[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/musique-africaine-traditionnelle-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/musique-africaine-traditionnelle-wikipedia\/","headline":"Musique africaine traditionnelle – Wikipedia","name":"Musique africaine traditionnelle – Wikipedia","description":"before-content-x4 Musique africaine traditionnelle est un nom flou pour la musique jou\u00e9e dans les pays noirs africains, qui est consid\u00e9r\u00e9","datePublished":"2018-03-21","dateModified":"2018-03-21","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/3\/35\/Mbira_dzavadzimu.jpg\/220px-Mbira_dzavadzimu.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/3\/35\/Mbira_dzavadzimu.jpg\/220px-Mbira_dzavadzimu.jpg","height":"212","width":"220"},"video":[null,null],"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/musique-africaine-traditionnelle-wikipedia\/","wordCount":4292,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Musique africaine traditionnelle est un nom flou pour la musique jou\u00e9e dans les pays noirs africains, qui est consid\u00e9r\u00e9 comme non ou uniquement influenc\u00e9 par les styles de musique en dehors de la r\u00e9gion. Le mot \u00abtraditionnellement\u00bb construit un contraste avec la musique accultur\u00e9e et pr\u00e9suppose une musique africaine plus ou moins historiquement inchang\u00e9e, qui peut \u00eatre distingu\u00e9e des influences qui ont \u00e9t\u00e9 ajout\u00e9es depuis la p\u00e9riode coloniale europ\u00e9enne. En fait, la musique africaine a toujours \u00e9t\u00e9 soumise \u00e0 des \u00e9changes culturels r\u00e9gionaux et \u00e0 un d\u00e9veloppement ult\u00e9rieur, des changements et souvent non attribu\u00e9s \u00e0 des groupes ethniques individuels. D’un autre c\u00f4t\u00e9, une telle distinction est n\u00e9glig\u00e9e par une telle distinction entre la musique arabe, tandis que les importations culturelles occidentales sont surchout\u00e9es dans une perspective centr\u00e9e sur l’euro. La musique coloniale des \u00eeles Verdish a \u00e9t\u00e9 fa\u00e7onn\u00e9e par les influences sud-am\u00e9ricaines, des Cara\u00efbes, portugais et ouest-africaines et la musique plus \u00e2g\u00e9e de Madagascar a d’abord \u00e9t\u00e9 influenc\u00e9e par l’Asie du Sud-Est. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Une division en musique classique et en musique de divertissement est une cat\u00e9gorisation europ\u00e9enne et n’est pas applicable \u00e0 l’Afrique. Il y a la musique courtoise des Kingsmen, la musique rituelle et la musique de divertissement de la large population, qui a \u00e9t\u00e9 diff\u00e9renci\u00e9e en fonction de leur utilisation pr\u00e9vue, que l’Afrique ne combine pas n\u00e9cessairement une note. Les rythmes complexes jou\u00e9s avec la batterie ne sont qu’un aspect de la musique africaine, du m\u00eame sens est une tradition orale. Selon la pr\u00e9sence de certains instruments de musique et des styles de jeu, les r\u00e9gions de style individuel peuvent \u00eatre distingu\u00e9es. [d’abord] De nombreuses langues africaines sont des langues sonores dans lesquelles la hauteur est utilis\u00e9e pour diff\u00e9rencier l’importance, et les s\u00e9quences sonores de la musique vocale peuvent donc \u00eatre soumises au ton linguistique. De plus, les auditeurs peuvent entendre des textes significatifs \u00e0 partir de s\u00e9quences de tons instrumentales. La musique africaine et la danse africaine appartiennent ensemble; De nombreuses langues