[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/homme-penal-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/homme-penal-wikipedia\/","headline":"Homme p\u00e9nal – Wikipedia","name":"Homme p\u00e9nal – Wikipedia","description":"before-content-x4 P\u00e9nal (Sous-titre: Pour la production scientifique du crime du mal ) est le titre d’un livre du philosophe autrichien","datePublished":"2019-07-20","dateModified":"2019-07-20","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/homme-penal-wikipedia\/","wordCount":4468,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4P\u00e9nal (Sous-titre: Pour la production scientifique du crime du mal ) est le titre d’un livre du philosophe autrichien Peter Strasser, qui a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 pour la premi\u00e8re fois en 1984 en 1984 (Frankfurt AM Main), dans lequel l’auteur examine de mani\u00e8re critique avec le concept biologique, ax\u00e9 sur les auteurs de “l’homme criminel” (“L’Auomo Delinquent”). En 2005, les travaux ont \u00e9t\u00e9 publi\u00e9s dans une seconde pour inclure une nouvelle pr\u00e9face et un dernier chapitre (“La nouvelle pens\u00e9e du contr\u00f4le en criminologie”). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Pour la premi\u00e8re fois, Cesare Lombroso a le titre \u00abL\u2019Uomo Delinquente publi\u00e9 en 1876. Dans Rapporto All\u2019Antropologia, alla giurisprudenza ed toute discipline carceria \u00bb. Le composant “L\u2019Uomo Delinquente” peut litt\u00e9ralement \u00eatre traduit par “criminel”. Dans le livre \u00abCriminal Man. Le terme est \u00e0 nouveau utilis\u00e9 comme titre de livre pour la science du crime du mal \u00bb. D\u00e9j\u00e0 par le choix des mots, la fusion des mots criminels et humains, il devient clair que Strasseur U. traite des enseignements de Lombrosos. Gr\u00e2ce \u00e0 la fusion des deux noms, Peter Strasser distingue le sujet de sa consid\u00e9ration contre les th\u00e9ories de la punition \u00e9cologique (th\u00e9ories du crime) et des analyses scientifiques de la personne normale, les “Homo sapiens”. “L’objectif de la pr\u00e9sente \u00e9tude est d’examiner l’interaction de la raison, du mythe et de la moralit\u00e9 dans le mod\u00e8le de l’un des ordres influents les plus politiques et des sciences de la discipline de notre si\u00e8cle” (Strasser 2005, page 7). Dans l’avant-propos, il d\u00e9crit lui-m\u00eame son livre comme initialement destructeur involontaire et d\u00e9finit le concept de crime li\u00e9 dans le livre comme principalement li\u00e9 \u00e0 l’auteur et sur l’\u00e9tiologie de la loi. En plus du livre autrement inchang\u00e9, la nouvelle \u00e9dition \u00e9tendue de 2005 contient un chapitre sur l’\u00e9valuation de Strasser des derniers d\u00e9veloppements au sein de la criminologie. Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Chapitre I: L’objet de la criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Configuration des motifs [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9clarations de criminalit\u00e9 et concepts criminels [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c0 la constitution de l’objet [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le labyrinthe de la criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Chapitre II: Le mythe en tant que science [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une personne d\u00e9linquante [ Modifier | Modifier le texte source ]] Mythe comme science [ Modifier | Modifier le texte source ]] Logos du mal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Chapitre III: jeux d’ombre de libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Revivals mythiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Libre arbitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Pragmatiser la question de la libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le mauvais patient en criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Concept mythique et antifongique de la libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Chapitre IV: R\u00e9sonances sur