[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/histoire-de-la-transformation-de-lorentz-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/histoire-de-la-transformation-de-lorentz-wikipedia\/","headline":"Histoire de la transformation de Lorentz-Wikipedia","name":"Histoire de la transformation de Lorentz-Wikipedia","description":"before-content-x4 Comme la transformation de Galileo, la transformation de Lorentz a li\u00e9 les coordonn\u00e9es X , et , Avec ,","datePublished":"2023-06-24","dateModified":"2023-06-24","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/9df423d847ba8083b4882c6cffdaf9ace0bc0d48","url":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/9df423d847ba8083b4882c6cffdaf9ace0bc0d48","height":"","width":""},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/histoire-de-la-transformation-de-lorentz-wikipedia\/","wordCount":27097,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Comme la transformation de Galileo, la transformation de Lorentz a li\u00e9 les coordonn\u00e9es X , et , Avec , t {displaystyle x, y, z, t} (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4un \u00e9v\u00e9nement dans un certain syst\u00e8me inertiel avec les coordonn\u00e9es X \u2032 , et \u2032 , Avec \u2032 , t \u2032 {displaystyle x ‘, y’, z ‘, t’} Le m\u00eame \u00e9v\u00e9nement dans un autre syst\u00e8me inertiel, qui est d\u00e9plac\u00e9 dans une direction X positive \u00e0 la vitesse v par rapport au premier syst\u00e8me. Cependant, contrairement \u00e0 la transformation de Galileo, il contient la coh\u00e9rence de la vitesse de la lumi\u00e8re dans tous les syst\u00e8mes inertiels en plus du principe de relativit\u00e9 et forme donc la base math\u00e9matique de la th\u00e9orie sp\u00e9ciale de la relativit\u00e9. Les premi\u00e8res formulations de cette transformation ont \u00e9t\u00e9 publi\u00e9es par Woldemar Voigt (1887) et Hendrik Lorentz (1892, 1895), par lequel le syst\u00e8me Unr\u00e9ali\u00e8ne a \u00e9t\u00e9 pris en compte dans l’\u00e9ther dans ces auteurs, et le syst\u00e8me peint “mobile” a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 avec la Terre. Cette transformation a \u00e9t\u00e9 achev\u00e9e par Joseph Larmor (1897, 1900) et Lorentz (1899, 1904) et introduite dans sa forme moderne par Henri Poincar\u00e9 (1905), qui a donn\u00e9 la transformation. Enfin, Albert Einstein (1905) a pu d\u00e9river les \u00e9quations de quelques hypoth\u00e8ses de base et a montr\u00e9 le lien de la transformation avec des changements fondamentaux dans les termes de l’espace et du temps. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans cet article, les expressions historiques sont remplac\u00e9es par la modernit\u00e9, par la transformation de Lorentz X \u2032= c ( X – dans t ) , et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= c ( t\u2212xvc2) {displayStyle x ^ {prime} = gamma (x-vt), quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = gamma gauche (t-x {frac {v} {c ^ {2}}} droite)} , et le facteur Lorentz: (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4c = 11\u2212v2c2{displayStyle gamma = {frac {1} {sqrt {1- {frac {v ^ {2}} {c ^ {2}}}}}}} , dans Est la vitesse relative entre les corps, et c est la vitesse de la lumi\u00e8re. L’une des propri\u00e9t\u00e9s d\u00e9terminantes de la transformation de Lorentz est sa structure de groupe, ce qui signifie que l’invariance de X 2 + et 2 + Avec 2 – c 2 t 2 {displaystyle x ^ {2} + y ^ {2} + z ^ {2} -c ^ {2} t ^ {2}} est rencontr\u00e9 dans tous les syst\u00e8mes inertiels. Cela signifie, par exemple, qu’une onde sph\u00e9rique dans un syst\u00e8me inertiel est \u00e9galement un arbre sph\u00e9rique dans tous les autres syst\u00e8mes d’inertie, qui est g\u00e9n\u00e9ralement \u00e9galement utilis\u00e9 pour d\u00e9river la transformation de Lorentz. [d’abord] Cependant, bien avant les exp\u00e9riences et les th\u00e9ories physiques, l’introduction de la transformation de Lorentz n\u00e9cessaire, des groupes de transformation tels que la transformation conforme \u00e0 travers des rayons r\u00e9ciproques dans la g\u00e9om\u00e9trie de M\u00f6bius, ou transformation, ont \u00e9t\u00e9 discut\u00e9s par des directions r\u00e9ciproques de la g\u00e9om\u00e9trie de Laguerre, qui transforment les balles en d’autres balles. [2] Ceux-ci peuvent \u00eatre consid\u00e9r\u00e9s comme des cas particuliers de la g\u00e9om\u00e9trie de la boule Leschen. [3] Cependant, la connexion de ces transformations avec la transformation de la physique de Lorentz n’a \u00e9t\u00e9 d\u00e9couverte qu’apr\u00e8s 1905. Dans plusieurs \u0153uvres entre 1847 et 1850, Joseph Liouville a d\u00e9montr\u00e9, [A 1] que la