[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/mine-mippias-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/mine-mippias-wikipedia\/","headline":"Mine Mippias – Wikipedia","name":"Mine Mippias – Wikipedia","description":"before-content-x4 La fin de Hippia mineur Dans un manuscrit du XVe si\u00e8cle [d’abord] Le Hippia mineur ou Hippias 2 (","datePublished":"2020-01-25","dateModified":"2020-01-25","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/6\/61\/Laurentianus_85%2C_9_folium_200r.jpg\/220px-Laurentianus_85%2C_9_folium_200r.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/6\/61\/Laurentianus_85%2C_9_folium_200r.jpg\/220px-Laurentianus_85%2C_9_folium_200r.jpg","height":"303","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/mine-mippias-wikipedia\/","wordCount":7657,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 La fin de Hippia mineur Dans un manuscrit du XVe si\u00e8cle [d’abord] Le Hippia mineur ou Hippias 2 ( le grec ancien Ipian Hippias allong , Allemand Der kleinere hippias ‘ Ou \u00abThe Little Hippias\u00bb) est un dialogue du philosophe grec Platon. La d\u00e9signation Hippia mineur sert la distinction de Hippias plus gros , le “plus grand” ou “Big” Hippias, un dialogue plus long, appel\u00e9 “plus grand”, est attribu\u00e9 \u00e0 Platon, mais dont l’authenticit\u00e9 est controvers\u00e9e. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4C’est une conversation fictive et litt\u00e9raire. Le professeur de Platon Socrate discute avec le sophiste Hippias von Elis, apr\u00e8s quoi le dialogue est nomm\u00e9. Le point de d\u00e9part est une comparaison entre les h\u00e9ros mythiques Achille et Ulysse en termes de manipulation de la v\u00e9rit\u00e9 et des mensonges. Cela d\u00e9veloppe un d\u00e9bat fondamental pour savoir s’il est pr\u00e9f\u00e9rable de dire le mensonge et de faire quelque chose de mal \u00e0 partir d’une d\u00e9cision libre, ou d’agir involontairement. Il n’est pas possible de clarifier cette question; Le dialogue se termine par la perplexit\u00e9 (aporia). Platon laisse la bo\u00eete de dialogue figure que Socrate repr\u00e9sente l’opinion provocante qu’un menteur intelligent est plus efficace et donc “mieux” que quelqu’un qui descend la capacit\u00e9 de conduire les autres derri\u00e8re, et qui adh\u00e8re donc \u00e0 la v\u00e9rit\u00e9. De cette fa\u00e7on, Platon veut encourager le lecteur \u00e0 r\u00e9fl\u00e9chir \u00e0 un probl\u00e8me \u00e9thique complexe. Il s’agit de clarifier le crit\u00e8re, sur lequel le classement \u00e9thique doit \u00eatre d\u00e9pendant. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Dans la recherche moderne, les id\u00e9es morales non conditionnelles et conventionnelles de m\u00e9pris du Socrate avec le sujet explosif sont en partie \u00e9valu\u00e9es comme un simple jeu de pens\u00e9e, en partie interpr\u00e9t\u00e9e dans le contexte de la compr\u00e9hension platonique de l’\u00e9thique. Socrate (buste romain, 1er si\u00e8cle, Louvre, Paris) Le d\u00e9bat a lieu \u00e0 Ath\u00e8nes, probablement dans un lyc\u00e9e. Le temps est difficile \u00e0 d\u00e9terminer; Il sera probablement pens\u00e9 de la p\u00e9riode 421\u2013416. \u00c0 cette \u00e9poque, il y a eu Nikiasfrieden, qui a interrompu la guerre du P\u00e9loponn\u00e8se pendant quelques ann\u00e9es. [2] L’interlocuteur des Socrates, Hippias d’Elis, \u00e9tait une figure historique. Il \u00e9tait l’un des sophistes, errant des professeurs de randonn\u00e9e, qui ont enseign\u00e9 aux jeunes de la classe sup\u00e9rieure comme une connaissance utile contre les frais. Il a \u00e9galement travaill\u00e9 comme envoy\u00e9 pour sa ville natale Elis. \u00c0 Ath\u00e8nes, il ne faisait que temporairement. [3] Son h\u00f4te \u00e0 Eudikos est pr\u00e9sent dans le dialogue de Platon, mais ne joue qu’un r\u00f4le de soutien insignifiant et ne participe pas aux discussions philosophiques. On ne sait pas si Eudikos a r\u00e9ellement v\u00e9cu ou est une figure invent\u00e9e par Platon. [4] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La question initiale Hippias a gard\u00e9 une \u00e9pid\u00e9ixis, un discours public instructif. De tels discours portaient principalement sur l’\u00e9loge ou le bl\u00e2me de quelqu’un. Dans ce cas, le sujet \u00e9tait la po\u00e9sie et surtout les circuits \u00e9piques. Apr\u00e8s que le public s’est \u00e9loign\u00e9, Hippias, Eudikos et Socrate sont rest\u00e9s. Eudikos demande \u00e0 Socrate de commenter le