[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/isaraq-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/isaraq-wikipedia\/","headline":"Isaraq – Wikipedia","name":"Isaraq – Wikipedia","description":"before-content-x4 Carte des clans somaliens (1977) \ufeff Isaac Le Isaac (aussi Vigilant [d’abord] , Isaak, Ishaq [2] ou Banu Ishaq","datePublished":"2019-10-22","dateModified":"2019-10-22","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/13\/Somalia_tribes1977.jpg\/220px-Somalia_tribes1977.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/13\/Somalia_tribes1977.jpg\/220px-Somalia_tribes1977.jpg","height":"277","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/isaraq-wikipedia\/","wordCount":1543,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Carte des clans somaliens (1977) \ufeff Isaac Le Isaac (aussi Vigilant [d’abord] , Isaak, Ishaq [2] ou Banu Ishaq \u00c9crit) est l’une des cinq ou six grandes familles de clans du Somali. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Ils repr\u00e9sentent \u00e0 peu pr\u00e8s un cinqui\u00e8me de la population de la Somalie et vivent dans le nord de la Somalie (Somaliland) et dans la r\u00e9gion des Haud dans la r\u00e9gion somalienne \u00e9thiopienne adjacente. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Une illustration qu’une femme somalienne du clan Isaaq montre qui a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e dans l’atlas d’image en 1870 L’Isaaq m\u00e8ne \u00e0 un cheikh arabe Isaac Retour comme l’anc\u00eatre. Cela aurait v\u00e9cu au XIIe ou au 13\u00e8me si\u00e8cle [3] Et un descendant de \u02bfAl\u012b Ibn Ab\u012b T\u0101lib, un fils -in -Law de Mohammed. L’Isaaq revendique ainsi une descente du Corei. Ce d\u00e9fil\u00e9 de nobles anc\u00eatres arabes – qui peuvent \u00e9galement \u00eatre trouv\u00e9s dans le clan Darod – ne correspond pas directement \u00e0 la r\u00e9alit\u00e9 historique, mais il refl\u00e8te l’influence culturelle r\u00e9elle de l’Arabie et des immigrants arabes et en particulier l’importance de l’islam pour le Somali. [4] Le cheikh Isaaq est ador\u00e9 par l’Isaaq en tant que saint. Les traditions verbales et dans les descriptions arabes des saints mettent l’accent sur la cr\u00e9dibilit\u00e9 de sa ligne de filiation, ils d\u00e9crivent son arriv\u00e9e d’Arabie au sujet de la ville portuaire de Zeila et des voyages approfondis qu’il aurait entrepris dans le nord de la Somalie \/ Somaliland d’aujourd’hui et de l’\u00c9thiopie. En plus de sa tombe dans le port de Maydh (MAIT), visit\u00e9 par des p\u00e8lerins, de nombreux sanctuaires lui sont d\u00e9di\u00e9s. [4] [5] Les sous-clans individuels se consid\u00e8rent comme des descendants de l’un des huit fils de Sheikh Isaaq. Ils diff\u00e9rencient le Habar Koadle , l’isaaq avec sa premi\u00e8re \u00e9pouse du clan Magaadle, et le Habarand Cela aurait \u00e9merg\u00e9 de la connexion de l’Isaaq \u00e0 un \u00c9thiopien. [6] Au Habar Koadle appartenir \u00e0 la Garhajis (avec le Eidaga et Habar Yunis comme les Unterclans les plus importants), le Habar Awal et les petits clans du Emploi et arabe . Les quatre Habar Protected -Clans forment l’alliance Message la plus grande lign\u00e9e dont Abokor sont. (Le nom Message est de Ahmed , l’un des fils de Habuush, a d\u00e9riv\u00e9 le surnom Tol est a\u02bfele – “Qui aime ses anc\u00eatres” – re\u00e7us.) Il en r\u00e9sulte la structure de clan suivante (simplifi\u00e9e) de l’ISAAQ: [7] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Habar Koadle GarhajisEidigalla (‘Agalale, EIDS) Habar Yunis Habar Awal (Habr Awal)‘IIIIIIIIIIIIU (‘ Sus Muse, J\u00e9sus Muse) Samad Moses (Saith Muse, Sa’ad Muse) Eli Muse (que Mo\u00efse) Habarand (Habar Ja\u02bflo, Habar Tol Ja\u02bflo, Habar