[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/langues-et-dialectes-en-alsace-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/langues-et-dialectes-en-alsace-wikipedia\/","headline":"Langues et dialectes en Alsace – Wikipedia","name":"Langues et dialectes en Alsace – Wikipedia","description":"before-content-x4 La zone de distribution traditionnelle de West Oberdeutscher (= Alemannic) Caract\u00e9ristiques du dialecte aux XIXe et 20e si\u00e8cles. L’Alsace","datePublished":"2019-12-09","dateModified":"2019-12-09","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/8\/85\/Alemannic-Dialects-Map-German.svg\/220px-Alemannic-Dialects-Map-German.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/8\/85\/Alemannic-Dialects-Map-German.svg\/220px-Alemannic-Dialects-Map-German.svg.png","height":"157","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/langues-et-dialectes-en-alsace-wikipedia\/","wordCount":3932,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 La zone de distribution traditionnelle de West Oberdeutscher (= Alemannic) Caract\u00e9ristiques du dialecte aux XIXe et 20e si\u00e8cles. L’Alsace r\u00e9side dans sa partie nord-ouest. Groupes de dialectes romanes et germaniques traditionnels dans la r\u00e9gion d’Alsace Sous le Langues et dialectes en Alsace Tombez les langues et dialectes traditionnels et nouvelles qui sont ou ont \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9s en Alsace. Les langues standard traditionnelles sont fran\u00e7aises et allemandes. La majorit\u00e9 des dialectes traditionnels sont l’un des dialectes allemands \u00e9lev\u00e9s, ces dialectes allemands en Alsace sont r\u00e9sum\u00e9s sous le terme alsacien. Les dialectes romans existent \u00e9galement sur le bord ouest et sud-ouest de l’Alsace (T) d’aujourd’hui (voir l’article Dialectes romanes en Alsace ). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les idiomes utilis\u00e9s en Alsace sont traditionnellement fa\u00e7onn\u00e9s par leur situation g\u00e9ographique et politique g\u00e9ographique et politique entre la langue germanique et roman et le dialogue. En raison de l’immigration moderne associ\u00e9e au boom mondial depuis les ann\u00e9es 1950, les langues et les dialectes des immigrants ont \u00e9t\u00e9 ajout\u00e9s depuis plusieurs d\u00e9cennies. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Celui depuis environ 600 avant JC La Colombie-Britannique dans le celtique \u00e0 base d’Alsace a \u00e9t\u00e9 compl\u00e9t\u00e9e ou remplac\u00e9e par le latin pendant la p\u00e9riode romaine (environ 60 avant JC \u00e0 environ 400 apr\u00e8s JC). Des dialectes germaniques ont \u00e9t\u00e9 ajout\u00e9s avec la migration et l’Alsace est devenu une r\u00e9gion \u00e0 pr\u00e9dominance allemande. Au d\u00e9but de la p\u00e9riode moderne, les Fran\u00e7ais ont acquis une influence, qui \u00e9tait d’une part en raison de la r\u00e9putation du fran\u00e7ais et d’autre part \u00e9tait justifi\u00e9 dans la conqu\u00eate politique de la partie pr\u00e9dominante de l’Alsace par la France au XVIIe si\u00e8cle. En cons\u00e9quence, l’Alsace est devenue le th\u00e9\u00e2tre de mesures de politique linguistique restrictive r\u00e9p\u00e9t\u00e9es qui, selon l’appartenance politique, sont sorties de France ou de l’Empire allemand. Marksteine \u200b\u200bde ce d\u00e9veloppement est la phase de la R\u00e9volution fran\u00e7aise (1789-1815), appartenant \u00e0 l’Empire allemand (1871\u20131914) et \u00e0 l’Empire national-socialiste allemand (1940-1944) ainsi qu’\u00e0 la r\u00e9int\u00e9gration d’Alsace \u00e0 la France apr\u00e8s la premi\u00e8re et deuxi\u00e8me guerre mondiale (1918 ff. Et 