Irrigation – Wikipedia

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Sahara hors de l’air: En raison de l’irrigation pivot rotative avec une pompe centrale, la superficie circulaire crée
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irrigation (À plus petite échelle aussi Verser mentionné) est l’approvisionnement des terres culturelles avec de l’eau pour favoriser la croissance des plantes et remplacer le manque de pluie. Dans les régions arides entre les cercles de virage, est irriguée afin de profiter des idiots et des températures élevées. Mais aussi dans les régions humides est irriguée pour les plantes très nécessaires à l’eau – comme le riz – ou pour le pontage des phases sèches saisonnières.

Pour la gestion des sols à l’aide de méthodes d’irrigation, voir l’économie du terrain d’irrigation.

Des techniques agricoles anciennes sont utilisées dans l’irrigation. Dans de nombreuses cultures élevées, comme l’Égypte, la Mésopotamie, l’Inde, la Chine, l’Afrique de l’Est ou en Amérique pré-collue, la production agricole pourrait être augmentée si significativement qu’une augmentation notable de la population était également possible. Parfois, il est avancé que le travail important pour construire les systèmes d’irrigation a formé une impulsion importante pour la formation de structures sociales organisées.

Aujourd’hui, une distinction est faite entre trois formes d’irrigation:

  • 1) L’irrigation hydratante est conçue comme un complément des précipitations naturelles et fournit aux plantes la quantité d’eau requise pour un effort optimal ou une production de fruits. L’irrigation hydratante peut être mis à peu près dans deux sous-catégories:
a) L’humidité par l’approvisionnement en eau “incontrôlé” (également construction de champ humide), et et
b) Humidité avec alimentation en eau contrôlée, souvent appelée irrigation artificielle.
Sous l’irrigation avec l’approvisionnement en eau incontrôlé, l’irritation naturelle des inondations, l’irrigation de la poussière de pluie ou l’utilisation de zones humides naturelles tombent, par exemple. Toutes ces méthodes d’irrigation sont communes pour qu’ils profitent des conditions naturelles et dépendent donc fortement des développements naturels, tels que la température et la distribution des précipitations. Contrairement aux procédures avec l’approvisionnement en eau contrôlé, qui s’efforce de fluctuations naturelles, en particulier après une vaste indépendance.
  • 2) L’irrigation fertilisante conduit également le sol avec l’eau.
  • 3) En raison du nettoyage du sol (drainage), des substances et des sels solubles et nocifs sont retirés du sol par l’irrigation antérieure.

L’eau requise pour l’irrigation est généralement prise des eaux de surface naturelles (cours d’eau, lacs, étangs) ou les eaux souterraines (fontaine). De plus, les réservoirs d’eau créés (réservoirs, piscines, réservoirs d’eau) jouent également un rôle important dans l’approvisionnement en eau. Dans les zones de séchage, l’accent est principalement mis sur les citernes et les piscines de paille qui servent à la collection d’eau de pluie.

La plupart des procédures d’irrigation utilisées aujourd’hui sont le résultat de la pratique et du développement technique liés aux millénaires.

Table of Contents

Irrigation de surface [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Irrigation d’un champ de riz en Inde: dans les zones sèches, l’irrigation artificielle est essentielle pour la culture alimentaire

De nombreuses méthodes d’irrigation de surface sont pratiquées depuis des milliers d’années. La plupart d’entre eux sont encore très importants aujourd’hui car ils peuvent être opérés à peu de frais et sans systèmes techniques complexes.

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L’irrigation de surface comprend divers embouteillages et procédures diesel. Les procédures suivantes peuvent être appliquées à des conditions de secours très différentes. Un problème commun de toutes les méthodes d’irrigation de surface est les taux élevés d’évaporation et d’infiltration.

Confiture [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Dans le cas des processus de congestion, des sillons arables ou des zones planifiées ou contaminées sont placées sous l’eau. Les procédures des consttus sont parmi les méthodes les plus fréquemment appliquées de l’économie de l’irrigation.

