[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/carte-geologique-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/carte-geologique-wikipedia\/","headline":"Carte g\u00e9ologique – Wikipedia","name":"Carte g\u00e9ologique – Wikipedia","description":"before-content-x4 Carte g\u00e9ologique moderne de la Lorraine avec un \u00e9tiquetage de couleurs simplifi\u00e9 et quelques informations g\u00e9ographiques Un carte g\u00e9ologique","datePublished":"2020-12-20","dateModified":"2020-12-20","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/5\/55\/Lorraine_geologic_map.svg\/330px-Lorraine_geologic_map.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/5\/55\/Lorraine_geologic_map.svg\/330px-Lorraine_geologic_map.svg.png","height":"330","width":"330"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/carte-geologique-wikipedia\/","wordCount":14070,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Carte g\u00e9ologique moderne de la Lorraine avec un \u00e9tiquetage de couleurs simplifi\u00e9 et quelques informations g\u00e9ographiques Un carte g\u00e9ologique est une carte th\u00e9matique qui repr\u00e9sente la construction g\u00e9ologique de la zone cartographi\u00e9e \u00e0 sa surface et \/ ou la surface de la surface. Une carte g\u00e9ologique pour le plus descriptif des relations de stockage est souvent compl\u00e9t\u00e9e par un profil g\u00e9ologique. La base d’une carte g\u00e9ologique est une carte topographique correspondante en relation avec la cartographie g\u00e9ologique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Normalement, une carte g\u00e9ologique repr\u00e9sente les roches qui sont \u00e0 la surface, qui d\u00e9terminent la structure g\u00e9ologique d’une zone. En plus dans le cas sp\u00e9cial de la carte du sol, le sol et les roches l\u00e2ches formant la surface r\u00e9elle ne sont pris en compte que si elles ont une \u00e9paisseur de plus de 1,5 m, sinon elles ne sont pas repr\u00e9sent\u00e9es. Donc une carte g\u00e9ologique est g\u00e9n\u00e9ralement une couvert Carte g\u00e9ologique. Une carte g\u00e9ologique simple repr\u00e9sente la propagation des diff\u00e9rentes roches telles que le gr\u00e8s, le calcaire, l’ardoise, le granit ou le gneiss, qui peuvent \u00eatre distingu\u00e9s en utilisant l’entra\u00eenement, la couleur ou la composition en roche. La carte, qui est normalement utilis\u00e9e en g\u00e9ologie, va au-del\u00e0 de cette repr\u00e9sentation lithologique en r\u00e9sumant les rochers aux unit\u00e9s de carte dans une carte lithostratigraphique en raison de son entra\u00eenement, de son \u00e2ge et de son contexte. De plus, les \u00e9carts les plus importants par rapport \u00e0 l’association de couche normale sont entr\u00e9s, en plus des diff\u00e9rents troubles, \u00e9galement des contacts de couche anormaux tels que les diskordances ou les transitions locales au sein d’une unit\u00e9 de cartographie. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En plus de ce type de repr\u00e9sentation, d’autres formes d’affichage de la carte g\u00e9ologique sont possibles, par exemple en raison de la m\u00e9tamorphose ou de la tectonique. Pour une meilleure orientation, les marques g\u00e9oscientifiques et la coloration de surface avec des informations de base topographiques sont sous-estim\u00e9es. Ce sont des r\u00e9seaux routiers, des rivi\u00e8res, des maisons ou des colonies et des marques de terrain individuelles ainsi que des noms g\u00e9ographiques. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, une carte g\u00e9ologique comprend un rapport explicatif qui d\u00e9crit en d\u00e9tail les conditions g\u00e9ologiques dans le domaine de la carte. La plupart du temps, des informations sur les conditions hydrologiques, les sites pal\u00e9ontologiques, les d\u00e9p\u00f4ts de mati\u00e8res premi\u00e8res, les faits g\u00e9ologiques agricoles et les al\u00e9sages d’exploration existants sont \u00e9galement r\u00e9pertori\u00e9s. Certains auteurs de cartes donnent un bref aper\u00e7u de l’histoire des travaux d’admission dans le domaine de leur journal de cartes. Avec le texte, les observations r\u00e9sum\u00e9es du g\u00e9ologue r\u00e9cepteur (\u00e9quipe) sont \u00e9crites sur le terrain et les relations avec les couches \/ formations de roche voisines sont \u00e9tablies. Selon le besoin, les roches et \/ ou les min\u00e9raux individuels sont discut\u00e9s plus en d\u00e9tail. Le rapport est souvent divis\u00e9 selon les sections de l’\u00e2ge de la Terre g\u00e9ologique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le rapport explicatif s’accompagne particuli\u00e8rement des syst\u00e8mes de cartes qui se composent de plusieurs feuilles. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, les syst\u00e8mes de cartes modernes sont 1: 25 000 ou 1: 50 000. Lors de l’achat d’une carte g\u00e9ologique, le rapport explicatif n’est pas obligatoire et repr\u00e9sente une publication ind\u00e9pendante. En Allemagne, en Autriche et de nombreux autres pays, ces rapports ont \u00e9t\u00e9 \u00e9tablis depuis le 19e si\u00e8cle. Il \u00e9tait courant de le publier devant ou parall\u00e8le \u00e0 l’impression s\u00e9par\u00e9e dans des revues pertinentes. Carte g\u00e9ologique de l’Am\u00e9rique du Nord (2003) Une carte g\u00e9ologique est un moyen de repr\u00e9sentation pour les g\u00e9ologues qui rassemble des informations complexes sous une forme tr\u00e8s claire. Pour l’orientation dans des contextes g\u00e9ologiques et dans les d\u00e9cisions des questions g\u00e9otechniques et pertinentes \u00e0 l’environnement, il offre aux sp\u00e9cialistes form\u00e9s une introduction rapide \u00e0 une r\u00e9gion et \u00e0 sa structure g\u00e9ologique. C’est la base des d\u00e9cisions en mati\u00e8re d’eau et de foresterie, joue un r\u00f4le important dans la construction de rapports de base, la construction du tunnel et des barrages et permet une premi\u00e8re \u00e9valuation de la situation dans le contexte des examens de r\u00e9novation et l’\u00e9valuation des sites contamin\u00e9s. En outre, c’est la base des \u00e9valuations scientifiques et des questions g\u00e9ologiques sp\u00e9ciales telles que la possibilit\u00e9 de l’occurrence de certains fossiles et min\u00e9raux, qui peuvent \u00e9galement int\u00e9resser les g\u00e9ologues amateurs tels que les collectionneurs min\u00e9raux et les pal\u00e9ontologues de passe-temps. Dans ce contexte, il n’est pas surprenant que l’exploration g\u00e9ologique syst\u00e9matique et la cartographie dans la plupart des pays du monde soient une souverainet\u00e9 d’\u00c9tat qui est per\u00e7ue par des bureaux d’\u00c9tat sp\u00e9ciaux et des organisations nationales. Le territoire national respectif est pr\u00e9sent\u00e9 sur au moins une carte \u00e0 une \u00e9chelle uniforme. La base de ces travaux de carte, qui sont disponibles sur diff\u00e9rentes normes, est le So-called Carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique . Contrairement aux travaux de carte, il repr\u00e9sente les conditions g\u00e9ologiques en haute r\u00e9solution que des d\u00e9clarations