1945 ff.). Aujourd’hui, l’Alsace se caract\u00e9rise par une diglosie partielle entre le fran\u00e7ais en tant que transport, officiel et \u00e9cole d’une part et dialectes allemands, qui tendent \u00e0 la normalisation (r\u00e9sum\u00e9 sous le terme alsacien) d’autre part. Dans le premier post-guerre, ce dernier a connu une forte \u00e9rosion ainsi que la baisse de la connaissance de l’allemand standard. Aujourd’hui, certaines formes d’utilisation partielle et volontaire des dialectes allemands ou de la langue standard allemande se sont quelque peu \u00e9tablies (le\u00e7ons scolaires, \u00e9crivains, th\u00e9\u00e2tre, m\u00e9dias, panneaux de signalisation, etc.). En raison du d\u00e9couplage de l’allemand standard comme langue de toit, il y a des tendances dans le domaine des dialectes allemands pour la normalisation et l’\u00e9tablissement de formes de dialecte en tant que formes \u00e9crites et standard (cf. Orthographe alsacienne ). Comparez: History of Alsace (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Le Fontaine de Janus , con\u00e7u par Tomi Ungerer en 1988 au 2000e anniversaire de Strasbourg, la “double culture” de la ville alsacienne devrait illustrer \u00c0 l’\u00e2ge du fer, ils ont parl\u00e9 dans l’Alsace d’aujourd’hui et bien au-del\u00e0 des tables de c\u00e2bles continentales qui vivent dans des toponymes. Depuis le 1er si\u00e8cle av. Depuis la migration de la migration, les dialectes germaniques se sont propag\u00e9s en Alsace, qui ont \u00e9t\u00e9 parl\u00e9s presque dans la r\u00e9gion au Moyen \u00c2ge. Ces dialectes alemanniques et franconiens sont maintenant r\u00e9sum\u00e9s sous le terme “alsacien” (moins souvent “allemand alsacien”). Les plus courants sont les dialectes alemanniques, principalement le rhin sup\u00e9rieur tempornique, dans le sud, \u00e9galement \u00e9lev\u00e9 Alemannique. Les dialectes appartiennent au sud du francone et \u00e0 ceux de la pointe nord-ouest du Rhin Franconian. Au d\u00e9but du Moyen \u00c2ge, cependant, l’ensemble de l’Alsace d’aujourd’hui n’\u00e9tait pas linguistiquement germanis\u00e9: les dialectes romans (patois) ou la langue fran\u00e7aise sont traditionnellement ancr\u00e9s dans certaines r\u00e9gions de la Vosges (Oberes Breuschtal, certaines parties de la Westertal, sur Ste.-Marie-Aards-Mines et Lapoutroie) et dans Western Sundgau (autour de Montreux) (Voir les dialectes romans dans l’Alsace et les emplacements des fronti\u00e8res du diap\u00e9rial alemannique) . Le territoire de Belfort d’aujourd’hui, qui faisait partie des Habsbourg ou Royal-French Sundgau jusqu’en 1648 et 1789 et n’a \u00e9t\u00e9 s\u00e9par\u00e9 du d\u00e9partement Haut-Rhin en 1871, est traditionnellement roman ou francophone. Les Fran\u00e7ais ont progressivement pris du poids entre les 16e et 20e si\u00e8cles. Ceci est principalement li\u00e9 \u00e0 l’histoire politique, mais aussi en partie avec la r\u00e9putation que le fran\u00e7ais jouissait dans la noblesse et la bourgeoisie haut de gamme, en particulier au d\u00e9but de la p\u00e9riode moderne. Depuis lors, l’application de la langue standard allemande en tant que langue de toit des dialectes allemands d\u00e9pend des circonstances politiques. Apr\u00e8s la conqu\u00eate des troupes fran\u00e7aises en 1639-1681, les Fran\u00e7ais sont venus en Alsace, par exemple, avec les responsables administratifs royaux et les immigrants et les concessionnaires du centre de la France. La population pr\u00e9dominante continue d’utiliser l’allemand ou leur dialecte germanique ou roman respectif. Le fran\u00e7ais s’est propag\u00e9 en Europe, et encore plus fortement en Alsace, en tant que langue