[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/polypes-deau-douce-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/polypes-deau-douce-wikipedia\/","headline":"Polypes d’eau douce – Wikipedia","name":"Polypes d’eau douce – Wikipedia","description":"before-content-x4 Polypes d’eau douce ( Hydre ) sont un genre de la classe des Hydrozoen (Hydrozoa), qui appartiennent au tronc","datePublished":"2018-03-21","dateModified":"2018-03-21","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/2\/2f\/Hydravulgaris.jpg\/220px-Hydravulgaris.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/2\/2f\/Hydravulgaris.jpg\/220px-Hydravulgaris.jpg","height":"211","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/polypes-deau-douce-wikipedia\/","wordCount":3669,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Polypes d’eau douce ( Hydre ) sont un genre de la classe des Hydrozoen (Hydrozoa), qui appartiennent au tronc des animaux de l’ortie (Cnidaria). Selon les esp\u00e8ces, les polypes d’eau douce mesurent jusqu’\u00e0 3 cm de hauteur et colonisent l’eau sucr\u00e9e et d’\u00e9coulement, et dans des cas exceptionnels \u00e9galement saum\u00e2tres. Hydre est – si vous Chlorhydrate Pas comme certains auteurs, compte comme un genre ind\u00e9pendant – le seul genre de la famille Hydridae . (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En Europe, il existe au moins 5 types de genre, notamment Hydra vulgaris (Moyen de polype d’eau douce) et Hydra viridissima (aussi Chlorhydrara viridissima ou appel\u00e9 hydra verte; La couleur verte remue de la vie symbionique avec Hydra Chlorella -Algen elle). Hydre Il peut parfois \u00eatre trouv\u00e9 dans les aquariums et est souvent remarqu\u00e9 uniquement lorsqu’il augmente gravement en raison de l’augmentation des options alimentaires. Les repr\u00e9sentants du genre et de la famille vivent comme des polypes solitaires; Aucun stade MEDUS et aucun gonophores, comme cela ne sont communs dans d’autres hydrozoa, ne sont form\u00e9s. Les hydras ont une couronne de tentacules filiformes creux autour de la bouche. La partie inf\u00e9rieure du polype a un volet \u00e0 pied. Il y a une reproduction sexuelle et asexu\u00e9e. Les produits sexuels se d\u00e9veloppent directement dans des projections de type verrue dans l’\u00e9piderme du polype, le m\u00e2le dans la partie sup\u00e9rieure du polype, la femelle dans la partie inf\u00e9rieure. La reproduction indubitable a lieu par brossage, division longitudinale ou transversale. Les \u0153ufs fertilis\u00e9s peuvent s’entourer d’une couverture protectrice et survivre longtemps avant que le petit polype ne glisse. Il existe quatre types de cellules d’ortie: stenotles, deson\u00e8mes, atriche et Holotrich Isorhizen. [d’abord] La paroi corporelle du polype ou de l’hydra d’eau douce se compose de trois couches: la “peau ext\u00e9rieure” (\u00e9piderme ectodermique), la “peau int\u00e9rieure” (gastroderme entodernmal) et une matrice de retenue g\u00e9latineuse, la m\u00e9sogloe So-called L’\u00e9ktoderme et l’entoderme sont form\u00e9s par des cellules. Dans l’ektoderme, il existe des cellules sensorielles ou r\u00e9cepteurs qui absorbent les stimuli environnementaux tels que les courants d’eau l\u00e9gers ou les stimuli chimiques et transmettent des informations sur une continuation des cellules nerveuses dans la couche de support. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4De plus, il y a des capsules d’ortie (CNIDEN) dans l’ectoderme, qui sont jet\u00e9es, lib\u00e8rent un poison paralysant et servent ainsi \u00e0 attraper des proies. Ces capsules d’ortie ne sont pas r\u00e9g\u00e9n\u00e9rables, elles ne peuvent donc \u00eatre jet\u00e9es qu’une seule fois. Ils sont form\u00e9s par des cellules d’ortie (cnidoblastes), qui \u00e0 leur tour \u00e9mergent des cellules interstitielles si appel\u00e9es. Les cnidoblastes et les cellules interstitielles ont en commun que plusieurs cellules individuelles sont connect\u00e9es via des ponts intercellulaires. Avec HYDRA, les capsules d’ortie se produisent fr\u00e9quemment sur les tentacules. Il y a 2500 \u00e0 3 500 capsules d’ortie sur chacun de ces tentacules. Cependant, la plus grande proportion des cellules de l’ectoderme est les cellules musculaires \u00e9pith\u00e9liales, qui sont attach\u00e9es \u00e0 la couche de support avec une extension basale dans laquelle les filaments musculaires sont situ\u00e9s. Les cellules musculaires \u00e9pith\u00e9liales forment des couches musculaires longitudinales le long du corps du polype. En stimulant ces cellules, le polype peut rapidement se contracter. Il existe \u00e9galement des cellules musculaires dans l’entoderme, qui sont appel\u00e9es cellules nutritives en raison de leur fonction, l’absorption des nutriments. Contrairement aux cellules musculaires de l’ectoderme, elles sont dispos\u00e9es dans un anneau. Cela signifie que le polype s’\u00e9tend lorsque les cellules musculaires entodermes se contractent. Le gastroderme entodermique enferme une cavit\u00e9, le gastrocoel ou coelenteron so-appel\u00e9. \u00c9tant donn\u00e9 que cette cavit\u00e9 prend les t\u00e2ches d’un tube digestif et d’un syst\u00e8me vasculaire, on parle d’un syst\u00e8me gastrovasculaire. \u00c0 cette fin, en plus des cellules musculaires nutritives de l’entoderme, il existe \u00e9galement des cellules glandulaires sp\u00e9cialis\u00e9es qui excr\u00e8tent la s\u00e9cr\u00e9tion digestive. De plus, il existe des cellules de remplacement dans l’ektoderme et l’entoderme, qui peuvent convertir en autres cellules ou, par exemple, produire des spermatozo\u00efdes et des cellules d’oeufs (la plupart des polypes sont hermaphrodites). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsSyst\u00e8me nerveux [ Modifier | Modifier le texte source ]] litt\u00e9rature [ Modifier | Modifier le texte source ]] En ligne [ Modifier | Modifier le texte source ]] Individuellement [ Modifier | Modifier le texte source ]] Syst\u00e8me nerveux [ Modifier | Modifier le texte source ]] Comme tous les animaux creux (coelentates), l’Hydra a un r\u00e9seau nerveux. Il n’y a pas de centres de coordination tels que des ganglions ou un cerveau. N\u00e9anmoins, une accumulation de cellules sensorielles et nerveuses et leurs continuations de la bouche et de la tige doivent \u00eatre observ\u00e9es. Les polypes d’eau douce r\u00e9agissent aux stimuli chimiques, m\u00e9caniques et \u00e9lectriques, ainsi que la lumi\u00e8re et la temp\u00e9rature. D\u00e9sajuster le fil d’ortie dans les polypes d’eau douce La nourriture des polypes d’eau douce se compose de petits crabes, des puces d’eau, des larves d’insectes, des acariens, du plancton et d’autres petits