le mal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ph\u00e9nom\u00e9nologique [ Modifier | Modifier le texte source ]] M\u00e9thodique [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00e9thique [ Modifier | Modifier le texte source ]] La nouvelle pens\u00e9e du contr\u00f4le en criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Chapitre I: L’objet de la criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Configuration des motifs [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans ce chapitre, Strasser traite d’abord la configuration des motifs. Il note qu’un motif dans un motif de crime est inh\u00e9rent \u00e0 une dimension causale et morale. La dimension causale d\u00e9crit les circonstances ext\u00e9rieures qui conduisent \u00e0 l’action, la morale le “mal” de la personne, ce qui fait de l’agresseur une “b\u00eate”. Dans la recherche de cause, la criminologie essaie d’analyser le criminel scientifiquement empiriquement dans toutes les facettes; Pour ce faire, il utilise l’aide de la biologie criminelle, de la pschychologie, de la pathologie, de la physionomique et de la sociologie. \u00c0 ce stade, Strasser suppose qu’ils sont consacr\u00e9s \u00e0 la politique p\u00e9nale dans certaines parties de la recherche dans le but de servir. D\u00e9clarations de criminalit\u00e9 et concepts criminels [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ensuite, Strasser se consacre aux crimes et aux concepts criminels. Apr\u00e8s que le criminel ait \u00e9t\u00e9 publiquement punis au cours des si\u00e8cles pr\u00e9c\u00e9dents, la punition physique s’est progressivement d\u00e9vi\u00e9e progressivement \u00e0 la fin du XVIIIe si\u00e8cle. D’apr\u00e8s le criminel agissant de mani\u00e8re autonome, dont l’action a \u00e9t\u00e9 publiquement punie comme une expression de la justice divine, devient de plus en plus un \u00eatre sans libre arbitre, ce qui est d\u00fb \u00e0 sa personnalit\u00e9 anormale et n\u00e9cessite une aide th\u00e9rapeutique. Selon Lombroso, le premier repr\u00e9sentant de cette direction, cette anomalie se refl\u00e8te, y compris en physionomie. L’action criminelle elle-m\u00eame est d\u00e9clench\u00e9e par des stimuli externes. Le sujet de la libert\u00e9 de volont\u00e9 d’un criminel est \u00e0 peine discut\u00e9 dans la criminologie du pr\u00e9sent. La sociale So-Salled-Salled a un concept diff\u00e9rent de d\u00e9linquant. Ici, le criminel est consid\u00e9r\u00e9 comme d\u00e9tach\u00e9 de son acte; Il y a d\u00e9j\u00e0 des indications qui font de lui un criminel potentiel pour le prendre illimit\u00e9 en d\u00e9tention. Une autre approche pour aborder les causes du crime provient de la psychologie. Les intentions des actions sont tent\u00e9es en compte, etc. Explorer les motifs, les souhaits, les espoirs, les perceptions et la conscience individuels. Le criminel n’agit que sous contrainte dans des cas exceptionnels. La psychanalyse essaie \u00e9galement d’approcher les causes des crimes et a adopt\u00e9 le criminel, qui vient de la classe inf\u00e9rieure, et l’a trouv\u00e9 sur -it-up et les lacunes qui font de lui devenir un criminel. Strasser n’offre pas de solution finale pour un concept criminel \u00e0 ce stade. \u00c0 la constitution de l’objet [ Modifier | Modifier le texte source ]] En vertu de cette rubrique, Strasser d\u00e9termine initialement la recherche des causes, de la nature et de l’efficacit\u00e9 du crime en tant que discours criminologique d’objet. Cet objet change en fonction de l’approche. Pour lui, cependant, la m\u00e9thode naturaliste, qui consid\u00e8re les gens comme une biomaschine, est tout autant un objectif que l’intentionnaliste, qui suppose \u00e0 l’agresseur un libre arbitre et peut comprendre l’acte en tant que tel, ou le moraliste, qui classe l’acte criminel comme “mauvais” avec des “mauvaises causes” et des vues comme une unit\u00e9. Le point de vue que la recherche consid\u00e8re \u00eatre ad\u00e9quatement d\u00e9pend de Peter Strasser de la fa\u00e7on de r\u00e9agir aux fractions juridiques: avec une punition classique pour la