administrative, commerciale et diplomatique au sein des \u00e9lites urbaines et rurales. Sinon, les dialectes allsaciens germaniques (et romans) et la langue allemande ont \u00e9t\u00e9 pr\u00e9serv\u00e9s; \u00c0 l’Universit\u00e9 de Strasbourg, par exemple, il \u00e9tait toujours enseign\u00e9 en allemand. Apr\u00e8s la R\u00e9volution fran\u00e7aise, la politique linguistique de l’\u00c9tat fran\u00e7ais a chang\u00e9, qui a maintenant propag\u00e9 l’unit\u00e9 linguistique pour la France. De plus, le fran\u00e7ais a trouv\u00e9 en particulier dans ces cercles qui sympathisait avec les id\u00e9es de la r\u00e9volution. Les dialectes allemands ou allemands faisaient d\u00e9sormais partie d’un d\u00e9veloppement du bilinguisme partiel. Les Fran\u00e7ais ont pr\u00e9valu dans les zones des Patois en raison de cours scolaires. Comme dans d’autres r\u00e9gions non r\u00e9prim\u00e9es de la France ou d’autres r\u00e9gions minoritaires d’autres pays europ\u00e9ens, la langue minoritaire, en particulier dans les \u00e9coles, a \u00e9t\u00e9 de plus en plus compl\u00e9t\u00e9e ou d\u00e9plac\u00e9e par la majorit\u00e9. Lors de l’appartenance \u00e0 l’Empire allemand (Reichsland Elsass-Lorraine, 1871\u20131918), la \u00abquestion linguistique\u00bb a \u00e9t\u00e9 initialement r\u00e9glement\u00e9e dans une loi de mars 1872 afin que l’allemand soit g\u00e9n\u00e9ralement d\u00e9termin\u00e9 comme une langue officielle. Dans les parties du pays avec une population \u00e0 pr\u00e9dominance fran\u00e7aise, les annonces publiques et promulgu\u00e9s une traduction fran\u00e7aise doivent \u00eatre jointes. Dans une autre loi de 1873, l’utilisation du fran\u00e7ais a \u00e9t\u00e9 approuv\u00e9e comme langue commerciale pour les unit\u00e9s administratives dans lesquelles le fran\u00e7ais a pr\u00e9valu en tout ou en partie. Dans une loi sur le syst\u00e8me d’enseignement de 1873, il a \u00e9t\u00e9 r\u00e9glement\u00e9 que dans les zones allemandes de la langue scolaire exclusive, tandis que dans les zones fran\u00e7aises, les le\u00e7ons devraient \u00eatre conserv\u00e9es exclusivement en fran\u00e7ais. Les communaut\u00e9s francophones et les familles d’Alsace-Lorraine ont cependant \u00e9t\u00e9 expos\u00e9es \u00e0 des tentatives de germanisation et d’assimilation, similaires aux r\u00e9gions polonais de Prusse. L’\u00e9cole fran\u00e7aise et la langue officielle ne sont rest\u00e9es que partiellement l\u00e0. La politique de la langue fran\u00e7aise entre 1918 et 1940 \u00e9tait strictement align\u00e9e sur la langue allemande ou le dialecte alsacien. La langue fran\u00e7aise a \u00e9t\u00e9 introduite comme un officiel contraignant et une langue scolaire. Seul le fran\u00e7ais a \u00e9t\u00e9 approuv\u00e9 \u00e0 l’\u00e9cole et \u00e0 l’administration, et parfois la punition \u00e9tait interdite de parler allemand ou dialecte. Depuis les \u00e9lections de novembre 1919 et d\u00e9but 2008, cependant, les candidats des trois D\u00e9partements de l’Alsace Lorraine Haut-Rhin, Bas-Rhin et Moselle ont \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9s \u00e0 diffuser des \u00e9crits de campagne \u00e9lectorale dans les deux langues, fran\u00e7ais et \u00e9ventuellement \u00e9galement allemand. [d’abord] Pendant l’occupation par l’Empire national-socialiste allemand entre 1940 et 1944, l’Alsace a de nouveau connu une augmentation de la politique linguistique restrictive. Cela a \u00e9t\u00e9 impitoyablement adapt\u00e9 \u00e0 l’id\u00e9ologie national-socialiste. La conversion des pr\u00e9noms fran\u00e7ais en allemand est certainement l’un des exemples les plus inoffensifs mais typiques. La politique du NSDAP et de