Confiture pelvienne [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Dans la construction pelvienne -up, les bassins de 20 à 40 cm de haut sont doublés horizontalement et peuvent être adaptés à la pente légère. Par canaux d’approvisionnement et de drainage, ils sont combinés en blocs irrigués les uns après les autres, en commençant par le bassin le plus élevé. D’un côté du bloc, la superficie est fournie avec de l’eau, et de l’autre côté étroit des piscines, l’eau est à nouveau dérivée le long des barrages.

La construction pelvienne -Up convient aux champs avec peu de pente (<0,1%) et moins à une conductivité d'eau modérée (<1 cm / h). Si le gradient dépasse 0,1%, les terrasses doivent être créées afin de continuer à pratiquer l'irrigation à l'aide d'un pool. En pente avec une pente allant jusqu'à 2,5%, les bassins d'irrigation sont créés sous forme de bassin de contour (terrasses), par laquelle les barrages suivent les lignes d'altitude.

Processus de congestion régional dans une culture de blé en Arizona

Si la conductivité de l’eau saturée dépasse 1 cm / h, l’utilisation de l’irrigation pelvienne n’a pas de sens car des pertes d’infiltration élevées surviennent. Le principal problème de l’irrigation pelvienne ne représente pas les taux d’infiltration, mais des pertes d’évaporation élevées, car il y a une zone en eau libre pendant toute la saison de croissance. Ainsi, l’efficacité d’utilisation de l’eau est très faible dans l’irrigation pelvienne, environ 40 à 50%. Les piscines elles-mêmes représentent un handicap lors du traitement de la superficie.

Les espèces de céréales telles que le riz, de nombreux légumes et autres plantes d’alimentation sont principalement irriguées par les bâtiments pelviens dans les zones arides.

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Grenier [ Modifier | Modifier le texte source ]]

La superposition de surface est similaire à l’irrigation pelvienne, mais la zone irriguée est plus grande. La surface au-dessus du trafic est caractérisée par le fait que l’eau ne circule plus pendant l’infiltration, mais a plutôt couvert une zone plate cachée de 1 à 20 ha. La hauteur de rangement est d’environ 15 à 30 cm et suppose donc qu’une quantité relativement importante d’eau est appliquée en même temps.

Sillon [ Modifier | Modifier le texte source ]]

La congestion du sillon ne remplit pas toute la zone de culture avec de l’eau, mais des sillons individuels entre les plantes placés en série. Cela a l’avantage que la surface de l’eau libre devient plus petite et évapore donc moins d’eau.

Le backlog Furrow fonctionne à des fossés de 20 à 30 cm de profondeur, à une distance de 0,6 à 1 mètre, qui sont créés avec une pente de 0,2% à 0,5%. Un afflux d’eau remplit rapidement les sillons. Il y a une expansion d’eau uniforme au niveau. L’eau s’arrête. L’eau peut presque atteindre les racines à travers un sillon supplémentaire. Moins d’eau est nécessaire qu’avec d’autres processus de congestion.

Lors du choix de la distance de sillon, la conductivité de l’eau du sol est un critère important.

La procédure est principalement utilisée dans les zones arides pour les variétés de fruits et légumes créées dans des cultures en série.

Diététique [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Dans le cas d’un procédé à filet, l’eau passe à travers des sillons arables et des surfaces légèrement inclinées.

Contrairement au processus de congestion, le bassin ou les sillons ne sont pas renversés en permanence. Au contraire, l’eau le long d’un gradient est passé sur la zone d’irrigation. C’est pourquoi seules les zones avec un gradient de plus de 0,1% conviennent à la pincée. La charge de travail est augmentée en la répétant, mais les pertes d’évaporation et d’infiltration sont réduites car l’eau n’est pas en permanence à la surface. Une dose d’eau approximativement précise peut être effectuée par une pincée répétée.
Afin de pouvoir utiliser efficacement les processus d’arrosage, la conductivité de l’eau saturée du sol doit être faible à modérée. De plus, il doit y avoir une bande sans gradient sur le côté sur lequel l’eau est transmise afin que l’eau puisse d’abord se propager sur la largeur du champ avant qu’elle ne coule le long du gradient.

