[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/loi-dohmsche-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/loi-dohmsche-wikipedia\/","headline":"Loi d’Ohmsche – Wikipedia","name":"Loi d’Ohmsche – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le loi ohmet Dit: La r\u00e9sistance du courant \u00e9lectrique coulant par un objet est proportionnelle \u00e0 la tension \u00e9lectrique.","datePublished":"2018-02-01","dateModified":"2018-02-01","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/8\/82\/Ohm%27s_law_knopf.anim.2.opt.150px.gif","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/8\/82\/Ohm%27s_law_knopf.anim.2.opt.150px.gif","height":"137","width":"150"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/loi-dohmsche-wikipedia\/","wordCount":10678,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le loi ohmet Dit: La r\u00e9sistance du courant \u00e9lectrique coulant par un objet est proportionnelle \u00e0 la tension \u00e9lectrique. Ou vice versa: si la r\u00e9sistance \u00e9lectrique d\u00e9finie comme un quotient de la tension \u00e0 l’\u00e9lectricit\u00e9 est constante, c’est-\u00e0-dire quelle que soit la tension et le courant, la loi OHMSCH s’applique \u00e0 l’objet; L’objet en a alors un Le comportement d’Ohmsche . (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le nom de la loi rend hommage \u00e0 Georg Simon Ohm, qui a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 prouver ce lien pour certains leaders \u00e9lectriques simples. En fait, l’hypoth\u00e8se d’une r\u00e9sistance constante ne s’applique que dans un cadre \u00e9troit et uniquement pour certaines substances – en particulier pour les m\u00e9taux \u00e0 une temp\u00e9rature constante. La loi Ohmsches est aujourd’hui comme une d\u00e9finition de ohmsch r\u00e9sistance d\u00e9sign\u00e9e. C’est la base de la compr\u00e9hension de la connexion entre la r\u00e9sistance \u00e0 l’\u00e9lectricit\u00e9 et la tension dans les circuits \u00e9lectriques. Avec les propri\u00e9t\u00e9s de certains autres composants id\u00e9aux, il est \u00e0 la base de nombreux traitements th\u00e9oriques et math\u00e9matiques et pour des simulations de circuits. Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Description Vue locale Histoire litt\u00e9rature Liens web Individuellement Description Aide comm\u00e9morative pour les deux taux; Applicable aux trois orthographes de l’\u00e9quation suivante de la loi de l’Ohm avec l’acronyme URI: Horizontal: Multiplication, Vertical: Division (pause). D\u00e9rivation math\u00e9matique: UR\u22c5I= d’abord {displayStyle {frac {u} {rcdot i}} = 1} Le rapport d’une tension \u00e9lectrique sur un conducteur \u00e9lectrique (r\u00e9sistance) DANS {displaystyle u} \u00e0 la force (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4je {displayStyle i} Le courant \u00e9lectrique qui coule est d\u00e9fini comme la taille r\u00e9sistance \u00e9lectrique, [d’abord] Celui avec le signe de formule R {displaystyle r} mentionn\u00e9. Des moments doivent \u00eatre utilis\u00e9s en cas de tailles variables. [2] Le rapport ne doit pas \u00eatre une fonction temporelle. [3] La loi de l’Ohmsch consid\u00e8re la r\u00e9sistance comme l’une des DANS {displaystyle u} et je {displayStyle i} Constante ind\u00e9pendante et est une id\u00e9alisation. \u00c7a s’applique: R = UI= c O n s t . {displayStyle r = {frac {u} {i}} = mathrm {const.