[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/djoper-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/djoper-wikipedia\/","headline":"Djoper – wikipedia","name":"Djoper – wikipedia","description":"before-content-x4 Djoser \u00e9tait le premier ancien roi \u00e9gyptien (pharaon) de la 3e dynastie (vieil empire). Il a r\u00e9gn\u00e9 d’environ 2720","datePublished":"2022-01-21","dateModified":"2022-01-21","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/9\/95\/Djosersiegel.png\/183px-Djosersiegel.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/9\/95\/Djosersiegel.png\/183px-Djosersiegel.png","height":"120","width":"183"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/djoper-wikipedia\/","wordCount":11898,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Djoser \u00e9tait le premier ancien roi \u00e9gyptien (pharaon) de la 3e dynastie (vieil empire). Il a r\u00e9gn\u00e9 d’environ 2720 \u00e0 2700 avant JC. Chr. [5] Il peut sans aucun doute \u00eatre avec les noms contemporains des noms Horus Netjeri-parti \u00eatre indentifi\u00e9. En tant que premier constructeur d’une pyramide de pas, Djoser est l’un des rois les plus connus de l’\u00c9gypte ancienne. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le nom “Djoser” peut sans aucun doute \u00eatre assimil\u00e9 aux noms d’horus arch\u00e9ologiquement bien document\u00e9s “-chet netjeri-“. Une statue assise de Pharaon Sesostris II (12e dynastie), dont l’inscription de base contient le nom \u00abHor-Netjeri-Chet-Djeser\u00bb. Cela prouve l’utilisation la plus pr\u00e9coce du nom “djeser” sous Sesostris II. [6] Le c\u00e9l\u00e8bre West Car-Papyrus (13th Dynasty) fournit la deuxi\u00e8me plus jeune preuve de l’utilisation du nom, qui utilise \u00e9galement le nom en carton “Djeser” pour Djoser. [7] Le sujet de la recherche d’aujourd’hui est la question de savoir d’o\u00f9 vient le nom “djeser”. Des fragments de st\u00e8les en gr\u00e8s poli, qui proviennent du complexe Djoser \u00e0 Sakkara, fournissent une indication possible. Leurs inscriptions donnent g\u00e9n\u00e9ralement les noms de Djoser et de ses femmes et filles, mais commencent toujours par les mots “Chenti-ta-djeser-nisut” ( La terre du roi sublime est b\u00e9nie ). Le “djeser-nisut” a probablement \u00e9t\u00e9 mal interpr\u00e9t\u00e9 plus tard comme le nom de naissance du djoser et adopt\u00e9 comme nom de cartouche. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le nom du refuge n \u00b0 16 est \u00e9galement pris en compte dans la liste royale d’Abydos des Sethos I. En y regardant de plus pr\u00e8s, il devient clair que la version du nom n’a pas \u00e9t\u00e9 initi\u00e9e \u00e0 l’origine avec “Djeser”, mais avec un mot diff\u00e9rent. Cependant, cela a \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9 plus tard. On ne sait pas comment ce mot avait \u00e9t\u00e9 et il y a de nombreuses interpr\u00e9tations. [8] Fragment de sceau d’argile avec le nom “Netjeri-chet” (Grab des Hesire). [9] Exigence d’un fragment de secours d’Heliopolis avec des repr\u00e9sentations de Djoser, Hetepernebti, Inetkaes et une personne inconnue La m\u00e8re de Djoser \u00e9tait la reine Nimaatapi, l’\u00e9pouse de Chasechemui, le dernier souverain de la 2e dynastie. Il est donc tr\u00e8s susceptible de supposer que Chasechemui \u00e9tait \u00e9galement le p\u00e8re de Djoser. La seule \u00e9pouse bien connue de Djosers \u00e9tait Hetepernebti. Une fille nomm\u00e9e Inetkaes est le seul enfant des djosers. Il ne peut pas \u00eatre d\u00e9termin\u00e9 avec certitude si elle \u00e9tait la fille de l’Hetepernebti ou venait d’un autre mariage du mat\u00e9riel source existant. Un autre membre de la famille possible du Djoser est repr\u00e9sent\u00e9 sur un fragment de secours d’Heliopolis, qui est maintenant situ\u00e9 dans le Museo Egizio \u00e0 Turin (Inv.-No. 2671\/211). Le fragment montre le roi intronis\u00e9, devant lui, beaucoup plus petit, sa fille Inetkaes et son \u00e9pouse Hetepernebti se st\u00e8tent. Une autre personne comprend le pied du roi par derri\u00e8re. Il n’est pas certain de qui il s’agit, car l’inscription est tr\u00e8s mal conserv\u00e9e. Ann Macy Roth lit le nom de Nianch-Hathor et consid\u00e8re la personne repr\u00e9sent\u00e9e \u00e0 une autre fille. [dix] Cependant, cette lecture est tr\u00e8s dangereuse et n’a pas encore pr\u00e9valu dans la recherche \u00e9gyptologique. Les restes peuvent \u00e9galement avoir \u00e9t\u00e9 pr\u00e9serv\u00e9s de l’une des femmes djosers de parents. James Edward Quibell a trouv\u00e9 plusieurs os d’une jeune femme dans l’installation de pyramide du djoser au d\u00e9but du 20e si\u00e8cle, qu’il pensait \u00eatre une princesse. En 1989, les os \u00e9taient dat\u00e9s au moyen de planchers radioco. Les r\u00e9sultats \u00e9taient assez impr\u00e9cis, mais n’ont pas exclu un temps de djosers d’une femme d’environ 16 \u00e0 17 ans. [11] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Pharaon Sechemchet est g\u00e9n\u00e9ralement consid\u00e9r\u00e9 comme le successeur de Djoser. Table of ContentsDur\u00e9e [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00e9v\u00e9nements [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’administration d’Etat [ Modifier | Modifier le texte source ]] exp\u00e9dition [ Modifier | Modifier le texte source ]] Introduction du nom d’or [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sakkara [ Modifier | Modifier le texte source ]] La pyramide djoser [ Modifier | Modifier le texte source ]] Privatgr\u00e4ber \u00e0 Sakkara [ Modifier | Modifier le texte source ]] Bait Challaf [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c9l\u00e9phantesque [ Modifier | Modifier le texte source ]] Gemelein [ Modifier | Modifier le texte source ]] H\u00e9liopole [ Modifier | Modifier le texte source ]] Royal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Plus de statues [ Modifier | Modifier le texte source ]] Royaume moyen et deuxi\u00e8me attente [ Modifier | Modifier le texte source ]] Nouveau Reich et troisi\u00e8me attente [ Modifier | Modifier le texte source ]] Spa [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ptolem\u00e4erd-und romain [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dur\u00e9e [ Modifier | Modifier le texte source ]] Il n’y a pas d’inscriptions contemporaines disponibles pour la d\u00e9termination de la dur\u00e9e exacte de la r\u00e8gle de Djoser, afin que seules les informations puissent \u00eatre utilis\u00e9es pour des listes royales ult\u00e9rieures. Le K\u00f6nigpapyrus, qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 dans le nouveau Reich, mentionne 19 ans et 1 mois, [douzi\u00e8me] Celui