Stripper [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Dans le cas de l’arrosage de la bande, également appelée supervision de pente ou inondation sauvage, l’eau des ruisseaux ou des rivières, souvent avec des inondations croissantes, est dérivée et coupée des tranchées d’approvisionnement au-dessus du sol.
La bande terrestre irriguée, selon les permis de sol, a une légère inclinaison et mesure généralement 10 à 20 m de large et 150 à 400 m de long. La zone d’irrigation ne doit pas avoir des auges, des enquêtes, des croisement ou des sillons longitudinaux afin que l’irrigation régulière puisse être garantie.
Les efforts de travail et de fonctionnement dans la méthode sont faibles, mais l’eau est souvent distribuée de manière inégale malgré les efforts. Les conséquences sont la sous-irrigation ou la super irrigation, les déchets d’eau et l’érosion. La procédure est principalement utilisée dans les zones arides.

Grates de sillon / émeutes Groove [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Après l’irrigation pelvienne, la grille de sillon est le processus d’irrigation de surface le plus courant. Il est principalement utilisé pour les cultures végétales cultivées en rangées, comme: B. pommes de terre, tomates, maïs, canne à sucre et autres.

Les sillons ont une ou en V sont de 15 à 20 cm de large et d’environ 25 à 30 cm de profondeur. Dans le cas de rangées de plantes à long terme, vous pouvez également être plus plate et jusqu’à un mètre de large. Le gradient peut être compris entre 0,5 et 2%.
Dans les sillons, l’eau est en mouvement constant. Il est ajouté aux sillons des lignes d’alimentation et de distribution installées en permanence. Il faut s’assurer que le sillon est rempli suffisamment rapidement sur toute la longueur pour permettre une déshumidification du sol égale. L’eau restante restant se termine par des canaux de drainage. La quantité de quantités d’eau, les écarts de sillon et la longueur du sillon déterminent l’uniformité de la distribution.

Irrigation [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Les procédures dans lesquelles l’irrigation est effectuée à l’aide de systèmes de pulvérisation stationnaires ou mobiles. L’irrigation est principalement exploitée dans les zones climatiques humides.

L’eau est pompée sur les tuyaux vers les systèmes sur le terrain. Selon le type de construction, on se différencie: l’irrigation avec les festivals locaux, les stations partiels et les systèmes complets mobiles ou entièrement en mouvement. Une distinction peut être faite encore plus précisément entre l’affection individuelle, le cercle du cercle, le pliage ou le roulement (auto-conduite).

L’irrigation impose peu de demande sur la qualité de surface de la superficie. En conséquence, le terrain inégal et en attente peut également être irrigué, afin que des travaux de planification élaborés ainsi que des tranchées ou des barrages de construction puissent être éliminés.

L’irrigation polyvalente peut également être effectuée via les systèmes. Par exemple, les systèmes d’irrigation sont utilisés pour l’affection de protection des gel et pour l’application des produits d’engrais et de protection des plantes.

La majeure partie de l’irrigation (polyvalente) peut être automatisée. Des entrées d’eau plus petites par zone et des doses plus précises entraînent une faible infiltration et une profondeur d’humidité contrôlée. Cela réduit le risque de sel.

Étant donné que l’eau n’est pas directement alimentée avec le sol pendant l’irrigation, mais est pluvieuse par l’inventaire, une efficacité d’utilisation de l’eau relativement faible de 65 à 75% résulte d’une élection élevée et de pertes intercepatives. Il existe également une distribution d’eau inégale dans le vent et sur les bords des champs.
En plus des coûts d’investissement élevés, les magasins de pièces de rechange, les besoins énergétiques importants et les coûts d’exploitation, d’entretien et de renouvellement élevés nécessitent des investissements importants. De même, un certain degré de formation du personnel d’exploitation est nécessaire pour l’entretien et la réparation des systèmes d’irrigation.

Les procédures d’irrigation ont été initialement développées pour une irrigation supplémentaire dans la zone climatique humide. Aujourd’hui, 50 à 90% de la zone d’irrigation est irriguée dans ces régions.

Passer du processus de congestion pour irriguer la culture du blé de l’Arizona

En raison des nombreux avantages, la procédure se propage de plus en plus dans les zones semi-arides et est en troisième place, après l’irrigation pelvienne et sillon.