}} Un circuit \u00e9lectrique passif avec la proportionnalit\u00e9 entre la r\u00e9sistance \u00e0 l’\u00e9lectricit\u00e9 et la tension a un Le comportement d’Ohmsche et a une r\u00e9sistance \u00e9lectrique constante qui R\u00e9sistance ohmscher est appel\u00e9. M\u00eame avec un comportement non ohmschem, la taille est R\u00e9sistance comme rapport DANS \/ \/ je {Displaystyle u \/ i} d\u00e9fini, alors il y a une d\u00e9pendance de la r\u00e9sistance z. B. de la tension. Par exemple, une ampoule et une diode se comportent non lin\u00e9aire.Le terme r\u00e9sistance diff\u00e9rentielle peut \u00eatre utile pour la description d’un tel comportement, qui peut \u00eatre aid\u00e9 D DANS {displaystyle delta u} et le changement de courant de courant associ\u00e9 D je {displaystyle delta i} indiqu\u00e9. L’\u00e9quation associ\u00e9e peut \u00eatre affich\u00e9e en trois orthographes (par le biais de formations \u00e9quivalentes): R = UI\u21d4 DANS = R \u22c5 je \u21d4 je = UR{displayStyle r = {frac {u} {i}} quad leftrightarrow quad u = rcdot iquad leftrightarrow quad i = {frac {u} {r}}} Dans de nombreux cas, la d\u00e9finition de la taille est dans de nombreux cas R\u00e9sistance appel\u00e9 le quotient de la tension et de l’\u00e9lectricit\u00e9 comme la “loi ohmsches”, bien que seulement le Coh\u00e9rence de la r\u00e9sistance est le message central de la loi de l’Ohm. Vue locale En consid\u00e9ration locale, la loi Ohmsche est bas\u00e9e sur la connexion lin\u00e9aire entre le champ vecteur de densit\u00e9 d’\u00e9lectricit\u00e9 J\u2192{DisplayStyle {thing {j}}} (dans les composants J m {displaystyle j_ {m}} ) et le champ vecteur de r\u00e9sistance au champ \u00e9lectrique E\u2192{displayStyle {vec {e}}} (dans les composants ET m {displayStyle e_ {m}} ) avec le capteur de conductivit\u00e9 \u00e9lectrique un {displayStyle {boldsymbol {Sigma}}} (dans les composants un m n {displayStyle Sigma _ {mn}} ) d\u00e9crit comme un coefficient de transport: J\u2192= un E\u2192{DisplayStyle {thing {j}} = {bolmbol {sigma}}, {thing {e}}} , ou dans les composants J m= un mnET n , {displayStyle j_ {m} = Sigma _ {mn}, e_ {n},} Les indices m et n courir de 1 \u00e0 3 ( X , et et Avec ). Dans les mat\u00e9riaux isotropes, le tenseur peut un {displayStyle {boldsymbol {Sigma}}} \u00e0 travers un scalaire un {DisplayStyle Sigma} \u00eatre remplac\u00e9 et ce qui suit s’applique: J\u2192= un E\u2192{DisplayStyle {thing {j}} = sigma, {thing {e}}} Si le mouvement des \u00e9lectrons libres est vu dans un gaz id\u00e9al analogue au mouvement mol\u00e9culaire d\u00e9sorganis\u00e9, la constance de la conductivit\u00e9 \u00e9lectrique semble plausible: la densit\u00e9 de comptage n {displaystyle n} Les \u00e9lectrons sont alors constants dans l’\u00e9chelle. Pour la vitesse moyenne v\u00af{displayStyle {bar {v}}} Les \u00e9lectrons s’appliquent: v\u00af= dix , 6 \u22c5 dix 6ms{DisplayStyle {v} = 10 {,} 6cdot 10 ^ {6}, {frac {mathrm {mathrm {mathrm {mathrm {mathrm {mathrm {Mathrm {Mathrm {Mathrm {Mathrm {Mathrm {Mathrm { La distance moyenne l {displaystyle lambda} Entre deux pouss\u00e9es