, infirmi\u00e8re de Derek, G\u00e9rard Philippson (Hrsgg.), Les langues bantoues , Routledge (2019), S. 17. \u2191 dua (Ethnologue 2015) : 87 700 S1 (1987), 2 millions S1 + S2 (SIL 2013). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/banksprachen-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Banksprachen – Wikipedia"}}]}]