[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/religionsphilosophie-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/religionsphilosophie-wikipedia\/","headline":"Religionsphilosophie – Wikipedia","name":"Religionsphilosophie – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le Religions philosophie est une discipline philosophique qui fait l’objet des manifestations et du contenu th\u00e9orique de la religion","datePublished":"2021-04-13","dateModified":"2021-04-13","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/religionsphilosophie-wikipedia\/","wordCount":21183,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le Religions philosophie est une discipline philosophique qui fait l’objet des manifestations et du contenu th\u00e9orique de la religion ou des religions. Elle essaie de fournir une r\u00e9ponse syst\u00e9matique et rationnelle aux questions sur le raisonnement des d\u00e9clarations religieuses, la nature et les formes des religions et leur importance pratique dans la vie de l’homme. Il peut \u00e9galement se manifester comme une critique de la religion ou comme une langue-analyse philosophique de la forme des langues religieuses. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4L’objectif des philosophies religieuses historiquement d\u00e9velopp\u00e9es est diff\u00e9rente. Certains poursuivent un objectif herm\u00e9neutique et veulent le rendre compr\u00e9hensible ce qui est le particulier de la religion. Ils supposent une certaine religion qu’ils essaient de saisir ad\u00e9quatement du point de vue int\u00e9rieur. D’autres approches ont mis l’examen des all\u00e9gations de validit\u00e9 pr\u00e9lev\u00e9es de la part de la religion. Ils v\u00e9rifient si les d\u00e9clarations religieuses sont faites des all\u00e9gations raisonnables et si elles peuvent \u00eatre justifi\u00e9es. Les approches redaciales tentent d’interpr\u00e9ter la religion comme un produit de facteurs externes (volont\u00e9 de vivre, de conduire des conflits, de m\u00e9canismes biologiques \u00e9volutifs, etc.). Ces approches sont \u00e9troitement li\u00e9es aux critiques religieuses, car ils supposent que les revendications religieuses de validit\u00e9 ne peuvent pas \u00eatre rachet\u00e9es en tant que telles et que la religion peut \u00eatre remplac\u00e9e en principe. Dans quelle mesure il peut \u00eatre le but de la philosophie religieuse de parvenir \u00e0 des d\u00e9clarations g\u00e9n\u00e9rales est controvers\u00e9e. C’est ainsi que Ludwig Wittgenstein d\u00e9crit le “effort pour le grand public” [d’abord] En tant que l’une des maladies de l’esprit, dont la cause r\u00e9side dans “notre parti pris pour la m\u00e9thode scientifique”. [2] William James parle de la \u00abdiversit\u00e9 de l’exp\u00e9rience religieuse\u00bb; Cela correspond \u00e0 diverses fa\u00e7ons de les r\u00e9fl\u00e9chir. [3] Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Diff\u00e9renciation des autres disciplines [ Modifier | Modifier le texte source ]] Types de philosophies religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Probl\u00e8mes de d\u00e9finition [ Modifier | Modifier le texte source ]] Caract\u00e9ristiques des religions [ Modifier | Modifier le texte source ]] Opinions religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Normes et attitudes [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sentiments et attitudes [ Modifier | Modifier le texte source ]] Langue religieuse [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cool [ Modifier | Modifier le texte source ]] Communaut\u00e9 et institutions [ Modifier | Modifier le texte source ]] Acc\u00e8s au transcendant [ Modifier | Modifier le texte source ]] Immanence et transcendance [ Modifier | Modifier le texte source ]] R\u00e9ponse aux questions existentielles [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dieu en tant que cr\u00e9ateur [ Modifier | Modifier le texte source ]] La cr\u00e9ation de l’origine [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cr\u00e9ation continue [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cr\u00e9ation Evolutiva [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cr\u00e9ation nouvelle [ Modifier | Modifier le texte source ]] omnipotence [ Modifier | Modifier le texte source ]] Paradoxe de la toute-puissance [ Modifier | Modifier le texte source ]] Agir Dieu dans le monde [ Modifier | Modifier le texte source ]] omniscience [ Modifier | Modifier le texte source ]] Solution de Boethian [ Modifier | Modifier le texte source ]] Solution moliniste [ Modifier | Modifier le texte source ]] Solution de compatibilit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Solution de l’avenir ouvert [ Modifier | Modifier le texte source ]] ubiquit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00e9ternit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Fondements cognitifs de la foi [ Modifier | Modifier le texte source ]] aper\u00e7u [ Modifier | Modifier le texte source ]] Raisonnement th\u00e9orique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sensibilit\u00e9 pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Preuve de Dieu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Argument d’ontologisches [ Modifier | Modifier le texte source ]] Arguments cosmologiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Argument des t\u00e9l\u00e9ologistes [ Modifier | Modifier le texte source ]] Exp\u00e9riences religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Merveille [ Modifier | Modifier le texte source ]] Des exp\u00e9riences ordinaires interpr\u00e9t\u00e9es religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Exp\u00e9rience globale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Arguments cumulatifs empiriques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Postulat pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sagesse pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Raisons non cognitives de croyance [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c9piphanie [ Modifier | Modifier le texte source ]] Interpr\u00e9tations non cognitives des d\u00e9clarations religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] La religion comme jeu de langue [ Modifier | Modifier le texte source ]] D\u00e9cision non bas\u00e9e sur la saison [ Modifier | Modifier le texte source ]] Insens\u00e9 cognitif [ Modifier | Modifier le texte source ]] Fausset\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Preuve de non-existence ontologique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Theodizeproblem [ Modifier | Modifier le texte source ]] Explications naturalistes de la religion [ Modifier | Modifier le texte source ]] Justification d\u00e9fectueuse [ Modifier | Modifier le texte source ]] Relations de connaissances perturb\u00e9es [ Modifier | Modifier le texte source ]] Nocivit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Diff\u00e9renciation des autres disciplines [ Modifier | Modifier le texte source ]] Disciplines voisines de la philosophie religieuse \u00c9tudes religieusespartie historique: Partie syst\u00e9matique:ReligionspsychologieReligionssoziologieReligionspolitologieth\u00e9ologiepartie historique:Kirchen-, Dogmen-, TheologiegeschichtePartie syst\u00e9matique:DogmatikMoraltheologieFundamentaltheologieComme la philosophie religieuse, les deux disciplines scientifiques des \u00e9tudes religieuses et de la th\u00e9ologie traitent des religions, des d\u00e9clarations religieuses et des ph\u00e9nom\u00e8nes. [4] Les \u00e9tudes religieuses sont une discipline historique et empirique. Il d\u00e9crit et explique les opinions religieuses, mais laisse la question ouverte si elles sont correctes. Dans sa partie historique, il examine le d\u00e9veloppement, le contenu et les manifestations des religions individuelles ainsi que les influences des diff\u00e9rentes religions. Dans sa partie syst\u00e9matique, elle est pr\u00e9occup\u00e9e par les ph\u00e9nom\u00e8nes religieux g\u00e9n\u00e9raux et ses relations, sur la nature de la religion en g\u00e9n\u00e9ral et les types de religions, les exp\u00e9riences religieuses et les pratiques. Elle discute \u00e9galement de la question de savoir s’il existe des lois g\u00e9n\u00e9rales ou des tendances au d\u00e9veloppement des religions. Les \u00e9tudes religieuses syst\u00e9matiques comprennent \u00e9galement des th\u00e9ories sur l’\u00e9mergence des opinions religieuses et leur d\u00e9pendance \u00e0 l’\u00e9gard des conditions psychologiques, sociales et \u00e9conomiques. La psychologie religieuse et la sociologie de la religion peuvent \u00eatre consid\u00e9r\u00e9es comme des disciplines partielles d’\u00e9tudes religieuses syst\u00e9matiques. Alors que la psychologie religieuse traite du c\u00f4t\u00e9 psychologique de la vie et de l’exp\u00e9rience religieux et de leurs conditions, la sociologie religieuse traite des facteurs sociaux du d\u00e9veloppement des religions, de leurs interrelations avec les formes de vie sociale et de la structure des communaut\u00e9s et des institutions religieuses. D’un autre c\u00f4t\u00e9, la politique politique religieuse, qui recherche la relation entre la religion et la politique, se consid\u00e8re comme une sous-r\u00e9gion de la discipline des sciences politiques Th\u00e9orie politique et histoire des id\u00e9es . Contrairement aux \u00e9tudes religieuses, il existe de nombreuses th\u00e9ologies. Une th\u00e9ologie fait toujours r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 une certaine religion. Le th\u00e9ologien d\u00e9crit, explique et syst\u00e9matique non seulement comment le scientifique religieux est la croyance en la religion en question, mais le repr\u00e9sente \u00e9galement et fait lui-m\u00eame des d\u00e9clarations religieuses. La t\u00e2che d’une th\u00e9ologie est d’\u00e9clairer et de d\u00e9velopper le contenu de la croyance de la religion pertinente. Il s’efforce d’une clarification conceptuelle et d’une d\u00e9termination du contenu de la foi et utilise des m\u00e9thodes scientifiques. Dans sa forme scientifique, il s’agit principalement d’un ph\u00e9nom\u00e8ne du christianisme qui s’est d\u00e9velopp\u00e9 dans le traitement de la philosophie et des sciences. Il existe \u00e9galement des sous-disciplines syst\u00e9matiques et historiques en th\u00e9ologie. La th\u00e9ologie historique traite des textes et du contenu th\u00e9ologique des \u00e9crits bibliques, avec l’histoire de l’\u00e9glise, des dogmes et de la th\u00e9ologie et, comme la science historique, travaille avec la m\u00e9thode historique-critique. Il se d\u00e9place dans le domaine des d\u00e9clarations descriptives et est donc proche des \u00e9tudes religieuses historiques. Les disciplines de la th\u00e9ologie syst\u00e9matique comprennent les dogmatiques, la th\u00e9ologie morale et la th\u00e9ologie fondamentale. Contrairement aux \u00e9tudes religieuses, la philosophie religieuse n’est pas une discipline purement empirique. Au contraire, l’une de leurs questions les plus importantes est celle du raisonnement de la religion et de la foi. Contrairement \u00e0 la th\u00e9ologie, la r\u00e9ponse \u00e0 cette question est g\u00e9n\u00e9ralement ouverte \u00e0 vous. Bien que la th\u00e9ologie fondamentale s’efforce \u00e9galement d’une p\u00e9n\u00e9tration rationnelle de la foi, cela lui arrive sous forme de justification. Contrairement \u00e0 la philosophie religieuse, la th\u00e9ologie dans le dernier cas est toujours consid\u00e9r\u00e9e comme une foi et non une raison comme le crit\u00e8re de celui \u00e0 croire. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Types de philosophies religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Selon Winfried L\u00f6ffler, les philosophies religieuses historiquement repr\u00e9sent\u00e9es peuvent \u00eatre class\u00e9es en cinq types de base, par laquelle en fait, les motifs de plusieurs de ces types sont g\u00e9n\u00e9r\u00e9s chez de nombreux auteurs: [5] Analyse et articulation des sensibilit\u00e9s religieuses (par exemple Friedrich Schleiermacher [6] , Ludwig Wittgenstein [7] ): Le type sp\u00e9cial de vie et le sentiment du monde, qui est formatif pour la certaine religion, est examin\u00e9 Question sur la nature de la religion (par exemple Rudolf Otto [8] , Georg Wilhelm Friedrich Hegel [9] , Martin Heidegger [dix] ): Une tentative est faite pour comprendre la complexit\u00e9 du ph\u00e9nom\u00e8ne de la religion et pour \u00e9laborer une sorte de \u00ab\u00eatre\u00bb Analyse de la langue religieuse: enqu\u00eate sur la particularit\u00e9 de la langue religieuse et ses diff\u00e9rences avec une autre utilisation de la langue Clarification de la relation entre les explications religieuses et autres (par exemple Richard Swinburne [11] , Wittgenstein): La particularit\u00e9 des explications religieuses et leurs similitudes et leurs diff\u00e9rences avec d’autres m\u00e9thodes explicatives sont \u00e9labor\u00e9es plus en d\u00e9tail D\u00e9fense du raisonnement ou d\u00e9raisonnable de la religion: la question du raisonnabilit\u00e9 des explications religieuses est examin\u00e9e. Les positions qui les contestent sont souvent r\u00e9sum\u00e9es sous le mot cl\u00e9 “critique religieuse”. En tant que sujets classiques, la preuve de Dieu et la question Th\u00e9odize comprennent. Probl\u00e8mes de d\u00e9finition [ Modifier | Modifier le texte source ]] En principe, les approches essentialistes et fonctionnalistes peuvent \u00eatre distingu\u00e9es dans la d\u00e9finition du terme \u00abreligion\u00bb et des termes connexes. Les tentatives essentialistes de d\u00e9finition supposent que quelque chose comme un \u00ab\u00eatre\u00bb commun de la religion existe. Entre autres choses, il a \u00e9t\u00e9 propos\u00e9 comme un \u00eatre: Les tentatives essentialistes de d\u00e9finition sont g\u00e9n\u00e9ralement bas\u00e9es sur des id\u00e9es religieuses occidentales. Cependant, il est controvers\u00e9 si ceux-ci peuvent \u00eatre g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9s pour toutes les religions. Cela s’applique, par exemple, \u00e0 l’id\u00e9e de Dieu en tant que transcendant vers ou pour des pratiques religieuses telles que la pri\u00e8re. Si vous vous r\u00e9f\u00e9rez uniquement aux ph\u00e9nom\u00e8nes qui sont r\u00e9ellement communs \u00e0 toutes les religions, vous obtenez un concept de religion trop abstrait, qui est \u00e0 peine utilisable pour la philosophie philosophique. [13] Les tentatives fonctionnalistes de d\u00e9finition recherchent le risque d’un tel engagement. Ces questions ne concernent pas \u00abl’\u00eatre\u00bb des religions, mais sur la fonction de la vie de l’individu et des communaut\u00e9s humaines. Des exemples de fonctions de stabilisation mentale et sociale sont mentionn\u00e9s (Karl Marx, \u00c9mile Durkheim, Bronis\u0142aw Malinowski, Talcott Parsons, etc.). Les critiques accusent de tels concepts qu’ils contredisent souvent l’exp\u00e9rience, car les religions peuvent \u00e9galement avoir prononc\u00e9 des effets d\u00e9stabilisateurs et harmonieux. [14] Caract\u00e9ristiques des religions [ Modifier | Modifier le texte source ]] Selon Franz von Kutschera, la \u00abreligion\u00bb peut \u00eatre comprise comme \u00abun complexe d’enseignements et de vues, normes, attitudes et pratiques, d’attitudes \u00e9motionnelles, de formes linguistiques d’expression, de symboles et de signes qui d\u00e9terminent la vie d’une communaut\u00e9 et d’une forme dans les institutions\u00bb. [15] Le point de r\u00e9f\u00e9rence commun de ce “complexe” est le transcendant. Opinions religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] La composante la plus importante d’une religion est les opinions religieuses. Kutschera les divise en hypoth\u00e8ses et perspectives. [16] Les hypoth\u00e8ses repr\u00e9sentent le c\u00f4t\u00e9 objectif d’une vue. En eux – par exemple dans les formules centrales de la croyance ou dans des doctrines th\u00e9ologiques – des d\u00e9clarations sur le sujet sont formul\u00e9es. En revanche, les perspectives d\u00e9terminent un objet \u00e0 partir d’aspects subjectifs. Ils sont sages de ses exp\u00e9riences qui sont r\u00e9\u00e9crites en mots, mais ne les ont pas compl\u00e8tement provoqu\u00e9es.Une vision est toujours associ\u00e9e \u00e0 une interpr\u00e9tation; Il existe \u00e9galement certaines hypoth\u00e8ses sur les objets, comme en sorte que les hypoth\u00e8ses du point de vue en r\u00e9sultent. Les opinions religieuses se caract\u00e9risent par le fait que le monde empirique et la vie humaine sont observ\u00e9s dans le contexte d’une r\u00e9alit\u00e9 environnante et plus grande. Ceci est attribu\u00e9 un degr\u00e9 de r\u00e9alit\u00e9 plus \u00e9lev\u00e9, c’est pourquoi il est compris comme la r\u00e9alit\u00e9 finalement pertinente pour tous les ph\u00e9nom\u00e8nes de la vie, de l’histoire et de la nature humaines. Les vues religieuses ont g\u00e9n\u00e9ralement un caract\u00e8re de r\u00e9v\u00e9lation. Le transcendant est v\u00e9cu par le croyant, mais cette exp\u00e9rience ne re\u00e7oit qu’un contenu plus certain \u00e0 la lumi\u00e8re de la foi. Ce n’est que par la r\u00e9v\u00e9lation du transcendant qu’il peut apprendre quelque chose de fiable \u00e0 ce sujet. La r\u00e9v\u00e9lation peut – dans le cas des religions personnelles – \u00eatre comprise comme une action historique d’un dieu, ou – comme dans les religions ouvertes – comme une v\u00e9rit\u00e9 \u00e9ternelle consid\u00e9r\u00e9e par les voyants. La condamnation de la fiabilit\u00e9 de la r\u00e9v\u00e9lation trouve un soutien dans leur reconnaissance conjointe au sein de la communaut\u00e9 religieuse. Par le point commun de ses opinions dans le culte, cela t\u00e9moigne de la r\u00e9alit\u00e9 du divin ador\u00e9 par lui. Les religions montrent \u00e9galement un moyen de salut. Cela peut \u00eatre compris comme l’exemption des besoins terrestres concrets ou comme une r\u00e9demption de la culpabilit\u00e9 et surmonter le dieu lointain et obtenir la vie \u00e9ternelle. Normes et attitudes [ Modifier | Modifier le texte source ]] La reconnaissance d’une r\u00e9alit\u00e9 transcendante est toujours exprim\u00e9e dans les normes et les attitudes qui se r\u00e9f\u00e8rent au transcendant et \u00e0 la relation entre l’homme. La r\u00e9alit\u00e9 transcendante se rencontre dans l’adoration, l’humilit\u00e9, l’ob\u00e9issance, l’amour ou la peur. Son testament est accept\u00e9 comme un crit\u00e8re de son propre comportement. De plus, chaque religion contient un code moral plus ou moins explicite qui d\u00e9termine comment les gens sont cens\u00e9s se traiter et en partie aussi comment ils devraient g\u00e9rer la nature. Les pi\u00e8ces jointes et les attitudes sont plus importantes que les normes comportementales formul\u00e9es explicitement. Parce que dans l’\u00e9thique religieuse, il ne s’agit pas seulement de respecter les r\u00e9glementations religieuses, mais de rendre justice \u00e0 la volont\u00e9 ou \u00e0 la saintet\u00e9 de Dieu et d’avoir la bonne attitude. Dans le christianisme, par exemple, l’attitude de la charit\u00e9 est plus fondamentale que les commandements de ne pas tuer, tricher ou voler, car une telle attitude peut \u00e9galement d\u00e9terminer le comportement qui ne peut pas \u00eatre enregistr\u00e9 par les r\u00e8gles g\u00e9n\u00e9rales. [17] Sentiments et attitudes [ Modifier | Modifier le texte source ]] En raison de son importance exceptionnelle pour la vie humaine, le transcendant fait toujours l’objet de sentiments religieux – comme l’amour, la crainte, la confiance, la timide ou la peur.La r\u00e9f\u00e9rence \u00e9motionnelle au divine a \u00e9galement un impact sur les sentiments d’estime de soi des gens. Par exemple, ils peuvent \u00eatre caract\u00e9ris\u00e9s par des sentiments de nullit\u00e9, d’\u00e9vanouissement ou de culpabilit\u00e9.En outre, les sentiments religieux se r\u00e9f\u00e8rent \u00e9galement \u00e0 la vie humaine dans son ensemble et peuvent se manifester comme une confiance g\u00e9n\u00e9rale dans la vie dans un cas positif. [18] Langue religieuse [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les vues, les attitudes et les attitudes \u00e9motionnelles d’une religion sont exprim\u00e9es dans une langue qui contient souvent un vocabulaire, une expression, des formules et des symboles sp\u00e9cifiques. Une particularit\u00e9 g\u00e9n\u00e9rale des d\u00e9clarations religieuses est qu’elles d\u00e9crivent les transcendants moins que l’illustration. La langue religieuse ne vise pas \u00e0 la pr\u00e9cision conceptuelle, mais veut illustrer ce dont elle parle pour nos vies – pas seulement la rapprocher de notre exp\u00e9rience et de notre sentiment. Comme dans le langage de la po\u00e9sie, les images et les paraboles jouent donc un r\u00f4le majeur dans leurs m\u00e9taphores. De fa\u00e7on similaire \u00e0 la po\u00e9sie, l’importance r\u00e9elle des d\u00e9clarations religieuses n’est souvent pas dans ce qu’ils disent au sens litt\u00e9ral, mais dans la fa\u00e7on dont ils nous montrent quelque chose. [19] Cool [ Modifier | Modifier le texte source ]] La religion comprend des formes de v\u00e9n\u00e9ration et traitant du transcendant, le culte. Dans ce document, la foi s’exprime dans ses opinions, ses attitudes pratiques et ses attitudes \u00e9motionnelles.Chaque religion d\u00e9veloppe ses formes sp\u00e9ciales de culte. Les anciennes formes peuvent \u00e9galement \u00eatre maintenues qui ne r\u00e9pondent plus pleinement aux vues actuelles. Une fonction importante du culte est d’assurer les croyants de la proximit\u00e9 et de la r\u00e9alit\u00e9 du divin.Les cultes religieux peuvent \u00eatre des c\u00e9l\u00e9brations de m\u00e9moire, mais ils peuvent \u00e9galement servir la r\u00e9p\u00e9tition d’\u00e9v\u00e9nements sacr\u00e9s dans lesquels leur efficacit\u00e9 doit \u00eatre renouvel\u00e9e. Le culte est effectu\u00e9 par la communaut\u00e9 religieuse dans des mots et des actions d\u00e9finis pr\u00e9cis\u00e9ment. Une forme fondamentale caract\u00e9ristique de culte religieux est la victime, dans laquelle la divinit\u00e9 est pr\u00e9sent\u00e9e avec une b\u00e9n\u00e9diction. De plus, les grands \u00e9v\u00e9nements de la vie comme la naissance, l’admission \u00e0 la communaut\u00e9 des adultes, le mariage et la r\u00e9colte en culte commun sont souvent engag\u00e9s. [20] Communaut\u00e9 et institutions [ Modifier | Modifier le texte source ]] La religion est un ph\u00e9nom\u00e8ne social; Il n’existe que au sein d’une communaut\u00e9. Le croyant trouve une religion comme une tradition d’une communaut\u00e9 dans laquelle il est n\u00e9 ou qu’il rejoint. La communaut\u00e9 s’organise dans les institutions. Les t\u00e2ches religieuses incluent \u00e9galement celles par rapport \u00e0 la communaut\u00e9 et \u00e0 leurs institutions. En raison de sa r\u00e9f\u00e9rence de la communaut\u00e9 toujours existante, la pratique priv\u00e9e d’une religion n’est pas pleinement possible. Dans un cadre priv\u00e9, seules les opinions et attitudes religieuses peuvent \u00eatre maintenues, mais qui ne repr\u00e9sentent g\u00e9n\u00e9ralement que des modifications de celles de la communaut\u00e9 religieuse. [21] Acc\u00e8s au transcendant [ Modifier | Modifier le texte source ]] Immanence et transcendance [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans ou dans la r\u00e9alit\u00e9 globale, les religions font la diff\u00e9rence entre deux domaines ou aspects qui sont compar\u00e9s comme inh\u00e9rents et transcendants. Les limites entre immanentem et transcendant sont tr\u00e8s diff\u00e9rentes dans les diff\u00e9rents concepts, de sorte que ce qui est transcendant apr\u00e8s une conception est consid\u00e9r\u00e9 comme inh\u00e9rent. En g\u00e9n\u00e9ral, ce qui nous est accessible dans l’exp\u00e9rience quotidienne nous est g\u00e9n\u00e9ralement consid\u00e9r\u00e9: l’homme et la nature dans leurs ph\u00e9nom\u00e8nes normaux. Mais tout ce qui est accessible ou l’exp\u00e9rience interne n’est pas d\u00e9j\u00e0 consid\u00e9r\u00e9 comme inh\u00e9rent (comme la lev\u00e9e quotidienne du soleil, qui peut appara\u00eetre \u00e0 nouveau comme un jamais). L’iMmanent n’est pas consid\u00e9r\u00e9 comme une partie autonome et li\u00e9e \u00e0 la r\u00e9alit\u00e9 globale, mais en fonction du transcendant et de ses manifestations. Le transcendant est consid\u00e9r\u00e9 dans les religions comme une plus grande r\u00e9alit\u00e9: c’est l’Absolu, l’inconditionnel, la derni\u00e8re, la plus haute r\u00e9alit\u00e9, la derni\u00e8re raison des apparences immanentes. Il n’est que partiellement accessible \u00e0 notre exp\u00e9rience normale et \u00e0 notre compr\u00e9hension et uniquement accessible dans les approches et reste toujours plus ou moins incompr\u00e9hensible. Par cons\u00e9quent, malgr\u00e9 les possibilit\u00e9s influen\u00e7ant (par exemple magique), elle est \u00e9vidente. [22] R\u00e9ponse aux questions existentielles [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les