animaux de l’eau. Ils sont pris avec l’aide des tentacules. Si un animal touche un tentacule, il est coinc\u00e9 l\u00e0-bas et est paralys\u00e9 par le poison des capsules de l’ortie Shot, peut-\u00eatre \u00e9galement tu\u00e9. Les capsules d’ortie transportent une petite extension, lorsqu’un petit couvercle s’ouvre lorsqu’il est touch\u00e9; Le tuyau de la capsule d’ortie s’\u00e9coule, p\u00e9n\u00e8tre la victime et lib\u00e8re son poison, qui est paralys\u00e9. Le processus de coupe ne prend qu’environ 3 microsecondes. Ensuite, les bras de ventilateur se plient et d\u00e9placent la proie vers l’ouverture de la bouche. De l\u00e0, il entre dans le tractus gastrovasculaire du polype, o\u00f9 il est dig\u00e9r\u00e9 par une s\u00e9cr\u00e9tion des cellules glandulaires et absorb\u00e9 par les cellules musculaires nutritives (endocytose). L’ouverture de la bouche est finalement laiss\u00e9e de c\u00f4t\u00e9. Les polypes peuvent se d\u00e9placer comme le tendeur et avec un “roulement”. Dans le premier cas, le fuselage est inclin\u00e9 sur le c\u00f4t\u00e9 jusqu’\u00e0 ce que le champ oral touche le sol avec les tentacules. L\u00e0, ils se stipulent \u00e0 l’aide de glutinants (un type de capsules d’ortie avec des s\u00e9cr\u00e9tions adh\u00e9sives) pendant une courte p\u00e9riode. L’extr\u00e9mit\u00e9 inf\u00e9rieure du tronc est ensuite tir\u00e9e et le corps est \u00e0 nouveau \u00e9tir\u00e9. Lors du passage du roulement, l’animal frappe \u00e9galement les tentacules sur le sol, mais d\u00e9place le fuselage d’un c\u00f4t\u00e9 \u00e0 l’autre et se redressa \u00e0 nouveau. Polype randonn\u00e9es d’environ 2 cm par jour. En formant une bulle de gaz sur la glande du pied, qui garantit la flottabilit\u00e9, \u00abHydra\u00bb peut \u00e9galement se d\u00e9placer vers le haut dans l’eau. Contrairement \u00e0 la plupart des autres animaux d’ortie, les polypes d’eau douce manquent de g\u00e9n\u00e9ration de MEDUS, ils ne se produisent que sous forme de polypes et n’ont pas de changement de g\u00e9n\u00e9ration (m\u00e9tag\u00e9n\u00e8se). Les hydles peuvent se reproduire sexuellement incontestablement, sous la forme de la germe de nouveaux polypes sur la tige du polype parental, par division longitudinale et transversale ainsi que dans certaines circonstances. Ces circonstances n’ont pas encore \u00e9t\u00e9 compl\u00e8tement clarifi\u00e9es, mais le manque de nourriture joue un r\u00f4le majeur. Les animaux peuvent \u00eatre des hommes, des femmes ou des hermaphrodites. La reproduction de genre est initi\u00e9e par la formation de cellules de genre dans la paroi de l’animal. Les pr\u00e9-arch\u00e9es caract\u00e9ristiques remplies de sperme (“testicules”) se forment dans le tiers sup\u00e9rieur de l’animal et un ovarium avec une grande cellule d’oeuf dans le tiers inf\u00e9rieur d’un animal hermaphrodite. Les \u0153ufs sont toujours f\u00e9cond\u00e9s dans le mur de l’\u00e9piderme. L’\u0153uf f\u00e9cond\u00e9 est soit activement attach\u00e9 \u00e0 la surface par l’animal, soit coule passivement au sol. Cependant, il peut \u00e9galement s’entourer d’une p\u00e9ridermique et survivre pendant des mois sous cette forme. Il survit et g\u00e8le \u00e0 travers cette forme. Ensuite, un petit polype se glisse hors de la p\u00e9riderme. Dans le cas de Polyp, le risque de d\u00e9c\u00e8s n’augmente pas