forme l ( d x2+ d y2+ d z2) {displaystyle lambda gauche (delta x ^ {2} + delta y ^ {2} + delta z ^ {2} \u00e0 droite)} L’invariant est repr\u00e9sent\u00e9 sous le groupe conforme ou la transformation par des rayons r\u00e9ciproques. Ces preuves ont \u00e9t\u00e9 \u00e9largies par Sophus Lie (1871) dans le cadre de la g\u00e9om\u00e9trie de Leschen Kugel \u00e0 toutes les dimensions l ( d x12+ \u22ef + d xn2) {displaystyle lambda gauche (delta x_ {1} ^ {2} + points + delta x_ {n} ^ {2} droit)} . [A 2] Harry Bateman et Ebenezer Cunningham ont montr\u00e9 en 1909 que non seulement la relation carr\u00e9e ci-dessus, mais l’\u00e9lectrodynamique Maxwell est \u00e9galement kovariant sous le groupe conforme de transformation des ondes de balle avec tout l {displaystyle lambda} . [A 3] [A 4] Cependant, cette covariance est limit\u00e9e aux sous-zones telles que l’\u00e9lectrodynamique, mais l’int\u00e9gralit\u00e9 des lois naturelles dans les syst\u00e8mes inertiels n’est qu’une covariante dans le groupe Lorentz. [A 5] Une transformation \u00e0 ce sujet a \u00e9t\u00e9 par Albert Ribaucour (1870) [A 6] et surtout Edmond Laguerre (1880-1885) [A 7] [A 8] \u00c9tant donn\u00e9 la transformation par des directions r\u00e9ciproques (\u00e9galement appel\u00e9es “inversion Laguerre” ou “Transformation Laguerre”), qui repr\u00e9sente les balles en balles et niveaux dans les niveaux. Laguerre a explicitement \u00e9crit les formules correspondantes en 1882, et Gaston Darboux (1887) a reformul\u00e9 pour les coordonn\u00e9es X , et , Avec , R {displaystyle x, y, z, r} (avec R Rayon als): [A 9] x\u2032=x,z\u2032=1+k21\u2212k2z\u22122kR1\u2212k2,y\u2032=y,R\u2032=2kz1\u2212k2\u22121+k21\u2212k2R,{displayStyle {begin {align\u00e9} x ‘& = x, quad & z’ & = {frac {1 + k ^ {2}} {1-k ^ {2}}} z- {frac {2kr} {1-k ^ {2}}}, \\ y ‘& = & r’ & = {2kz}} }} – {frac {1 + k ^ {2}} {1-k ^ {2}}} r, end {align\u00e9}}} La relation suivante cr\u00e9e: X \u20322+ et \u20322+ Avec \u20322– R \u20322= X 2+ et 2+ Avec 2– R 2{Displaystyle x ^ {prime 2} + y ^ {prime 2} + z ^ {prime 2} -r ^ {prime 2} = x ^ {2} + y ^ {2} + z ^ {2} -r ^ {2}}}} . Certains auteurs ont remarqu\u00e9 la vaste analogie avec la transformation de Lorentz (voir inversion Laguerre et transformation de Lorentz) [A 10] [A 11] – est d\u00e9fini R = t {displayStyle r = t} , c = d’abord {displayStyle c = 1} , et dans = 2 k \/ \/ ( d’abord + k2) {displayStyle v = 2k \/ gauche (1 + k ^ {2} \u00e0 droite)} Alors suit 1\u2212k21+k2= 1\u2212v2= 1\u03b3, 2k1\u2212k2= dans c , {displayStyle {frac {1-k ^ {2}} {1 + k ^ {2}}} = {sqrt {1-v ^ {2}}}} = {frac {1} {gamma}}, quad {frac {2k} {1-k ^ {2}}} = Vgama,} Ce qui a utilis\u00e9 dans la transformation ci-dessus une tr\u00e8s grande analogie \u00e0 une transformation de Lorentz avec Avec {displayStyle avec} comme se traduit par la direction du mouvement, sauf que le signe de t \u2032 {displayStyle t ‘} Inversement, de t – dans Avec {displayStyle t-vz} apr\u00e8s dans Avec – t {displaystyle vz-t} : X \u2032 = X , et \u2032 = et , Avec \u2032 = c ( Avec – dans t ) , t \u2032 = c ( dans Avec – t ) . {displayStyle x ‘= x, quad y’ = y, quad z ‘= gamma (z-vt), quad t’ = gamma (vz-t).} En fait, l’isomorphisme du groupe des deux groupes a \u00e9t\u00e9 d\u00e9montr\u00e9 par \u00c9lie Cartan, Henri Poincar\u00e9 (1912) et d’autres (voir le groupe Laguerre Isomorph pour le groupe Lorentz). [A 12] [4] Voigt (1887) a d\u00e9velopp\u00e9 la transformation suivante dans le cadre d’un examen th\u00e9orique de l’effet Doppler des ondes transversales dans un milieu de transmission \u00e9lastique incompressible, qui a servi de mod\u00e8le \u00e0 l’\u00e9ther licht [A 13] , qui a laiss\u00e9 l’\u00e9quation des vagues inchang\u00e9e et avait la forme en notation moderne: X \u2032= X – dans t , et \u2032= y\u03b3, Avec \u2032= z\u03b3, t \u2032= t – X vc2{affichestyle x ^ {prime} = x-vt, quad y ^ {prime} = {frac {y} {gamma}}, quad z ^ {prime} = {frac {z} {gamma}}, quad t ^ {prime} = t-x {frac {v} {c ^ {2}}} Lorsque les c\u00f4t\u00e9s droits de ces \u00e9quations avec un facteur d’\u00e9chelle c {DisplayStyle Gamma} Multipli\u00e9, les formules du r\u00e9sultat de la transformation de Lorentz. La raison en est que, comme expliqu\u00e9 ci-dessus, les \u00e9quations \u00e9lectromagn\u00e9tiques ne sont pas seulement le lorentzinvariant, mais aussi l’invariant invariant et m\u00eame conforme. [5] La transformation de Lorentz peut, par exemple, avec le facteur d’\u00e9chelle ci-dessus l = l {displayStyle l = {sqrt {lambda}}} \u00eatre donn\u00e9: [A 14] [A 15] X \u2032= c l ( x\u2212vt) , et \u2032= l et , Avec \u2032= l Avec , t \u2032= c l ( t\u2212xvc2) {DisplayStyle