questions religieuses aujourd’hui sont principalement dans le domaine pratique o\u00f9Il s’agit de valeurs, de normes, d’objectifs et de questions de sens. [23] La religion a largement perdu sa pertinence th\u00e9orique. Ces questions pratiques ne peuvent \u00eatre d\u00e9cid\u00e9es en raison d’observations empiriques et d’arguments rationnels. Ils visent au-del\u00e0 de la r\u00e9alit\u00e9 inh\u00e9rente et, pour r\u00e9pondre \u00e0 leur r\u00e9ponse, n\u00e9cessitent l’appel \u00e0 quelque chose qui d\u00e9passe les exp\u00e9riences possibles. Le transcendant appara\u00eet si principalement comme une source de valeurs inconditionnelles et comme un horizon plus grand dans lequel la vie humaine donne le sentiment qu’il ne trouve pas dans la zone empirique. Les questions centrales de ce genre concernent la r\u00e9conciliation de l’int\u00e9r\u00eat et de la moralit\u00e9, le fondement ontologique des normes et des valeurs et le sens de la vie et de l’histoire individuelles. R\u00e9conciliation de l’int\u00e9r\u00eat et de la moralit\u00e9D’une part, nous avons un int\u00e9r\u00eat l\u00e9gitime pour une vie heureuse et heureuse, d’autre part, il est souvent n\u00e9cessaire pour nous d’agir contre notre int\u00e9r\u00eat l\u00e9gitime. Pour Kant, le fait que la poursuite du bonheur et les exigences de la divergence de la moralit\u00e9 dans cette vie se traduisent par les postulats de l’immortalit\u00e9 et de l’existence de Dieu. Seul Dieu est capable de produire un \u00e9tat dans lequel les gens veulent non seulement et font du bien, mais aussi de profiter d’un bonheur ad\u00e9quat de leur moral digne. Fondation ontologique des normes et des valeursSi les \u00e9valuations n’avaient pas de base objective, mais r\u00e9sulteraient de pr\u00e9f\u00e9rences subjectives, le caract\u00e8re obligatoire des normes morales dispara\u00eet, car leurs propres pr\u00e9f\u00e9rences ou d’autres personnes ne commettent rien. La reconnaissance des devoirs moraux n\u00e9cessite donc l’ancrage dans une r\u00e9alit\u00e9 transcendante qui semble pr\u00e9cieuse. Voir aussi l’ontologie. Sentiment de vie et d’histoire individuellesLa question du sens de la vie m\u00e8ne \u00e0 la question du sens de la souffrance et de l’\u00e9chec. Nous nous demandons si ce qui nous emp\u00eache d’une vie \u00e9panouissante, contrairement \u00e0 tous, n’a pas de fonction positive dans un contexte plus important. Analog s’applique au sens de l’histoire. Il appara\u00eet comme une “banque d’abattage […], sur laquelle le bonheur des peuples, la sagesse des \u00c9tats et la vertu des individus ont \u00e9t\u00e9 victimes” [24] devenu. La question se pose de savoir si ces victimes ont du sens, de sorte que “l’infraction est n\u00e9cessaire pour l’\u00e9mergence de plus grande”. [25] Cependant, une telle signification ne peut pas \u00eatre d\u00e9termin\u00e9e empiriquement, car, dans une opinion immanente, les d\u00e9veloppements historiques ne r\u00e9sultent que de la masse indubitable des d\u00e9cisions des individus individuels. La question du sens vise \u00e0 une vision inh\u00e9rente et vise la valeur de la vie et de l’histoire dans un contexte plus large. Dieu en tant que cr\u00e9ateur [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans les traditions th\u00e9istes, le monde est appel\u00e9 \u00abcr\u00e9ation\u00bb de Dieu. Dans un deuxi\u00e8me sens, l’acte de produire le monde est \u00e9galement compris par la \u00abcr\u00e9ation\u00bb. Il y a essentiellement trois niveaux de sens: Comme d\u00e9but du monde. Dans la th\u00e9ologie de la cr\u00e9ation chr\u00e9tienne, cet acte est La cr\u00e9ation de l’origine ou Cr\u00e9ation de rien compris. Comme la raison de toute r\u00e9alit\u00e9: le monde est compris comme quelque chose qui est pr\u00e9serv\u00e9 de Dieu d’un moment \u00e0 l’autre ( La cr\u00e9ation a continu\u00e9 ). En raison de nouveaux qualitativement nouveaux de l’existant ( Cr\u00e9ation Evolutiva )): Ce travail cr\u00e9atif affecte principalement les transitions de la mati\u00e8re inanim\u00e9e \u00e0 la mati\u00e8re vivante, de la vie \u00e0 la conscience et \u00e0 la confiance de soi. Ces niveaux de sens en th\u00e9ologie chr\u00e9tienne sont compl\u00e9t\u00e9s par le concept de Cr\u00e9ation nouvelle Cela y est compris comme un renouvellement et une fin de la r\u00e9alit\u00e9 existante. La cr\u00e9ation de l’origine [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le premier sens de la cr\u00e9ation fait r\u00e9f\u00e9rence au d\u00e9but temporel de l’univers. Apr\u00e8s que la tradition pr\u00e9valait dans le christianisme, le juda\u00efsme et l’islam, Dieu a cr\u00e9\u00e9 l’univers de nulle part, soit dans un temps sans temps, soit avec le temps. Tout ce qui existe en dehors de Dieu a \u00e9t\u00e9 directement appel\u00e9 par Dieu ou doit indirectement son existence \u00e0 cet acte de cr\u00e9ation initial. Dieu est ainsi compris comme “la cause imm\u00e9diate ou indirecte d’origine de tout ce qui existe”. [26] Cr\u00e9ation continue [ Modifier | Modifier le texte source ]] Avec le concept de La cr\u00e9ation a continu\u00e9 Il est exprim\u00e9 que le monde sera conserv\u00e9 par Dieu dans Be. Le La cr\u00e9ation a continu\u00e9 joue le r\u00f4le cl\u00e9 dans de nombreuses approches th\u00e9ologiques, de sorte que la cr\u00e9ation n’est plus associ\u00e9e \u00e0 un d\u00e9but possible de l’univers, mais uniquement avec sa pr\u00e9servation. [27] On suppose que l’\u00eatre a une certaine tendance \u00e0 se dissoudre \u00e0 nouveau dans rien. [28] Juste parce que et aussi longtemps que Dieu contrecarre cette tendance “pr\u00e9server” est l\u00e0. Cr\u00e9ation Evolutiva [ Modifier | Modifier le texte source ]] La pens\u00e9e du Cr\u00e9ation Evolutiva est venu avec la prise de conscience que tous les syst\u00e8mes macroscopiques ne se sont d\u00e9velopp\u00e9s que sur de longues p\u00e9riodes; Sinon, ces syst\u00e8mes ne pourraient plus \u00eatre compris comme cr\u00e9\u00e9s par Dieu. [29] La cr\u00e9ation de nouvelles formes d’\u00eatre doit \u00eatre comprise comme une formation divine d’un “mat\u00e9riel” existant et non comme un acte de cr\u00e9ation original selon ce concept – comme un suppl\u00e9ment ou une alternative au concept de “Cretio ex Nihilo”. [30] Cette pr\u00e9sentation de la cr\u00e9ation est r\u00e9pandue en termes d’histoire religieuse. L’un de ses repr\u00e9sentants les plus influents \u00e9tait Platon avec sa vision du Cr\u00e9ateur du monde (Demiurgen), qui a form\u00e9 la mati\u00e8re primitive uniforme selon l’arch\u00e9type des id\u00e9es \u00e9ternelles. [trente et un] Au 20e si\u00e8cle, Alfred North Whitehead a utilis\u00e9 cette id\u00e9e et l’a propag\u00e9e comme alternative \u00e0 la th\u00e9orie traditionnelle de la cr\u00e9ation chr\u00e9tienne [32] Le Cr\u00e9ation Evolutiva Correspond \u00e0 la th\u00e9orie standard darwiniste actuelle pour expliquer la vie et la conscience. Il est controvers\u00e9 si les principes darwinistes sont suffisants pour expliquer l’\u00e9volution. Un concept th\u00e9iste classique pour cela est l’enseignement de l’\u0153uvre de Dieu \u00e0 travers des causes secondaires, selon laquelle Dieu est intervenu dans le monde au moyen de causes la\u00efques et a permis aux cr\u00e9atures de se d\u00e9velopper et de “se battre”. [33] Cr\u00e9ation nouvelle [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’enseignement du Cr\u00e9ation nouvelle Est caract\u00e9ris\u00e9 en th\u00e9ologie chr\u00e9tienne comme un renouvellement et une fin du monde. [34] Selon l’id\u00e9e chr\u00e9tienne, il ne s’agit pas seulement du dernier ach\u00e8vement de l’individu lorsque la mort des morts le dernier jour ou de la derni\u00e8re fin du monde dans son ensemble au retour du Christ \u00e0 la fin du temps, mais d’un \u00e9v\u00e9nement qui peut d\u00e9j\u00e0 commencer au milieu de la vie de l’individu et a d\u00e9j\u00e0 commenc\u00e9 dans l’histoire du monde. [35] omnipotence [ Modifier | Modifier le texte source ]] La conviction que Dieu est surmont\u00e9e en pouvoir est le c\u0153ur de toutes les traditions th\u00e9istes. [36] Paradoxe de la toute-puissance [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans la premi\u00e8re approche, la \u00abtoute-puissance\u00bb peut comprendre la capacit\u00e9 de faire tout ce que vous voulez faire. Cependant, cette vision de la toute-puissance de Dieu m\u00e8ne au “paradoxe de la toute-puissance”. [37] Apr\u00e8s cela, les conditions peuvent \u00eatre formul\u00e9es, qui, si Dieu peut les provoquer, saper la toute-puissance de Dieu. L’exemple classique de cela est la question de savoir si Dieu peut cr\u00e9er une pierre si difficile qu’il ne peut pas la soulever. [38] Si Dieu ne pouvait pas cr\u00e9er une telle pierre, il ne serait pas alarme selon la vue d’origine. S’il le pouvait, il ne serait pas tout-puissant non plus, car alors il y aurait une pierre qu’il ne pourrait pas \u00e9lever. La solution standard pour cette aporie est de limiter la classe des conditions que Dieu peut mettre \u00e0 jour vers la classe des conditions qui peuvent \u00eatre d\u00e9crites sans contradiction. Dieu peut r\u00e9aliser toutes les conditions dans sa toute-puissance, \u00e0 moins qu’ils ne soient contradictoires et donc logiquement impossibles. En plus de la logiquement impossible au-del\u00e0, la toute-puissance de Dieu est souvent exclue, ce qui contredit son \u00eatre divin. Selon cela, Dieu ne peut pas provoquer des conditions qui contredisent son propre \u00eatre divin. Par exemple, il ne peut rien faire moralement, si son \u00eatre appartient \u00e0 la perfection morale ou qu’il ne peut se dissoudre dans rien si sa nature est d\u00e9finie par l’\u00eatre (Thomas Aquin). Sur la base de l’intimit\u00e9, le moralement mauvais peut \u00eatre compris comme un manque de bien). En cons\u00e9quence, la mauvaise action n’est pas de capacit\u00e9 ni de pouvoir du tout et ne fait donc pas partie de la toute-puissance. Agir Dieu dans le monde [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les mod\u00e8les suivants existent g\u00e9n\u00e9ralement sur la question de savoir comment le travail Tout-Puissant de Dieu peut \u00eatre pens\u00e9 dans le monde: Apr\u00e8s Mod\u00e8le de la seule cause de Dieu [39] Est tout ce qui se passe dans le monde caus\u00e9 par Dieu seul. Tout ce qui se produit dans le monde est recherch\u00e9 positivement par Dieu et le provoque seul et soudain, i. H. Sans m\u00e9diation par des causes la\u00efques (causes secondaires). Dieu exerce ainsi sa toute-puissance en apportant tout dans le monde seul. Apr\u00e8s mod\u00e8le interventionniste Le monde int\u00e9rieur de l’\u00e9v\u00e9nement se d\u00e9roule normalement selon les lois du monde envers le monde. Mais Dieu a le pouvoir d’intervenir directement en \u00e9v\u00e9nements mondiaux \u00e0 tout moment et le fait occasionnellement. L’intervention divine consiste \u00e0 comprendre une \u0153uvre de Dieu dans le monde, qui n’est transmise par aucun monde int\u00e9rieur de deux, ce qui signifie qu’une \u0153uvre directe compl\u00e8tement sophistiqu\u00e9e de Dieu dans le monde. Les miracles s’appliquent traditionnellement aux candidats \u00e0 une telle intervention de Dieu. Ce sont des \u00e9v\u00e9nements extraordinaires que les gens ne peuvent pas expliquer avec des causes naturelles. Hors de Traiter la perspective th\u00e9ologique Ne pratiquez jamais Dieu dans son travail dans le monde. Cela est justifi\u00e9 par le fait que Dieu ne peut pas exercer cette contrainte, car il n’a pas cr\u00e9\u00e9 le monde \u00e0 partir de rien et ne peut changer sa nature m\u00e9taphysique de base. Au contraire, le monde a exist\u00e9 pour toujours et est donc donn\u00e9 \u00e0 Dieu. Dieu agit dans le monde, il d\u00e9pend donc de la coop\u00e9ration des cr\u00e9atures. De plus, l’amour est dans l’\u0153uvre de Dieu d’un point de vue th\u00e9ologique du processus, pas du pouvoir au premier plan. Cependant, la plaque d’immatriculation de l’amour ne doit pas \u00eatre par contrainsion, mais par conviction ou persuasion. Dieu est donc constamment persuad\u00e9 dans le monde. Son influence est qu’il “persuade” les cr\u00e9atures ou “attire” \u00e0 se comporter selon la volont\u00e9 de Dieu. Le Position de la “vue ouverte de Dieu So-appel\u00e9e” (\u00e9galement “ouvrir le th\u00e9isme”) [40] \u00c0 la recherche d’un compromis entre le th\u00e9isme traditionnel et la th\u00e9ologie des processus. Apr\u00e8s cela, le monde n’est pas n\u00e9cessaire m\u00e9taphysiquement, mais