[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/police-criminelle-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/police-criminelle-wikipedia\/","headline":"Police criminelle – Wikipedia","name":"Police criminelle – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le Police criminelle (familier: Criminel ) fait partie de la police qui, contrairement \u00e0 la police protectrice, se pr\u00e9occupe","datePublished":"2023-11-26","dateModified":"2023-11-26","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","height":"19","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/police-criminelle-wikipedia\/","wordCount":3786,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Le Police criminelle (familier: Criminel ) fait partie de la police qui, contrairement \u00e0 la police protectrice, se pr\u00e9occupe essentiellement de la pers\u00e9cution des crimes et de leur contraception. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les formes organisationnelles de la police criminelle sont diff\u00e9rentes en R\u00e9publique f\u00e9d\u00e9rale d’Allemagne, car les affaires polici\u00e8res rel\u00e8vent g\u00e9n\u00e9ralement du domaine de la responsabilit\u00e9 des \u00c9tats f\u00e9d\u00e9raux. Ainsi, la police criminelle peut \u00eatre structur\u00e9e et organis\u00e9e diff\u00e9remment dans chaque pays. Cependant, comme la police criminelle est responsable de la lutte contre les crimes graves partout, il existe certains domaines de crime qui sont trait\u00e9s partout par la police criminelle. Cela comprend les champs de bureau suivants: Crimes capitaux (homicide, enqu\u00eates sur les incendies, vol et extorsion) Crimes contre l’auto-d\u00e9termination sexuelle Vermistsachbearbeitung Band Offspring (stup\u00e9fiants, jeu, crime organis\u00e9, infractions en argent contrefait) Crimes par et \u00e0 l’inconv\u00e9nient des enfants et des adolescents Infractions commerciales (criminalit\u00e9 \u00e9conomique, fraude, criminalit\u00e9 informatique, corruption) Infractions immobili\u00e8res (vol \/ cambriolage) (ce domaine de la criminalit\u00e9 a \u00e9t\u00e9 transf\u00e9r\u00e9 \u00e0 la police de protection par endroits, par exemple \u00e0 Baden-W\u00fcrtemberg)) Staatschutzdelikte Services de service tels que le service p\u00e9nal, la recherche, le commandement op\u00e9rationnel mobile, le service de reconnaissance \/ la s\u00e9curisation des preuves, la criminalistique informatique, la protection des t\u00e9moins, les comp\u00e9tences financi\u00e8res et le leadership VP Les membres du bureau f\u00e9d\u00e9ral de la police p\u00e9nale, du bureau de la police p\u00e9nale de l’\u00c9tat et des services de police p\u00e9nale locaux fournissent principalement leur service dans les v\u00eatements civils. Ce sont des agents d’application et se montrent avec le timbre de service criminel et avec le bureau. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Un repr\u00e9sentant professionnel qui a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9 en particulier pour les officiers criminels est le gouvernement f\u00e9d\u00e9ral des officiers criminels allemands. Table of ContentsHistoire [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9buts [ Modifier | Modifier le texte source ]] R\u00e9publique de Weimar [ Modifier | Modifier le texte source ]] Socialisme national [ Modifier | Modifier le texte source ]] P\u00e9riode d’apr\u00e8s-guerre [ Modifier | Modifier le texte source ]] R\u00e9publique