Toljaalo) Ahmed (Tol Ja\u02bflo) Mo\u00efse Mahammad (Ibra) Ibrahim, Sambur). \u00c0 un niveau sup\u00e9rieur, d’autres clans vous consid\u00e8rent comme l’isaaq comme faisant partie de la famille des clans, tandis que l’ISAAQ ne reconna\u00eet qu’une connexion \u00e0 la ligne de filiation maternelle. Ils ont peut-\u00eatre \u00e9t\u00e9 un clan partiel de vous, qui a commenc\u00e9 \u00e0 se consid\u00e9rer comme une famille de clan s\u00e9par\u00e9e avec un nombre croissant de nombres et a revendiqu\u00e9 une descente arabe ind\u00e9pendante. [8] \u00c0 la fin du XIXe si\u00e8cle, la r\u00e9gion de l’ISAAQ a \u00e9t\u00e9 largement colonis\u00e9e comme britannique-somaliland. Cela est devenu ind\u00e9pendant en 1960 et combin\u00e9 avec le Somaliland italien en Somalie domin\u00e9 par d’autres clans. Beaucoup Isaaq se sentait rapidement marginalis\u00e9s comme un clan et une r\u00e9gion dans la structure globale de la Somalie. Ils ont \u00e9t\u00e9 expos\u00e9s \u00e0 la r\u00e9pression en particulier sous la r\u00e8gle de Siad Barres depuis 1969. \u00c0 partir des ann\u00e9es 1980, le mouvement national somalien s’est battu contre le gouvernement de la barre en tant que mouvement rebelle de l’Isaaq en provenance d’\u00c9thiopie. En 1988, les arguments pour la guerre ouverte se sont intensifi\u00e9s, apr\u00e8s quoi des centaines de milliers d’Isaaq ont fui en \u00c9thiopie dans les camps de r\u00e9fugi\u00e9s de Hartisheik, Daror, Camaboker et Rabasso. Apr\u00e8s la chute de Barres, l’Isaaq en 1991 \u00e9tait en charge de la D\u00e9claration d’ind\u00e9pendance dans le nord de la Somalie en tant que Somaliland. Depuis En fait Le Somaliland ind\u00e9pendant, qui correspond \u00e0 l’ancien Somaliland britannique, Isaq constitue une majorit\u00e9 de 80% [9] La population \u00e0 c\u00f4t\u00e9 des clans voisins de vous et de Darod. Au Parlement du Somaliland, ils pr\u00e9sentent pr\u00e8s de 70% des d\u00e9put\u00e9s depuis les \u00e9lections l\u00e9gislatives de 2005. Bien – Isaaq connu sont u. Mohammed Haji Ibrahim (Premier ministre Somalias 1960 et 1967-1969 et pr\u00e9sident Somalilands 1993-2004) et Umar Arth Ghalib (ministre des Affaires \u00e9trang\u00e8res Somalias 1969\u20131977 et Premier ministre 1991). \u2191 Ioan M. Lewis: Comprendre la Somalie et le Somaliland. Culture, histoire et soci\u00e9t\u00e9. Hurst, Londres 2008, ISBN 978-1-85065-898-6. \u2191 John Markakis: Le Somalie en \u00c9thiopie. Dans: Examen de l’\u00e9conomie politique africaine. Vol. 23, No. 70, d\u00e9cembre 1996, ISSN 0305-6244 , S. 567\u2013570. \u2191 Ioan M. Lewis: Une d\u00e9mocratie pastorale. Une \u00e9tude du pastoralisme et de la politique parmi le nord du Somalie de la corne de l’Afrique. Publi\u00e9 pour l’International African Institute par l’Oxford University Press, Londres 1961 (Nachdruck: Lit U. A.: Classiques en anthropologie africaine , Hambourg u. un. 1999, ISBN 0-85255-280-7, S. 23f.) \u2191 un b Ioan M. Lewis: Sang et os. L’appel de la parent\u00e9 dans la soci\u00e9t\u00e9 somalienne. Red Sea Press, Lawrenceville, NJ 1994, ISBN 0-932415-93-8, S. 102\u2013104. \u2191 Lewis, D\u00e9mocratie pastorale S. 131. \u2191 Lewis, D\u00e9mocratie pastorale S. 155\u2013157. \u2191 Mark Bradbury: Devenir du Somaliland. Progressio, Londres 2008, ISBN 978-1-84701-310-1, p. 257; Pour une repr\u00e9sentation plus d\u00e9taill\u00e9e et plus complexe, voir Lewis, D\u00e9mocratie pastorale S. 157. \u2191 Lewis, D\u00e9mocratie pastorale , S. 142, 148. \u2191 Somaliland \u2013 Bienvenue au pays qui n’ existe pas! Dans: Geo (\u00e9dition fran\u00e7aise) n O 338, avril 2007. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/isaraq-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Isaraq – Wikipedia"}}]}]