sur les ions dans le m\u00e9tal est dans un temps typique T s {displaystyle tau _ {s}} couvert: l = v\u00afT s{DisplayStyle lambda = {bar {et}}, tau _ {s}} Pendant ce temps, les \u00e9lectrons \u00e9prouvent une acc\u00e9l\u00e9ration un = eEme{displayStyle a = {frac {e, e} {m_ {mathrm {e}}}}} \u00e0 travers le champ \u00e9lectrique cr\u00e9\u00e9, par lequel C’est {displaystyle e} La charge \u00e9l\u00e9mentaire et m e{displayStyle m_ {mathrm {e}}} La masse \u00e9lectronique est. Les \u00e9lectrons atteignent donc une vitesse de d\u00e9rive dans d{displayStyle v_ {mathrm {d}}} avec dans d= un T s {displayStyle v_ {mathrm {d}} = atau _ _ _ _ . Si vous mettez cela dans l’\u00e9quation pour un {DisplayStyle Sigma} Premi\u00e8rement, c’est ainsi que vous obtenez: un = JE= nevdE= nea\u03c4sE= ne2\u03c4sme= ne2\u03bbmev\u00af{DisplayStyle Sigma = {frac {j} {}}}} = {{airm {it}}} = {frac {n}}}},}}, {{ Les tailles l {displaystyle lambda} et v\u00af{displayStyle {bar {v}}} D\u00e9pensez uniquement \u00e0 la distribution de vitesse dans le “nuage d’\u00e9lectrons”. Cependant, puisque la vitesse de d\u00e9rive est d’environ 10 tailles plus petite que la vitesse moyenne v\u00af{displayStyle {bar {v}}} , la distribution de vitesse ne change pas en cr\u00e9ant un champ \u00e9lectrique, et l {displaystyle lambda} et T s {displaystyle tau _ {s}} Et donc toute l’expression de un {DisplayStyle Sigma} sont constants. Histoire Georg Simon Ohm a recherch\u00e9 un contexte math\u00e9matique – une formule – pour calculer \u00abl’effet de l’\u00e9lectricit\u00e9 courante\u00bb (concept d’aujourd’hui: r\u00e9sistance \u00e0 l’\u00e9lectricit\u00e9) en fonction du mat\u00e9riau et des dimensions d’un fil. Il n’a pas accidentellement rencontr\u00e9 la loi nomm\u00e9e d’apr\u00e8s lui, mais a investi beaucoup de temps et beaucoup de travail cibl\u00e9. La loi sous forme qu’il a trouv\u00e9e sous forme je = DANS R {displayStyle i = {frac {u} {r}}} nous semble presque aussi banalit\u00e9: plus la tension \u00e9lectrique est grande DANS {displaystyle u} ou plus la r\u00e9sistance \u00e9lectrique est petite R {displaystyle r} est plus la force actuelle est grande je {displayStyle i} . Ces relations peuvent \u00eatre pr\u00e9sent\u00e9es tr\u00e8s facilement aujourd’hui avec des dispositifs de test qui sont pr\u00e9sents dans chaque \u00e9cole avec des tol\u00e9rances suffisamment faibles. En 1825, les ohms n’\u00e9taient pas disponibles pour de tels appareils. Les colonnes de Volta, les batteries des \u00e9l\u00e9ments Daniell et les batteries dits de creux (ce sont plusieurs \u00e9l\u00e9ments Daniell transform\u00e9s en s\u00e9rie) dans diff\u00e9rentes versions servaient de sources de tension \u00e0 l’\u00e9poque. Les dispositifs de mesure de la tension et de l’\u00e9lectricit\u00e9 de ce temps \u00e9taient plus adapt\u00e9s aux ohms comme dispositifs de preuve, mais pas comme des dispositifs de mesure suffisamment exacts afin d’obtenir des valeurs mesur\u00e9es pr\u00e9cises pour le d\u00e9veloppement d’une formule. Les r\u00e9alisations innovantes exp\u00e9rimentalement d’Ohm consistaient en des composants d’appareils intelligemment combin\u00e9s et les d\u00e9couvertes de plusieurs chercheurs contemporains. Il a ensuite