[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/damaraseschwalbe-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/damaraseschwalbe-wikipedia\/","headline":"Damaraseschwalbe – Wikipedia","name":"Damaraseschwalbe – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le Damaraseeschwalbe ( Sternilia balaenarum ) est une esp\u00e8ce d’oiseau de mer de la famille des enchev\u00eatrements de mer","datePublished":"2023-02-21","dateModified":"2023-02-21","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/damaraseschwalbe-wikipedia\/","wordCount":2300,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le Damaraseeschwalbe ( Sternilia balaenarum ) est une esp\u00e8ce d’oiseau de mer de la famille des enchev\u00eatrements de mer (Sternidae). Cela faisait \u00e0 l’origine partie du genre Sterna , apr\u00e8s une r\u00e9vision de la famille de la tige marin, elle est devenue le genre en 2005 Puanteur transf\u00e9r\u00e9. [d’abord] Das ArtePitheton balaenarum (Gr\u00e8ce: \u03c6\u03b1\u03bb\u03b1\u03b9\u03bd\u03b1 (phalaina) bezieht Si Walvis Bay en Namibie, ehemals damaraland. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le pneu Damarase atteint une longueur corporelle de 23 cm, une plage d’aile de 51 cm et un poids de 46 g. Le front, le bec l\u00e9g\u00e8rement incurv\u00e9 et les r\u00eanes sont noirs. Le manteau, le haut, la ru\u00e9e et la queue sup\u00e9rieure sont gris clair. Kehle et le dessous sont gris-blancs. Le contenu blanc continue vers le cou. Les ourlets des plumes de queue ext\u00e9rieure sont blancs. Les jambes sont sombres. Les vieux oiseaux non reproduits ont un front blanc et une t\u00eate sup\u00e9rieure grise et brillante. Les oiseaux juv\u00e9niles ont un dessus brun gris, un ruban fonc\u00e9 \u00e0 travers l’\u0153il et au-dessus du cou, des plumes d’aile grise et des housses d’aile brune avec des ourlets sombres. La premi\u00e8re robe d’hiver est similaire au plumage des vieux oiseaux non reproduits. Cependant, les ailes de la main sont plus sombres et le bord ail\u00e9 du bras est faible. L’appel est constitu\u00e9 d’un aigu et d’une aigone Tsit tsit Et un rugueux, rapide gamin ou rrreekikkik La zone de reproduction s’\u00e9tend de Cabinda dans le nord de l’Angola, \u00e0 travers le sud de l’Angola, le long de la c\u00f4te via la Namibie jusqu’\u00e0 la province du Cap en Afrique du Sud. En dehors de la saison de reproduction, le vainage Damarasenudal au nord au B\u00e9nin, au Cameroun, Volks Republic of Congo, d\u00e9mocrate Republic of Congo, Ivory Coast, Gabon, Ghana, Lib\u00e9ria, Nig\u00e9ria et Togo. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les pneus Damarase se reproduisent sur le gravier ainsi que sur les niveaux et les dunes pierreux, jusqu’\u00e0 trois kilom\u00e8tres \u00e0 l’int\u00e9rieur des terres. Il \u00e9vite les plages ext\u00e9rieures, qui sont souvent visit\u00e9es par des rubans de proie. Elle cherche sa nourriture dans les eaux c\u00f4ti\u00e8res des baies, des planchers, des lagunes, des sel et dans la zone de surf. La nourriture se compose principalement de petits poissons et de calmars. Pendant une \u00e9tude [2] \u00c0 propos de la nourriture de Seenschwalben Boy en Namibie, qui a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e en 2011, \u00e9taient Atherina Breviceps , Liza Richardsonii , Grognon Et les poissons de la famille de Mucus Fish (Blenniidae) la proie la plus courante. Les jeunes oiseaux ont mang\u00e9 du poisson de 1,5 \u00e0 12 cm de long et avaient un poids de 30 g. Le Damarasenvalbe a rep\u00e9r\u00e9 sa proie de leur vol vibrant et les saisit dans l’eau lorsqu’ils plongent dans l’eau. La m\u00eame \u00e9tude [2] Est venu \u00e0 la conclusion que le tube de dommage a la plus grande s\u00e9quence de chasse dans les inondations et la moindre mar\u00e9e basse. La s\u00e9quence de chasse a augment\u00e9, tandis que le taux de plong\u00e9e total a chut\u00e9 avec l’augmentation de la vitesse du vent. La saison de reproduction se situe entre fin octobre et le milieu du novembre, mais il peut y avoir de nouveaux clips jusqu’en f\u00e9vrier. Les tartes des femmes forment des groupes de paires de reproduction d’un \u00e0 dix, parfois jusqu’\u00e0 50. Les nids sont s\u00e9par\u00e9s \u00e0 une distance moyenne de 57 \u00e0 185 m. Aucune influence territoriale n’a \u00e9t\u00e9 