du 3\u00e8me si\u00e8cle avant JC Chr. Les pr\u00eatres \u00e9gyptiens vivants Manetho, en revanche, 29 ans. [13] Dans la recherche, le Turin papyrus est g\u00e9n\u00e9ralement accept\u00e9 et un r\u00e8gne de 19 \u00e0 20 ans est suppos\u00e9. [14] [15] \u00e9v\u00e9nements [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans une inscription, la prise de contr\u00f4le par Djoser du gouvernement du 26e ACHET III est document\u00e9e dans la saison \u00e9gyptienne de “inondation” du calendrier \u00e9gyptien. [16] On sait peu de choses sur d’autres \u00e9v\u00e9nements pendant le r\u00e8gne de Djoser. La Palermostein d\u00e9crit les cinq premi\u00e8res ann\u00e9es comme suit: Ann\u00e9e \u00e9v\u00e9nements 1 an Apparition du roi de l’\u00c9gypte sup\u00e9rieure et inf\u00e9rieure; Association des deux pays; Terrifiant les murs blancs 2 ann\u00e9es Apparition du roi de l’\u00c9gypte sup\u00e9rieure et inf\u00e9rieure; Remettre le Sentj -Punger au roi d’Ober\u00e4gypt 3\u00e8me ann\u00e9e Horusgeleit; Cr\u00e9ation d’une statue du min 4e ann\u00e9e Apparition du roi de l’\u00c9gypte sup\u00e9rieure et inf\u00e9rieure; Tron\u00e7ons du cordon [A 5] pour Qebeh-njeru (“Fountain des dieux”) 5e ann\u00e9e Horusgeleit, fest le djet …. Le bord de fracture de la Palermostein passe exactement en diagonale \u00e0 travers la cinqui\u00e8me fen\u00eatre, c’est pourquoi le reste de l’entr\u00e9e est manquant et donc dangereux, qui a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crit pr\u00e9cis\u00e9ment. L’administration d’Etat [ Modifier | Modifier le texte source ]] Probablement peu de temps avant ou pendant le r\u00e8gne de Djoser, il y a eu les premi\u00e8res approches d’une r\u00e9organisation administrative fondamentale de l’\u00c9gypte. Alors que l’administration n’\u00e9tait \u00e0 l’origine que sur la base de biens agricoles individuels, tout le pays \u00e9tait divis\u00e9 en Gaue au cours de l’ancien empire. Le plus \u00e2g\u00e9 d’entre eux est le Gau Ma-Hedj, qui a ensuite \u00e9t\u00e9 compt\u00e9 comme le 16e GAU \u00c9gyptien sup\u00e9rieur. Il est mentionn\u00e9 pour la premi\u00e8re fois sur les inscriptions vasculaires trouv\u00e9es dans le syst\u00e8me pyramide de Djoser. [17] Cependant, les ness d’autres Gaue ne peuvent \u00eatre trouv\u00e9es que du r\u00e8gne de Snofru, le fondateur de la 4e dynastie. Jusqu’\u00e0 la fin de l’ancien empire, 38 Gaue existait, dont le nombre est pass\u00e9 \u00e0 42 par les divisions jusqu’\u00e0 la p\u00e9riode romaine. Sous Djoser, plusieurs fonctionnaires et Vesire sont venus \u00e0 une grande r\u00e9putation, en particulier Imhotep, Hesire, Anch-Eni, Nedjem-Achan et Chai-Neferu. Alors qu’Imhotep a \u00e9videmment appr\u00e9ci\u00e9 la faveur sp\u00e9ciale de Djoser et a m\u00eame \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9e dans la derni\u00e8re fois, l’h\u00e9sire officiel donne des panneaux impressionnants en c\u00e8dre pr\u00e9cieux. Chai-Neferu, en revanche, n’appara\u00eet que sur les navires en pierre et les phoques sonores. exp\u00e9dition [ Modifier | Modifier le texte source ]] Djoser Rock Relief in the Wadi Maghara Djoser a \u00e9t\u00e9 le premier souverain \u00e9gyptien \u00e0 avoir une exp\u00e9dition organis\u00e9e par l’\u00c9tat au Wadi Maghara sur la p\u00e9ninsule du Sina\u00ef pour y exploiter les menthes de cuivre et turquoise. Un soulagement rapporte que Djoser avait attach\u00e9 au Wadi. L\u00e0, il appara\u00eet alors qu’il ralentit un prisonnier. Il y a une d\u00e9esse \u00e0 c\u00f4t\u00e9 de lui. Une figure est montr\u00e9e derri\u00e8re cela, qui selon l’inscription Administrateur du d\u00e9sert ANCH-EN-TI montre, qui dirigeait cette exp\u00e9dition. [18] \u00c0 partir d’un moment pr\u00e9-n\u00e2le, il existe des preuves d’activit\u00e9s \u00e9gyptiennes isol\u00e9es sur le Sina\u00ef. Les exp\u00e9ditions des mines organis\u00e9es de mani\u00e8re centrale n’\u00e9taient apparemment possibles que par des progr\u00e8s d\u00e9cisifs dans l’administration \u00e0 la fin du 2e et au d\u00e9but de la 3e dynastie. [19] Introduction du nom d’or [ Modifier | Modifier le texte source ]] DJOSER dans la course h\u00e9borante (soulagement des galeries de tombes souterraines) [20] Sous Djoser, le culte du soleil a connu une autre reprise, qui \u00e9tait \u00e9galement associ\u00e9e \u00e0 une importance croissante du roi. Au moins depuis la 1\u00e8re dynastie, la connexion du roi en tant qu’Horus vivait sous le soleil surnom Paradis , mais seul Djoser a augment\u00e9 le statut royal comme Vivre Horus sur Terre \u00e9galement avec le soleil. [21] Ces parall\u00e8les ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 montr\u00e9s dans le b\u00e2timent Pyramide, qui de Djoser a pris des dimensions croissantes. Sa nouvelle construction de la pyramide \u00e9tape rend la nouvelle philosophie royale claire, car le nouveau type devrait \u00eatre fix\u00e9 une apparence optique pour l’\u00e9ternit\u00e9 et un monument imp\u00e9rissable a \u00e9t\u00e9 construit avec le soleil comme signe du souverain \u00e9gal. De plus, Djoser a fait construire sa tombe directement dans sa pyramide et a ajout\u00e9 sa tombe simul\u00e9e d’Abydos \u00e0 Sakkara. [22] Une autre indication du culte du soleil prolong\u00e9 est la tombe de simulation (tombe du sud), qui a d’abord \u00e9t\u00e9 en pierre, qui a remplac\u00e9 la construction habituelle de Matt en bois et en m\u00e9tal. Dans l’ensemble, le complexe grave a connu une expansion beaucoup plus grande en raison des changements par rapport \u00e0 la construction traditionnelle. Les \u00e9gyptologues Jochem Kahl, Steven Quirke et Wolfgang Helck indiquent dans un lien direct avec l’introduction par Djoser du nom de Goldhorus, qui n’a pas mis le soleil sur le roi et lev\u00e9 le Dieu ind\u00e9pendant, mais a fait la nouvelle fusion du roi du soleil. [21] Kahl et Quirke supposent que lors de l’introduction du nom de Goldhorus, la pens\u00e9e mentalement religieuse a d\u00fb faire un fort changement dans le temps de Djoser et a influenc\u00e9 les g\u00e9n\u00e9rations futures, car les dirigeants suivants ont imm\u00e9diatement pris le nom de Goldhorus (comparer Chaba). [23] Sakkara [ Modifier | Modifier le texte source ]] La pyramide djoser [ Modifier | Modifier le texte source ]] Pyramide de niveau du djoser \u00e0 Sakkara Le syst\u00e8me de chambre souterrain de la pyramide Plan du complexe pyramidal. 