n’est pas cr\u00e9\u00e9 par Dieu dans la libert\u00e9. La puissance de Dieu comprend donc la possibilit\u00e9 de d\u00e9terminer le cours la\u00efque de l’\u00e9v\u00e9nement interventionniste ou d’un seul facteur. Cependant, Dieu pr\u00e9f\u00e8re g\u00e9n\u00e9ralement agir par la \u00abpersuasion\u00bb, m\u00eame si l’action de \u00abcompulsion\u00bb reste toujours possible pour lui et est parfois aussi r\u00e9alis\u00e9e. Alors que selon l’interpr\u00e9tation th\u00e9ologique du processus, Dieu ne peut pas agir diff\u00e9remment que persuad\u00e9, selon la “vue ouverte”, l’amour divin est un cadeau libre ou gracieux, dans la mesure o\u00f9 il est bas\u00e9 sur une auto-resriction volontaire de la toute-puissance divine. Apr\u00e8s Th\u00e9orie de la m\u00e9diation par des causes secondaires [41] N’agit pas seulement principalement, mais seulement par la transmission de causes cr\u00e9atives, les causes secondaires So-Salled, dans le monde. Dieu a fondamentalement cr\u00e9\u00e9 le monde comme ind\u00e9pendant et ne peut plus retirer cette ind\u00e9pendance sans contrer sa propre intention d’origine. Pour cette raison, Dieu ne peut pas intervenir unilat\u00e9ralement dans le monde et les a forc\u00e9s, mais seulement avec elle. La cr\u00e9ation d’un monde autonome est donc un auto-restriction volontaire mais fondamentale de la toute-puissance de Dieu. omniscience [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’attribut d’Omniscience (Omniscia) d\u00e9coule de la toute-puissance de Dieu. [42] Un \u00eatre tout-puissant peut savoir tout ce qu’il veut. Le mal de Dieu peut \u00eatre d\u00e9crit formellement: pour chaque phrase v\u00e9ritable P, il s’applique que Dieu sait si P est vrai ou mal. Il est controvers\u00e9 qu’il soit appropri\u00e9 de d\u00e9crire les connaissances de Dieu comme une phrase ou une connaissance propositionnelle, ou plut\u00f4t elle ne doit pas \u00eatre comprise comme intuitive et imm\u00e9diate. La compatibilit\u00e9 de l’omniscience divine et de la libert\u00e9 cr\u00e9ative de volont\u00e9 est probl\u00e9matique. \u00c9tant donn\u00e9 que le concept d’omniscience comprend \u00e9galement des \u00e9v\u00e9nements futurs, Dieu conna\u00eet \u00e9galement les actions futures d’une personne P. mais si Dieu sait d\u00e9j\u00e0 comment P d\u00e9cidera demain, alors P ne semble plus avoir d\u00e9cid\u00e9 diff\u00e9remment demain, sinon Dieu aurait \u00e9t\u00e9 faux, ce qui aurait \u00e9t\u00e9 exclu par l’omniscience de Dieu. Les solutions de base suivantes existent pour r\u00e9soudre ce probl\u00e8me: Solution de Boethian [ Modifier | Modifier le texte source ]] La solution classique a \u00e9t\u00e9 d\u00e9velopp\u00e9e par Boethius. [43] Alors Dieu existe en dehors du temps. Il n’y a pas de pass\u00e9 ni d’avenir pour Dieu; Il reconna\u00eet tout du point de vue de sa pr\u00e9sence \u00e9ternelle. Par cons\u00e9quent, l’expression “formul\u00e9e” ne peut pas \u00eatre appliqu\u00e9e \u00e0 Dieu, car de son point de vue \u00e9ternel et temporaire, Dieu reconna\u00eet tout “en m\u00eame temps” que pr\u00e9sent. Voir pour la pr\u00e9dominance et la pr\u00e9destination: Pr\u00e9destination # Prescience (Forcesss) Solution moliniste [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le j\u00e9suite espagnol Luis de Molina a d\u00e9velopp\u00e9 une r\u00e9solution de probl\u00e8mes dans le contexte du diff\u00e9rend tardif-chocolastique au XVIe si\u00e8cle, qui sous le nom de “connaissance moyenne” ( Connaissance du milieu ) A fait l’\u00e9cole et a d\u00e9clench\u00e9 une longue controverse \u00e0 la tradition catholique. Dans un pass\u00e9 r\u00e9cent, l’id\u00e9e de Molina a \u00e9t\u00e9 repris en philosophie analytique. Molina distingue trois formes de connaissance divine: Une connaissance naturelle ( sciences naturelles ) Ce que Dieu sait de toutes les v\u00e9rit\u00e9s n\u00e9cessaires, mais aussi de toutes les possibilit\u00e9s pures. Dieu conna\u00eet toutes sortes de mondes qu’il pourrait cr\u00e9er et il sait comment toutes sortes de gens libres pourraient se comporter dans toutes les situations possibles; Une connaissance gratuite ( Connaissance du libre ) Cela inclut tout ce qui d\u00e9pend de la volont\u00e9 divine de la cr\u00e9ation: tous les faits du monde qui ont jamais pass\u00e9 et existeront. La connaissance libre de Dieu comprend \u00e9galement toutes les d\u00e9cisions et actions libres futures des cr\u00e9atures qui seront vraiment; Une connaissance de taille moyenne ( Connaissance du milieu ), avec lequel Dieu sait non seulement comment chaque cr\u00e9ature libre pourrait d\u00e9cider dans toutes les situations possibles (Scientia naturalis), mais aussi comment elle d\u00e9ciderait si elle \u00e9tait dans une certaine situation. Cependant, les cr\u00e9atures restent l’auteur de leurs d\u00e9cisions. Cependant, si Dieu met \u00e0 jour les conditions pertinentes, les cr\u00e9atures choisiront selon ses connaissances. Dieu peut l’utiliser pour contr\u00f4ler le cours Up-to-date du monde en fonction de sa volont\u00e9 et exercer sa providence sans le provoquer directement et pour supprimer la libert\u00e9 des cr\u00e9atures. Solution de compatibilit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Selon la compatibilit\u00e9, l’omniscience de Dieu est bas\u00e9e sur la d\u00e9termination causale de tout d\u00e9terminer dans le monde. Pour la compatibilit\u00e9 classique, comme il \u00e9tait repr\u00e9sent\u00e9 par David Hume, cependant, un d\u00e9terminisme complet n’exclut pas la libert\u00e9 que la libert\u00e9 n’est pas constitu\u00e9e par l’absence de n\u00e9cessit\u00e9, mais par l’absence de coercition. [44] Une action pourrait \u00eatre d\u00e9termin\u00e9e par toutes les causes, il est gratuit si l’acteur peut agir comme il veut agir. Parfois, cette forme de libert\u00e9 est \u00e9galement d\u00e9finie comme la libert\u00e9 d’action et une distinction est faite entre la libert\u00e9 de volont\u00e9. Solution de l’avenir ouvert [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le mod\u00e8le de l’avenir ouvert est principalement repr\u00e9sent\u00e9 par les partisans de la “vue ouverte du th\u00e9isme”, mais aussi par les partisans de l’enseignement de la cour secondaire. Il provient de d\u00e9cisions vraiment libres de l’homme dans le monde. Parce que les gens peuvent prendre des d\u00e9cisions vraiment libres au moins dans certains endroits de leur vie, l’avenir est \u00e9galement ouvert \u00e0 Dieu dans un certain sens. Il ne conna\u00eet pas tous les \u00e9v\u00e9nements du monde \u00e0 venir, et il ne pouvait pas contr\u00f4ler tous les \u00e9v\u00e9nements du monde. L’omniscience de Dieu est limit\u00e9e par ce qui est logiquement possible. Cependant, il \u00e9tait logiquement impossible de conna\u00eetre l’avenir contingent avec certitude. Selon le mod\u00e8le de l’avenir ouvert, cependant, l’avenir du monde est \u00e9galement ouvert \u00e0 Dieu dans un certain sens. La connaissance de Dieu change avec les d\u00e9cisions libres des personnes dans le monde. Il n’y a donc pas compl\u00e8tement un acte, mais une relation causale mutuelle entre Dieu et le monde. ubiquit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La relation de Dieu avec l’espace a \u00e9t\u00e9 traditionnellement d\u00e9crite avec le pr\u00e9dicat de l’omnipr\u00e9sent. Fondamentalement, l’omnipr\u00e9sence de Dieu peut \u00eatre pens\u00e9e de trois mani\u00e8res: [45] Dieu peut essentiellement \u00eatre localis\u00e9 dans la pi\u00e8ce. Il lui est attribu\u00e9 un excellent endroit ou du moins une excellente relation avec une place dans l’espace cosmique dans lequel il est pr\u00e9sent d’une mani\u00e8re quelque peu sp\u00e9ciale, ind\u00e9pendamment de son omnipr\u00e9sent. Dieu p\u00e9n\u00e8tre dans tout l’espace cosmique ou est au moins de mani\u00e8re myst\u00e9rieuse. Dieu n’est attribu\u00e9 \u00e0 aucune association ou propri\u00e9t\u00e9 spatiale; Il est immat\u00e9riel, purement mentalement. Sa forme d’existence peut \u00eatre compar\u00e9e \u00e0 celle des entit\u00e9s abstraites (non spatiales et non du temps) ou celle de Qualia (pas spatialement). [quarante-six] \u00e9ternit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La relation de Dieu au temps a \u00e9t\u00e9 traditionnellement d\u00e9crite avec le pr\u00e9dicat de l’\u00e9ternit\u00e9. [47] Il existe deux concepts fondamentaux de l’\u00e9ternit\u00e9 de Dieu. Apr\u00e8s temporaliste La compr\u00e9hension est modifiable \u00e0 certains \u00e9gards. Il reconna\u00eet diff\u00e9rents \u00e9v\u00e9nements \u00e0 diff\u00e9rents moments et prend diff\u00e9rentes actions \u00e0 des moments diff\u00e9rents. En tant qu’\u00eatre temporel, Dieu existe dans un cadeau \u00e0 partir duquel il regarde le pass\u00e9 et regarde l’avenir. Apr\u00e8s \u00c9ternelle Les opportunit\u00e9s, en revanche, existent intemporellement ou en dehors du temps. Il n’a pas de relations de temps vers l’int\u00e9rieur, c’est-\u00e0-dire Autrement dit, il ne conna\u00eet pas le pass\u00e9 et l’avenir \u00e0 l’int\u00e9rieur. Il n’a pas de relations de temps, c’est-\u00e0-dire Autrement dit, il n’existe pas, apr\u00e8s ou en m\u00eame temps avec toute autre entit\u00e9. La compr\u00e9hension \u00e9ternelle implique l’inchangeabilit\u00e9 absolue de Dieu, qui est comprise comme une perfection. La \u00abfoi\u00bb peut signifier \u00e0 la fois l’acte ou l’\u00e9tat de foi (\u00abcroyance subjective\u00bb: Que croyait ) – ainsi que son contenu, les faits qui sont crus (\u00abcroyance objective\u00bb: la confiance qui est cens\u00e9e ). [48] Linguistiquement, la “croyance” du verbe est utilis\u00e9e sous trois formes: Quelqu’un croit que quelque chose est le cas (1) Quelqu’un croit quelqu’un ou une affirmation ou une assurance de quelqu’un (2) Quelqu’un croit en quelqu’un ou quelque chose (3) Le formulaire (1) est un croyance doxastique ; La \u00abfoi\u00bb exprime ici une pr\u00e9servation. Une personne a croit qu’il y a une situation p. Il le fait dans un sens fort s’il est convaincu de l’existence de P ou lui attribue la probabilit\u00e9 subjective 1. Dans un sens plus faible, le sens du verbe “suspect” sens correspondant, on dit que P, si A attribue une probabilit\u00e9 subjective plus \u00e9lev\u00e9e aux faits p. Les formes (2) et (3) appuyez sur une croyance hors de. Personne A croit la personne B parce que A a une confiance justifi\u00e9e en B. La croyance fiduciaire implique une foi doxastique: la personne A consid\u00e8re les d\u00e9clarations et les assurances pr\u00e9sent\u00e9es par la personne B comme vraie (2) ou est g\u00e9n\u00e9ralement convaincue de la personne a – son caract\u00e8re, sa loyaut\u00e9, etc. – (3). Cette conviction est I.A. Sur l’autorit\u00e9 de la personne B; La connaissance de B a \u00e9t\u00e9 v\u00e9rifi\u00e9e par d’autres et il n’y a aucune situation qui parle pour des mensonges ou une erreur de B. Les d\u00e9clarations faites par B doivent \u00e9galement \u00eatre logiques ou possibles, sinon on ne peut pas croire. La foi fiduciaire se caract\u00e9rise par le fait qu’elle est g\u00e9n\u00e9ralement orient\u00e9e vers l’avenir: la confiance que nous ou les institutions montrent s’applique \u00e0 leur comportement ou \u00e0 leurs r\u00e9alisations futurs. Contrairement \u00e0 la foi doxastique, la croyance fiduciaire n’a aucun sens principalement descriptif. Ainsi, la d\u00e9claration \u00abje crois en Dieu\u00bb a un caract\u00e8re performatif: le locuteur exprime une attitude affective envers Dieu; Il avoue sa d\u00e9cision de foi et s’engage \u00e0 certains comportements. [49] La foi religieuse a un caract\u00e8re fiduciaire. Il a la croyance doxastique en l’existence de Dieu; Cependant, son vrai contenu consiste en la confiance en Dieu, sa justice, sa gentillesse ou sa providence. Pour Kutschera, la croyance fiduciaire a sa justification qu’une orientation exclusive de nos hypoth\u00e8ses aux faits objectives en r\u00e8gle g\u00e9n\u00e9rale serait inappropri\u00e9e et donc d\u00e9raisonnable. Nos hypoth\u00e8ses sur la nature et les autres personnes d\u00e9pendent dans une large mesure des informations que nous recevons des autres. Nous devons souvent faire confiance \u00e0 de telles informations parce que nous ne pouvons pas toujours v\u00e9rifier votre exactitude nous-m\u00eames. [50] Fondements cognitifs de la foi [ Modifier | Modifier le texte source ]] Typologie des arguments pour la raisonnabilit\u00e9 des croyances religieuses [51] Arguments pour le raisonnement