analys\u00e9 math\u00e9matiquement les donn\u00e9es de mesure obtenues \u00e0 partir de celui-ci et a interpr\u00e9t\u00e9 son contexte physique. OHM initialement publi\u00e9 en 1825 dans le Annales de physique et de chimie un article, [4] Dans lequel il a d\u00e9crit un dispositif de mesure qu’il a d\u00e9velopp\u00e9, avec lequel il a atteint des mesures plus pr\u00e9cises que les autres chercheurs devant lui. Ohm a utilis\u00e9 l’effet magn\u00e9tique du courant \u00e9lectrique d\u00e9crit par Hans Christian \u00d8rsted en 1820 par Hans Christian \u00d8rsted [5] Et d’un autre c\u00f4t\u00e9, un dispositif tr\u00e8s sensible pour la mesure de la force: dans le dispositif de mesure de l’\u00e9chelle rotative coulombienne, il a remplac\u00e9 l’\u00e9chantillon d’essai par un petit aimant de tige, cette \u00e9chelle rotative a plac\u00e9 l’effet de puissance du flux sur les aimants. Il a effectu\u00e9 cette mesure avec divers fils, puis a recherch\u00e9 une connexion math\u00e9matique entre les fils et les forces. Le 1825 dans l’article Affichage pr\u00e9liminaire de la loi selon lequel les m\u00e9taux m\u00e8nent la t\u00e9l\u00e9lectricit\u00e9 de contact Cependant, les r\u00e9sultats de mesure publi\u00e9s ne pouvaient pas conduire \u00e0 une formule g\u00e9n\u00e9rale car – analys\u00e9e avec les termes d’aujourd’hui – les performances \u00e9lectriques de toutes les sources de tension utilis\u00e9es \u00e0 cette \u00e9poque fluctuent (y compris des bulles de gaz variables sur les plaques m\u00e9talliques). OHM a d\u00e9crit cet effet plusieurs fois: \u00abl’effet sur l’aiguille\u00bb change pendant les mesures individuelles et, entre autres, d\u00e9pend de l’ordre des mesures effectu\u00e9es. [6] N\u00e9anmoins, dans l’article publi\u00e9, il a finalement d\u00e9riv\u00e9 une formule de ses valeurs mesur\u00e9es, [7] qui reproduit les mesures sp\u00e9cifi\u00e9es. La publication d’Ohm dans le Annales de physique et de chimie a \u00e9t\u00e9 compl\u00e9t\u00e9 par une note de bas de page par le r\u00e9dacteur en chef du magazine. [8] Il indique la d\u00e9couverte du thermimentation par Thomas Johann Seebeck, sur le rapport de 1823 dans le rapport dans le annales a \u00e9t\u00e9 imprim\u00e9 [9] Et Ohm a aid\u00e9 sa perc\u00e9e exp\u00e9rimentale. Dans D\u00e9termination de la loi selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9cit\u00e9 de contact [dix] D\u00e9crit d’abord de mani\u00e8re critique Ohm 1826 la “agitation constante de la force” dans ses tentatives pr\u00e9c\u00e9dentes. [11] La description suit [douzi\u00e8me] une “\u00e9chelle rotative” qu’il a con\u00e7ue, [13] qu’il avait fait par un artisan (voir illustration). Le composant en forme de fer un , b , b \u2032 , un \u2032 {displaystyle a, b, b ‘, a’} Est un thermocouple fait d’un support de biscuit, sur les cuisses dont une bande de cuivre est fix\u00e9e. Une cuisse a \u00e9t\u00e9 chauff\u00e9e \u00e0 l’eau bouillante, l’autre refroidie avec de l’eau glac\u00e9e. (Les navires des bains de temp\u00e9rature ne sont pas montr\u00e9s.) Ohm a men\u00e9 ses exp\u00e9riences en janvier 1826. La diff\u00e9rence de temp\u00e9rature reproductible d’environ 100 \u00b0 C entre les cuisses du support cr\u00e9e une “force