Examiner en utilisant les résolutions locales [ Modifier | Modifier le texte source ]]

La station de pompage ainsi que les lignes d’alimentation et de direction sont fermement installées aux emplacements. Les tuyaux d’approvisionnement sont souvent sous terre, le processus est donc particulièrement adapté aux cultures permanentes telles que les fruits, car la pose des tuyaux est associée à beaucoup d’efforts. Dans le sud de Vinschgau tyrolien, Waalwasser est également pluvieux sur les prairies et les pâturages (voir également les systèmes d’irrigation, de fossé d’irrigation et de tuyaux d’eau historiques).

Réduction à l’aide de systèmes résistants à l’emplacement partiel [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Les unités de pompage et les lignes d’alimentation sont installées en permanence dans les systèmes résistants aux sous-réponses, mais les lignes de pluie peuvent être déplacées de manière flexible dans l’existence. Cela comprend également des procédures telles que l’affection du district ou les systèmes dans lesquels une voiture de pluie est tirée par l’inventaire sur les cordes, ou une glissière de pluie sur le tuyau d’eau.

Examiner en utilisant des systèmes entièrement mobiles [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Avec ces systèmes, la station de pompage et les lignes d’alimentation peuvent également être utilisées de manière flexible.

Irrigation souterraine [ Modifier | Modifier le texte source ]]

La procédure d’irrigation sous-fluide est utilisée avec un soulagement de niveau pour modérer. Les plantes sont irriguées par la montée capillaire des eaux souterraines. Un enrichissement de l’eau sous la surface du sol peut être nécessaire. Cela peut être fait en élevant le miroir des eaux souterraines ou les lignes de lignes installées, qui sont poreuses ou avec des fentes.

L’avantage de cette procédure est que l’irrigation souterraine évite l’évaporation de l’eau. Aucun pays n’est perdu en raison de systèmes de distributeurs souterrains et la charge de travail pour l’irrigation est relativement faible.

Étant donné que l’eau ne s’infiltre pas loin, mais s’élève d’en bas, les pertes d’évaporation peuvent être évitées, mais pas la salinisation du dernier étage. L’enrichissement du sel dans le sol rend souvent le drainage nécessaire, car les sels sont libérés des couches plus profondes de la Terre avec l’eau montante et transportée à la surface.

L’irrigation sous terre ne convient pas aux cultures végétales à race plate. Les coûts de construction élevés pour les lignes souterraines représentent un autre inconvénient.

Irritation sous-marine en soulevant le niveau des eaux souterraines [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Le miroir des eaux souterraines est soulevé artificiellement et maintenu via des tranchées, de sorte que l’eau de la surface peut grimper le capillaire dans la salle des racines.

Irrigation sous-marine par les tuyaux [ Modifier | Modifier le texte source ]]

L’installation d’un système de tuyaux permet l’alimentation en nutriments et une dose plus précise de l’eau qu’avec une augmentation des eaux souterraines. Les tuyaux doivent être bien protégés contre l’expédition et sont si profonds que le traitement des sols (par exemple les râteaux) n’est pas entravé. De plus, les pertes d’eau sont plus faibles en raison de l’évaporation.

Irrigation des inondations de reflux [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Une forme spéciale d’irrigation sous le sol est l’irrigation contre les inondations de reflux dans un bronzage végétal. À cette fin, un substrat (balle) est inondé à intervalles et le niveau de l’eau est à nouveau abaissé. Ce type d’irrigation est principalement utilisé dans l’hydroponie et l’hydroculture. Voir aussi Système d’inondation #EBB Lift (Device).

Microphobe [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Seule une petite partie du sol est irriguée dans les procédures de micro-irrigation. Contrairement à la pluie / gicleurs, seule une très petite quantité d’eau est appliquée.
L’avantage est que vous pouvez arroser des surfaces inégales avec.