th\u00e9oriqueR\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la tradition et \u00e0 l’autorit\u00e9 R\u00e9clamation du besoin non existant de justification Arguments m\u00e9taphysiques pour l’existence de Dieu (“Preuve de Dieu”) Arguments \u00e9pist\u00e9mologiques pour l’existence de Dieuau\u00dfergew\u00f6hnliche religi\u00f6se Erfahrungengew\u00f6hnliche, aber religi\u00f6s gedeutete ErfahrungenReligi\u00f6se \u00dcberzeugungen als beste Erkl\u00e4rung der GesamterfahrungTranszendenzerfahrungArguments pour le raisonnement pratiqueLes postulats th\u00e9istes comme condition de compr\u00e9hension morale R\u00e9f\u00e9rence \u00e0 l’utilit\u00e9 “c\u00f4t\u00e9” de la religion R\u00e9f\u00e9rence \u00e0 l’utilit\u00e9 “de cette” religion aper\u00e7u [ Modifier | Modifier le texte source ]] Raisonnement th\u00e9orique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Un sch\u00e9ma g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9 pour d\u00e9fendre la raison th\u00e9orique des croyances religieuses est la r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la tradition et \u00e0 son autorit\u00e9. Les formes de vie religieuse existent dans les diff\u00e9rentes communaut\u00e9s sociales dans lesquelles on est n\u00e9 et socialis\u00e9. [52] Ils avaient fait leurs preuves pendant longtemps et pouvaient donc au moins ne pas \u00eatre compl\u00e8tement d\u00e9raisonnables. D’autres d\u00e9fenseurs de la raison pour raison des croyances religieuses soutiennent qu’ils appartiennent \u00e0 cette classe de croyances pour lesquelles une justification suppl\u00e9mentaire n’est ni n\u00e9cessaire ni possible. Les croyances religieuses sont une question de confiance, leur justification de la vraie religiosit\u00e9 est plut\u00f4t pr\u00e9judiciable. Voir aussi la fid\u00e9isme. Une forme importante de justification des croyances religieuses est qu’il existe un certain nombre d’arguments philosophiques pour l’existence d’une premi\u00e8re raison de toute r\u00e9alit\u00e9. Ils sont souvent r\u00e9sum\u00e9s sous le nom de “preuve de Dieu”. Voir aussi l’apolog\u00e9tique. Le raisonnement des croyances religieux est souvent justifi\u00e9 par la r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 certaines exp\u00e9riences. Dans de nombreuses religions, il y a des individus qui signalent des exp\u00e9riences internes ou externes exceptionnelles qui, \u00e0 leur avis, d\u00e9passent le domaine de la vie quotidienne et ont des r\u00e9f\u00e9rences religieuses. De plus, de nombreuses personnes apportent des exp\u00e9riences de l’exp\u00e9rience \u00abordinaire\u00bb (rencontres interpersonnelles, exp\u00e9riences de la nature, etc.) en relation avec leur religion et impliquent ces exp\u00e9riences d’une interpr\u00e9tation sp\u00e9ciale. De nombreux croyants comptent non seulement sur les exp\u00e9riences individuelles comme base de leur foi, mais lient \u00e9galement leur croyance \u00e0 l’int\u00e9gralit\u00e9 de leurs exp\u00e9riences. Pour eux, la croyance religieuse vous offre une part, d’une part, mais aussi la meilleure “d\u00e9claration globale” d’autre part. Une forme particuli\u00e8re de cette interpr\u00e9tation religieuse de l’exp\u00e9rience globale est parfois appel\u00e9e \u00abexp\u00e9rience transcendante\u00bb ou \u00abexp\u00e9rience transcendantale\u00bb. Ceci est destin\u00e9 \u00e0 exprimer qu’il y a encore quelque chose \u00e0 partir de laquelle vous apprenez comme d\u00e9pendant et soutenu derri\u00e8re l’exp\u00e9rience superficielle de votre propre existence pr\u00e9caire et contingente dans le monde. Sensibilit\u00e9 pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] En plus des justifications th\u00e9oriques bas\u00e9es sur des explications du monde donn\u00e9, il existe \u00e9galement un certain nombre de justifications qui consid\u00e8rent les avantages pratiques de la religion et examinent l’action religieuse \u00e0 partir d’une prudence. Une justification historique du raisonnement pratique des croyances religieuses vient d’Immanuel Kant. En cons\u00e9quence, les exigences de la moralit\u00e9 ne sont compr\u00e9hensibles que si l’on postule l’existence de Dieu et notre vie continue au-del\u00e0 de la mort comme garantie. L’argument revient \u00e0 Blaise Pascal que dans le cas o\u00f9 Dieu existe, il y a une survie apr\u00e8s la mort et que les religieux sont r\u00e9compens\u00e9s, il est pratiquement raisonnable de vivre une vie religieuse et d’assumer l’existence de Dieu (voir le pari de Pascal). Une id\u00e9e g\u00e9n\u00e9rale des religions est qu’une vie religieuse promet des avantages pratiques m\u00eame en moyenne de ce c\u00f4t\u00e9. La religion aide \u00e0 faire face aux crises et au stress, ce qui permet \u00e0 l’individu une vie meilleure et plus heureuse. La croyance religieuse accorde \u00e9galement des avantages pratiques en ce qui concerne notre coexistence en motivant le comportement de solidarit\u00e9. Preuve de Dieu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Argument d’ontologisches [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’argument ontologique pour l’existence de Dieu revient \u00e0 Anselm de Canterbury. Il est bas\u00e9 sur des consid\u00e9rations sur le terme “Dieu”, \u00e0 partir de laquelle son existence doit \u00eatre d\u00e9riv\u00e9e. \u00c0 Anselm, l’argument se compose de deux arguments partiels. Au d\u00e9but, il essaie de montrer que Dieu existe dans l’esprit. “Dieu” est pour Anselm “que les choses plus larges ne peuvent pas \u00eatre pens\u00e9es”. Dans la deuxi\u00e8me \u00e9tape, il conclut que Dieu existe \u00e9galement dans la r\u00e9alit\u00e9. Pour Anselm, “l’existence” est un pr\u00e9dicat qui ajoute quelque chose \u00e0 son sujet: si une chose existe dans l’esprit et en r\u00e9alit\u00e9, elle est “plus grande” ou plus parfaite que si elle n’existe que dans l’esprit. Donc, pour lui du terme “Dieu” suit \u00e9galement son existence. L’objection cruciale \u00e0 l’argument ontologique remonte \u00e0 Immanuel Kant. “\u00catre” n’est pas un v\u00e9ritable pr\u00e9dicat et ne peut donc rien ajouter \u00e0 un objet (Immanuel Kant: AA 000003 Iii, 401 [53] ). Pour Kant, \u00ab\u00eatre\u00bb fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 la simple pr\u00e9sentation d’une chose, sans aucun aspect de contenu – comparable \u00e0 l’existence quantique dans la logique. Gottlob Frege, Bertrand Russell et de nombreux autres philosophes ont suivi plus tard cette critique. Cependant, la question de savoir si les termes \u00ab\u00eatre\u00bb ou \u00abl’existence\u00bb ne pouvaient pas \u00eatre d\u00e9crits en termes de contenu n’est pas encore discut\u00e9 – en particulier parmi les logicistes. [54] Les auteurs individuels (y compris Charles Hartshorne, Kurt G\u00f6del, Alvin Plantinga) ont essay\u00e9 au 20e si\u00e8cle de reconstruire des arguments ontologiques avec les moyens de la modalogie moderne. Arguments cosmologiques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les \u00abarguments cosmologiques\u00bb sont un nom collectif flou pour divers arguments qui conviennent que l’existence du monde ou certains de ses ph\u00e9nom\u00e8nes peut \u00eatre conclue \u00e0 une cause ext\u00e9rieure. [55] Ils retournent \u00e0 Platon et Aristote dans leurs id\u00e9es de base et \u00e9taient principalement dans les “cinq fa\u00e7ons” ( Cinq routes ) du Thomas Aquin, dont les trois premi\u00e8res variantes de l’argument cosmologique repr\u00e9sentent. Par exemple, demander la cause des cha\u00eenes causales ou la raison de l’existence de l’univers est demand\u00e9. Les arguments tr\u00e8s diff\u00e9rents ont en commun qu’ils assument les locaux suivants, dont la validit\u00e9 est g\u00e9n\u00e9ralement tacitement accept\u00e9e: Cadre id\u00e9ologique de la question: lors de l’explication des ph\u00e9nom\u00e8nes physiques, une autre forme d’explication est pass\u00e9e au cadre du plus grand cadre des ph\u00e9nom\u00e8nes \u00e0 expliquer. Exclusion des r\u00e9gresses infinies: par exemple, il est n\u00e9cessaire pour la s\u00e9rie de causes qu’il doit prendre fin et une derni\u00e8re cause. Principe de clart\u00e9: on suppose qu’il ne peut y avoir qu’une seule cause ou raison. \u00c9quation de la premi\u00e8re cause avec Dieu: cette derni\u00e8re cause est assimil\u00e9e au concept de Dieu de religion. Principe de la raison suffisante: les choses dans notre monde et leurs processus de changement ne supportent pas l’explication de leur existence en soi, mais ont une raison qui se trouve au-del\u00e0 d’eux-m\u00eames. Les objections les plus importantes aux arguments cosmologiques se r\u00e9f\u00e8rent \u00e0 ces conditions pr\u00e9alables. Certains philosophes croient que les questions religieuses-id\u00e9ologiques ne peuvent g\u00e9n\u00e9ralement pas faire l’objet d’une discussion raisonnable (1). Cependant, il parle de cette objection que tous les grands philosophes et \u00e9rudits universels de l’histoire du monde ont parl\u00e9 ou \u00e9crit de la question de Dieu. Parfois, il est obtenu que le principe du recours infini exclu n’est pas une exigence valable. Dans certaines sciences naturelles, en particulier, l’expansion impr\u00e9visible de la cha\u00eene explicative est m\u00eame la r\u00e8gle (2). D’un autre c\u00f4t\u00e9, il est obtenu que les questions philosophiques ne peuvent pas \u00eatre r\u00e9solues \u00e0 l’aide de m\u00e9thodes scientifiques. De plus, certains sont rejet\u00e9s par le principe de clart\u00e9 et la conclusion de “chaque cha\u00eene de causes” sur “il y a un d\u00e9but de toutes les cha\u00eenes de causes” comme dysfonctionnement (3). D’un autre c\u00f4t\u00e9, les d\u00e9fenseurs montrent la preuve de Dieu que l’unicit\u00e9 ou l’unicit\u00e9 de Dieu peut \u00eatre montr\u00e9 de son absolu et de sa perfection. Les critiques remettent \u00e9galement en question l’\u00e9quation de la derni\u00e8re cause avec Dieu. M\u00eame s’il y avait une cause existante du monde, elle ne serait pas encore assimil\u00e9e au dieu de la religion (4). [56] D’un autre c\u00f4t\u00e9, les repr\u00e9sentants de la th\u00e9ologie naturelle gardent que cela n’ex\u00e9cute pas l’\u00e9quation, mais des arguments tels que l’omnipotence, la spiritualit\u00e9, le temps-out, la connaissance de toutes, etc. qui r\u00e9sultent des preuves, qui se traduisent par un tr\u00e8s grand accord avec les d\u00e9clarations religieuses des religions monoth\u00e9istes. Contre le principe d’une raison suffisante, des empiristes tels que David Hume ont apport\u00e9 l’objection fondamentale que l’ordre causal constant du monde ne pourrait en fait \u00eatre le r\u00e9sultat de notre conscience. La perception montre seulement qu’il y en a une r\u00e9guli\u00e8re dans une rang\u00e9e de conditions; Cependant, c’est un ingr\u00e9dient de notre conscience (5). Cependant, contre l’\u00e9nonc\u00e9 de base de l’empirisme (seule l’exp\u00e9rience est vraie) ou le sensualisme (tout n’est que des impressions sensorielles) parle que ceux-ci ne peuvent pas \u00eatre acquis \u00e0 travers tant d’exp\u00e9riences ou d’impressions sensorielles. Argument des t\u00e9l\u00e9ologistes [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le point de d\u00e9part de l’argument “t\u00e9l\u00e9ologique” est le fait que certaines structures et processus du monde apparaissent comme s’ils avaient \u00e9t\u00e9 mis en place par un planificateur intelligent. Dans la discussion actuelle, l’argument est \u00e9galement appel\u00e9 “argument de conception”. Dans l’argument t\u00e9l\u00e9ologique, il est g\u00e9n\u00e9ralement suppos\u00e9 que diff\u00e9rents ph\u00e9nom\u00e8nes naturels ne peuvent \u00eatre expliqu\u00e9s que si vous les consid\u00e9rez comme \u00e9tant le r\u00e9sultat d’une planification intelligente. Cependant, cela fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 une intelligence de planification qui ne peut pas \u00eatre dans ces ph\u00e9nom\u00e8nes lui-m\u00eame. Il doit donc y avoir une intelligence de planification en dehors de ces ph\u00e9nom\u00e8nes. Cela peut \u00eatre assimil\u00e9 \u00e0 Dieu. Un repr\u00e9sentant typique de l’argument t\u00e9l\u00e9ologique est la cinqui\u00e8me voie du “Quinque via” de Thomas Aquin ( le gouvernement des choses ).Une version moderne de l’argument t\u00e9l\u00e9ologique est l’argument de la fin de l’univers (“argument de r\u00e9glage fin”). Il est bas\u00e9 sur les connaissances scientifiques que l’univers n’existe que sur la base d’une constellation extr\u00eamement “ajust\u00e9e” qui est