[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/jazzgesang-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/jazzgesang-wikipedia\/","headline":"Jazzgesang – Wikipedia","name":"Jazzgesang – Wikipedia","description":"before-content-x4 Chanteurs de jazz transmet \u00e0 cet article. Pour d’autres significations, voir le chanteur de jazz. Jazzlasang D\u00e9crit l’interpr\u00e9tation du","datePublished":"2023-08-28","dateModified":"2023-08-28","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","height":"19","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/jazzgesang-wikipedia\/","wordCount":7233,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Chanteurs de jazz transmet \u00e0 cet article. Pour d’autres significations, voir le chanteur de jazz. Jazzlasang D\u00e9crit l’interpr\u00e9tation du jazz avec des moyens de chant et \u00e0 cet \u00e9gard aussi des formes d’expression sp\u00e9cifiques qui changent dans l’histoire du jazz. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Carlo Bohl\u00e4nder voit dans le jazz chanter “la d\u00e9claration musicale la plus naturelle du jazz et la branche la plus importante de la musique vocale afro-am\u00e9ricaine”. [d’abord] Il racine dans le spirituel, dans le blues, et quand il s’agit de se balancer, dans le rythme du ragtime. \u00abL’id\u00e9al de voix des voix jazz est diff\u00e9rent de celui de la musique europ\u00e9enne; Les deux sont aussi diff\u00e9rents que l’expression et la beaut\u00e9 de l’histoire de l’art \u00bb, a \u00e9crit le critique musical Joachim-Ernst Berendt en 1953 dans la premi\u00e8re \u00e9dition de son Livre de jazz . [2] Il note que les chanteurs (dans l’utilisation de la langue du jazz am\u00e9ricain) sont principalement appel\u00e9s “voyelines” afin de ne pas les mesurer selon les normes de la tradition europ\u00e9enne, et explique que la langue anglaise est particuli\u00e8rement associ\u00e9e au jazz, de la m\u00eame mani\u00e8re, comme l’Aria et l’italien. Les syllabes de la langue anglaise sont d’excellents moyens d’articulation et de syncopage. [3] Berendt le voit comme un “dilemme de la chanson de jazz” pour d\u00e9terminer quand un chant de jazz original commence. Le jazz a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 \u00e0 partir de la musique folklorique Sung. Beaucoup peut \u00eatre expliqu\u00e9 dans le ton du jazz par le fait que les joueurs du vent sur leurs instruments ont imit\u00e9 le son de la voix humaine. Cela devient particuli\u00e8rement clair avec le Grognement -Plasm Effets d’un bubber miley ou dans le jeu de clarinette de basse d’un Eric Dolphy. D’un autre c\u00f4t\u00e9, le jazz dans ses d\u00e9buts \u00e0 la Nouvelle-Orl\u00e9ans Jazz n’est qu’une musique instrumentale et est rest\u00e9 en grande partie, de sorte que ses normes et crit\u00e8res sont trouv\u00e9s \u00e0 partir d’instruments – \u00e9galement les normes du chant du jazz. [4] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le chanteur de jazz traite sa voix comme un instrument – comme une trompette, un trombone ou comme un saxophone; C’est pourquoi ces crit\u00e8res qui sont importants pour la musique europ\u00e9enne (Volks) ne sont pas pertinents pour les voix jazz, comme la puret\u00e9 de la voix ou la port\u00e9e de la voix, a not\u00e9 Berendt en 1976. [5] Certains des chanteurs de jazz les plus importants avaient des voix plus “laides”, comme Billie Holiday (1915-1959) ou Louis Armstrong (1901-1971), qui \u00e9tait \u00e9galement instrumentiste. Depuis la premi\u00e8re introduction de Creole Love Call en 1927 avec Adelaide Hall, qui a improvis\u00e9 la m\u00e9lodie principale avec sa voix, il a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 possible