Irrigation [ Modifier | Modifier le texte source ]]

L’irrigation baisse est la plus économique de toutes les procédures d’irrigation, car seules de petites quantités d’eau sont appliquées pour cela.
L’eau est alimentée directement à la zone racinaire de la plante par le tuyau ou les pipelines supérieur ou souterrain et par les soi-disant gouttes installés sur les plantes. De petites quantités d’eau des gouttes, exactement en fonction de la nécessité de la plante, sont données en continu. En raison de l’humidification ciblée de la zone étroite autour de la plante ou de la salle des racines, aucune eau ne peut s’infiltrer ou s’évaporer dans le reste du sol.

De plus, vous pouvez mélanger l’engrais et les pesticides pour l’eau. L’irrigation ciblée et la fertilisation peuvent également être automatisées. Cela conduit à son tour à moins de besoins de travail et à un contrôle plus précis dans l’irrigation. Un grand avantage de la procédure est la faible énergie et les coûts d’exploitation.

Le fouet des minéraux du sol, les nutriments du sol, la pollution du sol par les pesticides et le sel sont considérablement réduits. La libération contrôlée de l’eau et des engrais évite la promotion de la croissance des mauvaises herbes.

L’efficacité d’irrigation en baisse est très élevée et est d’environ 80 à 95% d’efficacité active. Ainsi, l’irrigation goutte à goutte est le processus avec l’efficacité de l’utilisation de l’eau la plus élevée et les effets secondaires les moins nocifs.

En ce qui concerne les inconvénients, des exigences élevées sont imposées à la propreté de l’eau utilisée afin d’éviter la constipation sur les petites ouvertures goutte à goutte.
Ceci est généralement possible grâce au nettoyage des filtres. En raison de la faible pression de fonctionnement des tuyaux d’irrigation, la zone doit être aussi horizontale que possible. De plus, il est nécessaire de personnel formé et de coûts d’investissement élevés, en particulier pour les cultures à distance de rangs proches.

La baisse des gouttes a été particulièrement développée en Israël et devrait principalement servir d’irrigation dans les zones arides. Aujourd’hui, il trouve également plus répandu dans des zones modérées. En raison de leurs inconvénients, l’irrigation goutte à goutte est principalement utilisée pour des cultures rentables et pluriannuelles telles que les vignes, les olives ou les arbres fruitiers ainsi que les plantes de houblon.

Irrigation de goutte à goutte au-dessus [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Les vignobles du Wachau ont irrigué à l’aide de lignes de dégoulillage. Une faible puissance de terre et des sols avec une faible capacité de stockage d’eau entraînent rapidement un stress hydrique et donc à un impact négatif sur le développement global des vignes

Le système d’irrigation goutte à goutte ci-dessus est toujours divisé en trois zones: unité de commande, la ligne d’égouttement et les gouttelettes. La quantité d’eau est contrôlée manuellement ou automatiquement via un surfactant. Les excréments sont à la surface de l’irrigation dégoulinante. Les gouttes peuvent être très différentes, souvent un canal à long chemin ou une goutoutte de fiche est utilisé.

Irrigation goutte à goutte souterraine [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Dans l’irrigation goutte à goutte souterraine, l’eau est directement conduite à la zone racinaire de la plante. Les excréments ne sont pas à la surface du sol, mais sont posés sous terre. L’installation est donc plus complexe et les lignes ne peuvent pas être déplacées de manière si flexible si nécessaire.

Irrigation capillaire [ Modifier | Modifier le texte source ]]

L’irrigation capillaire est une irrigation des plantes écologiquement et économiquement sensible aux jardiniers, pépinières et sociétés de vente pour les plantes en pot. Il ne nécessite pas d’eau de pression ni d’électricité électrique. Il utilise les capillaires des fibres préférées et / ou des tapis ainsi que les différentes humidité de l’eau pour sucer l’eau, les récipients, les canaux ou les tuyaux de l’eau inférieure et pour apporter de l’eau dans la zone racinaire des plantes.
L’humidité optimale du substrat peut être ajustée en ajustant la hauteur de la mèche et de la mèche.

Procédure spéciale pour l’irrigation (eau de pluie, rosée) [ Modifier | Modifier le texte source ]]

De plus, des méthodes spéciales telles que l’irrigation avec la corde à arroser sur les plantes pour être arrosée [d’abord] ) [2] Ou l’eau d’un Tautsee).

