[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/hassan-pakravan-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/hassan-pakravan-wikipedia\/","headline":"Hassan Pakravan – Wikipedia","name":"Hassan Pakravan – Wikipedia","description":"before-content-x4 Hassan Pakravan (Persan Hassan Pakravan ; * 4 ao\u00fbt 1911; \u2020 11 avril 1979) \u00e9tait un g\u00e9n\u00e9ral iranien, chef","datePublished":"2020-01-13","dateModified":"2020-01-13","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/d\/df\/Hassan_Pakravan.jpg\/170px-Hassan_Pakravan.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/d\/df\/Hassan_Pakravan.jpg\/170px-Hassan_Pakravan.jpg","height":"234","width":"170"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/hassan-pakravan-wikipedia\/","wordCount":2014,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Hassan Pakravan (Persan Hassan Pakravan ; * 4 ao\u00fbt 1911; \u2020 11 avril 1979) \u00e9tait un g\u00e9n\u00e9ral iranien, chef des services secr\u00e8tes de Savak de 1961 \u00e0 1965 et ambassadeur iranien au Pakistan et en France. Hassan Pakakravan \u00e9tait mari\u00e9 au docteur Fatemeh Farifteh. Quatre enfants ont \u00e9merg\u00e9 du mariage. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Hassan Pakravan est n\u00e9 \u00e0 T\u00e9h\u00e9ran le 4 ao\u00fbt 1911. Sa m\u00e8re Emineh \u00e9tait la fille d’un aristocrate persan qui \u00e9tait mari\u00e9e \u00e0 un autrichien. Son p\u00e8re Fatholak Khan, un diplomate, est \u00e9galement venu d’une famille iranienne \u00e9minente. \u00c9tant donn\u00e9 que son p\u00e8re \u00e9tait employ\u00e9 comme diplomate au consulat iranien d’Alexandrie (\u00c9gypte), Hassan est d’abord all\u00e9 au lyc\u00e9e fran\u00e7ais d’Alexandrie. En 1923, les parents ont divorc\u00e9. Emineh a d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 en Belgique avec ses deux enfants. Hassan est dipl\u00f4m\u00e9 de Belgique puis a \u00e9tudi\u00e9 l’ing\u00e9nierie \u00e0 l’Universit\u00e9 de Li\u00e8ge. Apr\u00e8s avoir termin\u00e9 ses \u00e9tudes, Hassan Pakakravan est all\u00e9 en France, o\u00f9 il a termin\u00e9 la formation militaire sur l’\u00e9cole de la Caisson d’Artillerie \u00e0 Fontainebleau. En 1933, Hassan Pakakravan est retourn\u00e9 en Iran et a pris l’enseignement \u00e0 l’Acad\u00e9mie militaire. Un peu plus tard, sa m\u00e8re et sa s\u0153ur l’ont suivi \u00e0 T\u00e9h\u00e9ran. De 1949 \u00e0 1951, Pakravan a \u00e9t\u00e9 un attach\u00e9 militaire au Pakistan. De retour en Iran, Hassan Pakakravan \u00e9tait \u00e0 la t\u00eate du service \u00e0 domicile de l’arm\u00e9e G2 ( Rokne fait ), nomm\u00e9 sur la base du mod\u00e8le du Bureau fran\u00e7ais de Deuuxi\u00e8me. Le G2 Intelligence Service, connu pour son approche difficile de l’opposition, \u00e9tait l’organisation pr\u00e9d\u00e9cesseur du Savak, fond\u00e9e en 1957. Le mandat de Pakravans s’est effondr\u00e9 avec le Premier ministre du gouvernement Mossadegh, et c’est le g\u00e9n\u00e9ral Pakravan qui a inform\u00e9 Mohammad Reza Pahlavi de tous les processus de l’opposition, en particulier dans le parti communiste Tudeh. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Au point culminant des affrontements entre le Shah et Mossadgh, Hassan Pakakravan a demand\u00e9 \u00e0 \u00eatre remplac\u00e9 \u00e0 la t\u00eate du G2 en 1953. Il est all\u00e9 en France en tant qu’attach\u00e9 militaire adjoint et plus tard en tant qu’attach\u00e9 militaire \u00e0 l’Inde. Pakravan a d\u00e9clar\u00e9 plus tard que par respect pour la Constitution, il ne voulait pas \u00eatre entra\u00een\u00e9 dans le coup contre Mossadegh et est donc all\u00e9 en France. [d’abord] En 1957, il a \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 \u00e0 l’Iran. Des conseillers militaires am\u00e9ricains et britanniques \u00e9taient arriv\u00e9s \u00e0 T\u00e9h\u00e9ran et soutenaient l’arm\u00e9e iranienne dans la construction d’un nouveau service secret. Le g\u00e9n\u00e9ral Teymur Bachtiar \u00e9tait le chef des nouveaux services secrets Savak ( Saseman Amniat VA Southern Keschwar , Organisation d’information et de protection du pays ) Utilis\u00e9 et le g\u00e9n\u00e9ral Hassan Pakakravan est devenu son adjoint. En 1961, apr\u00e8s le licenciement de Teymur Bachtiar, il a \u00e9t\u00e9 le successeur en tant que chef des services secrets. Aux \u00c9tats-Unis, John F. Kennedy avait \u00e9t\u00e9 \u00e9lu pr\u00e9sident et Mohammad Reza Schah voulait r\u00e9aliser une ouverture politique de l’Iran. Pour cette raison, Hassan Pakravan semblait \u00eatre le bon homme pour cette position. L’une de ses premi\u00e8res d\u00e9cisions a \u00e9t\u00e9 de s’abstenir de toute sorte de torture lorsqu’il est interrog\u00e9. [2] De plus, Hassan Pakravan a compl\u00e8tement chang\u00e9 le fonctionnement du Savak. C’est Hassan Pakravan qui a pr\u00e9conis\u00e9 qu’apr\u00e8s son arrestation et sa condamnation en lien avec les manifestations violentes de Juni en 1963, Khomeini n’a pas \u00e9t\u00e9 ex\u00e9cut\u00e9e, mais a \u00e9t\u00e9 lib\u00e9r\u00e9e de prison en 1964 et expuls\u00e9e \u00e0 l’exil vers la Turquie et plus tard en Irak. [d’abord] Hassan Pakravan a d\u00e9clar\u00e9 au Shah que le clerg\u00e9 devait avoir plus de temps pour s’habituer aux r\u00e9formes de la r\u00e9volution blanche, et qu’il valait mieux soulager Chomeini de la garde au lieu de transformer l’ex\u00e9cution d’un martyr condamn\u00e9 \u00e0 mort. En d\u00e9tention, Chomeini Hassan Pakakan aurait fait la promesse de rester en dehors de la politique \u00e0 l’avenir, Chomeini avait seulement dit: “Nous n’interf\u00e9rons jamais dans la politique tel qu’ils les d\u00e9finissent.” [3] Cette d\u00e9claration a laiss\u00e9 une port\u00e9e suffisante pour les interpr\u00e9tations. Le fait que Chomeini n’ait pas pens\u00e9 \u00e0 rester en dehors de la politique devrait bient\u00f4t \u00eatre montr\u00e9. Le 22 janvier 1965, quelques jours avant l’anniversaire de la R\u00e9volution blanche, le programme de r\u00e9forme de Mohammad Reza Shah, qui a conduit aux manifestations violentes organis\u00e9es par le clerg\u00e9 en 1963, le Premier ministre Hassan Ali Mansour a \u00e9t\u00e9 