de chanter du texte sans jazz. Dans tous les sondages de jazz des ann\u00e9es 1950, Frank Sinatra (1915-1998), qui a commenc\u00e9 sa carri\u00e8re dans l’un des groupes de swing classiques, \u00e9tait dans l’orchestre de Tommy Dorsey. Selon la plupart des critiques, Sinatra n’est pas un chanteur de jazz, mais en raison de sa sensibilit\u00e9 et de sa musicalit\u00e9, les normes pour presque tous ceux qui l’ont venu apr\u00e8s lui. [6] “Crooner” comme Johnny Hartman ou Tony Bennett a \u00e9galement travaill\u00e9 avec des musiciens de jazz de premier plan tels que Bill Evans ou Coltrane et a donn\u00e9 des r\u00e9sultats significatifs, similaire \u00e0 la fa\u00e7on dont la chanteuse folk Joni Mitchell a fait plus tard dans sa coop\u00e9ration avec Jaco Pastorius, Wayne Shorter et d’autres musiciens de jazz. Une fonctionnalit\u00e9 de style comme SCAT n’est qu’une \u00e9tendue limit\u00e9e \u00e0 la d\u00e9finition de Jazzlasang ; L’un des chanteurs de jazz les plus importants, Sarah Vaughan (1924-1990), n’a gu\u00e8re utilis\u00e9 cet appareil stylistique, mais \u00e9tablit des normes en raison de leur flexibilit\u00e9 rythmique. [7] Selon Berendt, la plaque d’immatriculation pour distinguer les voix de jazz du chant de la musique populaire est l’improvisation: \u00abBien s\u00fbr, la chanson doit \u00eatre chant\u00e9e qu’elle reste reconnaissable en tant que telle. La chanteuse d\u00e9pend \u00e9galement des textes de leurs chansons. Mais il y a une improvisation dans un certain sens: elle r\u00e9side dans les descriptions, les \u00e9changes, les ajustements, les modifications de l’harmonisation, en phras\u00e9 sp\u00e9cial \u00bb, a \u00e9crit Berendt en 1973. [8] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Berendt a expliqu\u00e9 l’importance de l’improvisation en utilisant l’exemple du style des vacances de Billie: “Il r\u00e9side dans les descriptions, les \u00e9changes, les expositions, dans un phras\u00e9 sp\u00e9cial, dans un arsenal entier de possibilit\u00e9s qu’elle est le ma\u00eetre le plus important de cette branche”. [8] Utiliser les chansons enregistr\u00e9es par elle en 1935 avec Teddy Wilson Ce qu’un petit clair de lune peut faire Explique Berendt que dans le jazz, il est moins important pour le “quoi”, mais sur le “comment”. Berendt voit Billie Holiday \u00abau centre des voix de jazz; Ses enregistrements les plus importants avec Lester Young et les grands musiciens de la p\u00e9riode de swing sont les meilleurs exemples que ce soit Dilemme des lacunes du jazz Seul le chanteur inf\u00e9rieur se r\u00e9unit et que le – souvent paradoxal – surmonter cet art dilemme peut survenir \u00bb. [9] En dehors du Dilemmes des jeux de jazz Pour Berendt, le blues est une racine; D\u00e8s le d\u00e9but, les transitions entre les blues folkloriques, comme un domaine qui est toujours en dehors du jazz et du jazz \u00e9tait fluide. Il y avait un certain nombre de chanteurs qui \u00e9taient des chanteurs de blues assez authentiques, mais qui faisaient beaucoup plus partie du jazz plut\u00f4t que de la sph\u00e8re blues, comme Jimmy Rushing (1903-1972), chanteuse du groupe de base dans les ann\u00e9es 1930. Sa chanson th\u00e8me correspondait \u00e0 son approche: “Swingin\u00b4 The Blues”. Jimmy Witherspoon (1923\u20131997) ou Joe Williams (1918-1999) a poursuivi cette ligne. Big Joe Turner (1911-1985) est en lien entre le blues et le woogie Boogie, dans son champion successeur Jack Dupree ou Otis. Lorsque les Bleus sont venus dans les grandes villes du nord des \u00c9tats-Unis au cours de grands mouvements de migration, le grand moment du Bluesser, comme Ma Rainey (1886-1939) et Bessie Smith (1894-1937), qui ont principalement particip\u00e9 