sp\u00e9ciales \u00e0 petite \u00e9chelle peuvent \u00eatre faites sur sa base. Cependant, la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique ne remplace pas l’exploration d\u00e9taill\u00e9e des conditions locales, par exemple, par des sondes ou des trous de noyau. En Allemagne, par exemple, il s’agit de la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique de l’\u00e9chelle 1: 25 000, dont l’enregistrement a commenc\u00e9 dans la seconde moiti\u00e9 du 19e si\u00e8cle. En Autriche et en Suisse, des cartes g\u00e9ologiques existent \u00e0 la m\u00eame \u00e9chelle. En France, la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique \u00e0 l’\u00e9chelle 1: 40 000 a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e pendant longtemps, elle est de plus en plus remplac\u00e9e par des cartes \u00e0 une \u00e9chelle de 1: 25 000. Profil g\u00e9ologique hors route (extrait) de la r\u00e9gion de Prague, marqu\u00e9 en 1879 par Rudolf Helmhacker Sur une carte g\u00e9ologique, les unit\u00e9s g\u00e9ologiques sont d\u00e9limit\u00e9es aussi pr\u00e9cis\u00e9ment que possible et selon l’objectif de la carte par lignes frontali\u00e8res. Les zones d\u00e9limit\u00e9es les unes des autres sont remplies d’une couleur ou d’une \u00e9closion uniforme, qui est bri\u00e8vement expliqu\u00e9e dans une l\u00e9gende attach\u00e9e. Pour une meilleure distinction optique entre les marques de couleur individuelles, une combinaison de lettres est conduite parall\u00e8le \u00e0 la couleur. Une explication d\u00e9taill\u00e9e des unit\u00e9s de carte et des informations suppl\u00e9mentaires, qui ne sont pas pr\u00e9sent\u00e9es en partie sur la carte, sont compil\u00e9es dans une explication donn\u00e9e comme page de la carte. En plus des unit\u00e9s g\u00e9ologiques, une carte g\u00e9ologique peut contenir plus d’informations sous la forme de diff\u00e9rents types de lignes, de signes g\u00e9ologiques sp\u00e9ciaux ou de textes d’\u00e9closion et de carte suppl\u00e9mentaires ainsi que des profils hors route s\u00e9lectionn\u00e9s. La base cartographique d’une carte g\u00e9ologique est une carte topographique qui permet les formes de terrain, les lignes d’altitude et les conditions g\u00e9ographiques \u00e0 la m\u00eame \u00e9chelle que la carte g\u00e9ologique. Selon l’objectif, les cartes g\u00e9ologiques utilisent diff\u00e9rentes normes de carte. Des cartes g\u00e9ologiques sur les aper\u00e7us sont affich\u00e9es sur une \u00e9chelle de 1: 100 000 \u00e0 1: 1 000 000 ou moins et repr\u00e9sentent les conditions g\u00e9ologiques des r\u00e9gions, des pays ou des continues entiers. Les cartes sp\u00e9ciales g\u00e9ologiques utilisent des normes telles que 1: 75 000, 1: 50 000 ou 1: 25 000 pour reproduire les conditions g\u00e9ologiques locales d’une zone. Des normes encore plus importantes telles que 1: 5 000 ou 1: 500 sont choisies pour afficher de petites zones ou des informations individuelles. Depuis le Congr\u00e8s international des g\u00e9ologues \u00e0 Bologne en 1881, une tentative a \u00e9t\u00e9 faite pour normaliser les couleurs des unit\u00e9s rock. Les commissions g\u00e9ologiques internationales et nationales assument les t\u00e2ches de la normalisation. En plus de la forme de la carte lithologique et lithostratigrafienne d\u00e9j\u00e0 mentionn\u00e9e, il existe d’autres formes de cartes g\u00e9ologiques. Par exemple, une carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique moderne dans une \u00e9chelle de 1: 25 000 selon la zone cartographi\u00e9e est un carte tectonique ajout\u00e9e. Cette carte n’est g\u00e9n\u00e9ralement pas color\u00e9e, seules les limites de calque et les troubles indiqu\u00e9s sur la carte g\u00e9ologique r\u00e9elle sont affich\u00e9es. De plus, toutes les zones dans lesquelles l’espace de la couche ou d’autres \u00e9l\u00e9ments de structure tels que l’ardoise et le clip \u00e9taient mesurables pendant la cartographie sont caract\u00e9ris\u00e9s par des caract\u00e8res sp\u00e9ciaux, qui s’accompagnent de la valeur mesur\u00e9e respective. Dans les zones avec des couches pli\u00e9es, le cours des axes de pli des selles et des creux les plus importants avec des lignes sp\u00e9ciales est trac\u00e9. Les donn\u00e9es sur la m\u00e9tamorphose des roches sont souvent entr\u00e9es dans la carte tectonique, comme l’inclusion. En r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale, une carte des pierres et de la terre (minerais) est \u00e9galement attach\u00e9e \u00e0 la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique. Sur ce, les d\u00e9p\u00f4ts et les occurrences bien connus des arcs et les zones sont enregistr\u00e9s avec des d\u00e9p\u00f4ts de pierre naturels \u00e9conomiquement utilisables, ainsi que les zones de d\u00e9gradation actives et abandonn\u00e9es de ces ressources min\u00e9rales. Une forme sp\u00e9ciale de cette carte est la carte de d\u00e9p\u00f4t sp\u00e9cial, qui est publi\u00e9e comme une \u0153uvre ind\u00e9pendante. Les autres formes de la carte g\u00e9ologique sont, par exemple, le partie de Turin papyrus . La pr\u00e9sentation des conditions g\u00e9ologiques dans le contexte spatial a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 tent\u00e9e dans les temps anciens. Le turin papyrus, qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9, qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 par un \u00e9crivain \u00e9gyptien, il y a plus de 3000 ans, est consid\u00e9r\u00e9 comme les preuves les plus anciennes et pr\u00e9serv\u00e9es. En Europe, les premi\u00e8res repr\u00e9sentations cartographiques des relations g\u00e9ologiques apparaissent \u00e0 la fin du XVIIe si\u00e8cle selon les id\u00e9es d’aujourd’hui. La transition des cartes de montagne Baucrevier \u00e0 la carte g\u00e9ologique est fluide. Des cartes mini\u00e8res beaucoup plus anciennes, par exemple de la r\u00e9gion de Freiberg Mountain, portent des notes sur les types de pierres. Il est donc logique que les premi\u00e8res cartes g\u00e9ologiques en France et en Angleterre, un peu plus tard en Suisse, en Allemagne et en Autriche, aient \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es, en particulier \u00e0 proximit\u00e9 de l’extraction mini\u00e8re et du minerai. L’un des pionniers \u00e9tait l’ing\u00e9nieur militaire et cartographe Luigi Ferdinando Marsigli en Italie, qui a cartographi\u00e9 les d\u00e9p\u00f4ts en pl\u00e2tre \u00e0 proximit\u00e9 de sa patrie en 1717 et comprenait \u00e9galement l’incroyable cours souterrain des formations. Le Fran\u00e7ais Jean-\u00c9tienne Guettard a fait de nombreuses cartes min\u00e9ralogiques et volcaniques limit\u00e9es r\u00e9gionales, mais a cri\u00e9 des observations locales aux observations g\u00e9n\u00e9rales pour g\u00e9n\u00e9raliser les formations g\u00e9ologiques globales et a donc d\u00e9missionn\u00e9 du projet d’une carte g\u00e9ologique de France en 1777. [d’abord] Dans ses enqu\u00eates, faisant les cartes et lors des voyages n\u00e9cessaires, il a \u00e9t\u00e9 accompagn\u00e9 et soutenu par le jeune Antoine de Lavoisier. Un autre exemple