avec l’\u00e2ge. Dans des conditions de cadre id\u00e9ales, il a une esp\u00e9rance de vie de plusieurs si\u00e8cles. [2] Les polypes d’eau douce ont une capacit\u00e9 de r\u00e9g\u00e9n\u00e9ration remarquable. Au lieu de r\u00e9parer les cellules endommag\u00e9es, elles sont constamment remplac\u00e9es par le partage des cellules souches et la diff\u00e9renciation partiellement. Un polype d’eau douce est pratiquement renouvel\u00e9 en cinq jours. La capacit\u00e9 de remplacer m\u00eame les cellules nerveuses est auparavant consid\u00e9r\u00e9e comme unique dans le r\u00e8gne animal. Cependant, il convient de noter que les cellules nerveuses des polypes d’eau douce sont des types de neurone tr\u00e8s primitifs. Certaines populations qui \u00e9taient sous observation depuis longtemps n’ont montr\u00e9 aucun signe de vieillissement. Dans des conditions environnementales optimales constantes, l’\u00e2ge d’un polype d’eau douce peut ne pas \u00eatre limit\u00e9. [3] En 2012, des chercheurs de l’Universit\u00e9 Christian Albrechts de Kiel (CAU) ont d\u00e9crit le facteur de transcription FoxO3 d\u00e9couvert dans HYDRA en 2010 comme un facteur critique dans la r\u00e9gulation de la prolif\u00e9ration des cellules souches. Un produit g\u00e9nique qui se produit \u00e9galement chez les vert\u00e9br\u00e9s et les gens. Cela sugg\u00e8re que les m\u00e9canismes qui contr\u00f4lent la long\u00e9vit\u00e9 sont pr\u00e9serv\u00e9s en \u00e9volution. [4] Une autre propri\u00e9t\u00e9 sp\u00e9ciale des polypes d’eau douce est que leurs cellules se retrouvent \u00e0 nouveau lorsqu’elles sont s\u00e9par\u00e9es les unes des autres ou leur augmentent de nouveaux polypes. Un nouveau individu peut provenir de pi\u00e8ces individuelles de 1\/200 de la masse d’un polype adulte. Les cellules s\u00e9par\u00e9es d’un polype d’eau douce qui ont \u00e9t\u00e9 press\u00e9es \u00e0 travers un r\u00e9seau peuvent \u00e9galement agr\u00e9ger et former un nouvel animal. Cette propri\u00e9t\u00e9 est d’un grand int\u00e9r\u00eat pour la biotechnologie. Les polypes d’eau douce ont d’abord \u00e9t\u00e9 d\u00e9crits scientifiquement en 1702; Ils sont scientifiquement examin\u00e9s depuis 300 ans.Des \u00e9tudes exp\u00e9rimentales entre 1736 et 1744 ont abouti \u00e0 la d\u00e9couverte d’une reproduction malheureuse \u00e0 travers le bourgeonnement et la premi\u00e8re description des processus de r\u00e9g\u00e9n\u00e9ration chez un animal. C’est donc Abraham Trembley qui a principalement trait\u00e9 des polypes d’eau douce (HYDRA). [5] Il a \u00e9t\u00e9 le premier non seulement \u00e0 observer et \u00e0 d\u00e9crire les animaux, mais a \u00e9galement r\u00e9alis\u00e9 des exp\u00e9riences cibl\u00e9es. C’est pourquoi, de l’avis de certaines chefs de premier plan, il a le rang de p\u00e8re de zoologie exp\u00e9rimentale. En 1909, Ethel Browne Harvey a pu montrer que la transplantation de l’hypostome d’un polype d’eau douce ( Hydre ) peut induire un nouvel axe corporel \u00e0 un autre chez l’animal h\u00f4te. Ce faisant, il a lanc\u00e9 les exp\u00e9riences r\u00e9alis\u00e9es par Hans Spemann et Hilde Mangold en 1924, ce qui a conduit \u00e0 la d\u00e9couverte de l’organisateur de Spemann Mangold en 1935 pour attribuer le prix Nobel de physiologie ou de m\u00e9decine. [6] Des chercheurs de l’Universit\u00e9 Christian Albrechts