avant la premi\u00e8re guerre mondiale mondiale M\u00e9nestres \u00e9taient maintenant en route, maintenant trouv\u00e9 un public (aussi immigr\u00e9) dans les villes qui ont reconnu l’atmosph\u00e8re d’origine du Sud dans la chanson blues; Des chanteurs comme Bertha “Chippie” Hill, Victoria Spivey et Sippie Wallace portaient cette \u00e9poque jusqu’aux ann\u00e9es 1950 et 1960. Bessie Smith \u00e9tait consid\u00e9r\u00e9e comme la plus connue et la plus populaire parmi le Bluesser classique, le Imp\u00e9raire du blues ; Elle “\u00e9tait la plus grande de toutes”, Alberta Hunter a dit un jour: “Elle \u00e9tait assez sauvage et bruyante – mais il y avait aussi un cri, non, pas de cri, mais du chagrin dans ce qu’elle a fait. C’\u00e9tait comme s’il y avait quelque chose qui devait juste sortir d’elle \u00bb. [dix] \u00c0 la fin des ann\u00e9es 1920, les voix jazz sont pass\u00e9es du blues \u00e0 Chanson ; Ce d\u00e9veloppement avait ses racines dans la tradition de Tin Pan Alley et Vaudeville. Les chansons populaires venaient souvent de l’\u00e9glise dans la premi\u00e8re moiti\u00e9 du 19e si\u00e8cle; Avec la guerre civile am\u00e9ricaine, ces spirituels n\u00e8gres eux-m\u00eames ont inspir\u00e9 les chansons de mars. Avec l’industrialisation, l’invention du gramophone et d’autres aides de la musique reproductible est venue. \u00c0 la fin du 19e si\u00e8cle, la vie musicale de Ragtime America a domin\u00e9, Scott Joplin a vendu ses premi\u00e8res chansons en 1895. Les groupes militaires se sont transform\u00e9s en orchestre. Le divertissement musical est devenu une industrie importante. Au cours des deux premi\u00e8res d\u00e9cennies du 20e si\u00e8cle, cela a trouv\u00e9 un d\u00e9veloppement rapide: la premi\u00e8re com\u00e9die musicale (musicale) avec “Floradora” en novembre 1900 a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e. Boss Signification. [11] En 1911, Irving Berlin a \u00e9crit Alexander\u2019s Ragtime Band ; Bien qu’il ne soit pas un vrai chiffon, il a ouvert la porte \u00e0 l’acceptation du public de rythmes diff\u00e9rents de Waltz, Foxtrot ou Polka. Les spectacles de Florence Ziegfeld comme Showboat 1927 et le premier film sonore Le chanteur de jazz dans la m\u00eame ann\u00e9e. Avec le succ\u00e8s du swing au d\u00e9but des ann\u00e9es 1930, des opportunit\u00e9s inattendues pour les artistes africains -Americains ont \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9es jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent. Ethel Waters (1896-1977) a \u00e9t\u00e9 l’un des chanteurs noirs les plus performants de cette \u00e9poque.En 1933, elle a \u00e9t\u00e9 la premi\u00e8re Black a racont\u00e9 sa propre \u00e9mission de radio et est apparue dans le Cotton Club Temps orageux; En 1938, elle s’est produite \u00e0 New York Carnegie Hall, l’ann\u00e9e prochaine, elle a \u00e9t\u00e9 la premi\u00e8re artiste noire \u00e0 chanter dans une \u00e9mission de t\u00e9l\u00e9vision. Son chant \u00e9tait l’inspiration et le mod\u00e8le pour d’innombrables talents blancs et noirs – tels que Billie Holiday, Ella Fitzgerald, Bing Crosby, Mildrey Bailey, Connee Boswell ou Maxine Sullivan. [douzi\u00e8me] Waters est maintenant consid\u00e9r\u00e9 comme une figure de transition du blues au chant jazz; Votre premier r\u00e9pertoire de blues comme Down Home Blues (1921), Dinah (1925), Souvenirs de toi (1930) ou Temps orageux (1933) \u00e9tait entrecoup\u00e9 d’\u00e9l\u00e9ments de jazz. Mais m\u00eame s’ils sont leurs textes grogner , vous pouvez comprendre chaque mot. Jimmy McPartland l’a vue dans la com\u00e9die musicale Miss Calico En 1927, et a dit plus tard \u00e0 Nat Shapiro et Nat Hentoff: \u00abNous avons \u00e9t\u00e9 