vision et la th\u00e9rapie intentionnalistes ou la re-socialisation dans le cas du naturaliste. Le labyrinthe de la criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ce paragraphe traite initialement du sujet d\u00e9j\u00e0 d\u00e9chir\u00e9 de l’autommia du criminel, ce qui est d\u00e9cisif pour le type de traitement. Une fa\u00e7on de reconna\u00eetre l’autonomie en action est le stationnement d’une action sur le caract\u00e8re obligatoire auquel il est soumis. Une r\u00e9ponse finale \u00e0 la question reste ouverte. L’autonomie est particuli\u00e8rement importante pour cela car elle d\u00e9pend de l’\u00e9valuation morale de l’action dans laquelle la recherche criminologique est impliqu\u00e9e. Strasser est d’avis que la seule fa\u00e7on de s\u00e9parer la notation “mal” du criminel et d’humaniser la manipulation de lui est de s\u00e9parer strictement l’action et l’agresseur. L’approche d’\u00e9tiquetage entreprend une telle tentative, dans laquelle certaines actions d’un individu sont appel\u00e9es crimes. L’approche naturaliste ne s\u00e9pare pas les actions de l’acteur, mais essaie partiellement d’identifier le “mal” chez chaque personne ou de prouver le criminel avec une expression diff\u00e9rente afin de le retirer “mal” \u00e0 l’\u00e9valuation. En fin de compte, Strasser pose la question qui ne r\u00e9pond pas si la recherche criminologique est possible sans \u00e9valuation. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Chapitre II: Le mythe en tant que science [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une personne d\u00e9linquante [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans ce chapitre, Strasser traite principalement de l’explication de Lombroso.Dans la section “Homo Delinquens”, il d\u00e9crit d’abord la d\u00e9couverte que son enseignement justifie. Sur le cr\u00e2ne du voleur Villella, il d\u00e9couvre une fosse principale arri\u00e8re qui, autrement, ne se produit que chez les mammif\u00e8res bas. Lombroso attribue ensuite certaines caract\u00e9ristiques anatomiques du visage et du corps ainsi que de l’insensibilit\u00e9 \u00e0 la douleur, afin qu’elles soient facilement reconnaissables en fonction de ces caract\u00e9ristiques et tatouages. \u00c9tant donn\u00e9 que ces caract\u00e9ristiques sont inn\u00e9es et dans de nombreux cas atavistes, le criminel de Lombroso est un \u00eatre ataviste moralement fou dans lequel le mal vit. Ces stigmates ne s’appliquent pas aux femmes qui sont g\u00e9n\u00e9ralement n\u00e9es en tant que criminels, mais peuvent facilement \u00eatre \u00e9vit\u00e9es par les crimes par les hommes. La classification de base de la femme correspond \u00e0 la vision du monde chr\u00e9tienne-E-Empire, dans laquelle la femme compl\u00e9mentaire de l’homme du c\u00f4t\u00e9 obscur, d\u00e9raisonnablement incarn\u00e9e et s\u00e9duction. Mythe comme science [ Modifier | Modifier le texte source ]] La section “sur la structure du mythe en tant que science” entre dans le contexte philosophique des recherches de Lombroso. Les caract\u00e9ristiques archa\u00efques et mythiques du criminel ont donc des manifestations diff\u00e9rentes. Lombroso alloue diff\u00e9rents contours faciaux de diff\u00e9rents crimes. Le voleur diff\u00e8re d\u00e9j\u00e0 du meurtrier dans la physionomie. Pour lui, ces diff\u00e9rentes caract\u00e9ristiques ont un caract\u00e8re symbolique qui repr\u00e9sente un type sp\u00e9cifique de criminel. Comme dans le mythe, chaque caract\u00e9ristique repr\u00e9sente une vari\u00e9t\u00e9 de nature mal\u00e9fique. Parce qu’il essaie de relier les caract\u00e9ristiques physiques individuelles de mani\u00e8re causale et fonctionnelle au crime respectif, la vision mythique devient une analyse scientifique. Logos du mal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans \u00abThe Logos of Evil\u00bb, Strasser classe le criminel dans la vision du monde de Lombroso. Cela a con\u00e7u le criminel comme une menace culturelle. Cependant, pas le criminel lui-m\u00eame, mais le mal, le pouvoir dont il symbolise, est la menace de l’ordre. Si