excitante” reproductible, [14] Les “vagues” non incontr\u00f4l\u00e9es car il n’y a pas de r\u00e9actions chimiques. Selon les d\u00e9finitions d’aujourd’hui, cette “force excitante” correspond \u00e0 une tension inactive d’environ 7,9 mV. Dans son livre de laboratoire [15] \u00c0 partir de 1825\/26, ohm a not\u00e9 que la loi le nomme dans la structure connue de nous. Cependant, il ne l’a jamais publi\u00e9 dans cette orthographe. Ohm mesure les forces agissant sur l’aiguille magn\u00e9tique lorsqu’il met fin aux extr\u00e9mit\u00e9s de diff\u00e9rentes longueurs dans les “tasses d’oeufs” remplies de mercure m {displaystyle m} et m \u2032 {displaystyle m ‘} plong\u00e9e. Il a d\u00e9velopp\u00e9 la formule \u00e0 partir des donn\u00e9es de mesure obtenues de cette mani\u00e8re X = un b+x{displayStyle x = {frac {a} {b + x}}} . Ici se tient X {displaystyle x} Pour le courant \u00e9lectrique, un {displaystyle a} Pour la “force passionnante”, b {displaystyle b} repr\u00e9sente la r\u00e9sistance \u00e0 la ligne de l’\u00e9chelle rotative (y compris la source de tension) et X {displaystyle x} pour la longueur de r\u00e9sistance des fils utilis\u00e9s. Dans un autre article de la m\u00eame ann\u00e9e [16] Umed ohm le terme “tension \u00e9lectrique” au lieu d’une “puissance excitante”. Avec l’aide du thermalit\u00e9, l’OHM a pu d\u00e9velopper exactement l’\u00e9quation que nous utilisons encore aujourd’hui pour la description des connexions dans un circuit: je = URi+Ra{displayStyle i = {frac {u} {r_ {mathrm {i}} + r_ {mathrm {a}}}}} ( R i{displayStyle r_ {mathrm {i}}} : R\u00e9sistance interne de la source de tension; R a{displayStyle r_ {mathrm {a}}} : R\u00e9sistance ext\u00e9rieure des composants connect\u00e9s \u00e0 la source de tension) Ohm a publi\u00e9 le livre en 1827 La cha\u00eene galvanique, \u00e9dit\u00e9 math\u00e9matiquement . [17] Aux premi\u00e8res pages de cette publication, il a postul\u00e9 que le courant \u00e9lectrique se comporte dans des corps fixes de mani\u00e8re analogue \u00e0 la conduction thermique (voir la loi de Fouersches). G\u00e9om\u00e9triquement argumentatif, il a initialement dirig\u00e9 les d\u00e9pendances de l’\u00e9lectricit\u00e9 sur la longueur du conducteur, \u00e0 partir de la section transversale du conducteur et du mat\u00e9riau de diff\u00e9rents conducteurs – qui a \u00e9t\u00e9 d\u00e9montr\u00e9 par ses mesures de 1826. Il a maintenant pris en compte pour Composants d’un circuit, y compris les conducteurs dont consiste le thermoco\u00e9l\u00e9ment de son \u00e9chelle rotative, et a ainsi pris la r\u00e9sistance int\u00e9rieure et ext\u00e9rieure d’un circuit \u00e0 la taille L {displaystyle l} ensemble. En cons\u00e9quence, il a donn\u00e9 \u00e0 sa d\u00e9couverte la structure math\u00e9matique que nous Loi ohmsches savoir: S = AL{displayStyle s = {frac {a} {l}}} ( S {DisplayStyle S} : “Taille du courant”, aujourd’hui je {displayStyle i} ; UN {displaystyle a} : “Somme de toutes les tensions”, aujourd’hui DANS {displaystyle u} ; L {displaystyle l} : R\u00e9sistance int\u00e9rieure + ext\u00e9rieure, aujourd’hui R {displaystyle r} ) [18] , aussi je = UR{displayStyle i = {frac {u} {r}}} Dans le texte suivant, ohm et a. Les connexions avec la s\u00e9rie et le circuit