[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/dissociation-chimie-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/dissociation-chimie-wikipedia\/","headline":"Dissociation (chimie) – Wikipedia","name":"Dissociation (chimie) – Wikipedia","description":"before-content-x4 Sous dissociation (du latin Discociaire “S\u00e9par\u00e9”) En chimie, le processus vivant ou automatique de division d’un compos\u00e9 chimique en","datePublished":"2019-07-23","dateModified":"2019-07-23","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/9440714582eebbd8835bfb53d80cb41d1242f4f0","url":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/9440714582eebbd8835bfb53d80cb41d1242f4f0","height":"","width":""},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/dissociation-chimie-wikipedia\/","wordCount":2950,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Sous dissociation (du latin Discociaire “S\u00e9par\u00e9”) En chimie, le processus vivant ou automatique de division d’un compos\u00e9 chimique en deux ou plusieurs mol\u00e9cules, atomes ou ions. Le degr\u00e9 de dissociation ou la constante de dissociation est utilis\u00e9 comme mesure de la dissociation. Le degr\u00e9 de dissociation indique le rapport des particules dissoci\u00e9es \u00e0 la concentration initiale formelle du compos\u00e9 chimique non non dissocul\u00e9. L’\u00e9nergie de dissociation est l’\u00e9nergie n\u00e9cessaire pour diviser une liaison chimique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La division d’une mol\u00e9cule ou d’un ion dans des sous-unit\u00e9s non r\u00e9vis\u00e9es ou invit\u00e9es A et B est appel\u00e9e dissociation mol\u00e9culaire, l’inversion de ce processus en tant qu’association mol\u00e9culaire. [d’abord] Les premi\u00e8res m\u00e9thodes de d\u00e9termination de la molarit\u00e9 \u00e9taient bas\u00e9es sur des mesures de densit\u00e9 de vapeur. Cependant, il y avait parfois des \u00e9carts qui ont conduit \u00e0 des conclusions mentales selon lesquelles les mol\u00e9cules doivent \u00eatre dissoci\u00e9es dans la phase gazeuse. [2] Le terme dissociation a \u00e9t\u00e9 fa\u00e7onn\u00e9 en 1857 par Henri \u00c9tienne Sainte-Claire Deville. [3] Lors de la d\u00e9termination des compos\u00e9s inorganiques et organiques r\u00e9sistants \u00e0 la vapeur, Cannizzaro, Kopp et Kekul\u00e9 ont trouv\u00e9 des \u00e9carts en phase gazeuse. La densit\u00e9 du gaz \u00e9tait souvent plus faible que pr\u00e9vu.Sainte-Claaire Deville a trouv\u00e9 une densit\u00e9 plus faible dans le pentachlorure de phosphore en phase gazeuse, en m\u00eame temps, il a observ\u00e9 une couleur verd\u00e2tre et a conclu du fait que le pentachlorure de phosphore dans le chlore et le trichlorure de phosphore doit \u00eatre tomb\u00e9.Pebal [4] et Skrap [5] Lors du chauffage du chlorure d’ammonium dans un tube mince \u00e0 travers les diff\u00e9rentes vitesses de gaz (tube en verre avec r\u00e9tr\u00e9cissement pour mesurer l’\u00e9panchement, voir Thomas Graham (chimiste)) avec le tournesol que le chlorure d’ammonium se dissocie dans la phase gazeuse de l’ammoniac et de l’acide hydrochlorique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les dissociations thermiques sont g\u00e9n\u00e9ralement beaucoup plus lentes que les dissociations \u00e9lectrolytiques. Un exemple de dissociation thermique fournit du t\u00e9troxyde de d\u00e9tresse, qui est disponible \u00e0 -10 \u00b0 C sous la forme de cristaux incolores. Lorsqu’il est chauff\u00e9, la mol\u00e9cule se dissocie dans le dioxyde d’azote intens\u00e9ment brun:: N2O4\u00a0\u21cc\u00a02\u00a0NO2{displayStyle Mathrm {n_ {2} o_ {4} justiceftharpoons 2 no_ {2}}} . Cette r\u00e9action est r\u00e9versible. Lors du refroidissement, l’\u00e9chantillon d\u00e9colore en raison de la recombinaison d’un t\u00e9troxyde stabilis\u00e9.Les dissociations se produisent, en particulier dans les macromol\u00e9cules, \u00e0 des temp\u00e9ratures relativement basses. Lors du chauffage des peroxydes ou des compos\u00e9s azo, les liaisons qui se dissocient d\u00e9j\u00e0 thermiquement \u00e0 environ 150 \u00b0 C, des radicaux surviennent. Les radicaux peuvent \u00eatre d\u00e9termin\u00e9s avec la spectroscopie de r\u00e9sonance de spin \u00e9lectronique (spectroscopie ESR). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Si la dissociation des mol\u00e9cules a lieu apr\u00e8s leur passage dans un \u00e9tat excit\u00e9 \u00e9lectroniquement par absorption de la lumi\u00e8re, on parle de dissociation photochimique ou \u00e9galement de photolyse ou de photodissociation. La photolyse est un aspect important de la chimie atmosph\u00e9rique et a une importance pr\u00e9parative et industrielle. La dissociation \u00e9lectrolytique est la d\u00e9croissance r\u00e9versible d’un compos\u00e9 chimique dans les anions et les cations dans un solvant (par exemple les sels dans l’eau). Les ions sont ensuite entour\u00e9s de solvants (solvatis\u00e9s) et ainsi librement mobiles, ce qui entra\u00eene la conductivit\u00e9 \u00e9lectrique. Ces solutions sont appel\u00e9es \u00e9lectrolytes. Avec le so-called r\u00e9el ou \u00e9lectrolytes permanents Si les ions sont d\u00e9j\u00e0 disponibles dans le solide (\u2192 r\u00e9seau ionique). Avec un sel de table fixe, la calandre est d\u00e9j\u00e0 dans la grille + et cl – -Ionion avant. Lorsque le sel est dissous dans l’eau, il y a d\u00e9sormais des ions libres dans l’eau. Dans la dissociation des sels dans les ions, l’\u00e9nergie plut\u00f4t \u00e9lev\u00e9e du cristal est utilis\u00e9e par l’\u00e9nergie d’hydratisation pendant le processus de solution. Avec le so-called \u00e9lectrolytes potentiels Il n’y a pas de liaisons ioniques dans le cas des substances pures. Ce sont des non-managers comme une substance pure.Lors de l’introduction de ces re-substances (AB) dans un solvant, les ions sont form\u00e9s par une r\u00e9action chimique entre dissous et solvants: UN B \u21cc A+ + B\u2212{displayStyle Mathrm {ab Rightleftharpoons a ^ {+} + b ^ {-}}} . La condition pr\u00e9alable \u00e0 une telle r\u00e9action est une liaison polaire entre les parties A et B de la connexion (AB) et un solvant polaire. Si, par exemple, de l’acide ac\u00e9tique pur est donn\u00e9 dans l’eau, se forment comme des cations H3O+{displaystyle mathrm {h_ {3} o ^ {+}}} Et comme anions H3C \u2212C O O\u2212{displayStyle mathrm {h_ {3} c {-} coo ^ {-}}} H3C\u2212COOH+H2O\u00a0\u21cc\u00a0H3C\u2212COO\u2212\u00a0+\u00a0H3O+{displayStyle Mathrm {h_ {3} C {-} COOH + H_ {2} o Rightleftharpoons H_ {3} C {-} COO ^ {-} + h_ {3} o ^ {+}}} Si le chlore \u00e0 gaz (HCl) est ins\u00e9r\u00e9 dans l’eau, une solution \u00e9lectrolytique se forme qui est appel\u00e9e acide chlorhydrique: H2O\u00a0+\u00a0HCl\u00a0\u21cc\u00a0H3O+\u00a0+\u00a0Cl\u2212{displayStyle Mathrm {h_ {2} o + hcl relainftharpoons h_ {3} o ^ {+} + cl ^ {-}}} . L’ammoniac de gaz (NH 3 ) amen\u00e9 dans l’eau, se former comme cations N H4+{displayStyle Mathrm {nh_ {4} ^ {+}}} Et comme anions O H\u2212{displayStyle Mathrm {oh ^ {-}}} : NH3+H2O\u21cc\u00a0NH4++OH\u2212{displayStyle Mathrm {nh_ {3} + h_ {2} Orightleftharpoons nh_ {4} ^ {+} + oh ^ {-}}} Les r\u00e9actions d’\u00e9quilibre de ces exemples sont \u00e9galement appel\u00e9es protolyse. Ce comportement conduit au caract\u00e8re acide des acides (comme l’acide ac\u00e9tique) et au caract\u00e8re de base des bases (comme l’ammoniac). La conductivit\u00e9 \u00e9lectrique de ces solutions est la preuve exp\u00e9rimentale de la formation d’anions et de cations en mouvement libre. Conna\u00eetre la dissociation est \u00e9galement d’une grande importance dans la chimie organique. De nombreuses r\u00e9actions organiques ne sont possibles que si les acides carboxyliques, les groupes d’hydroxy sont disponibles sous forme d’anions afin que les impl\u00e9mentations de tissu telles que les alkylations puissent \u00eatre effectu\u00e9es.Hammet a examin\u00e9 la dissociation des bases organiques et de l’acide carboxylique dans l’eau et divers solvants. [6] [7] Les premi\u00e8res \u00e9tudes sur la formation de compos\u00e9s organom\u00e9taux ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9es par Conant et Whheland. [8] [9] En 1965, CRAM a fait une \u00e9chelle d’acidit\u00e9 (MSAD-Skala) pour diverses mol\u00e9cules d’hydrocarbures, E. M. Arnett avait d\u00e9termin\u00e9 les constantes de dissociation pour l’ester, l’amide, le thiole, l’amine, les ph\u00e9nols.En raison de ces \u00e9chelles d’acidit\u00e9, les chimistes organiques peuvent plus facilement estimer la base n\u00e9cessaire pour une mise en \u0153uvre de mat\u00e9riaux. \u2191 A. F. Holleman: Manuel de chimie inorganique . Walter the Gruryter & Co KG, 2019, ISBN 978-3-11-083817-6, S. 354 ( books.google.com ). \u2191 Walther Nernst: Chimie th\u00e9orique du point de vue de la r\u00e8gle et de la thermodynamique d’Avogadroschen , 5e \u00e9dition, \u00e9diteur de Ferdinand Enke 1907, pp. 346\u2013347. \u2191 Sur la dissociation ou la decomposition spontanee des corps sons l’influence de la chaleur, Compt. rend. 45 , 857 (1857). \u2191 Liebigs Ann. 128, 199 (1862). \u2191 Rapport des expersons. d. Phys. 21 , 501 (1884). \u2191 L. P. Hammet: Chimie organique physique, Chemistry Verlag, Chap. 9. \u2191 L. P. Hammet, A. J. Deyrup, J. Am. Chem. Soc. 54, 272 (1932). \u2191 J. B. Conant, G.W. WHILAND, J. Am. Chem. Soc. 54, 1212 (1932). \u2191 K. Ziegler et H. Wollchitt, Ann. 479, 123 (1930). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/dissociation-chimie-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Dissociation (chimie) – Wikipedia"}}]}]