discours. Socrate veut poser des questions et Hippias est heureux d’y r\u00e9pondre. La question \u00e0 laquelle Socrate commence maintenant le dialogue concerne l’\u00e9valuation des h\u00e9ros hom\u00e9riques. Selon une \u00e9valuation que Socrate a entendu du p\u00e8re d’Eudiko, les Ilias est une \u00e9pop\u00e9e plus belle que l’Odyss\u00e9e, et sa priorit\u00e9 est \u00e9galement \u00e9vidente dans le classement du h\u00e9ros, dont les actes sont chacun glorifi\u00e9: Achilleus, le h\u00e9ros principal de l’Ilias, d\u00e9passe Odysseus, les h\u00e9ros de l’Odyssey. Socrate veut d\u00e9couvrir ce que Hippias pense de cette \u00e9valuation. Hippias explique que Homer avait d\u00e9crit Achilleus comme le plus excellent parmi les h\u00e9ros de la guerre de Troie, Ulysse comme le plus fou ou le plus us\u00e9. Lorsqu’on lui a demand\u00e9 ce que l’on entend par la restauration, Hippias pr\u00e9cise qu’une personne mensonge doit \u00eatre comprise comme une muette. Homer veut comparer l’achille simple et simple \u00e0 l’Olysse intelligent et non sinc\u00e8re. De cela, Hippias tire la priorit\u00e9 d’Achilleus, qui pour lui le “meilleur” (\u00c1ristos) est parmi les h\u00e9ros. [5] Avec son jugement relativement d\u00e9favorable sur Ulysse, le sophiste suit un score d\u00e9j\u00e0 r\u00e9pandu \u00e0 l’\u00e9poque, ce qui, cependant, ne correspond pas \u00e0 l’opinion d’Hom\u00e8re. [6] La discussion de base Sokrates souligne que la question du jugement d’Hom\u00e8re doit rester ouverte, mais aux fins de la discussion, il peut initialement \u00eatre suppos\u00e9 que l’interpr\u00e9tation d’Hippias s’applique. La question doit alors se demander comment le comportement de ceux qui n’adh\u00e8rent pas \u00e0 la v\u00e9rit\u00e9 peut \u00eatre \u00e9valu\u00e9. Une distinction doit \u00eatre faite entre ceux qui peuvent tromper et ceux qui n’ont pas la prudence n\u00e9cessaire. Lorsqu’il est interview\u00e9, Hippias indique clairement qu’il comprend les fous et les menteurs qui, gr\u00e2ce \u00e0 leur ruse et leur prudence, sont toujours en mesure de revenir avec succ\u00e8s aux autres. Ils ont des connaissances, des connaissances pertinentes et peuvent \u00eatre le mot comme \u00abbien inform\u00e9\u00bb – le mot sos signifie \u00e0 la fois “comp\u00e9tent” et “sage” et “sage”. Sur la base de cela, Socrate demande qui est le plus efficace et le meilleur dans un domaine en mati\u00e8re de tromperie: l’incomp\u00e9tent ou celui qui peut revendiquer le bon ou le mal gr\u00e2ce \u00e0 sa faute. Il s’av\u00e8re que le sp\u00e9cialiste est sup\u00e9rieur non seulement dans la pr\u00e9sentation de la v\u00e9rit\u00e9, mais aussi dans des mensonges. En cons\u00e9quence, il est mal de faire la distinction entre sinc\u00e8res et menteurs, car il ne peut \u00eatre trouv\u00e9 dans aucun domaine qui a le sinc\u00e8re en tant que tel et quitte les menteurs en tant que tels. Il n’y a plut\u00f4t qu’une diff\u00e9rence entre les capables, qui sont disponibles pour toutes les possibilit\u00e9s et qui peuvent \u00eatre librement d\u00e9cid\u00e9s et incomp\u00e9tents, qui sont honn\u00eates en raison du manque d’intelligence, car ils n’ont pas le choix. Ainsi, seule la comp\u00e9tence et non la sinc\u00e9rit\u00e9 est le crit\u00e8re de la distinction entre les bonnes et les mauvaises personnes. [7] L’application du r\u00e9sultat de base sur la question initiale Sur la base du r\u00e9sultat de la discussion de base, Socrate revient \u00e0 la comparaison entre Achille et Ulysse. Ulysse ne pouvait \u00eatre un ma\u00eetre du mensonge qu’il connaissait la v\u00e9rit\u00e9, c’est-\u00e0-dire que cela a \u00e9galement pu \u00eatre v\u00e9ridique; Achilleus n’\u00e9tait sinc\u00e8rement que s’il avait \u00e9galement la possibilit\u00e9 d’\u00eatre non sinc\u00e8re. Ainsi, les deux portaient \u00e0 la fois la v\u00e9rit\u00e9 et le mensonge. En cons\u00e9quence, ils n’\u00e9taient pas compl\u00e8tement diff\u00e9rents, mais du m\u00eame genre. Sa menace n’\u00e9tait pas s\u00e9rieusement signifi\u00e9e, c’\u00e9tait des mots vides. Il avait donc \u00e9galement la capacit\u00e9 de pr\u00e9tendre quelque chose en mots, et il a utilis\u00e9 d’elle si n\u00e9cessaire. D’une auto-contradiction qui a fait d’Achilleus, qu’Ulysse n’a apparemment pas remarqu\u00e9, on peut voir qu’Achilleus n’est en aucun cas planifi\u00e9 ce qu’il avait l’intention de l’intention. Ainsi, les deux ont \u00e9t\u00e9 cess\u00e9s, et il n’y a aucune raison d’accepter une