pr\u00e9coce est une carte d’Helgoland d’un gardien marin anonyme de 1757, dans lequel les formations de Butsandstein, Muschelkalk, Calk et Coal sont repr\u00e9sent\u00e9es et leurs limites. Le cartographe comprenait \u00e9galement des zones \u00e0 la surface de l’eau (la carte \u00e9tait probablement principalement destin\u00e9e aux mariages pour naviguer \u00e0 Helgoland). [2] Habituellement, William Smith (1801) est consid\u00e9r\u00e9 comme le \u00abp\u00e8re\u00bb de la premi\u00e8re carte g\u00e9ologique \u00e0 grande \u00e9chelle (Angleterre, Pays de Galles) avec une consid\u00e9ration syst\u00e9matique des formations g\u00e9ologiques. En 1683, cependant, les premi\u00e8res suggestions de cette direction \u00e9taient d\u00e9j\u00e0 disponibles en Angleterre par Martin Lister sans cons\u00e9quences pratiques. Les premiers travaux de cartographie syst\u00e9matique en Saxe sont associ\u00e9s au nom d’Abraham Gottlob Werner. Ils r\u00e9sultent d’une ordonnance pass\u00e9e en 1788 par le gouvernement \u00e9lectoral \u00e0 l’Oberbergamt pour examiner de mani\u00e8re approfondie les d\u00e9p\u00f4ts de charbon durs. En 1791, l’\u00e9lecteur a donn\u00e9 \u00e0 Werner l’ordre de prendre ce travail en main. Il a utilis\u00e9 l’ordre pour lutter contre une cartographie g\u00e9ologique g\u00e9n\u00e9rale de la Saxe, [3] qui repr\u00e9sentait les bases de l’enqu\u00eate sur l’\u00c9tat g\u00e9ognostique du Saxon. Au d\u00e9but du 19e si\u00e8cle, dans certains autres, les premiers pays allemands syst\u00e9matiques \u00e9taient encore en grande partie des pays allemands auto-\u00e9tatiques Plans d’\u00c9tat g\u00e9ologiques D\u00e9marr\u00e9 (souvent situ\u00e9 dans les bureaux de montagne respectifs et dans les premiers pr\u00e9d\u00e9cesseurs des institutions de l’\u00c9tat g\u00e9ologique), qui a atteint leur premier point culminant vers la fin du si\u00e8cle, comme l’enregistrement de l’\u00c9tat g\u00e9ologique de l’Institut de l’\u00c9tat g\u00e9ologique prussien, le Bavarian Geological Office sous Carl Wilhelm von G\u00fcmbel ou dans les tirs d’\u00c9tat \u00e0 Baden et \u00e0 W\u00fcrtemberg. \u00c0 peu pr\u00e8s \u00e0 la m\u00eame \u00e9poque, la cr\u00e9ation syst\u00e9matique de cartes sp\u00e9ciales \u00e0 l’\u00e9chelle nationale a commenc\u00e9 dans les autres pays europ\u00e9ens et en Am\u00e9rique du Nord. Aujourd’hui encore, de nombreuses feuilles de la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique de l’Allemagne, de l’Angleterre ou de la France ne sont disponibles que dans leur cartographie \u00e0 l’\u00e9poque, qui se caract\u00e9risent par une cartographie minutieuse et une pr\u00e9sentation d\u00e9taill\u00e9e et peuvent toujours \u00eatre utilis\u00e9es aujourd’hui [4] . La cartographie g\u00e9ologique compl\u00e8te n’est pas encore compl\u00e8tement compl\u00e8te dans de nombreux pays du monde, en particulier dans les pays en d\u00e9veloppement et les r\u00e9gions \u00e9loign\u00e9es. La repr\u00e9sentation num\u00e9rique des cartes g\u00e9ologiques est de plus en plus courante, et de nombreux bureaux d’\u00c9tat et f\u00e9d\u00e9raux g\u00e9ologiques offrent un acc\u00e8s gratuit aux cartes g\u00e9ologiques en haute r\u00e9solution via Internet. L’opinion selon laquelle les informations g\u00e9ologiques des citoyens dans les informations g\u00e9ologiques de l’\u00c9tat doivent \u00eatre disponibles pour l’acc\u00e8s gratuit est de devenir de plus en plus appliqu\u00e9e. L’Enqu\u00eate g\u00e9ologique des \u00c9tats-Unis (USGS) est particuli\u00e8rement exceptionnelle, ce qui rend une abondance \u00e9crasante d’informations g\u00e9ologiques accessibles, ou le service g\u00e9ologique de l’\u00c9tat en France, le Bureau des R\u00e9cherches G\u00e9ologiques et Mini\u00e8res (BRGM). En Allemagne, de nombreux \u00c9tats f\u00e9d\u00e9raux offrent un serveur de carte sur Internet et en Autriche, de nombreuses personnes g\u00e9ologiques et des cartes sp\u00e9ciales sont disponibles en r\u00e9solution suffisante sur Internet. Table of ContentsCartes g\u00e9ologiques pr\u00e9coces [ Modifier | Modifier le texte source ]] Travail de cartographie pr\u00e9coce en Autriche-Hongrie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Bosnien-Herzegowina [ Modifier | Modifier le texte source ]] Slov\u00e8nie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Hongrie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Travail de cartographie pr\u00e9coce en Gr\u00e8ce et en \u00e9g\u00e9en [ Modifier | Modifier le texte source ]] Travail de cartographie pr\u00e9coce dans l’empire turc [ Modifier | Modifier le texte source ]] Travail de cartographie pr\u00e9coce en Scandinavie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Travail de cartographie pr\u00e9coce en Russie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Caucase [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ural [ Modifier | Modifier le texte source ]] Asie centrale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ossibirien [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cartes g\u00e9ologiques pr\u00e9coces [ Modifier | Modifier le texte source ]] Du XVIIIe si\u00e8cle, les cartes g\u00e9ologiques au sens d’aujourd’hui sont principalement connues d’Europe. Le tableau suivant r\u00e9pertorie quelques exemples de ces cartes. [5] [6] Ann\u00e9e Auteur titre les particularit\u00e9s 1743 Pack de christopher Un nouveau chatt philosophico-chorographique d’East Kent Signatures et lignes sp\u00e9ciales pour les informations et observations g\u00e9ologiques 1752 Jean-\u00c9tienne Guettard Carte min\u00e9ralogique o\u00f9 l’on voit la nature des terrains du Canada et de la Louisiane Compil\u00e9 en fonction des rapports d’officiers fran\u00e7ais [7] 1761 Georg Christian F\u00fcchsel Histoire de la Terre et de la mer de l’histoire de la Thuringie Pilotium Description Erect [8] Signes, lettres et chiffres pour les informations g\u00e9ologiques et observations, premi\u00e8re carte g\u00e9ologique d’une partie de l’Allemagne 1768 Poches chr\u00e9tiennes Hieronyus La plus ancienne carte g\u00e9ologique de la r\u00e9gion de l’\u00e9tat de Saxe et la premi\u00e8re utilisation de la couleur dans les cartes g\u00e9ologiques [9] 1775 Verres Friedrich gottlob Tentative de description min\u00e9ralogique du comt\u00e9 redout\u00e9 de Henneberg, axe des cours, en plus d’une courte histoire de l’extraction ancienne et actuelle du. Carte g\u00e9ologique du comt\u00e9 de Henneberg, utilise \u00e9galement des couleurs 1778 Johann Friedrich Wilhelm Toussaint von Charpentier G\u00e9ographie min\u00e9ralogique de la terre churschische , Leipzig Distribution des rochers et des min\u00e9raux sur une grande carte g\u00e9ologique Vers 1775-1780 Jean-\u00c9tienne Guettard Carte min\u00e9ralogique de la France + Angleterre avec une carte non color\u00e9e de l’occurrence de roches, de min\u00e9raux et d’autres informations 1780 Jean-\u00c9tienne Guettard, Antoine-Grimald Monnet Atlas et description min\u00e9ralogiques de la France . Atlas min\u00e9ralogique de la France, 60 feuilles de carte. [dix] 1783 Johann Karl Wilhelm Voigt Des voyages min\u00e9ralogiques \u00e0 travers le duch\u00e9 de Saxe-Weimar-Eisenach . 