observ\u00e9e. En tant que lieu de nidification, les creux sans v\u00e9g\u00e9tation avec des moules dispers\u00e9es et des pierres entre des dunes sont pr\u00e9f\u00e9r\u00e9es. Seulement quelques races par creux. L’embrayage se compose d’un \u0153uf, rarement deux. Les vieux oiseaux ne montrent qu’un comportement d’attaque faible envers les intrus. La saison de reproduction est de 18 \u00e0 22 jours. Le poussin est blanc sur le dessous et sur le brun de cerf sup\u00e9rieur avec de beaux paillettes noires. Il quitte le nid apr\u00e8s deux jours et s’accroupie sur le sol. Apr\u00e8s 20 jours, les jeunes sont \u00e0 fond. Apr\u00e8s cela, ils d\u00e9pendent toujours des vieux oiseaux pendant deux \u00e0 cinq mois. \u00c0 l’\u00e2ge de trois \u00e0 quatre ans, les pneus Damarase couvrent pour la premi\u00e8re fois. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Au total, 70 colonies de reproduction sont connues dans toute la zone de reproduction, dont 56 (avec 87 \u00e0 93% de la population reproductrice) sur la c\u00f4te devant le Namib entre les rivi\u00e8res Kunene et Oranje. [3] 65 \u00e0 148 couples se reproduisent dans la province du Cap au sud en Afrique du Sud. [4] La plus grande sous-population s’est produite dans les races orientales sur la c\u00f4te de l’oc\u00e9an Indien dans la province du Cap oriental et se compose de 25 \u00e0 29 couples, ce qui est d\u00fb \u00e0 une petite augmentation de l’inventaire au cours des ann\u00e9es 1990. [5] Moins de 190 paires de reproduction se produisent au nord de Cabinda en Angola. [6] Dans une \u00e9tude publi\u00e9e en 2010 [6] Le stock entre Tombua et l’embouchure du Kunene en Angola a \u00e9t\u00e9 quantifi\u00e9 sur 573 individus, avec une colonie de reproduction de six couples, qui est situ\u00e9 \u00e0 30 km au nord du Kunene. Entre 2004 et 2015, le Walbe DamaraSeshable figurait sur la liste d’avant l’avancement de l’UICN ( quasi menac\u00e9e ), en raison de la petite population mod\u00e9r\u00e9e de 13 500 personnes estim\u00e9es en 1998. [7] Un nombre qui \u00e9tait encore significativement plus \u00e9lev\u00e9 qu’avec les enqu\u00eates sur les stocks pr\u00e9c\u00e9dents. Une enqu\u00eate plus r\u00e9cente a abouti \u00e0 une population totale de moins de 5730 oiseaux reproducteurs. [3] Par cons\u00e9quent, le statut de l’UICN en 2016 a \u00e9t\u00e9 “en danger” ( vuln\u00e9rable ) modifi\u00e9. Le Damaraseshaben est sous la conservation de la nature en Namibie et en Afrique du Sud. Mais une grande partie de leurs zones de reproduction n’est pas prot\u00e9g\u00e9e et donc particuli\u00e8rement sensible aux troubles humains. Une zone restreinte sur la c\u00f4te des diamants entre Swakopmund et Oranjemund offre une protection contre les troubles humains, mais seuls quelques couples se reproduisent dans cette r\u00e9gion. L’extraction de diamants pr\u00e8s des zones de reproduction peut \u00e9galement les mettre en danger. Une lib\u00e9ration de s\u00e9diments aux raisons de la nourriture \u00e0 la suite de l’extraction de diamants n’a pas \u00e9t\u00e9 d\u00e9termin\u00e9e, mais cette alimentation significativement alt\u00e9r\u00e9e dans une colonie de Damarasemaltben dans la baie d’Elizabeth dans le sud de la Namibie. Les v\u00e9hicules de plage motoris\u00e9s mettent en danger certaines colonies, ce qui conduit \u00e0 un faible taux de reproduction. Le d\u00e9veloppement c\u00f4tier provoque des colonies. Les activit\u00e9s anthropog\u00e8nes sur les plages peuvent entra\u00eener une augmentation de l’augmentation des cadres de proies. Par exemple, l’int\u00e9rieur des poissons, qui sont \u00e9limin\u00e9s par les p\u00eacheurs dans les zones de reproduction, attirent des chacals sacracks, chassant les jeunes enchev\u00eatrements de mer. Une autre cause de risque r\u00e9sulte des cons\u00e9quences du changement climatique. Cela comprend l’augmentation du gla\u00e7age dans les grandes colonies profondes telles que Hottentots Bay, la plus grande colonie de reproduction du monde, augmentant les fluctuations de la disponibilit\u00e9 des aliments en raison de la flottabilit\u00e9 r\u00e9duite et d’une augmentation de la temp\u00e9rature de surface de la mer. Il y a aussi des rapports [3] que le Damaraseshaben en Angola et dans les pays ouest-africains est captur\u00e9 comme source de nourriture. En