[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/lugner-paradox-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/lugner-paradox-wikipedia\/","headline":"L\u00fcgner-Paradox – Wikipedia","name":"L\u00fcgner-Paradox – Wikipedia","description":"before-content-x4 Comme on le sait, le nez Pinocchios pousse exactement quand il ment. Mais que se passe-t-il quand il dit","datePublished":"2018-01-11","dateModified":"2018-01-11","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/14\/Pinocchio-Paradoxon.svg\/220px-Pinocchio-Paradoxon.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/14\/Pinocchio-Paradoxon.svg\/220px-Pinocchio-Paradoxon.svg.png","height":"356","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/lugner-paradox-wikipedia\/","wordCount":4737,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Comme on le sait, le nez Pinocchios pousse exactement quand il ment. Mais que se passe-t-il quand il dit “mon nez pousse en ce moment”? UN Paradoxe de L\u00fcgner Est un paradoxe de philosophie ou de logique qui survient lorsqu’une phrase revendique son propre mensonge (ou mensonge). Si la phrase est vraie, son auto-r\u00e9f\u00e9rence suit qu’il est faux et vice versa. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La forme la plus simple du paradoxe du menteur est la r\u00e9f\u00e9rence suivante: “Cette phrase est erron\u00e9e.” Le paradoxe de cette phrase est qu’il ne peut pas \u00eatre raisonnablement affirm\u00e9 qu’il est vrai ou faux. En supposant qu’il aurait tort: \u200b\u200balors ce que la phrase lui-m\u00eame pr\u00e9tend serait vraie, donc cela devrait \u00eatre vrai. Mais si nous supposons qu’il est vrai, ce que la phrase pr\u00e9tend ne s’applique pas – ce qui signifie qu’il est faux. [d’abord] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans la discussion philosophique, ce type de paradoxe est souvent comme Paradoxe s\u00e9mantique d\u00e9sign\u00e9. [2] Il est rendu possible par le fait que les conditions de v\u00e9rit\u00e9 d’une phrase sont sp\u00e9cifi\u00e9es dans ce soi (directement ou indirectement) – mais d’une mani\u00e8re qui, au moins apparemment, ne permet plus d’attribution sens\u00e9e de la v\u00e9rit\u00e9 ou du mensonge. Le nom “L\u00fcgner-Paradox” remonte au fait que le paradoxe peut \u00e9galement \u00eatre formul\u00e9 \u00e0 l’aide des mensonges, par ex. B. comme suit: “[Une personne pr\u00e9tend:] Je mens juste.” La personne qui pr\u00e9tend que cela pr\u00e9tend que sa d\u00e9claration est un mensonge, de sorte qu’elle ne correspond pas \u00e0 la v\u00e9rit\u00e9. Cependant, cela appara\u00eet finalement comme le m\u00eame paradoxe que ci-dessus. Dans le paradoxe de l’\u00e9pim\u00e9nide, la phrase “tous les cris est menteur” est utilis\u00e9 pour pr\u00e9senter le paradoxe. Cette phrase est revendiqu\u00e9e par les \u00e9pim\u00e9nides, qui est lui-m\u00eame un cr\u00eatre. Cependant, ce n’est pas un paradoxe au sens complet du terme, car de la n\u00e9gation de la phrase, c’est-\u00e0-dire de “certaines cr\u00e9tions ne sont pas des menteurs”, ne suit pas n\u00e9cessairement que les \u00e9pimensides racontent la v\u00e9rit\u00e9. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le m\u00e9canisme paradoxal des paradoxes de menteur classiques est comme \u00e7a dans d’autres paradoxes s\u00e9mantiques. Une variante qui pointe d\u00e9j\u00e0 plus clairement sur le probl\u00e8me de la logique est le paradoxe de Curry. Si les conditions de v\u00e9rit\u00e9 de la subjonction logique pour les \u00e9l\u00e9ments suivantes sont soumises \u00e0 ce qui suit, il peut \u00eatre reproduit, par exemple: “Si cette phrase est vraie, la lune est faite de fromage vert.” La valeur de v\u00e9rit\u00e9 ne peut pas \u00eatre “erron\u00e9e” qui n’est pas consciemment attribu\u00e9e \u00e0 cette phrase, car alors le premier plan du conditionnel serait erron\u00e9, ce qui rendrait l’ensemble conditionnellement vrai selon la compr\u00e9hension logique pr\u00e9sum\u00e9e. La valeur de v\u00e9rit\u00e9 “vrai” peut d\u00e9j\u00e0 \u00eatre attribu\u00e9e \u00e0 la phrase; Cependant, il faut supposer que la phrase suivante “la lune est faite de fromage vert” est \u00e9galement vraie – sinon la phrase avant du conditionnel serait vraie, mais la phrase suivante est erron\u00e9e, et toute la phrase est \u00e0 son tour erron\u00e9e. [3] Si cette phrase devait \u00eatre attribu\u00e9e \u00e0 une valeur de v\u00e9rit\u00e9, ce serait une “preuve” absurde pour la lune d’\u00eatre un fromage vert. La proposition de solution pour contrer le menteur par rejet de la logique \u00e0 deux valeurs est contr\u00e9e par des versions modifi\u00e9es du paradoxon du menteur. Le plus connu est que menteurs renforc\u00e9s : “Cette phrase n’est pas vraie.” Ce paradoxe reste m\u00eame s’il est autoris\u00e9 que les phrases paradoxales ne peuvent ni \u00eatre vraies ni erron\u00e9es (les “lacunes” de la valeur de la v\u00e9rit\u00e9). Cependant, il peut toujours \u00eatre \u00e9vit\u00e9 avec une logique \u00e0 trois valeurs qui consid\u00e8re la troisi\u00e8me valeur comme “\u00e0 la fois vraie et mauvaise” (si appel\u00e9e “Gluts”, par exemple repr\u00e9sent\u00e9e par Graham). Cependant, une variante du menteur renforc\u00e9 peut \u00eatre mentionn\u00e9e: “Cette phrase n’est pas seulement vraie.” Les paradoxes du type de menteur peuvent \u00e9galement \u00eatre cr\u00e9\u00e9s avec plusieurs phrases, par exemple avec les deux suivantes: “La phrase suivante est erron\u00e9e. La phrase pr\u00e9c\u00e9dente est vraie. ” Cette variante (propos\u00e9e par Philip Jourdain, \u00e9galement connue sous le nom Probl\u00e8me de carte ) \u00c9vite l’auto-r\u00e9f\u00e9rence imm\u00e9diate, mais fait toujours exactement le m\u00eame paradoxe que le menteur classique. Cependant, l’auto-r\u00e9f\u00e9rence indirecte est toujours donn\u00e9e car il existe un cercle de r\u00e9f\u00e9rences aux deux phrases (similaires aux variantes avec un plus grand nombre de phrases). Yablos Paradox sans auto-r\u00e9f\u00e9rentialit\u00e9 est sans auto-r\u00e9f\u00e9rentivit\u00e9. Il se compose d’une s\u00e9rie infinie de phrases, dont tout le monde pr\u00e9tend que toutes les phrases suivantes ne sont pas vraies. Ici aussi, aucune des phrases ne peut \u00eatre attribu\u00e9e \u00e0 une valeur de v\u00e9rit\u00e9 sans contradiction, car les conditions contradictoires devraient \u00eatre plac\u00e9es dans la s\u00e9rie de phrases