[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/bataille-a-reims-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/bataille-a-reims-wikipedia\/","headline":"Bataille \u00e0 Reims – Wikipedia","name":"Bataille \u00e0 Reims – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le Bataille \u00e0 Reims Les guerres de lib\u00e9ration ont eu lieu le 13 mars 1814 lors du champ Winder","datePublished":"2021-01-02","dateModified":"2021-01-02","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/7\/70\/Reims5vor1914.jpg\/220px-Reims5vor1914.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/7\/70\/Reims5vor1914.jpg\/220px-Reims5vor1914.jpg","height":"138","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/bataille-a-reims-wikipedia\/","wordCount":8790,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le Bataille \u00e0 Reims Les guerres de lib\u00e9ration ont eu lieu le 13 mars 1814 lors du champ Winder en 1814. Ce jour-l\u00e0, une arm\u00e9e fran\u00e7aise sous Napol\u00e9on Bonaparte a attaqu\u00e9 un corps prussien-russe sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest aux portes de Reims. Le corps des troupes de la coalition a \u00e9t\u00e9 frott\u00e9 par les troupes fran\u00e7aises en peu de temps et a \u00e9t\u00e9 presque compl\u00e8tement perdue. Le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a \u00e9t\u00e9 mortellement bless\u00e9 dans la bataille. Ce fut la derni\u00e8re victoire impressionnante et convaincante \u00e0 Napol\u00e9on en 1814, qui a d\u00e9clench\u00e9 certaines irritations et pr\u00e9occupations, en particulier lorsque l’arm\u00e9e boh\u00e8me a \u00e9t\u00e9 g\u00e9r\u00e9e. Table of ContentsNapoleon in Soissons [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les mouvements des troupes russes-prussiennes sous Saint-Pr\u00e9seure [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’admission de Reims par les troupes russes-prussiennes sous Saint-Priest le 12 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’arriv\u00e9e des troupes fran\u00e7aises devant Reims le 13 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La bataille \u00e0 Barry-au-Bac le 14 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La bataille d’Epernay le 15 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les mouvements des troupes dirig\u00e9s par Napol\u00e9on du 17 au 19 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La bataille devant Barry-au-Bac et Pontavert le 18 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les mouvements du corps russe de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie jusqu’au 23 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les mouvements du corps fran\u00e7ais sous les mar\u00e9chaux Marmont et Mortier et leur pers\u00e9cution par le corps prussien de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Napoleon in Soissons [ Modifier | Modifier le texte source ]] En fin d’apr\u00e8s-midi du 10 mars 1814, Napol\u00e9on avec ses troupes se retira de Laon \u00e0 Soisson, o\u00f9 il est arriv\u00e9 \u00e0 3 h 30 du matin t\u00f4t le 11 mars 1814. Sans plus tarder le sommeil, Napol\u00e9on est imm\u00e9diatement all\u00e9 r\u00e9organiser ses troupes ainsi que la d\u00e9fense de Soissons. Toute la journ\u00e9e du 12 mars 1814, il se consacre \u00e0 ces t\u00e2ches. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Certains renforts \u00e9taient arriv\u00e9s \u00e0 Soissons: 2 400 hommes de Versailles, 1 000 hommes d’infanterie, des v\u00e9t\u00e9rans polonais qui avaient d\u00e9j\u00e0 particip\u00e9 \u00e0 la d\u00e9fense de Soisson, et une artillerie, qui a \u00e9t\u00e9 imm\u00e9diatement envoy\u00e9e aux Fismes au Corps de Marshal Marmont pour compenser les pertes du 9 mars 1814. Les unit\u00e9s de ces commandants qui avaient \u00e9chou\u00e9 en raison de la blessure ont maintenant \u00e9t\u00e9 dissous et d’autres unit\u00e9s ont frapp\u00e9. Apr\u00e8s la r\u00e9organisation, le corps du mar\u00e9chal Mortier comprenait trois divisions d’un total de 8 500 hommes parmi les g\u00e9n\u00e9raux Charpentier, Curial et Christiani et 600 hommes de cavalerie. Le corps du mar\u00e9chal Ney comprenait le Gardes d’honneur de 800 hommes, la brigade espagnole de 2 250 hommes, qui \u00e9tait maintenant command\u00e9e par le g\u00e9n\u00e9ral Rousseau, et une autre division de 2 900 hommes sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Janssen. Sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Belliard, une nouvelle cavalerie de corps a \u00e9t\u00e9 install\u00e9e, avec les dragons de Roussel de 1 880 coureurs et 1 800 cavaliers. Napol\u00e9on lui-m\u00eame a command\u00e9 la premi\u00e8re division de la vieille garde sous le g\u00e9n\u00e9ral Friant et l’artillerie de r\u00e9serve sous le g\u00e9n\u00e9ral Drouot avec un total de 6 800 hommes, ainsi que la cavalerie gardienne avec 4200 coureurs parmi les commandants Colbert, Exelmans et LeTort. Sebastiani, qui est venu de son up et a rejoint Napol\u00e9on \u00e0 Soissons, est devenu le g\u00e9n\u00e9ral commandant de toute Gardekavallerie. Sous le commandement personnel de Napol\u00e9on, 1 500 autres hommes de cavalerie et une division de la jeune garde sous le g\u00e9n\u00e9ral Henrion avec 3 000 hommes. En raison des pertes importantes que les Fran\u00e7ais avaient subies depuis le 7 mars 1814, les forces de la division avaient consid\u00e9rablement diminu\u00e9. [2] L’arm\u00e9e napol\u00e9onienne apr\u00e8s la r\u00e9organisation le 11\/12. Mars 1814 [3] Unit\u00e9 le commandant Commandant du corps Force des troupes Division Alte Garde G\u00e9n\u00e9ral Friant Napol\u00e9on Bonaparte 6 800 Division de la garde Junge General Henrion