1: Step Pyramid, 2: S\u00fcdgrab, 3: SED Festival Courtyard and Chapels, 4: Tempel T, 5: S\u00fcdhof, 6: S\u00fcdpavillon, 7: Nordpavillon, 8: Toter Temple, 9: Westgalerien, 10: Entr\u00e9e Colonnade, 11: Nordhof, North Altar La pyramide Djoser est le deuxi\u00e8me plus ancien b\u00e2timent monumental encore pr\u00e9serv\u00e9 de l’\u00c9gypten, qui est fait de pierres taill\u00e9es. Avec sa construction, Djoser a lanc\u00e9 l’\u00e8re des pyramides en \u00c9gypte. Il a \u00e9t\u00e9 construit en six \u00e9tapes de construction et son apparence a chang\u00e9 plusieurs fois. \u00c0 l’origine, pr\u00e9vu uniquement comme un mastaba de 8 m de haut, il a \u00e9t\u00e9 initialement \u00e9tendu deux fois la longueur et la largeur. Dans trois autres niveaux de construction, il a ensuite \u00e9t\u00e9 converti en quatre \u00e9tages et enfin en une pyramide \u00e0 six \u00e9tages avec une taille de base de 121 m \u00d7 109 m et une hauteur de 62 m. [24] La chambre fun\u00e9raire a \u00e9t\u00e9 construite dans le prochain rocher sous le centre de la pyramide \u00e9tape. En raison de la conception d’origine de la pyramide comme un mastaba plat, un arbre vertical s’\u00e9tend sur la chambre fun\u00e9raire, qui devrait servir d’acc\u00e8s. Apr\u00e8s la conversion du b\u00e2timent, deux arbres en pente, accessibles du c\u00f4t\u00e9 nord de la pyramide, ont repris cette fonction. De la chambre fun\u00e9raire, ils se ramifient apr\u00e8s les quatre directions, qui expirent toutes dans des syst\u00e8mes de galeries complexes. Les parties du complexe sont d\u00e9cor\u00e9es de carreaux de fa\u00efence et de repr\u00e9sentations en relief du roi. [25] Ind\u00e9pendamment de cela, il y a onze arbres sur le c\u00f4t\u00e9 est de la pyramide, qui m\u00e8nent initialement verticalement vers le bas, puis conduisent horizontalement sous la pyramide. Les cinq arbres nord ont servi de tombes des membres de la famille de Djoser, mais ils ont d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 vol\u00e9s dans l’antiquit\u00e9. Les six autres puits sont des salles de magazines. En eux, des c\u00e9ramiques et des navires en pierre des tombes de presque tous les rois de la 1\u00e8re et de la 2e dynastie ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s aupr\u00e8s de fonctionnaires de ces p\u00e9riodes. [26] Autour de la pyramide \u00e9tend un complexe spacieux, qui est la plus grande de toutes les pyramides \u00e9gyptiennes. Le temple de la mort rejoint le c\u00f4t\u00e9 nord de la pyramide. Cela se compose de deux cours ouvertes et de plusieurs pi\u00e8ces, mais dont la fonction exacte n’est pas compl\u00e8tement claire, car le temple s’\u00e9carte de mani\u00e8re significative des temples de torture qui sont courants plus tard. [27] \u00c0 l’est du temple se trouve le serdab, dans lequel une statue du djoser a \u00e9t\u00e9 install\u00e9e, qui est maintenant situ\u00e9e au mus\u00e9e \u00e9gyptien du Caire. [28] Le plus dens\u00e9ment construit est la zone \u00e0 l’est de la pyramide. Il y a deux b\u00e2timents sur le serdab, qui sont appel\u00e9s le pavillon nord et sud et dont la fonction n’est pas enti\u00e8rement claire. Il s’agit probablement de b\u00e2timents d’administration symbolique pour l’\u00c9gypte sup\u00e9rieure et inf\u00e9rieure. [29] Le Sedfest-Hof s’\u00e9tend au sud-est de la pyramide, qui est flanqu\u00e9 de son c\u00f4t\u00e9 ouest de 13 grandes et douze petites chapelles sur son c\u00f4t\u00e9 est, qui sont des b\u00e2timents solides symboliques sans int\u00e9rieurs r\u00e9els. Au nord des 13 grandes chapelles se trouve un autre b\u00e2timent, appel\u00e9 temple \u00abt\u00bb et qui a probablement jou\u00e9 un r\u00f4le dans le Sedfest. [30] Il y a une large colonnade d’entr\u00e9e dans le coin sud-est du complexe. [trente et un] Une cour ouverte occupe la majeure partie du c\u00f4t\u00e9 sud de la pyramide. Cette cour du sud est le seul d\u00e9veloppement \u00e0 n’avoir que deux structures en forme de B, qui sont interpr\u00e9t\u00e9es comme des marques de tournant pour la course symbolique du roi au Sedfest. [32] Dans l’angle sud-ouest de la cour se trouve la tombe sud, qui est une version plus petite du complexe grave sous la pyramide, pour ainsi dire. La d\u00e9coration est \u00e9galement similaire. Ce b\u00e2timent aurait pu \u00eatre con\u00e7u comme une tombe provisoire pour Djoser, mais aussi comme une tombe symbolique pour son KA. [33] Le So-Salled Western Massive occupe tout l’ouest du complexe, sous lequel il y a de longs couloirs et plus de 400 chambres. Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, il n’est pas clair s’il s’agit de salles de stockage, d’installations graves pour les serviteurs de Djoser, une tombe usurp\u00e9e d’un ancien roi ou du projet original pour la tombe de Djoser. [34] La zone au nord de la pyramide est prise par une cour ouverte qui n’a pas encore \u00e9t\u00e9 pleinement examin\u00e9e. Du c\u00f4t\u00e9 nord se trouve un autel et \u00e0 l’ouest de ces autres galeries, qui sont des salles de magazines. Dans le nord-ouest de la cour, il y a plusieurs tombes d’escalier, qui sont les restes d’une n\u00e9cropole plus ancienne qui a \u00e9t\u00e9 construite par le syst\u00e8me pyramidal du djoser. [35] L’ensemble du complexe pyramid est entour\u00e9 d’un mur. Il a une longueur de 545 m et une largeur de 278 m. Le mur est effectu\u00e9 dans le style typique de la fa\u00e7ade du palais avec des projections et des niches et a 14 chocs. Le mur est \u00e0 nouveau entour\u00e9 d’un foss\u00e9 monumental qui a une largeur de 40 m et enferme tout le complexe dans une expansion maximale de 750 m. [36] Privatgr\u00e4ber \u00e0 Sakkara [ Modifier | Modifier le texte source ]] Des sceaux avec des noms de djosers horus ont \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s dans trois tombes priv\u00e9es \u00e0 Sakkara: dans Grab S2305 [37] , Grab S3518 [38] ainsi que dans le mastaba de l’h\u00e9sire (Grave S2405) [39] Bait Challaf [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le nord d’Abydos au nord de Bait Challaf se compose de cinq mastabas, dont quatre peuvent \u00eatre dat\u00e9s du r\u00e8gne des djosers en scellant. Le plus grand d’entre eux, Mastaba K1, [40] [41] A des dimensions de 45 \u00d7 85 m et mesure plus de 8 m de haut. Sa ma\u00e7onnerie principale se compose de plusieurs couches inclin\u00e9es int\u00e9rieurement en briques de boues du Nil. Il avait peut-\u00eatre \u00e0 l’origine une sous-structure en panne de niche. Du c\u00f4t\u00e9 est, une rampe m\u00e8ne au toit sur lequel se trouve l’entr\u00e9e du syst\u00e8me de chambre. L’escalier a un coffre-fort, qui est le plus ancien coffre-fort connu d’\u00c9gypte. Le syst\u00e8me de chambre souterrain reproduit les chambres d’un b\u00e2timent r\u00e9sidentiel ou d’un palais et contenait de grandes quantit\u00e9s de navires en c\u00e9ramique et en pierre. [42] En raison de sa taille et du sceau trouv\u00e9, le