ult\u00e9rieures. [4] Si ce paradoxe ne n\u00e9cessite pas d’auto-r\u00e9f\u00e9rence (qui est parfois contest\u00e9 dans la discussion philosophique), [5] Ensuite, cela montre que ce n’est pas l’auto-r\u00e9f\u00e9rence qui permet le paradoxe, mais notre traitement des termes “vrai” et “mal”. Une phrase qui revendique sa propre cravate au lieu de son mensonge cr\u00e9e un paradoxe connexe. Aristote d\u00e9j\u00e0 discut\u00e9 dans son R\u00e9flexions sophistiques Le paradoxe menteur, mais sans citation ni autorit\u00e9. [6] Des sources antiques tardives appellent ses contemporains d’eubulides comme des locuteurs du paradoxe menteur. [7] \u00c9tant donn\u00e9 que les \u0153uvres d’Eubulides sont perdues, son argument ne vient que des citations les plus anciennes de Cic\u00e9ron et d’autres. reconstructable; Il aurait pu avoir le formulaire de dialogue suivant: [8] “Quand je dis que je mens, je mens ou je dis vrai?” “Tu dis vrai.” “Quand je dis vrai et dis que je mens, est-ce que je mens?” “Tu mens \u00e9videmment.” Cette bo\u00eete de dialogue est d\u00e9riv\u00e9e de la sous-mesure paradoxale “Je dis que je mens” provoqu\u00e9 une antinomie. Les variantes de cette antinomie de menteur ont \u00e9t\u00e9 discut\u00e9es tout au long de l’histoire de la logique. [9] Dans la logique math\u00e9matique moderne, elle a gagn\u00e9 en importance par Bertrand Russell. Il a fait sur le paradoxe de l’\u00e9pimene “\u00e9pim\u00e9nides que le Kreter a dit: Tous les cr\u00e9tains sont menteur”; [dix] [11] Cette pr\u00e9forme probablement plus ancienne et plus faible du paradoxe menteur ne cr\u00e9e pas encore une antinomie; Il les a donc resserr\u00e9s \u00e0 la phrase vraiment paradoxale qui cr\u00e9e l’antinomie: \u00abUn homme dit: je mens.\u00bb “Un homme dit: je mens juste.” [dix] [11] Table of ContentsType-Solution th\u00e9orique [ Modifier | Modifier le texte source ]] S\u00e9paration de l’objet et du langage m\u00e9ta- [ Modifier | Modifier le texte source ]] Solidit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Formalisation g\u00e9n\u00e9rale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Mod\u00e8le impersonnel [ Modifier | Modifier le texte source ]] Mod\u00e8le logique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Type-Solution th\u00e9orique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Russell a appel\u00e9 \u00e0 une th\u00e9orie de type avec une hi\u00e9rarchie de d\u00e9clarations et une hi\u00e9rarchie de pr\u00e9dicats de v\u00e9rit\u00e9 pour r\u00e9soudre le paradoxe, \u00e0 savoir les d\u00e9clarations d’ordre n et pr\u00e9dicat de la v\u00e9rit\u00e9 de l’ordre n (pour n = 0, 1, 2, …). Une v\u00e9rit\u00e9 de l’ordre n ne peut \u00eatre que moins d’une d\u00e9claration avec un seul ordre n \u00e0 dire. [douzi\u00e8me] Il a donc desserr\u00e9 le paradoxe du menteur en excluant l’auto-r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 l’auto-r\u00e9f\u00e9rence. S\u00e9paration de l’objet et du langage m\u00e9ta- [ Modifier | Modifier le texte source ]] Du 20e si\u00e8cle, le paradoxe de menteur a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9 comme un probl\u00e8me important pour une th\u00e9orie philosophique de la