Napol\u00e9on Bonaparte 3 000 Cavalerie G\u00e9n\u00e9ral Sebastiani Napol\u00e9on Bonaparte 4 200 Infanterie-Division G\u00e9n\u00e9ral Charpentier Mar\u00e9chal Mortier inconnu Infanterie-Division Curial g\u00e9n\u00e9ral Mar\u00e9chal Mortier inconnu Infanterie-Division Christian Mar\u00e9chal Mortier inconnu cavalerie l\u00e9g\u00e8re M\u00e9borance g\u00e9n\u00e9rale Mar\u00e9chal Mortier 800 Gardes d’Honneur General Defrance Mar\u00e9chal Ney 800 Brigade espagnole G\u00e9n\u00e9ral Rousseau Mar\u00e9chal Ney 2.250 Infanterie-Division G\u00e9n\u00e9ral Janssen Mar\u00e9chal Ney 2.900 Dragons G\u00e9n\u00e9ral Roussel General Belliard 1.800 Cavalerie mixte G\u00e9n\u00e9ral Berckheim General Belliard 1.800 Infanterie-Division G\u00e9n\u00e9ral Ricard Mar\u00e9chal Marmont inconnu Infanterie-Division G\u00e9n\u00e9ral Lagrange Mar\u00e9chal Marmont inconnu Infanterie-Division G\u00e9n\u00e9ral Arrighi Mar\u00e9chal Marmont inconnu cavalerie G\u00e9n\u00e9ral Bordesoulle Mar\u00e9chal Marmont 1.800 Le 12 mars 1814, Napol\u00e9on a appris que la ville de Reims, qui avait auparavant un petit \u00e9quipage fran\u00e7ais sous le g\u00e9n\u00e9ral Corbineau, avait \u00e9t\u00e9 occup\u00e9e par des troupes russes et prussiennes sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Saint-pr\u00eatre. L’\u00e9quipage fran\u00e7ais avait fui vers l’ouest et le g\u00e9n\u00e9ral Corbineau lui-m\u00eame a \u00e9t\u00e9 perdu. Dans la soir\u00e9e du 12 mars 1814 \u00e0 18h00, Napol\u00e9on a envoy\u00e9 un courrier au Corps du mar\u00e9chal Marmont \u00e0 Fismes avec le commandement avec le jour du jour du 13 mars 1814. D\u00e9j\u00e0 le m\u00eame soir du 12 mars 1814, le mar\u00e9chal Ney s’est ouvert avec son corps, la division de la vieille garde, la cavalerie gardienne et l’artillerie de r\u00e9serve de Soissons \u00e0 Reims. Napol\u00e9on lui-m\u00eame a quitt\u00e9 Soissons avec le jour du jour du 13 mars 1814 pour suivre ses troupes \u00e0 Reims. La distance entre les soissons \u00e0 Reims est de 60 km, la distance entre les fisme \u00e0 Reims 30 km. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les mouvements des troupes russes-prussiennes sous Saint-Pr\u00e9seure [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les troupes russes sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest appartenaient au Langeron Corps. Apr\u00e8s la transition sur le Rhin dans les premiers jours de janvier 1814, ils ont d’abord \u00e9t\u00e9 \u00e9loign\u00e9s par Koblenz, mais ont ensuite \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9s pour bloquer la forteresse de la Mayenture. Ce n’est que le 15 f\u00e9vrier 1814 que le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a pu marcher \u00e0 Nancy avec trois infanteries et un r\u00e9giment de cavalerie. De l\u00e0, ses troupes ont d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 en champagne Ch\u00e2lons-en. Le 28 f\u00e9vrier 1814, le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a atteint le commandement du Feldmarschall Blucher, qui a assum\u00e9 les troupes prussiennes Landwehr du major-g\u00e9n\u00e9ral Jagow d’environ 6000 hommes et a continu\u00e9 de le notifier de tirer cinq r\u00e9giments laiss\u00e9s derri\u00e8re \u00e0 Mainz et avec ses troupes pour s\u00e9curiser le lien entre l’arm\u00e9e boh\u00e8me et la si\u00e9sienne. Afin de remplir cette t\u00e2che, le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a ordonn\u00e9 que les troupes prussiennes devaient remplir Vitry et Saint-Dizier. Lorsque la ville de Reims a de nouveau \u00e9t\u00e9 occup\u00e9e par les troupes napol\u00e9oniennes le 5 mars 1814, Saint-Priest a emm\u00e9nag\u00e9 pour la premi\u00e8re fois avec ses troupes russes pr\u00e8s de Ch\u00e2lon et a march\u00e9 contre Reims le 7 mars 1814. Le 8 mars 1814, Saint-Priest a appel\u00e9 une premi\u00e8re attaque ind\u00e9cise contre Reims, dans laquelle ses troupes ont \u00e9t\u00e9 soutenues par les cosaques de Tettenborn. Cette premi\u00e8re attaque a \u00e9chou\u00e9. En cons\u00e9quence, Saint-Priest a \u00e9galement \u00e9voqu\u00e9 les troupes prussiennes restantes qui sont arriv\u00e9es le 11 mars. Le m\u00eame jour, les cinq derniers r\u00e9giments russes de Maypied sont \u00e9galement arriv\u00e9s et ont comment\u00e9 Beaumont au sud-est de Reims. Saint-Priest avait d\u00e9sormais 14 \u00e0 15 000 hommes, les deux tiers des Russes et un tiers de la Prusse. Il a ordonn\u00e9 une autre attaque contre la ville de Reims pour le 12 mars suivante 1814, 5 h 00. L’admission de Reims par les troupes russes-prussiennes sous Saint-Priest le 12 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La cath\u00e9drale de Reims, Enregistrement \u00e0 partir de 1914 Le 12 mars 1814, Reims a \u00e9t\u00e9 d\u00e9fendu par trois bataillons d’infanterie fran\u00e7ais, 100 coureurs et 50 gendarmes. De plus, il y avait environ 1000 hommes de la ville de Reims qui avaient \u00e9t\u00e9 habitu\u00e9s \u00e0 la Garde nationale. Ce petit groupe \u00e9tait sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Corbineau. Ce dernier avait d\u00e9j\u00e0 envoy\u00e9 une visite \u00e0 Soisson \u00e0 Napol\u00e9on le 11 mars 1814 et avait demand\u00e9 un soutien contre les troupes ennemies qui s’approchaient. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4L’attaque des troupes russes-prussiennes devait \u00eatre faite par trois colonnes op\u00e9rant s\u00e9par\u00e9ment. Deux des colonnes \u00e9taient principalement compos\u00e9es d’\u00e9quipes russes, la troisi\u00e8me de la Prusse. Ce dernier \u00e9tait cens\u00e9 mener une attaque impossible de l’Ouest contre Reims t\u00f4t le matin. Le g\u00e9n\u00e9ral Jagow a r\u00e9cup\u00e9r\u00e9 ses hommes \u00e0 5h00 du matin au village de Cormonreuil tr\u00e8s pr\u00e8s de la porte de la ville de Paris de Reims. Peu de temps apr\u00e8s, Jagow a eu ce but de l’artillerie, puis a pris d’assaut deux bataillons de Landwehr de Pommer. Apr\u00e8s seulement une heure, les Prussiens sont entr\u00e9s dans la ville et ont occup\u00e9 leurs portes et le march\u00e9. Les d\u00e9fenseurs fran\u00e7ais ont fui vers le nord ou l’ouest de la ville, se sont cach\u00e9s dans leurs maisons ou sont tomb\u00e9s en captivit\u00e9. Lorsque les colonnes russes, qui s’\u00e9taient \u00e9gar\u00e9es la nuit, sont arriv\u00e9es devant Reims, la ville \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 occup\u00e9e par les Prussiens. 800 coureurs des Fran\u00e7ais Gardes d’Honneur , que Napol\u00e9on avait envoy\u00e9 toutes ses troupes lors du premier appel \u00e0 l’aide du g\u00e9n\u00e9ral Corbineau, entendu l’artillerie et s’est pr\u00e9cipit\u00e9 pour soutenir les d\u00e9fenseurs de la ville. Cependant, au plus fort de La Neuvitte, ils ont \u00e9t\u00e9 renvoy\u00e9s par les dragons russes sup\u00e9rieurs aux chiffres et ont d\u00fb se retirer en position d’attente en Occident. Cependant, leur intervention a permis aux Fran\u00e7ais qui se tournaient initialement vers la fuite au nord de s’\u00e9chapper vers l’ouest via le pont pr\u00e8s de St. Brice et plus tard pour s’unir avec les troupes de Napol\u00e9on. Apr\u00e8s avoir pris Reims, le g\u00e9n\u00e9ral Saint a provoqu\u00e9 les instructions suivantes: Les troupes russes devraient faire des soir\u00e9es \u00e0 Reims, les villages prussiens de l’ouest de la ville. \u00c0 cette \u00e9poque, le g\u00e9n\u00e9ral Jagow a command\u00e9 12 bataillons prussiens, qu’il a distribu\u00e9s dans la voie suivante aux villages devant Reims: deux \u00e0 Rosnay, un \u00e0 Muizon sur le Vesle, trois bataillons \u00e0 Gueux et Thillois, deux \u00e0 l’\u00e9pisode, un \u00e0 Ormonreuil. Le dernier bataillon a \u00e9t\u00e9 envoy\u00e9 \u00e0 Sillery. Saint-Priest a continu\u00e9 \u00e0 d\u00e9tenir deux services le lendemain: un pour les troupes russes de la cath\u00e9drale de Reims, une pour les troupes prussiennes \u00e0 l’ext\u00e9rieur de la ville. Saint-Priest avait re\u00e7u un message de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie de l’issue de la bataille de Laon. Il avait \u00e9t\u00e9 inform\u00e9 que les troupes de la coalition avaient remport\u00e9 une grande victoire et que Napol\u00e9on \u00e9tait en retraite en fuite. Saint-excit\u00e9 des Kuriers qui ont continu\u00e9 \u00e0 porter ce message dans le si\u00e8ge de l’arm\u00e9e boh\u00e8me au sud. Il \u00e9tait lui-m\u00eame compl\u00e8tement convaincu de l’exactitude de ce message et croyait fermement que les troupes napol\u00e9oniennes de Soissons n’avaient aucun danger pour lui. Le Vesle ci-dessous Reims La ville de Reims est situ\u00e9e \u00e0 l’est de la petite rivi\u00e8re Vesle sur une colline. Reims comptait 30 000 habitants en 1814 et avait quatre \u00e0 cinq fois la taille des villes de Laon et Soissons. Reims a \u00e9t\u00e9 renforc\u00e9 par un fort mur de la ville. En 1814, il existait toujours dans ses parties essentielles, seulement \u00e0 l’ouest le long de la rivi\u00e8re, elle a \u00e9t\u00e9 d\u00e9molie et il y avait une promenade pour les citoyens de Reims. Le pont sur le Vesle a conduit directement \u00e0 l’objectif parisien de la ville, qui \u00e9tait fortement fortifi\u00e9 et pouvait bien d\u00e9fendre. La rivi\u00e8re a \u00e9galement acc\u00e9d\u00e9 \u00e0 la ville de l’ouest: elle n’\u00e9tait pas significative, mais elle \u00e9tait ancr\u00e9e dans un lit de rivi\u00e8re profonde avec des rives escarp\u00e9es. Toutes les batailles ont eu lieu \u00e0 l’ouest de Reims ou au nord le long de la route de Berry-au-Bac. L’arriv\u00e9e des troupes fran\u00e7aises devant Reims le 13 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans les heures du matin du 13 mars 1814, le corps du mar\u00e9chal Marmont de la ville de Reims s’est approch\u00e9. Dans le village de Rosnay et la ville de Jonchery, la cavalerie fran\u00e7aise s’est rencontr\u00e9e pour la premi\u00e8re fois sur des coureurs ennemis qui se sont retrouv\u00e9s imm\u00e9diatement. Lorsque le g\u00e9n\u00e9ral Jagow a re\u00e7u un message de l’apparition des Fran\u00e7ais, il a imm\u00e9diatement ordonn\u00e9 que les bataillons de Rosnay et de Muizon se retirent \u00e0 Reims. Cependant, son commandement n’est plus venu \u00e0 Rosnay \u00e0 temps. Les deux bataillons de la Landwehr prussiens y ont \u00e9t\u00e9 le petit d\u00e9jeuner lorsque les troupes fran\u00e7aises ont atteint l’endroit. Certains d’entre eux ont \u00e9t\u00e9 imm\u00e9diatement retir\u00e9s ou captur\u00e9s, un autre homme a \u00e9t\u00e9 r\u00e9ussi \u00e0 passer sur la place jusqu’au village d’Ormes et \u00e0 trouver une couverture derri\u00e8re les murs d’un cimeti\u00e8re. Ils se sont d\u00e9fendus jusqu’\u00e0 ce qu’un infanterie enti\u00e8re arrive dans le Marmont Corps Corps, puis se pr\u00e9sente et se pr\u00e9sente. Lorsque les Prussiens captur\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 conduits \u00e0 l’ouest de la rue \u00e0 Fismes, Napol\u00e9on les a rencontr\u00e9s, qui sont sortis de sa voiture pour regarder la marche du prisonnier. Le g\u00e9n\u00e9ral Prusse Jagow lui-m\u00eame a \u00e9t\u00e9 surpris par les Fran\u00e7ais de Gueux et s’est \u00e9chapp\u00e9 scaniquement sur un cheval non sp\u00e9cifi\u00e9. D’autres troupes prussiennes ont \u00e9t\u00e9 surpris \u00e0 Thillois pendant le sommeil et ont d\u00fb se d\u00e9fendre dans les chemises de leur peau. Au cours de la matin\u00e9e, les