[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rasselatmung-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rasselatmung-wikipedia\/","headline":"Rasselatmung – Wikipedia","name":"Rasselatmung – Wikipedia","description":"before-content-x4 Avec Rasselatmung , Cliquetis , pr\u00e9-finale ou Cliquetis terminal , aussi Cliquetis ( Anglais Affres de la mort )","datePublished":"2023-11-05","dateModified":"2023-11-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/0\/03\/P_medicine_caution.svg\/25px-P_medicine_caution.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/0\/03\/P_medicine_caution.svg\/25px-P_medicine_caution.svg.png","height":"29","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rasselatmung-wikipedia\/","wordCount":3135,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Avec Rasselatmung , Cliquetis , pr\u00e9-finale ou Cliquetis terminal , aussi Cliquetis ( Anglais Affres de la mort ) [d’abord] Appel\u00e9, une respiration bruyante des personnes mourantes est mentionn\u00e9e dans les derni\u00e8res heures ou jours avant la mort. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le bruit d\u00e9coule du fait que les personnes concern\u00e9es ne sont plus en mesure d’avaler des r\u00e9flexes salivales ou de mettre \u00e0 niveau ou de tousser le mucus. Cela provoque \u00e0 son tour une obstruction l\u00e2che (r\u00e9tr\u00e9cissement) dans les voies respiratoires (de la zone de la glottis aux principaux bronches). [2] [3] De plus, les murs de la gorge silencieux peuvent se frapper avec le courant respiratoire et \u00eatre responsables de ce son. [d’abord] Les patients affect\u00e9s sont souvent tr\u00e8s affaiblis et limit\u00e9s dans la conscience jusqu’\u00e0 l’inconscience. On pense que le cliquetis n’est pas per\u00e7u comme stressant par les mourants. [2] Il n’y a aucun risque de respiration ou de suffocation tant que l’inhalation est libre. [4] Parfois, les proches croient que dans une longue respiration de coquin pour reconna\u00eetre les preuves des plaintes et l’inactivit\u00e9 des praticiens. Une clarification correspondante et d\u00e9licate est g\u00e9n\u00e9ralement utile. \u00c9tant donn\u00e9 que le cliquetis peut \u00eatre tr\u00e8s stress\u00e9 comme une indication d’une mort pr\u00e9coce, c’est l’une des raisons pour lesquelles la mort dans les h\u00f4pitaux est g\u00e9n\u00e9ralement amen\u00e9e dans les chambres c\u00e9libataires. La s\u00e9cr\u00e9tion de salive ou de mucus se d\u00e9roule \u00e0 travers les glandes salivaires et la muqueuse bronchique. La perte de la d\u00e9glutition et du r\u00e9flexe de toux provoque une collection des s\u00e9cr\u00e9tions de gorge (oropharynx) et de bronches. [2] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4\u00c0 Bennett [5] Une distinction est faite entre deux types de cliquetis. Type I. [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le type I du cliquetis est cr\u00e9\u00e9 par une s\u00e9cr\u00e9tion accrue de salive dans les derni\u00e8res heures d’un patient inconscient ou conscient. La perte du r\u00e9flexe de d\u00e9glutition se produit soudainement.Cette forme de cliquetis se caract\u00e9rise par une meilleure r\u00e9ponse aux anticholinergiques. [2] Type II [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le type II du cliquetier est caract\u00e9ris\u00e9 par une s\u00e9cr\u00e9tion de slime \u00e0 pr\u00e9dominance bronchique, qui se forme sur plusieurs jours. En raison de la faiblesse croissante, le patient principalement de la garde n’est plus en mesure de tousser efficacement. La probabilit\u00e9 de pneumonie (pneumonie) est tr\u00e8s \u00e9lev\u00e9e. [2] Plus l’intervalle de temps entre l’incapacit\u00e9 de la garde et de la matrice est plus probable, plus le type II se d\u00e9veloppe. Le cliquetis est le sympt\u00f4me le plus fr\u00e9quemment observ\u00e9 au cours des derni\u00e8res heures de la vie d’une personne. Environ 56 \u00e0 92% des mourants se mettent en cliquetis dans cette phase. [6] [7] [8] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Alors que la phase mourante sous exsiccose (s\u00e9chage en raison d’un manque de liquides et \u00e0 la suite de moins de s\u00e9cr\u00e9tion et de cliquetis) est d\u00e9crite comme ne