mastaba \u00e9tait \u00e0 l’origine consid\u00e9r\u00e9 comme la tombe du djoser. [43] Cependant, puisque des sceaux avec le nom de la reine Nimmaatapi ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s, il semble probable que c’est sa tombe. Avec les mastabas K3, K4 et K5 significativement plus petits, dans lesquels des sceaux avec le nom de Djoser ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s, il semble que ce soit les tombes de membres moins importants de la famille de Nimaatapi. [19] \u00c9l\u00e9phantesque [ Modifier | Modifier le texte source ]] Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, l’\u00e9tendue exacte des activit\u00e9s de Djoser sur l’\u00eele d’\u00e9l\u00e9phantine n’a pas \u00e9t\u00e9 claire. Jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, il n’a \u00e9t\u00e9 attest\u00e9 que par plusieurs impressions de phoque, [44] [45] qui, cependant, ne repr\u00e9sentent aucune preuve imm\u00e9diate des activit\u00e9s de construction. Cependant, les famines qui ne sont apparues \u00e0 l’\u00e9poque ptol\u00e9mique (voir ci-dessous) appellent un temple du chnum, qui aurait pu \u00eatre fond\u00e9 par Djoser sur l’\u00e9l\u00e9phantine ou une \u00eele voisine (comme Visual ou Philae). [quarante-six] Gemelein [ Modifier | Modifier le texte source ]] La datation de plusieurs blocs de secours du temple du Hathor \u00e0 Gebelein n’est pas s\u00fbre. Les blocs sont en calcaire et se trouvent maintenant au mus\u00e9e \u00e9gyptien du Caire et dans le Museo Egizio \u00e0 Turin. Entre autres choses, la repr\u00e9sentation d’un roi leur est montr\u00e9e. Cependant, comme aucun nom n’est pr\u00e9serv\u00e9, ils ne peuvent \u00eatre dat\u00e9s que stylistiquement \u00e0 la fin du 2\u00e8me ou du d\u00e9but de la 3e dynastie. William Stevenson Smith pensait qu’elle \u00e9tait les \u0153uvres du djoser, [47] Toby Wilkinson, en revanche, a tendance \u00e0 devenir son pr\u00e9d\u00e9cesseur Chasechemui. [19] H\u00e9liopole [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les restes d’un petit b\u00e2timent sont conserv\u00e9s d’Heliopolis. Au d\u00e9but du 20e si\u00e8cle, Ernesto Schiaparelli a d\u00e9couvert par Ernesto Schiaparelli dans la fondation d’un successeur. Il s’agit de 36 fragments d’une petite chapelle qui a probablement \u00e9t\u00e9 construite au festival Djosers SEDT et a servi \u00e0 cr\u00e9er une statuette culte du roi. L’apparition exacte de la chapelle ne peut pas \u00eatre reconstruite \u00e0 partir des restes obtenus. Les fragments sont aujourd’hui dans le Museo Egizio \u00e0 Turin. Une pi\u00e8ce montre une fa\u00e7ade de palais et une partie des noms Djosers Horus, une seconde la partie sup\u00e9rieure d’une repr\u00e9sentation du roi intronis\u00e9 avec une perruque, une barbe c\u00e9r\u00e9monielle et un manteau s\u00e9duisant. La partie inf\u00e9rieure d’une autre repr\u00e9sentation du roi intronis\u00e9 peut \u00eatre vue sur une troisi\u00e8me pi\u00e8ce. \u00c0 ses pieds, trois femmes s’agenouillent, qui sont la reine Hetepernebti, la princesse Inetkaes et une personne inconnue. [48] [49] Royal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Statue du Djoser au mus\u00e9e \u00e9gyptien au Caire (49156 chacun) R\u00e9plique de la statue dans le serdab de la pyramide djoser L’\u0153uvre d’art sans aucun doute la plus connue de l’\u00e8re de Djoser est son si\u00e8ge de chaux grandeur nature, qui vient du serdab du complexe Djoser \u00e0 Sakkara. Le chef-d’\u0153uvre a \u00e9t\u00e9 d\u00e9couvert vers 1924 par Cecil Mallaby Firth. La statue est faite de calcaire poli. Le pharaon porte une gu\u00e9rison \u00e9tanche \u00e0 la peau et un foulard NEMES pliss\u00e9 sur une perruque \u00e0 longue \u00e9tape. Son menton est \u00e9galement d\u00e9cor\u00e9 d’une forte barbe pharaon. Les mains et le visage \u00e9taient \u00e0 l’origine peintes brun-rouge, les yeux sup\u00e9rieurs et inf\u00e9rieurs \u00e9taient d\u00e9cor\u00e9s de couleur fonc\u00e9e. Les orbites \u00e9taient auparavant peintes \u00e0 l’int\u00e9rieur et consid\u00e9r\u00e9es avec des pierres de cristal – lorsque la statue est trouv\u00e9e, cependant, les cristaux ont \u00e9t\u00e9 vol\u00e9s et la statue a \u00e9t\u00e9 gravement endommag\u00e9e. L’original de la statue se trouve aujourd’hui au mus\u00e9e \u00e9gyptien du Caire (Inv.-No. 49156), tandis qu’une r\u00e9plique est install\u00e9e dans le serdab. Une pierre lat\u00e9rale du serdab a \u00e9t\u00e9 remplac\u00e9e par un disque pendant la reconstruction pour permettre aux visiteurs de regarder \u00e0 l’int\u00e9rieur du serdab. Il y a aussi une autre statue au Caire (Inv.No. 49889 et 49889A-G), \u00e0 partir de laquelle seule la base avec les pieds du roi est pr\u00e9serv\u00e9e. Elle a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 d\u00e9couverte lors des fouilles de Firth dans le district de pyramide du Djoser. Il se compose de calcaire et a des restes de peinture. Djoser repr\u00e9sentait autrefois la pi\u00e8ce. Avec ses pieds. Il y a aussi trois oiseaux informatiques devant ses pieds, qui repr\u00e9sentent des peuples ennemis dans la Nildelta. Le devant de la base de statues porte le nom et le titre du roi ainsi qu’une inscription appel\u00e9e Imhotep. [50] Un tiers du Caire aujourd’hui (inv. N \u00b0 60487) est le reste d’une figure de stand du roi en calcaire. Seuls le torse et les restes des jambes sont conserv\u00e9s. Le roi n’est pas montr\u00e9 en position de pas, mais avec des jambes ferm\u00e9es et porte une ceinture avec des ligaments hathor autour des hanches. [50] Seuls la base et les pieds sont conserv\u00e9s \u00e0 partir d’un groupe de statues. La pi\u00e8ce est en calcaire et a une hauteur conserv\u00e9e de 13 cm, une largeur de 183 cm et une profondeur de 42 cm. Il y a un total de quatre paires de pieds sur la base, dont les deux couples droits sont nettement plus petits que la gauche. [51] Des fragments de statues qui ressemblent au serdstatue ont \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s dans la zone du temple de la mort, ce qui pourrait indiquer un deuxi\u00e8me s\u00e9dab possible. [50] [52] Statues inachev\u00e9es, complexe pyramide du djoser Reste d’un groupe de statues, district pyramide du djoser Plus de statues [ Modifier | Modifier le texte source ]] Statuette d’un dieu, peut-\u00eatre du district pyramidal du djoser; Brooklyn Museum (58.192) Une statue qui se trouve aujourd’hui au Brooklyn Museum (Inv.