troupes du Marmont Corps \u00e0 l’ouest de la ville de Reims se sont positionn\u00e9es et, comme cela a \u00e9t\u00e9 ordonn\u00e9e, attendait l’arriv\u00e9e de Napol\u00e9on. Le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a \u00e9t\u00e9 inform\u00e9 par la Prusse \u00e9chapp\u00e9e de l’arriv\u00e9e des troupes ennemies. Ils ont trouv\u00e9 le g\u00e9n\u00e9ral au service de la cath\u00e9drale, o\u00f9 il a \u00e9t\u00e9 tr\u00e8s agress\u00e9 par leurs rapports. Il ne croyait en aucun cas que ce pourrait \u00eatre une plus grande accumulation de troupes fran\u00e7aises, et ne se d\u00e9roulait entre 13 h 00 et 14 h 00 devant l’objectif de Paris pour voir ce qui allait arriver. Marschall Marmont s’est toujours comport\u00e9 inactif avec ses troupes, mais le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest pourrait tr\u00e8s bien reconna\u00eetre la marche de l’infanterie et de l’artillerie. C’est pourquoi il a donn\u00e9 le commandement \u00e0 ses troupes pour s’installer en deux lignes \u00e0 l’ouest de la ville le long des hauteurs de Sainte Genevi\u00e8ve. \u00c0 Tinqueux, l’aile droite se pencha contre la rivi\u00e8re Vesle et \u00e9tait couverte de cavalerie comme la gauche. Au total, 22 bataillons \u00e9taient d’infanterie, 1200 coureurs et 24 canons positionn\u00e9s. Le pont en sillerie [4] Au sud de Reims, \u00e9tait occup\u00e9 et gard\u00e9 par un bataillon prussien, mais il a \u00e9t\u00e9 omis de remplir le pont \u00e0 St. Brice dans le nord car il \u00e9tait consid\u00e9r\u00e9 comme inutilisable \u00e0 l’\u00e9poque. \u00c0 travers ces mesures, les troupes russes-prussiennes ont \u00e9t\u00e9 incluses entre la rivi\u00e8re et la ville dans le dos et les forces fran\u00e7aises, dont ils ne savaient m\u00eame pas. Lorsqu’un Fran\u00e7ais captur\u00e9 a dit que Napol\u00e9on s’attendait personnellement, Saint-Priest a \u00e9t\u00e9 interrog\u00e9 par l’un de ses g\u00e9n\u00e9raux, o\u00f9 se trouvait sa propre retraite. Il a r\u00e9pondu avec condescendance: “Pourquoi devrions-nous y penser tant que nous vivons encore!” – G\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest, une heure avant sa retraite Vers 4 h 00, le 13 mars 1814, Napol\u00e9on est arriv\u00e9 devant Reims. En vue de la position d\u00e9favorable russe-prussienne, il a exprim\u00e9 la remarque: “Les femmes de Reims auront un quart d’heure inconfortable” – Napol\u00e9on le 13 mars 1814 devant Reims Puis il a organis\u00e9 l’attaque frontale du Marmont Corps contre la position ennemie, dont les deux flancs ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 attaqu\u00e9s par la cavalerie, en particulier la gauche, le sud, contre laquelle les coureurs de Napol\u00e9on 8000. Les Fran\u00e7ais ont utilis\u00e9 40 canons. En raison de l’attaque fran\u00e7aise forc\u00e9e, les troupes russes-prussiennes ont imm\u00e9diatement eu des ennuis, et Saint-Priest a commenc\u00e9 \u00e0 passer les premiers ordres de retraite: il a ordonn\u00e9 que la deuxi\u00e8me ligne se retire par la porte de Paris, puis dans la rue jusqu’\u00e0 Berry-au-Bac. La premi\u00e8re ligne, en revanche, devrait couvrir cette partie du dos et arr\u00eater l’ennemi. Imm\u00e9diatement apr\u00e8s, le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a \u00e9t\u00e9 bris\u00e9 son \u00e9paule droite par un \u00e9clat de grance et il a \u00e9chou\u00e9 en tant que g\u00e9n\u00e9ral commandant. Sans leadership direct, ses troupes sont encore plus d\u00e9sordonn\u00e9es. La “Paris Gate” d’aujourd’hui a peu avec la porte de la ville fortement fortifi\u00e9e de 1814 Apr\u00e8s tout, un r\u00e9giment russe a r\u00e9ussi \u00e0 amener le Saint-Priries bless\u00e9 \u00e0 la porte de Paris de Reims sous la protection d’un camouflage et avec une d\u00e9fense vigoureuse contre les attaques fran\u00e7aises, d’o\u00f9 il pourrait plus tard \u00eatre amen\u00e9 \u00e0 la s\u00e9curit\u00e9 de la ville. La cavalerie fran\u00e7aise a entrepris des attaques violentes r\u00e9p\u00e9t\u00e9es pendant cette p\u00e9riode et il a \u00e9t\u00e9 possible de faire avancer les escadrons individuels vers la rivi\u00e8re et le mur de la ville de Reims. Dans le m\u00eame temps, les associations prussiennes et russes ont tent\u00e9 d’atteindre la s\u00e9curit\u00e9 pr\u00e9liminaire gr\u00e2ce \u00e0 la seule porte disponible de la ville, l’objectif de Paris, a subi de fortes pertes. La foule sur le pont au-dessus du Vesle, devant la porte de la ville et dans la ville, a augment\u00e9 de minute en minute et les rues ont rapidement \u00e9t\u00e9 compl\u00e8tement bouch\u00e9es. De nombreux joueurs de cavalerie prussiens ont simplement laiss\u00e9 leurs chevaux devant la porte de la ville pour s’\u00e9chapper \u00e0 pied \u00e0 travers la ville. Ses chevaux ont \u00e9t\u00e9 captur\u00e9s par les Fran\u00e7ais le lendemain matin. Plus tard, la porte parisienne fortement fortifi\u00e9e a \u00e9t\u00e9 ferm\u00e9e et a ensuite \u00e9t\u00e9 d\u00e9fendue par cinq r\u00e9giments russes, tandis que le reste des troupes russes-prussiennes a tir\u00e9 dans la ville et a tent\u00e9 de s’\u00e9chapper dans la rue jusqu’\u00e0 Barry-au-Bac. Les Fran\u00e7ais n’ont r\u00e9ussi qu’\u00e0 minuit pour conqu\u00e9rir l’objectif de Paris, puisque des tireurs d’\u00e9lite russes du mur de la ville sur les troupes fran\u00e7aises, en particulier leurs artilleurs, pour ajouter des pertes importantes. Apr\u00e8s minuit, les premiers fran\u00e7ais ont pu entrer dans la ville, o\u00f9 les batailles se sont arr\u00eat\u00e9es jusqu’\u00e0 2h00. Ce n’est qu’alors que Napol\u00e9on \u00e9tait possible d’entrer dans la ville lui-m\u00eame, dont les citoyens ont \u00e9t\u00e9 accueillis