diff\u00e9rence de ce point de vue et de consid\u00e9rer Achilleus comme meilleur. [8] Hippias le voit diff\u00e9remment. Apr\u00e8s son interpr\u00e9tation, Achille n’a pas agi dans la ruse et les mauvaises intentions, mais s’est contredit parce que son attitude a fluctu\u00e9. La raison de son auto-contradiction \u00e9tait qu’il a chang\u00e9 sa position pendant l’argument parce qu’il d\u00e9pendait de l’\u00e9volution de l’humeur. Il est donc toujours rest\u00e9 sinc\u00e8re. De plus, il n’avait pas le choix; Il n’a pas pu pr\u00e9parer sa d\u00e9duction, car dans les circonstances donn\u00e9es, il ne pouvait pas baisser l’arm\u00e9e grecque, m\u00eame s’il \u00e9tait temporairement consid\u00e9r\u00e9. Ulysse a toujours agi avec une intention sournoise, \u00e0 la fois quand il a dit la v\u00e9rit\u00e9 et quand il se connecte. [9] Les Sokrates en concluent maintenant que dans ce cas, Ulysse \u00e9tait meilleure qu’Achille. Il assume le crit\u00e8re qu’il avait pr\u00e9c\u00e9demment \u00e9tabli, selon lequel les plus capables qui ont plus d’options est meilleur. Hippias contredit cela. Il pense qu’il est paradoxal que quelqu’un qui allait d’une consid\u00e9ration claire et dans le mal ou fait quelque chose de mauvais devrait \u00eatre mieux que quelqu’un qui dit quelque chose de fausse sans intention de tromper ou provoque un m\u00e9fait en raison du manque de manque. Hippias s’appuie sur la l\u00e9gislation; Quiconque agit d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment ill\u00e9galement est puni beaucoup plus fort que qui le fait par ignorance. [dix] La fin par perplexit\u00e9 Socrate n’est pas d’accord, mais admet en soi qu’il n’est pas s\u00fbr de cette question. Il ne pr\u00e9tend pas savoir qu’un auteur agissant intentionnellement \u00e0 tort est meilleur que quelqu’un qui se comporte mal par ignorance, mais il n’a tendance \u00e0 ce point de vue que pour le moment parce que l’inverse lui appara\u00eet et Hippia ne pouvait pas rendre sa position oppos\u00e9e plausible. Pour une raison, Sokrates effectue un certain nombre d’exemples pour illustrer que le capable, qui a des options diff\u00e9rentes en tant que tels, est meilleur que l’incomp\u00e9tent, \u00e0 qui son insuffisance fixe des limites \u00e9troites. Par exemple, quiconque court lentement en tant que bon coureur est meilleur que celui qui est oblig\u00e9 de lentement car il ne peut pas courir rapidement. Un lutteur qui tombe d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment est meilleur que celui qui est jet\u00e9. Quiconque donne d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment des sons sinueux est meilleur que celui dont la voix est naturellement laide. Tout le monde pr\u00e9f\u00e9rera \u00eatre d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment en retard plus que d’\u00eatre oblig\u00e9 d’\u00eatre oblig\u00e9 de se faire les pieds. Il se comporte donc g\u00e9n\u00e9ralement avec la “justice” (dikaios\u00fdn\u0113) . Selon la compr\u00e9hension, ce terme ne signifie pas seulement une vertu morale dans le sens d’aujourd’hui, mais en g\u00e9n\u00e9ral la capacit\u00e9 de se comporter correctement, de faire le appropri\u00e9 et attach\u00e9. Cette capacit\u00e9 consiste en l’efficacit\u00e9 n\u00e9cessaire, qui – comme l’explique Sokrates – soit une force (Dynamis) Ou est une connaissance ou une connexion des deux. Ceux qui sont plus efficaces que les autres parce qu’ils leur sont sup\u00e9rieurs en termes d’action et d’expertise sont donc “plus justes” et meilleurs. Il peut choisir librement entre la loi et l’injustice, et s’il d\u00e9cide de quelque chose de mal, il le fait expr\u00e8s. Sa libert\u00e9 de choix justifie sa sup\u00e9riorit\u00e9 fondamentale. Celui, qui est sup\u00e9rieur dans ce sens, est in\u00e9vitablement le meilleur. En cons\u00e9quence, s’il fait d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment quelque chose de mauvais, il est meilleur que quelqu’un qui se comporte d’ignorance sans avoir r\u00e9fl\u00e9chi \u00e0 son approche. [11] Hippias refuse d’accepter la conclusion paradoxale, selon le sens g\u00e9n\u00e9ral de la loi. Sokrates s’oppose \u00e0 cela qu’il d\u00e9rive des preuves conjointes avec une n\u00e9cessit\u00e9 obligatoire. N\u00e9anmoins, il ne revendique pas une v\u00e9rit\u00e9 pour sa revendication, mais admet que cela ne le satisfait pas non plus. Il n’a pas \u00e9t\u00e9 possible de clarifier la question. Le dialogue se termine par l’aporia et la