x ^ {prime} ll ll (x-vtright), quad, qu. ^ {Prime ^ v} {v ^ 2}} droit)} . Avec l = d’abord \/ \/ c {displayStyle l = 1 \/ gamma} vous obtenez la transformation de Voigt, et avec l = d’abord {displayStyle L = 1} La transformation de Lorentz. Comme plus tard en particulier, Poincar\u00e9 et Einstein, les transformations ne sont que l = d’abord {displayStyle L = 1} sym\u00e9trique et former un groupe, qui est la condition pr\u00e9alable \u00e0 la compatibilit\u00e9 avec le principe de la relativit\u00e9. La transformation de Voigt n’est donc pas sym\u00e9trique et viole le principe de la relativit\u00e9. La transformation de Lorentz, en revanche, est \u00e9galement valable pour toutes les lois naturelles en dehors de l’\u00e9lectrodynamique. [5] [6] Dans le cas de certaines solutions probl\u00e9matiques, comme dans le calcul des ph\u00e9nom\u00e8nes de rayonnement dans l’espace vide, les deux transformations conduisent au m\u00eame r\u00e9sultat final. [7] En ce qui concerne l’effet Doppler, les travaux de Voigt de 1887 ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9f\u00e9renc\u00e9s par Emil Kohl en 1903. [A 16] En ce qui concerne la transformation de Lorentz, Lorentz a expliqu\u00e9 [7] 1909 [A 15] [8] et 1912, [A 17] [9] La transformation de cette Voigt “\u00e9quivalente” pour la transformation avec le facteur d’\u00e9chelle ci-dessus l {displaystyle l} Dans son propre travail de 1904, et que s’il avait connu ces \u00e9quations, il aurait pu les utiliser dans sa th\u00e9orie des \u00e9lectrons.Hermann Minkowski [dix] Performance de Voigt reconnue en 1908 l’espace et le temps [A 18] et en une discussion : [A 19] ‘ Minkowski : Historiquement, je veux ajouter que les transformations qui jouent le r\u00f4le principal dans le principe de la relativit\u00e9 sont d’abord trait\u00e9es math\u00e9matiquement par Voigt en 1887. \u00c0 cette \u00e9poque, Voigt a d\u00e9j\u00e0 tir\u00e9 des conclusions li\u00e9es au principe de Dopplersche avec son aide. Voigt : M. Minkowski rappelle une vieille \u0153uvre de ma part. Ce sont des applications du principe Doppler qui se produisent en parties sp\u00e9ciales, mais pas sur la base de l’\u00e9lectromagn\u00e9tique, mais bas\u00e9e sur la th\u00e9orie \u00e9lastique de la lumi\u00e8re. \u00c0 l’\u00e9poque, cependant, certaines des m\u00eames conclusions qui ont \u00e9t\u00e9 obtenues plus tard \u00e0 partir de la th\u00e9orie \u00e9lectromagn\u00e9tique sont d\u00e9j\u00e0 apparues. \u00bb En 1888, Oliver a \u00e9tudi\u00e9 Heaviside [A 20] Les propri\u00e9t\u00e9s des charges mobiles selon l’\u00e9lectrodynamique Maxwell. Il calcule, entre autres, que les anisotropes dans le champ \u00e9lectrique des charges mobiles devraient se produire selon la formule suivante: [11] ET = ( qrr2) (1\u2212v2sin2\u2061\u03b8c2)\u22123\/2{displayStyle Mathrm {e} = Left ({frac {qmathrm {r}} {r ^ {2}}} droit) Left (1- {frac {v ^ {2} sin ^ {2} theta} {c ^ {2}}} droit) ^ {- 3\/2}} . S’appuyant sur cela, Joseph John Thomson (1889) a d\u00e9couvert [A 21] Une m\u00e9thode de simplification des calculs de d\u00e9placement consid\u00e9rablement des charges en utilisant la transformation math\u00e9matique suivante: X \u2032= c X {displayStyle x ^ {prime} = gamma x} . Cela permet de transformer les \u00e9quations d’ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques inhomog\u00e8nes en une \u00e9quation de Poisson. [douzi\u00e8me] Enfin George Frederick Charles Searle (1896), [A 22] Cette expression de l’assistance pour les charges mobiles conduit \u00e0 une d\u00e9formation du champ \u00e9lectrique, qu’il en tant que “lourdeur-llipso\u00efde” avec un rapport d’axe de d’abord \/ \/ c : d’abord : d’abord {DisplayStyle 1 \/ Gamma: 1: 1!} d\u00e9sign\u00e9. [douzi\u00e8me] Lorentz s’est d\u00e9velopp\u00e9 en 1892 [A 23] Les caract\u00e9ristiques de base d’un mod\u00e8le, appel\u00e9 plus tard la th\u00e9orie de l’\u00e9ther Lorentzsche, dans laquelle l’\u00e9ther est compl\u00e8tement en paix, ce qui signifie que dans l’\u00e9ther, la vitesse de la lumi\u00e8re a la m\u00eame valeur dans toutes les directions. Afin de pouvoir calculer l’optique des corps en mouvement, Lorentz a introduit les variables auxiliaires suivantes pour la transformation du syst\u00e8me \u00e9ther en un syst\u00e8me relatif: [13] X \u2032= c X \u2217, et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= t – c 2X \u2217vc2{displayStyle x ^ {prime} = gamma x ^ {*}, quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = t-gamma ^ {2} x ^ {*} {frac {v} {c ^ {2}}}} o\u00f9 X \u2217 {displaystyle x ^ {ast}} transformation de galilei X – dans t {displaystyle x-vt} est. Bien que maintenant t {displayStyle