extr\u00eamement improbable. Par exemple, la vitesse initiale de l’univers \u00e9tait “juste” \u00e0 la fois \u00e0 sa r\u00e9\u00e9dition imm\u00e9diate ainsi qu’\u00e0 emp\u00eacher trop rapidement se propager sans la formation de structures. [57] L’hypoth\u00e8se selon laquelle le d\u00e9veloppement des organismes se d\u00e9roule g\u00e9n\u00e9ralement cibl\u00e9 en raison du d\u00e9veloppement de la th\u00e9orie de l’\u00e9volution aux XIXe et 20e si\u00e8cles. Le d\u00e9veloppement des organismes pourrait d\u00e9sormais \u00eatre expliqu\u00e9 comme un d\u00e9veloppement sans objectif, en raison des m\u00e9canismes de mutation et de s\u00e9lection. Cela a permis de s’entendre sans l’hypoth\u00e8se d’un planificateur intelligent pour expliquer le d\u00e9veloppement naturel. L’objection centrale \u00e0 la variante moderne de l’argument t\u00e9l\u00e9ologique, \u00abl’argument de r\u00e9glage fin\u00bb, est dirig\u00e9e contre l’estivabilit\u00e9 des probabilit\u00e9s en question: nous ne pouvons pas savoir s’il existe d’autres constellations des propri\u00e9t\u00e9s fondamentales de l’univers et de la constellation factuelle r\u00e9alis\u00e9e est extr\u00eamement improbable. Exp\u00e9riences religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Merveille [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans de nombreuses traditions religieuses, il y a des rapports d’\u00e9v\u00e9nements miraculeux qui se voient attribuer une importance religieuse. Les miracles \u00e9taient traditionnellement appel\u00e9s \u00e9v\u00e9nements qui franchissent le cours naturel des choses ou violent au moins une loi. Une d\u00e9finition alternative qui suppose que les lois naturelles par d\u00e9finition ne permettent pas les exceptions d\u00e9finissent les miracles comme des \u00e9v\u00e9nements qui ne franchissent pas les lois naturelles, mais permettent des interventions causales o\u00f9 les lois naturelles “ont laiss\u00e9 la vidange”, c’est-\u00e0-dire aucune validit\u00e9. Toutes les positions qui d\u00e9coulent de l’existence de miracles n\u00e9cessitent au moins que tous les \u00e9v\u00e9nements du monde ne doivent pas avoir une explication naturelle qui peut \u00eatre d\u00e9crite par les lois naturelles. De plus, le concept classique de causalit\u00e9 est r\u00e9interpr\u00e9t\u00e9. La cause n’est pas n\u00e9cessaire – comme cela a \u00e9t\u00e9 courant depuis Hume et Kant – comme une fusion r\u00e9guli\u00e8re des \u00e9v\u00e9nements, mais peut \u00e9galement \u00eatre compris comme une intervention s\u00e9lective. Voir aussi la causalit\u00e9. L’objection classique \u00e0 la sensibilit\u00e9 de la croyance miracle remonte \u00e0 David Hume. [58] Il s’adresse \u00e0 la d\u00e9finition standard du miracle. Compte tenu des preuves \u00e9loign\u00e9es de la validit\u00e9 exceptionnelle des lois naturelles, il ne peut y avoir de mat\u00e9riel d’exp\u00e9rience qui justifie la croyance aux miracles comme une perc\u00e9e des lois naturelles. La probabilit\u00e9 d’erreur et de tromperie est toujours sup\u00e9rieure \u00e0 celle du miracle. Une autre objection g\u00e9n\u00e9rale, en revanche, vise \u00e0 interpr\u00e9ter des \u00e9v\u00e9nements inexplicables comme des miracles. Ceux-ci devraient plut\u00f4t \u00eatre compris comme une indication que nous n’avons pas encore reconnu certaines lois et relations naturelles ou que nous avions tort des lois naturelles dans nos hypoth\u00e8ses pr\u00e9c\u00e9dentes. En outre, il est probl\u00e9matique aux yeux des critiques de justifier certaines croyances religieuses avec des miracles. La conclusion de l’existence d’\u00e9v\u00e9nements miraculeux sur l’existence de Dieu est le r\u00e9sultat d’une interpr\u00e9tation religieuse du spectateur et pr\u00e9suppose un certain nombre d’hypoth\u00e8ses sur la nature de Dieu, qui \u00e0 leur tour devraient \u00eatre justifi\u00e9es. [59] Des exp\u00e9riences ordinaires interpr\u00e9t\u00e9es religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans la philosophie religieuse r\u00e9cente – en particulier par les th\u00e9oriciens \u00e9pist\u00e9mologiques r\u00e9form\u00e9s, les plus \u00e9minents, les exp\u00e9riences ordinaires de leur repr\u00e9sentant la plus \u00e9minente – comme la base des croyances religieuses ont \u00e9t\u00e9 de plus en plus discut\u00e9es. Ce sont des exp\u00e9riences impressionnantes ou drastiques qui peuvent \u00eatre faites par tout le monde: exp\u00e9riences de la nature, c\u00e9l\u00e9brations religieuses ou \u00e9mouvant des exp\u00e9riences interpersonnelles telles que l’amour, la naissance, la naissance, la maladie et la mort, etc., ces exp\u00e9riences qui sont en principe – en revanche – sont en principe reproductibles, mais l’importance religieuse de la situation n’est pas “compulsive” et \u00e9galement n\u00e9cessaire \u00e0 toutes les personnes impliqu\u00e9es. L’\u00e9pist\u00e9mologie r\u00e9form\u00e9e consid\u00e8re que les exp\u00e9riences ordinaires interpr\u00e9t\u00e9es religieusement sont fiables de la m\u00eame mani\u00e8re, comme la perception des objets.Le contexte \u00e9pist\u00e9mologique de ce point de vue est l’hypoth\u00e8se qu’il est si appel\u00e9 “opinions basales” ( croyances de base ) qui n’ont pas besoin de justification eux-m\u00eames. Ce sont des opinions dans lesquelles les cha\u00eenes de justification peuvent ou doivent avoir un point de r\u00e9siliation et qui \u00e0 son tour peuvent justifier d’autres opinions. Selon l’\u00e9pist\u00e9mologie r\u00e9form\u00e9e, les opinions basales repr\u00e9sentent la r\u00e8gle et non l’exception. En raison de nos perceptions et de nos communications d’autres personnes, par exemple, nous formons presque constamment des opinions basales et comptons g\u00e9n\u00e9ralement sur eux. N\u00e9anmoins, ils ne sont ni r\u00e9sistants aux erreurs ni incorrectes. Selon Plantinga, aucune autre norme ne peut \u00eatre cr\u00e9\u00e9e pour justifier des opinions religieuses qu’en ce qui concerne les autres opinions (argument de parit\u00e9). Les opinions religieuses peuvent \u00e9galement \u00eatre basales. Cependant, moins de revendications th\u00e9oriques telles que \u00abDieu existent\u00bb sont prises en compte, mais ainsi des \u00abopinions de manifestation\u00bb ( croyances de manifestation ). Ce sont des opinions qui forment spontan\u00e9ment les croyants dans certaines situations et dans lesquelles leur conviction se manifeste selon l’\u0153uvre de Dieu. [60] D\u00e9j\u00e0 William Alston doute extr\u00eamement de savoir si les exp\u00e9riences quotidiennes (comme regarder un panorama de montagne) peuvent vraiment \u00eatre une raison suffisante pour les opinions de manifestation religieuse (comment Dieu a cr\u00e9\u00e9 “). Un certain nombre de conditions tacites telles que la pratique des connaissances d’une communaut\u00e9 religieuse incluse dans de telles opinions. [soixante-et-un] Philip Quinn vient de la demande de savoir si les opinions religieuses pourraient vraiment \u00eatre appel\u00e9es \u00e0 la base face \u00e0 une tradition critique religieuse. Les positions religieuses sont d\u00e9sormais au moins aussi propag\u00e9es dans le public \u00e9duqu\u00e9 comme religieux. [62] Exp\u00e9rience globale [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans le monde allemand, Wolfhart Pannenberg et Karl Rahner ont atteint une plus grande sensibilisation \u00e0 leur approche pour non seulement prendre des exp\u00e9riences individuelles particuli\u00e8rement frappantes, mais aussi pour prendre l’int\u00e9gralit\u00e9 de nos exp\u00e9riences comme point de d\u00e9part pour un argument en faveur du raisonnement des croyances religieuses. [63] Rahner sort de la capacit\u00e9 de l’esprit humain \u00e0 reconna\u00eetre les objets individuels d’une part, mais d’autre part \u00e0 aller au-del\u00e0 (par exemple, en reconnaissant l’unit\u00e9 dans notre perception ou la limitation de nos propres connaissances). Selon Rahner, cette dynamique de notre connaissance constitue m\u00eame une “condition de la possibilit\u00e9” de toutes les connaissances. Il a \u00e9t\u00e9 donn\u00e9 dans chacun de nos fichiers de connaissances et \u00e0 \u00eatre compris comme une \u00abanticipation de l’\u00eatre\u00bb tacite. La derni\u00e8re \u00e9panouissement de cette dynamique de la connaissance ne pourrait pas \u00eatre un monde int\u00e9rieur du monde, car il serait toujours submerg\u00e9 par nos efforts pour la connaissance. Au contraire, le droit corr\u00e9l\u00e9 ne peut \u00eatre trouv\u00e9 que dans l’\u00eatre absolu de Dieu, qui d\u00e9passe toutes les limites du monde int\u00e9rieur. En ce sens, selon Rahner, l’existence de Dieu est implicitement reconnue dans tous les actes de connaissance, qui, en tant qu’allume, forme l’horizon de toute notre reconnaissance. Dans ses \u00e9crits ult\u00e9rieurs, Rahner a d\u00e9velopp\u00e9 cette id\u00e9e de la “pieu” vers une “exp\u00e9rience transcendantale”, dans laquelle il voit une forme d’exp\u00e9rience de Dieu. [soixante-quatre] L’argument de Rahner \u00e0 Dieu a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 critiqu\u00e9 par les philosophes chr\u00e9tiens en ce qui concerne deux conditions. D’une part, Rahner suppose que la dynamique de la reconnaissance humaine est g\u00e9n\u00e9ralement donn\u00e9e comme un fait naturel, qui n\u00e9cessite d\u00e9j\u00e0 l’existence de Dieu. D’un autre c\u00f4t\u00e9, de la pr\u00e9sence d’un effort ne suit pas encore que l’objectif de s’efforcer doit vraiment exister. Il n’est pas garanti qu’un effort pour la nature ne pourrait pas entrer dans les vides sans l’acceptation d’un bon cr\u00e9ateur sage qui donne l’effort pour une \u00e9ventuelle r\u00e9alisation. ” Un tel argument m\u00e8ne \u00e0 son tour la condition pr\u00e9alable tacite \u00e0 l’existence de Dieu. [65] Arguments cumulatifs empiriques [ Modifier | Modifier le texte source ]] Certains philosophes tels que Frederick Robert Tennant, Basil Mitchell et Richard Swinburne ont sugg\u00e9r\u00e9 certains de ces arguments \u00e0 un argument cumulatif ( cas cumulatif ) pour l’existence de Dieu. La variante actuellement la plus influente est celle de Richard Swinburne. Swinburne consid\u00e8re l’existence de Dieu comme une hypoth\u00e8se scientifique incertaine, dont la probabilit\u00e9 peut \u00eatre \u00e9valu\u00e9e \u00e0 la lumi\u00e8re de divers documents d’exp\u00e9rience. M\u00eame s’il n’est que tr\u00e8s faible pour certains des arguments traditionnels pour l’existence de Dieu, ils entra\u00eeneraient une probabilit\u00e9 de plus de 0,5 pour l’existence de Dieu. Il n’est donc pas d\u00e9raisonnable de croire en Dieu si le contenu de la foi n’est pas n\u00e9cessairement d\u00e9riv\u00e9. Les preuves suivantes peuvent \u00eatre expliqu\u00e9es extr\u00eamement improbables pour Swinburne en elles-m\u00eames et mieux en acceptant l’existence de Dieu: [66] L’existence d’un univers physique complexe L’ordre reconnaissable dans l’univers L’existence d’\u00eatres conscients L’accord entre les besoins humains et animaux d’une part et les conditions environnementales d’autre part la pr\u00e9sence (\u00e9ventuellement) de miracles La fin du tarif des constantes naturelles fondamentales L’objection cruciale \u00e0 l’argument de Swinburne est dirig\u00e9e contre ses affectations de probabilit\u00e9. Le jugement selon lequel les ph\u00e9nom\u00e8nes observables sont plus probables si Dieu existe est sp\u00e9culatif et influenc\u00e9 par des hypoth\u00e8ses de fond religieux id\u00e9ologiques. Postulat pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] En plus des arguments qui veulent d\u00e9river l’existence de Dieu, conceptuellement ou des exp\u00e9riences, il existe des arguments “moraux” qui “postulent” l’existence de Dieu en raison des exigences de la moralit\u00e9. L’argument le plus connu vient d’Immanuel Kant. Pour une raison pratique, il faut supposer que le bonheur et la f\u00e9licit\u00e9 s’effondrent finalement. Il s’agit de \u00abl’actif le plus \u00e9lev\u00e9\u00bb et de l’effort par la suite la t\u00e2che d\u00e9cisive de l’homme. Dans notre monde d’exp\u00e9rience, cependant, l’actif le plus \u00e9lev\u00e9 n’est pas r\u00e9alis\u00e9, ce qui est d\u00fb \u00e0 certaines circonstances empiriques qui emp\u00eachent l’effondrement du bonheur et du bonheur. Il faut donc \u00abpostuler\u00bb qu’il existe une garantie qui garantit que ces circonstances \u00e9liminent finalement. La garantie de cette justice \u00e9quilibr\u00e9e est Dieu. Les critiques du gnebuspostulate