africaines utilisent le m\u00eame mot pour la musique et la danse. Il n’y a pas de mot dans le vocabulaire traditionnel des langues africaines du sens du terme \u00abmusique\u00bb. Dans un contexte plus large, le swahili d\u00e9signe Danse Chaque type de danse communautaire et de musique ainsi que les types de battements d\u00e9termin\u00e9s au niveau r\u00e9gional. Pour le concept Danse L’action communautaire est essentielle. Avec certains \u00e9l\u00e9ments de la th\u00e9orie musicale europ\u00e9enne, le terme \u00abmusique\u00bb – en partie dans une signification diff\u00e9rente – a \u00e9t\u00e9 introduit dans certaines langues africaines, en Swahili, par exemple comme Musique . [2] Les histoires, les masques, la musique et la danse sont toujours li\u00e9s \u00e0 un \u00e9v\u00e9nement social en Afrique noire. La musique \u00e0 entendre ne peut pas simplement \u00eatre modifi\u00e9e, car elle appartient \u00e0 la c\u00e9l\u00e9bration respective ou au rituel. Les formes d\u00e9finies et connues de tout le monde sont en cons\u00e9quence diverses. Une improvisation d’un batteur rencontrerait, par exemple, une incompr\u00e9hension. Cependant, les variantes ne sont nullement interdites, mais m\u00eame n\u00e9cessaires dans une certaine mesure, en particulier pour pouvoir r\u00e9pondre \u00e0 certaines r\u00e9actions des personnes impliqu\u00e9es dans la situation de performance. Cependant, ces variations doivent \u00eatre limit\u00e9es, sinon la langue des instruments sera incompr\u00e9hensible. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4La r\u00e9p\u00e9tition est une partie importante de la musique africaine. Les musiciens et les participants peuvent \u00abvous plonger\u00bb profond\u00e9ment dans la musique lors de l’\u00e9coute et parfois des conditions de type transe. Ce n’est que de cette mani\u00e8re – en maintenant le motif pendant longtemps – la musique peut-elle \u00eatre comprise dans son ensemble. La musique joue un r\u00f4le central dans tous les \u00e9v\u00e9nements et m\u00eame avec les activit\u00e9s quotidiennes. Un festival doit \u00eatre annul\u00e9 si le musicien correspondant voyage ou malade. Les tambours africains peuvent litt\u00e9ralement chanter et parler. Les mod\u00e8les musicaux ont souvent \u00e9merg\u00e9 de la langue. Les coups de tambour individuels d’un motif de rythme doivent diff\u00e9rer clairement par leur hauteur ou leur timbre, sinon ils restent incompr\u00e9hensibles et sans signification. Avec les tambours parlants, qui n\u00e9cessitent souvent des ann\u00e9es de formation, des mots et des phrases entiers peuvent \u00eatre communiqu\u00e9s. La recherche historique a montr\u00e9 que les cultures musicales africaines se d\u00e9veloppent dynamiquement. Par cons\u00e9quent, le concept de \u00abmusique africaine originale\u00bb ne refl\u00e8te qu’une id\u00e9e romantique de l’Occident et est maintenant utilis\u00e9e pour augmenter la valeur marchande de la musique africaine en Occident, mais manque en fait de base. Gerd Grupe d\u00e9crit les styles de musique africaine qui ont \u00e9t\u00e9 remplac\u00e9s par les influences coloniales de la vie quotidienne et les rituels de certains groupes ethniques et sont en partie habitu\u00e9s aux instruments import\u00e9s, mais ne sont pas encore commercialis\u00e9s par des porteurs de son ou d’autres m\u00e9dias comme de la musique “n\u00e9o-traditionnelle”. [3] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Silencieux [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ensemble, les styles de musique africains sont l’expression imm\u00e9diate et la communication des \u00e9motions des chanteurs et des danseurs. De plus, les cultures de l’Afrique sont trop diff\u00e9rentes pour nommer des similitudes pour l’ensemble du continent. Diff\u00e9rents syst\u00e8mes d’argile, musique dans un lien avec le culte, la repr\u00e9sentation, les festivals de village, le divertissement urbain, une industrie musicale commerciale (panneaux de gomme blanche) sont disponibles dans des conditions localement diff\u00e9rentes depuis le d\u00e9but du 20e si\u00e8cle. La musique africaine est rarement \u00abethnique\u00bb dans un sens strict, c’est-\u00e0-dire rigidement li\u00e9 \u00e0 un certain groupe ethnique, mais plut\u00f4t r\u00e9gional. Une division rugueuse en zones de style distingue le Khoisan en Afrique australe de la centrale et de l’Afrique du Sud \u00e0 la parl\u00e9 de Bantus et les r\u00e9gions plus ou moins islamiques-arabiques d’Afrique du Nord, y compris des parties de l’Afrique de l’Est et de l’Ouest. La musique du Khoisan a \u00e0 son tour influenc\u00e9 celle du Xhosa, en particulier son chant de d\u00e9passement ( l’\u00e9cole ), qui imite \u00e9galement les bruits naturels. [4] Alan Lomax a d\u00e9velopp\u00e9 une division plus fine \u00e0 l’aide d’\u00e9valuations statistiques des enregistrements sonores, mais il souligne que le style vocal en particulier a de nombreuses similitudes transculturelles, qui, cependant, ne peuvent cependant pas \u00eatre trouv\u00e9es dans Khoisan et Pygm\u00e4en. [5] Le d\u00e9veloppement et l’utilisation des instruments \u00e9taient plus caract\u00e9ris\u00e9s par des conditions naturelles; Par exemple, avec des tambours en bois, il \u00e9tait li\u00e9 \u00e0 l’existence de grands arbres ou dans les trommers de fourrure tendus du Xhosa \u00e0 la disponibilit\u00e9 de grandes peaux de b\u00e9tail. Le commerce et l’islamisation ont conduit \u00e0 une forte influence de la musique arabe dans de grandes parties de la zone du Sahel et de l’Afrique de l’Est. L’un des \u00e9l\u00e9ments adopt\u00e9s de la r\u00e9gion arabe est Fidel \u00e0 la forme d’une brochette de coquille (par exemple polonais en Afrique de l’Ouest, NOIR en Afrique de l’Est). En Afrique de l’Est, l’influence arabe-islamique s’\u00e9tend au Malawise et \u00e0 la c\u00f4te du Mozambique et \u00e0 la province de Katanga \u00e0 l’est du Congo. Dans ces r\u00e9gions individuelles, l’influence arabe sur la musique de xylophone africaine affecte (cf. noix de coco ). \u00c0 l’inverse, la musique de Schwarzfrica a regard\u00e9 loin au Maroc et au Soudan. [6] En Afrique de l’Ouest, la forte musique rythmique et dansante de la c\u00f4te et de la for\u00eat tropicale (par exemple, la musique de tambour de la Malinke en Guin\u00e9e et en Gambie) peut \u00eatre distingu\u00e9e de la musique de la population r\u00e9pandue de la Savane (par exemple Mali). Les gens qui y vivent de Hausa, Bambara, Mossi, Kanuri, Fulani et Songhai ont connu l’art de l’improvisation rythmique libre et de l’\u00e9chelle pentatonique depuis le 14e si\u00e8cle. Votre musique est plus lente, plus complexe et caract\u00e9ris\u00e9e par des lignes solo en cascades. Une influence arabe particuli\u00e8rement forte, m\u00e9lang\u00e9e aux \u00e9l\u00e9ments africains, indiens et europ\u00e9ens, fa\u00e7onne le style musical de Taarab appartenant \u00e0 la Soci\u00e9t\u00e9 swahili de l’Afrique de l’Est, qui est principalement