perplexit\u00e9. [douzi\u00e8me] Dans sa conf\u00e9rence \u00e0 laquelle le dialogue est li\u00e9, Hippias n’a pas trait\u00e9 de questions philosophiques, mais n’a interpr\u00e9t\u00e9 que la po\u00e9sie. N\u00e9anmoins, Sokrates dirige imm\u00e9diatement la conversation \u00e0 un probl\u00e8me philosophique et essaie d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment de conduire Hippias dans le d\u00e9tenteur et d’imposer une conclusion paradoxale qui contredit le sens juridique et moral commun. Hippias n’est pas cach\u00e9 \u00e0 cette intention. Il accuse le philosophe de chercher habituellement le point le plus difficile sur chaque sujet, puis de le d\u00e9chirer de son contexte et de le regarder isol\u00e9. Il \u00e9pingle ainsi la confusion comme quelqu’un qui est boulevers\u00e9. [13] Hippias reste poli dans l’argument, mais montre l’auto-confidentialit\u00e9 qui a l’air arrogant qui est typique des sophistes dans les dialogues de Platon. Il d\u00e9clare qu’il n’est pas d\u00e9courag\u00e9, m\u00eame s’il n’a pas grand-chose \u00e0 offrir. D\u00e9j\u00e0 au d\u00e9but, il a annonc\u00e9 qu’il connaissait une r\u00e9ponse \u00e0 n’importe quelle question, ici et avec son apparition r\u00e9guli\u00e8re en tant que conf\u00e9renci\u00e8re aux Jeux Olympiques, qu’il a coh\u00e9rents \u00e0 cette occasion. Il affirme \u00e9galement que personne ne l’a jamais d\u00e9pass\u00e9 dans la comp\u00e9tition. [14] Dans le d\u00e9bat, cependant, il se r\u00e9v\u00e8le alors impuissant. Il suit volontiers l’argument avec lequel Socrate a \u00e9t\u00e9 impliqu\u00e9 dans une auto-contradiction, puis n’essaie pas de dissoudre la contradiction, mais est rest\u00e9 fermement jusqu’\u00e0 la fin de son opinion originale. Sokrates admet volontiers, tout comme son interlocuteur ne conna\u00eet pas de solution. N\u00e9anmoins, il parvient \u00e0 exposer Hippias, car il admet lui-m\u00eame ouvertement son ignorance, tandis que Hippias s’est embarrass\u00e9 par sa pr\u00e9tention excessive \u00e0 une comp\u00e9tence compl\u00e8te. Au d\u00e9but, Socrate renforce toujours la vanit\u00e9 prononc\u00e9e du sophiste en prenant son auto-pr\u00eate avec une exub\u00e9rance ironiquement signifiait. Avec un r\u00e9cit de la projection des Hippias sur l’Agora, il d\u00e9core \u00e9galement la repr\u00e9sentation de la pr\u00e9tendue comp\u00e9tence universelle de son partenaire de conversation. En m\u00eame temps, il se distance discr\u00e8tement en se r\u00e9f\u00e9rant \u00e0 l’expression de soi du sophiste. [15] En fin de compte, Socrate exprime sa d\u00e9ception que m\u00eame un “sage” comme Hippias ne pouvait pas l’aider – le “Lay”. [16] L’impression d’un \u00e9chec pitoyable du sophiste est renforc\u00e9e par le contraste avec les attentes \u00e9lev\u00e9es qu’il a initialement gagn\u00e9es. Depuis que Hippias a affirm\u00e9 au d\u00e9but qu’il n’avait jamais \u00e9t\u00e9 inf\u00e9rieur dans la comp\u00e9tition, [17] \u00c0 son avis, son d\u00e9bat avec Socrate a \u00e9galement le caract\u00e8re d’une comp\u00e9tition. Cela se termine par sa premi\u00e8re d\u00e9faite. [18] Le cours de la conversation est \u00e9galement con\u00e7u comme un exemple pratique de la th\u00e8se paradoxale du Socrate. Socrate est le “meilleur”, qui fait d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment une “erreur” et, \u00e0 des fins, il soutient temporairement le mensonge: il favorise une erreur en approuvant apparemment l’auto-\u00e9loge excessif des Hippias, m\u00eame s’il l’a vu \u00e0 travers le d\u00e9but. Hippias a inconsciemment commis cette erreur – son faux auto-\u00e9valuation – parce qu’il n’avait aucune id\u00e9e des limites de sa comp\u00e9tence. Sokrates, en revanche, peut \u00eatre calcul\u00e9 sur elle afin d’obtenir un effet didactique et de conduire l’hippia \u00e0 la conscience de soi. Le cours de la conversation montre la sup\u00e9riorit\u00e9 de l’acceptation consciente d’un mensonge sur l’inconscient. Quiconque conna\u00eet la v\u00e9rit\u00e9 peut temporairement s’impliquer dans le mauvais sens pour provoquer un effet souhait\u00e9; Ceux qui ne les connaissent pas sont impuissants expos\u00e9s \u00e0 leur ignorance. [19] Le Kleinere Hippias La relation entre la sinc\u00e9rit\u00e9 et les mensonges, l’action planifi\u00e9e et irr\u00e9fl\u00e9chie, les connaissances factuelles et la sup\u00e9riorit\u00e9 \u00e9thique. Il s’agit de la question du crit\u00e8re de la “bont\u00e9” ou de “l’excellence” (aret\u1e17), gr\u00e2ce \u00e0 quelqu’un d’autre est sup\u00e9rieur. Selon un point de vue, la sup\u00e9riorit\u00e9 r\u00e9sulte in\u00e9vitablement et directement d’une meilleure id\u00e9e des circonstances respectives, qui se combine avec la capacit\u00e9 d’agir. Ceux qui sont plus blancs et capables d’agir sont n\u00e9cessairement sup\u00e9rieurs en toutes circonstances et sont “meilleurs” qu’un ignorant ou une alt\u00e9ration de la libert\u00e9 d’action, m\u00eame si leur comportement viole les normes morales. La bonne chose n’est pas toujours sinc\u00e8re, mais d\u00e9cide par ou contre l’honn\u00eatet\u00e9. Le classement des personnes, leur \u00abbont\u00e9\u00bb ou leur \u00abm\u00e9chancet\u00e9\u00bb d\u00e9pend de l’\u00e9tendue de la libert\u00e9, avec laquelle ils peuvent faire un choix consid\u00e9r\u00e9 entre diff\u00e9rentes options. Selon l’opinion oppos\u00e9e, bien, entre autres, entre autres, et l’honn\u00eate ne trompe jamais, il ne pourrait pas le faire. En cons\u00e9quence, une personne sinc\u00e8re avec des intentions plus fortes peut \u00eatre meilleure et plus \u00e9logieuse que les autres, m\u00eame s’il est na\u00eff et parle et agit avec crualit\u00e9 par rapport \u00e0 eux. La qualit\u00e9 morale de l’intention est plus importante que la capacit\u00e9 de voir \u00e0 travers la situation respective et de d\u00e9cider d’exp\u00e9dient. L’argument provocateur des Socrates est \u00e9videmment probl\u00e9matique. En mettant l’accent sur son incertitude et le caract\u00e8re hypoth\u00e9tique et provisoire de sa position, il admet \u00e9galement cela. Il ne s’engage pas \u00e0 la cons\u00e9quence \u00e0 laquelle son train de pens\u00e9e l’a conduit. [20] Platon indique clairement qu’aucune solutions finies n’est pr\u00e9sent\u00e9e ici. Le lecteur devrait plut\u00f4t \u00eatre stimul\u00e9 pour r\u00e9fl\u00e9chir au probl\u00e8me pr\u00e9sent\u00e9. [21] En particulier, la relation entre une expertise bas\u00e9e sur l’expertise et une comp\u00e9tence \u00e9thique s’av\u00e8re avoir besoin de clarification. Ici, il y a deux concepts oppos\u00e9s: le volontaire des Hippias, qui prend en compte les intentions respectives de l’acteur, et l’intellectualiste des Socrates, pour laquelle seule l’\u00e9tendue de la perspicacit\u00e9 existante justifie le classement \u00e9thique. Pour Hippias, la sinc\u00e9rit\u00e9 ou l’insinc\u00e9rit\u00e9 est une caract\u00e9ristique fixe, tandis que Socrate assume une pr\u00e9disposition ambigu\u00eb qui permet les deux et s’exprime diff\u00e9remment en raison de la situation. Hippias entre dans une auto-contradiction qu’il ne peut pas dissoudre; Sokrates n’est pas satisfait de son propre concept car il est clair pour lui. Le fait qu’un criminel rus\u00e9 soit meilleur qu’une personne simple est une cons\u00e9quence \u00e0 laquelle les Socrates ne sont pas s\u00e9rieusement commis. Cependant, il semble \u00e9galement inacceptable pour lui le conventionnel, d\u00e9fendu par le jugement d’Hippia, selon lequel quelqu’un qui n’est pas tent\u00e9 en raison de son ignorance et de son incapacit\u00e9 est meilleur que quelqu’un qui peut choisir et choisir quelque chose de mauvais. Une solution est requise qui m\u00e8ne au-del\u00e0 des deux approches. Ce im im Hippias plus petit Laton n’a pas trouv\u00e9 de solution dans d’autres \u0153uvres ( Protagoras , Apologie , Menon , Gorgias ) Laissez les sokrates pr\u00e9sents. En principe, c’est que tout le monde s’efforce du meilleur pour lui et donc personne ne commet un mauvais acte quand il a reconnu sa m\u00e9chancet\u00e9. Chaque mauvaise d\u00e9cision est finalement due \u00e0 l’ignorance. Une v\u00e9ritable perspicacit\u00e9 comprend non seulement la connaissance de l’objectif donn\u00e9, mais aussi toujours la connaissance de la bont\u00e9 ou de la m\u00e9chancet\u00e9 des objectifs. Cette connaissance suit in\u00e9vitablement la bonne action (“intellectualisme \u00e9thique radical”). [22] Par cons\u00e9quent, la perspicacit\u00e9 ne peut jamais commettre intentionnellement une injustice. Bien qu’il puisse agir mal, par exemple en disant au mensonge, mais cela est toujours justifi\u00e9 par un objectif de rangement plus \u00e9lev\u00e9 et donc pas d’injustice, mais correctement. Dans le Hippias plus petit Si cette solution est uniquement indiqu\u00e9e: Socrate constate que quelqu’un qui commet d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment une injustice “s’il y en a un” peut \u00eatre autre que le bien. [23] Le