kantien sont bas\u00e9s sur le fait que l’effondrement du bonheur et de la f\u00e9licit\u00e9 est un id\u00e9al qui devrait d’abord \u00eatre justifi\u00e9.De plus, l’\u00e9quation du garant pour le plus \u00e9lev\u00e9 est probl\u00e9matique avec Dieu. Sagesse pratique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Un argument classique, qui a \u00e0 nouveau accru l’attention philosophique au cours des derni\u00e8res d\u00e9cennies, est l’argument de paris Blaise Pascal. [soixante-sept] Pascal ne concerne pas r\u00e9ellement un pari, mais de placer une option de vie religieuse de l’intelligence pratique. Selon Pascal, la raison ne peut pas r\u00e9pondre \u00e0 la question de savoir si Dieu existe ou non. Une \u00e9valuation des risques doit donc \u00eatre effectu\u00e9e pour laquelle deux facteurs doivent \u00eatre pris en compte: La taille du bien ou du mal attendu (profit et perte) La probabilit\u00e9 avec laquelle cela se produira bon ou mauvais Depuis Pascal, la probabilit\u00e9 que Dieu soit aussi \u00e9lev\u00e9e que celle qu’elle n’existe, seule la question du profit et de la perte est pertinente. Les sc\u00e9narios suivants se traduisent pour les deux options de d\u00e9cision: Quand je parie que Dieu existe, j’ai gagn\u00e9 le pari quand il existe et perdu s’il n’existe pas. Mon profit, quand il existe, est \u00abtout\u00bb – la v\u00e9rit\u00e9 et le plus haut bien. Ma perte, quand je perds le pari, est en un rien de temps. Quand je parie que Dieu n’existe pas, j’ai gagn\u00e9 le pari s’il n’existe pas et perdu s’il existe. Mon profit, s’il n’existe pas, sont certains biens de la vie dont je devrais me passer quand je pensais qu’il existait. Ma perte, si elle existe, est la v\u00e9rit\u00e9 et le plus haut bien; Au lieu du plus haut domaine, la mis\u00e8re \u00e9ternelle (enfer) m’attend apr\u00e8s cette vie. Cela se traduit par Pascal que le risque est le moins et que les chances de gagner sont les plus grandes lorsque je parie sur l’existence de Dieu. Contre l’argument des paris de Pascal, l’objection fondamentale est soulev\u00e9e qu’un changement conscient de persuasion d\u00fb \u00e0 l’intelligence pratique est \u00e9pist\u00e9mologique. Une croyance qui n’est pas bas\u00e9e sur des preuves suffisantes, mais sur une simple d\u00e9cision est probl\u00e9matique. De plus, une croyance qui est n\u00e9e de soi -intest est une attitude religieuse d’essentiel, parmi laquelle la certitude et l’amour de Dieu appartenaient \u00e0 Dieu. [68] Raisons non cognitives de croyance [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c9piphanie [ Modifier | Modifier le texte source ]] De nombreuses fondements de la foi se concentrent sur un concept de r\u00e9v\u00e9lation. De cette fa\u00e7on, les croyances centrales en la th\u00e9ologie chr\u00e9tienne sont consid\u00e9r\u00e9es comme des r\u00e9v\u00e9lations, dont la v\u00e9rit\u00e9 ne peut \u00eatre prouv\u00e9e d’une mani\u00e8re purement rationnelle. “Apocalypse” repr\u00e9sente \u00e0 la fois l’acte de contenu apparent et r\u00e9v\u00e9l\u00e9. En th\u00e9ologie chr\u00e9tienne, une distinction est faite entre les r\u00e9v\u00e9lations naturelles \u00e0 partir de r\u00e9v\u00e9lations surnaturelles qui ne peuvent pas \u00eatre vues de mani\u00e8re naturelle. Les r\u00e9v\u00e9lations sont li\u00e9es \u00e0 une r\u00e9alit\u00e9 divine. L’acceptation d’une r\u00e9v\u00e9lation ne se produit pas sur la base de sa propre perspicacit\u00e9, mais en toute confiance dans le divin r\u00e9v\u00e9lateur. Cela peut \u00e9galement \u00eatre r\u00e9v\u00e9l\u00e9 dans les textes, qui sont ensuite consid\u00e9r\u00e9s comme un auto-exploration du divin. Il y a un canon d’\u00e9crits sacr\u00e9s dans les religions de la police, qui est attribu\u00e9 au caract\u00e8re de la r\u00e9v\u00e9lation. Traditionnellement, ceux-ci sont compris au sens de la th\u00e9orie de l’inspiration, qui suppose que les textes sacr\u00e9s sont apparus par l’inspiration divine de leurs auteurs. Une distinction est faite entre l’inspiration verbale qui comprend \u00e9galement le libell\u00e9 et une \u00abr\u00e9elle inspiration\u00bb dans laquelle seule la signification des d\u00e9clarations est consid\u00e9r\u00e9e comme inspir\u00e9e. Le but de la th\u00e9orie de l’inspiration est de distinguer les \u00e9crits sacr\u00e9s comme une base indubitable pour la foi. Pour ce faire, le texte original doit \u00eatre clairement d\u00e9termin\u00e9, ce qui conduit \u00e0 l’acceptation suivante que Dieu – en particulier dans le cas de l’inspiration verbale – a \u00e9galement assur\u00e9 l’exactitude de la livraison de texte. Aux yeux des critiques, les concepts de r\u00e9v\u00e9lation ne peuvent g\u00e9n\u00e9ralement pas justifier les hypoth\u00e8ses de foi. [69] Un probl\u00e8me fondamental, par exemple, est que diff\u00e9rentes religions et confessions expliquent parfois des textes ou des traditions tr\u00e8s diff\u00e9rents comme des r\u00e9v\u00e9lations. Cependant, la distinction entre les r\u00e9v\u00e9lations “r\u00e9elles” et “fausses” n\u00e9cessite un crit\u00e8re qui d\u00e9passe ces r\u00e9v\u00e9lations. Cela ne pourrait \u00eatre que des crit\u00e8res de raisons. Interpr\u00e9tations non cognitives des d\u00e9clarations religieuses [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une partie de la philosophie philosophique de la religion suppose que les d\u00e9clarations religieuses n’ont pas de salaire cognitif, mais sans l’interpr\u00e9ter de mani\u00e8re critique. [70] Alors J.E. McTaggart a une interpr\u00e9tation \u00e9motive des d\u00e9clarations religieuses. [71] Pour lui, les d\u00e9clarations religieuses sont une expression des sentiments. Alfred Jules Ayer repr\u00e9sentait une approche similaire, [72] Charles Kay Ogden et I. A. Richards. [soixante-treize] D’autres auteurs comme Charles W. Morris, [74] Kenneth Burke [75] et P. F. Schmidt [76] repr\u00e9sentent une interpr\u00e9tation \u00e9vocatrice selon laquelle nous n’exprimons pas nos sentiments avec des d\u00e9clarations religieuses, mais appelle \u00e0 l’auditeur, pour faire certains contextes. Richard Bevan Braithwaite a une interpr\u00e9tation d\u00e9taill\u00e9e non cognitive des d\u00e9clarations religieuses [77] soumis. Pour lui, les d\u00e9clarations religieuses sont des d\u00e9clarations morales qu’il a interpr\u00e9t\u00e9es comme non cognitives. \u00c0 son avis, une religion maxime principalement ( politiques de comportement ) fermement. Ceux-ci ne sont g\u00e9n\u00e9ralement pas explicitement formul\u00e9s, mais sont montr\u00e9s par des exemples. En plus des maximistes comportementaux, les religions contiennent \u00e9galement des “histoires” ( histoires ). Ces histoires n’ont pas besoin d’\u00eatre accept\u00e9es par les croyants comme vrais au sens litt\u00e9ral. Leur fonction est qu’ils \u00e9voquent les comportements requis par les maximes pratiques. Pour Braithwaite, les d\u00e9clarations morales ne signifient aucun soin, mais un engagement envers les maximes pratiques. Avec la d\u00e9claration d’une maxime morale comme “vous devriez faire f” ou “il est conseill\u00e9 de faire f” Le Pr\u00e9sident exprime sa propre intention de faire f. Les croyances religieuses existent avec l’intention de r\u00e9aliser les maximes d’une religion. Les critiques de l’interpr\u00e9tation des d\u00e9clarations morales par Braithwaite indiquent que l’interpr\u00e9tation d’une religion ou ses d\u00e9clarations en tant que syst\u00e8me de “histoires” est raccourcie. [78] Il existe \u00e9galement des d\u00e9clarations selon lesquelles la validit\u00e9 des maximes pratiques d\u00e9pend. Une religion interpr\u00e8te le monde et, par exemple, dit quelque chose sur le sens et le but de la vie et de l’histoire humaines. La religion comme jeu de langue [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le point de d\u00e9part du par Ludwig Wittgenstein dans le \u00c9tudes philosophiques La th\u00e9orie des jeux de langue introduite est le point de parler comme une activit\u00e9 qui se d\u00e9roule dans un contexte d’action non linguistique et ne doit donc \u00eatre compris que sur ses ant\u00e9c\u00e9dents. Une langue fait partie d’un mode de vie et diff\u00e9rents jeux de langue appartiennent \u00e0 diff\u00e9rentes formes de vie. H. Syst\u00e8mes de r\u00e8gles pour l’utilisation du langage, \u00e0 partir de laquelle l’importance des expressions linguistiques r\u00e9sulte. Les mots et les phrases peuvent avoir des fonctions tr\u00e8s diff\u00e9rentes dans diff\u00e9rents jeux de langue. Diff\u00e9rentes proc\u00e9dures incluent \u00e9galement diff\u00e9rentes proc\u00e9dures de la raison et de la distinction entre ce que n\u00e9cessite une raison et ce qui ne l’est pas. Wittgenstein voit la religion comme un jeu de langue ind\u00e9pendante et repr\u00e9sente une interpr\u00e9tation non cognitive des d\u00e9clarations religieuses. Le jeu linguistique d’une religion comprenait des termes et des termes sp\u00e9cifiques qui ne peuvent pas \u00eatre critiqu\u00e9s de l’ext\u00e9rieur. La th\u00e8se du jeu de langue critique que la religion ne repr\u00e9sente aucun autre jeu de langue d\u00e9fini. [79] Le croyant n’est pas seulement dans ce jeu de langue, mais aussi dans celui de la vie quotidienne normale, des sciences, de la technologie, du droit, etc. et utilise essentiellement la m\u00eame langue. Les m\u00eames mots et phrases dans ces jeux de langue n’ont pas essentiellement des significations diff\u00e9rentes. L’importance de la religion pour la vie est que ce n’est pas un jeu de langue isol\u00e9 par rapport \u00e0 d’autres vies. Les d\u00e9clarations de la religion ont \u00e9galement un sens pour les actions et la pens\u00e9e des gens dans la vie quotidienne. D\u00e9cision non bas\u00e9e sur la saison [ Modifier | Modifier le texte source ]] S\u00f8ren Kierkegaard a l’exemple classique d’une justification d\u00e9cisionneniste – en particulier dans son Inscription non scientifique finale aux \u00abmorceaux philosophiques\u00bb (1846) – d\u00e9velopp\u00e9. Il souligne qu’il n’y a pas de connaissance factuelle de la connaissance factuelle d’une d\u00e9cision religieuse, mais de “l’int\u00e9r\u00eat infini et passionn\u00e9 pour la f\u00e9licit\u00e9 \u00e9ternelle”. Kierkegaard rejette tous les arguments m\u00e9taphysiques et historiques pour la v\u00e9rit\u00e9 de la foi chr\u00e9tienne. Pour lui, une d\u00e9cision n’est pas seulement une d\u00e9cision incertaine, mais une d\u00e9cision contre toute raison. Pour lui, la d\u00e9claration centrale de la foi chr\u00e9tienne est l’incarnation de Dieu en J\u00e9sus-Christ, qui est paradoxale pour lui et contredit la raison. [80] Pour Kierkegaard, la foi est “adieu \u00e0 l’esprit” [81] . Pour lui seul, il est une question de “passion” et “le plus grand pouvoir de l’int\u00e9r\u00eat”. Toutes les tentatives pour le justifier ou m\u00eame le comprendre lui ont manqu\u00e9. [82] L’objection des critiques de Kierkegaard vise que la d\u00e9cision de foi n’implique pas n\u00e9cessairement qu’il y a des doutes sur le contenu de la foi et adh\u00e8re \u00e0 la foi \u00e0 tout prix. Du fait que non seulement des raisons rationnelles sont d\u00e9cisives pour la d\u00e9cision et y adh\u00e9rant, ils ne suivent pas qu’ils sont compl\u00e8tement hors de propos pour la foi: “La croyance est une entreprise, et cela signifie que la d\u00e9cision peut lui prouver que un jour, nous devons admettre notre \u00e9chec”. [83] Le Nouveau Testament fournit \u00e9galement des informations sur le raisonnement de la foi: “Soyez toujours pr\u00eat \u00e0 r\u00e9pondre \u00e0 toutes les questions que de vous explique l’espoir qui vous remplit” ( 1. Peter 3.15 UE ). Les arguments contre le raisonnabilit\u00e9 des croyances religieuses peuvent \u00eatre [84] – Bas\u00e9 sur Rudolf Carnap [85] – \u00e0 diviser comme suit: Les arguments qui veulent montrer que les croyances religieuses n’ont aucun sens cognitif Les arguments qui veulent prouver les croyances religieuses comme non insens\u00e9es, mais qui veulent s’av\u00e9rer mal Les arguments qui veulent prouver les croyances religieuses comme d\u00e9ficientes Les arguments qui veulent montrer que les croyances religieuses remontent \u00e0 la connaissance perturb\u00e9e de la connaissance Arguments qui rejettent les croyances religieuses en raison de leur nocif Insens\u00e9 cognitif [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une objection tr\u00e8s fondamentale \u00e0 la religion commence par la langue religieuse. Il a jou\u00e9 