maintenue sur Zanzibar et Pemba. Le Taarab instrumental est avec un grand orchestre et la majorit\u00e9 des instruments de la musique \u00e9gyptienne classique ( takht ) r\u00e9pertori\u00e9. Les m\u00e9lodies sont bas\u00e9es sur des s\u00e9quences de tones arabes dans des tons quart ou m\u00eame \u00e0 gradation ( Maqamat ). Un ensemble plus petit connexe, financ\u00e9 par le c\u00e9l\u00e8bre chanteur de Taarab Siti Binti Saad (1880-1950) dans les ann\u00e9es 1930 et vers le milieu du 20e si\u00e8cle, est appel\u00e9 guitare wab ( pour- , pr\u00e9fixe r\u00e9duit) ou Kidumbaki (“petit malin \u00ab, Tambour de b\u00e9cher arabe). Il contient plus d’\u00e9l\u00e9ments africains et est pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 avec un violon et non jou\u00e9 dans le Taarab: une basse \u00e0 th\u00e9 Bo\u00eete , petits v\u00e9los tonit\u00e9s tambours kidumbak et cliquetis vasculaire cheeta . [7] Les religions africaines traditionnelles sont souvent animistes. Tout est consid\u00e9r\u00e9 comme inspir\u00e9: les animaux, les plantes et la nature inanim\u00e9e. Le monde surnaturel et invisible des esprits est \u00e9troitement li\u00e9 au monde naturel et \u00e0 travers la musique (le son est “intangible”) les deux mondes communiquent entre eux. Les esprits \u00e0 interviewer ne comprennent pas le mot de mot, mais le langage musical qui y est \u00e9troitement li\u00e9. Avec tous les \u00e9v\u00e9nements importants de la vie sociale (naissance, initiation, circoncision, gu\u00e9rison, mariage, r\u00e9colte, chasse, victimes, inauguration des portes de pouvoir spirituelles et la\u00efques, des fun\u00e9railles, etc.), les esprits et les anc\u00eatres sont interrog\u00e9s, interrog\u00e9s et gracieusement. M\u00eame dans les r\u00e9gions islamiques, le traitement de la musique en tant que force spirituelle est fortement influenc\u00e9 par les pratiques animistes traditionnelles. La musique peut \u00eatre utilis\u00e9e dans des cultures africaines \u00e0 des fins tr\u00e8s diff\u00e9rentes. Des exemples de fonctions sociales de la musique sont: Apprentissage \u00e0 l’\u00e9cole d’initiation: avec l’aide de la musique, les initiateurs apprennent le contenu cognitif de leur culture Repr\u00e9sentation des dirigeants la\u00efques: tambours et trompettes royaux (comme la longue trompette trompette avec le logea) incarne la r\u00e9putation sociale et l’autorit\u00e9 politique. Mise en \u0153uvre de rituels morts (par exemple le Bira par Stella Chiweshe) Accompagnant les mythes, les l\u00e9gendes et les chroniques des prix des chanteurs Musique \u00e0 danser – jusqu’aux formes “s\u00e9cularis\u00e9es” de la musique rock africaine, en particulier dans les villes Musique pour la d\u00e9tente, la d\u00e9tente, les divertissements, comme une berceuse Musique pour transmettre des nouvelles \u00e0 travers des tambours Certains instruments de musique sont caract\u00e9ristiques d’une certaine origine ethnique ou d’une certaine tradition culturelle. Donc z. B. le Col\u00e8re de l’esprit Utilis\u00e9es par le Shona pour contacter les anc\u00eatres et pour le divertissement, d’autres lamellophones servent exclusivement \u00e0 l’adoration. Le tambour du b\u00e9cher Du – doga D’un autre c\u00f4t\u00e9, est un instrument de musique non sp\u00e9cifique qui est r\u00e9pandu dans la jeune musique populaire d’Afrique de l’Ouest et qui aime \u00eatre une r\u00e9putation dans la musique pop internationale. [8] Le son est venu le 17 \/ 16e Century