l’administration civile qu’elle a domin\u00e9e (suppression de la population, politique de l’alphanisation, politique culturelle anti-francienne, recrutement au Wehrmacht, etc.), a promu l’Alsace en France et a conduit Michael Erbe \u00e0 annuler le c\u00f4t\u00e9 allemand de l’histoire alsacienne. Cette politique a \u00e9galement favoris\u00e9 la d\u00e9sint\u00e9gration de la langue standard allemande en Alsace: le d\u00e9sir de capturer la langue allemande (en plus du fran\u00e7ais) en tant que langue de l’allemand jusqu’en 1940, n’a pas trouv\u00e9 \u00e0 peine apr\u00e8s 1945 et n’avait aucune chance de reconnaissance sociale et politique pendant de nombreuses d\u00e9cennies. [2] Comparez: dialectes alsaciens et romans en Alsace \u00c9tiquetage bilingue d’une auberge \u00e0 Strasbourg Apr\u00e8s la Seconde Guerre mondiale, le fran\u00e7ais est devenu la circulation, la langue officielle et l’\u00e9cole. La connaissance des dialectes Autochthonen Alemannic ou franconiens (r\u00e9sum\u00e9es dans le concept de l’Alsatien) ou de l’allemand standard a depuis diminu\u00e9 fortement et principalement limit\u00e9 \u00e0 la g\u00e9n\u00e9ration plus ancienne et aux zones rurales. En principe, la politique linguistique fran\u00e7aise de la p\u00e9riode d’avant-guerre s’est poursuivie. Par exemple, les publicit\u00e9s de la mort en allemand ont \u00e9t\u00e9 interdites dans les journaux alsaciens jusqu’en 1992. Les g\u00e9n\u00e9rations plus anciennes communiquent parfois dans les dialectes alsaciens. Les jeunes g\u00e9n\u00e9rations, en particulier dans les grandes villes, utilisent principalement la langue fran\u00e7aise. Dans les \u00e9coles, l’allemand est principalement enseign\u00e9 comme langue \u00e9trang\u00e8re. Au milieu du 20e si\u00e8cle, environ 90% des r\u00e9sidents ont encore compris le dialecte et \/ ou l’allemand standard. Selon une \u00e9tude de 2001, 61% de la population d’Alsace se d\u00e9crivait toujours comme alsatienne. [3] [4] Parmi les jeunes, un seul quatri\u00e8me a d\u00e9clar\u00e9 qu’ils parlaient occasionnellement dans la langue r\u00e9gionale. Seulement environ cinq pour cent des d\u00e9butants de l’\u00e9cole avaient encore des comp\u00e9tences linguistiques correspondantes, car seulement 28,8% des parents ajoutent au moins un peu de la Satienne \u00e0 leurs enfants. Un d\u00e9grad\u00e9 de pays urbain est clair. La meilleure fa\u00e7on d’obtenir une langue dans le nord et le nord-ouest, dans les professions agricoles et celles qui ont beaucoup de transports en commun. Cet article ou section doit \u00eatre r\u00e9vis\u00e9. Plus de d\u00e9tails devraient \u00eatre donn\u00e9s sur la page de discussion. Veuillez aider \u00e0 l’am\u00e9liorer, puis supprimer ce marquage. Selon le Office pour la Langue et la Culture d\u2019Alsace – OLCA (Office pour la langue et la culture en Alsace) [4] Parlez 600 000 personnes “alsatien” (environ 34,6% de la population), en particulier dans les zones rurales, dans les villages et les petites villes. Les \u00e9crivains qui \u00e9crivent ou \u00e9crivent ou \u00e9crivent \u00e0 la fois le fran\u00e7ais et l’allemand et le dialecte standard sont entre autres Ren\u00e9 Schickele, Jean Egen, Auguste Wackenheim et Andr\u00e9 Weckmann. Sous la devise Une liaison fiehjohr fer unseri Depuis 2001, les groupes de th\u00e9\u00e2tre et de musique, po\u00e8te en dialecte, les clubs \u00e0 domicile et les infirmi\u00e8res linguistiques sont ensemble pour annoncer la pr\u00e9servation de l’Alsatien. Le Conseil r\u00e9gional subventionne \u00e9galement les cours de langue alsacienne. La France 3 Alsace envoie le programme d’actualit\u00e9s “autour” du lundi au