savoir, qui agit toujours d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment et d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment \u00e0 cause de ses connaissances, est toujours le bien. Paradoxalement, il ne peut pas perdre sa bont\u00e9 m\u00eame s’il agit mal. Pour Platon, cependant, ce paradoxe avec lequel le Kleinere Hippias se termine par sa th\u00e8se selon laquelle ce cas ne peut pas se produire. Selon l’interpr\u00e9tation, qui est principalement repr\u00e9sent\u00e9e dans la recherche, Platon nie la possibilit\u00e9 qu’il y en ait “un”: le bon, d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment engag\u00e9, n’existe que th\u00e9oriquement. [24] Michael Erler offre une interpr\u00e9tation quelque peu diff\u00e9rente. Selon elle, Platon dit que ce bien peut \u00eatre r\u00e9alis\u00e9, mais ses actions ne semblent \u00eatre mauvaises que si elle est consid\u00e9r\u00e9e dans une perspective limit\u00e9e. [25] Les deux interpr\u00e9tations ont en commun que, selon l’enseignement de Platon, le bien ne peut jamais faire quoi que ce soit de mal s’il sait qu’il est en fait non seulement mauvais, mais quand toutes les circonstances sont appr\u00e9ci\u00e9es. [26] Un sujet, qui est souvent discut\u00e9 dans la litt\u00e9rature de recherche, est la question de la conclusion de l’argument de Socrate de Platon. Habituellement, les preuves sont critiqu\u00e9es comme incorrectes, mais il y a aussi des voix qui les d\u00e9fendent. [27] Dans certaines \u00e9tudes, il est soulign\u00e9 que le contenu philosophique du dialogue ne peut \u00eatre enti\u00e8rement compris que dans le contexte de la m\u00e9taphysique de Platon. [28] Certains chercheurs croient que Platon IM Hippias plus petit Utilise consciemment us\u00e9 pour atteindre un objectif didactique. [29] Le Kleinere Hippias appartient aux premi\u00e8res \u0153uvres de Platon. Apr\u00e8s l’avis de recherche en vigueur aujourd’hui, il se situe entre l’ex\u00e9cution des Socrates, qui au printemps 399 avant JC. La Colombie-Britannique a eu lieu et le d\u00e9part de Platon en Sicile, qui vers 388 avant JC. BC est cr\u00e9\u00e9. Cependant, certaines antiquit\u00e9s pr\u00e9conisent une formation ant\u00e9rieure, toujours pendant les Socrates. Selon son raisonnement, il ne serait plus possible que Platon ait son professeur, qu’il voulait d\u00e9fendre, soit repr\u00e9sent\u00e9 par Platon, apr\u00e8s l’ex\u00e9cution des Socrates, qui a \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 \u00e0 mort. Il est controvers\u00e9 si l’activit\u00e9 de l’\u00e9crivain de Platon a commenc\u00e9 avant la mort de son professeur. [30] Le contexte historique est l’examen des sophistes par Platon, qui, comme dans d’autres dialogues platoniciens, appara\u00eet ici sous une lumi\u00e8re tr\u00e8s d\u00e9savantageuse. \u00c0 cette \u00e9poque, ses Hippias repr\u00e9sentent des vues communes qu’il est accord\u00e9 par le public contemporain, mais d’une mani\u00e8re si non r\u00e9flexion qu’il est g\u00ean\u00e9 et expos\u00e9 comme vantardise. Platon veut souligner le manque de comp\u00e9tence philosophique des sophistes. Peut-\u00eatre le Kleinere Hippias Dans le m\u00eame temps, une r\u00e9action de Platon \u00e0 une \u0153uvre du philosophe des antisth\u00e9nes a perdu aujourd’hui, dans laquelle l’\u00e9valuation de l’Olysse a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 discut\u00e9e. [trente et un] Antiquit\u00e9 et Moyen \u00c2ge [ Modifier | Modifier le texte source ]] La premi\u00e8re preuve de r\u00e9ception du Hippias plus petit Est une citation dans le m\u00e9taphysique par l’\u00e9tudiant de Platon Aristote. [32] Aristote a pris le sujet des deux dans le m\u00e9taphysique ainsi que dans son \u00c9thique de Nicomachian [33] Position par choisi la capacit\u00e9 de tromper comme crit\u00e8re d’\u00e9valuation, mais la d\u00e9cision (prohair\u00e8se) pour une activit\u00e9 appropri\u00e9e. Il a rejet\u00e9 l’argument pr\u00e9sent\u00e9 dans le dialogue, mais il n’a pas rendu justice \u00e0 la pens\u00e9e de la pens\u00e9e de Platon. [34] Le d\u00e9but du Hippia mineur Dans la premi\u00e8re \u00e9dition, Venise 1513 Dans les r\u00e9glementations de Tetralogi des \u0153uvres de Platon, qui apparemment au 1er si\u00e8cle avant JC BC a \u00e9t\u00e9 introduit, le Kleinere Hippias \u00c0 la septi\u00e8me t\u00e9tralogie. L’historien de la philosophie Diog\u00e8ne Laertios \u00e9tait l’un des \u00e9crits “refus” et a d\u00e9clar\u00e9 comme un titre