2 volumes, \u00e9d. Par Johann Wolfgang von Goethe Profils g\u00e9ologiques 1783 Johann Karl Wilhelm Voigt Description min\u00e9ralogique du Hochstift Fulda . Dessau et Leipzig [11] Carte g\u00e9ologique color\u00e9e 1789 Georg Shot Observations sur les montagnes Harz [douzi\u00e8me] Carte p\u00e9trographique et profil 1792 Mathias von Flurl Description des montagnes de Baiern et du Palatinat sup\u00e9rieur Premi\u00e8re carte g\u00e9ologique de la Bavi\u00e8re 1797 Wilhelm von Hisinger Chariots von wesgotland, Su\u00e8de 1797-1807 Gustaf Hermelin entre autres Carte sur G\u00f6tarike ou la partie sud de Swerige Carte de Westgotland, Nerike et Schonen, Su\u00e8de 1801 William Smith Carte g\u00e9ologique de l’Angleterre et du Pays de Galles Petite carte exceptionnelle avec la propagation de sept formations g\u00e9ologiques [13] 1807 Johann Carl Freisesleben Faillite g\u00e9ognosstique pour la connaissance du cuivre du chef de cuivre avec un respect particulier dans une partie du graffschaft Mannsfeld and Thuring: premi\u00e8re partie . Freyberg, Bey Craz und Gerlach Carte g\u00e9ologique color\u00e9e 1809 William Maclure Observations sur la g\u00e9ologie des \u00c9tats-Unis d’Am\u00e9rique . Transactions de l’American Philosophical Society En principe correct, une pr\u00e9sentation simple de la g\u00e9ologie de la moiti\u00e9 orientale des \u00c9tats-Unis d’aujourd’hui [14] 1811\u20131824 William Smith Atlas g\u00e9ologique de Smith d’Angleterre et du Pays de Galles Publication individuelle des cartes de 21 comt\u00e9s en Angleterre + Pays de Galles [13] [15] 1813 Robert Bakewell Introduction \u00e0 la g\u00e9ologie Bakewells Introduction \u00e0 la g\u00e9ologie Contenait, entre autres, la premi\u00e8re carte g\u00e9ologique de toute l’Angleterre, qui a montr\u00e9 peu de d\u00e9tails, [16] et atteint cinq \u00e9ditions jusqu’en 1838 1815 William Smith Une d\u00e9limitation des strates d’Angleterre et du Pays de Galles avec une partie de l’\u00c9cosse; Exposant les mines et les mines, les marais et les terrains de fen d\u00e9bord\u00e9s \u00e0 l’origine par la mer, et les vari\u00e9t\u00e9s de sol selon les variations des substrats, illustr\u00e9es par les noms les plus descriptifs Carte individuelle de la carte g\u00e9ologique de l’Angleterre + Pays de Galles \u00e0 plus petite \u00e9chelle, la premi\u00e8re carte de vue d’ensemble moderne [13] 1819 George Bellas Greenough Carte g\u00e9ologique de l’Angleterre et du Pays de Galles Carte g\u00e9ologique de l’Angleterre + Pays de Galles (6 feuilles m. Explications), base topographique sophistiqu\u00e9e, excellente ex\u00e9cution manuelle 1821\/31 Christian Keferstein Teutschland, g\u00e9ognostique = g\u00e9ologiquement repr\u00e9sent\u00e9, avec des graphiques et des dessins moyens qui forment un atlas g\u00e9ognostique . Weimar, dans les \u00e9diteurs du pays = industrie = comptorirs [17] Pr\u00e9sentation g\u00e9ognostique Carte de l’Allemagne 1822 William T. H. F. Strangways Un aper\u00e7u de la g\u00e9ologie de la Russie Carte g\u00e9ologique de la Russie [18] 1823 Johann von Charpentier Carte g\u00e9ologique des Pyr\u00e9n\u00e9es 1826 George Bellas Greenough Carte g\u00e9ologique de l’Angleterre et du Pays de Galles Carte g\u00e9ologique de l’Angleterre + Pays de Galles, \u00e9chelle r\u00e9duite, 1 feuille. La carte \u00e9tait tr\u00e8s populaire et a toujours \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e dans diverses nouvelles \u00e9ditions. AB 1835\/1841 Andr\u00e9 Brochant de Villiers, L\u00e9once \u00c9lie de Beaumont, Armand Dufr\u00e9noy Carte g\u00e9ologique de la France Publication d’une premi\u00e8re carte g\u00e9ologique d\u00e9taill\u00e9e de la France, y compris les rapports explicatifs [19] 1840 John MacCulloch Carte g\u00e9ologique de l’\u00c9cosse Base de tous les travaux g\u00e9ologiques ult\u00e9rieurs en \u00c9cosse AB 1853 N.N. Carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique de la Prusse et des \u00c9tats Thuriniens (Titre de vente suivant : Carte g\u00e9ologique de la Prusse et des \u00c9tats voisins, carte g\u00e9ologique de la Prusse et des \u00c9tats f\u00e9d\u00e9raux voisins u. a.) Dans l’\u00e9chelle 1: 25 000 La coupe des feuilles a \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9e dans les travaux suivants (par ex. Carte g\u00e9ologique de la R\u00e9publique d\u00e9mocratique allemande , Carte g\u00e9ologique de la saxe inf\u00e9rieure etc.) 1856 Fridolin Sandberger Entr\u00e9e de l’\u00c9tat g\u00e9ologique dans le Grand Duch\u00e9 Baden Dans une \u00e9chelle de 1: 50 000 La premi\u00e8re carte g\u00e9ologique officielle de Baden a \u00e9t\u00e9 imprim\u00e9e en 1858 1871 \u00e0 1918 Ferdinand Schalch Feuilles g\u00e9ologiques de l’erzgebirge et du klettgau D\u00e9but de la cartographie g\u00e9ologique syst\u00e9matique dans les sections, fondation du Baden Geological State Institute Travail de cartographie pr\u00e9coce en Autriche-Hongrie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique de la monarchie autrichienne-hongroise 1: 75 000, feuille Kistanje et Drni\u0161, environ 1896 (enregistr\u00e9e par F, .V. Kerner, aujourd’hui Croatie, Paysage de la promine) “Dans tous les travaux g\u00e9ologiques ou moins avanc\u00e9s dans tous les pays de la Couronne, Wilhelm Haiding, en 1850, m\u00e8ne ses d\u00e9clarations sur l’enqu\u00eate g\u00e9ologique de l’Empire au cours de la premi\u00e8re ann\u00e9e de l’annuaire de K.K. Reichsanstalt g\u00e9ologique un. L’activit\u00e9 de Haidinger dans K.K. Mus\u00e9e montaniste lui a permis en 1845 la publication du Pr\u00e9sentation g\u00e9ognostique Carte de la monarchie autrichienne \u00c0 une \u00e9chelle de neuf feuilles. La base de cette \u0153uvre est form\u00e9e par des cartes g\u00e9ologiques individuelles qui ont \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es au Schemnitz Bergakademie et marquent la fondation de la collection de cartes au mus\u00e9e montaniste. Avec cette carte en neuf parties, il y avait un recueil complet pour la premi\u00e8re fois sur les conditions g\u00e9ologiques dans l’empire de l’Autriche. [20] Le principal travail de cartographie g\u00e9ologique dans la monarchie du Danube a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 sur les fondations topographiques de l’enregistrement de l’\u00c9tat de Franzisco-Josephinien sur une \u00e9chelle de 1: 75 000. Bosnien-Herzegowina [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Nach Coric 1999) [21] Une premi\u00e8re description g\u00e9ologique compl\u00e8te de la zone dinaride a \u00e9t\u00e9 \u00e9crite par Ami Bou\u00e9. La premi\u00e8re carte g\u00e9ologique a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e sur la base de son travail et a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e dans le cadre de la carte d’aper\u00e7u de Wilhelm Haiding (1845) mentionn\u00e9e ci-dessus sur une \u00e9chelle de 1: 864 000. H. Sterneck a ajout\u00e9 son rapport de voyage publi\u00e9 en 1877 Conditions