[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/luis-espinal-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/luis-espinal-wikipedia\/","headline":"Luis Espinal – Wikipedia","name":"Luis Espinal – Wikipedia","description":"before-content-x4 Luis Espinal Camps SJ (* Le 4 f\u00e9vrier 1932 pr\u00e8s de Manresa, Catalogne, \u2020 22 mars 1980 en Bolivie)","datePublished":"2020-12-24","dateModified":"2020-12-24","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/6\/6c\/Lafigueira.jpg\/220px-Lafigueira.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/6\/6c\/Lafigueira.jpg\/220px-Lafigueira.jpg","height":"258","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/luis-espinal-wikipedia\/","wordCount":1154,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Luis Espinal Camps SJ (* Le 4 f\u00e9vrier 1932 pr\u00e8s de Manresa, Catalogne, \u2020 22 mars 1980 en Bolivie) \u00e9tait un pr\u00eatre j\u00e9suite et un militant des droits de l’homme. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Luis Espinal a rejoint l’ordre des j\u00e9suites \u00e0 l’\u00e2ge de 17 ans et a \u00e9t\u00e9 ordonn\u00e9 pr\u00eatre en 1962. Le 6 ao\u00fbt 1968, il est arriv\u00e9 en Bolivie, o\u00f9 il s’est rapidement familiaris\u00e9 avec le probl\u00e8me local et a atteint la citoyennet\u00e9 bolivienne en 1970. Lutte politique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Espinal se tenait dans ce pays pour surmonter la violence structurelle, contre l’impunit\u00e9 des violations des droits de l’homme et pour l’amnistie des politiquement pers\u00e9cut\u00e9s. Il \u00e9tait attach\u00e9 aux journalistes, aux travailleurs culturels et aux groupes de d\u00e9fense des droits de l’homme et a pr\u00e9conis\u00e9 que l’\u00c9glise travaille avec d’autres organisations lorsqu’il s’agit de prot\u00e9ger et de d\u00e9fendre les d\u00e9favoris\u00e9s. \u00c0 No\u00ebl 1977, cinq femmes mineurs sont entr\u00e9es dans une gr\u00e8ve de la faim avec la demande de lib\u00e9ration de leurs hommes et l’amnistie de toutes les toutes prises politiquement. Espinal les a soutenus d\u00e8s le d\u00e9but, de sorte que malgr\u00e9 le moment d\u00e9favorable jusqu’au milieu de 1978, plus d’un millier de personnes dans diverses villes les ont suivis, ce qui a contribu\u00e9 au fait qu’au printemps 1978, apr\u00e8s pr\u00e8s de sept ans de dictature brutale, une opposition politique a pu articuler et Hugo B\u00e1nz a d\u00fb c\u00e9der son pouvoir en juillet 1978. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Apprenez des pauvres [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans sa lutte politique pour la justice, l’espinal a \u00e9t\u00e9 guid\u00e9 par une profonde croyance en la philanthropie de Dieu. Sa volont\u00e9 d’apprendre des plus pauvres lui-m\u00eame \u00e9tait l’expression d’un fort processus d’identification avec le peuple bolivien. Commentant l’exp\u00e9rience de la gr\u00e8ve de la faim, il a d\u00e9clar\u00e9 que pour la premi\u00e8re fois de sa vie, il se sent utile comme un “petit-bouton-bouton, l’intellectuel”. Il a encore et encore r\u00e9gl\u00e9 des signes qui le rendent r\u00e9ceptif \u00e0 la dure r\u00e9alit\u00e9 quotidienne du petit peuple. Il a donc pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 comment traverser la pluie et la boue \u00e0 pied et se passer de l’offre d’un ami passant dans la voiture: ” Vous