parall\u00e8le des \u00e9chelles – c’est-\u00e0-dire les r\u00e9sistances – \u00e9galement de mani\u00e8re concluante. Dans ses publications de 1826\/27, l’OHM – \u00e0 l’\u00e9poque \u00abuniquement\u00bb des enseignants de physique et de math\u00e9matiques – a expliqu\u00e9 les observations de nombreux scientifiques reconnus diff\u00e9remment qu’ils l’ont fait: ils ont soutenu leurs observations et consid\u00e9rations en formulant des mod\u00e8les et des th\u00e9ories pour la gestion de l’\u00e9lectricit\u00e9. L’OHM, en revanche, a fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 ses r\u00e9sultats de mesure et \u00e0 ses consid\u00e9rations g\u00e9om\u00e9triques. C’est peut-\u00eatre la raison pour laquelle l’importance de son travail n’a pas \u00e9t\u00e9 imm\u00e9diatement accept\u00e9e par la communaut\u00e9 scientifique: \u00abIl n’a \u00e9t\u00e9 d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment reconnu en Allemagne au cours des ann\u00e9es 1930; \u00c0 l’international, il n’a \u00e9t\u00e9 not\u00e9 qu’apr\u00e8s une d\u00e9couverte en 1837. \u00bb [19] litt\u00e9rature Liens web Individuellement \u2191 IEC 60050, voir DKE COMMISSION ALLEMANDE G\u00e9nie \u00e9lectrique Electronics Information Technology in Din and VDE: Dictionnaire \u00e9lectrotechnique international – iev. Entr\u00e9e 131\u201312\u201304 \u2191 En 80000-6, Tailles et unit\u00e9s – Partie 6: \u00e9lectromagn\u00e9tisme , 2008; Entr\u00e9e 6\u201346 \u2191 Dictionnaire DKE IEV Entr\u00e9e 131\u201312\u201302, note de bas de page N4. \u2191 Georg Simon Ohm: Affichage pr\u00e9liminaire de la loi selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9cit\u00e9 de contact selon ainsi que Addendum ult\u00e9rieur . Dans: J. C. Pogoornorff (Hrsg.) Annales de physique et de chimie. Berlin 1825, bande 80, S. 79\u201388. ( Pdf ) \u2191 Probablement le premier article sur la d\u00e9couverte de Hans Christian \u00d8rsted en allemand: Ludwig Wilhelm Gilbert: Une tentative magn\u00e9tique \u00e9lectrique du professeur Oers\u00e9. Dans: L. W. Gilbert (\u00e9d.): Annales de physique et de chimie. Leipzig 1823, volume 73, p. 278. ( Pdf ) \u2191 Georg Simon Ohm: Affichage pr\u00e9liminaire de la loi selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9cit\u00e9 de contact selon ainsi que Addendum ult\u00e9rieur . Dans: J. C. Pogoornorff (Hrsg.) Annales de physique et de chimie. Berlin 1825, volume 80, pp. 79\u201388 (en particulier p. 83 et 87). \u2191 Georg Simon Ohm: Affichage pr\u00e9liminaire de la loi selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9cit\u00e9 de contact selon ainsi que Addendum ult\u00e9rieur . Dans: J. C. Pogoornorff (Hrsg.) Annales de physique et de chimie. Berlin 1825, volume 80, pp. 79\u201388 (en particulier p. 84). \u2191 Georg Simon Ohm: Affichage pr\u00e9liminaire de la loi selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9cit\u00e9 de contact selon ainsi que Addendum ult\u00e9rieur . Dans: J. C. Pogoornorff (Hrsg.) Annales de physique et de chimie. Berlin 1825, volume 80, pp. 79\u201388 (en particulier p. 83, note de bas de page). \u2191 Ludwig Wilhelm Gilbert: Remarque des nouvelles tentatives magn\u00e9tiques \u00e9lectriques de M. Seebeck \u00e0 Berlin, allou\u00e9es par