abattu par un membre de l’islam Fedajin-e. Mansour aurait \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 \u00e0 mort par un plat islamique dans le plat islamique secret de Morteza Motahhari et Mohammad Bereschti apr\u00e8s que Chomeini a \u00e9t\u00e9 renvoy\u00e9 au pays et envoy\u00e9 en exil en Irak. L’assassin, Mohammad Bokharai et ses complices Morteza Niknejad, Ali Andarzgu et Reza Saffar Harandi ont \u00e9t\u00e9 arr\u00eat\u00e9s, condamn\u00e9s et ex\u00e9cut\u00e9s. [4] Le dernier pr\u00e9sident de la R\u00e9publique islamique d’Iran Akbar H\u0101schemi Rafsandsch\u0101ni a admis apr\u00e8s la r\u00e9volution islamique qu’il avait command\u00e9 le meurtre de Mansour avec d’autres. Il a utilis\u00e9 le pistolet dans le meurtre de Mansour. Pour preuve, il a pr\u00e9sent\u00e9 le pistolet qu’il avait pris comme m\u00e9morial personnel. Asadollah Badamchian a d\u00e9clar\u00e9 la tentative d’assassinat sur Mansour et Mohammad Reza Shah le 10 avril 1965: (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4\u00abDans le cas des attaques r\u00e9volutionnaires contre Shah ou Mansour, nous avons demand\u00e9 le jugement de l’oulama. \u00c0 l’imam (Chomeini), il a \u00e9t\u00e9 demand\u00e9 avant d’\u00eatre envoy\u00e9 \u00e0 l’exil, mais il a expliqu\u00e9 que le temps n’\u00e9tait pas encore m\u00fbr. Il avait charg\u00e9 Ajatollah Bereschti et Motahhari de parler pour lui en son absence. On leur a demand\u00e9 et confirm\u00e9 le jugement. [5] ” Apr\u00e8s le meurtre du Premier ministre Mansours, il est devenu clair que l’id\u00e9e de Hassan Pakakan de diriger Savak selon les principes de l’\u00e9tat de droit lib\u00e9ral avait \u00e9chou\u00e9. Le g\u00e9n\u00e9ral Nematollah Nassiri est devenu le nouveau chef du Savak. Le remplacement des Pakravans, dit G\u00e9rard de Villiers, signifiait le remplacement d’un intellectuel \u00e9duqu\u00e9 par un homme avec coupe. [6] Le g\u00e9n\u00e9ral Nassiri a ensuite transform\u00e9 le Savak organisant l’oppression, comme d\u00e9crit dans de nombreux rapports de l’opposition. Hassan Pakakravan est d’abord devenu ministre de l’Information et de 1966 \u00e0 1973 ambassadeur au Pakistan et en France. Apr\u00e8s avoir atteint l’\u00e2ge de la retraite, Hassan Pakakravan a voulu rester \u00e0 Paris et mener la vie paisible d’un retrait\u00e9 avec sa famille. Mais il est retourn\u00e9 en Iran pour \u00eatre conseiller principal au minist\u00e8re du Cour \u00e0 partir de 1974. Lorsqu’il est devenu clair que la monarchie constitutionnelle en Iran a eu des difficult\u00e9s politiques, Hassan Pakakravan a \u00e9t\u00e9 l’un des guides les plus proches du Shah. Lorsque le Shah a quitt\u00e9 l’Iran en janvier 1979, Hassan Pakravan est rest\u00e9 \u00e0 T\u00e9h\u00e9ran et s’est assur\u00e9 que les responsables de la Cour \u00e9taient pay\u00e9s et que “la soci\u00e9t\u00e9 s’est poursuivie le plus longtemps possible”. Apr\u00e8s le retour de Chomeini en Iran le 1er f\u00e9vrier 1979, il ne devrait prendre que jusqu’au 16 f\u00e9vrier 1979 jusqu’\u00e0 l’arrestation de Hassan Pacravan. Avec