S’appuyant sur les processus de culture traditionnels, le désert du Néguev par Michael Melari Irritation de l’eau obstinée développé. Diverses procédures ont été développées ici pour fournir des champs avec l’eau de drainage. Chacun d’eux est adapté aux formes de terrain spéciales, aux conditions climatiques et aux cultures:

  • Le système de terrasse a déjà été utilisé dans l’antiquité. Plusieurs murs en terrasse en pierre ont été construits horizontalement sur un ouest. Lorsqu’il pleut, l’eau remplit un champ de terrasse à une hauteur donnée. L’excès d’eau dépasse un débordement aux champs ci-dessous. Les champs ont une zone comprise entre 0,1 et 2 hectares, tandis que la gaine d’eau produisant l’eau de drainage est de 10 à 100 fois plus grande.
  • Le système limnien attrape l’eau en cours d’exécution dans un champ d’environ 0,5 hectare. Ceci est créé dans un niveau de plaine inondable, une dépression peu profonde ou le wadi d’un affluent et mural par plusieurs côtés. Bien que les murs soient parfois formés à partir de la Terre, ils sont beaucoup plus fermes que ceux des “micro-captures”.
  • Les micro-actualités sont de petites zones qui ne fournissent qu’un seul arbre ou quelques cultures. Au point le plus bas de chaque unité, une fosse plus grande est créée, qui recueille l’eau de drainage pour la plante. Les micro-accessoires mesurent moins de 0,1 hectares et sont créés en terrain relativement plat sur lequel l’eau ne fonctionne pas d’une certaine manière. Ils sont souvent créés en série.
  • Le système Hill Channel est le développement ultérieur du bâtiment Terrace. Des canaux étroits construits en terre et des pierres conduisent l’eau coulant des collines aux champs. De cette façon, peu d’eau est perdue en s’infiltrant ou en se recueillant dans les éviers de la gaine d’eau. Les canaux de ligne se déroulent en diagonale le long des collines et collectent parfois également l’eau des collines voisines, ce qui ne contribuerait pas à fournir les champs.
  • Le système de dérivation est utilisé pour dériver de l’eau d’un grand ouest sur les champs en terrasses des niveaux adjacents. À cette fin, un barrage est créé dans l’oued, qui range l’eau et le distrait dans un canal, qui le fait à son tour dans les champs. Bien que la taille des champs correspond à celle des autres systèmes de terrasse, les zones de collecte sont considérablement plus grandes. Cela explique le flux élevé d’érosion, ce qui rend impossible la terrasse de l’oued lui-même.

Hugo Boyko a recherché l’irrigation des cultures avec de l’eau salée en Israël. [3]

Comparaison des procédures d’un point de vue technique
Irrigation de surface Irritation artificielle Micro irrigation
Coûts d’installation en USD (1996) 400 – 700 600 – 1200 700 – 1500
Charge de travail haut à bas (selon le système) moyen à bas faible
Efficacité de l’eau 40% – 50% 60% – 70% 80% – 90%
Sols appropriés Terre presque plate, pas trop sableuse ou cailloute Pays en hausse de niveau à moyen, pas trop limoneux Terre raide à plat, chaque structure du sol comme les sols pierreux / gravier

Un système d’irrigation compliqué des barrages et des canaux forme traditionnellement l’épine dorsale pour l’approvisionnement en eau et le drainage. Le choix de la technologie de l’irrigation en économie d’eau rend l’effort pour le système d’irrigation plus bas.

La sélection de la bonne procédure d’irrigation dépend de facteurs tels que la qualité du sol, l’offre d’eau, l’arrosage (exigence de l’eau), la topographie, les moyens techniques disponibles et le budget ainsi que les travailleurs existants et leurs compétences techniques. Ici, les techniques modernes de l’information et du contrôle ainsi que des modèles d’apprentissage (par exemple, les réseaux de neurones artificiels) entrent de plus en plus en jeu.

Dans les zones arides, l’incaction horizontale des eaux fluides est souvent encore considérée comme la condition préalable à l’irrigation permanente. Les méthodes plus simples d’irrigation de surface telles que l’irrigation en sillon sont particulièrement adaptées aux cultures plantées en rangées. Cela comprend le coton, les pommes de terre, les tomates et autres.

