[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/claude-lefort-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/claude-lefort-wikipedia\/","headline":"Claude Lefort – Wikipedia","name":"Claude Lefort – Wikipedia","description":"before-content-x4 Claude Lefort (* 21. avril 1924; \u2020 3. octobre 2010) [d’abord] \u00e9tait un philosophe fran\u00e7ais qui s’est fait un","datePublished":"2023-01-14","dateModified":"2023-01-14","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/claude-lefort-wikipedia\/","wordCount":2696,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Claude Lefort (* 21. avril 1924; \u2020 3. octobre 2010) [d’abord] \u00e9tait un philosophe fran\u00e7ais qui s’est fait un nom gr\u00e2ce \u00e0 ses consid\u00e9rations \u00e0 la relation entre le totalitarisme et la d\u00e9mocratie. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans les ann\u00e9es 1960 et 1970, il a d\u00e9velopp\u00e9 une philosophie politique de la d\u00e9mocratie, bas\u00e9e sur sa bureaucratie et son totalitarisme, qui augmente la s\u00e9paration d’une soci\u00e9t\u00e9 civile autonome de l’\u00c9tat, le conflit politique \u00e9ternel de croyances concurrentes et un “lieu de pouvoir vide” aux bases d’une soci\u00e9t\u00e9 d\u00e9mocratiquement \u00e9crite. Dans sa jeunesse, Lefort \u00e9tait initialement marxiste sous l’influence de son professeur Maurice Merleau-Ponty, mais a rejet\u00e9 le stalinisme en raison de son nationalisme et de sa croyance dans le progr\u00e8s. Le communisme, comme Staline le propagait, ne semblait pas \u00eatre conforme \u00e0 l’enseignement Marx original. \u00c0 l’\u00e2ge de 18 ans, il est entr\u00e9 en contact avec des membres de l’IV Internationale, qui a \u00e9galement contribu\u00e9 en 1943. [2] Dans l’International Internationale s’est engag\u00e9 dans l’esprit du trotskyisme, il a trouv\u00e9 un forum pour son anti-stalinisme. Avec Cornelius Castoriadis, cependant, il s’est compl\u00e8tement tourn\u00e9 contre une direction du prol\u00e9tariat par le biais d’un “parti r\u00e9volutionnaire” – un objectif que le trotskyisme a continu\u00e9 \u00e0 rechercher. Les diff\u00e9rences ont finalement conduit \u00e0 une rupture avec l’IV International en 1947\/48. Avec Castoriadis, il a fond\u00e9 le groupe en m\u00eame temps Socialisme ou barbarie Et les deux ont commenc\u00e9 avec la publication du magazine du m\u00eame nom. Au cours de la p\u00e9riode qui a suivi, il a approfondi sa critique de la r\u00e8gle bureaucratique des partis communistes, mais selon ses propres d\u00e9clarations toujours inspir\u00e9es “par la croyance en la cr\u00e9ativit\u00e9 du prol\u00e9tariat”. [3] Cependant, depuis la demande de leadership intellectuel des \u00abmasses r\u00e9volutionnaires\u00bb et apr\u00e8s le d\u00e9veloppement d’un programme socialiste contraignant, il a \u00e9galement d\u00e9missionn\u00e9 dans ce groupe. Cette pause marque \u00e9galement son d\u00e9part final du marxisme. Inspir\u00e9 par le traitement des th\u00e9oriciens politiques classiques (en particulier Machiavel) et par l’analyse du r\u00e9gime socialiste en Europe de l’Est et en Union sovi\u00e9tique, il a d\u00e9velopp\u00e9 sa philosophie politique au cours de ces ann\u00e9es, ce qui lui a donn\u00e9 un plus grand niveau de sensibilisation – en particulier dans la zone fran\u00e7aise. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Apr\u00e8s avoir \u00e9tudi\u00e9 la philosophie, Lefort a exist\u00e9 en 1949 agr\u00e9gation pour la philosophie et devient 1971 docteur \u00e8s lettres et sciences humaines (Docteur en sciences humaines et humanistes). De 1976 \u00e0 1990, il a \u00e9t\u00e9 professeur au \u00c9cole des Hautes \u00c9tudes en Sciences Sociales Et il est membre du centre de recherches politiques Raymond Aron . Son travail comprend des \u00e9tudes sur Machiavel, Merleau-Ponty, des analyses du R\u00e9gime socialiste dans les pays du bloc oriental et un livre sur Alexander Solschenizyn, dont la description du Lefort Sovi\u00e9tique Lefort Lefort Lefort a consid\u00e9rablement influenc\u00e9 le totalitarisme communiste. Les principales id\u00e9es de son concept de totalitarisme et de d\u00e9mocratie sont dans le livre publi\u00e9 en 1981 L’invention d\u00e9mocratique montr\u00e9. L’objectif d\u00e9clar\u00e9 de Lefort est “la restauration de la philosophie politique” [4] Et il s’oppose donc \u00e0 la science politique positiviste qui fait la tentative impossible dans ses yeux pour analyser la soci\u00e9t\u00e9 en fonction des crit\u00e8res objectifs en tant que syst\u00e8me de relations causales. Le socialiste ne peut jamais \u00eatre compl\u00e8tement objectif, car chaque r\u00e9flexion sur la soci\u00e9t\u00e9 contient toujours ses propres interpr\u00e9tations. Apr\u00e8s tout, le scientifique fait partie de la soci\u00e9t\u00e9 qu’il recherche et ne peut r\u00e9sumer de certains jugements de valeur (avec lesquels il a grandi, par exemple). De plus, la neutralit\u00e9 n’est pas n\u00e9cessairement souhaitable du tout, car elle interdit le scientifique, consciemment et d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment et en consid\u00e9rant ses jugements de valeur, en vue de l’ensemble et de la connaissance de sa vie priv\u00e9e sociale. Au lieu de cela, le jugement de valeur en sciences sociales positivement, maintenant cach\u00e9 dans la pond\u00e9ration respective des facteurs de d\u00e9termination sociale suppos\u00e9s \u00abobjectifs\u00bb, est d\u00e9sormais cach\u00e9e comme \u00abhypocrisie\u00bb. [5] Dans ce contexte \u00e9pist\u00e9mologique, Lefort essaie de d\u00e9terminer la base des soci\u00e9t\u00e9s d\u00e9mocratiques modernes, qu’il voit principalement dans une “division originale de la soci\u00e9t\u00e9”. Dans la modernit\u00e9, ce n’est plus couvert – comme au Moyen \u00c2ge – par le pouvoir du monarque politique-religieux. Dans son int\u00e9gralit\u00e9, le monarque “incarnait” la communaut\u00e9 en tant que personne mortelle et repr\u00e9sentant politique-religieux de l’\u00c9tat et \u00e9tait une garantie de l’identit\u00e9 de la soci\u00e9t\u00e9 (voir aussi la “th\u00e9orie \u00e0 deux corps” des historiens Ernst Kantorowicz). Avec l’abolition de la royaut\u00e9 dans la \u00abr\u00e9volution politique\u00bb \u00e0 la fin du XVIIIe si\u00e8cle (signifiait la R\u00e9volution fran\u00e7aise, en particulier l’explication des droits humains et civils), la soci\u00e9t\u00e9 est maintenant \u00abd\u00e9cor\u00e9e\u00bb et n’est plus repr\u00e9sent\u00e9e comme une unit\u00e9. [6] Le manque de repr\u00e9sentabilit\u00e9 dans son ensemble se manifeste dans la modernit\u00e9 dans une double division de la soci\u00e9t\u00e9: premi\u00e8rement, une soci\u00e9t\u00e9 civile autonome se divise de l’\u00c9tat. Deuxi\u00e8mement, la soci\u00e9t\u00e9 civile est \u00e9galement insurmontable en soi, en elle les diverses croyances et int\u00e9r\u00eats s’affronter en permanence, sans les derniers principes qui permettraient une d\u00e9cision finale du conflit en faveur d’un certain avis. [7] Un corps de d\u00e9cision final, comme le monarque, est impossible dans la d\u00e9mocratie: tout ce que la connaissance, tout ce qui est bien et le pouvoir lui-m\u00eame est soumis \u00e0 un conflit de la soci\u00e9t\u00e9 civile et reste donc