c. Colombie-Britannique d’Asie occidentale d’abord \u00e0 l’\u00c9gypte. [9] Certains types d’instruments peuvent \u00eatre attribu\u00e9s \u00e0 une certaine r\u00e9gion, de sorte que les harpes Sting ne sont r\u00e9pandues qu’en Afrique de l’Ouest et en arch\u00e9harfen dans une certaine zone d’Afrique centrale et orientale. D’un autre c\u00f4t\u00e9, les brochettes de coquille peintes avec la feuille se produisent dans les deux r\u00e9gions, comme le polonais Dans la r\u00e9gion du Soudan et le NOIR en Tanzanie. Les instruments de musique sont souvent reconnaissables comme des importations culturelles. Le tambour carr\u00e9 apport\u00e9 par des esclaves africains a pratiqu\u00e9 une influence consid\u00e9rable sur la musique de l’Afrique de l’Ouest au 19e si\u00e8cle et dans la premi\u00e8re moiti\u00e9 du 20e si\u00e8cle boutons Et la musique a jou\u00e9 avec. Instruments SAIT: Harfen: Stegharfen Kora, Bolon et Un morceau , Angle Harp Ardin , Bogenharfen Un autre, et d\u00e9sert, lapin Sons lanc\u00e9s (le porteur de cordes est une tige simple qui est branch\u00e9e \u00e0 travers un corps de r\u00e9sonance en bois, un \u00e9talonnage ou par exemple une armure de tortue): Endingidi, Goge, Imzad, Masinko, Zezze Brochettes int\u00e9rieures (la tige se termine \u00e0 l’int\u00e9rieur du corps de r\u00e9sonance): Gimbri, TidInit, Ngoni, tante, Keleli Halslauten: Ramkie Sous: Kara, litune Zithers: Stabzither Plus fort , Plattstabz NOIR , R\u00f6hrenz Valiha , Halbr\u00f6hrenz \u00e0 Gabbuhuru, Salnage (obsol\u00e8te), Brettz soit Bangwe , Schalenzother Inanga, ligombo , Kerbstegz poubelle Mundsb\u00f6gen: pavillon (Cordes caress\u00e9es), mykwest (arrach\u00e9), \u00e9gout (arrach\u00e9 ou battu), nwagging (T\u00f4le r\u00e2p\u00e9e) Arches de musique avec cha\u00eene indivise: en haut (Saite attach\u00e9), Pluriarc; Avec Slinge vocal: depuis ; Forme pr\u00e9coce: Terre Arc Tambours: Idiophone: Lamellophone: la moisson sous Col\u00e8re de l’esprit , aussi Kalimba, Likmbe, Kadongo, Nsansi Xylophone: Amadinda, Balafon, noix de coco, Mendzan, Valimba La poign\u00e9e de poing: gankogui Tambours \u00e0 fente Racule: radel Rassel Kayamba Supprimer l’instrument: ferrinho (Ironic Schrapstab, Cape Verden) Instruments \u00e0 vent: Les \u00e9chelles sonores pentatoniques ou heptatoniques sont principalement utilis\u00e9es; La taille de l’intervalle varie r\u00e9gionalement et parfois s’\u00e9carte consid\u00e9rablement de l’\u00e9chelle tremp\u00e9e europ\u00e9enne. Le melos est principalement \u00e9troit au niveau et tombant; Les intervalles plus petits pr\u00e9valent. Les motifs courts sont souvent r\u00e9p\u00e9t\u00e9s, vari\u00e9s ou s\u00e9quenc\u00e9s. L’id\u00e9al de la voix lorsque le chant est principalement rauque et guttural rugueux, jusqu’\u00e0 des cris aigus. Les tonalit\u00e9s des langues africaines respectives peuvent \u00eatre imit\u00e9es avec divers instruments. Deux tambours du Sabar du S\u00e9n\u00e9gal La musique traditionnelle en particulier en Afrique de l’Ouest a une vari\u00e9t\u00e9 de rythmes de percussion complexes avec Syncope et Cross Beats. [dix] Donc B. Un mod\u00e8le rythmique identique jou\u00e9 et s’est d\u00e9plac\u00e9 contre lui-m\u00eame pour que les accents ne s’effondrent pas. Dans les cas extr\u00eames, quatre rythmes sont combin\u00e9s (polyrythmique). [11] Il n’y a pas de mot pour le rythme dans de nombreuses langues africaines; Le rythme est une explication \u00e9l\u00e9mentaire de la vie et de l’expression du