En plus de l’irrigation pelvienne, l’irrigation sous-marine et goutte à goutte convient également à un terrain plat. Dans le cas de pentes abruptes, un routage élaboré doit être effectué ou utilisé pour des méthodes telles que l’irrigation et la pincée. Cependant, ces procédures nécessitent une utilisation plus élevée de la technologie et provoquent les coûts correspondants. Une pente modérée favorise l’irrigation de la bande terrestre.

Le type de sol est un autre facteur de prise de décision important. L’utilisation de procédures d’irrigation de la bande terrestre et des poussières de sillon n’est pas rentable dans les sols de sable doux et d’argile en raison de leur perméabilité à haute eau. Les procédures Riesel fournissent de bons résultats sur ces sols. Si vous n’avez pas assez d’eau, il est difficile de réaliser l’irrigation avec les embouteillages et les procédures diesel.

Il existe également des différences entre les procédures individuelles concernant la charge de travail et le niveau technique de formation du personnel opérationnel. Les méthodes d’irrigation de surface sont très artisanales. Il n’y a guère la possibilité de mécaniser les systèmes, encore moins automatiser. C’est pourquoi les employés n’ont pas besoin de formation technique spéciale. Cependant, des connaissances et des compétences techniques approfondies sont nécessaires pour le fonctionnement et la maintenance des systèmes d’irrigation et d’irrigation à goutte à goutte.

Les méthodes d’irrigation de surface ne sont pas fondamentalement non rentables. Avec la manipulation moderne et l’utilisation de nouveaux développements, ces méthodes peuvent être très intéressantes, en particulier en ce qui concerne les carburants de plus en plus chers pour le fonctionnement de grands systèmes.

Comparaison des procédures d’un point de vue économique
Irrigation de surface Irrigation sous le sol Irrigation Irrigation goutte à goutte
Perte d’évaporation haut petite quantité haut petite quantité
Perte d’infiltration milieu haut petite quantité petite quantité
Efficacité d’utilisation de l’eau 40% – 50% 60% – 70% 80% – 90%
Risque de salaires petite quantité haut haut petite quantité
Risque de frais généraux milieu petite quantité haut milieu
Exemption de méthane et Non Non Non
Frais d’installation petite quantité bas à moyen haut haut
Sols appropriés Sols lourds, pas de pente étage supérieur conducteur sur une surface impopulaire, pas de pente Tous les étages, non à une légère pente Tous les étages, chaque dégradé
Types de culture possibles Durises-tolends, par exemple. B. riz Pour Pour Cultures principalement permanentes, par ex. B. vin, olives, fruits mais aussi légumes qui poussent

Exigences pour l’eau d’irrigation et le drainage [ Modifier | Modifier le texte source ]]

L’irrigation doit garantir que suffisamment d’eau douce est conduite sur la zone du sol. En particulier dans les zones arides dans lesquelles les précipitations sont inférieures à l’évaporation, pour éviter les salissures du sol doivent être irriguées au-delà des besoins de la plante et cette eau est dissipée ( lixiviation ). Dans le cas de la congélation en eau et des sols croissants, un drainage du sol peut donc être nécessaire pour éviter les ruines, dans lesquelles l’eau coule à nouveau via des systèmes de tuyaux souterrains. L’étendue de l’excès d’irrigation nécessaire dépend de la salinité de l’eau et du type de plante à arroser. Le na est particulièrement + -ST, la teneur en importance, qui, en plus de l’impact négatif sur les plantes, entraîne des dommages à la structure des grains du sol.

La qualité de l’eau d’irrigation doit répondre aux exigences des plantes à arroser et en revanche des normes minimales hygiéniques. Des directives internationales ont été publiées par la FAO de l’ONU à Rome.

L’eau des rivières, des lacs et des eaux souterraines peut être utilisée comme eau d’irrigation. Parfois, les eaux usées préparées ou les eaux de pluie sauvées sont également utilisées.