t} Le “vrai” temps pour les syst\u00e8mes reposant dans l’\u00e9ther est le temps t \u2032 {displayStyle t ‘} Une variable auxiliaire math\u00e9matique qui est utilis\u00e9e pour les calculs par des syst\u00e8mes se d\u00e9pla\u00e7ant dans l’\u00e9ther. Un \u00abtemps local\u00bb similaire \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 utilis\u00e9 par Voigt, mais plus tard, Lorentz a d\u00e9clar\u00e9 qu’il n’avait aucune connaissance de son travail \u00e0 ce moment-l\u00e0. On ne sait pas non plus s’il connaissait le travail de Thomson. [13] 1895 [A 24] Il a d\u00e9velopp\u00e9 l’\u00e9lectrodynamique de Lorentzsche beaucoup plus syst\u00e9matiquement, avec un concept fondamental le “th\u00e9or\u00e8me des conditions correspondantes” pour les tailles dans \/ \/ c {displaystyle v \/ c} \u00e9tait. Il lui suit celui-l\u00e0 dans l’\u00e9ther en mouvement Les observateurs presque les m\u00eames observations dans son champ “fictif” (\u00e9lectromagn\u00e9tique) en font un dans l’\u00e9ther dormant Observateur dans son “vrai” champ. Cela signifie que tant que les vitesses sont relativement faibles par rapport \u00e0 l’\u00e9ther, les \u00e9quations maxwelliennes ont la m\u00eame forme pour tous les observateurs. Pour l’\u00e9lectrostatique des corps en mouvement, il a utilis\u00e9 les transformations qui ont chang\u00e9 les dimensions du corps comme suit: [14] X \u2032= c X \u2217, et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= t {displayStyle x ^ {prime} = gamma x ^ {*}, quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = t} En tant qu’hypoth\u00e8se suppl\u00e9mentaire et ind\u00e9pendante, Lorentz (1892b, 1895) (sans preuve comme il l’a admis) a affirm\u00e9 que les forces intermol\u00e9culaires et donc \u00e9galement les corps mat\u00e9riels \u00e9taient d\u00e9form\u00e9s de la m\u00eame mani\u00e8re et ont introduit la contraction de la longueur pour expliquer l’exp\u00e9rience de Michelson-Morley. [A 25] La m\u00eame hypoth\u00e8se avait d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e par George Fitzgerald en 1889, dont les consid\u00e9rations \u00e9taient bas\u00e9es sur le travail de Heavisides. Mais alors que Lorentz \u00e9tait un r\u00e9el effet physique pour Lorentz, le temps local pour le moment ne signifiait qu’un accord ou une m\u00e9thode de calcul utile. D’un autre c\u00f4t\u00e9, pour l’optique du corps en mouvement, il a utilis\u00e9 les transformations: X \u2032= X \u2217, et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= t – X \u2217vc2{displayStyle x ^ {prime} = x ^ {*}, quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = t-x ^ {*} {frac {v} {c ^ {2}}}}} Avec l’aide de l’heure locale, Lorentz a pu expliquer l’aberration de la lumi\u00e8re, l’effet Doppler et la d\u00e9pendance de la vitesse de lumi\u00e8re mesur\u00e9e dans l’exp\u00e9rience Fizeau dans les liquides en mouvement. Il est important que Lorentz et plus tard Larmor aient toujours formul\u00e9 les transformations en deux \u00e9tapes. D’abord la transformation de Galileo, puis s\u00e9par\u00e9 uniquement l’expansion du syst\u00e8me \u00e9lectromagn\u00e9tique “fictif” \u00e0 l’aide de la transformation de Lorentz. Les \u00e9quations n’ont re\u00e7u que leur silhouette sym\u00e9trique de Poincar\u00e9. \u00c0 cette \u00e9poque, Lamor savait que l’exp\u00e9rience Michelson Morley \u00e9tait suffisamment suffisante pour avoir des effets li\u00e9s au mouvement de la taille dans 2 \/ \/ c 2 {displayStyle v ^ {2} \/ c ^ {2},} Pour montrer, et donc il cherchait une transformation, qui est \u00e9galement valable pour ces tailles. Bien qu’il ait suivi un programme tr\u00e8s similaire \u00e0 Lorentz, il est all\u00e9 au-del\u00e0 de son travail \u00e0 partir de 1895 et a modifi\u00e9 les \u00e9quations, de sorte qu’il l’\u00e9tait en 1897 [A 26] Et un peu plus clair 1900 [A 27] a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 mettre en place la transformation compl\u00e8te de Lorentz: [15] [16] X \u2032= c X \u2217, et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= t\u03b3– c X \u2217vc2{displayStyle x ^ {prime} = gamma x ^ {*}, quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = {frac {t} {gamma}} – gamma x ^ {*} {frac {v} {c ^ {2}}} Il a montr\u00e9 que les \u00e9quations de Maxwell \u00e9taient invariantes sous cette transformation en 2 \u00e9tapes (cependant, il n’a effectu\u00e9 les preuves que des tailles de deuxi\u00e8me ordre, pas pour tous les ordres). Larmor a \u00e9galement remarqu\u00e9 que si une constitution \u00e9lectrique des mol\u00e9cules \u00e9tait suppos\u00e9e, la contraction de la longueur est une cons\u00e9quence de la transformation. Il