v\u00e9rit\u00e9. Alfred Tarski formule le probl\u00e8me dans son essai influent Le concept de v\u00e9rit\u00e9 dans les langues formelles SO: la langue famili\u00e8re est “universelle”, i. Autrement dit, elle enregistre toutes les expressions s\u00e9mantiques. Cependant: “Suite \u00e0 cette tendance universaliste du langage familier par rapport aux examens s\u00e9mantiques, nous devons par cons\u00e9quent [\u2026] pour accepter des expressions s\u00e9mantiques telles que la\u00ab vraie d\u00e9claration \u00bb,\u00ab nom \u00bb,\u00ab d\u00e9noter \u00bbetc. D’un autre c\u00f4t\u00e9, cet universalisme est probablement la source essentielle de toutes les antinomies s\u00e9mantiques si appel\u00e9es dans le domaine de la s\u00e9mantique, comme les antinomies du menteur ou les mots h\u00e9t\u00e9rologiques; Ces antinomies semblent simplement \u00eatre la preuve que chaque langue qui serait universelle dans le sens ci-dessus et pour laquelle les lois normales de la logique devraient s’appliquer doivent \u00eatre une contradiction. ” [13] Dans ce qui suit, Tarski montre qu’il n’y a pas de tels paradoxes pour les langues artificielles dans lesquelles une s\u00e9paration de la langue des objets et du langage m\u00e9ta est syst\u00e9matiquement effectu\u00e9e. La caract\u00e9ristique essentielle de cette s\u00e9paration est qu’aucune d\u00e9claration ne peut \u00eatre faite sur cette langue dans la langue d’objet – ceci est r\u00e9serv\u00e9 \u00e0 cette langue. Cependant, un langage m\u00e9ta-langage pour cette langue Meta est requis pour les d\u00e9clarations sur la langue m\u00e9ta, de sorte qu’une soi-disant “Hi\u00e9rarchie de Tarski”. Une r\u00e9f\u00e9rence aux phrases de cette langue est toujours exclue dans une langue. Solidit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une alternative \u00e0 la hi\u00e9rarchie Tarski, qui est cens\u00e9e fournir un mod\u00e8le de langage naturel, est bas\u00e9e sur le concept de solidit\u00e9 de Saul Kripke. Kripke offre une th\u00e9orie s\u00e9mantique de la v\u00e9rit\u00e9, dans laquelle les d\u00e9clarations sur la v\u00e9rit\u00e9 d’autres phrases peuvent \u00e9galement se voir attribuer une valeur de v\u00e9rit\u00e9 tant qu’elles sont “bien fond\u00e9es”. Les d\u00e9clarations “d\u00e9velopp\u00e9es” ne sont pas reconnues comme des propositions qui sont vraies ou erron\u00e9es; Cependant, ils ne sont pas inutiles selon Kripke, dans la mesure o\u00f9 ils pourraient \u00eatre exprim\u00e9s en termes de forme et pourraient toujours \u00eatre trait\u00e9s \u00e0 l’aide d’une logique \u00e0 trois valeurs. [14] L’id\u00e9e de base de la th\u00e9orie de la v\u00e9rit\u00e9 de Kripke est la suivante: dans une premi\u00e8re \u00e9tape, toutes les d\u00e9clarations qui ne d\u00e9pendent pas de la valeur de v\u00e9rit\u00e9 des autres d\u00e9clarations (c’est-\u00e0-dire, par exemple, ne disant pas \u00e0 partir d’une autre phrase, que cela est vrai) se verra attribuer une valeur de v\u00e9rit\u00e9 – simplement en comparant avec la r\u00e9alit\u00e9. Dans une deuxi\u00e8me \u00e9tape, toutes les d\u00e9clarations concernant la valeur de v\u00e9rit\u00e9 des autres d\u00e9clarations sont d\u00e9sormais prises en compte. Si une valeur