savez, aujourd’hui, je ne veux pas de confort ou de privil\u00e8ges. Aujourd’hui, je veux aller avec les gens. ” Apr\u00e8s que Espinal ait particip\u00e9 \u00e0 un je\u00fbne politique qui lui a presque co\u00fbt\u00e9 la vie, il a tir\u00e9 les connaissances suivantes de son engagement de solidarit\u00e9: \u00abLa faim est une exp\u00e9rience de violence qui nous permet de comprendre la bravoure et la col\u00e8re d’un peuple. Quiconque \u00e9prouve la faim lui-m\u00eame comprend mieux l’urgence avec laquelle il est important de travailler pour la justice dans le monde. \u00bb Mort violente, m\u00e9moire [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans la nuit du 22 mars 1980, il a \u00e9t\u00e9 kidnapp\u00e9 apr\u00e8s sa critique de l’impunit\u00e9 pour les partisans d’Alberto Natusch Busch, qui avait \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sident bolivien du 1er au 16 novembre 1979. Il a \u00e9t\u00e9 tortur\u00e9 dans un abattoir pendant quatre heures et a finalement tu\u00e9 avec 14 tirs. Apr\u00e8s sa mort, Luis Espinal a \u00e9t\u00e9 f\u00e9licit\u00e9 en tant que mod\u00e8le dans le peuple bolivien et a appel\u00e9 le saint patron en justice. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Le “crucifix communiste” (sculpture), fabriqu\u00e9 par Luis Espinal dans les ann\u00e9es 1970. Le 9 juillet 2015, le pr\u00e9sident bolivien Evo Morales a remis une r\u00e9plique au pape Fran\u00e7ois lorsqu’il a visit\u00e9 la Bolivie. [d’abord] Le cri d’une ville “1980. Pri\u00e8res \u00e0 bout portant , Lima 1988; Dt.: Et n’a du sens que si nous br\u00fblons . Verlagsanstalt Tyrolia, Innsbruck \/ Vienne 2008, ISBN 978-3-8367-0649-0. Deuxi\u00e8me traduction (nouvelle et compl\u00e8te): Y\u00e4he Pri\u00e8res , Norderstedt (livres \u00e0 la demande) 2018, ISBN 9783752854923. Christoph Albrecht: Luis Espinal SJ – pour une \u00e9glise qui interf\u00e8re . Dans: Orientation, Jg. 69 (2005), pp. 185\u2013188. Christoph Albrecht: Donnez une voix aux opprim\u00e9s. Le certificat de vie de P. Luis Espinal SJ – Impulsions pour une \u00e9glise proph\u00e9tique dans une soci\u00e9t\u00e9 d’apartheid \u00e9conomiquement mondialis\u00e9e . Exode, Lucerne 2005, ISBN 3-90577-67-4 ( Th\u00e9ologie en histoire et \u00e0 la soci\u00e9t\u00e9 dix). Francisco Darich\u00f3n Abello SJ: Luis Espinal, voix des sans voix . Compagnie de J\u00e9sus \/ Parole divine, Cochabamba 2006 (= Collection de vie et de t\u00e9moignages , Bd. 1). Manfred Hofmann: Bolivie et Nicaragua. Mod\u00e8les d’une \u00e9glise en mouvement . Liberation Liberation, M\u00fcnster 1987, ISBN 3-923792-2 Stefan Silber: Catholicisme, cultures, th\u00e9ologie indig\u00e8ne. Un aper\u00e7u des d\u00e9veloppements th\u00e9ologiques de la mission en Bolivie . Dans: Nouveau magazine pour la science de la mission , Jg. 60 (2004), Nr. 1, ISSN 0028-3495 , S. 21\u201349. Irene Tokarski: \u00c9glise et participation en Bolivie. L’option pour les armes de l’\u00c9glise bolivienne dans le processus de participation pour la strat\u00e9gie de r\u00e9duction de la pauvret\u00e9 PRSP . Lit-Verlag, M\u00fcnster et a. 2006, ISBN 3-8258-9217-4 ( Th\u00e9ologie et pratique 30), (en m\u00eame temps: Bamberg, Univ., Diss., 2005). \u2191 [d’abord] [2] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/luis-espinal-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Luis Espinal – Wikipedia"}}]}]