vous vous rapprochez trop de ce pouvoir, il y a un risque d’\u00eatre saisi par lui et de devenir “mal”. Ce raisonnement pr\u00e9pare le sol \u00e0 la Sociale de la d\u00e9cession, le blocage pr\u00e9ventif des criminels, qui sont facilement reconnaissables en raison de la recherche de Lombroso en raison de leurs stigmates. En raison du droit p\u00e9nal actuel, qui assume initialement le libre arbitre de l’agresseur jusqu’\u00e0 ce que l’inverse soit prouv\u00e9, le criminel est d\u00e9mythi\u00e9. Il n’est pas fondamentalement une b\u00eate, mais seulement si son acte en donne lieu. Les preuves et l’\u00e9valuation des proc\u00e9dures p\u00e9nales contribuent \u00e9galement \u00e0 la d\u00e9mythification. En raison de la pr\u00e9somption d’innocence, le criminel ne distingue rien des autres, la c\u00e9n\u00e9ologie criminelle des Lombrosos est donc min\u00e9e \u00e0 ce stade. Chapitre III: jeux d’ombre de libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Revivals mythiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ici, Strasser note que la recherche criminologique a initialement poursuivi l’objectif de d\u00e9mythification le crime et le criminel. Les crimes sont d\u00e9finis comme chez chaque personne comme un sommeil, comme une maladie mentale ou une attribution repr\u00e9sentative de la soci\u00e9t\u00e9. Il se pr\u00e9sente. Le psychopathe, une introduction mentale \u00e0 travers son comportement mythique parfois bestial. Cependant, son comportement est soumis au libre arbitre, ce qui rend le mal “mal” criminel et apporte au domaine des mythes. Cette vue est Dans la jurisprudence de la Cour f\u00e9d\u00e9rale allemande de la justice de 1966, qui est responsable d’un auteur de son acte s’il s’agit d’un manque de caract\u00e8re et non d’une cons\u00e9quence d’une maladie mentale. Dans la jurisprudence r\u00e9cente, les carences de caract\u00e8re ont un effet att\u00e9nuant. Libre arbitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] “Liberum Arbitrium Fugivum” traite de la question de savoir dans quelle mesure les gens peuvent ma\u00eetriser leur comportement et quand ils ne peuvent plus prendre une d\u00e9cision gratuite concernant leur comportement. De plus, Strasser r\u00e9pond aux r\u00e9actions de l’environnement aux comportements incontr\u00f4l\u00e9s. Il dirige les exemples du kleptomane et du non-fumeur qui tombe. Son vol est consid\u00e9r\u00e9 comme une contrainte pour qui il ne peut pas s’y opposer. Avec la chute non-fumeur, d’une part, il y a la faction, qui sait que, comme d’autres, il aurait pu se ma\u00eetriser, mais en a une compr\u00e9hension parce que son d\u00e9veloppement personnel peut \u00eatre mod\u00e9lis\u00e9. Elle ne condamne pas son comportement. L’autre faction, par ex. B. un m\u00e9decin de famille, condamne le comportement car elle ne voit que les cons\u00e9quences n\u00e9gatives pour le corps de la chute non-fumeur pragmatiquement. Malgr\u00e9 des recherches intensives, il n’\u00e9tait parfois pas possible d’explorer scientifiquement quand une personne a la r\u00e8gle sur une action. Comment, en conclusion, est-il possible, il est possible d’assumer une libert\u00e9 d’action p\u00e9nale psychopathique, mais de prononcer le criminel mental de culpabilit\u00e9 parce qu’il a agi dans une contrainte incompr\u00e9hensible? Pragmatiser la question de la libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sous cette rubrique, Peter Strasser traite de la question de savoir quelle r\u00e9ponse de l’\u00c9tat au comportement avec l’implication de la libert\u00e9 d’action de l’agresseur semble raisonnable. Le kleptomane mentionn\u00e9 ci-dessus n’est pas un objet appropri\u00e9 pour une punition car il n’affecte pas son comportement apr\u00e8s avoir purg\u00e9 la punition. Cependant, un meurtrier psychopathe, qui est subordonn\u00e9 \u00e0 un libre arbitre, est un v\u00e9ritable destinataire pour une punition car il affecte son comportement apr\u00e8s avoir servi. Selon la th\u00e9orie du caract\u00e8re, l’accusation et la punition et la souffrance de lui ont un effet positif