corps. De nombreuses danses r\u00e9gionales sont caract\u00e9ris\u00e9es par des rythmes sp\u00e9cifiques. La musique du Wolof a son propre rythme qui remonte \u00e0 la musique des s\u00e9rians, dans laquelle le Smithy \u00e9tait \u00e9galement un ma\u00eetre de tambour. Le mot patient En m\u00eame temps, de tambours de stand simple de diff\u00e9rentes tailles, un rythme de danse, une forme musicale et un festival traditionnel du Wolof. La danse est g\u00e9n\u00e9ralement accompagn\u00e9e d’un Griot, un conteur. [douzi\u00e8me] La musique de percussion du Yoruba utilise le tambour de sablier r\u00e9pandu en Afrique de l’Ouest lubrifiant . [13] Avec lui, la tonalit\u00e9 de la langue yoruba peut \u00eatre imit\u00e9e (“tambour parlant”). Les rythmes de danse du Yoruba ont permis une influence significative sur la musique cubaine et br\u00e9silienne en tant qu’esclave en raison du retard de nombreux membres de cette nation et se sont pr\u00e9cipit\u00e9s dans la musique populaire africaine, en particulier la Highlife et le J\u00f9j\u00fa. Des formes de musique n\u00e9o-traditionnelles qui sont \u00e9merg\u00e9es en continu de formes plus anciennes et ne sont soumises que de quelques influences occidentales, mais ont n\u00e9anmoins connu plus de changements que des formes rituellement ou c\u00e9r\u00e9monielles parce qu’elles servent des objectifs de divertissement pur. [14] Sous l’influence du gospel am\u00e9ricain et de la musique de l’\u00c9glise europ\u00e9enne, la musique des travailleurs de randonn\u00e9e zoulou, qui combine le rythme, l’harmonie et la m\u00e9lodie sous une forme \u00e9quilibr\u00e9e, a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e avant 1900. Il a \u00e9t\u00e9 oubli\u00e9 pendant longtemps et a \u00e9t\u00e9 red\u00e9couvert vers 1980. Le chant a cappella des hommes multi-voix est appel\u00e9 isicathamiya (“se faufiler”). \u00c9tant donn\u00e9 que cette musique est profond\u00e9ment ancr\u00e9e dans l’organisation sociale et dans le syst\u00e8me religieux du zoulou et sa fonction sociale – le renforcement du sens de la communaut\u00e9 et l’expression du pouvoir et de la masculinit\u00e9 – est plus important que la fonction de divertissement, elle peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9e comme un autre type de musique africaine n\u00e9o-traditionnelle. La musique chorale n\u00e9o-traditionnelle du Tswana et de Sotho lie \u00e9galement dans les traditions religieuses et chr\u00e9tiennes traditionnelles. Les instruments traditionnels, mais aussi modernes, sont utilis\u00e9s tels que le Qatara \u00e0 trois faces (guitare), l’accord\u00e9on et le tambour du baril de p\u00e9trole. D’une certaine mani\u00e8re, la mondialisation constitue un facteur protecteur pour la pr\u00e9servation de la musique africaine acoustique. La demande europ\u00e9enne pour les \u00abanciens\u00bb sons sans renforcement \u00e9lectrique offre \u00e9galement aux traditionalistes une opportunit\u00e9. Cela s’applique en particulier \u00e0 la musique ouest-africaine. Wolfgang Bender: Douce m\u00e8re: musique africaine moderne . Trickster-Verlag, Munich 1985, ISBN 3-923804-10-5 Paul F. Berliner L’\u00e2me de Mbira: musique et traditions du peuple Shona du Zimbabwe . The University of Chicago Press, 1978 Monique brandiement: Kora Kosi. La musique de l’Afrique. Palmyra, Heidelberg 2001, ISBN 3-930378-39-6 (livre et cd) John Miller Cheroff: Rythmes de la communaut\u00e9: musique et sensibilit\u00e9 dans la vie africaine . Peter-Hammer-Verlag, Wuppertal 1999, ISBN 3-87294-838-5 Jacqueline Cogdell Djedje (\u00e9d.): Augmente le volume! Une c\u00e9l\u00e9bration de la musique africaine . UCLA Fowler Museum of Cultural History, Los Angeles 1999. ISBN 0-930741-76-5 UND ISBN 0-930741-77-3 Gerhard cube: Pour comprendre la musique africaine . 