F\u00e9d\u00e9rale [ Modifier | Modifier le texte source ]] R\u00e9publique d\u00e9mocratique allemande [ Modifier | Modifier le texte source ]] Histoire [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9buts [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les tribunaux \u00e9taient \u00e0 l’origine responsables de l’enqu\u00eate (voir la proc\u00e9dure d’inquisition), par laquelle les t\u00e9moignages et les confessions principalement vers\u00e9s ont \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9s comme des preuves (voir le serment de nettoyage, goutte d’origine). En raison de l’augmentation de la criminalit\u00e9 dans les grandes villes croissantes, les propres autorit\u00e9s de l’application des lois ont rendu n\u00e9cessaire le fait de soulager les tribunaux. Les premiers d\u00e9buts de la police criminelle se trouvent \u00e0 Berlin. En 1799, une supervision de la juridiction criminelle Criminalkommission imm\u00e9diate form\u00e9 \u00e0 la cour de la chambre, celui Inspecteur criminel , trois Commissarien criminel et deux Criminel-secr\u00e9taires Sous r\u00e9serve de toutes les enqu\u00eates et interrogatoires n\u00e9cessaires pour clarifier les crimes et les infractions. Pour effectuer les t\u00e2ches, ils ont \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9s \u00e0 fonctionner dans des cas exceptionnels sans uniforme. En fait, ils ont \u00e9t\u00e9 les premiers policiers en Allemagne. La Commission a \u00e9t\u00e9 dissoute en 1804 et les fonctionnaires du nouveau D\u00e9putation criminelle du tribunal de la ville sous le directeur Diederich Friedrich Carl von Schlechendal. Avec la nomination de Bad Ends en tant que chef de la police en 1811, les six policiers ont \u00e9t\u00e9 repris par le si\u00e8ge de la police de Berlin. [d’abord] [2] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Pendentif mammaire de la police criminelle La comp\u00e9tence d’enqu\u00eate de la police dans les cas de crime par le R\u00e8glement de la police de Berlin d\u00e9termin\u00e9 du 1er avril 1811. L’autorit\u00e9 de la police a \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9e \u00e0 clarifier les crimes sur sa propre responsabilit\u00e9 et \u00e0 traiter les cas sans implication imm\u00e9diate des tribunaux. En 1820, le titre de poste \u00e9tait \u00e0 Berlin Commissaires au crime Cependant, la s\u00e9paration organisationnelle entre la police protectrice et la police p\u00e9nale n’a pas eu lieu en 1872. Il s’agissait de la naissance d’une organisation de police p\u00e9nale ind\u00e9pendante en Prusse, qui a ensuite \u00e9t\u00e9 repris dans d’autres parties de l’Allemagne. En plus de Berlin, la police a \u00e9t\u00e9 r\u00e9form\u00e9e \u00e0 Br\u00eame (1853) et \u00e0 Hambourg (1875). Vers la fin du 19e si\u00e8cle, toutes les grandes villes allemandes avaient une police criminelle. Apr\u00e8s que cette sp\u00e9cialisation ait pr\u00e9valu dans la police, une division dans les champs criminels n’\u00e9tait pas loin: en 1855, la premi\u00e8re commission d’homicide a \u00e9t\u00e9 appel\u00e9e \u00e0 Berlin \u00e0 l’occasion du meurtre de Dickerhoff. Le service de reconnaissance a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9 \u00e0 Berlin en 1886. La n\u00e9cessit\u00e9 d’une coop\u00e9ration nationale a \u00e9t\u00e9 reconnue tr\u00e8s t\u00f4t. En cons\u00e9quence, la cr\u00e9ation d’un bureau central a \u00e9t\u00e9 demand\u00e9e en 1897 lors d’une conf\u00e9rence de police \u00e0 Berlin