fascin\u00e9s par elle. Nous avons aussi beaucoup aim\u00e9 Smith, mais Waters avait plus de brillance; Elle a formul\u00e9 si merveilleusement, la qualit\u00e9 naturelle de sa voix \u00e9tait si belle \u00bb. [13] En 1933, le leader du groupe blanc Benny Goodman a enregistr\u00e9 avec Billie Holiday. En 1944, Norman Granz a organis\u00e9 son premier concert dans la Philharmonie \u00e0 Los Angeles, dans lequel u. Le chanteur Nat King Cole est apparu; Cela a c\u00e9d\u00e9 la place au programme JATP Tour extr\u00eamement r\u00e9ussi, dans lequel il n’y avait plus de fronti\u00e8res raciales. [14] Apr\u00e8s la fin de la guerre, Ella Fitzgeralds a \u00e9t\u00e9 l’un des Top actes \u00e0 Jatp ; Plus tard, Granz est devenu son producteur. Ella Fitzgerald d\u00e9veloppe le chant SCAT que Louis Armstrong avait introduit dans des dimensions inattendues auparavant; d. c’est-\u00e0-dire que la voix \u00e9tait vraiment utilis\u00e9e sur un pied d’\u00e9galit\u00e9 \u00e0 c\u00f4t\u00e9 de l’instrument. [15] In addition to Ethel Waters, other artists popularized the jazz singing: Lena Horne (1917\u20132010), Maxine Sullivan (1911\u20131987), who sang, Mildred Bailey (1904\u20131951) in Claude Thornhills Orchestra, who first followed the band of her husband Red Norvo (191-198 1), who worked with Lester Young and Buck Clayton, then oriented himself towards the rhythm and blues, as well as Ivie Anderson (1905\u20131949), who sang in the Duke Ellington Orchestra. Le r\u00e9pertoire que ces chanteurs offraient \u00e9taient les chansons populaires des grands livres de chansons am\u00e9ricains, des m\u00e9lodies qui ont \u00e9crit les Big Tin-Pan-Ale-compositeurs tels que Cole Porter, Jerome Kern, Irving Berlin et George Gershwin, tout \u00e0 fait dans le domaine de la musique populaire des r\u00e9visions musicales, du film sonore et de la m\u00e9thode du sons jazz. Une “note de bas de page” au reste du genre chantant, a \u00e9crit Friedwald dans son livre Voix swingantes Les groupes vocaux des ann\u00e9es 30 et 40 sont rest\u00e9s. Les lignes traditionnelles de la voix vocale polyphonique ont vot\u00e9 le jazz moins que les syst\u00e8mes harmonieux de la musique europ\u00e9enne; “Ils n’ont jamais repr\u00e9sent\u00e9 une alternative s\u00e9rieuse au chant en solo ou au groupe instrumental.” [16] Les exceptions \u00e9taient les quelques groupes vocaux influenc\u00e9s par le jazz, donc certains enregistrements du Rythmes Avec Bing Crosby et ses partenaires Harry Barris et Al Rinker, comme leur titre “Changes” (Victor 1927) ou “Rhythm King” (Columbia 1928), puis l’ensemble vocal compil\u00e9 par Ed Kirkeby autour du chanteur Smith Ballew Eddie Lloyd et ses gar\u00e7ons chantants Avec les California Ramblers en tant que groupe d’accompagnement, a remport\u00e9 plusieurs titres du Trio de Crosby. Don Redman et Benny Carter ont form\u00e9 un duo vocal \u00e0 court terme pour avoir enregistr\u00e9 la pi\u00e8ce “Six ou Seven Times” (Okeh, 1928). Sur les traces de la tradition, qui sont particuli\u00e8rement importantes par Crosby Rythmes Les s\u0153urs de Boswell sont principalement venues dans la chanteuse Connee Boswell avec ses s\u0153urs Martha et Vet (en fait Helvetia), qui a commenc\u00e9 leur carri\u00e8re \u00e0 la Nouvelle-Orl\u00e9ans en 1925. Un autre groupe que Mills Brothers avait l’approche pour imiter un orchestre entier avec leurs diff\u00e9rentes voix. Les groupes fonctionnaient de la m\u00eame mani\u00e8re comme \u00e7a Esprits de rythme Avec Leo Watson et le guitariste Teddy Bunn (“My Old Man”, 1933 sur Brunswick) et la formation Les chats et le violon \u00e0 la minuscule grume. Tandis que dans le Boswells Sisters et le Mills Brothers Les arrangements \u00e9taient au premier plan, dans les derniers groupes, un poids plus fort sur l’improvisation ainsi que sur les r\u00e9f\u00e9rences de l’\u00e9vangile et du blues ont \u00e9t\u00e9 d\u00e9pos\u00e9es pour entendre \u00e0 “Shoutin” dans le coin amen “de la Esprits (1933) Oder dans \u00abJe pr\u00e9f\u00e8re boire de l’eau boueuse\u00bb der Chats . Ce dernier a \u00e9galement r\u00e9alis\u00e9 l’id\u00e9e de quatre votes comme un ensemble de saxophone ( Gangbusters ). Friedwald “Killing Jive”, “public Jitterbug No. 1 “et” Quand je suis devenu trop vieux pour r\u00eaver “, qui ont tous \u00e9t\u00e9 enregistr\u00e9s pour Bluebird en 1939. [17] Ces groupes ont travaill\u00e9 en grande partie ind\u00e9pendamment de l’entreprise swing \u00e0 l’\u00e9poque, m\u00eame s’il y avait des projets conjoints occasionnels, tels que les s\u0153urs Boswell avec le Victor Young Orchestra ou les Mills Brothers avec l’Orchestre de Don Redman. Une autre exp\u00e9rience a fait de Jimmie Lunceford lorsqu’il a recrut\u00e9 des groupes vocaux dans les rangs des membres de son groupe et utilis\u00e9 dans des titres tels que “Chillun\u00b4 Get Up” (1934), “Unsophisticated Sue” (1934) ou “Cheatin\u00b4on Me” (1939). Le Mel-Tones Pour Mel Torm\u00e9, les stars invit\u00e9es de l’Artie Shaw Orchestra (1946, Musicraft) \u00e9taient dans ses enregistrements les plus importants. En 1947, le saxophoniste et chef du groupe Charlie Ventura a exp\u00e9riment\u00e9 le groupe polyphonique chantant par Bop pour le peuple -Band fond\u00e9 et int\u00e9gr\u00e9 les voix de Jackie Cain et Roy Kral dans le contexte d’un petit groupe de jazz (“Euphoria”, 1947 et “Lullaby in Rhythm”, 1949). Il n’a pas fait entrer les chanteurs au centre, mais ses solistes comme Bennie Green ou Conte Candoli. [18] Dans les ann\u00e9es 40 et cinquante, les voix de jazz d’une part repr\u00e9sentaient des interpr\u00e8tes de chansons qui s’adaptaient aux styles de leurs ensembles d’accompagnement: dans la tradition Billie Holidays, la jeune Sarah Vaughan a chant\u00e9 \u00e0 Earl Hines, Billy Eckstine et est venu de l’environnement de Bebop-Emereuern, comme Charlie Parker et Dizzy Gillspie, Mar. Y-Herman Band, et June Christy (1926-1990), qui a chant\u00e9 dans le groupe de Stan Kenton, ainsi qu’\u00e0 Anita O\u2019Day (* 1919). D’autres chanteurs blancs sont \u00e9galement entr\u00e9s dans cette ligne traditionnelle, comme Peggy Lee, Carol Sloane, Chris Connor, Helen Merrill; Les autres chanteurs importants de cette \u00e9poque \u00e9taient Shirley Horn, Carmen McRae, Dakota Staton et Dinah Washington. D’un autre c\u00f4t\u00e9, les Scaters \u00e9taient importants: Ella Fitzgerald (1917-1996) a d\u00e9j\u00e0 jou\u00e9 un r\u00f4le sp\u00e9cial \u00e0 cette \u00e9poque; qui avait d\u00e9j\u00e0 repris le Chick Webbs Orchestra (nominal) dans la p\u00e9riode de swing et \u00e9tait principalement apparu comme soliste apr\u00e8s la guerre. Elle \u00aba \u00e9largi son scat de swing avec une fabuleuse s\u00e9curit\u00e9 d’intonation et de la vitalit\u00e9 jusqu’\u00e0 ce qu’elle correspond au BOP ( Bob Scat ). ” [19] Parmi les chanteurs masculins de cette \u00e9poque, presque seulement ceux-ci se trouvaient dans la zone jazz qui sont principalement des instrumentistes, [20] Comme Jack Teagard (1905-1964) et Louis Armstrong. La plupart des autres qui ont commenc\u00e9 quelque part dans le jazz ou \u00e0 proximit\u00e9 sont pass\u00e9s \u00e0 la zone commerciale, comme Bing Crosby, Frankie Laine, Perry Como, Matt Dennis ou Mel Torm\u00e9, qui a toujours fluctu\u00e9 entre les deux \u00e9l\u00e9ments ou les connect\u00e9s; Il est consid\u00e9r\u00e9 comme un ma\u00eetre des chansons du American Songbooks avec des titres