de Kiel ont d\u00e9couvert que le polype d’eau douce Hydra Magnipapillata Une prot\u00e9ine avec le nom Hydramacin-1 forme qui se regroupe litt\u00e9ralement et tue un certain nombre de bact\u00e9ries. [7] Ils ont \u00e9galement r\u00e9ussi \u00e0 isoler le g\u00e8ne associ\u00e9 afin qu’ils puissent produire la prot\u00e9ine sous forme pure. Ils pourraient constater que l’hydramacine-1 peut tuer les ent\u00e9robact\u00e9ries, les cl\u00e9s, les streptocoques et Yersinia \u00e0 des doses relativement faibles. Cependant, il \u00e9tait moins efficace contre certains autres germes, comme Staphylococcus aureus. [8] [9] Le g\u00e9nome complet de Hydra Magnipapillata a \u00e9t\u00e9 s\u00e9quenc\u00e9 depuis 2009. [dix] Les polypes d’eau douce ne tol\u00e8rent que de faibles concentrations de m\u00e9taux lourds, comme le cadmium et d’autres polluants dans leur environnement, c’est pourquoi ils sont utilis\u00e9s comme score pour la contamination de l’eau. La famille Hydridae est dans la “base de donn\u00e9es mondiale de Hydrozoa” [11] plac\u00e9 dans la subordination de Capitata des Anthomedusae. Jean Bouillon et al. (2006), en revanche, a mis Moerisiida Poche, 1914 (avec les Boeromedusidae, Halimedusidae, Moeriiidae et Polyorchidae). Cette position des Hydridae est \u00e0 son tour par tous et al. (2004) ont d\u00e9cid\u00e9ment rejet\u00e9 en raison de donn\u00e9es biologiques mol\u00e9culaires. Ces auteurs combinent la famille Hydridae avec Candelabridae, Corymorphidae et Tubulariidae dans un taxon aplanulata (sans rang hi\u00e9rarchique). Au total, les travaux r\u00e9pertorient 33 types du genre “Hydra”. Certains auteurs placent l’esp\u00e8ce “Hadleyi” et “Viridissima” dans leur propre genre “Chlorohydra” au sein de la famille Hydridae. [douzi\u00e8me] Hydra Americana Hyman, 1929 Hydra Baikalensis Swarczewski, 1923 Hydra Beijingensis Fan, 2003 Hydra canadensis Rowan, 1930 Hydra cauliculata Hyman, 1938 Hydre entour\u00e9e Schulze, 1914 Hydra Daqingensis Fan, 2000 Hydra Hadleyi Forrest, 1959 Hydra Harbinensis Fan & Shi, 2003 Hydra hymanae Hadley & Forrest, 1949 Hydra ihering Cordero, 1939 Hydrra autant Ewer, 1948 HYDRA Intermedia De Carvalho Wolle, 1978 Hydra japonica It\u00f4, 1947 Hydra liriosome Campbell, 1987 Hydra Madra Madagascariensis Campbell, 1999 Hydra Mariana Cox et Young, 1973 Hydra Minima Forrest, 1963 Hydra Mohensis Fan & Shi, 1999 Hydra oligactis Pallas, 1766 Hydra Olegona Griffin & Peters, 1939 Hydra oxycnida Schulze, 1914 Paludicola Hydra It\u00f4, 1947 Hydra parva It\u00f4, 1947 Hydra plagiodesmica Dion, Hydra polymorpha Chen & Wang, 2008 Hydra Robusta (It\u00f4, 1947) Hydra Rutgersensis Forrest, 1963 Hydra salmacidis Lang da Silveira, Souza-Gomes & Souza E Silva, 1997 Rivi\u00e8re Hydra Ewer, 1948 Hydra Utahensis Hyman, 1931 Hydra viridissima Pallas, 1766 Hydra vulgaris Pallas, 1766 litt\u00e9rature [ Modifier | Modifier le texte source ]] Jean Bouillon, Cinzie Gravele, Marc\u00e8s, Joseph Jepired Mary Gil\u00e8s: Une introduction \u00e0 Hydrozoa. M\u00e9moires du Mus\u00e9um national d’ Histoire naturelle, 194: 1-, Publications Scientifiques du Mus\u00e9um, Paris 2006, ISBN 978-2-85653-580-6. Muirtmegan Daly, Mercer R. Bruler, Paulyn Cartwright, Allen G. Collin, Michael N. Dawson, Daphne G. Fautin, Scott C. France, Catherine S. McFaden, Dennis M. Okred, Estefiz, Sandra L. Roma & Stee: Le phylum cnidaria: une revue des mod\u00e8les phylog\u00e9n\u00e9tiques et de la diversit\u00e9 300 ans apr\u00e8s la linnaeus. Zootaxa, 1668: 127\u2013182, Wellington 2007 ISSN 1175-5326 R\u00e9sum\u00e9 – PDF . Allen G. Collins, Silke Winkelmann, Heike Hadrys et Bernd Schierwater: Phylog\u00e9nie de Capitata (Cnidaria, Hydrozoa) et Corynidae (Capitata) \u00e0 la lumi\u00e8re des donn\u00e9es d’ADNr 16S mitochondriales. Scripta Zoo, 34: 91\u201399, 2004 Two: 10.1111 \/ j.1463-6409.2005.00172.x . Volker Storch, Ulrich Welsch, Adolf de son Remander: Zoologie syst\u00e9matique. 6. \u00c9dition. Spectrum Akademischer Verlag, 2003, ISBN 3-8274-1112-2. En ligne [ Modifier | Modifier le texte source ]] Individuellement [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u2191 Marianne Klug, Jakob Weber et Pierre Tardent: Propri\u00e9t\u00e9s h\u00e9molytiques et toxiques des n\u00e9matocystes Hydra Attenuata. Toxicon, 27 (3): 325-339, Oxford 1989 doi: 10.1016 \/ 0041-011 (89) 90180-3 \u2191 Max-Planck-Gesellschaft: Une touche d’immortalit\u00e9 , \u00e0 partir du 8 d\u00e9cembre 2015, invit\u00e9 le 23 septembre 2016 \u2191 D. E. Martinez: Les mod\u00e8les de mortalit\u00e9 sugg\u00e8rent un manque de s\u00e9nescence dans HYDRA. Dans: Exp Gerontol 33, 1998, S. 217-225. PMID 9615920 \u2191 Focus en ligne: “Le secret des jeunes \u00e9ternels est-il ventil\u00e9 ?: Les chercheurs allemands d\u00e9couvrent le g\u00e8ne de l’immortalit\u00e9” – http:\/\/www.focus.de\/gesundheit\/news\/ist-das-geheimnis-entdewiger-jugend-gelueftet-detsche-forscher-entdecken-unsterblichkeits-soesswassertitierche_aid_861836.html \u2191 Abraham Trembley. Le projet d’embryons. Universit\u00e9 de l’\u00c9tat d’Arizona \u2191 Ethel Browne Harvey, le d\u00e9couvreur du ph\u00e9nom\u00e8ne \u00aborganisateur\u00bb qui a vu des prix du prix Nobel \u00abpleuvoir\u00bb autour d’elle (Centre europ\u00e9en de ressources biologiques maritimes) \u2191 Sascha Jung: La clarification de la structure tertiaire du peptide antimicrobien hydramacine-1 \u00e0 l’aide de la spectroscopie RMN h\u00e9t\u00e9ronucl\u00e9aire multidimensionnelle et l’examen de son m\u00e9canisme d’action. Dissertation, Christian-Albrechts-Universit\u00e4t-Mathematical-Science Faculty, Kiel 2008 ( fichier PDF ). \u2191 Sascha Jung, Andrew J. Dingley, Ren\u00e9 Augustin et al.: Activit\u00e9 d’une prot\u00e9ine de la m\u00e9tazoaire basale HYDRA. Dans: Journal of Biological Chemistry. Bd. 284, no. 3, S. 1896\u2013905, deux: 10.1074 \/ jbc.m804713200 ( Texte int\u00e9gral en ligne ). \u2191 Thomas C. G. Boscha, Ren\u00e9 Augustin, Friederike Anton-Erxleben et al .: D\u00e9couvrir l’histoire \u00e9volutive de l’immunit\u00e9 inn\u00e9e: l’hydrame m\u00e9tazoaire simple utilise des cellules \u00e9pith\u00e9liales pour la d\u00e9fense de l’h\u00f4te. Dans: Immunologie d\u00e9veloppementale et comparative. Avril 2009, Bd. 33, no. 4, pp. 559\u2013569, doi: 10.1016 \/ j.dci.2008.10.004 . \u2191 Jarrod A. Chapman et al .: Le g\u00e9nome dynamique de Hydra . Dans: Nature. 25 mars 2010, n \u00b0 464, pp. 592\u2013596 lettre, doi: 10.1038 \/ nature08830 . \u2191 [d’abord] \u2191 Entr\u00e9e Hydridae \u00e0 Itis (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/polypes-deau-douce-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Polypes d’eau douce – Wikipedia"}}]}]