novembre 2000, le trouble de la colonie de reproduction au r\u00e9cif de la prudence a \u00e9t\u00e9 emp\u00each\u00e9 avec succ\u00e8s avec l’aide de conseils d’information et de barri\u00e8res. Cela a entra\u00een\u00e9 une l\u00e9g\u00e8re augmentation de la densit\u00e9 du nid et a permis une augmentation du taux de glissement de 56 \u00e0 80%. L’interdiction des v\u00e9hicules hors route sur les plages sud-africaines en 2001 a \u00e9galement r\u00e9duit les perturbations le long des plages de reproduction et augment\u00e9 le succ\u00e8s de l’\u00e9levage. Il y avait des tendances similaires en Namibie apr\u00e8s que l’utilisation de v\u00e9hicules sur la plage \u00e9tait \u00e9galement limit\u00e9e sur deux p\u00e9riodes de reproduction. David A. Bannerman: Plus grands oiseaux de l’Afrique de l’Ouest. Penguin, Londres 1958. R. K. Brooke: Livre de donn\u00e9es rouge sud-africain: oiseaux. (= Rapport sud-africain des programmes scientifiques nationaux. 97). Conseil de recherche scientifique et industrielle, Pretoria, Afrique du Sud, 1984. E. K. Urban, C. H. Fry, S. Keith (HRSG.): Les oiseaux d’Afrique. Vol. 2, Academic Press, Londres \/ New York 1986. R. J. Braby, A. Shapira, R. E. Simmons: Des mesures de conservation r\u00e9ussies et de nouveaux records de reproduction pour les sterns de damara Sterna balaenarum en Namibie. Dans: Marine Ornithology 29, 2001, S. 81\u201384. Robert E. Simmons: Premiers records de reproduction pour les sternes de damara et la densit\u00e9 d’autres oiseaux de rivage le long de la c\u00f4te du d\u00e9sert namib d’Angola. Dans: Autruche. Journal of African Ornithology. 81, 1, 2010, S. 19\u201323. Justin Braby: Nouveaux enregistrements de migration pour la stern Damara Stern Balaenarum. Dans: Observations ornithologiques. 1, 2010, S. 38\u201341. Justin Braby: La conservation et la biologie de la sterne Damara en Namibie . Th\u00e8se de doctorat. Universit\u00e9 du Cap, Afrique du Sud, 2011. Justin Braby, Sigrid J. Braby, Rodney J Survie et \u00e2ge immatures \u00e0 la premi\u00e8re reproduction des sternes de damara: conservation d’un point de vue non reproducteur. Dans: Il br\u00fblait. 99 (2), 2011, S. 185\u2013190. Justin Braby, Lesley Gordon Underhill, Robert E. Simmons: Succ\u00e8s de la capture des proies et r\u00e9gime de poussins des sterns de damara Sterna balaenarum en Namibie. Dans: Journal africain des sciences marines. 33 (2), 2011, S. 247\u2013254. Philip A Whittington, Anthony J Tree, Ma\u00eblle Connan, Elizabeth G Watkins: Le statut de la sterne Damara dans le Cap oriental, en Afrique du Sud. Dans: Autruche. 86 (1 et 2), 2015, S. 65\u201373. M. Gochfeld, J. Burger, E. De Juana, E. F. J. Garcia, C. J. Sharpe: Damara Tern (Snell Balaenarum). Dans: J. del Hoyo, A. Elliott, J. Sargatal, D. A. Christie, E. de Juana (Hrsg.): Manuel des oiseaux du monde vivant. Lynx Edicions, Barcelone 2017. (Consult\u00e9 HBW Alive AM 11. Septembre 2017). \u2191 E. S. Bridge, A. W. Jones, A. J. Baker: Un cadre phylog\u00e9n\u00e9tique pour les sternes (sternini) d\u00e9duits des s\u00e9quences d’ADNmt: implications pour la taxonomie et l’\u00e9volution du plumage. Dans: Phylog\u00e9n\u00e9tique mol\u00e9culaire et \u00e9volution. 35, 2005, S. 459\u2013469. PDF Texte complet ( M\u00e9mento du 20 juillet 2006 Archives Internet ). \u2191 un b Justin Braby, Lesley Gordon Underhill, Robert E. Simmons: Succ\u00e8s de la capture des proies et r\u00e9gime de poussins des sterns de damara Sterna balaenarum en Namibie. Dans: Journal africain des sciences marines. 33 (2), 2011, S. 247\u2013254. \u2191 un b c Justin Braby: La conservation et la biologie de la sterne Damara en Namibie . Th\u00e8se de doctorat. Universit\u00e9 du Cap, Afrique du Sud, 2011. \u2191 R. J. Braby, A. Shapira, R. E. Simmons: Des mesures de conservation r\u00e9ussies et de nouveaux records de reproduction pour les sterns de damara Sterna balaenarum en Namibie. Dans: Ornithologie marine. 29, 2001, S. 81\u201384. \u2191 Philip a Whittington, Anthony J Tree, Ma\u00ebl Connan et Elizabeth G Watkins: Le statut de la sterne Damara dans le Cap oriental, en Afrique du Sud. 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(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/damaraseschwalbe-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Damaraseschwalbe – Wikipedia"}}]}]