comme Je te verrai . Nat King Cole \u00e9tait un excellent chanteur de jazz tant qu’il \u00e9tait pianiste; N\u00e9anmoins, m\u00eame avec ses enregistrements commerciaux ult\u00e9rieurs pour Capitol Records, l’expression du jazz \u00e9tait toujours perceptible; Il a influenc\u00e9 plus tard les navetteurs crois\u00e9s entre soul et jazz comme Ray Charles et Stevie Wonder. Avec le BEBOP \u00e9mergent de Parker \/ Gillespie, la chanson blues de Billy Eckstine (1914-1993) est li\u00e9e; De m\u00eame, Babs Gonzales, Eddie Jefferson, King Pleasure, Joe Carroll, Bob Dorough ou Gillespie lui-m\u00eame. D’autres chanteurs dans cette direction \u00e9taient Earl Coleman et Jackie Paris (1926-2004), qui a exp\u00e9riment\u00e9 Charles Mingus au d\u00e9but des ann\u00e9es 1950 et a chevauch\u00e9 le concept vocal du bebop dans le cool Jazz. Sheila Jordan (* 1928) est \u00e9galement venue de Bebop, dont la premi\u00e8re \u0153uvre \u00e9tait des textes sur les titres de Parker. Lambert, Hendricks et Ross ont ensuite travaill\u00e9 avec leur technologie vocale d’une mani\u00e8re similaire \u00e0 Sang Soli du Basie Band ( Chanter une chanson de Basie ). Les \u00e9l\u00e9ments vocaux mixtes de Kirby Stone Four Metting avec swing et rock & roll. Le principal repr\u00e9sentant de The Cool \u00e9tait le trompettiste extr\u00eamement r\u00e9ussi et “Saint-chanteur” [21] Chet Baker avec des chansons comme Je me souviens de vous , Ma dr\u00f4le de Valentine ou Stella de Starlight a domin\u00e9 les sondages. Aretha Franklin et Betty Carter, ainsi que Al Jarreau, ont continu\u00e9 avec diff\u00e9rents moyens dans les ann\u00e9es 1970 et 1980. Dans le jazz libre, il n’y avait “plus de stars vocales”; L’orientation vers le chant du blues et la conf\u00e9rence des chansons sont devenues obsol\u00e8tes. Les chansons se sont produites principalement sous la forme de citations; En revanche, la r\u00e9citation de po\u00e8mes et d’autres textes qui \u00e9taient initialement fr\u00e9quemment programmatiques ou religieuses sont devenues importantes. \u00abIci, le chanteur est un musicien entre autres; Sa voix n’est rien d’autre qu’un instrument qui est utilis\u00e9 de la m\u00eame mani\u00e8re que les autres instruments. \u00bbIl y a des extensions \u00e9tendues de l’expression vocale possible: Abbey Lincoln a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 commencer \u00e0 crier et \u00e0 gronder (sur Nous insistent! La libert\u00e9 maintenant ). Sheila Jordan a d\u00e9velopp\u00e9 des phrasers extr\u00eames et des augmentations de la Bop scat ; Jeanne Lee a trait\u00e9 en d\u00e9tail l’articulation des bruits et le son et la percussivit\u00e9 des mots; Jay Clayton a apport\u00e9 des exp\u00e9riences qui avaient \u00e9t\u00e9 d\u00e9velopp\u00e9es dans la nouvelle musique de John Cage \u00e0 Steve Reich. Leon Thomas a utilis\u00e9 un “Yodel m\u00e9lodique, que les Pygm\u00e9es africaines ont laiss\u00e9 de c\u00f4t\u00e9”. Don Cherry et Alice Coltrane ont apport\u00e9 des techniques de chant indien. [22] Lauren Newton (* 1953), qui a travaill\u00e9 avec Mathias R\u00fceggs Vienne Art Orchestra, est venue pour la premi\u00e8re fois de la nouvelle musique, mais aussi le Jazz Fr\u00e9d\u00e9ric Fr\u00e9d\u00e9ric Rabolds, qui a eu l’id\u00e9e “d’int\u00e9grer les sons vocaux dans un concept musical sans r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 un texte” [23] Les chanteurs Maggie Nichols (* 1948) et Julie Tippetts ou le chanteur Phil Minton (* 1940) sont \u00e9galement influenc\u00e9s par le mouvement de jazz libre. L’autodidacteur Urszula Dudziak (* 1943) a \u00e9t\u00e9 initialement influenc\u00e9 par les apparitions jazz de Krzysztof Komeda et le Jazz Fusion