g\u00e9ologiques, communications et voyages en Bosnie, Herz\u00e9govine et North Mont\u00e9n\u00e9gro Une carte de vue d’ensemble g\u00e9ologique qui contenait \u00e9galement des entr\u00e9es sur les min\u00e9raux et les d\u00e9p\u00f4ts de roche. La cartographie d\u00e9taill\u00e9e de la Bosnie-Herz\u00e9govine, qui n’a fait partie de l’administration autrichienne compl\u00e8te dans le cadre du pays en 1908, \u00e9tait un d\u00e9fi sp\u00e9cial en raison de ses forces fortement fa\u00e7onn\u00e9es par les montagnes. Dans une consultation conjointe de 1879 K.K. Reichsanstalt g\u00e9ologique et le Institution g\u00e9ologique royale hongroise Entreprise de reconnaissance conjointe en Bosnie-Herz\u00e9govine. Ce projet a par la suite \u00e9chou\u00e9 parce que le minist\u00e8re hongrois responsable a d\u00e9clar\u00e9 un manque de sp\u00e9cialistes. Franz Herbich de Klausenburg \u00e9tait le seul g\u00e9ologue hongrois. Alexander Bittner, Edmund Mojsisovics et Emil Tietze ont examin\u00e9 les conditions en Bosnie-Herz\u00e9govine dans un travail hors route extr\u00eamement acad\u00e9. Ensemble, ils ont \u00e9crit les explications pour Pr\u00e9sentation g\u00e9ologique Carte de la Bosnie-Hercegovine (1880, \u00e9d. Franz von Hauer, Vienne). Friedrich Katzer, directeur de l’\u00e9quipe fond\u00e9 en 1912 Institut d’\u00c9tat g\u00e9ologique de Bosnian-Hercegovine a donn\u00e9 des travaux d’exploration et de cartographie g\u00e9ologiques compl\u00e8tes jusqu’en 1924. La carte g\u00e9ologique de la Bosnie et Herz\u00e9govine a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e sur une \u00e9chelle de 1: 200 000 et \u00e0 une \u00e9chelle de six feuilles. De plus, dix feuilles de la formation de cartes de contour dans une \u00e9chelle de 1: 75 000 sont apparues jusqu’en 1922. De nombreux documents pr\u00e9cieux ont \u00e9t\u00e9 perdus lorsque la biblioth\u00e8que sp\u00e9cialis\u00e9e de 1992 \u00e0 1995 Geoloski Zavod a \u00e9t\u00e9 victime de la destruction \u00e0 Sarajevo. Slov\u00e8nie [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Nach Ramov\u0161 1999) [22] Dans le domaine de la Slov\u00e9nie d’aujourd’hui, les travaux d’admission g\u00e9ologique \u00e9taient particuli\u00e8rement compliqu\u00e9s. D’une part, dans la r\u00e9gion de l’est de l’Alpine avec les Alpes Julian et Karawanken, il \u00e9tait difficile de marcher sur les paysages excessifs et, d’autre part, des situations diff\u00e9renci\u00e9es dans le sud des paysages et des zones karstiques. Le premier g\u00e9ologue audacieux du K.K. Reichsanstalt g\u00e9ologique (GRA) \u00e9tait Marko Vincenc Lipold. Le travail le plus c\u00e9l\u00e8bre traite de la zone mini\u00e8re d’Idrija et date de 1872. Cet ouvrage a re\u00e7u un prix \u00e0 l’exposition Vienna World de 1873. Le travail de Lipold au service du GRA est \u00e9valu\u00e9 comme des r\u00e9sultats particuli\u00e8rement. Neuf cartes de vue d’ensemble g\u00e9ologique de l’\u00e9chelle 1: 144 000 proviennent de la r\u00e9gion de la Slov\u00e9nie d’aujourd’hui. De plus, Guido Stache (zones karst 1888-1891), Dion\u00fds \u0161t\u00far (Carnival, 1856) Karl Peters (Karawanken, 1856), Franz Kossmat (r\u00e9gion de Karst, 1895\u20131899), Friedrich Teneler (South Styria, Caravan, Karawanken 1885\u20131899), 1892 – 192) Ikofer (Untersteiermark, 1859) avec d’autres travaux de cartographie. La p\u00e9riode 1880 \u00e0 1910 a form\u00e9 l’\u00e8re principale des d\u00e9tails g\u00e9ologiques. Une grande partie a constitu\u00e9 la base de 14 feuilles de carte de la carte sp\u00e9ciale g\u00e9ologique dans une \u00e9chelle de 1: 75 000, qui ont \u00e9t\u00e9 publi\u00e9es entre 1895 et 1931. Plusieurs autres feuilles de carte sont rest\u00e9es in\u00e9dites. Hongrie [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Nach Dudich 1999, B\u00f6ckh \/ Szontagh 1900) [23] [24] Dans la r\u00e9gion du Royaume de Hongrie, les travaux de cartographie se sont initialement courus en parall\u00e8le. Les g\u00e9ologues hongrois ont cartographi\u00e9 des parties du pays responsables Mus\u00e9e national royal hongrois Sous la direction de son Custo Maximilian Hantken de Prudnik. Les g\u00e9ologues du K.K. Reichsanstalt g\u00e9ologique (GRA) Entre 1858 et 1861, ont entrepris leur propre aper\u00e7u en Hongrie. Des g\u00e9ologues hongrois de premier plan ont \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s le 20 ao\u00fbt 1868 pour constituer un pr\u00e9liminaire Section g\u00e9ologique hongroise ensemble. Il s’agissait de Maximilian Hantken (Custos du Mus\u00e9e national hongrois), de Karl Hofmann (professeur au Budapester Polytechnikum), Benjamin Winkler von K\u0151szeg (Kgl. Montan-Expectant), Johann B\u00f6ckh (Royal Montan-Expectant) et Anton Koch (Assistant universitaire). Ce groupe a commenc\u00e9 par la cartographie des travaux sur les feuilles des r\u00e9gions de Budapest et Tata \u00e0 Esztergom. Avec la base du k. Institution g\u00e9ologique hongroise En 1869, une institution d’\u00c9tat ind\u00e9pendante pour l’exploration g\u00e9ologique du pays a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e en 1869. Maximilian Hantken est nomm\u00e9 directeur. Le d\u00e9but a \u00e9t\u00e9 caract\u00e9ris\u00e9 par un manque consid\u00e9rable de personnel et vous avez \u00e9galement d\u00fb embaucher des g\u00e9ologues sur un g\u00e9ologue bas\u00e9 sur les frais pour se d\u00e9clencher. En 1870, \u00e0 Vienne, cependant, le directeur (GRA) Franz von Hauer s’est plaint que le minist\u00e8re hongrois responsable n’utilisait plus le travail de cartographie de soutien des g\u00e9ologues viennois dans le nord de la Hongrie (maintenant la R\u00e9publique slovaque). Cette man\u0153uvre minist\u00e9rielle d\u00e9crit la situation difficile de coop\u00e9ration avant le contrat de r\u00e9mun\u00e9ration entre les deux parties du pays. L’amiti\u00e9 personnelle entre les deux repr\u00e9sentants Hauer et Hantken ont obtenu un certain flux d’informations en faveur de la travail sur toute la carte. La cartographie hongroise ind\u00e9pendante se d\u00e9roule vers 1869 dans les r\u00e9gions au nord et \u00e0 l’ouest de Klausenburg et en 1870-1872 dans les r\u00e9gions des com\u00e9dies de M\u00e1ramaros, UGOCSA et Szatm\u00e1r. Peu importe cela, le Pr\u00e9sentation g\u00e9ologique Carte de la monarchie autrichienne-hongroise , Blatt IV Ostkarpathen et 1873 La feuille VIII Transylvania, publi\u00e9e par Franz von Hauer. L’\u00e9tablissement hongrois a \u00e9largi son personnel en 1883 par le poste d’un fant\u00f4me du Montan. Ceci, Alexander Gesell, a maintenant trait\u00e9 l’admission g\u00e9ologique dans les zones mini\u00e8res hongroises classiques, initialement dans la r\u00e9gion de K\u00f6rm\u00f6cb\u00e1nya et Nagybanya, plus tard dans l’erzgebirge transylvanien. Ce n’est pas vers 1908 que des travaux de cartographie ont \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9s dans le domaine du nord de la Croatie d’aujourd’hui et de la c\u00f4te adriatique. Travail de cartographie pr\u00e9coce en Gr\u00e8ce et en \u00e9g\u00e9en [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Selon