-No. 58.192) peut \u00e0 l’origine provenir du complexe pyramide du Djoser. C’est une petite figure qui repr\u00e9sente une divinit\u00e9 masculine, peut-\u00eatre Onuris. La pi\u00e8ce se compose d’un gneiss anthosite et a une hauteur conserv\u00e9e de 21,4 cm, une largeur de 9,7 cm et une profondeur de 8,9 cm. Il montre une silhouette avec une large plaque arri\u00e8re arrondie. Le dieu est reproduit en contraste avec la jambe gauche et porte une ceinture et une poche de phallus autour des hanches. Les bras sont sur le c\u00f4t\u00e9 du corps. La main gauche est serr\u00e9e au poing, la droite tient un couteau. Le dieu porte une barbe c\u00e9r\u00e9monielle atteignant la poitrine et une perruque ronde volumineuse. [53] Le Mus\u00e9e d’art et d’histoire de Bruxelles abrite une figure tr\u00e8s similaire (Inv.-No. E 7039). Cette pi\u00e8ce est \u00e9galement d’origine incertaine, mais est tr\u00e8s similaire \u00e0 la pi\u00e8ce de Brooklyner dans le mat\u00e9riel et l’ex\u00e9cution. Il se compose \u00e9galement de gneiss et avait \u00e0 l’origine une hauteur d’environ 30 cm. Seule la t\u00eate avec une perruque courte et la partie sup\u00e9rieure d’un pilier arri\u00e8re arrondi sont conserv\u00e9es. Les traits du visage n’ont \u00e9t\u00e9 \u00e9labor\u00e9s que, la zone du menton s’est cass\u00e9e. [51] En plus des figures de Dieu, il y a plusieurs chefs de prison du r\u00e8gne de Djoser, qui servait probablement \u00e0 l’origine en tant que tr\u00f4nes ou bases de statues. Deux de ces pi\u00e8ces sont aujourd’hui au Caire. Le premier (inv.No. chacun 49613) se compose de granit et a une hauteur de 25 cm, une largeur de 45 cm et une profondeur de 20 cm. Il se composait \u00e0 l’origine de trois t\u00eates, mais seulement deux sont conserv\u00e9s. La droite montre un Libyen qui a quitt\u00e9 un Asie. La t\u00eate perdue aurait probablement d\u00fb repr\u00e9senter un Nubier. [50] La deuxi\u00e8me pi\u00e8ce du Caire (Vor. Inv.-No. 18.2.26.5) se compose d’ardoise et montre deux t\u00eates. [51] D’origine inconnue est une troisi\u00e8me pi\u00e8ce qui est maintenant situ\u00e9e au Mus\u00e9e d’\u00c9tat d’art \u00e9gyptien \u00e0 Munich. Il ne peut \u00eatre attribu\u00e9 stylistiquement de la 3e dynastie et tr\u00e8s probablement le r\u00e8gne du djoser. Il s’agit d’un bloc d’alb\u00e2tre d’une hauteur de 19,5 cm, d’une largeur de 35 cm et d’une profondeur de 23 cm. Deux t\u00eates d’ennemis \u00e9trangers sont indiqu\u00e9es sur deux surfaces lat\u00e9rales. Un couple est des Asiatiques, l’autre sur Libyen. [54] Djoser et son Imhotep pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 \u00e9taient tous deux v\u00e9n\u00e9r\u00e9s en m\u00eame temps et m\u00eame jug\u00e9s. Le nom de Djoser appara\u00eet sur d’innombrables objets et dans les l\u00e9gendes des \u00e9poques ult\u00e9rieures. Royaume moyen et deuxi\u00e8me attente [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une statue provient de la 12e dynastie que Sesostris II a fait en l’honneur des djosers. Il se compose de diorite et se trouve maintenant au mus\u00e9e \u00e9gyptien de Berlin. Seule la moiti\u00e9 inf\u00e9rieure de la statue a \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9e. C’est une figure de si\u00e8ge qui montre Djoser sur un tr\u00f4ne. Il porte un tablier et a affront\u00e9 sa main droite au poing sur la cuisse. Ses pieds sont surnaturellement grands dans le style typique de l’Empire moyen. Avec eux, il crie neuf arches qui symbolisent les ennemis de l’\u00c9gypte. L’origine de la pi\u00e8ce est inconnue, mais le format, le mat\u00e9riel et le style interpr\u00e8tent sur Th\u00e8bes. Peut-\u00eatre l’emplacement d’origine du temple de Karnak, o\u00f9 Sesostris j’avais d\u00e9j\u00e0 des statues pour Sahure et Niiserre, deux rois de la 5e dynastie. [55] Djoser est \u00e9galement l’un des personnages principaux du c\u00e9l\u00e8bre Papyrus Westcar, la majorit\u00e9 du Royaume du Milieu ou la deuxi\u00e8me attente (13e dynastie). Dans ce document, des miracles et des l\u00e9gendes du r\u00e8gne du djoser des Pharaons, Nebka, Snofru et Cheops sont racont\u00e9s. L’histoire de Djoser n’est pr\u00e9serv\u00e9e que comme une derni\u00e8re phrase, le nom de la figure de h\u00e9ros (probablement Imhotep) est perdu. [56] [57] Nouveau Reich et troisi\u00e8me attente [ Modifier | Modifier le texte source ]] Exigence de la liste royale de Karnak Pendant le nouvel empire, dans la 18e dynastie sous la thutmose III. La soi-disant liste royale de Karnak dans le temple de Karnak dans Th\u00e8bes, dans laquelle le nom de Djoser a probablement \u00e9t\u00e9 mentionn\u00e9. Contrairement \u00e0 d’autres listes royales \u00e9gyptiennes anciennes, ce n’est pas une liste compl\u00e8te de tous les dirigeants, mais une liste de s\u00e9lection que seuls les rois appelle pour lesquels la thutmose III. Un sacrifice a \u00e9t\u00e9 assur\u00e9. Le nom de Djoser lui-m\u00eame n’est pas conserv\u00e9. La liste commence par une entr\u00e9e d\u00e9truite, puis se poursuit avec Snofru, le fondateur de la 4e dynastie. La premi\u00e8re entr\u00e9e \u00e9tait partiellement comme Hospitalit\u00e9 Lisez, mais cela est bas\u00e9 sur une interpr\u00e9tation incorrecte de Karl Richard Lepsius. \u00c9tant donn\u00e9 que la liste Karnak est bas\u00e9e sur un certain nombre de statues qui ont \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es dans la 12e dynastie du temple et sont connues pour Djoser une statue de ce moment qui est probablement de Karnak, il est tr\u00e8s probable que la premi\u00e8re entr\u00e9e de la liste Djoser ait \u00e9t\u00e9 d\u00e9di\u00e9e. [58] Visiteurs du s\u00fcdhaus der djoser-pyramide Au total, onze \u00e9crits de visiteurs de particuliers de la maison nord et sud de la pyramide Djoser ont \u00e9t\u00e9 conserv\u00e9s du nouvel empire. L’inscription la plus ancienne date du r\u00e8gne d’Amenophis I. (18e dynastie), le r\u00e9cent dat\u00e9 pr\u00e9cis\u00e9ment du r\u00e8gne de Rams\u00e8s II (19e dynastie). Dans l’une des inscriptions, un \u00e9crivain se plaint de nombreux textes moins substantiels que d’autres personnes avaient laiss\u00e9s devant lui. [59] Un visiteur de Ramses \u2019II est \u00e9galement connu de la pyramide de Chendjer au sud de la pyramide Djoser. C’est un int\u00e9r\u00eat particulier, car il est pris dans sa r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 Djoser en tant qu’inventeur du b\u00e2timent en pierre. [60] En plus des \u00e9crits des visiteurs, la 19e dynastie a \u00e9galement une inscription de restauration qui a \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9e sur certains blocs, qui appartenait \u00e0 l’origine au rev\u00eatement de la pyramide Djoser. Cela montre que Chaemwaset, un fils de Rams\u00e8s II., Comme pour de nombreux autres b\u00e2timents de l’ancien empire, a \u00e9galement fait r\u00e9aliser le travail de restauration de la pyramide