peut \u00eatre attribu\u00e9e \u00e0 ces instructions en fonction des valeurs de v\u00e9rit\u00e9 distribu\u00e9es ici. Cette deuxi\u00e8me \u00e9tape est maintenant r\u00e9p\u00e9t\u00e9e jusqu’\u00e0 ce que cette \u00e9tape ne soit plus distribu\u00e9e dans une r\u00e9p\u00e9tition de cette \u00e9tape. Les phrases qui n’ont aucune valeur de v\u00e9rit\u00e9 \u00e0 ce “plus petit point fixe” sont consid\u00e9r\u00e9es comme infond\u00e9es. [15] Kripke croit qu’avec sa th\u00e9orie de la v\u00e9rit\u00e9, il s’est retir\u00e9 des formulations habituelles du menteur. Il \u00e9chappe aux versions du menteur renforc\u00e9 en d\u00e9clarant que “non fond\u00e9” n’est pas un tiers, il souligne \u00e9galement que la logique classique reste valable pour le domaine des propositions. [16] Cependant, de nouveaux paradoxes peuvent \u00eatre formul\u00e9s en utilisant le concept d’incorrection [17] (qui sont souvent appel\u00e9s dans la litt\u00e9rature comme la “vengeance du menteur”). Kripke le voit et ne pr\u00e9tend pas avoir donn\u00e9 une s\u00e9mantique universelle du concept de v\u00e9rit\u00e9. [18] En fin de compte, il admet Tarski la n\u00e9cessit\u00e9 d’une langue m\u00e9ta pour des termes tels que \u00abnon fond\u00e9\u00bb ou \u00abparadoxe\u00bb. Il ne voulait que donner un mod\u00e8le pour le langage quotidien des locuteurs non philosophiques, mais cela ne pouvait pas compenser ces termes plus sophistiqu\u00e9s. [19] Formalisation g\u00e9n\u00e9rale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une formalisation de l’argumentation r\u00e9sout le paradoxe m\u00eame sans restrictions syntaxiques. En tant que calcul, la logique de d\u00e9claration classique avec des pr\u00e9dicats suppl\u00e9mentaires est suffisante ” X Se trouve “(dans le sens de” X Se trouve juste “) et” X dit \u00e7a UN \u00abEt deux syllogismes: (d’abord) X mensonges et X dit \u00e7a UN \u2192 Non UN (Mesure actuellement) (2) X Ne mentez pas et X dit \u00e7a UN \u2192 UN (Sags vrais actuels) Ce calcul est exempt de contradiction: les deux syllogismes s’appliquent au moins dans un monde dans lequel personne ne dit quoi que ce soit (leur deuxi\u00e8me pr\u00e9misse est erron\u00e9e l\u00e0-bas). Ainsi, aucune antinomie ne peut \u00eatre d\u00e9riv\u00e9e du calcul. Le paradoxe du menteur est une auto-r\u00e9f\u00e9rence syntaxiquement correcte sous forme variable: (3) X dit \u00e7a X mensonges (Paradoxe de menteur g\u00e9n\u00e9ral) Dans le calcul, ce qui suit s’applique \u00e0 Arthur avant: [20] [21] Le paradoxe menteur (3) est r\u00e9futable; La n\u00e9gation de (3) s’applique. Preuve indirecte: acceptation (3). Premier cas: X mensonges; Fait ensuite de l’acceptation (3) avec (1) et le mode Ponens: X ne mens pas. Cette affaire est donc contradictoire. Dans l’autre cas, ce qui suit s’applique: X ne mens pas; Mais d\u00e9coule ensuite de l’hypoth\u00e8se (3) avec (2) via le mode ponens: X mensonges. Cela signifie que les deux cas possibles sont contradictoires et (3) sont r\u00e9fut\u00e9s. La preuve sp\u00e9cifie l’argumentation des eubulides, mais souligne \u00e9galement son hypoth\u00e8se cach\u00e9e: le paradoxe menteur, sans lequel l’argument ne fonctionne pas. Il se r\u00e9v\u00e8le \u00eatre un sophisme, qui n’est pas relativement coh\u00e9rent pour le calcul d\u00e9clar\u00e9 et laisse donc un argument logique. La preuve est ind\u00e9pendante de la d\u00e9finition des pr\u00e9dicats dans des mod\u00e8les sp\u00e9ciaux, car la formalisation est une axiomatisation g\u00e9n\u00e9rale qui permet diff\u00e9rents mod\u00e8les. Mod\u00e8le impersonnel [ Modifier | Modifier le texte source ]] Puisque la formalisation laisse l’occupation des variables ouvertes, X \u00catre une d\u00e9claration qui dit quelque chose et qui ne va pas quand elle ment; Ceci est fait par deux d\u00e9finitions: (4) X dit \u00e7a UN :={displayStyle textstyle: =} X \u2194 UN (5) X est faux :={displayStyle textstyle: =} X mensonges Ces d\u00e9finitions produisent (3) le paradoxe de menteur impersonnel ” X \u2194 X est faux \u00bb, pour lequel le th\u00e9or\u00e8me des priors s’applique \u00e9galement et est \u00e0 l’origine formul\u00e9. [20] [21] Le mod\u00e8le laisse ouverte comment le pr\u00e9dicat ” X mensonges \u00bbest d\u00e9fini. Cela peut arriver \u00e0 un niveau de langue s\u00e9mantique \u00e9tendu, c’est pourquoi le menteur est consid\u00e9r\u00e9 comme un paradoxe s\u00e9mantique. Cependant, ce n’est pas obligatoire, comme le montre le mod\u00e8le suivant. Mod\u00e8le logique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le mod\u00e8le de menteur impersonnel devient un mod\u00e8le logique de d\u00e9claration en ne d\u00e9pla\u00e7ant pas les mensonges vers un niveau de langue s\u00e9mantique plus \u00e9lev\u00e9, mais \u00e9galement d\u00e9fini comme une d\u00e9claration: (6) X mensonges :={displayStyle textstyle: =} pas- X Avec les d\u00e9finitions (4) et (6), les syllogismes (1) et (2) peuvent \u00eatre prouv\u00e9s, et le paradoxe menteur (3) devient \u00e9quivalent \u00e0 l’auto-r\u00e9f\u00e9rence ” X \u2194 pas- X \u00ab, Ce qui est connu pour \u00eatre faux. Dans la culture populaire, les variantes d\u00e9cor\u00e9es du circuit de circulation du paradoxe du menteur: un motif commun pour les auteurs de science-fiction est de surmonter l’intelligence artificielle \u00e9crasante par la confrontation avec le paradoxe, qui est destin\u00e9e \u00e0 conduire \u00e0 une boucle de calcul infinie. [22] J. C. Beall: Spandrels de v\u00e9rit\u00e9. Oxford 2009. Chaque Brendel: La v\u00e9rit\u00e9 sur le menteur. Une analyse philosophique-logique de l’antinomie du menteur. Berlin 1992. Tyler Burge: Paradoxe s\u00e9mantique. Dans: Journal of Philosophy. 76, 1979, S. 169\u2013198. Hartry Field, Sauver la v\u00e9rit\u00e9 du paradoxe. New York 2008. William Kneale: Le paradoxe de Russell et quelques autres. Dans: Le Journal britannique pour la philosophie des sciences. Vol. 22, 4, 1971, S. 321\u2013338. Saul Kripke: Contour d’une th\u00e9orie de la v\u00e9rit\u00e9. Dans: Journal of Philosophy. 72, 1975, pp. 690\u2013716; \u00c9galement imprim\u00e9 dans: Ders.: Troubles philosophiques. (= Documents collect\u00e9s. Volume I). Oxford 2011, S. 75\u201398. Wolfgang K\u00fcnne: \u00c9pim\u00e9nides et autres menteurs. Francfurt Am Main 2013. Graham pr\u00eatre, La logique du paradoxe. Dans: Journal of Philosophical Logic. 