Neumayr \/ Teller \/ et al. 1880) [25] G. Richard Lepsius a men\u00e9 avec le soutien du Kgl. Academy of Sciences \u00e0 Berlin Enregistrements g\u00e9ologiques en Attique, pour lesquels il a utilis\u00e9 des cartes topographiques sur une \u00e9chelle de 1: 25 000, qui au cours de la p\u00e9riode 1875 \u00e0 1885 Institut arch\u00e9ologique allemand imp\u00e9rial (E. Curtis, J.A. Kaupert) Erstellt Waren. Un groupe de g\u00e9ologues autrichiens, qui se sont rendus sur le continent grec et de nombreuses \u00eeles de 1874 \u00e0 1876, a un m\u00e9rite sp\u00e9cial pour l’exploration g\u00e9ologique et la cartographie en Gr\u00e8ce. Melchior Neumayr, Leo Burgerstein et Friedrich Teller ont men\u00e9 des \u00e9tudes g\u00e9ologiques \u00e0 Thessalia en 1875 et sur la p\u00e9ninsule de Chalkidike. L’ann\u00e9e suivante, Alexander Bittner a examin\u00e9 la structure g\u00e9ologique des r\u00e9gions d’Attika, de B\u00f6otia, de Lokris et de Parnasis, et Melchior Neumayr a men\u00e9 des \u00e9tudes en Gr\u00e8ce centrale occidentale. Cette exp\u00e9dition \u00e9labor\u00e9e \u00e9tait bas\u00e9e sur le d\u00e9cret du K.K. Minist\u00e8re de l’\u00c9ducation du 2 juin 1875, qui visait \u00e0 explorer l’exploration g\u00e9ologique dans le “Orient”. La ligne \u00e9tait avec Melchior Neumayr. Carte g\u00e9ologique de l’\u00eele de Chios, enregistr\u00e9e par Friedrich Teller, 1880 Melchior Neumayr a visit\u00e9 l’\u00eele de Kos en 1874 et a cr\u00e9\u00e9 une carte g\u00e9ologique compl\u00e8te sur une \u00e9chelle d’environ 1: 120 000 (publi\u00e9e en 1880). Cela lui a pris la base topographique de la carte de l’admiralit\u00e9 anglaise de Graves et de Thomas Abel Brimage Spratt. Friedrich Teller a examin\u00e9 et cartographi\u00e9 l’\u00eele de Chios en 1874 (publi\u00e9 en 1880) et en 1876 les conditions g\u00e9ologiques sur Eub\u00f6a. Plusieurs \u0153uvres de carte plus grandes ont \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es \u00e0 partir de ce travail d’enregistrement par les g\u00e9ologues autrichiens. En premier lieu, c’est que Aper\u00e7u g\u00e9ologique Carte du festival Gr\u00e8ce et de l’\u00eele d’Euboea Dans l’\u00e9chelle de 1: 400 000 par Bittner, Neumayr et Plate, qui a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e en 1880 comme pression color\u00e9e. Une carte des officiers de l’\u00e9tat-major fran\u00e7ais \u00e0 une \u00e9chelle de 1: 200 000 a servi de base topographique. La deuxi\u00e8me carte est la Aper\u00e7u g\u00e9ologique Carte des pays c\u00f4tiers du nord-ouest de la mer \u00c9g\u00e9e , par Leo Burgerstein, Melchior Neumayr et Friedrich Teller sur une \u00e9chelle de 1: 500 000 (publi\u00e9 en 1880). La base topographique a servi Carte de l\u2019Epire et de la Thessalie par Heinrich Kiepert \u00e0 la m\u00eame \u00e9chelle. La troisi\u00e8me carte de la carte a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e Pr\u00e9sentation tectonique Carte d’une partie des pays c\u00f4tiers de la mer \u00c9g\u00e9e Sur une \u00e9chelle de 1: 1 850 000 par les auteurs Alexander Bittner, Leo Burgerstein, Melchior Neumayr et Friedrich Teller, publi\u00e9 en 1880. Travail de cartographie pr\u00e9coce dans l’empire turc [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Apr\u00e8s Hochstetter 1870; 1872) [26] [27] Pr\u00e9sentation Carte des explorations g\u00e9ologiques F.V. Hochstetter en Turquie europ\u00e9enne, publi\u00e9 en 1870 Le g\u00e9ologue autrichien Ferdinand von Hochstetter a entrepris un voyage de Constantinople \u00e0 Belgrade \u00e0 des fins d’exploration g\u00e9ologique et de cartographie qui l’accompagne. Ces travaux d’admission g\u00e9ologique \u00e9taient en parall\u00e8le avec les travaux topographiques et exploratoires d’un groupe d’ing\u00e9nieurs travaillant au nom du gouvernement turc, qui a d\u00fb \u00eatre effectu\u00e9 pour l’expansion du r\u00e9seau ferroviaire turc. Son parcours d’inspection a commenc\u00e9 le 30 juillet \u00e0 Constantinople et a conduit pour la premi\u00e8re fois \u00e0 Adrianople (maintenant Edirne), fin ao\u00fbt via Philippopel (aujourd’hui Plowdiw) et plus \u00e0 Nisch (aujourd’hui Ni\u0161) \u00e0 Belgrade et s’est finalement termin\u00e9 \u00e0 Vienne au milieu de l’octoure 1869. Ferdinand von Hochstetter a pu s’appuyer sur de nombreux travaux pr\u00e9paratoires par d’autres chercheurs pour son voyage. C’est d’autant plus \u00e9tonnant, car la r\u00e9gion des Balkans en premi\u00e8re mi-temps et au milieu du 19e si\u00e8cle, en raison d’une infrastructure l\u00e9g\u00e8rement d\u00e9velopp\u00e9e, repr\u00e9sentait une r\u00e9gion qui n’\u00e9tait disponible que sous une privation consid\u00e9rable. Pour se pr\u00e9parer \u00e0 ses \u00e9tudes g\u00e9ologiques, il s’\u00e9tait appuy\u00e9 sur les travaux d’Ami Bou\u00e9, en particulier sur sa carte manuscrite g\u00e9ologique de la Turquie La Turquie d\u2019Europe \u00e0 partir de 1840, ainsi que sur les descriptions g\u00e9ologiques d’Auguste Viquesnel (1803\u20131867) Voyage dans la Turquie d’Europe \u00e0 partir de 1868 en deux volumes et un atlas. Il a \u00e9galement tir\u00e9 Paul de Tchihatchansffs Le Bosphore et Constantinople Approch\u00e9 en trois volumes avec une carte g\u00e9ologique imparfaite de la p\u00e9ninsule thrace en 1864, et enfin des notes d’observation de Karl Ludolf Griesbach. Les notes p\u00e9trographiques sont entr\u00e9es dans les cartes faites par Auguste Vivesel, mais aucun plan de formation. Pour cette raison, ils ne peuvent pas \u00eatre d\u00e9crits comme des cartes g\u00e9ologiques. Une admission g\u00e9ologique de l’Anglais Arthur Lennox au nom du gouvernement turc a commenc\u00e9 en 1866. Carte d\u00e9taill\u00e9e du travail de cartographie g\u00e9ologique F.V.Hochstetters dans les Balkans, publi\u00e9 en 1870 Au cours de ce voyage, Ferdinand de Hochstetter a utilis\u00e9 une carte topographique du T\u00fcrkiye europ\u00e9en et royaume de la Gr\u00e8ce Sur une \u00e9chelle de 1: 1 864 000 (par Josef Scheda) en 13 feuilles, qui est devenue sa carte de manuscrit g\u00e9ologique pendant son voyage. Cependant, cette base de cartes s’est av\u00e9r\u00e9e incorrecte dans certaines parties du pays, car elle n’a pas \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e par un propre propri\u00e9taire de Scheda, mais en plus \u00e0 l’aide de travaux d’arpentage fran\u00e7ais et russes plus \u00e2g\u00e9s. Pour cette raison, par exemple, dans la r\u00e9gion bulgare de Witoshage de Hochstetter, il a d\u00fb \u00eatre travaill\u00e9 topographiquement avant que ses observations g\u00e9ologiques ne puissent \u00eatre maintenues cartographiquement. Au cours des pr\u00e9paratifs menant \u00e0 l’impression, toutes les donn\u00e9es de la carte manuscrit cr\u00e9\u00e9es pendant le voyage \u00e9taient sur le nouveau Carte g\u00e9n\u00e9rale de T\u00fcrkiye europ\u00e9en Traduit par Heinrich Kiepert \u00e0 partir de 1870. Bien que Ferdinand ait \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9 par les travaux de Hochstetter au nom des postes autrichiens, le gouvernement turc a provoqu\u00e9 un processus