avec enthousiasme cette nuit-l\u00e0. \u00c0 ce moment-l\u00e0, le vieux Crew of Reims est sorti, dans la mesure o\u00f9 il s’\u00e9tait cach\u00e9 dans les maisons, y compris le g\u00e9n\u00e9ral Corbineau, qui avait \u00e9t\u00e9 perdu entre-temps. Dans le pass\u00e9, les Fran\u00e7ais avaient d\u00e9j\u00e0 r\u00e9ussi \u00e0 saisir le pont \u00e0 St. Brice au nord-ouest de Reims et \u00e0 se tenir debout \u00e0 court pr\u00e9avis. Les Ulans polonais et la division de cavalerie d’Excelmans ont travers\u00e9 le Vesle l\u00e0-bas et p\u00e9n\u00e9tr\u00e9 les troupes russes et prussiennes qui \u00e9taient en mouvement le long de la rue jusqu’\u00e0 Barry-au-Bac. Ceux-ci ont \u00e9t\u00e9 s\u00e9par\u00e9s et plusieurs d’entre eux ont \u00e9t\u00e9 forc\u00e9s de continuer leur \u00e9vasion au nord ou au sud-est. Beaucoup d’entre eux \u00e9taient toujours perdus parce que les for\u00eats au nord de la Marne \u00e9taient occup\u00e9es par des gens des pays arm\u00e9s qui ont \u00e9t\u00e9 fustill\u00e9s par chaque combattant ennemi \u00e0 lequel ils sont devenus bons. Parmi ceux qui ont pu continuer leur \u00e9vasion au nord, y compris le g\u00e9n\u00e9ral Jagow, ont atteint le premier Barry Au-Bac \u00e0 5h00 le lendemain matin; D’un autre c\u00f4t\u00e9, ceux qui avaient \u00e9t\u00e9 pouss\u00e9s plus loin vers l’est n’ont atteint plus tard l’asne \u00e0 Neufch\u00e2tel-sur-Aisne \u00e0 l’est de Barry-au-Bac. Le g\u00e9n\u00e9ral Saint-Priest a \u00e9t\u00e9 amen\u00e9 \u00e0 Laon par ses russes les plus fid\u00e8les, o\u00f9 il est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 16 jours plus tard et a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9 dans la cath\u00e9drale. Du c\u00f4t\u00e9 fran\u00e7ais, seulement 4 000 hommes ont \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9s tout au long de la bataille et 4 000 coureurs. Celles-ci avaient \u00e9t\u00e9 suffisantes pour conduire plus de 14 000 Russes et Prusse de Reims. [5] Napol\u00e9on est rest\u00e9 \u00e0 Reims pendant trois jours, 14, 15 et 16 mars 1814 et a utilis\u00e9 le temps pour organiser davantage ses troupes. Le premier jour, il a ordonn\u00e9 que Marschall Marmont et ses troupes suivent les Russes en fuite et la Prusse du Nord, en direction de Barry-au-Bac, mais le mar\u00e9chal Ney devrait suivre les r\u00e9fugi\u00e9s dans les rues jusqu’\u00e0 Ch\u00e2lon et Epernay. Alors que Marschall Ney atteignit bient\u00f4t Ch\u00e2lon, dont l’\u00e9quipage russe s’est retir\u00e9 \u00e0 Vitry sans r\u00e9sistance, a atteint et occup\u00e9, Marmont a rencontr\u00e9 de fortes troupes prussiennes \u00e0 Barry-au-Bac. La bataille \u00e0 Barry-au-Bac le 14 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] [6] L’endroit Barry-au-Bac est presque compl\u00e8tement au nord de l’Aisne, \u00e0 seulement quelques maisons au sud de la rivi\u00e8re. L\u00e0, dans la rue \u00e0 Reims, une position de Prusse Hussars s’\u00e9tait positionn\u00e9e avec 60 coureurs. Vers midi le 14 mars 1814, ils ont remarqu\u00e9 l’approche d’un plus grand contingent de cavalerie fran\u00e7ais. Ils ont imm\u00e9diatement signal\u00e9 cela \u00e0 la cavalerie prussienne, qui se trouvait au nord de l’Aisne \u00e0 Barry-au-Bac et \u00e9galement \u00e0 Neufch\u00e2tel-sur-Aisne. Maintenant, la situation \u00e9tait le cas que le pont endommag\u00e9 de Barry-au-Bac n’avait \u00e9t\u00e9 fait que debout en termes d’entretien et ne pouvait \u00eatre pass\u00e9 que par les cavaliers, qui devaient conduire leurs chevaux sur les r\u00eanes. Initialement, il \u00e9tait seulement possible d’amener l’escadron individuel sur la rivi\u00e8re pour renforcer. Trois Eskadron Leibhusaren \u00e9taient toujours au sud de l’Aisne dans la rue \u00e0 Fismes. Au cours de l’heure suivante, 10 cavaliers fran\u00e7ais d’escadron se sont rassembl\u00e9s au sud de l’Aisne devant Barry-au-Bac. Cependant, les cavaliers prussiens num\u00e9riques inf\u00e9rieurs ont r\u00e9ussi \u00e0 maintenir le dessus sur les man\u0153uvres habiles et aux amendes, pour faire 200 prisonniers, y compris de nombreuses blessures, et pour ramener les Fran\u00e7ais vers le sud. De l\u00e0, cependant, une division d’infanterie enti\u00e8re du Marmont Corps est venue et a forc\u00e9 les cavaliers prussiens par leur apparition pour retourner aux hommes pour les hommes. M\u00eame avant le soir, l’infanterie fran\u00e7aise et l’artillerie ont occup\u00e9 les rives sud de l’Aisne et ont commenc\u00e9 \u00e0 licencier Barry-au-Bac, apr\u00e8s quoi de grandes parties de l’endroit s’ouvrit bient\u00f4t. Jusqu’au lendemain matin, tout l’endroit \u00e9tait en cendres. Les Prussiens ont \u00e9t\u00e9 forc\u00e9s par l’incendie de quitter Barry-au-Bac, ce qui a permis aux Fran\u00e7ais de saisir le pont le lendemain et d’attacher des mines explosives l\u00e0-bas. Au cours de leur d\u00e9duction quelques jours plus tard, ils ont compl\u00e8tement d\u00e9truit ce pont. Marschall Marmont est apparu pendant la journ\u00e9e avec ses troupes devant Barry-au-Bac et a pris son si\u00e8ge social dans la cornacie. La bataille d’Epernay le 15 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le matin jusqu’au 15 mars 1814, les troupes fran\u00e7aises ont march\u00e9 dans la vall\u00e9e de Marne dans la rue de Reims \u00e0 Epernay. [7] \u00c0 Epernay, certains pouvoirs cosaques \u00e9taient sous le commandement du g\u00e9n\u00e9ral Tettenborn et de deux Escadron Prussian Landwehr. Au total, 300 Fran\u00e7ais accompagn\u00e9s de trois cavaliers d’escadron se sont approch\u00e9s du Marnebr\u00fccke \u00e0 Epernay. Deux pouvoirs Cossack les ont attaqu\u00e9s au nord de la Marne, chass\u00e9 les coureurs fran\u00e7ais et