Une relaxation de l’eau de mer à des fins d’irrigation est souvent considérée comme non rentable. Néanmoins, la plupart de l’eau désalmée de semelles ou d’origine Amering est utilisée pour irriguer l’agriculture. [4] Aux États-Unis, en particulier, de grandes quantités d’eau pour l’irrigation sont éliminées. [5] Dans les zones individuelles de l’Europe, en particulier en Andalousie, l’eau de mer dessaleée est utilisée pour cultiver des légumes. [6] Dans les cas individuels, selon les tomates, la recherche peut être avantageuse avec l’eau, qui est mélangée à l’eau de mer dans une petite mesure. Cependant, il est également important de s’assurer que les sols ne sont pas trop salés. [7]

Dans les zones sèches, l’eau est parfois maintenue dans le barrage (barrage) pour l’approvisionnement en eau et la compensation entre les saisons sèches et humides avant qu’elle ne soit distribuée sur une largeur en partie. Cela se fait par le biais de systèmes d’irrigation tels que des tranchées aux systèmes d’irrigation et des systèmes ruisselaires.

Même dans de nombreuses régions de l’Europe, l’étendue de l’eau disponible est un facteur limité dans le développement de l’agriculture. Cela peut parfois conduire à des conflits entre les pays et les régions.

Exigences agricoles et problèmes qui en résultent [ Modifier | Modifier le texte source ]]

Les exigences agricoles de la construction du champ d’irrigation et les problèmes qui en résultent sont traités dans l’article de l’économie sur le terrain d’irrigation.

  • Institut allemand de normalisation (éd.): Irrigation, drainage: normes . Din Broché. 5e édition. Non. 187 . Beuth, Berlin / Vienne / Zurich 2007, ISBN 978-3-410-16461-6.
  • Association allemande pour la gestion de l’eau et le bâtiment de la culture DVWK (éd.): Gestion des ressources écologiquement solides dans l’irrigation . DVWK Bulletin. Non. 19 . Hennef 1993 ( dwa.de ).
  • E. W. Herrmann U. un.: Réduction. Pourquoi? Quand? Par lequel? Tlg it. P .. Pacpen est mon esprit sur mon 1977.
  • Susanne Neubert, Lena Horlemann: Recommandations pour la future orientation stratégique de l’EZ allemande dans le secteur de l’eau et de l’irrigation. Rapport final dans le cadre du projet de recherche et de conseil “Water and Poverty” – Conclusions pour la mise en œuvre du programme de campagne 2015 et des objectifs de développement du millénaire (= Document de disposition . Groupe 4/2005 ). Institut allemand de la politique de politique de développement, Bonn 2005, ISBN 3-88985-287-4 ( Die-gdi.de [PDF; 1000 kb ]).
  • Susanne Neubert, Waltina Scheumann, Annette van Edig: Gestion intégrée des ressources en eau (IWRM) . 1ère édition. Nomos, Baden-Baden 2005, ISBN 3-8329-1111-1.
  • Bruce Withers, Stanley Vipond: irrigation . Parey, Hambourg / Berlin 1978, ISBN 3-489-71510-1 (anglais: Irrigation – conception et pratique . Traduit par Kurt Lecher, New Edition 1993 à Blackwell-Kissensch.-Verlag Berlin).
  • Recommandations pour la planification, l’installation et le maintien des systèmes d’irrigation dans les zones de végétation. 2010, ISBN 978-3-940122-21-6. (Rédacteur régulier: Développement du paysage de la Société de recherche Landscaping E. V. (FLL))
  1. Max Brunke, Jannis Groh, Jan Vanderborght, Harry Vereece, Thomas Pütz: Tau – Une partie importante de l’équilibre hydrique d’un emplacement de prairies – une étude basée sur le lysimètre ( fichier PDF )); 18. Conférence Gumpensteiner Lysimètre 2019, 49 – 58; ISBN 978-3-902849-64-9
  2. Mallee-eukalyptus
  3. Tau en profondeur , à Spiegel.de, consulté le 14 février 2022
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  6. Lucian Haas: Économiser est cher! (Pas plus disponible en ligne.) Auparavant dans Original ; consulté le 19 juillet 2008 . @d’abord @ 2 Modèle: Dead Link / www.natur.de ( Page non plus disponible, recherchez dans Webarchien )
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