alternatif “sur les mensonges”. Ce faisant, il a fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 un sc\u00e9nario du mittel platonicien Thrasyllos. [35] Les t\u00e9moins textuels anciens ne sont pas conserv\u00e9s. Le manuscrit pr\u00e9serv\u00e9 le plus ancien de la bo\u00eete de dialogue a \u00e9t\u00e9 fabriqu\u00e9 dans l’empire byzantin au 10\u00e8me si\u00e8cle. [36] Dans le monde des \u00e9rudits de la latin de l’Occident \u00e9tait le Kleinere Hippias inconnu au Moyen \u00c2ge. Cependant, le probl\u00e8me discut\u00e9 dans le dialogue \u00e9tait la fin des \u00e9rudits m\u00e9di\u00e9vaux de la m\u00e9taphysique de l’Aristote avec lequel ils ont trait\u00e9 intensivement. Thomas Aquin l’a trait\u00e9 dans son m\u00e9taphysique -Commentaire. [37] \u00c2ge moderne pr\u00e9coce [ Modifier | Modifier le texte source ]] En Occident le Kleinere Hippias red\u00e9couvert \u00e0 l’\u00e8re de l’humanisme de la Renaissance. La premi\u00e8re traduction latine a cr\u00e9\u00e9 l’humaniste italien Marsilio Ficino. Il l’a publi\u00e9e en 1484 \u00e0 Florence dans l’\u00e9dition totale de ses traductions Platon. [38] La premi\u00e8re \u00e9dition du texte grec est apparue en septembre 1513 \u00e0 Venise pr\u00e8s d’Ado Manuzio dans l’\u00e9dition totale des \u0153uvres de Platon publi\u00e9es par Markos Musuros. [39] Moderne [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au 19e et au d\u00e9but du XXe si\u00e8cle, le concept d’\u00e9thique, le Socrate en Hippias plus petit repr\u00e9sent\u00e9 comme si offensant que certains chercheurs doutaient ou contestent les auteurs de Platon. [40] Le traducteur de Platon influent Friedrich Schleiermacher a augment\u00e9 en 1805 dans l’introduction de la premi\u00e8re \u00e9dition de sa traduction de la Hippias plus petit Dans la deuxi\u00e8me \u00e9dition, il a d\u00e9cid\u00e9 de se conformer \u00e0 l’authenticit\u00e9 du dialogue, en 1818 encore plus clairement d’accepter le faux. Schleiermacher a trouv\u00e9 la pratique de la dialectique \u00e9trange et maladroite. [41] Une autre hypoth\u00e8se est que certains d\u00e9fauts de l’\u0153uvre peuvent \u00eatre dus au fait qu’un projet de Platon avait \u00e9t\u00e9 r\u00e9dig\u00e9 par l’un de ses \u00e9tudiants. [42] Dans des recherches r\u00e9centes, les doutes sur l’authenticit\u00e9 du travail sont largement silencieux, car Aristote est cit\u00e9 – bien que sans nommer Platon en tant qu’auteur. [43] Parfois, cependant, les chercheurs continuent de parler qui ne consid\u00e8rent pas les doutes sur l’authenticit\u00e9 compl\u00e8tement effac\u00e9s. [44] Selon le jugement du philologue Ulrich von Wilamowitz-Moellendorff, le Kleinere Hippias Pas un chef-d’\u0153uvre, juste une “petite chose”. N\u00e9anmoins, il est “extr\u00eamement pr\u00e9cieux” parce que Platon pr\u00e9sente son professeur “sans interf\u00e9rence avec la morale”; Les \u00c9critures ne sont que de la satire, mais enti\u00e8rement satisfaisantes en tant que telles. [45] De m\u00eame, Ernst Heitsch. Il consid\u00e8re le dialogue comme un simple mot, un plaisir litt\u00e9raire; En tant que repr\u00e9sentation ludique de l’art de la conversation, cependant, il est un chef-d’\u0153uvre, \u00e0 la fois dans le choix de son \u00absujet lourde et risqu\u00e9\u00bb ainsi que dans la discussion, dans la caract\u00e9risation indirecte des deux personnes et \u00e0 la fin. [quarante-six] Alfred Edward Taylor manque \u00e9galement d’un objectif relativement modeste du dialogue, mais le trouve brillamment ex\u00e9cut\u00e9. [47] Gerhard M\u00fcller, en revanche, qui loue \u00e9galement la discussion artistique, voit im Hippias plus petit Beaucoup plus que jouer; Il pense que l’aporia laisse la m\u00e9taphysique platonique et l’\u00e9thique “briller”. [48] Aux historiens de la philosophie qui Hippias plus petit Michael Erler et J\u00f6rg Jantzen ne comptent pas comme un gadget, mais consid\u00e9r\u00e9 comme une expression s\u00e9rieuse de la philosophie platonique. [49] Otto apelt (traducteur): Platon: Hippias 1\/2, ion . Dans: Otto Apelt (\u00e9d.): Platon: Tous les dialogues , Vol. 3, Meiner, Hamburg 2004, ISBN 3-7873-1156-4 (traduction avec introduction et explications; r\u00e9impression de la 3e \u00e9dition, Leipzig 1935). Gunther Eigler (\u00e9d.): Platon: fonctionne en huit volumes , Volume 1, 4th Edition, Scientific Book Society, Darmstadt 2005, ISBN 3-534-19095-5, pp. 41\u201381 (empreinte de l’\u00e9dition critique de Maurice Coiset, 9e \u00e9dition, Paris 1966, avec la traduction allemande de Friedrich Schleiermacher, 2e, \u00e9dition am\u00e9lior\u00e9e, Berlin 1818). Ludwig Georgii (\u00fcbersetzer): Hippias der Kleinere . Dans: Erich Loewenthal (\u00e9d.): Platon: Tout fonctionne en trois volumes , Vol. 1, r\u00e9impression inchang\u00e9e de la 8e \u00e9dition, Scientific Book Company, Darmstadt 2004, ISBN 3-534-17918-8, pp. 149-170. Jan-Markus Pinjuh (\u00fcbersetzer): Platon’s Hippias Minor. Traduction et commentaire . 