vendredi, dans lequel seul Alsatien est parl\u00e9. Il y a un danger dans le folklorisation des dialectes, une tendance qui peut \u00e9galement \u00eatre observ\u00e9e dans les pays allemands. La disparition des dialectes allemands ou allemands est devenu le sujet de certains \u00e9crivains connus (Ren\u00e9 Schickele, Andr\u00e9 Weckmann, Hans Arp et autres). Une le\u00e7on bilingue a r\u00e9cemment demand\u00e9. Non seulement des initiatives priv\u00e9es sont impliqu\u00e9es, mais aussi de plus en plus l’administration qui veut maintenir le facteur \u00e9conomique du bilinguisme. Les \u00e9coles bilingues publiques ou les jardins d’enfants existent en Alsace depuis le d\u00e9but des ann\u00e9es 1990. Le nombre d’enfants visitant ces installations a augment\u00e9 en continu depuis lors. [5] Les \u00e9coles bilingues, dans lesquelles les le\u00e7ons sont partiellement conserv\u00e9es en allemand, ont \u00e9t\u00e9 visit\u00e9es par environ 7 000 \u00e9l\u00e8ves en 2000, en 2005 d’environ 15 000; En 2016, ce nombre est pass\u00e9 \u00e0 plus de 34 300. [6] Au cours de l’ann\u00e9e scolaire 2020\/21, 18,5% des \u00e9l\u00e8ves de l’\u00e9cole alsacienne et de l’\u00e9cole primaire ont fr\u00e9quent\u00e9 une \u00e9cole bilingue. [7] Cette proportion est plus faible dans les \u00e9coles secondaires, mais augmente \u00e9galement en continu. En Alsace, la proportion d’\u00e9l\u00e8ves qui ont au moins appris l’allemand en 2018 en tant que langue \u00e9trang\u00e8re \u00e9tait de 82,5%, ce qui est nettement plus \u00e9lev\u00e9 que la moyenne nationale de 16,5%. 98% de tous les \u00e9l\u00e8ves et des enfants d’\u00e2ge pr\u00e9scolaire apprennent l’allemand dans les \u00e9coles alsatiennes. [8] Les panneaux de signalisation sont souvent bilingues avec une version fran\u00e7aise et dialecte. La version dialecte n’est souvent pas une traduction du nom fran\u00e7ais, mais utilise le nom traditionnel. Pour les panneaux de signalisation bilingues, un financement peut \u00eatre demand\u00e9 \u00e0 Ocla (bureau pour la Langue & La Culture d\u2019Alsace). En plus du nom officiel, la version du dialecte se trouve \u00e9galement parfois sur certains signes locaux. Dans le d\u00e9bat politique sur la pr\u00e9servation de l’allemand, une pr\u00e9f\u00e9rence claire en faveur des dialectes et l’inconv\u00e9nient de l’allemand standard ont \u00e9t\u00e9 fix\u00e9s. Vous \u00eates donc moins orient\u00e9 vers la Suisse, o\u00f9 le dialecte et le langage standard associ\u00e9 existent c\u00f4te \u00e0 c\u00f4te (Diglosseie), mais plus sur des mod\u00e8les vocaux tels que le Luxembourg, o\u00f9 le dialecte est \u00e9valu\u00e9 plus haut par rapport au langage standard associ\u00e9 et est m\u00eame \u00e9tendu dans une langue \u00e9crite. Par exemple, \u00e0 Strasbourg dans le cadre de la documentation des noms de rue allemands sur les panneaux de signalisation, apr\u00e8s une longue discussion, ils n’ont pas opt\u00e9 pour l’allemand standard, mais pour le dialecte de Strasbourg. Le probl\u00e8me avec la note plus \u00e9lev\u00e9e des dialectes par rapport au langage standard associ\u00e9 est que les dialectes ont \u00e9galement des diff\u00e9rences r\u00e9gionales et socialement fortes en Alsace. Une survie des dialectes peut alors \u00e9galement d\u00e9pendre de la mesure dans laquelle une \u00abnorme\u00bb peut \u00eatre \u00e9tablie. Philipps voit un contraste entre les arguments r\u00e9gionaux et nationaux. Le premier serait moins d\u00e9savantag\u00e9 par la haute langue allemande, mais surtout une suppression des dialectes. Ce dernier, en revanche, d\u00e9finit que la politique de la langue fran\u00e7aise affecte non