pas atroce [9] l’apparition d’une agonie douloureuse. Cependant, si les traits du visage semblent d\u00e9tendus, la respiration est gratuite et non tendu, le traitement n’est pas n\u00e9cessaire. Si, en revanche, il y a des signes de stress, de soins palliatifs ou de traitement des soins palliatifs indiqu\u00e9s. Les bruits peuvent \u00eatre inconfortables, inqui\u00e9tants et mena\u00e7ants pour les parents ou les infirmi\u00e8res pr\u00e9sentes; Certains craignent que le patient suffoque. De cette fa\u00e7on, une situation de stress existante peut \u00e9ventuellement se resserrer. La t\u00e2che du personnel de supervision est donc principalement des informations sur la cause et l’\u00e9volution du cliquetis ainsi que le stress et l’efficacit\u00e9 de certaines options de traitement symptomatique. [4] [dix] Une restriction de l’apport fluide peut \u00e9ventuellement raccourcir ou soulager la dur\u00e9e ou l’intensit\u00e9 du cliquetis. [11] [douzi\u00e8me] Il a \u00e9t\u00e9 essay\u00e9 tr\u00e8s t\u00f4t pour contenir le cliquetis par aspiration. Cependant, cette mesure n’a de sens que si l’inhalation est entrav\u00e9e par une forte s\u00e9cr\u00e9tion. Sinon, l’aspiration peut causer plus de dommages que les avantages, car le cath\u00e9ter d’aspiration que la s\u00e9cr\u00e9tion ou les bronches, qui est situ\u00e9 profond\u00e9ment dans la trach\u00e9e ou les bronches, ne peut \u00eatre r\u00e9alis\u00e9. Les aspirations constantes ne conduisent donc qu’\u00e0 une production accrue de s\u00e9cr\u00e9tion et peuvent \u00e9galement d\u00e9clencher des saignements. C’est \u00e9galement une proc\u00e9dure inconfortable pour le patient. [2] [4] Il est donc important d’expliquer aux proches que le cliquetis est un sympt\u00f4me typique de la phase finale et que le patient n’a g\u00e9n\u00e9ralement pas d’essoufflement. [13] La th\u00e9rapie m\u00e9dicinale est bas\u00e9e principalement sur l’administration des anticholinergiques:L’administration sous-cutan\u00e9e de scopolamine, qui en plus de l’effet anti-salivatoire (inhibition de la production de salive) a \u00e9galement un s\u00e9datif, est par certains auteurs [14] [15] propos\u00e9 comme traitement et souvent \u00e9galement r\u00e9alis\u00e9 de cette mani\u00e8re. [16] Cependant, les r\u00e9sultats de deux \u00e9tudes sont contradictoires en termes d’efficacit\u00e9. Au moins pour le type I du cliquetis, l’efficacit\u00e9 semble assez douteuse. Le bromure de glycopyrronium provoque \u00e9videmment une r\u00e9duction significativement plus forte des cliquetis de la mort que la scopolamine. [17] Les autres m\u00e9dicaments utilisables sont la butyl scopolamine et l’atropine. [15] S’il y a un cliquetis de type II, une relocalisation du patient, par exemple de l’arri\u00e8re sur le c\u00f4t\u00e9, peut r\u00e9duire le bruit par redistribution de la s\u00e9cr\u00e9tion. B. Hipp, M. Letizia: Comprendre et r\u00e9pondre \u00e0 la mort hochet chez les patients mourants. Dans: Infirmi\u00e8res de Medsurg , 18, 2009, S. 17-21. PMID 19331295 (Examen) B. Wee, R. Hillier: Interventions pour la respiration bruyante chez les patients \u00e0 mort. Dans: COCHRUE DATABASE SYST REV 2008, CD005177. PMID 18254072 (Examen) K. Bickel, R. M. Arnold: Death Rattle and Oral Secr\u00e9tions – Deuxi\u00e8me \u00e9dition # 109. Dans: J palliat avec , 11, 2008, S. 1040\u20131041. PMID 18788968 B. wee u. un.: Death Rattle: son impact sur le personnel et les b\u00e9n\u00e9voles en soins palliatifs. Dans: Pallier avec , 22, 2008, S. 173\u2013176. PMID 18372381 B. L. Wee u. un.: Le son de la mort a-t-il: les proches sont-ils en d\u00e9tresse en entendant ce son? Dans: M\u00e9decine palliative , 20, 2006, S. 171\u2013175. PMID 16764221 B. L. Wee u. un.: Le son de la mort Rattle II: comment les parents interpr\u00e8tent-ils le son? Dans: M\u00e9decine palliative , 20, 2006, S. 177\u2013181. PMID 16764222 E. J. Computer: \u00abLe hochet de mort\u00bb dans l’unit\u00e9 de soins intensifs apr\u00e8s le retrait de la ventilation m\u00e9canique chez les patients neurologiques. Dans: Soins de neurocrite , 3, 2005, S. 107\u2013110. PMID 16174877 J. L. Spaces, S. D. Scott: Agents anticholinergiques pour le traitement du \u00abhochet de la mort\u00bb chez