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Kahn: Platon et le dialogue socratique , Cambridge 1996, S. 116\u2013120. \u2191 Michael Priv\u00e9: Platon , B\u00e2le 2007, S. 142; William K. C. Guthrie: Une histoire de la philosophie grecque , Vol. 4, Cambridge 1975, pp. 191f. Pour la cr\u00e9ation de la vie de Socrate, etc. Paul Friedl\u00e4nder: Platon , Vol. 2, 3e, \u00e9dition am\u00e9lior\u00e9e, Berlin 1964, p. 134; Ernst Heitsch: Socrate a-t-il toujours lu les dialogues de Platon? Dans: Gymnase 110, 2003, pp. 109\u2013119; Ernst Heitsch: Platon et les d\u00e9buts de sa philosophie dialectique , G\u00f6ttingen 2004, S. 15\u201319, 25\u201334. \u2191 Andreas Patzer: Antisthenes der Socracy , Heidelberg 1970, S. 174\u2013176; Charles H. Kahn: Platon et le dialogue socratique , Cambridge 1996, S. 121\u2013124; Michael Erler: Platon , B\u00e2le 2007, p. 145; Michael Priv\u00e9: Les Aploris dans les Platons de dialogue , Berlin 1987, pp. 122f. Remarque 11. Fabio Massimo Giuliano plaide contre l’hypoth\u00e8se d’un lien entre les deux \u0153uvres: Platon’s Ulysse. A \u03b6owrows omeric omeric in hippia mineur . Dans: Graziano Arrighetti (Hrsg.): Recherches de philologie classique , Bd. 4: Po\u00e9sie grecque , Pisa 1995, S. 9\u201357, hier: 43\u201350. \u2191 Aristote, m\u00e9taphysique 1025A. \u2191 Aristote, \u00c9thique de Nicomachian 1127b. \u2191 Voir John Phillips: Une \u00e9tude de la “mineure d’Hippias” de Platon , New York 1987 (dissertation), pp. 13-20 et Michael Erler: Les Aploris dans les Platons de dialogue , Berlin 1987, p. 132 Note 38 et la litt\u00e9rature qui y est mentionn\u00e9e. \u2191 Diog\u00e8ne Laertios 3,57-60. \u2191 Pour la livraison de texte, voir Bruno Vancamp (\u00e9d.): Platon: Major Hippias, Hippias Minor , Stuttgart 1996, pp. 10\u201348 (pour le plus ancien manuscrit p. 14f.). \u2191 Michael Priv\u00e9: Les Aploris dans les Platons de dialogue , Berlin 1987, p. 132 ANM. 38. \u2191 Voir ce num\u00e9ro Bruno Vancamp (\u00e9d.): Platon: Major Hippias, Hippias Minor , Stuttgart 1996, S. 50f. \u2191 Voir ce num\u00e9ro Bruno Vancamp (\u00e9d.): Platon: Major Hippias, Hippias Minor , Stuttgart 1996, S. 49f. \u2191 John Phillips: Une \u00e9tude de la “mineure d’Hippias” de Platon , New York 1987 (th\u00e8se), S. 10\u201312; Michael Erler: Platon , B\u00e2le 2007, S. 142; William K. C. Guthrie: Une histoire de la philosophie grecque , Bd. 4, Cambridge 1975, S. 191. \u2191 Friedrich Schleiermacher: Hippias, la plus petite conversation de ce nom. Introduction . Dans: Friedrich Daniel Ernst Schleiermacher: \u00c0 propos de la philosophie de Platon , \u00e9d. Par Peter M. Steiner, Hambourg 1996, pp. 162\u2013167, ici: 165\u2013167. \u2191 Olof Gigon soup\u00e7onne ceci: Introduction . Dans: Platon: dialogue pr\u00e9coce (= \u00c9dition anniversaire de toutes les \u0153uvres , Vol. 1), Zurich \/ Munich 1974, S. V – CV, ici: LXIX. \u2191 John R. Potters: The Sage and the Sophist: un commentaire sur les moindres hippias de Platon . Dans: Interpr\u00e9tation 23, 1995\/1996, S. 41\u201360, Hier: 41f. \u2191 Gerard R. Ledger: Recouvrir Platon , Oxford 1989, S. 158\u2013160; Holger thesleff: Motifs platoniciens , Las Vegas 2009, p. 367. TheSleff envisage la possibilit\u00e9 qu’un \u00e9tudiant de Platon ait \u00e9crit le dialogue. \u2191 Ulrich von Wilamowitz-Moellendorff: Platon. Sa vie et ses \u0153uvres , 5e \u00e9dition, Berlin 1959 (1\u00e8re \u00e9dition Berlin 1919), p. 104. \u2191 Ernst Heitsch: Platon et les d\u00e9buts de sa philosophie dialectique , G\u00f6ttingen 2004, S. 15f., 18, 33. \u2191 Alfred Edward Taylor: Platon. L’homme et son travail , 5e \u00e9dition, Londres 1948, p. 35. \u2191 Gerhard M\u00fcller: \u00c9tudes platoniciennes , Heidelberg 1986, S. 34, 43, 49. \u2191 Michael Priv\u00e9: Les Aploris dans les Platons de dialogue , Berlin 1987, p. 144; J\u00f6rg Jantzen: Platon: Hippias mineur ou le mauvais vrai , Weinheim 1989, p. 112. 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