avant d’\u00eatre ali\u00e9n\u00e9 et r\u00e9sonne dans son jeu avec des appareils \u00e9lectroniques. Elle a \u00e9t\u00e9 l’une des premi\u00e8res chanteurs qui s’\u00e9tait produite sans musicienne qui l’accompagne depuis 1982. Sainkho Namtchylak a d\u00e9plac\u00e9 le chant de l’Overtone dans sa musique d’improvisation depuis 1988. En utilisant l’exemple de la chanteuse br\u00e9silienne Flora Pourim, Berendt a expliqu\u00e9 son principe de style:\u00abLes nouveaux chanteurs ont la dimension du Voix comme instrument \u00c9tendu aux zones qui semblaient inimaginables il y a quelques ann\u00e9es. Pour eux, \u00abchanter\u00bb ne veut pas dire \u00abchanter\u00bb, mais aussi tous les autres: crier, rire et pleurer; g\u00e9missant l’exp\u00e9rience sexuelle ainsi que des bavardages enfantins; Le corps entier, de l’abdomen aux zones du sinus frontal et du plafond du cr\u00e2ne, devient un instrument, devient un pathog\u00e8ne sonore vibrant, devient le \u00abcorps\u00bb du son. [24] Sheila Jordan a \u00e9t\u00e9 la premi\u00e8re \u00e0 chant\u00e9 , Les sons avaient produit, avec un “grandiose satirique” (Berendt) Tu es mon soleil qu’elle a enregistr\u00e9 avec le Sextet George-Russel. Plus tard, Bobby McFerrin – Beyond Free Jazz – a d\u00e9velopp\u00e9 la technologie des sauts de registre extr\u00eamement propres et plus rapides. [25] D’autres chanteurs de ces derniers temps tels que Karin Krog (* 1937), Norma Winstone (* 1941), Dee Dee Bridgewater (* 1950), qui est devenu connu au d\u00e9but des ann\u00e9es 1970, Thad Jones \/ Mel Lewis Orchestra, Cassandra Wilson (* 1955) ou Erika Stucky (* 1969) ont de nouveau \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9 dans les lignes traditionnelles de la chanson Or the Stucky. L’\u00e9tudiante de Tristano, Carla White, a initialement provoqu\u00e9 une augmentation int\u00e9ressante de l’intensit\u00e9 gr\u00e2ce \u00e0 un scat permanent: “En chantant, la m\u00eame libert\u00e9 que les instrumentistes improvis\u00e9s, elle a pu s’efforcer constamment pendant des heures, et c’\u00e9tait tellement convaincant que Carla White \u00e9tait peut-\u00eatre le plus grand talent SCAT parmi les chanteurs de sa g\u00e9n\u00e9ration.” Avec son talent dramatique dans l’interpr\u00e9tation du texte. [26] Dianne Reeves m\u00e9lange des voix de jazz et de rythme et de blues, chante un style accrocheur de provisation et appara\u00eet principalement en direct et avec des orchestres symphoniques. Les femmes, comme les Galas de la chanteuse Diamanda, qui, entre autres, Avec Peter Kowald et John Zorn ( Le grand gundown ) A fonctionn\u00e9: \u00abCe qui est juste l’utilisation compl\u00e8te du corps qui am\u00e8ne les \u00e9motions et elle-m\u00eame dans une certaine mesure exhibitionnel “, A \u00e9crit le coordinateur de Wdr Bigband Annette Hauber sur le sujet Femmes dans le jazz 1988, \u00abUn certain inconfort pour les hommes et sont dans le Tiroir exototique expuls\u00e9. ” [27] D’un autre c\u00f4t\u00e9, il y a maintenant un certain nombre de jeunes chanteurs qui ont les fronti\u00e8res entre le jazz , Populaire et supprimer la tradition europ\u00e9enne (folk); tel que B. Les chanteurs scandinaves Lena Willemark et Mari Boine sur leurs productions ECM ou Viktoria Tolstoy, qui travaillaient initialement avec Nils Landgren. D’une part, Sidsel Endrez peut se connecter aux traditions de la chanson scandinave, mais d’autre part, comme leur coll\u00e8gue polonaise Marek Ba\u0142ata, les r\u00e9alisations de l’improvisation vocale gratuite. La portugaise Maria Jo\u00e3o int\u00e8gre divers styles tels que la musique du monde, le jazz moderne, mais surtout la musique latino-am\u00e9ricaine et br\u00e9silienne ainsi que