en douceur dans tous les organismes officiels des Vil\u00e2yets. Avec la publication de la carte et un vaste texte explicatif en deux parties en 1870 et 1871, une carte Geological Geological compl\u00e8te de la r\u00e9gion des Balkans (\u00e9chelle 1: 1 000 000) \u00e9tait disponible pour la premi\u00e8re fois. Remarquable – et significatif pour la minutie dans les explications de Hochstetter sur la carte – ne sont pas seulement les discussions approfondies des formations g\u00e9ologiques individuelles, mais aussi une liste des plus importantes et de l’architecture des villes turques s\u00e9lectionn\u00e9es (Constantinople, Adrianople, Philippopel). Ici, l’auteur est reconnu comme un partisan pr\u00e9coce de la pens\u00e9e des relations g\u00e9ologiques culturelles, pour lesquelles les impulsions stimulantes, en particulier pour ces explications de la collection de construction et de d\u00e9coration dans le Vienne K.K. L’histoire naturelle Hofmuseum et le travail de collecte du conservateur Felix Karrer, qui se pr\u00e9sente sous une grande attention du public, peut \u00eatre vu. Albanie: (Nach Patzel 1971; H\u00e1la 1993) [28] [29] L’exploration g\u00e9ologique dans le domaine de l’Albanie d’aujourd’hui a commenc\u00e9 fragmentaire et faisait toujours partie de vastes voyages des Balkans \u00e0 des chercheurs individuels. Ce groupe de personnes comprenait Ami Bou\u00e9 (1840) et Auguste Viquesnel (1844) d’une mani\u00e8re sp\u00e9ciale, car ils ont entrepris des \u00e9tudes et des observations d\u00e9taill\u00e9es dans le pays turc de l’\u00e9poque dans des conditions de voyage tr\u00e8s ardues. Alfred Philippson s’est rendu dans la r\u00e9gion du Nord de Pirus \u00e0 la fin du 19e si\u00e8cle et a publi\u00e9 ses r\u00e9sultats, y compris une carte g\u00e9ologique en 1895, 1896 et 1897 (Thessalia and Epius, Trip and Research in Northern Greece) . Sur la base du travail d’Ernst Nowack, la premi\u00e8re carte g\u00e9ologique de l’Albanie a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e sur une \u00e9chelle de 1: 200 000, y compris une description en profondeur de sa r\u00e9gion en 1929. [30] Les travaux de Franz Baron Von Nopcsa \u00e0 partir de 1905 doivent \u00e9galement \u00eatre mentionn\u00e9s, qui se sont principalement ax\u00e9s sur le nord de l’Albanie et ont \u00e9galement fourni des documents cartographiques. [trente et un] L’une de ses nombreuses publications sur ce pays a trait\u00e9 de l’histoire de la cartographie du nord de l’Albanie en 1916. La m\u00eame ann\u00e9e, la NOPCSA a lib\u00e9r\u00e9 en hongrois Gazette g\u00e9ologique (Communications g\u00e9ologiques de l’institution g\u00e9ologique royale hongroise) Des mots accompagn\u00e9s \u00e0 la carte g\u00e9ologique du nord de l’Albanie . Travail de cartographie pr\u00e9coce en Scandinavie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les premi\u00e8res cartes g\u00e9ologiques de la Su\u00e8de viennent de Wilhelm von Hisinger et Samuel Gustaf Hermelin \u00e0 la fin du XVIIIe si\u00e8cle. La premi\u00e8re carte g\u00e9ologique cr\u00e9\u00e9e syst\u00e9matiquement dans le domaine de la Norv\u00e8ge a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e en 1879 sur une \u00e9chelle de 1: 1 000 000. Elle est apparue dans Christiana et est une \u0153uvre de Tellef Dahll, Theodor Kjerulf, Carl Petersen, ou similaire Corneliussen, Th. Hjortdahl et T. mensonge. Les travaux de terrain requis ont commenc\u00e9 en 1866. Seul le nord de la Norv\u00e8ge est indiqu\u00e9 sur cette carte. Une partie des r\u00e9sultats de l’exploration a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e avec une carte g\u00e9ologique de la r\u00e9gion de Finnmarken en 1870. [32] En Finlande, la premi\u00e8re cartographie g\u00e9ologique syst\u00e9matique des prochaines roches a commenc\u00e9 en 1877 Commission g\u00e9ologique Et sous la direction de son premier r\u00e9alisateur Karl Adolf Moberg. Dans le m\u00eame temps, des formations quaternaires ont \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9es, qui ont ensuite entr\u00e9 une carte distincte. Ces travaux de cartographie ont commenc\u00e9 sur l’\u00eele de Kimito\u00f6n et dans leur environnement. \u00c0 partir de 1879, des cartes imprim\u00e9es de celles d’enregistrement des travaux sur l’\u00e9chelle 1: 200 000 ont \u00e9t\u00e9 publi\u00e9es, qui repr\u00e9sentent des r\u00e9gions du sud de la Finlande avec un total de 37 feuilles. Les travaux sur le terrain pour la cartographie g\u00e9ologique de la Finlande centrale ont \u00e9t\u00e9 men\u00e9s sous la direction de Benjamin Frosterus dans les ann\u00e9es 1890, dont la carte part est apparue plus tard sur une \u00e9chelle de 1: 400 000. Au cours de ces travaux de cartographie, les g\u00e9ologues ont trouv\u00e9 anorthosite avec des cristaux de plagiocla individuels dans une taille allant jusqu’\u00e0 50 cm dans la section crois\u00e9e. De plus, la d\u00e9couverte des d\u00e9p\u00f4ts d’orbiculite \u00e0 Kangasniemi. Dans le nord de la Finlande, des travaux d’enregistrement syst\u00e9matiques ont eu lieu pour la premi\u00e8re fois entre 1899 et 1904. Victor Hackman a publi\u00e9 les trois premiers feuilles en 1910, dont les rapports explicatifs sont apparus en 1914. Dans le domaine de la fine fine, le principal cartographe finlandais W. W. Wilkman a commenc\u00e9 en 1895 avec des travaux topographiques hors route, qui ont \u00e9galement cr\u00e9\u00e9 de vastes enregistrements sur les conditions g\u00e9ologiques observ\u00e9es et les pi\u00e8ces de main correspondantes. Plus tard, son travail a re\u00e7u la participation de Benjamin Frosterus, \u00e0 la suite de laquelle des connaissances p\u00e9trographiques et tectoniques importantes et coh\u00e9rentes pourraient \u00eatre acquises. Ils ont \u00e9t\u00e9 publi\u00e9s avec une carte de vue d’ensemble en 1901. Les zones \u00e9dit\u00e9es sont des r\u00e9gions de Ladoga et des paysages entre la fronti\u00e8re russe de l’\u00e9poque jusqu’\u00e0 la r\u00e9gion du lac Middle en Finlande. \u00c0 partir de ces travaux et d’autres, des cartes g\u00e9ologiques ont \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es sur une \u00e9chelle de 1: 400 000. [33] Travail de cartographie pr\u00e9coce en Russie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Compte tenu de la taille de l’Empire russe, la cartographie g\u00e9ologique pr\u00e9coce ne pouvait \u00eatre que des approches fragmentaires. Les zones s\u00e9lectionn\u00e9es \u00e9taient principalement d’une importance g\u00e9ologique ou \u00e9conomique consid\u00e9rable. La cartographie compl\u00e8te a donc \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e relativement tard et n’a \u00e9t\u00e9 mise en \u0153uvre que de mani\u00e8re significative dans la seconde moiti\u00e9 du 20e si\u00e8cle. Cependant, le d\u00e9but d’une cartographie syst\u00e9matique est au XIXe si\u00e8cle et provient du Carte g\u00e9ologique g\u00e9n\u00e9rale de la Russie repr\u00e9sent\u00e9e. Cette premi\u00e8re carte g\u00e9ologique syst\u00e9matique de la partie europ\u00e9enne de la Russie