pour assurer une meilleure coop\u00e9ration entre les \u00c9tats f\u00e9d\u00e9raux et les villes libres. R\u00e9publique de Weimar [ Modifier | Modifier le texte source ]] En 1925, le bureau de la police p\u00e9nale de l’\u00c9tat de Prusse a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9 comme le bureau central, \u00e0 partir duquel le bureau de police du Reichskriminal a \u00e9merg\u00e9 en 1937. Des points centraux ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9s dans les autres pays. La police criminelle, qui a \u00e9merg\u00e9 dans les ann\u00e9es 1920, \u00e9tait principalement responsable des criminels, des victimes et des t\u00e9moins mineurs et existait jusqu’aux ann\u00e9es 1970. La Commission internationale de la police criminelle (IKPK), le pr\u00e9curseur de l’Interpol d’aujourd’hui, a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9e \u00e0 Vienne le 7 septembre 1923. Leur objectif \u00e9tait l’am\u00e9lioration de l’\u00e9change de nouvelles et la modernisation de la lutte contre le crime. \u00c0 cette fin, un dossier d’empreintes digitales centrale a \u00e9t\u00e9 introduit et le mandat d’arr\u00eat international a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9. Comme presque aucune branche de l’administration interne, le Kripo de la R\u00e9publique de Weimar a \u00e9t\u00e9 soumis \u00e0 une tendance rapide \u00e0 la modernisation. Cette pression de modernisation et de professionnalisation de la politique et du public a certainement \u00e9t\u00e9 \u00e9galement d\u00e9clench\u00e9e par des crimes spectaculaires, tels que des meurtriers sexuels, pour enfants ou en s\u00e9rie, des “clubs de ring” criminels ou des gangs cambrioleurs notoires, dont les cas sont appel\u00e9s au lecteur des nouveaux m\u00e9dias de masse et des politiciens \u00e0 appeler \u00e0 une modernisation du v\u00e9hicule de la police criminelle. Les fr\u00e8res et les crackers de faillite Franz et Erich Sass (Berlin) ou les tueurs en s\u00e9rie Fritz Haarmann (Hanover) et Peter K\u00fcrten (D\u00fcsseldorf) sont parmi les plus beaux exemples connus de la fa\u00e7on dont les crimes ont \u00e9t\u00e9 per\u00e7us et controvers\u00e9s par le discours public.En cons\u00e9quence, les m\u00e9thodes de travail suivantes ont \u00e9t\u00e9 fondamentalement r\u00e9form\u00e9s ou compl\u00e8tement nouvellement introduits dans les ann\u00e9es 1920: la dactyloscopie, une analyse professionnelle des points d’incendie, la communication par t\u00e9l\u00e9phone et les t\u00e9l\u00e9phones, l’utilisation efficace des syst\u00e8mes de cartographie, le service de reconnaissance et les preuves s\u00e9curisant, la prophylaxie et l’\u00e9ducation, la cr\u00e9ation d’une police de la criminalit\u00e9 f\u00e9minine et le dernier, mais pas le moins un changement g\u00e9n\u00e9ral de l’image en \u00abami et \u00e0 ses cernes\u00bb. Socialisme national [ Modifier | Modifier le texte source ]] Pendant le r\u00e8gne des nationaux socialistes, la police allemande \u00e9tait \u00e9galement \u00e9gale. Si la R\u00e9publique de Weimar \u00e9tait toujours ressentie comme un \u00c9tat constitutionnel humiliant, qui avait de nombreuses restrictions formelles sur le travail criminel dans la “lutte contre le criminalisme” (Kurt Daluege), apr\u00e8s 1933, on se sentait de ces cha\u00eenes dans les cercles de Kripok. Le “Habit Criminal Act”, d\u00e9j\u00e0 annonc\u00e9 en 1933, a \u00e9largi \u00e9norm\u00e9ment la port\u00e9e du Kripo contre les