8, 1979, S. 219-241. Alexander R\u00fcstow: Le menteur. Th\u00e9orie, histoire et dissolution . Leipzig 1910. (R\u00e9imprim\u00e9 New York 1987 et Cologne 1994) Alfred Tarski: Le concept de v\u00e9rit\u00e9 dans les langues formalis\u00e9es . Dans: \u00c9tudes philosophiques. [Lemberg] 1, 1936, S. 261\u2013405. Stephen Yablo: Paradoxe sans auto-r\u00e9f\u00e9rence . Dans: Analyse. 53, 1993, S. 251f. \u2191 Sieh z. B\u00e9la B. Juhos: \u00c9l\u00e9ments de la nouvelle logique , 1954, p. 222 (auparavant la plus ancienne source de cette version) \u2191 Donc z. B. par Tyler Burge: Paradoxe s\u00e9mantique. Dans: Journal of Philosophy. 76, 1979, S. 169\u2013198. \u2191 Voir aussi Michael Clark: Paradoxes de A \u00e0 Z. Stuttgart 2012, S. 66\u201368. \u2191 Yablo 1993, S. 251f. \u2191 Michael Clark: Paradoxes de A \u00e0 Z. Stuttgart 2012, S. 292\u2013294. \u2191 Aristote: Sophistic Refute (= Sujet. Ix). 25, 180b2-7 \u2191 Diog\u00e8ne Laertios: Sur la vie et l’enseignement des philosophes c\u00e9l\u00e8bres. II 108 \u2191 Alexander R\u00fcstow: Le menteur. P. 40. Liste des citations l\u00e0-bas, R\u00fcstow’s Reconstruction Greek, section traduite ci-dessus, dans la mesure o\u00f9 elle est bas\u00e9e sur les plus anciennes citations de Cic\u00e9ron. (PDF; en ligne) \u2191 Chaque Brendel: La v\u00e9rit\u00e9 sur le menteur: une analyse philosophique-logique de l’antinomie du menteur. Deuxieme PARTIE: Sur l’histoire du menteur. Berlin \/ New York 1993, S. 19\u201340. (en ligne) \u2191 un b Bertrand Russell: Logique math\u00e9matique bas\u00e9e sur la th\u00e9orie des types. (PDF; 1,9 Mo). Dans: American Journal of Mathematics. Bande 30, 1908, S. 222 (1): \u00abLa plus ancienne contradiction du genre en question est les \u00e9pim\u00e9nides. Les \u00e9pim\u00e9nides, le cr\u00e9tois, a d\u00e9clar\u00e9 que tous les Cr\u00e9tans \u00e9taient des menteurs, et que toutes les autres d\u00e9clarations faites par les Cr\u00e9tans \u00e9taient certainement des mensonges. \u00c9tait-ce un mensonge? La forme la plus simple de cette contradiction est offerte par l’homme qui dit “je mens”; S’il ment, il dit la v\u00e9rit\u00e9, et vice versa. ” \u2191 un b Whitehead Russell: Principes math\u00e9matiques. 1910, S. 63 (1) \u2191 Whitehead Russell: Principes math\u00e9matiques. 1910, S. 65 (1). (en ligne) \u2191 Tarski 1935, S. 278. \u2191 Kripke 1975, S. 699f. \u2191 Kripke 1975, S. 702\u2013705. \u2191 Kripke 1975, S. 700, fn. 8 \u2191 Donc z. B. dans Rudolf Sch\u00fc\u00dfler: Jeune talent pour le menteur. Du menteur et des menteurs renforc\u00e9s au super mensonge. Dans: Compr\u00e9hension. 24, 1986, S. 219\u2013234. \u2191 Kripke 1975, S. 715. \u2191 Kripke 1975, S. 714, fn. 34. \u2191 un b Arthur Prior: \u00c9pim\u00e9nides le cr\u00e9tois. Dans: Journal of Symbolic Logic. 23, 1958, pp. 261-266; Il y a une version impersonnelle “Cette phrase est fausse” \u2191 un b Prior de mani\u00e8re moderne repr\u00e9sent\u00e9e dans: Andras Kornai: Linguistique math\u00e9matique. Springer, 2007, S. 143, Th\u00e9or\u00e8me 6.1 (en ligne) \u2191 Bombe logique Sur tvtropes.org (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/lugner-paradox-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"L\u00fcgner-Paradox – Wikipedia"}}]}]