captur\u00e9 les fantassins. Dans le m\u00eame temps, le Marnebr\u00fccke a \u00e9t\u00e9 gravement endommag\u00e9 par une explosion accidentelle. Ce n’est qu’en difficult\u00e9 que les Cosaques sont revenus \u00e0 la rive sud. L\u00e0, ils ont amen\u00e9 les deux seuls armes \u00e0 les positionner et ont d\u00e9fendu les restes du pont contre les Fran\u00e7ais qui seront bient\u00f4t massifs jusqu’\u00e0 ce que leur artillerie les distribuait des rives de Marne. Les Cosaques et le Landwehr prussien se sont retir\u00e9s au sud-est sans autre pertes, ont \u00e9vit\u00e9 Ch\u00e2lon, qui \u00e9tait occup\u00e9 par le mar\u00e9chal Ney et ses troupes. Mais d\u00e8s le 19 mars 1814, ce sont les m\u00eames cosaques qui sont apparus le matin aux portes ferm\u00e9es de Ch\u00e2lon et avec la violence ont eu acc\u00e8s \u00e0 la ville. La ville a \u00e9t\u00e9 laiss\u00e9e le 18 mars 1814 par les troupes fran\u00e7aises de Neys, qui se sont r\u00e9unis dans le sud de l’Aube avec les troupes dirig\u00e9es par Napol\u00e9on. Les mouvements des troupes dirig\u00e9s par Napol\u00e9on du 17 au 19 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au cours des trois jours que Napol\u00e9on a pass\u00e9s \u00e0 Reims, des renforts sont arriv\u00e9s des forteresses de Lorraine, qui ont \u00e9t\u00e9 principalement incorpor\u00e9es dans le corps du mar\u00e9chal Marmont et Mortier. De plus, quelques milliers d’hommes de la Garde nationale de la r\u00e9gion environnante sont arriv\u00e9s \u00e0 Reims, dont certains ont \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9s, mais ont d\u00fb \u00eatre renvoy\u00e9s chez eux dans certains cas, car il n’y avait pas assez de fusils disponibles pour l’armement. Napol\u00e9on a quitt\u00e9 Reims le 17 mars 1814 avec pas plus de 10 000 hommes d’infanterie et 6 000 coureurs et a atteint Epernay ce jour-l\u00e0, o\u00f9 il a pass\u00e9 la nuit. Le lendemain, il atteignit F\u00e8re Champenoise, et le 19 mars 1814 Plancy sur l’Aube. [8] La bataille devant Barry-au-Bac et Pontavert le 18 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Quand il est devenu connu au si\u00e8ge de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie au cours du 17 mars 1814 que Napol\u00e9on Reims avait quitt\u00e9 le sud, le courage d’envoyer le Prussian Corps sous York et Kleist pour prendre Barry-au-Bac. Dans le m\u00eame temps, la cavalerie du Corps russe Wintzingerode pr\u00e8s d’Asfeld devrait traverser l’Aisne et les troupes fran\u00e7aises du Corps Marmont, qui dominait la rive sud de l’Aisne, de l’est. Prendre Barry-au-Bac n’\u00e9tait en aucun cas facile pour les Prussiens. Parce que la rive sud de la rivi\u00e8re \u00e9tait plus \u00e9lev\u00e9e que la rive nord, l’artillerie fran\u00e7aise, qui y \u00e9tait avantageuse, a pu \u00e9loigner les Prussiens de la rive nord. Le g\u00e9n\u00e9ral Kleist a envoy\u00e9 deux bataillons et une unit\u00e9 pionni\u00e8re \u00e0 Pontavert \u00e0 l’ouest de Barry-au-Bac dans la nuit du 18 mars 1814 pour construire \u00e0 nouveau un pont sur l’Aisne. Le vieux pont en bois, qui se tenait une fois l\u00e0, avait \u00e9t\u00e9 br\u00fbl\u00e9 et ne pouvait pas \u00eatre restaur\u00e9. Cependant, les pionniers n’ont trouv\u00e9 aucun mat\u00e9riau de construction pour un pont. La seule solution \u00e9tait de couvrir les maisons environnantes et de piller le bois des fermes de toit. Les progr\u00e8s de la construction de ponts ont \u00e9t\u00e9 lents et, lorsque le 18 mars 1814, \u00e0 10 h 30, l’artillerie fran\u00e7aise, six canons ont \u00e9t\u00e9 cach\u00e9s sur la rive sud et tir\u00e9s sur les pionniers pendant la construction de ponts, ce dernier n’a pas pu continuer. Les tireurs d’\u00e9lite fran\u00e7ais, qui se trouvaient \u00e9galement sur la rive sud, ont \u00e9galement emp\u00each\u00e9 toute approche du chantier de construction. Les Prussiens n’avaient pas le choix en attendant l’apparition des cosaques russes sous leur chef Tschernyschow. Cependant, ceux-ci ne sont apparus que dans l’apr\u00e8s-midi avanc\u00e9: puisque les Fran\u00e7ais avaient d\u00e9truit le pont \u00e0 Asfeld la nuit pr\u00e9c\u00e9dente, les Cosaques ont d\u00fb se d\u00e9placer plus \u00e0 l’est vers Balham avant de trouver une transition sur l’Aisne. Pour Marschall Marmont, cependant, l’apparition des Cosaques \u00e9tait le signe \u00e0 retirer. Il lui avait \u00e9t\u00e9 clair qu’il ne pouvait pas durer longtemps contre la masse de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie, qu’il regardait sur la rive nord de l’Aisne depuis trois jours. Il s’est retir\u00e9 \u00e0 Fismes avec ses troupes via Roucy et a fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 une position favorable au sud de la ville sur une hauteur de Mont-Saint-Martin. Auparavant, les Fran\u00e7ais ont allum\u00e9 les explosifs explosifs sur les restes du pont \u00e0 Barry-au-Bac, afin que le Prussian Corps Under York, qui, comme tous les corps prussiens, n’ait pas eu \u00e0 attendre un pont Ponton jusqu’\u00e0 ce que celui du corps russe soit amen\u00e9. Elle est arriv\u00e9e le soir et le pont a \u00e9t\u00e9 achev\u00e9 jusqu’au matin du lendemain. Le corps prussien sous Kleist pourrait enfin d\u00e9passer l’Aisne lorsque ses pionniers ont termin\u00e9 le pont \u00e0 Pontavert le soir. Seuls les Hussars avaient trouv\u00e9 une Ford plate sous terre \u00e0 travers l’Aisne, qui pouvait attendre leurs chevaux sans avoir \u00e0 craindre les dommages aux animaux dans le froid hivernal. Ils ont suivi les Fran\u00e7ais, captur\u00e9 certains hommes de la r\u00e9bellion et ont \u00e9t\u00e9 repouss\u00e9s des fisme par un feu d’artillerie violent. Blucher a d\u00e9plac\u00e9 son