habitudes pr\u00e9sum\u00e9es ou les criminels professionnels, mais a \u00e9t\u00e9 une annulation de l’\u00c9tat constitutionnel d\u00e9mocratique. Cette \u00e9volution a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9rablement avanc\u00e9e par les bbbyistes et th\u00e9oriciens criminels apr\u00e8s 1933, ce qui a augment\u00e9 le travail paralysant de plus en plus dans l’id\u00e9ologie nazie. En outre, le Kripo a maintenant \u00e9t\u00e9 fondamentalement restructur\u00e9 et centralis\u00e9: apr\u00e8s la cr\u00e9ation de Heinrich Himmler \u00e0 la t\u00eate de la police allemande en 1936, la police p\u00e9nale a \u00e9t\u00e9 affect\u00e9e au secr\u00e9taire \u00e0 la police de la s\u00e9curit\u00e9. Le Bureau de la police p\u00e9nale du Reich (RKPA), qui n’\u00e9tait pr\u00e9vu que jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent, a \u00e9t\u00e9 construit en 1936\/1937 et a fourni des pouvoirs appropri\u00e9s. Le RKPA \u00e9tait des policiers criminels (KPLST) \u00e0 K\u00f6nigsberg I. Pr., Stettin, Berlin (RKPA AS KPLST), Breslau, Halle an der Saale, Hanovre, Frankfurt Am Main, Cologne, D\u00fcsseldorf, Munich, Dresde, Stuttgart, Hambourg, Bremen et plus tard Vienne, Rechennberg, Danzig et Poznan. Ces centres de contr\u00f4le \u00e9taient \u00e0 nouveau subordonn\u00e9s aux bureaux de la police p\u00e9nale (KPST). Un KPLST a \u00e9galement effectu\u00e9 les t\u00e2ches d’un KPST pour sa zone. Les si\u00e8ges des bureaux ont \u00e9t\u00e9 attribu\u00e9s non seulement des aspects g\u00e9ographiques du crime, mais aussi selon des conditions de pouvoir politique du parti. Par exemple, le KPLST D\u00fcsseldorf \u00e9tait responsable de la r\u00e9gion de Ruhr, bien que la nourriture aurait \u00e9t\u00e9 plus appropri\u00e9e d’un point de vue g\u00e9ographique. Cependant, D\u00fcsseldorf a \u00e9t\u00e9 \u00e9lu en raison du chef de police sup\u00e9rieur. La base de cette r\u00e9organisation a \u00e9t\u00e9 la circulaire pour r\u00e9organiser la police criminelle du Reich le 20 septembre 1936. Sur la base du “d\u00e9cret fondamental sur le contr\u00f4le pr\u00e9ventif par la police” du minist\u00e8re du Reich du 14 d\u00e9cembre 1937 [3] La pression de pers\u00e9cution du national-socialiste Kripo a \u00e9t\u00e9 \u00e9tendue \u00e0 des “criminels professionnels” pr\u00e9sum\u00e9s, \u00e0 “anti-social” et “timide”, sans-abri, travailleurs migrants, “gitans”, prostitu\u00e9es et homosexuels. Dans le soi-disant “Gypsy Grunderla\u00df” du 8 d\u00e9cembre 1939, la police criminelle a \u00e9t\u00e9 charg\u00e9e de fournir des rep\u00e8res. [4] Les th\u00e9oriciens de la criminologie ou des protagonistes du Kripo (Robert Heindl, Robert Ritter ou Paul Werner) ont tent\u00e9 d’expliquer exclusivement la criminalit\u00e9 \u00e0 la suite d’un manque d’hygi\u00e8ne h\u00e9r\u00e9ditaire (biologie criminelle) et donc de ne pas mener le contr\u00f4le du crime pr\u00e9ventif qu’avec les moyens d’\u00e9liminer le racisme social contre tous les \u00e9trangers et les \u00e9trangers.L’historien Patrick Wagner estime que dans ce contexte, un total d’environ 80 000 personnes ont \u00e9t\u00e9 expuls\u00e9es vers des camps de concentration compl\u00e8tement arbitrairement par le Kripo. [5] Le pouvoir central de ce d\u00e9cret a \u00e9t\u00e9 le suivi pr\u00e9vu de la police et la police les a emp\u00each\u00e9s. Lors de la campagne Juni de 1938 seulement, des milliers de personnes ont \u00e9t\u00e9 arr\u00eat\u00e9es et kidnapp\u00e9es. Le