sur sa moralit\u00e9, il se sent coupable et \u00e0 l’avenir se comporte conform\u00e9ment \u00e0 la loi. Le fait que la majorit\u00e9 des d\u00e9tenus de prison se comportent diff\u00e9remment en question cette approche. Certains des d\u00e9linquants qui se tiennent comme une victime de circonstances d\u00e9favorables, une autre partie consid\u00e8re la punition comme un risque professionnel. De plus, la criminalisation d’une personne conduit souvent \u00e0 l’isolement social, ce qui a un impact n\u00e9gatif sur la re-socialisation. Cependant, si la moralit\u00e9 de l’individu n’est pas modifi\u00e9e par la punition, alors un changement de comportement n’est bas\u00e9 que sur l’\u00e9vitement de la perte de libert\u00e9 associ\u00e9e \u00e0 la serrure et de l’inconv\u00e9nient d’un s\u00e9jour en prison. Ces explications montrent \u00e9galement clairement que la libert\u00e9 d’action des humains est scientifiquement uniforme et ne peut \u00eatre influenc\u00e9e que dans une mesure limit\u00e9e. Le mauvais patient en criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans la section, Strasser d\u00e9termine d’abord cela en z. Par exemple, le droit p\u00e9nal allemand est \u00e9valu\u00e9 en fonction de la question de savoir si l’agresseur n’est pas en mesure de voir son injustice en raison de d\u00e9fauts psychologiques l\u00e9galement d\u00e9finis. Ces d\u00e9fauts sont d\u00e9termin\u00e9s par les psychiatres des tribunaux et d\u00e9termin\u00e9s en utilisant divers points de sa personnalit\u00e9, tels que: B. Comportements ant\u00e9rieurs, gravit\u00e9 de la maladie mentale, comportement avant l’acte. De nombreuses personnes mentales endog\u00e8nes sont reconnues comme inad\u00e9quates, mais pas les psychopathes. Ils sont appel\u00e9s anormaux, pas malades, qui n’ont qu’un effet att\u00e9nuant. L’exclusion des psychopathes a des raisons pragmatiques de Strasser. Par exemple, c’est que le public veut voir des criminels typiques punis, le pouvoir judiciaire veut seulement pouvoir s’abstenir de la punition dans les exceptions et les psychiatres ne veulent pas remplir les institutions de psychopathes non traitables. Pour Strasser, la psychiatrie m\u00e9dico-l\u00e9gale est bas\u00e9e sur le mod\u00e8le \u00e0 3 instance de la personnalit\u00e9 d\u00e9velopp\u00e9e par Platon, dans laquelle l’esprit en tant qu’instance sup\u00e9rieure dirige le testament comme 2e instance, qui \u00e0 son tour surveille la 3\u00e8me instance, \u00e0 savoir les pousses. Les \u00e9checs de raison conduisent donc \u00e0 une insuffisance, tandis que le psychopathe a un d\u00e9faut dans le domaine de la volont\u00e9, ce qui entra\u00eene un mauvais contr\u00f4le de la conduite, mais n’affecte pas la responsabilit\u00e9.Dans ce qui suit, Strasser se consacre \u00e0 la criminologie th\u00e9rapeutique. Cette approche vient de la psychanalyse. Le criminel se tient dans une lutte inconsciente entre ses disques et une d\u00e9fectueuse, ce qui signifie que je perds le contr\u00f4le des actions intactes. Il y a une d\u00e9linquance. Ceci est d\u00e9fini comme malade et fournit une raison d’instruire le criminel \u00e0 une institution jusqu’\u00e0 sa gu\u00e9rison, ce qui peut signifier rester \u00e0 vie dans des cas individuels et d\u00e9guiser le caract\u00e8re punissant de la mesure. Malgr\u00e9 la pathologicalisation du criminel, il est suppos\u00e9 qu’il est responsable de son acte. Dans ce mouvement criminologique, les \u00eatres mauvais mythiques des enseignements de Lombroso survivent. La criminologie th\u00e9rapeutique est principalement bas\u00e9e sur Strasser dans l’inefficacit\u00e9 de la peine de prison qui a d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 montr\u00e9e et les moyens de subsistance de leur propre profession cr\u00e9\u00e9s par les th\u00e9rapeutes. La composante centrale de la th\u00e9rapie est l’analyse compl\u00e8te du criminel, l’ancienne identit\u00e9 malade doit \u00eatre abandonn\u00e9e et une nouvelle saine est accept\u00e9e. Concept mythique et antifongique de la libert\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La