si\u00e8ge social \u00e0 Corgeny le soir. Les mouvements du corps russe de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie jusqu’au 23 mars 1814 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Alors que le Corps de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie n’avait d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 qu’un peu d’ici le 18 mars 1814, Blucher et son personnel g\u00e9n\u00e9ral ont de nouveau ordonn\u00e9 aux premiers mouvements majeurs du 19 mars 1814: le Korps Wintzingerode a \u00e9t\u00e9 charg\u00e9 de traverser l’Aisne apr\u00e8s le Corps prussien Yorck \u00e0 Barry-Au-Bac, puis en mars. La cavalerie a \u00e9t\u00e9 attach\u00e9e pour utiliser la m\u00eame transition ou pour restaurer le pont dans Asfeld \u00e0 ses fins. Ce dernier a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 mis en \u0153uvre et Reims, qui avait \u00e9t\u00e9 laiss\u00e9 par toutes les troupes fran\u00e7aises jusqu’au soir, a de nouveau \u00e9t\u00e9 occup\u00e9e. Les deux autres sacs du Corps russe et Langeron ont mont\u00e9, le Corps s’affiche \u00e0 Pontavert et au Corps Langeron \u00e0 Barry-au-Bac. Blucher lui-m\u00eame a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 son si\u00e8ge social \u00e0 Barry-au-Bac. Le 20 mars 1814 est pass\u00e9 \u00e0 nouveau avec des ponts: le Corps Sag a mis le pont de ponton \u00e0 Barry-au-Bac dans un endroit \u00e0 l’ouest de Pontavert et le Langeron Corps a construit un nouveau pont de fortune \u00e0 Barry-au-Bac. Le Corps Wintzingerode a gard\u00e9 Reims occup\u00e9 et a pouss\u00e9 son avant-garde sur Ch\u00e2lon jusqu’\u00e0 la vatry au sud de Ch\u00e2lon. Le Prussian Corps B\u00fclow, qui avait auparavant couvert la ligne de retraite \u00e0 Laon, a march\u00e9 vers Soissons et a commenc\u00e9 \u00e0 si\u00e8ge. Le 21 mars 1814, un deuxi\u00e8me pont auxiliaire a \u00e9t\u00e9 construit \u00e0 Barry-au-Bac, les sacs du Corps russe et Langeron ont travers\u00e9 l’Aisne et occupa toute la rive sud de la rivi\u00e8re de Barry-au-Bac \u00e0 Soissons, par lequel les troupes individuelles aux fisme d\u00e9versant. Le 22 mars 1814, le Langeron Corps occupait la ville des fisme et les sacs du corps russe empil\u00e9s \u00e0 l’ouest de la r\u00e9gion d’Olchy. Wintzingerrode \u00e9tait toujours \u00e0 Reims, sa cavalerie occupait Epernay. Le Prussian Corps B\u00fclow a conclu Soisson et a commenc\u00e9 \u00e0 tirer sur la ville. Blucher a d\u00e9plac\u00e9 son si\u00e8ge social vers les fisme. Le 23 mars 1814, le si\u00e8ge de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie d\u00e9cida de pousser ses troupes russes plus au sud: l’infanterie du Wintzingerrode Corps a march\u00e9 vers Ch\u00e2lon, le Langeron Corps est pass\u00e9 et a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 Epernay, le Corps a \u00e9t\u00e9 d\u00e9pos\u00e9 sur les fismes vers la zone autour de Reims. Blucher a pris son si\u00e8ge social \u00e0 Reims. Les mouvements du corps fran\u00e7ais sous les mar\u00e9chaux Marmont et Mortier et leur pers\u00e9cution par le corps prussien de l’arm\u00e9e de la Sil\u00e9sie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le 17 mars 1814, le Corps du mar\u00e9chal Mortier a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 de Soisson \u00e0 Fismes. Seule une division sous Charpentier \u00e9tait rest\u00e9e avec Soissons et une Brigade prot\u00e9g\u00e9e par la Brigade. Le 18 mars 1814, Mortier a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 Reims et y avait positionn\u00e9 ses troupes en direction de Barry-au-Bac. Le 19 mars 1814, cependant, le Corps de Mortier revint vers les fisme via Jonchery pour s’unir avec le Corps Marmont. La division de la cavalerie Belliard a \u00e9t\u00e9 la derni\u00e8re \u00e0 quitter Reims lorsqu’elle \u00e9tait dans l’obscurit\u00e9, apr\u00e8s que son artillerie ait r\u00e9sist\u00e9 au russe avanc\u00e9 pendant plusieurs heures. Le m\u00eame jour, il y a eu des rencontres entre la cavalerie prussienne et les troupes du Corps Marmont \u00e0 Fismes au sud du Vesle. Le Corps Mortier Corps a quitt\u00e9 Soisson et a \u00e9galement d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 au sud de Fismes. Dans Soissons, un \u00e9quipage de 3190 hommes avec 39 canons est rest\u00e9, qui a obstin\u00e9ment d\u00e9fendu leur ville les jours suivants. Un \u00e9quipage de 620 hommes est rest\u00e9 \u00e0 Compi\u00e8gne. Le 20 mars 1814, un ordre de Napol\u00e9on est arriv\u00e9 au Marschallen Marmont et Mortier, ils devraient se d\u00e9placer vers le sud avec leurs troupes pour s’unir avec les autres troupes napol\u00e9oniennes. Le matin du 21 mars 1814, les Fran\u00e7ais ont d’abord nettoy\u00e9 les fisme et plus tard la hauteur de Mont-Saint-Martin. La majorit\u00e9 des troupes fran\u00e7aises ont d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 Oulchy-le-Ch\u00e2teau, la plus petite partie apr\u00e8s F\u00e8re-en-Dardenois, toutes deux parties plus loin de Ch\u00e2teau-Thierry sur Marne, qui a \u00e9t\u00e9 atteinte le soir du 21 mars 1814. L’itin\u00e9raire couvert de f\u00e8re-en-dardenois \u00e9tait de 43 kilom\u00e8tres, 49 kilom\u00e8tres via Oulchy. Les troupes prussiennes du Corps Yorck et Kleist ont imm\u00e9diatement suivi: imm\u00e9diatement le matin du 21 mars 1814, ils travers\u00e8rent le Vesle, occupaient des fisme et suivirent les Fran\u00e7ais sorc\u00e9s. Au cours de la journ\u00e9e, la cavalerie prussienne a tent\u00e9 de perturber les troupes fran\u00e7aises lors de la transition sur l’ORCQ, qui a \u00e9chou\u00e9. Une artillerie fran\u00e7aise forte a obtenu le pont sur la rivi\u00e8re. Les Prussiens ont r\u00e9pondu l’incendie de l’artillerie, mais