incertain. [8] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4d’autre part exigence La soci\u00e9t\u00e9 d’une repr\u00e9sentation universelle: puisque l’horizon de la perception des membres d’une soci\u00e9t\u00e9 a toujours \u00e9t\u00e9 fa\u00e7onn\u00e9 par l’histoire et la soci\u00e9t\u00e9 (non d\u00e9termin\u00e9e!), Les humains ne peuvent \u00eatre imagin\u00e9s que comme faisant partie de la soci\u00e9t\u00e9 [9] Et personne de la soci\u00e9t\u00e9 d’un “lieu de d\u00e9bordement” [dix] Dans l’ensemble, une repr\u00e9sentation de cet ensemble n’est possible que comme r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 quelque chose en dehors de la soci\u00e9t\u00e9. Cet \u00abext\u00e9rieur\u00bb est le \u00ablieu virtuel du pouvoir\u00bb \u00e0 Lefort. Dans la modernit\u00e9 caract\u00e9ris\u00e9e par les conflits et la division, qui a perdu le corps int\u00e9gratif “Divin-humain” d’un monarque pour toujours, cet endroit ne peut \u00eatre occup\u00e9 par aucun individu, car une telle partie ne peut jamais faire partie et la repr\u00e9sentation holistique de la soci\u00e9t\u00e9. Le Lieu de pouvoir Il reste donc n\u00e9cessairement dans la d\u00e9mocratie d\u00e9poser et est toujours seulement symbolique occup\u00e9. Un paradoxe: \u00abL’auto-institution de la soci\u00e9t\u00e9 de l’aspect de son auto-repr\u00e9sentation est [\u2026] \u00e0 la fois: \u00e0 la fois n\u00e9cessaire et impossible. Par cons\u00e9quent, Lefort [\u2026] parle de quasi-repr\u00e9sentation \u00bb. [11] Le lieu du pouvoir est le p\u00f4le oppos\u00e9 \u00e0 la soci\u00e9t\u00e9 civile, l’\u00e9cart entre les deux est constitutif de la d\u00e9mocratie et donc le repr\u00e9sentant respectif du pouvoir doit d\u00e9montrer cette diff\u00e9rence encore et encore et s’assurer – parce que cela s’attend \u00e0 ce que la soci\u00e9t\u00e9 soit repr\u00e9sent\u00e9e par lui. N\u00e9anmoins, il ne doit jamais tomber dans l’illusion, il incarne en fait l’univers, occupe en fait le lieu du pouvoir. D\u00e8s que c’est le cas, le caract\u00e8re particulier r\u00e9el du souverain et pour tenter de diriger la soci\u00e9t\u00e9 civile qui commence \u00e0 se d\u00e9fendre comme la derni\u00e8re autorit\u00e9, il doit utiliser des moyens brutaux qui ne soulignent que son ill\u00e9gitimit\u00e9 plus clairement. \u00c0 partir de ce moment, la th\u00e9orie de Lefort \u00e0 la relation entre la d\u00e9mocratie et le totalitarisme devient compr\u00e9hensible. Une plaque d’immatriculation d’id\u00e9ologies sociales est qu’ils pensent en possession d’un principe universel, \u00e0 travers lequel surmonter le conflit original et un dans le sens aller La vie sociale souhaitable est possible. \u00c0 cette fin, une id\u00e9ologie essaiera toujours d’occuper r\u00e9ellement le lieu du pouvoir et de supprimer \u00e0 la fois l’ext\u00e9rieur et la division int\u00e9rieure de la soci\u00e9t\u00e9 (voir ci-dessus), il y a une p\u00e9n\u00e9tration totale de la soci\u00e9t\u00e9. Cependant, ce surmonter est n\u00e9cessairement vou\u00e9 \u00e0 l’\u00e9chec en raison du caract\u00e8re fondamental et insurmontable de la division originale, la r\u00e9sistance de la soci\u00e9t\u00e9 civile doit \u00eatre violemment supprim\u00e9e. Le souverain se croit incarnation de la loi et agit arbitrairement. Cette fa\u00e7on vers le totalitarisme est toujours prescrite par l’\u00eatre paradoxal de la soci\u00e9t\u00e9 d\u00e9mocratique: “” La th\u00e8se de Lefort doit \u00eatre reformul\u00e9e la distinction entre la d\u00e9mocratie et le totalitarisme comme une distinction au sein de la d\u00e9mocratie: la d\u00e9mocratie n’est pas compl\u00e8tement