l’avant-garde. Dans les ann\u00e9es 1980, Kip Hanrahan a agi de la m\u00eame mani\u00e8re avec ses ambitieuses projets de fusion entre le jazz latin, le chant de discours, la po\u00e9sie underground et la pop, dans laquelle il a travaill\u00e9 avec des voyelles aussi diff\u00e9rentes telles que Ismael Reed, Dihnne Abbott, Bobby Womack, Jack Bruce et le chanteur de Blues Taj Mahal. Le plus r\u00e9ussi de ces visites frontali\u00e8res a \u00e9t\u00e9 jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent Norah Jones et Diana Krall. Ici encore, “Dilemma of Jazz Singing” de Berendt entre. Ivy Anderson: \u00c7a ne veut rien dire (si ce n’est pas ce swing) (1932) [28] Louis Armstrong: Quand il est endormi dans le sud (1931) Chet Baker: Ma dr\u00f4le de Valentine (1954) June Christy: Quelque chose de cool (1953) Rosemary Clooney: Dame sophistiqu\u00e9e (1956) Nat King Cole: Trop merveilleux pour les mots (1947) Chris Connor: Tout sur Ronnie (1954), O\u00f9 les flamants volent (1961) Billy Eckstine: Clair de lune au Vermont (1960) Ella Fitzgerald: Oh, dame, soyez bon! , Quelle est la hauteur de la lune (1947), Mack le couteau (1960) Billie Holiday Mit Benny Goodman: Je souhaitais sur la lune (1935), Ce qu’un petit clair de lune peut faire (1935) Billie Holiday: Fruits \u00e9tranges (1939), N’expliquez pas (1945) Helen Humes: Poussi\u00e8re d’\u00e9toiles. Je l’ai mal et ce n’est pas bon (1960) \/ Peggy Lee: Je vais aller p\u00eacher (1960) Lambert, Hendricks & Ross: Je suis d’humeur amoureuse (1955) Carmen McRae: Hier. Light Trav’lin (1961) Anita O\u2019Day Mit Roy Eldridge: Laissez-moi au large de la ville (1941) Jimmy Rushing: Chaque jour, j’ai le blues (1955) Joya Sherrill: Je commence \u00e0 voir la lumi\u00e8re (1942) Bessie Smith: Blues de la maison de travail (1924); Blues d’eau noire (1927) Sarah Vaughan: berceuse de Birdland (1954), Envoyer des clowns (1973) Dinah Washington: Tu vas \u00e0 ma t\u00eate (1954), Quelle difficult\u00e9 un jour fait (1959) Ethel Waters: Dinah (1925), Suis-je bleu? (1929), Temps orageux (1933) Louis Armstrong et Ella Fitzgerald: Ella et Louis (1957) [29] Chet Baker: Gettons-nous: le meilleur de Chet Baker chante (1953\u20131956) Dee Dee Bridgewater: Amour et paix: un hommage \u00e0 Horace Silver (1994) Betty Carter: Le public avec Betty Carter (1979) June Christy: Quelque chose de cool (1953\u20131955); La brumeuse Miss Christy (1955-1956) Nat King Cole: The Vocal Classics 1942\u20131946. Apr\u00e8s minuit (1956) Billy Eckstine: Tout ce que j’ai est le v\u00f4tre (1947-1957) Ella Fitzgerald: Pure elle (1950\/54) Billie Holiday: The Quintessential Billie Holiday 1936-1937 Bilie Holiday: Musique pour faire un torchage (1956) Sheila Jordan: Portrait de Sheila (1962) Karin Krog et John Surman: Bluesand (1999) Lambert, Hendricks et Ross: Le nouveau groupe le plus chaud du jazz (1959) (d’abord comme Lambert, Hendricks et Ross ) Jeanne Lee & Ran Blake: Le plus r\u00e9cent son autour (1961) Bobby McFerrin: La voix (1984) Carmen McRae: Carmen McRae chante l’homme amoureux et autres classiques de vacances Billie (1961) Helen Merrill: Helen Merrill avec Clifford Brown et Gil Evans (1954-1956) King Pleasage: Le plaisir du roi chante (1952-1954) Flora Pourim Mit Chick Corea: L\u00e9ger comme une plume (1973) Jimmy Rushing: Berceuses pr\u00e9cipit\u00e9es (1958\/59) Mel Torm\u00e9: Mel Torm\u00e9 balance Shubert Alley (1960) Sarah Vaughan: Sarah Vaughan avec Clifford Brown (1954) Sarah Vaughan: Swinging Easy (1954\/57) Dinah Washington: Confitures de dinah (1954) Cassandra Wilson: Ciels bleus (1988) Norma Winstone: Quelque part appel\u00e9 \u00e0 la maison (1986) Andree Asriel: Le jazz. 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