a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 informer une sorte de dilatation de temps en raison des \u00e9quations, car les processus p\u00e9riodiques des objets en mouvement sont le rapport d’abord \/ \/ c {DisplayStyle 1 \/ Gamma} Plus lent qu’avec des objets au repos. Larmor a reconnu Lorentz dans deux ouvrages publi\u00e9s en 1904, dans lesquels il a utilis\u00e9 l’expression \u00abtransformation de Lorentz\u00bb pour la transformation (pour un plus grand premier ordre) de coordonn\u00e9es et de configurations de champ: \u201eP. 583: [..] Transformation de Lorentz pour passer du champ d’activit\u00e9 d’un syst\u00e8me de mat\u00e9riau \u00e9lectrodynamique stationnaire \u00e0 celui de celui qui se d\u00e9pla\u00e7ant avec une vitesse uniforme de la traduction \u00e0 travers l’\u00e9ther. [A 28] p. 585: [..] La transformation de Lorentz nous a montr\u00e9 ce qui n’est pas si imm\u00e9diatement \u00e9vident [..] [A 28] p. 622: [..] La transformation d\u00e9velopp\u00e9e pour la premi\u00e8re fois par Lorentz: \u00e0 savoir chaque point dans l’espace est d’avoir sa propre origine \u00e0 partir de laquelle le temps est mesur\u00e9, son “temps local” dans la phras\u00e9ologie de Lorentz, puis les valeurs des vecteurs \u00e9lectriques et magn\u00e9tiques [..] \u00e0 tous les points de l’Ather entre les mol\u00e9cules dans le syst\u00e8me du syst\u00e8me de la r\u00e9f\u00e9rence dans les moments locaux. [A 29] ” Lorentz a \u00e9galement dirig\u00e9 en 1899 [A 30] la transformation compl\u00e8te en \u00e9largissant le th\u00e9or\u00e8me des conditions correspondantes. Cependant, il a utilis\u00e9 le facteur ind\u00e9fini \u03f5 {displaystyle epsilon} En tant que fonction de dans {DisplayStyle V} . Comme Larmor, Lorentz a remarqu\u00e9 une sorte de dilatation de temps parce qu’il a r\u00e9alis\u00e9 que les vibrations d’un \u00e9lectron oscillant, qui se d\u00e9place par rapport \u00e0 l’\u00e9ther, \u00e9taient plus lentes. Gr\u00e2ce \u00e0 d’autres vents d’\u00e9ther n\u00e9gatifs (exp\u00e9rience Trouton-Noble, exp\u00e9riences de Rayleigh et Brace), Lorentz a \u00e9t\u00e9 forc\u00e9 de formuler sa th\u00e9orie de telle mani\u00e8re que l’\u00e9ther vents dans tous les ordres dans \/ \/ c {displaystyle v \/ c} restent ind\u00e9tectables. Pour ce faire, il a \u00e9crit la transformation de Lorentz sous la m\u00eame forme que Larmor, avec un facteur initialement ind\u00e9fini l {displaystyle l} : [17] X \u2032= c l X \u2217, et \u2032= l et , Avec \u2032= l Avec , t \u2032= l\u03b3t – c l X \u2217vc2{affichestyle x ^ {prime} = gamma lx ^ {*}, quad y ^ {prime} = ly, quad z ^ {prime} = lz, quad t ^ {prime} = {frac {l} {gamma}} t-gamma lx ^ {*} {frac {V} {c ^ {2}}} Dans ce contexte, il a d\u00e9riv\u00e9 les \u00e9quations correctes pour la d\u00e9pendance \u00e0 la vitesse de la masse \u00e9lectromagn\u00e9tique en 1899 et il a conclu en 1904 que cette transformation devait \u00eatre appliqu\u00e9e \u00e0 toute la nature, non seulement sur l’\u00e9lectricit\u00e9, et donc la contraction de la longueur est une cons\u00e9quence de la transformation. Lorentz a \u00e9galement d\u00e9clar\u00e9 qu’\u00e0 dans = 0 {displayStyle v = 0} aussi l = d’abord {displayStyle L = 1} Doit \u00eatre, et a montr\u00e9 dans le cours plus approfondi que ce n’est le cas que si l = d’abord {displayStyle L = 1} Il est g\u00e9n\u00e9ralement donn\u00e9 de ce qu’il a conclu que la contraction de Lorentz ne pouvait se produire que dans le sens du mouvement. [18] Ce faisant, il a formul\u00e9 la transformation r\u00e9elle de Lorentz, mais n’a pas atteint la covariance des \u00e9quations de transformation de la densit\u00e9 et de la vitesse de charge. [18] Il a donc \u00e9crit sur son travail de 1904 en 1912: [A 17] \u00abIl sera not\u00e9 que dans ce trait\u00e9, je n’ai pas pleinement atteint les \u00e9quations de transformation de la th\u00e9orie de la relativit\u00e9 d’Einstein. […] Avec ces circonstances, la g\u00eane de certaines autres consid\u00e9rations de ce travail est li\u00e9e. \u00bb Au printemps 1905, Richard Gans a eu un r\u00e9sum\u00e9 de l’essai de Lorentz dans le livre n \u00b0 4 de la quatorzi\u00e8me revue publi\u00e9 par quatorze ans Boups aux annales de la physique publi\u00e9, [19] \u00e0 l’Albert Einstein de contribuer \u00e0 la m\u00eame p\u00e9riode aux r\u00e9sum\u00e9s des essais internationaux importants dans sa sp\u00e9cialit\u00e9 de thermodynamique et de m\u00e9canique statistique. Il est \u00e0 noter que le travail d’Einstein Lorentz de 1904 ne veut pas avoir connu, bien qu’il ait lui-m\u00eame publi\u00e9 toute une s\u00e9rie de r\u00e9sum\u00e9s dans la m\u00eame revue, dans le m\u00eame magazine sp\u00e9cialis\u00e9, dans le m\u00eame magazine sp\u00e9cialis\u00e9, dans le num\u00e9ro 5, qui avec l’abr\u00e9viation \u00abA. A. E. \u00absont sign\u00e9s. [20] Le biographe d’Einstein, Abraham Pais, est venu dans sa biographie d’Einstein [21] Apr\u00e8s un examen attentif des documents, la conclusion selon laquelle Einstein ne connaissait pas encore la transformation de Lorentz lorsqu’elle est pr\u00e9par\u00e9e en 1905. Ni Lorentz ni Larmor n’ont d\u00e9clar\u00e9 une interpr\u00e9tation claire de l’origine de l’heure locale. 