Djoser. [soixante-et-un] Du nouveau Reich vient \u00e9galement une pause en relief de la tombe du pr\u00eatre Mehu de Sakkara, qui remonte \u00e0 la 19e ou 20e dynastie. Trois divinit\u00e9s y sont repr\u00e9sent\u00e9es, qui s’opposent \u00e0 un certain nombre de rois d\u00e9c\u00e9d\u00e9s. Ce sont Djoser et Djoserteti de la 3e dynastie et les utilisateurs de la 5e dynastie. Seul un nom fortement d\u00e9truit est conserv\u00e9 \u00e0 partir d’un quatri\u00e8me roi, qui a parfois \u00e9t\u00e9 lu comme un Djedkare, mais parfois aussi comme un Schepepskare. Le soulagement est une expression de la pi\u00e9t\u00e9 personnelle du propri\u00e9taire de la tombe, qui a fait prier les vieux rois prier les dieux pour lui. [62] Une st\u00e8le est connue du s\u00e9rape \u00e0 Sakkara qui remonte \u00e0 la 22 \u00e0 24e dynastie. Un roi est repr\u00e9sent\u00e9 dans le geste de pri\u00e8re, qui est identifi\u00e9 comme un djoser par une inscription. Le propri\u00e9taire de la Stele, un certain webastet de Padi, a dirig\u00e9 une inscription sur Osiris-apis et laisse appara\u00eetre Djoser comme un interm\u00e9diaire entre lui et le Dieu. [63] Spa [ Modifier | Modifier le texte source ]] En plus des visiteurs du nouveau Reich, la pyramide Djoser a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 d\u00e9couverte dans la maison nord de la pyramide Djoser. Elle remonte \u00e0 la 26e dynastie et ne fait pas de r\u00e9f\u00e9rence directe \u00e0 Djoser, mais prouve que son syst\u00e8me de pyramide \u00e9tait toujours ouvert aux visiteurs \u00e0 l’\u00e9poque. [soixante-quatre] Plusieurs fragments de st\u00e8le et de relief du djoser, qui ont \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9s dans Horbeut et Tanis, datent du m\u00eame temps. Ils \u00e9taient \u00e0 l’origine dat\u00e9s de la 3e dynastie, mais ont quant \u00e0 lui identifi\u00e9 comme des copies saitiques des \u0153uvres dans l’ancien empire. Le style de repr\u00e9sentation des reliefs n’est donc qu’un hommage \u00e0 l’\u00e8re de Djoser. [65] La statue du pr\u00eatre Jahmes (Mus\u00e9e \u00e9gyptien Berlin, inv.-no. 14 765) date de la p\u00e9riode perse, qui peut \u00eatre lue sur la base qu’il avait diverti le service de d\u00e9c\u00e8s pour les dirigeants Djoser et Sechemchet. [66] Toujours dans la p\u00e9riode perse, une inscription a \u00e9t\u00e9 jointe sous la r\u00e8gle de Dareios I dans le wadi hammamat. Dans ce document, le directeur de Chenemibre r\u00e9pertorie sa descente sur 22 g\u00e9n\u00e9rations, bien que l’authenticit\u00e9 de ses informations soit discutable. En tant que prog\u00e9niteur, il d\u00e9clare qu’un constructeur principal vivait sous Rams\u00e8s II et lui attribue qu’il jouit d’une renomm\u00e9e encore plus grande que l’Oberbaumeister Imhotep, qui travaille sous Djoser. [soixante-sept] Ptolem\u00e4erd-und romain [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les famines So-Salled pr\u00e8s de Sehel (au sud-ouest de l’\u00e9l\u00e9phantine), un soulagement de la roche du Ptolemean Times, rapporte une l\u00e9gende sur Djoser, selon laquelle le pharaon a mis fin \u00e0 une s\u00e9cheresse de sept ans dans laquelle il a sacrifi\u00e9 le dieu Chnum et \u00e0 droite. [68] Avec ce recours \u00e0 Djoser, un ancien droit l\u00e9gal aux dirigeants ptol\u00e9ma\u00efques sur la fronti\u00e8re entre l’\u00c9gypte et la Nubie (Dodekaschoinos) devrait \u00eatre l\u00e9gitim\u00e9. [69] De plus, le cercueil d’un pr\u00eatre nomm\u00e9 Senebef est conserv\u00e9 de la p\u00e9riode Ptol\u00e9maean (Mus\u00e9e \u00e9gyptien Berlin, inv.-non 34). D’apr\u00e8s une inscription, cela montre que Senebf a \u00e9t\u00e9 le pr\u00eatre mort du djoser. [70] Un papyrus d\u00e9motique, qui est maintenant situ\u00e9 \u00e0 l’Institut \u00e9gyptien de l’Universit\u00e9 de Copenhague, date du 1er ou du 2e si\u00e8cle apr\u00e8s JC. En raison du mauvais \u00e9tat du papyrus, le r\u00e9cit fictif qui lui est tenu est incomplet. Il s’agit d’une campagne contre l’Assyrie que Djoser prend ensemble avec Imhotep. Les Assyriens sont dirig\u00e9s par une reine non mentionn\u00e9e par leur nom, qui a des pouvoirs magiques. Lorsque l’arm\u00e9e \u00e9gyptienne est finalement stock\u00e9e \u00e0 Niniveh, Djoser Imhotep a charg\u00e9 d’obtenir les photos des dieux de la forteresse d’Arbela, car ils devraient \u00eatre pris selon l’\u00c9gypte. Dans un r\u00eave, cependant, une femme de chambre lui appara\u00eet et l’avertit. Le reste du texte n’est que de tr\u00e8s fragments. Il peut toujours \u00eatre reconstruit que Djoser veut c\u00e9l\u00e9brer sa victoire \u00e0 Memphis. Imhoteps, fille devrait appara\u00eetre comme un chanteur. Cependant, cela refuse. Enfin, un passage dans l’Imhotep et la reine assyrienne produisent des images des dieux, les donnent vie et les se battent les uns contre les autres. Le texte pr\u00e9sente de grandes similitudes avec les \u0153uvres plus anciennes dans la litt\u00e9rature \u00e9gyptienne comme le Papyrus Westcar, mais aussi avec le roman grec Alexandre. [71] La vie de Djoser et de son architecte Imhotep a \u00e9t\u00e9 trait\u00e9e dans de nombreuses \u0153uvres fictives. Le Fran\u00e7ais Pierre Montlaur 1985 a \u00e9crit le roman en 1985 Imhotep, Le Mage du Nil (Allemand: Imhotep. Docteur des pharaons , 1988). L’auteur allemand Harald Braem a publi\u00e9 le roman jouant sur Djosers K\u00f6nigshof en 1990 Ourlet, l’\u00c9gyptien . L’\u00e9crivain fran\u00e7ais Bernard Simonay a publi\u00e9 une trilogie de roman historique avec le titre entre 1996 et 1998 La premi\u00e8re pyramide (pas de traduction allemande) sur la vie des djosers. Une ceinture principale d\u00e9couverte en 1960 porte le nom de Djoser en orthographe anglaise obsol\u00e8te: (4907) Zoser. [72] Litt\u00e9rature g\u00e9n\u00e9rale Darrell D. Baker: L’encyclop\u00e9die des pharaons \u00e9gyptiens. Bande I: Predynastic \u00e0 la vingti\u00e8me dynastie (3300-1069 avant JC). Bannerstone Press, Oakville 2008, ISBN 978-0-9774094-4-0, S. 96-100. Martin von Falck, Susanne Martintinsen-Von Falck: Les grands pharaons. Du d\u00e9but au milieu du royaume. Marix, Wiesbaden 2015, ISBN 978-3-7374-0976-6, S. 78\u20139 ALAN COURTAINS, ECKART KI\u00dfling: Histoire de l’\u00c9gypte ancienne. Une introduction (= Sortie de poche de Kr\u00f6ner. Volume 354). Kr\u00f6ner, Stuttgart 1965, DNB 451433629 . Wolfgang Helck: Histoire de l’\u00c9gypte ancienne . Bill, souffrir 1981, ISSBN 90-04-064497-4. Pierre Montet: La vieille \u00c9gypte . Magnus, Essen 1975. Thomas Schneider: Lexique des pharaons . Albatros, D\u00fcsseldorf 2002, ISBN 3-491-96053-3. Au nom \u00c0 la pyramide Jean-Philippe Lauer: Les tombes royales de Memphis. Fouilles \u00e0 Sakkara. L\u00fcbbe, Bergisch Gladbach 1988, ISBN 3-7857-0528-X. Mark Lehner: Secret des pyramides. Econ, D\u00fcsseldorf 1997, ISBN 3-572-01039-X. Frank M\u00fcller-R\u00f6mer: La construction des pyramides dans l’\u00c9gypte ancienne. UTZ, Munich 2011, ISBN 978-3-8316-4069-0. Rainer Stadelmann: Les pyramides \u00e9gyptiennes. De la construction de briques au miracle mondial (= Histoire culturelle du monde antique. Volume 30). 