Kripo a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 impliqu\u00e9 dans les crimes de masse des op\u00e9rations de la police de la s\u00e9curit\u00e9 et le SD de 1939. La police criminelle allemande doit \u00eatre principalement imput\u00e9e au g\u00e9nocide du Sinti et des Roms (Porajmos). Par exemple, Arthur Nebe, le chef du bureau de la police p\u00e9nale du Reich, a dirig\u00e9 le groupe op\u00e9rationnel SS, par exemple, qui \u00e9tait responsable de 45 467 victimes de meurtre dans les op\u00e9rations correspondantes. [6] En 1939, le bureau principal du Reich Security a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9 aupr\u00e8s du bureau de police de l’\u00c9tat secr\u00e8te, du bureau de police p\u00e9nale du Reich et du service de s\u00e9curit\u00e9 du Reichsf\u00fchrer SS sous la direction de Reinhard Heydrich. Nebe est rest\u00e9 \u00e0 la t\u00eate du Kripo allemand jusqu’en 1944. Son successeur est devenu SS Obersturmbannf\u00fchrer et le conseiller gouvernemental principal Friedrich Panzinger le 15 ao\u00fbt 1944. P\u00e9riode d’apr\u00e8s-guerre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Un an apr\u00e8s la fin de la Seconde Guerre mondiale, les fonctions avec lesquelles les policiers criminels rejet\u00e9s \u00e9taient souvent faux. Il y avait tellement de “faux officiers criminels” avec de fausses “marques de t\u00f4les” qui ont vol\u00e9 des citoyens inoffensifs gr\u00e2ce \u00e0 des commandes de recherche de maisons pr\u00e9d\u00e9finies que le Berliner Zeitung a parl\u00e9 d’un “placement”. [7] R\u00e9publique F\u00e9d\u00e9rale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Vers la fin de la Seconde Guerre mondiale, les pouvoirs victorieux lors des conf\u00e9rences de Jalta et de Potsdam ont d\u00e9cid\u00e9 de d\u00e9noncer, d\u00e9mocratiser et d\u00e9centraliser la police en Allemagne. Les gouvernements militaires individuels de l’Allied ont construit la police dans leurs zones d’occupation conform\u00e9ment \u00e0 leurs id\u00e9es. La d\u00e9centralisation a abouti \u00e0 la responsabilit\u00e9 des pays et a signifi\u00e9 la lutte contre la criminalit\u00e9 selon laquelle les voyageurs et les auteurs locaux ne pouvaient plus \u00eatre combattus efficacement. C’est pourquoi les pouvoirs gagnants ont permis aux conseils parlementaires de Art. 73 et Art. 87 La loi de base (GG) a introduit un r\u00e8glement sp\u00e9cial pour la police p\u00e9nale: “La coop\u00e9ration entre les gouvernements f\u00e9d\u00e9ral et les \u00c9tats ne doit pas s’\u00e9tendre \u00e0 l’ensemble du syst\u00e8me de police, mais n’est li\u00e9 qu’\u00e0 la police criminelle.” [8] En outre, les conseils parlementaires ont \u00e9galement d\u00e9crit l’activit\u00e9 de la police p\u00e9nale, \u00e0 savoir: “convertir, d\u00e9couvrir et poursuivre des crimes importants”. [9] Avec l’entr\u00e9e en vigueur de la loi fondamentale le 23 mai 1949 Art. 73 d\u00e9termin\u00e9 que le gouvernement f\u00e9d\u00e9ral “La l\u00e9gislation exclusive de […] la coop\u00e9ration des gouvernements f\u00e9d\u00e9ral et des \u00c9tats dans la police criminelle …” a. En mars 1951, le Loi sur la cr\u00e9ation d’un bureau f\u00e9d\u00e9ral de la police p\u00e9nale cr\u00e9\u00e9. Dans le m\u00eame temps, des bureaux criminels de l’\u00c9tat ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 mis en place dans les pays, qui sont destin\u00e9s \u00e0 garantir la coordination et le contr\u00f4le de l’information au sein