1900 [A 31] [A 32] Cependant, le temps local a interpr\u00e9t\u00e9 l’heure locale comme R\u00e9sultat Une synchronisation r\u00e9alis\u00e9e avec des signaux l\u00e9gers. Il a suppos\u00e9 que deux observateurs A et B se d\u00e9pla\u00e7ant dans l’\u00e9ther synchronisaient leurs montres avec des signaux optiques. Puisque vous pensez que vous \u00eates en paix, vous assumez une vitesse de lumi\u00e8re constante dans toutes les directions, afin que vous n’ayez maintenant qu’\u00e0 prendre en compte le terme lumineux et \u00e0 traverser vos signaux afin de v\u00e9rifier la synchronicit\u00e9 des montres. D’un autre c\u00f4t\u00e9, du point de vue d’un observateur qui se repose dans l’\u00e9ther, une montre se dirige vers le signal, et l’autre s’enfuit. Les horloges ne sont donc pas synchronis\u00e9es (relativit\u00e9 de la simultan\u00e9it\u00e9), mais montrent, pour les tailles de premier ordre dans \/ \/ c {displaystyle v \/ c} , seulement l’heure locale t \u2032 = t – dans X \/ \/ c 2 {displayStyle t ^ {prime} = t-vx \/ c ^ {2}} \u00e0. Cependant, comme les observateurs en mouvement n’ont aucun moyen de d\u00e9cider s’ils sont en mouvement ou non, ils ne remarqueront rien de l’erreur. Contrairement \u00e0 Lorentz, Poincar\u00e9 a donc compris le temps local ainsi que la contraction de la longueur comme effet physique r\u00e9el. [22] Emil Cohn (1904), explications similaires [A 33] et Max Abraham (1905) [A 34] donn\u00e9. [23] Le 5 juin 1905 (publi\u00e9 le 9 juin) [A 14] Poincar\u00e9 simplifi\u00e9 les \u00e9quations (qui sont \u00e9quivalentes \u00e0 celles de Lamor et Lorentz) et leur ont donn\u00e9 leur forme sym\u00e9trique moderne, contrairement \u00e0 Larmor et Lorentz, il a int\u00e9gr\u00e9 la transformation de Galileo en la nouvelle transformation directement. Apparemment, Poincar\u00e9 \u00e9tait inconnue du travail de Larmor, car il ne faisait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 Lorentz et a donc \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 utiliser l’expression “transformation de Lorentz” (par lequel l’expression “Lorentz’sche transformation” \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 utilis\u00e9e par Emil Cohn en 1900 pour les \u00e9quations 1895 de Lorentz): [24] [25] X \u2032= c l ( X – dans t ) , et \u2032= l et , Avec \u2032= l Avec , t \u2032= c l ( t\u2212vx) {DisplayStyle x ^ {prime} = gamma l (x-vt), quarts ^ {prime ^ (prime ^ prime (t-vxight)} et vice versa: X = c l ( X \u2032+ dans t \u2032) , et = l et \u2032, Avec = l Avec \u2032, t = c l ( t\u2032+vx\u2032) {displayStyle x = gamma l (x ^ {prime} + vt ^ {prime}), quad y = ly ^ {prime}, quad z = lz ^ {prime}, quad t = gamma lleft (t ^ {prime} + vx ^ {prime} right)} Il a r\u00e9gl\u00e9 la vitesse de la lumi\u00e8re 1 et comment Lorentz a montr\u00e9 que l = d’abord {displayStyle L = 1} Doit \u00eatre r\u00e9gl\u00e9. Cependant, Poincar\u00e9 a pu d\u00e9river cela plus g\u00e9n\u00e9ralement du fait que l’int\u00e9gralit\u00e9 des transformations ne forment qu’un groupe sym\u00e9trique dans cette condition, ce qui est n\u00e9cessaire pour la validit\u00e9 du principe de la relativit\u00e9. Il a \u00e9galement montr\u00e9 que l’application par Lorentz des transformations ne r\u00e9pondait pas pleinement au principe de la relativit\u00e9. En plus de montrer la propri\u00e9t\u00e9 du groupe de la transformation, Poincar\u00e9 a pu d\u00e9montrer compl\u00e8tement la Lorentzkovariance des \u00e9quations de Maxwell Lorentz. [22] Une version consid\u00e9rablement \u00e9largie de cette \u00c9criture de juillet 1905 (publi\u00e9e en janvier 1906) [A 35] contenait la prise de conscience que la combinaison X 2 + et 2 + Avec 2 – c 2 t 2 {displaystyle x ^ {2} + y ^ {2} + z ^ {2} -c ^ {2} t ^ {2}} est invariant; Il a dirig\u00e9 l’expression c t – d’abord {displayStyle ct {sqrt {-1}}} Comme le quatri\u00e8me coordonne Espace \u00e0 quatre dimensions un; Il a d\u00e9j\u00e0 utilis\u00e9 quatre ressources devant Minkowski; Il a montr\u00e9 que les transformations sont une cons\u00e9quence du principe du moindre effet; Et il a d\u00e9montr\u00e9 plus en d\u00e9tail