diff\u00e9rente du totalitarisme, mais contient toujours le totalitarisme. [\u2026] La d\u00e9mocratie sera toujours travers\u00e9e par des moments totalitaires. \u00bb [douzi\u00e8me] ” Le danger du totalitarisme d\u00e9pend donc de la soci\u00e9t\u00e9 d\u00e9mocratique, car elle est encore subliminalement longue pour une s\u00e9curit\u00e9 du droit et des connaissances qui n’existait plus depuis le \u00abd\u00e9coratif\u00bb de la soci\u00e9t\u00e9 au cours de l’abolition de la monarchie. Une societe, “” Qui n’a plus une repr\u00e9sentation de leurs origines, objectifs et limites et comme pur s\u00e9culier De la question de leur institution, leur potentiel de changement, leur auto-cr\u00e9ation, en effet \u00abl’invention de l’homme\u00bb est [\u2026] tend \u00e0 fantasmer une ma\u00eetrise totale de l’espace social, c’est-\u00e0-dire les individus qui le peuplent [\u2026]. Il tend aux fantasmes d’une puissance omniscient et d’une connaissance tout-puissant. ” [13] ” Cependant, le totalitarisme est \u00e9galement vou\u00e9 \u00e0 l’\u00e9chec. Parce que la production d’une unit\u00e9 sociale (totalit\u00e9) et de l’omission associ\u00e9e de tout ainsi que des \u00abautres\u00bb – comme: B. Mouvements dissidents, \u00abennemis folkloriques\u00bb dans le national-socialisme, \u00abcontre-r\u00e9volutionnaire\u00bb en stalinisme, etc. – exige un acteur qui peut voir la soci\u00e9t\u00e9 dans son ensemble et en dehors. Cependant, ce n’est pas possible. La soci\u00e9t\u00e9 civile ne pourra jamais contr\u00f4ler la plus petite. Ainsi, le totalitarisme ne peut pas atteindre son objectif de pr\u00e9senter une entreprise homog\u00e8ne sans conflit. [14] La question de la d\u00e9mocratie , dans: Ulrich R\u00f6del (\u00e9d.): Soci\u00e9t\u00e9 autonome et d\u00e9mocratie libertaire, Francfort a. M., 1990, S. 281-297. Continuation du th\u00e9ologiquement – politique? , Vienne, 1999. La violation. Essais pour le 68 mai . Traduit des Fran\u00e7ais et fourni d’une introduction de Hans Scheulen, Vienne 2008, Turia + Kant, ISBN 978-3-85132-520-1 Oliver Fl\u00fcgel, Reinhard Heil, Andreas Hetzel (\u00e9d.): Le retour des th\u00e9ories politiques – d\u00e9mocratie aujourd’hui. Scientific Book Society, Darmstadt 2004. Andrea Gabler: Le despotie de l’usine et le pr\u00e9-certificat de la libert\u00e9. Certificats collect\u00e9s aupr\u00e8s de la \u00abBarbarie du socialisme\u00bb \u00e0 partir de tous les jours du Fordiste. Dans: Archives pour l’histoire de la r\u00e9sistance et du travail 16, 2001, ISSN 0936-1014 , Pp. 349\u2013378, en ligne sur WorkersControl.net . Oliver Marchart: La th\u00e9orie politique du r\u00e9publicisme de la soci\u00e9t\u00e9 civile: Claude Lefort et Marcel Gauchet. Dans: Andr\u00e9 Brodocz Ud Gary Scriber: Th\u00e9ories politiques de l’actuel ii. 2e \u00e9dition. Budrich \/ UTB, Opladen 2006, pp. 221\u2013251 Ulrich R\u00f6del [HRSG.]: Soci\u00e9t\u00e9 autonome et d\u00e9mocratie libertaire. Suhrkamp, \u200b\u200bFrankfurt Am Main 1990 Andreas Wagner: Loi – Pouvoir – Public. \u00c9l\u00e9ments de l’\u00c9tat d\u00e9mocratique \u00e0 Claude Lefort et J\u00fcrgen Habermas. Steiner, Stuttgart 2010. Andreas Wagner (\u00e9d.): Au lieu de pouvoir vide. La compr\u00e9hension de Claude Lefort de l’\u00c9tat et de la politique. Nomos, Baden-Baden 2013. \u2191 Nicolas Truong et Nicolas Weill: Claude Lefort, Philosophe . Dans: Le Monde \u00e0 partir du 7 octobre 2010, p. 25; David A. 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(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/claude-lefort-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Claude Lefort – Wikipedia"}}]}]