HRN Oersted. Dans: L. W. Gilbert (\u00e9d.): Annales de physique et de chimie. Leipzig 1823, volume 73, pp. 430\u2013432. (( Pdf ) \u2191 Georg Simon Ohm: D\u00e9termination de la loi, selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9civivation de contact, en plus d’un d\u00e9logage de la th\u00e9orie de l’appareil volta\u00efen et du multiplicateur de Schweigger. Dans: J. S. C. Schweigger (\u00e9d.): Journal pour la chimie et la physique. Hall 1826, volume 46, pp. 137\u2013166. (( Pdf ) \u2191 Georg Simon Ohm: D\u00e9termination de la loi, selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9civivation de contact, en plus d’un d\u00e9logage de la th\u00e9orie de l’appareil volta\u00efen et du multiplicateur de Schweigger. Dans: J. S. C. Schweigger (\u00e9d.): Journal pour la chimie et la physique. Hall 1826, volume 46, pp. 137\u2013166 (en particulier p. 139). \u2191 Georg Simon Ohm: D\u00e9termination de la loi, selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9civivation de contact, en plus d’un d\u00e9logage de la th\u00e9orie de l’appareil volta\u00efen et du multiplicateur de Schweigger. Dans: J. S. C. Schweigger (\u00e9d.): Journal pour la chimie et la physique. Hall 1826, volume 46, pp. 137\u2013166 (en particulier pp. 144\u2013149). \u2191 Georg Simon Ohm: D\u00e9termination de la loi, selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9civivation de contact, en plus d’un d\u00e9logage de la th\u00e9orie de l’appareil volta\u00efen et du multiplicateur de Schweigger. Dans: J. S. C. Schweigger (\u00e9d.): Journal pour la chimie et la physique. Hall 1826, volume 46, pp. 137\u2013166 (en particulier la planche 3, figure 1). (( Pdf ) \u2191 Georg Simon Ohm: D\u00e9termination de la loi, selon laquelle les m\u00e9taux m\u00e8nent le r\u00e9civivation de contact, en plus d’un d\u00e9logage de la th\u00e9orie de l’appareil volta\u00efen et du multiplicateur de Schweigger. Dans: J. S. C. Schweigger (\u00e9d.): Journal pour la chimie et la physique. Hall 1826, volume 46, pp. 137\u2013166 (en particulier p. 151). \u2191 Livre de laboratoire de Georg Simon Ohm \u00e0 partir de 1825\/26. Collection sp\u00e9ciale du mus\u00e9e allemand de Munich. \u2191 Georg Simon Ohm: Tentative d’une th\u00e9orie des ph\u00e9nom\u00e8nes \u00e9lectroscopiques produits par les forces galvaniques. Dans: J. C. Pogogorff (Hrsg.): Annales de physique et de chimie. Berlin 1826, volume 82, pp. 459\u2013469 (en particulier p. 459). (( Pdf ) \u2191 Georg Simon Ohm: La cha\u00eene galvanique, \u00e9dit\u00e9e math\u00e9matiquement. Berlin: Riemann 1827. Texte num\u00e9ris\u00e9 et complet dans les archives de texte allemand; Num\u00e9ris\u00e9 comme un PDF ; [R\u00e9impression de l’\u00e9dition, [Riemann], 1827] Saarbr\u00fccken 2006, ISBN 3-939962-03-1. \u2191 Georg Simon Ohm: La cha\u00eene galvanique, \u00e9dit\u00e9e math\u00e9matiquement. Berlin: Riemann 1827, S. 36. \u2191 J\u00f6rg mey u. A.: Le cinqui\u00e8me \u00e9l\u00e9ment. Effets et interpr\u00e9tations de l’\u00e9lectricit\u00e9. Reinbek pr\u00e8s de Hamburg 1987, ISBN 3-499-17726-9, p. 194. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/loi-dohmsche-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Loi d’Ohmsche – Wikipedia"}}]}]