qu’auparavant, fa\u00e7onnant le nom de Lorentz (“Le Group de Lorentz”). Comme Lorentz, Poincar\u00e9 est rest\u00e9e dans la distinction entre les “vraies” coordonn\u00e9es dans l’\u00e9ther et les coordonn\u00e9es “apparentes” pour les observateurs en mouvement. [22] [24] [25] Le 30 juin 1905 (publi\u00e9 en septembre 1905) [A 36] a pr\u00e9sent\u00e9 Einstein dans le cadre de la th\u00e9orie sp\u00e9ciale de la relativit\u00e9, une interpr\u00e9tation radicalement nouvelle et une d\u00e9rivation de la transformation, qui \u00e9tait bas\u00e9e sur deux postulats, \u00e0 savoir le principe de la relativit\u00e9 et le principe de coh\u00e9rence de la vitesse de la lumi\u00e8re. Alors que Poincar\u00e9 n’avait d\u00e9riv\u00e9 que le temps local de Lorentzsche d’origine de 1895 par synchronisation optique, Einstein a pu utiliser une m\u00e9thode de synchronisation similaire entier Transformation d\u00e9ruble et montrent que les consid\u00e9rations op\u00e9rationnelles par rapport \u00e0 l’espace et au temps sont suffisantes et qu’aucun \u00e9ther n’est n\u00e9cessaire (si Einstein a \u00e9t\u00e9 influenc\u00e9 par la m\u00e9thode de synchronisation de Poincar\u00e9 n’est pas connue). [23] Contrairement \u00e0 Lorentz, qui n’a vu que le temps local comme une astuce math\u00e9matique, Einstein a montr\u00e9 que les coordonn\u00e9es “efficaces” de la transformation de Lorentz sont en effet des coordonn\u00e9es \u00e9gales des syst\u00e8mes inertiels. D’une certaine mani\u00e8re, cela a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 montr\u00e9 par Poincar\u00e9, mais ce dernier se diff\u00e9renciait toujours entre le temps “vrai” et “apparent”. [26] [27] Formellement, la version d’Einstein de la transformation \u00e9tait identique \u00e0 celle de Poincar\u00e9, bien qu’Einstein n’ait pas imm\u00e9diatement fix\u00e9 la vitesse de la lumi\u00e8re. Einstein a \u00e9galement pu montrer que les transformations forment un groupe: [26] [27] X \u2032= c ( X – dans t ) , et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= c ( t\u2212xvc2) {displayStyle x ^ {prime} = gamma (x-vt), quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = gamma gauche (t-x {frac {v} {c ^ {2}}} droite)} Einstein a pu d\u00e9river des effets tels que la dilatation du temps, la contraction de la longueur, l’effet Doppler, l’aberration de la lumi\u00e8re ou le module compl\u00e9mentaire de vitesse relativiste en raison de cette nouvelle compr\u00e9hension de l’espace et du temps sans avoir \u00e0 faire des hypoth\u00e8ses sur la structure de la mati\u00e8re ou un \u00e9ther substantiel. [26] [27] Les travaux sur le principe de la relativit\u00e9 de Lorentz, Einstein, Planck, ainsi que l’approche \u00e0 quatre dimensions de Poincar\u00e9, ont \u00e9t\u00e9 poursuivis par Hermann Minkowski de 1907 \u00e0 1908, principalement, y compris des arguments th\u00e9oriques de groupe. [A 37] [A 38] [A 18] Sa principale performance consistait en une reformulation \u00e0 quatre dimensions de l’\u00e9lectrodynamique. [28] Par exemple, il a \u00e9crit X , et , Avec , je t {displaystyle x, y, z, it} en forme X d’abord , X 2 , X 3 , X 4 {displayStyle x_ {1}, x_ {2}, x_ {3}, x_ {4}} , et si \u03a6 {displaystyle psi} L’angle de rotation autour du Avec -Een est alors les transformations de Lorentz prennent la forme: [A 38] X 1\u2032 = X 1, X 2\u2032 = X 2, X 3\u2032 = X 3cos \u2061 je \u03a6 + X 4p\u00e9ch\u00e9 \u2061 je \u03a6 , X 4\u2032 = – X 3p\u00e9ch\u00e9 \u2061 je \u03a6 + X 4cos \u2061 je \u03a6 , {DisplayStyle x ‘_ {1} = x_ {1}, quad x’ _ {2} = x_ {2}, quad x ‘_ {3} = x_ {3} cos ipsi + x_ {4} sini, quad x’ _ {4} = -x_} sin iPsi par lequel cos \u2061 je \u03a6 = d’abord \/ \/ d’abord – v2{Divlioughyle cos \u00e9gal \u00e0 {1} \/ {sqrt {1-v ^ {2}}}} et c = d’abord {displayStyle c = 1} . Il a \u00e9galement introduit la repr\u00e9sentation graphique de la transformation de Lorentz \u00e0 l’aide de diagrammes Minkowski: [A 18] Diagramme d’espace d’origine Minkowskis \u00e0 partir de 1908. Alors que les lignes ant\u00e9rieures de la transformation de Lorentz \u00e9taient bas\u00e9es sur l’optique, l’\u00e9lectrodynamique ou l’invariance de la vitesse de la lumi\u00e8re, Wladimir SergeJewitsch Ignatowski (1910) a montr\u00e9 que la transformation suivante entre deux syst\u00e8mes d’inertiel est uniquement bas\u00e9e sur le principe de relativit\u00e9 (et les arguments th\u00e9oriques li\u00e9s au groupe): [A 39] [A 40] [A 41] X \u2032= p ( X – dans t ) , et \u2032= et , Avec \u2032= Avec , t \u2032= p ( t – n dans X ) {displayStyle x ^ {prime} = p (x-vt), quad y ^ {prime} = y, quad z ^ {prime} = z, quad t ^ {prime} = p (t-nvx)} o\u00f9 p = d’abord \/ \/ d’abord – n v2{displayStyle p = 1 \/ {sqrt {1-nv ^ {2}}}} . Variable de mort n {displaystyle n} Peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9 comme une constante de l’espace-temps, dont la valeur est d\u00e9termin\u00e9e \u00e0 partir de l’exp\u00e9rience ou une loi physique connue. \u00c0 cette fin, Ignatowski a utilis\u00e9 l’ellipso\u00efde Heaviside mentionn\u00e9 ci-dessus, qu’une contraction des champs \u00e9lectrostatiques X \/ \/ c {displaystyle x \/ gamma} repr\u00e9sente dans le sens du mouvement. Ceci est conforme \u00e0 la transformation d’Ignatowski si n = d’abord \/ \/ c 2 {displayStyle n = 1 \/ c ^ {2}} est d\u00e9fini \u00e0 partir de quoi p = c {displayStyle p = gamma} Et de sorte que la transformation de Lorentz suit. n = 0 {displayStyle n = 0} Ne se traduit pas par des changements de longueur et par cons\u00e9quent la transformation de Galileo. La m\u00e9thode d’Ignatowski a \u00e9t\u00e9 am\u00e9lior\u00e9e et \u00e9largie par Philipp Frank et Hermann Rothe (1911, 1912) [A 42] [A 43] , et de nombreux auteurs ont suivi qui a d\u00e9velopp\u00e9 des m\u00e9thodes similaires. [29] Sources primaires [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u2191 Liouville, Joseph: Th\u00e9or\u00e8me sur l\u2019\u00e9quation dx\u00b2+dy\u00b2+dz\u00b2 . Dans: Journal de Math\u00e9matiques pures et Appliqu\u00e9es . Groupe 15 , 1850, S. 103 ( livres Google ). \u2191 Mensonge, sophus: Sur la th\u00e9orie d’une pi\u00e8ce avec un certain nombre de dimensions qui correspond \u00e0 la th\u00e9orie de la courbure de l’espace ordinaire . Dans: G\u00f6ttinger Nachrichten . 1871, S. 191-209 ( livres Google ). \u2191 Bateman, Harry: La transformation des \u00e9quations \u00e9lectrodynamiques . Dans: Actes de la London Mathematical Society . 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Nachrichten, p. 41) and which to my regret has escaped my notice all thesis Years, Voigt has been upbield to equations of the form (6) [namely) [namely) D \u03a6 – 1c2\u22022\u03a8\u2202t2= 0 {displaystyle delta psi – {tfrac {1} {c ^ {2}}} {tfrac {partiel ^ {2} psi} {partiel t ^ {2}}} = 0} ] une transformation \u00e9quivalente aux formules (287) et (288) [\u00e0 savoir la transformation avec le facteur d’\u00e9chelle l {displaystyle l} ]. L’id\u00e9e des transformations utilis\u00e9es ci-dessus (et au \u00a7 44) aurait donc pu \u00eatre emprunt\u00e9e \u00e0 Voigt et la preuve qu’elle ne modifie pas la forme des \u00e9quations pour le gratuit Ether est contenu dans son article. ” \u2191 J’ajoute \u00e9galement la remarque selon laquelle Voigt d\u00e8s 1887 […] dans une \u0153uvre “sur le principe de Dopplersche” sur les \u00e9quations de la forme\u0394\u03c8\u22121c2\u22022\u03c8\u2202t2=0{displaystyle delta psi – {frac {1} {c ^ {2}}} {frac {partiel ^ {2} psi} {partiel t ^ {2}}} = 0} Une transformation appliqu\u00e9e que les \u00e9quations (4) et (5) [\u00e0 savoir la transformation avec le facteur d’\u00e9chelle dans les \u00e9quations (4) et (5) l {displaystyle l} ] est \u00e9quivalent \u00e0 mon travail. \u2191 Walter (1999a), p. 59 \u2191 Brown (2003) \u2191 un b Miller (1981), 98\u201399 \u2191 un b Miller (1982), Chap. 1.4 et 1.5 \u2191 Janssen (1995), Hood. 3.1 \u2191 Macrossan (1986) \u2191 Darrigol (2000), chap. 8.5 \u2191 Jannsen (1995), chap. 3.3 \u2191 un b Miller (1981), Chap. 1.12.2 \u2191 Richard Gans: H. A. Lorentz, processus \u00e9lectromagn\u00e9tiques dans un syst\u00e8me qui se d\u00e9place \u00e0 une vitesse arbitraire (plus petite que celle de la lumi\u00e8re) (Versl. K. Ak. Van Wet. douzi\u00e8me , S. 986\u20131009, 1904) . Dans: Boups aux annales de la physique , Band 29, 1905, nr. 4, S. 168-170. \u2191 Dans le num\u00e9ro n \u00b0 5 du Boups aux annales de la physique , Volume 29, 1905, l’abr\u00e9viation \u00abA. E. \u00abAux pages 235 (deux fois), 236, 237 (trois fois), 238, 240, 242 et 247. Dans les livres n \u00b0 6 \u00e0 la n \u00b0 11 \u00e0 partir de 1905, il n’y a pas de r\u00e9sum\u00e9s \u00e9crits par Einstein, seulement dans le num\u00e9ro 12, aux pages 624, 635 (deux fois) et 636. \u2191 Pais, subtil est le Seigneur, Oxford Up 1982, S. 133 \u2191 un b c Darrigol (2005), chap. 4 \u2191 un b Darrigol (2005), chap. 6 \u2191 un b Parents (1982), Kap. 6C \u2191 un b Katzir (2005), 280\u2013288 \u2191 un b c Miller (1981), Chap. 6 \u2191 un b c Parents (1982), Kap. 7 \u2191 Walter (1999a) \u2191 Baccetti (2011), voir les r\u00e9f\u00e9rences 1 \u00e0 25. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/histoire-de-la-transformation-de-lorentz-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Histoire de la transformation de Lorentz-Wikipedia"}}]}]