des pays. La sp\u00e9cialisation progressive dans la police criminelle a rendu n\u00e9cessaire de ma\u00eetriser davantage l’\u00e9ventail des domaines de la demande. Au d\u00e9but des ann\u00e9es 1990, il y avait une tendance au sein des pays des pays pour lever la sp\u00e9cialisation. Cela a \u00e9t\u00e9 comment\u00e9 \u00e0 la fois dans la formation de la croissance de la police et sous forme organisationnelle. Dans de nombreuses policiers de la police, la police criminelle a \u00e9t\u00e9 lev\u00e9e comme une succursale s\u00e9par\u00e9e au sein de la police et une formation sp\u00e9cialis\u00e9e a \u00e9t\u00e9 abolie. R\u00e9publique d\u00e9mocratique allemande [ Modifier | Modifier le texte source ]] La police criminelle de la R\u00e9publique d\u00e9mocratique allemande faisait partie de la police du peuple allemande. Au niveau europ\u00e9en, la police et la coop\u00e9ration judiciaire en mati\u00e8re p\u00e9nale sont effectu\u00e9es par Europol. Au niveau international, la coop\u00e9ration polici\u00e8re est effectu\u00e9e par Interpol. En Allemagne, le BKA agit comme un bureau central national. Andreas Mix: Les criminalistes \u00e9prouv\u00e9s d’Hitler . La police criminelle n’\u00e9tait pas une organisation criminelle pendant le national-socialisme, selon les alli\u00e9s. Le Mirror a soutenu cela en 1949 avec une s\u00e9rie d’articles. Quelle erreur de jugement! Dans: Berliner Zeitung . 10. Septembre 2011 ( memoiresdeguerre.com ). Friedrich Wilhelm: “La police de l’\u00c9tat nazi: un glaucicia l’histoire de leur organisation” , ISBN 3-506-77513-8. Imanuel Baumann: “Sur la piste du crime” , ISBN 3-8353-0008-3. Patrick Wagner: “Communaut\u00e9 des gens sans criminels” , ISBN 3-89244-912-0. Police Berlin: “Histoire de la police criminelle \u00e0 Berlin \u00e0 partir de 1945” . \u2191 Bernhard Kaufmann, Edwin Kube: Proc\u00e9dure de preuve et criminaliste en Allemagne: leur d\u00e9veloppement historique . Groupe 13 . Criminalistics Verlag, 1964, S. 124 ( Uni-Tuebingen.de [PDF; consult\u00e9 le 10 septembre 2022]). \u2191 Dominik Glorius: Dans la lutte avec le crime: le d\u00e9veloppement de la police p\u00e9nale de Berlin de 1811 \u00e0 1925. Une consid\u00e9ration historique juridique . BWV Pollam, 2016, ISBN 978-3-8305-3608-6 ( Google.at [Consult\u00e9 le 10 septembre 2022]). \u2191 Imprim\u00e9 par Wolfgang Aya\u00df (\u00e9diteur): “Unserbound”. Sources de pers\u00e9cution de “anti-social” 1933-1945 , Koblenz 1998, n \u00b0 50. \u2191 Friedrich Wilhelm, la police de l’\u00c9tat nazi, Padersborn 1999, ISBN 3-506-77513-8, p. 254. \u2191 Patrick Wagner: Communaut\u00e9 des gens sans criminels. Conceptions et pratique de la police criminelle \u00e0 l’\u00e9poque de la R\u00e9publique de Weimar et du national-socialisme. Christians, Hambourg 1996, (Contributions de Hambourg \u00e0 l’histoire sociale et contemporaine 34). \u2191 Ernst Klee: La personne lexique du Troisi\u00e8me Reich. Qui \u00e9tait avant et apr\u00e8s 1945 . S. Fischer Verlag, Frankfurt AM Main 2003, S. 430 U. 660. \u2191 Ne tombez pas pour chaque marque de t\u00f4le! Inondation de faux policiers , dans: Berliner Zeitung \u00e0 partir du 14 mars 1946, num\u00e9ro 61. \u2191 Maunz \/ D\u00fcrig, Commentez le GG , Art. 73, Rn. 157. \u2191 Maunz \/ D\u00fcrig, Commentez le GG , Art. 87, Rn. 139. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/police-criminelle-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Police criminelle – Wikipedia"}}]}]