seulement les dialectes alsaciens, mais toutes les langues minoritaires en France. [9] Bernard Wittmann, co-fondateur de l’Alsatian Volks-Union, accuse la politique linguistique contr\u00f4l\u00e9e par Paris un \u00ablinguicide\u00bb planifi\u00e9. Non seulement la langue allemande, mais aussi les dialectes alsaciens doivent \u00eatre s\u00e9ch\u00e9es \u00e0 moyen terme (articles \u00e0 BZ Basel du 24 novembre 2018). En 2015, la r\u00e9gion d’Alsace de Paris a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 officiellement dissoute et int\u00e9gr\u00e9e dans la zone “Grand EST”, qui plus difficile \u00e0 lutter pour la pr\u00e9servation de l’identit\u00e9 r\u00e9gionale. Tri descendant apr\u00e8s l’ann\u00e9e de publication. Robert Greib, Fr\u00e9d\u00e9ric Hartweg, Jean-Michel Niedermeyer, Fran\u00e7ois Schaffner, avant-propos de Bernard Vogler, Langue et culture en Alsace: une histoire , Salde, 2016, ISBN 978-2-903850-40-1. Michael Erbe (\u00e9d.): L’Alsace. Paysage historique dans le changement dans les temps , 198 p., Ill., Kohlhammer, Stuttgart 2002, ISBN 3-17-015771-X. Johanna Maurer: Alsatien et fran\u00e7ais. La fonction de votre alternance dans le discours, En 2002. Fr\u00e9d\u00e9ric Hartweg: Les langues d’Alsace: la guerre froide ou r\u00e9concili\u00e9 ensemble? , dans: Ingo Kolboom et Bernd Rill (\u00e9d.): Francophonie – Dimensions nationales et internationales . Arguments et documents sur les \u00e9v\u00e9nements actuels 35, Munich 2002, ISBN 3-88795-249-9, Version en ligne comme fichier PDF , Aper\u00e7u concis et bref du langage et de l’histoire du dialecte d’Alsace, id\u00e9al pour introduire le sujet. Werner K\u00f6nig et Renate Schrambke: Les atrants vocaux de la zone Swabo-Amannic. BADEN-WURTTEMBERG, BAVARION-SWABIA, ALSACE, LIECHTENSTEIN, Suisse, Vorarlberg , B\u00fchl 1999. Fr\u00e9d\u00e9ric Hartweg: Evolution et Statut des Variantes Standard et Dialectales de l\u2019Alleman en Alsace , dans: Ammon \/ Hellinger (\u00e9d.): Changement de statut des langues , Berlin 1992, S. 371\u2013387. Lothar Wolf: Le fran\u00e7ais r\u00e9gional d’Alsace. \u00c9tude critique des alsacianismes , avec la collaboration de Paul Fischer, Paris 1983. Eug\u00e8ne Philipps: Fate Alsace. Crise d’une culture et d’une langue , Karlsruhe 1980, S. 122\u2013168 Atlas Linguistique et Ethnographique de l\u2019Alsace , Strasbourg 1969 ff. Ernest Beyer: A la limite des dialectes alsaciens et lorraines , in: L\u2019ouvrage de la Societ\u00e9 Savante d\u2019Alsace et des R\u00e9gions de l\u2019Est, 1957, S. 335\u2013383, 15 Karten. Georg Wolfram et Werner Gley: Atlas Alsace-Lorraine , Francfort a. M. 1931. 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Pour le concept de n\u00e9gation utilis\u00e9 par Michael Erbe, voir p. 178. \u2191 Examen ADN \/ ISERCO, publi\u00e9 dans le Derni\u00e8res Nouvelles d\u2019Alsace du 21 septembre 2001, article Erosion naturelle depuis Claude Keiflin \u2191 un b Bureau pour la Langue et la Culture d’Alsace – Olca (Office pour la langue et la culture en Alsace) , consult\u00e9 le 3 mars 2014 \u2191 ABCM Bilinguisme. Association pour le Bilinguisme en Classe d\u00e8s la Maternelle \u2191 http:\/\/www.alsace-lorraine.org\/blog\/2017-2\/126-zur-situation-des-dutschunterrichts-im-elsass.html \u2191 https:\/\/www.ac-strasbourg.fr\/delecleausukerieur\/cursus-biling-allemand\/ \u2191 https:\/\/www.ac-strasbourg.fr\/fileadmin\/public\/statistiques 2018_langues.pdf \u2191 Philipps 1980, S. 122\u2013168. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/langues-et-dialectes-en-alsace-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Langues et dialectes en Alsace – Wikipedia"}}]}]