derni\u00e8re section du chapitre traite bri\u00e8vement bri\u00e8vement du d\u00e9veloppement du concept de libert\u00e9 dans la culture occidentale. Au cours de la p\u00e9riode pr\u00e9liminaire, les actions des gens sont partiellement mythifi\u00e9es, elles sont bas\u00e9es sur la volont\u00e9 de dieux ou de d\u00e9mons qui ont travaill\u00e9 par les gens. Platon d\u00e9veloppe le mod\u00e8le \u00e0 3 instance ci-dessus, qui a \u00e9t\u00e9 poursuivi par le professeur d’\u00e9glise Augustine dans son apprentissage par le “Liberum Arbitrium” et a accord\u00e9 une action autonome en tant que don et expression divin de sa proximit\u00e9 avec lui. Ce concept de libert\u00e9 est utilis\u00e9 au Moyen \u00c2ge pour punir inutile, car le m\u00e9pris pour les lois terrestres terrestres de Dieu est le blasph\u00e8me ou m\u00eame un symbole d’un pacte entre les humains et les d\u00e9mons, c’est-\u00e0-dire le mal. Gr\u00e2ce \u00e0 l’emploi de la criminologie, en particulier la criminologie m\u00e9dico-l\u00e9gale et th\u00e9rapeutique, le concept de libert\u00e9 cr\u00e9e l’hermaphrodite du psychopathe, qui n’a pas ses disques sous contr\u00f4le en raison de la maladie, mais a toujours le libre arbitre, donc il peut toujours \u00eatre en col\u00e8re. \u00c0 la fin du chapitre, Strasser soup\u00e7onne qu’une externalisation du mal du criminel le fait devenir un biomason sans dignit\u00e9, de sorte que l’autonomie de l’action lui est \u00e9galement retir\u00e9e. Chapitre IV: R\u00e9sonances sur le mal [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ph\u00e9nom\u00e9nologique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Strasser commence la premi\u00e8re section par une analyse de quelle mani\u00e8re les autobiographies des criminels agissent sur la soci\u00e9t\u00e9. S’il veut se rendre compr\u00e9hensible pour un large public, il est oblig\u00e9 d’adapter ses repr\u00e9sentations aux id\u00e9es de ce groupe de personnes, qui aime voir le criminel comme un \u00eatre errant ou tr\u00e9buch\u00e9 avec un caract\u00e8re fondamentalement bon. Il peut \u00e9galement \u00eatre un mauvais anti-social, dont les actions sont celles d’un psychopathe. Bien que la compr\u00e9hension et la bienveillance soient donn\u00e9es, le psychopathe est rencontr\u00e9 par la haine, l’horreur et une attitude d\u00e9fensive, mais aussi avec la fascination que le mal apporte avec elle. \u00c0 titre d’exemple de la biographie d’un psychopathe mal\u00e9fique, Strasser dirige le livre Minus Man par Heinz Sobota, publi\u00e9 en 1978, qui d\u00e9crit ses actes de violence insens\u00e9s tr\u00e8s radicalement et au figur\u00e9. Cependant, Sobota viole les r\u00e8gles de traitement du mal criminel par le type de repr\u00e9sentation. La description nonh\u00e9sique et l’irrationalit\u00e9 de ses actions conduisent au fait que le lecteur ne peut pas classer qu’il voit le risque que cette forme de violence puisse se propager comme un virus et ne peut plus \u00eatre contr\u00f4l\u00e9e. M\u00e9thodique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Strasser prend l’id\u00e9e de Friedrich Nietzsche ici que plus vous approchez de perspectives. Maintenant, toutes les perspectives, c’est-\u00e0-dire chaque m\u00e9thode de connaissance, souffrent d’une partie du coup, qui pour Strasser et autres. Cela est d\u00fb au fait que vous avez peur de reconna\u00eetre quelque chose de ind\u00e9sirable par l’objet de la connaissance. Cela s’applique \u00e9galement \u00e0 la criminologie, dont les m\u00e9thodes de recherche sur le crime, le fait que le \u00abmal\u00bb peut dormir dans tout le monde, pendant longtemps non inclus dans le r\u00e9pertoire des perspectives de peur des cons\u00e9quences. Seule la psychanalyse choisit cette approche. Pour Strasser, cette connaissance est essentielle pour prendre le pouvoir sur les gens et la soci\u00e9t\u00e9 au \u00abmal\u00bb. \u00e9thique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Strasser note dans le domaine de l’\u00e9thique, o\u00f9 la recherche criminologique doit \u00e9galement \u00eatre mesur\u00e9e. Bien que pr\u00e9c\u00e9demment recherch\u00e9 dans toutes les directions, aujourd’hui, on est de plus en plus exploit\u00e9 par une recherche traditionnelle bas\u00e9e sur la cible. La \u00abv\u00e9rit\u00e9\u00bb recherch\u00e9e n’est accept\u00e9e que tant qu’elle est conforme \u00e0 la \u00abconnaissance de la connaissance\u00bb si appel\u00e9e par Strasseuse, la criminologie devient des v\u00e9hicules de politique et la vision morale actuelle.D\u00e9j\u00e0 au d\u00e9but de la recherche criminologique et en examinant le traitement du criminel, les criminologues tentent de repr\u00e9senter leur point de vue de telle mani\u00e8re qu’il s’int\u00e8gre dans le courant moral respectif. Dans son travail “Dei Delitti e delle Pene”, publi\u00e9 en 1764, Beccaria exige l’abolition de la torture, la peine de mort et les jugements plus l\u00e9gers. Strasser soup\u00e7onne que Beccaria, avec son argument, une esclavage \u00e0 vie est une agonie beaucoup plus grande qu’une courte ex\u00e9cution pour le criminel et aurait \u00e9galement un plus dissuasif, adaptant les arguments de l’id\u00e9e morale \u00e0 l’\u00e9poque pour couvrir ses efforts humanitaires. En mettant en \u0153uvre de telles demandes, l’id\u00e9e humanitaire peut \u00eatre perdue, ce qui peut rendre les criminels trait\u00e9s moins qu’auparavant malgr\u00e9 l’intention de la recherche bien intentionn\u00e9e. La nouvelle pens\u00e9e du contr\u00f4le en criminologie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Apr\u00e8s que les derni\u00e8res d\u00e9cennies ont \u00e9t\u00e9 fa\u00e7onn\u00e9es par une humanisation des ordres juridiques et un \u00e9cart des th\u00e9ories des criminels non r\u00e9sistants envers des concepts criminels et de r\u00e9int\u00e9gration modernes, Strasser remarque un retour aux enseignements de Lombroso et de ses disciples. La cause de la Renaissance des explications biologiques en criminologie est une r\u00e9flexion du nouvel ordre pour lui. L’image humaniste de l’homme et donc le criminel, qui pr\u00e9vaut de la fin des ann\u00e9es 1960, a c\u00e9d\u00e9 la place \u00e0 une image naturaliste de l’homme dans lequel les gens sont de plus en plus consid\u00e9r\u00e9s comme une machine \u00e0 bioma et ont donc perdu une partie de leur dignit\u00e9. L’incompatibilit\u00e9 entre la nature et les sciences humaines qui se sont refl\u00e9t\u00e9es jusqu’au si\u00e8cle dernier, qui se refl\u00e8te \u00e9galement dans la criminologie, n’existe plus en grande partie. En raison de la recherche croissante, en particulier dans la zone du cerveau, les gens ont perdu leur position sp\u00e9ciale, le fonctionnement du cerveau humain est compar\u00e9 \u00e0 celui d’un ordinateur. D’une part, le nouvel arrangement pense dans un \u00e9vanouissement par rapport \u00e0 la dynamique du march\u00e9 mondialisant, qui recherche une \u00e9galisation dans l’\u00e9limination du comportement anti-social, voire criminel. D’un autre c\u00f4t\u00e9, la peur latente du monde occidental nourrit le nouveau besoin d’ordres d’attaques, de crimes violents et \u00e9galement des crimes \u00e9trangers. Hare, Robert D (1999): sans conscience Huchzermeier, Christian et al. (2003): \u00abPsychopathie et troubles de la personnalit\u00e9. Relations de la “liste de contr\u00f4le de la psychopathie” selon Hare sur la classification du DSM-IV pour violents Trods “, dans: SIGNIFICATION mensuelle pour la criminologie et la r\u00e9forme du droit p\u00e9nal (MSCHRKIM) 86\/3, 206-215 Strasser, Peter (2005): Criminal Man. Pour la production de la science du crime du mal, la 2e nouvelle \u00e9dition a \u00e9largie Sack, Fritz (1968): “New Perspectives in Criminology”, dans: Fritz Sack \/ Ren\u00e9 K\u00f6nig (\u00e9d.): Criminal Sociology, Frankfurt a. M. Wiesendanger, Harald (1986) Criminal Man. Sur la Science du crime Production du mal (Revue de livres) dans: Criminological Journal 18 (1): 69\u201373 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/homme-penal-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Homme p\u00e9nal – Wikipedia"}}]}]