les patients atteints de myasth\u00e9nie grave. Dans: Journal Pain Symptom G\u00e9rer , 26, 2003, S. 684\u2013686. PMID 12850651 M. I. Bennett: Death Rattle: un audit de l’hyoscine (scopolamine) utilise et examen de la gestion. Dans: J Pain Sympt\u00f4me G\u00e9rer , 23, 2002, S. 310\u2013317. PMID 8898506 R. Leinm\u00fcller: Th\u00e9rapie de la douleur dans la vieillesse: un certificat de pauvret\u00e9. Dans: Deutsches \u00e4rzteblatt , 98, 2001, S. A-801 \/ B-661 \/ C-617 S. Eychm\u00fcller: Substitution liquide dans la phase terminale – une discussion controvers\u00e9e. Dans: La douleur , 15, 2001, S. 357\u2013361. doi: 10.1007 \/ s004820170010 S. Kr\u00e4nzle: Essoufflement. (PDF; 782 Ko) Eberhard Klaschik: Th\u00e9rapie de la douleur et contr\u00f4le des sympt\u00f4mes en m\u00e9decine palliative . Dans: Stein Huseb\u00f8, Eberhard Klaschik (HRSG.): M\u00e9decine palliative . 5e \u00e9dition. Springer, Heidelberg 2009, ISBN 3-642-01548-4, pp. 207\u2013313, ici: p. 300. \u2191 un b Cornelia Tourne (HRSG.): Soins palliatifs manuels . 2e \u00e9dition. Hans Huber, Bern 2007, ISBN 978-3-456-84460-2, S. 472 . \u2191 un b c d C’est F B. und S. Huseb\u00f8 u. A.: Les derniers jours et heures. Soins palliatifs pour les gravement malades et mourants . (PDF; 246 Ko) S. 19\u201320 \u2191 E. Aulert, F. Nauck, L. Radbruch (\u00e9d.): Manuel de m\u00e9decine palliative . Exp\u00e9dition de choc, 2007, ISBN 3-7945-2361-X ( S. 386ff ). \u2191 un b c Elisabeth Albrecht: Sympt\u00f4mes dans la phase de mort. Dans: Claudia Bausewein, Susanne Roller, Raymond Voltz (\u00e9d.): Guide des soins palliatifs. M\u00e9decine palliative et soins palliatifs. Elsevier, Munich 2015, pp. 349. ISBN 978-3-437-23313-5 \u2191 M. Bennett: Death Rattle: un audit de l’hyoscine (scopolamine) utilise et examen de la gestion. Dans: J Pain Sympt\u00f4me G\u00e9rer 12, 1996, S. 229-233. PMID 8898506 \u2191 R. Fainsinger U. un.: Une perspective sur la gestion du d\u00e9lire chez les patients en phase terminale sur une unit\u00e9 de soins palliatifs. Dans: Journal Palliative Care 9, 1994, S. 4\u20138. \u2191 A. Hughes U. un.: Gestion de la mort hochet. Dans: M\u00e9decine palliative , 11, 1997, S. 80\u201381. \u2191 S. B. Huseb\u00f8, S. Huseb\u00f8: M\u00e9decine palliative – m\u00eame dans la vieillesse? Dans: La douleur 2001. \u2191 Nail Ulrike: Les derni\u00e8res heures – accompagnent et maintiennent des mourants. Dans: Sabine Pleschberger, Katharina Heimerl, Monika Wild (\u00e9d.): Soins palliatifs. Fondamentaux pour la pratique et les le\u00e7ons. Facultas Universit\u00e4tsverlag, Vienne 2002, p. 192. \u2191 Rainer Teufel: Vraiment mourir? – Soins dans la phase finale . Dans: Journal of Palliative Medicine , Mars 2017, p. 79 \u2191 M. Th\u00f6ns et M. Zenz: L’apport en liquide restrictif dans la phase terminale peut r\u00e9duire la souffrance . Dans: M\u00e9decine palliative . 7e ann\u00e9e 2006, doi: 10.1055 \/ S-2006-954155 . \u2191 Connaissances palliatives orient\u00e9es vers la pratique pour les m\u00e9decins g\u00e9n\u00e9ralistes et les internistes. (Pdf) dans: dgpalativmedizin.de. Medical Essential Media, mars 2012, S. 8 , Consult\u00e9 le 13 octobre 2021 . \u2191 Gli\u00e9mann s, 3e conf\u00e9rence de la Fondation Bavarian Hospiz le 13 octobre 2003. Atelier “contr\u00f4le g\u00e9n\u00e9ral des sympt\u00f4mes” \u2191 A. C. Hughes U. un.: Gestion de “Death Racet”. Dans: J Pain Sympt\u00f4me G\u00e9rer 12, 1996, S. 271-272. PMID 8942121 \u2191 un b Eberhard Klaschik: Th\u00e9rapie de la douleur et contr\u00f4le des sympt\u00f4mes en m\u00e9decine palliative. 2009, S. 300. \u2191 M\u00e9decine palliative pour toutes les personnes \u00e2g\u00e9es. ( M\u00e9mento \u00e0 partir du 8 mars 2014 Archives Internet ) Consult\u00e9 le 4 ao\u00fbt 2016 \u2191 E. Rupacher: R\u00e9sultats de deux \u00e9tudes sur le traitement des hochets de mort. (PDF; 624 Ko) Cet article traite d’un probl\u00e8me de sant\u00e9. Il sert pas l’auto-diagnostic et remplac\u00e9 pas Un diagnostic par un m\u00e9decin. Veuillez noter la note sur les probl\u00e8mes de sant\u00e9! (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rasselatmung-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Rasselatmung – Wikipedia"}}]}]