2e \u00e9dition. Lit Verlag, Vienne 2004, ISBN 3-8258-7800-7 Erich Stockmann: La culture musicale en Afrique . Verlag Neue Musik, Berlin 1987, ISBN 3-733-0009-2 Joseph H. Kwabena Nketia: La musique de l’Afrique . Otto Heinrich Noetzel Verlag, Wilhelmshaven 1991 (3e \u00e9dition) ISBN 3-7959-0255-X Volker Sch\u00fctz: Musique en Afrique noire. Classeur pour les cours de musique aux niveaux secondaires. Avec Double CD. Institut Oldershausen pour la musique populaire didactique, Oldershausen 1992 Ulrich Wegner: Instruments de cordes africains (avec Music Cassette), Mus\u00e9es d’\u00c9tat de propri\u00e9t\u00e9 culturelle prussienne, Berlin 1984, ISBN 3-88609-117-1 Anthologie de la musique de l’Afrique noire En trois CD. 1: Sonar Senghor et sa troupe: Afrique perdue . Tradition en 1997 (enregistrements du d\u00e9but des ann\u00e9es 1950) \u2191 Gerhard cube: Histoire de la musique en images: Afrique de l’Est. (Bande 1: Ethnologie musicale. Livraison 10) VEB Deutscher Verlag pour la musique, Leipzig 1982, p. 5f \u2191 Gerhard cube: Quelques concepts de base et concepts de la recherche musicale africaine. Dans Ders.: Pour comprendre la musique africaine. Lit, Vienne 2004, p. 61. \u2191 Groupe Gerd: Tradition et modernit\u00e9 dans la musique populaire africaine. Dans: Claudia Bullerjahn, Hans-Joachim Erwe (\u00e9d.): Le populaire dans la musique du 20e si\u00e8cle. Traits et manifestations. Olms, Hildesheim 2001, pp. 161\u2013201. \u2191 David Dargie: Musique Xhosa: ses techniques et ses instruments, avec une collection de chansons. Vol. 1, (bande principale), Cape Town et a. 1988. \u2191 Gerhard cube: Pour comprendre la musique africaine: essais. 2e \u00e9dition, M\u00fcnster 2004, p. 10. \u2191 Gerhard cube: Pour comprendre la musique africaine: essais. 2e \u00e9dition, M\u00fcnster 2004, p. 14. \u2191 Janet Top Fargion: Taarab Music \u00e0 Zanzibar au XXe si\u00e8cle: une histoire de \u00abOld Is Gold\u00bb et des esprits volants. ( \u00c9tudes SOAS en musique ). Ashgate, Surrey 1994, S. 94 \u2191 Groupe Gerd: Signe d’appartenance et des moyens de d\u00e9marcation. Processus de la Fondation d’identit\u00e9 d’un point de vue musical de l’ethnom . Dans: Wolfgang Auhagen, Claudia Bullerjahn, Holger H\u00f6ge (\u00e9d.): Psychologie musicale – S\u00e9lection musicale sur le Fondation d’identit\u00e9 et la modulation des \u00e9motions. Hogrefe, G\u00f6ttingen 2011, p. 16 \u2191 Ricardo Eichmann: \u00c9tendus de luttes du nouveau royaume et de la p\u00e9riode copte de l’\u00c9gyt antique. Dans: Iconea 2011, S. 25\u201337. \u2191 126 rythmes de percussion ouest-africains \u2191 Arthur Morris Jones: Rythme africain. Institut africain international, Londres 1954. \u2191 Sabar sur www.youtube.com \u2191 Dundun sur www.youtube.com \u2191 Voir pour le Ghana: Urban Bareis: Formen Neo-traider Musak \u00e0 Kpando, Ghana. Dans: Veit Erlemann (\u00e9d.): Musique populaire en Afrique. Publications of the Museum of Ethnology Berlin, New Episode 53, 1991, pp. 59-108. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/musique-africaine-traditionnelle-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Musique africaine traditionnelle – Wikipedia"}}]}]