a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e par le Comit\u00e9 g\u00e9ologique, fond\u00e9e en 1882, sous la direction de Gregor von Helmersen (\u00e0 partir de laquelle une carte g\u00e9ologique pr\u00e9coce de la Russie europ\u00e9enne de 1841), Alexander Petrovich Karpinski, qui feodossi nikolayevitsch tschernyschow, Sergei Nikolajewitsch a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 impliqu\u00e9. Dans certains exemples, les travaux de cartographie pr\u00e9coce des g\u00e9ologues russes doivent \u00eatre pr\u00e9sent\u00e9s. Caucase [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Apr\u00e8s le voleur de pions 1963; \u0430\u043d\u0434\u0440\u0443\u0441\u0441\u0432\u043e\u0432\u0430 en 1909) [34] [35] Les premi\u00e8res observations g\u00e9ologiques compl\u00e8tes ont \u00e9t\u00e9 transmises dans une \u0153uvre en six parties de Fr\u00e9d\u00e9ric Dubois de Montpereux, qui a reproduit ses r\u00e9sultats du voyage \u00e0 la fin des ann\u00e9es 1830. La premi\u00e8re exploration g\u00e9ologique syst\u00e9matique dans la r\u00e9gion du Caucase a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e dans les ann\u00e9es 1840 par les travaux d’Hermann von Abich. Il a commenc\u00e9 sa publication sur cette r\u00e9gion en 1843 et \u00e0 partir de 1878, avec une \u0153uvre en trois parties, est entr\u00e9 dans les experts avec une \u0153uvre en trois parties dans les pays du Caucase. Hermann Abich a \u00e9t\u00e9 le premier g\u00e9ologue dans de nombreuses r\u00e9gions du Caucase et des hauts plateaux arm\u00e9niens. La carte g\u00e9ologique de l’aper\u00e7u du petit Caucase sur une \u00e9chelle de 1: 420 000 vient de lui. La cartographie ult\u00e9rieure a \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9e dans la seconde moiti\u00e9 du XIXe si\u00e8cle dans un groupe de g\u00e9ologues de la Administration des montagnes-Kaucasus , quels Archipov, Chalamow et Zulukidse \u00e9taient impliqu\u00e9s. \u00c0 la suite de cette tr\u00e8s longue et concentr\u00e9e sur les travaux d’assemblage, le Administration des montagnes-Kaucasus 1908 le premier Pr\u00e9sentation g\u00e9ologique Carte du Caucase (N. I. Lebedew) sur une \u00e9chelle 1: 2 520 000. Cependant, il n’a pas encore \u00e9t\u00e9 en mesure de repr\u00e9senter toutes les r\u00e9gions de mani\u00e8re g\u00e9ologiquement diff\u00e9renci\u00e9e. De plus, il faut faire r\u00e9f\u00e9rence aux travaux de Nikolai Iwanowitsch Andrussow, qui se concentre sur les couches de Neogen, mais a d\u00e9crit des parties importantes et grandes du Caucase dans un journal. De nombreuses \u00e9tudes ont \u00e9t\u00e9 sous la direction du d\u00e9but du 20e si\u00e8cle sous la direction du Comit\u00e9s g\u00e9ologiques , au sommet du g\u00e9ologue A. P. Gerassimow. Tous ces r\u00e9sultats se sont \u00e9galement d\u00e9roul\u00e9s dans une cartographie syst\u00e9matique. Carte g\u00e9ologique des champs d’or sur le Witim dans l’est de la Sib\u00e9rie (1910) Ural [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Nach Helmersen 1848) [36] La richesse de l’Oural des mati\u00e8res premi\u00e8res min\u00e9rales a attir\u00e9 l’attention pr\u00e9coce sur le tsar pour explorer ces montagnes. Pour explorer les zones nord difficiles pour acc\u00e9der \u00e0 l’Oural, le Soci\u00e9t\u00e9 g\u00e9ographique russe Une exp\u00e9dition en 1847, dont le but \u00e9tait d’enregistrer les connaissances topographiques et g\u00e9ologiques. Il a form\u00e9 la premi\u00e8re activit\u00e9 majeure de cette soci\u00e9t\u00e9 et \u00e9tait sous la direction de la g\u00e9ologue et de l’autorit\u00e9 Hoffmann et, deuxi\u00e8mement, l’exploitation mini\u00e8re, a connu le major Kilnwskji. La pr\u00e9occupation sp\u00e9cifique de l’exp\u00e9dition \u00e9tait dans le premier aper\u00e7u topographique et g\u00e9ologique au nord de la 64e latitude. L’exp\u00e9dition a commenc\u00e9 le 30 mai \u00e0 Tscherdyn en 1847 et s’est termin\u00e9e le 25 septembre de la m\u00eame ann\u00e9e \u00e0 Berjosow. Asie centrale [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Apr\u00e8s Guntau 1979) [37] Le g\u00e9ologue russe Vladimir AfanassJewitsch Obrutschew a repris les travaux de cartographie g\u00e9ologique dans la r\u00e9gion d’Eisenbahnstrasse Astachan-Schardschou-Samarkand de 1886 \u00e0 1888 en tant que jeune dipl\u00f4m\u00e9 dans la zone transcaspiique. Ossibirien [ Modifier | Modifier le texte source ]] (Nach Gerasimov 1910; Guntau 1979) [38] [39] Lorsque Wladimir AfanassJewitsch Obrtutschew a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 g\u00e9ologue en chef dans l’Irkutsker Bergamt en 1988, il s’est consacr\u00e9 \u00e0 d’autres d\u00e9tails g\u00e9ologiques dans la r\u00e9gion de la mer de Baikal, la r\u00e9gion de la rivi\u00e8re de la Lena et dans les champs d’or situ\u00e9s l\u00e0-bas. Par A.P. Gerassimow a \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9 par des travaux de cartographie g\u00e9ologiques qui traitent des r\u00e9gions de construction de la montagne de la Sib\u00e9rie Gold dans le Lenaregion. La publication de son travail (carte avec profil et rapport explicatif complet) a eu lieu vers 1910 \u00e0 Saint-P\u00e9tersbourg. Son travail d’enregistrement \u00e9tait bas\u00e9 sur un syst\u00e8me de cartes r\u00e9gional sur une \u00e9chelle de 1: 42 000. Les descriptions g\u00e9ologiques qui sont apparues traitent des mines sur la rivi\u00e8re Schuja-Neben Watscha et \u00e0 la colonie de Tichono-Sadonski (maintenant Kropotkin) dans les Whitim-Goldfelders. Cette zone mini\u00e8re est active \u00e0 nos jours. Aujourd’hui, les institutions g\u00e9oscientifiques traitent de la cartographie correspondante, comme l’Institut f\u00e9d\u00e9ral des g\u00e9osciences et des mati\u00e8res premi\u00e8res en Allemagne ainsi que les bureaux de l’\u00c9tat command\u00e9s avec la responsabilit\u00e9 souverain. En Autriche, cette t\u00e2che est effectu\u00e9e par l’Institut f\u00e9d\u00e9ral g\u00e9ologique [40] [41] Et a publi\u00e9 la carte de la R\u00e9publique d’Autriche. En Suisse, les cartes g\u00e9ologiques sont swisstopo publi\u00e9. [42] L’United States Geological Survey, l’autorit\u00e9 centrale am\u00e9ricaine de ce sujet, cr\u00e9e \u00e9galement des cartes g\u00e9ologiques des corps du ciel. [43] Il y a maintenant des efforts pour d\u00e9velopper des cartes lithologiques et g\u00e9ologiques mondiales \u00e0 partir de billets individuels nationaux. [44] [45] Horst Falke: D\u00e9tection et interpr\u00e9tation d’une carte g\u00e9ologique , De Gruyter 1975 Otfried Wagenbreth: Cartographie g\u00e9ologique , dans: Rudolf Hohl (\u00e9d.): L’histoire du d\u00e9veloppement de la terre . 6e \u00e9dition, Werner Dausien Verlag, Hanau 1985, Volume 2, ISBN 3-7684-6526-8, pp. 565\u2013574 Derek Powell: Interpr\u00e9tation des structures g\u00e9ologiques \u00e0 travers des cartes: instructions pratiques avec des t\u00e2ches et des solutions. Berlin: Springer, 1995. ISBN 3-540-58607-5 Herbert Vo\u00dfmerb\u00e4umer: Cartes g\u00e9ologiques. Stuttgart: Swiss Beard, 1983. ISBN 3-510-65112-X John W. 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