les interrogatoires, Hassan Pakakravan Richter Sadegh Chalchali a d\u00fb \u00eatre assez impressionn\u00e9. En tout cas, Chalchali, connu pour sa brutalit\u00e9, a donn\u00e9 \u00e0 la famille de Hassan Pakakravan que Pacravan serait bient\u00f4t lib\u00e9r\u00e9. Hassan Pakakravan \u00e9tait \u00e9galement certain que Chomeini ne le ferait pas ex\u00e9cuter, car il avait sauv\u00e9 Chomeini du commandement d’ex\u00e9cution en 1964. Le 11 avril 1979, le g\u00e9n\u00e9ral Hassan Pakravan a \u00e9t\u00e9 ex\u00e9cut\u00e9 par tir \u00e0 2 heures du matin. Une photo du Hassan Pakakravan tu\u00e9 \u00e9tait dans le quotidien Keyhan Avec la l\u00e9gende publi\u00e9e: “Le boucher, entre les mains desquels le sang de milliers d’adh\u00e9riras iraniens.” [7] La d\u00e9cision de quitter Chomeini a \u00e9t\u00e9 prise sur les conseils de Hassan Pakakravan de Shah lui-m\u00eame. \u00c9tant donn\u00e9 que la condamnation \u00e0 mort ne pouvait pas simplement \u00eatre convertie en lib\u00e9ration, mais tout au plus en une longue peine de prison, Hassan Pakakravan, comme l’a d\u00e9clar\u00e9 Fatemeh Pakakravan dans ses m\u00e9moires en 1998, a sugg\u00e9r\u00e9 le Gro\u00dfajatollah Kazem Shariatmadari, Chomeini sans plus de tabac. Pour expliquer l’Ajatollah et le prot\u00e9ger ainsi de l’ex\u00e9cution imminente. Selon la Constitution, un Ajatollah n’a pas pu \u00eatre condamn\u00e9 \u00e0 mort. [8] Habituellement, la nomination en tant qu’Ajatollah est pr\u00e9c\u00e9d\u00e9e de nombreuses ann\u00e9es d’enseignement et de publication. Et comme Chomeini ne pouvait pas le prouver, il \u00e9tait initialement discutable s’il aurait pu prouver la qualification pour la nomination en tant qu’Ajatollah. Dans ce cas, cependant, de telles consid\u00e9rations acad\u00e9miques ont \u00e9t\u00e9 sacrifi\u00e9es. Chomeini a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 Ajatollah, la peine de mort a \u00e9t\u00e9 lev\u00e9e par le tribunal et Chomeini a \u00e9t\u00e9 lib\u00e9r\u00e9 de prison et expuls\u00e9 \u00e0 l’\u00e9tranger en 1964. Abbas Milani: \u00c9minents Perses. Syracuse University Press, 2008, S. 474\u2013482. \u2191 un b Ehsan Naraghi: du palais \u00e0 la prison. I.B.Tauris, 1994, S. 177. \u2191 Abbas Milani: Eminent Persians.Syracuse University Press, 2008, S. 478. \u2191 “S.H.R.Baresi Va Tahile Nehzate Imam Khomeini, p. 575. Cit\u00e9 par Abbas Milani: Eminent Persians.Syracuse University Press, 2008, p. 479. \u2191 Amir Taheri: The Spirit of Allah, 1985, S. 156. \u2191 Gholam Reza Afkhami: la vie et les temps du Shah. University of California Press, 2009, S. 377. \u2191 G\u00e9rard de Villiers: Le Shah. 1976. Page 396 \u2191 Abbas Milani: Eminent Persians.Syracuse University Press, 2008, S. 482. \u2191 L’Iranien: Histoire, Ayatollah Khomeini, Savak, g\u00e9n\u00e9ral Pakravan ( M\u00e9mento \u00e0 partir du 5 octobre 2008 dans Archives Internet ). Ministre de l’Empire Iran (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/hassan-pakravan-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Hassan Pakravan – Wikipedia"}}]}]