3e \u00e9dition mise \u00e0 jour et \u00e9largie. Von Zabern, Mainz 1997, ISBN 3-8053-1142-7. Miroslav Verner: Les pyramides (= Rororo-Sachbuch. Volume 60890). Rowohlt, Reinbek pr\u00e8s de Hamburg 1999, ISBN 3-499-60890-1, pp. 131\u2013165. Pour plus de litt\u00e9rature sur la pyramide, voir sous Djoser Pyramid \/ Litt\u00e9rature et sources Pour plus d’activit\u00e9s de construction John Garstang: Mah\u00e2sna et B\u00eate Khall\u00e2f (= Compte de recherche \u00e9gyptienne. Ann\u00e9e 7). Quaritch, Londres 1903, planche 8 (1). Questions d\u00e9taill\u00e9es J\u00fcrgen von Beckerath: Chronologie de l’\u00c9gypte pharaonique . Von Zabern, Mainz 1997, ISBN 3-8053-2310-7. Horst Beinlich (\u00e9d.): 5e Conf\u00e9rence du temple \u00e9gyptologique: W\u00fcrzburg, 23-26 septembre 1999 . Harrassowitz, Wiesbaden 2002, ISBN 3-447-04544-2, (= L’\u00c9gypte et la vieille volont\u00e9. Bande 33, nr. 3 \/ Fichiers des tempelations \u00e9gyptologiques. Bande 3). G\u00fcnter Dreyer: Le premier roi de la 3e dynastie. Dans: Heike Guksch, Daniel Polz (\u00e9d.): Stations. Contributions \u00e0 l’histoire culturelle de l’\u00c9gypte. Rainer Stadelmann d\u00e9di\u00e9. Von Zabern, Mainz 1998, ISBN 3-8053-2526-6, pp. 31\u201334. Adolf Erman: Les contes de f\u00e9es du Papyrus Westcar . 2 volumes. W. Spemann, Stuttgart 1890. Wolfgang Helck: La pyramide Djoser datant des inscriptions vasculaires. Dans: Journal of Egyptian Language and Antiquity. Band 106, 1979, ISSN 0044-216X , S. 120\u2013132. Wolfgang Helck: Enqu\u00eates sur la p\u00e9riode mince (= Trait\u00e9s \u00e9gyptologiques. (\u00c4a) Band 45). Harrassowitz, Wiesbaden 1987, ISBN 3-447-02677-4 Jacques de Morgan: Catalogue des monuments et inscriptions de l’Egypte antique . Premi\u00e8re S\u00e9rie: Haute Egypte . Bande 1: De la fronti\u00e8re de Nubie \u00e0 Kom Ombos . Holzhausen, Vienne 1894, pp. 80\u201382. Steven Quirke: Religions \u00e9gyptiennes anciennes . Dover Publishing, Londres 1992, ISBN 0-7141-0966-5. Stephan J. Seidlmayer: La chronologie relative de la dynastie 3. Dans: Erik Hornung, Rolf Krauss, David A. Warburton (\u00e9d.): Chronologie \u00e9gyptienne ancienne (= Manuel d’\u00e9tudes orientales. Section un. Le proche et le Moyen-Orient. Bande 83). Brill, Leiden \/ Boston 2006, ISBN 90-04-11385-1, S. 116\u2013123 (en ligne) Nabil M. A. Swelim: Quelques probl\u00e8mes sur l’histoire de la troisi\u00e8me dynastie (= \u00c9tudes arch\u00e9ologiques et historiques. Bande 7). Soci\u00e9t\u00e9 arch\u00e9ologique, Alexandrie 1983. Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9 . Partie 1: Posthume gonfle les rois des quatre premi\u00e8res dynasties (= \u00c9tudes \u00e9gyptologiques de Munich. Volume 17). Hessling, Berlin 1969 (en m\u00eame temps: dissertation, Universit\u00e9 de Munich, 1967). Toby A. H. Wilkinson: \u00c9gypte dynastique pr\u00e9coce . Routledge, Londres U. un. 1999, ISBN 0-415-18633-1. \u2191 Le nom propre, tel qu’il est initi\u00e9 avec “sa ra” de la 4\u00e8me dynastie, n’existe pas encore pour le moment, c’est pourquoi le transfert \u00e0 votre nom propre (pharaon) est fondamentalement probl\u00e9matique. Le libell\u00e9 Nom propre est bas\u00e9 sur J\u00fcrgen von Beckerath: Manuel des noms royaux \u00e9gyptiens. Munich et a. 1984. \u2191 Pour des raisons inconnues, le premier signe a \u00e9t\u00e9 supprim\u00e9 par la suite \u2191 Dur\u00e9e du gouvernement: 29 ans. \u2191 un b Dur\u00e9e du gouvernement: sans sp\u00e9cification. \u2191 Ce que l’on entend, c’est une c\u00e9r\u00e9monie de fondation \u2191 Peter Kaplony: Navires en pierre avec des inscriptions des premiers jours et de l’ancien empire. Bande 1, monuments \u00e9gyptiens, Bruxelle, 1968, S. 68. \u2191 Steven Quirke: Religions \u00e9gyptiennes anciennes. Londres 1992, S. 22. \u2191 Tonsiegel UC38100 (Engl.) \u2191 Alan H. Gardiner: Le canon royal de Turin . Tableau d’image 2; La repr\u00e9sentation de l’entr\u00e9e dans le Turin papyrus, qui s’\u00e9carte de la syntaxe habituelle pour les icioboxes, est invent\u00e9e \u00e0 utiliser qui a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e dans les cartouches ouvertes hi\u00e9ratiques. La peinture sans peinture en alternance de certains \u00e9l\u00e9ments de nom peut \u00eatre attribu\u00e9e aux dommages mat\u00e9riels dans le papyrus. \u2191 Thomas Schneider: Lexique des pharaons . D\u00fcsseldorf 2002, S. 315. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie un: Sources posthumes sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 59 & 60ff. \u2191 Adolf Erman: Les contes de f\u00e9es du Papyrus Westcar. Stuttgart 1890, S. 76\u201377. \u2191 J\u00fcrgen von Beckerath: Manuel des noms royaux \u00e9gyptiens . Munich et a. 1984, pp. 50, 176. \u2191 James Edward Quibell: Excavations \u00e0 Saqqara 1911\u20131912. Le tombeau de Hesy . Imprimerie de l’Institut fran\u00e7ais d’arch\u00e9ologie orientale, Kairo 1908, Bildtafel 28; Objekt Nr. 23. \u2191 Ann Macy Roth: Changement social dans la quatri\u00e8me dynastie. L’organisation spatiale des pyramides, des tombes et des cimeti\u00e8res. Dans: Journal de l’American Research Center en \u00c9gypte. Band 30, 1993, S. 54. \u2191 Renate Germer: Reste de K\u00f6nigsmummia des pyramides de l’ancien empire – existent-ils vraiment? Dans: Piq\u00fbres. Non. 7, 2003, p. 37. \u2191 J\u00fcrgen von Beckerath: Chronologie de l’\u00c9gypte pharaonique. MAINT 1994, S. 208. \u2191 Gerald P. Verbrugghe, John M. Wickersham: Beross et Manetho, introduits et traduits. Traditions indig\u00e8nes dans la M\u00e9sopotamie ancienne et l’\u00c9gypte. University of Michigan Press, Ann Arbor (Michigan) 2000, ISBN 0-472-08687-1, S. 134. \u2191 J\u00fcrgen von Beckerath: Chronologie de l’\u00c9gypte pharaonique. MAINT 1994, S. 187. \u2191 Darrell D. Baker: L’encyclop\u00e9die des pharaons \u00e9gyptiens, volume I: pr\u00e9dynastique de la vingti\u00e8me dynastie (3300-1069 avant JC). Bannerstone Press, Oakville 2008, S. 97. \u2191 Siegfried Schott: Festival \u00e9gyptien ancien (= Acad\u00e9mie des sciences et de la litt\u00e9rature. N\u00e9 en 1950. Volume 10). Steiner, Wiesbaden 1950, p. 54. \u2191 Wolfgang Helck: L’ancienne \u00e9gyptienne Gaue (= Suppl\u00e9ments \u00e0 l’atlas T\u00fcbingen de l’orientation avant. S\u00e9rie B. Humanities. Volume 5). Reichert, Wiesbaden 1974, pp. 109\u2013111, 199. \u2191 A. H. Gardiner, T. E. Peet: Les inscriptions du Sina\u00ef. Londres 1953, S. 54, NR. 1, tableau 1. \u2191 un b c Toby A. H. Wilkinson: \u00c9gypte dynastique pr\u00e9coce . Routledge, Londres U. un. 1999, S. 97. \u2191 Robins gays: L’art de l’\u00c9gypte ancienne. British Museum Press for the Trustees of the British Museum, Londres 1997, ISBN 0-7141-0988-6, S. 43, Abbildung 39. \u2191 un b Wolfgang Helck: Histoire de l’\u00c9gypte ancienne. Leiden 1981, S. 47. \u2191 Wolfgang Helck: Histoire de l’\u00c9gypte ancienne. Leiden 1981, p. 45\u201346. \u2191 Steven Quirke: Religion \u00e9gyptienne ancienne. S. 22. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hamburg 1998, S. 137\u2013138. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 141\u2013144. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 144\u2013146. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, art. 158\u2013159. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 159. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hamburg 1998, S. 156\u2013158. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 153\u2013156. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 135\u2013137. \u2191 Miroslav Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 146\u2013150. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 150\u2013152. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 160\u2013161. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 159\u2013160. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hamburg 1998, S. 133\u2013135. \u2191 Bertha Porter, Rosalind L. B. Moss: Bibliographie topographique des anciens textes hi\u00e9roglyphiques \u00e9gyptiens, reliefs et peintures. III 2 . Memphis. Partie 2. \u1e63aqq\u00e2ra \u00e0 Dahsh\u00fbr. 2e \u00e9dition. University Press, Oxford 1981, ISBN 0-900416-23-8, p. 437 ( PDF; 33,5 MB ). \u2191 Bertha Porter, Rosalind L. B. Moss: Bibliographie topographique des anciens textes hi\u00e9roglyphiques \u00e9gyptiens, reliefs et peintures. III 2 . Memphis. Partie 2. \u1e63aqq\u00e2ra \u00e0 Dahsh\u00fbr. 2e \u00e9dition. University Press, Oxford 1981, ISBN 0-900416-23-8, p. 448 ( PDF; 33,5 MB ). \u2191 James Edward Quibell: Excavations \u00e0 Saqqara 1911\u20131912. Le tombeau d’Hesy. Institut Fran\u00e7ais d\u2019Arch\u00e9ologie Orientale, Kairo 1913, Tafel XXVIII (23) ( Version en ligne ). \u2191 John Garstang: Mahasna et Bet Khallf. Londres 1903, tableau VII. \u2191 Digitalegypt.ucl.ac.uk \u2191 Dieter Arnold: Lexique de l’architecture \u00e9gyptienne. Albatros, D\u00fcsseldorf 2000, ISBN 3-491-96001-0, p. 41. \u2191 Peter Kaplony: Beit Challaf. Dans: Wolfgang Helck, Eberhard Otto (\u00e9d.): Lexique d’\u00c9gyptologie. Bande 1: A – r\u00e9colte. Harrassowitz, Wiesbaden 1975, ISBN 3-447-01670-1, sp. 686. \u2191 Werner Kaiser U. un.: Ville et temple d’\u00e9l\u00e9phantine. 13.\/14. Rapport d’excavation. Dans: Messages du d\u00e9partement allemand de l’Institut arch\u00e9ologique du Caire. (Mdaik) Volume 44, p. 108, 109, figure 13C, Tafel 15c. \u2191 Jean Leclant, Gisele Clerc: Fouilles et travaux en \u00c9gypte et au Soudan, 1991\u20131992. Dans: Orientalia. Bande 62, S. 250. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 87. \u2191 William Stevenson Smith: Une histoire de la sculpture \u00e9gyptienne et de la peinture dans l’Ancien Royaume. 2e \u00e9dition. Oxford University Press, Londres 1949, p. 137. \u2191 Horst Beinlich: 5e Conf\u00e9rence du temple \u00e9gyptologique: W\u00fcrzburg, 23-26 septembre 1999. S. 152. \u2191 Christiane Ziegler: Fragments d\u00e9cor\u00e9s de la chapelle du Djoser King \u00e0 Heliopolis. Dans: Metropolitan Museum of Art (\u00e9d.): L’art \u00e9gyptien \u00e0 l’\u00e8re des pyramides. Metropolitan Museum of Art, New York 1999, ISBN 0-87099-906-0, S. 175-176. \u2191 un b c d Dagmar Stockfisch: \u00c9tudes sur le culte du roi \u00e9gyptien dans l’ancien empire. La d\u00e9coration des cultures royales. Bande 2. Kovac, Hambourg 2003, ISBN 3-8300-0857-0, S. 15. \u2191 un b c Dagmar Stockfisch: \u00c9tudes sur le culte du roi \u00e9gyptien dans l’ancien empire. La d\u00e9coration des cultures royales. Bande 2. Kovac, Hambourg 2003, ISBN 3-8300-0857-0, S. 16. \u2191 M. Verner: Les pyramides. Hambourg 1998, S. 159 F Le serdab et la partie nord du complexe Djoser . \u2191 Christiane Ziegler: Divinit\u00e9 masculine. Dans: Metropolitan Museum of Art (\u00e9d.): L’art \u00e9gyptien \u00e0 l’\u00e8re des pyramides. Metropolitan Museum of Art, New York 1999, ISBN 0-87099-906-0, S. 178\u2013179. \u2191 Christiane Ziegler: Base de statues avec des t\u00eates ennemies. Dans: Metropolitan Museum of Art (\u00e9d.): L’art \u00e9gyptien \u00e0 l’\u00e8re des pyramides. Metropolitan Museum of Art, New York 1999, ISBN 0-87099-906-0, S. 174. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 59\u201360. \u2191 Verena M. Lepper: \u00c9tudes sur PwestCar. Une analyse philologique et litt\u00e9raire (nouvelle); Avec un fichier audio-MP3 des performances du texte sur CD-ROM. Harrassowitz, Wiesbaden 2008, ISBN 978-3-447-05651-9, S. 29\u20133 \u2191 Adolf Erman: Les contes de f\u00e9es du Papyrus Westcar. Stuttgart 1890, S. 7. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 60\u201363. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 65\u201371. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 72\u201374. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 72. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 74\u201376. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 76\u201377. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 77\u201379. \u2191 Soutien des g\u00e9ores: La d\u00e9couverte des tr\u00e9sors de Tanis. Persea, Paris 1987, ISBN 2-906427-01-2, PL4-35-35. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 79\u201383. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 83\u201384. \u2191 Gertrud Dietze: Philae et les Dodekachoinos \u00e0 l’\u00e9poque ptol\u00e9ma\u00efque. Dans: Soci\u00e9t\u00e9 ancienne. Non. 25, 1994, pp. 94\u201397. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 85\u201391. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 85. \u2191 Dietrich Wildung: Le r\u00f4le des rois \u00e9gyptiens dans la conscience de leur post\u00e9rit\u00e9. Partie I. Sources de Posthume sur les rois des quatre premi\u00e8res dynasties. Berlin 1969, S. 91\u201393. \u2191 ZOSER dans la base de donn\u00e9es Internet par Jet Propulsion Laboratory (JPL) (Anglais). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/djoper-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Djoper – wikipedia"}}]}]