devaient encore faire retirer les Fran\u00e7ais. D’autres troupes prussiennes ont occup\u00e9 F\u00e8re-en-Dardenois le 21 mars 1814. Le corps fran\u00e7ais a r\u00e9par\u00e9 le pont de Ch\u00e2teau-Thierry \u00e0 nouveau et a continu\u00e9 \u00e0 marcher au sud-est le 22 mars 1814 apr\u00e8s avoir d\u00e9truit le pont au-dessus de la Marne. Le matin du 23 mars 1814, ils se sont retrouv\u00e9s \u00e0 \u00c9tog\u00e8ne et se sont d\u00e9plac\u00e9s \u00e0 des positions \u00e0 l’est. Ils ont attrap\u00e9 un avant-poste des Cosaques russes et ont fait 100 prisonniers. L’avant-garde prussien a occup\u00e9 le ch\u00e2teau de ch\u00e2teau dans le matin le 22 mars 1814, qui \u00e9tait presque compl\u00e8tement laiss\u00e9 par ses habitants. Ces jours-ci, les Prussiens ont trouv\u00e9 presque tous les endroits au nord de la Marne, mais ont rencontr\u00e9 des tireurs de haies ici et l\u00e0, ce qui leur a inflig\u00e9 des pertes individuelles. Partout o\u00f9 cela tombait, les Prussiens ont mis le feu aux maisons abandonn\u00e9es et aux villages entiers. \u00c0 Ch\u00e2teau-Thierry, les Prussiens avaient besoin de 36 heures pour mettre un pont de fortune \u00e0 c\u00f4t\u00e9 du vieux pont de pierre d\u00e9truit. Ils n’avaient pas d’alternative car il n’y avait pas de pontons \u00e0 leur disposition. Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, le pont auxiliaire \u00e9tait termin\u00e9, les deux corps prussiens Yorck et Kleist s’\u00e9taient rassembl\u00e9s dans et autour de Ch\u00e2teau-Thierry. Blucher a d\u00e9plac\u00e9 son si\u00e8ge social \u00e0 Ch\u00e2lon le 23 mars 1814. La ville de Soissons sur l’Aisne: 49 \u00b0 23 \u2032 6 \u2033 N, 3 \u00b0 19 \u2032 51 \u2033 O L’endroit Berry-au-Bac sur l’Aisne: 49 \u00b0 24 \u2032 2 \u2033 N, 3 \u00b0 54 \u2032 2 \u2033 O L’endroit Beaumont sur Vesle au sud-est de Reims: 49 \u00b0 10 \u2032 24 \u2033 N, 4 \u00b0 11 \u2032 4 \u2033 O Le village de Cormonreuil directement \u00e0 l’ouest de Reims: 49 \u00b0 13 \u2032 21 \u2033 N, 4 \u00b0 2 \u2032 31 \u2033 O Le village de Rosnay \u00e0 l’ouest de Reims: 49 \u00b0 15 \u2032 17 \u2033 N, 3 \u00b0 51 \u2032 40 \u2033 O Le village de Muizon an der Vesle: 49 \u00b0 16 \u2032 36 \u2033 N, 3 \u00b0 53 \u2032 21 \u2033 O L’endroit Jonchery \u00e0 l’ouest de Reims sur le Vesle: 49 \u00b0 17 \u2032 22 \u2033 N, 3 \u00b0 49 \u2032 0 \u2033 O Le village d’Ormes \u00e0 l’ouest de Reims: 49 \u00b0 14 \u2032 22 \u2033 N, 3 \u00b0 57 \u2032 27 \u2033 O Der Ort Gueux vor Reims: 49 \u00b0 14 \u2032 54 \u2033 N, 3 \u00b0 54 \u2032 29 \u2033 O Le village de Thillois pr\u00e8s de Rheims: 49 \u00b0 15 \u2032 25 \u2033 N, 3 \u00b0 57 \u2032 10 \u2033 O Le village oblige \u00e0 l’ouest \u00e0 Reims: 49 \u00b0 13 \u2032 24 \u2033 N, 3 \u00b0 59 \u2032 23 \u2033 O Le pont sur le Vesle \u00e0 St.Brice: 49 \u00b0 15 \u2032 29 \u2033 N, 3 \u00b0 59 \u2032 3 \u2033 O La hauteur de La Neuvitte au nord de Reims: 49 \u00b0 17 \u2032 12 \u2033 N, 4 \u00b0 1 \u2032 0 \u2033 O Les Heights Sainte Genevi\u00e8ve au sud de l’avenue de Paris: 49 \u00b0 14 \u2032 52 \u2033 N, 4 \u00b0 1 \u2032 2 \u2033 O Le village de Tinqueux West devant Reims: 49 \u00b0 14 \u2032 51 \u2033 N, 3 \u00b0 59 \u2032 56 \u2033 O Le pont \u00e0 Sillery au sud de Reims: 49 \u00b0 11 \u2032 43 \u2033 N, 4 \u00b0 7 \u2032 54 \u2033 O Neufch\u00e2tel-sur-Aisne \u00e0 l’est de Berry-au-bac an der Aisne: 49 \u00b0 25 \u2032 57 \u2033 N, 4 \u00b0 1 \u2032 54 \u2033 O Asfeld an der aisne \u00e0 l’est de Berry-au-bac: 49 \u00b0 28 \u2032 18 \u2033 N, 4 \u00b0 6 \u2032 51 \u2033 O Balham sur l’Aisne \u00e0 l’est de Berry-au-Bac: 49 \u00b0 29 \u2032 19 \u2033 N, 4 \u00b0 9 \u2032 47 \u2033 O Pontavert sur le Aisne \u00e0 l’ouest de Berry-au-Bac: 49 \u00b0 24 \u2032 12 \u2033 N, 3 \u00b0 49 \u2032 13 \u2033 O Roucy au sud-ouest de Pontavert: 49 \u00b0 22 \u2032 17 \u2033 N, 3 \u00b0 48 \u2032 53 \u2033 O Cormacy, au sud de Berry-au-Bac: 49 \u00b0 22 \u2032 19 \u2033 N, 3 \u00b0 53 \u2032 50 \u2033 O L’endroit s’acc\u00e9l\u00e8re sur le Vesle, \u00e0 mi-chemin entre Soissons et Reims: 49 \u00b0 18 \u2032 28 \u2033 N, 3 \u00b0 41 \u2032 3 \u2033 O Mont-Saint-Martin au sud-ouest de Fismes: 49 \u00b0 16 \u2032 55 \u2033 N, 3 \u00b0 38 \u2032 22 \u2033 O La transition entre Coulandon et Magnneux via le Vesle: 49 \u00b0 18 \u2032 42 \u2033 N, 3 \u00b0 44 \u2032 7 \u2033 O Oulchy-le-Ch\u00e2teau n\u00f6rdlich des Ourcq: 49 \u00b0 12 \u2032 17 \u2033 N, 3 \u00b0 22 \u2032 7 \u2033 O F\u00e8re-en-Tardenois n\u00f6rdlich der Marne: 49 \u00b0 12 \u2032 4 \u2033 N, 3 \u00b0 30 \u2032 48 \u2033 O Ch\u00e2teau-thiery et marne: 49 \u00b0 2 \u2032 0 \u2033 N, 3 \u00b0 24 \u2032 0 \u2033 O \u2191 un b vgl. Houssaye \u2191 vgl. Houssaye \u2191 nach Houssaye \u2191 Ce bataillon s’est ensuite sauv\u00e9 aux ch\u00e2tres \u2191 VGL. Houssaye, Mikhailofsky-Danilefsky, Damitz, Koch \u2191 Voir Damitz, Plotho, Sporschil, Marmont. \u2191 Voir Sporschil, Damitz, Koch \u2191 VGL. Marmont, Chandler, dictionnaire … Saalfeld, Friedrich: Histoire g\u00e9n\u00e9rale de la derni\u00e8re fois – depuis le d\u00e9but de la R\u00e9volution fran\u00e7aise, Brockhaus, 1819 Damitz, Karl Von: Histoire de la campagne de 1814 dans l’est et le nord de la France jusqu’\u00e0 la prise de Paris, 1843 Friedrich Christoph F\u00f6rster: History of the Wars of Liberation 1813, 1814, 1815, G. Hempel, Berlin, 1858 Ludwig H\u00e4user: Histoire allemande de la mort de Friedrich \u00e0 la fondation de la Conf\u00e9d\u00e9ration allemande, Weidmann, Berlin, 1863 Heinrich Ludwig Beitzke: Histoire des guerres de libert\u00e9 allemandes en 1813 et 1814, Berlin, 1855 Woerl, J. 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