un r\u00f4le majeur dans les d\u00e9bats philosophiques religieux, en particulier des ann\u00e9es 1930 aux ann\u00e9es 1960. Au c\u0153ur, l’objection est que les phrases n’ont de sens que si elles peuvent \u00eatre v\u00e9rifi\u00e9es ou falsifi\u00e9es en utilisant des faits empiriques. \u00c9tant donn\u00e9 que cela est difficile \u00e0 faire avec les phrases religieuses, elles sont suspendues par une suspicion g\u00e9n\u00e9rale d’insensation. Jusqu’au milieu des ann\u00e9es 1930, Rudolf Carnap et la plupart des membres du cercle de Vienne ont montr\u00e9 le principe de v\u00e9rification empiriste SO appel\u00e9e comme crit\u00e8re pour les phrases. En plus des phrases de la logique qui ne disent rien sur le monde, seules les phrases sont utiles \u00e0 laquelle on peut indiquer une m\u00e9thode de v\u00e9rification empiriquement. Dans son programme, le script concernant \u00e9galement la langue religieuse Surmonter la m\u00e9taphysique par l’analyse logique de la langue [quatre-vingt six] Si Carnap attribue la m\u00e9taphysique \u00e0 deux erreurs. D’une part, il serait utilis\u00e9 d’une mani\u00e8re d’une mani\u00e8re qui viole la syntaxe logique – comme les noms de “\u00eatre” et “rien”. D’un autre c\u00f4t\u00e9, les expressions qu’il utilisait n’aurait pas empiriquement incapable de pouvoir l’\u00eatre. Il n’est donc pas clair lorsque les phrases dans lesquelles le mot \u00abDieu\u00bb se produit sont vraies, car il n’est pas in\u00e9vitable quelles observations seraient compatibles avec de telles phrases. Antony Flew est vis\u00e9 dans une direction similaire. [quatre-vingt sept] Cependant, Filw ne consid\u00e8re pas la v\u00e9rifiabilit\u00e9, mais la falsification d’une affirmation comme condition pour sa signification. Des d\u00e9clarations telles que celles de la langue religieuse, dans lesquelles des r\u00e9clamations sont faites qui ne pourraient \u00eatre \u00e9branl\u00e9es par aucun fait, sont donc inutiles. Les crit\u00e8res de v\u00e9rification stricts carnaps sont largement consid\u00e9r\u00e9s comme obsol\u00e8tes. Karl Popper avait d\u00e9j\u00e0 rejet\u00e9 le principe au motif que les lois naturelles les plus simples seraient autrement inutiles, car toutes les d\u00e9clarations ne pourraient jamais \u00eatre v\u00e9rifi\u00e9es. [88] De plus, la plupart des th\u00e9oriciens scientifiques supposent qu ‘”il y a aussi des phrases dans la langue scientifique qui ne peuvent pas \u00eatre confirm\u00e9es par l’exp\u00e9rience car elles d\u00e9crivent les conditions pr\u00e9alables, \u00e0 l’arri\u00e8re-plan dont toutes nos formations th\u00e9oriques fonctionnent, mais sont toujours clairement importantes”. [89] Willard Van Orman Quine a compar\u00e9 notre langue et les croyances derri\u00e8re elle avec un r\u00e9seau dans lequel il y a des r\u00e9gions qui ne sont pas plus c\u00e9l\u00e8bres et plus proches de l’exp\u00e9rience et qui ne sont fix\u00e9es que sur les bords par observations. Quine appelle cela la \u00absous-tension ( sous-d\u00e9termination ) d’un syst\u00e8me \u00e0 travers l’exp\u00e9rience \u00bb(th\u00e8se de Duhem-quine). [90] Fausset\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les objections qui pr\u00e9tendent le mensonge des croyances religieuses peuvent essentiellement \u00eatre divis\u00e9es en un type logique qui assume la contradiction du concept traditionnel de Dieu, et un type empirique qui explique l’existence de Dieu comme incompatible avec les propri\u00e9t\u00e9s du monde. Preuve de non-existence ontologique [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les objections qui sont fix\u00e9es au concept de Dieu sont structurellement similaires \u00e0 l’argument ontologique. Par exemple, John N. Findlay contrastes [91] Son argument contre l’existence de Dieu avec l’argument ontologique d’Anselm. Il est donc appel\u00e9 \u00abrenversement ontologique\u00bb par certains interpr\u00e8tes et a la structure suivante: Dieu n’est peut-\u00eatre pas accidentel, mais doit \u00eatre n\u00e9cessaire Il n’y a pas d’existence n\u00e9cessaire, mais seulement une n\u00e9cessit\u00e9 logique. L’expression de la n\u00e9cessit\u00e9 exprime uniquement des relations logiques conceptuelles Il ne peut donc pas \u00eatre n\u00e9cessairement existant d’\u00eatre comme Dieu Le contexte de l’argumentation Findlay est une vision des modalit\u00e9s (le concept de possibilit\u00e9, de n\u00e9cessit\u00e9, etc.), comme cela a \u00e9t\u00e9 repr\u00e9sent\u00e9 dans la premi\u00e8re moiti\u00e9 du 20e si\u00e8cle, en particulier dans la philosophie du positivisme logique. Dans la philosophie du pr\u00e9sent, le scepticisme envers la n\u00e9cessit\u00e9 logique a maintenant diminu\u00e9. Les auto-contradictions suivantes sont particuli\u00e8rement probl\u00e9matiques quant \u00e0 la preuve de la non-existence ontologique: si la preuve veut se produire avec une n\u00e9cessit\u00e9 logique, il ne devrait pas faire de d\u00e9clarations sur l’existence d’entit\u00e9s non logiques. Mais alors rien n’est dit sur l’existence de Dieu ou avec succ\u00e8s. Theodizeproblem [ Modifier | Modifier le texte source ]] L’objection la plus connue et la plus pertinente pour les croyances religieuses est le probl\u00e8me du mal, qui est souvent \u00e9galement appel\u00e9 th\u00e9odie. Il est g\u00e9n\u00e9ralement diff\u00e9renci\u00e9 selon les maux physiques et moraux. Il y a des maux physiques sans une mani\u00e8re moralement pertinente d’homme (catastrophes naturelles, maladies, souffrance, etc.); Le mal moral, en revanche, remonte \u00e0 une action humaine moralement pertinente (par exemple, l’ajout intentionnel ou n\u00e9gligent de douleur physique ou mentale). Une position interm\u00e9diaire prend des maux physiques qui sont n\u00e9s en raison de maux moraux – par exemple, les dommages aux personnes en raison de mauvaises d\u00e9cisions \u00e9conomiques et de la destruction de la nature. Une distinction est \u00e9galement faite entre les maux n\u00e9cessaires qui sont accept\u00e9s pour une plus grande volont\u00e9 et des maux insens\u00e9s dans lesquels aucun lien n’est reconnaissable. Les points de vue, qui d\u00e9veloppent une objection \u00e0 la sensibilit\u00e9 des croyances religieuses du fait du mal, diff\u00e8rent s’ils sont bas\u00e9s sur le fait fondamental qu’il n’y a pas de mauvais ou de l’\u00e9tendue concr\u00e8te du mal. De plus, du fait du mal, ils d\u00e9veloppent leurs objections \u00e0 la sensibilit\u00e9 des croyances religieuses de diff\u00e9rentes mani\u00e8res. La th\u00e8se la plus forte repr\u00e9sent\u00e9e est celle de l’incompatibilit\u00e9 de l’existence du mal avec l’existence d’un Dieu aimable. Dans ce point de vue, il est impossible qu’il puisse y avoir de bonnes raisons pour le mal qui serait compatible avec l’existence de Dieu. Les tentatives de r\u00e9solution du probl\u00e8me du mal diff\u00e8rent en fonction de la force des objectifs de l’argument: La strat\u00e9gie d’argumentation la plus d\u00e9fensive ne fait que viser la compatibilit\u00e9 fondamentale de l’existence de Dieu avec l’existence du mal. Dans ce contexte, il est soutenu qu’avec la cr\u00e9ation divine de sujets d’action libre, ils ont \u00e9galement la possibilit\u00e9 de provoquer la souffrance et l’injustice ( D\u00e9fense de libre arbitre ). [92] Cependant, des raisons positives sont \u00e9galement donn\u00e9es que le mal a un certain sens ou un certain but. Ces tentatives sont \u00e9galement appel\u00e9es “th\u00e9odize”. Entre autres choses, il est avanc\u00e9 que le mal est la punition divine appropri\u00e9e pour les p\u00e9ch\u00e9s, qu’une v\u00e9ritable libert\u00e9 n\u00e9cessite une certaine \u00e9tendue du mal physique ou que le mal offre la possibilit\u00e9 d’am\u00e9liorer notre caract\u00e8re. Enfin, la position est repr\u00e9sent\u00e9e que le sens du mal doit rester inexplor\u00e9 pour les humains car il n’a pas la connaissance de Dieu. [93] Explications naturalistes de la religion [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les objections religieuses se concentrent souvent sur les causes d’origine des croyances religieuses. Cela pr\u00e9tend souvent que les religions sont des produits de peur et donc bien s\u00fbr explicables. Variantes naturalistes r\u00e9centes [quatre-vingt-quatorze] Entra\u00eenez-vous \u00e0 la th\u00e9orie de l’\u00e9volution, que vous \u00e9tendez \u00e9galement \u00e0 la langue, \u00e0 la culture et \u00e0 la religion. Une autre variante explicative naturaliste de la religion repose sur les neurosciences. Il est soulign\u00e9 que l’examen de la m\u00e9ditation des personnes ayant des proc\u00e9dures d’imagerie a indiqu\u00e9 que les activit\u00e9s religieuses sont corr\u00e9l\u00e9es avec certains mod\u00e8les d’activit\u00e9 caract\u00e9ristiques du cerveau. Certains interpr\u00e8tes concluent que les perceptions religieuses peuvent \u00eatre compl\u00e8tement r\u00e9duites \u00e0 leur base neuronale et qu’ils n’ont pas de contenu de r\u00e9alit\u00e9. [95] Il est consid\u00e9r\u00e9 comme probl\u00e9matique dans ces positions religieuses qu’ils repr\u00e9sentent les formes de dysfonctionnement g\u00e9n\u00e9tique: l’explanibilit\u00e9 naturelle de l’\u00e9mergence d’une conviction est conclue sur leur mensonge. Ni de l’utilit\u00e9 ni de l’histoire \u00e9volutive d’une conviction ne suit rien de leur v\u00e9rit\u00e9 ou de leur mensonge. [96] Justification d\u00e9fectueuse [ Modifier | Modifier le texte source ]] Certains arguments religieux ne pr\u00e9tendent pas que les croyances religieuses sont manifestement erron\u00e9es, mais elles veulent \u00eatre justifi\u00e9es comme d\u00e9fectueuses ou ne sont pas justifiables en principe. Soi-disant Bertrand Russell [97] En tant que raison essentielle de sa critique des croyances religieuses, le manque de preuves empiriques claires. Antony a fait l’objet de r\u00e9f\u00e9rences et a affirm\u00e9 que la personne qui faisait des d\u00e9clarations religieuses et revendique l’existence de Dieu, par exemple, est l’obligation de preuve. Tout d’abord, il peut \u00eatre suppos\u00e9 de l’acceptation de d\u00e9part que l’on ne sait rien de l’existence de Dieu ou de ses propri\u00e9t\u00e9s ( Pr\u00e9somption d’ath\u00e9isme ). [98] Une version radicalis\u00e9e de cette critique devient William Kingdon Clifford [99] attribu\u00e9 \u00e0 cela pour des raisons morales en principe \u00e0 croire quoi que ce soit sans des raisons suffisantes. En tant qu’objection \u00e0 ces positions, il est soulev\u00e9 que la \u00abpr\u00e9somption d’ath\u00e9isme\u00bb est une condition pr\u00e9alable forte, qui peut \u00eatre ni\u00e9e compte tenu du ph\u00e9nom\u00e8ne g\u00e9n\u00e9ralis\u00e9 des arguments religieux et de nombreux arguments historiquement pr\u00e9sent\u00e9s pour l’existence de Dieu. Peter van Inwagen, William Alston et Alvin Plantinga ont soulign\u00e9 que d’autres normes sont \u00e9tablies pour l’\u00e9tablissement de religieux par rapport \u00e0 d’autres croyances id\u00e9ologiques. Cependant, les croyances religieuses ne diff\u00e9reraient pas fondamentalement des autres composantes de notre vision du monde en termes de statut de justification. Comme les croyances religieuses, les croyances les plus fondamentales de notre vie quotidienne et les d\u00e9cisions les plus importantes de notre vie n’\u00e9taient pas bas\u00e9es sur des raisons scientifiques – mais nous n’avions toujours pas le sentiment d’agir de fa\u00e7on d\u00e9raisonnable. [100] Relations de connaissances perturb\u00e9es [ Modifier | Modifier le texte source ]] Une tradition essentielle de la critique religieuse moderne se pose que les croyances religieuses remontent \u00e0 des relations de connaissance perturb\u00e9es de l’homme. Pour Ludwig Feuerbach, la religion mal comprise – son “faux \u00eatre” – est la projection des id\u00e9aux humains dans un domaine fictif non mondain. Sur le d\u00e9tour sur Dieu de la foi pour venir \u00e0 l’accomplissement de ses souhaits et id\u00e9aux mondains int\u00e9rieurs et insatisfaits. Le \u00abvrai \u00eatre\u00bb de la religion, en revanche, est dans la prise de conscience que le genre des personnes elle-m\u00eame est divine et v\u00e9n\u00e9rable. Pour Karl Marx et Friedrich Engels, la religion est surtout un ph\u00e9nom\u00e8ne social. Il fait partie de la superstructure id\u00e9ologique et en tant que tel produit de conditions sociales et finalement \u00e9conomiques. Dans la religion, les gens ali\u00e9n\u00e9s par les conditions \u00e9conomiques trouvent les illusions r\u00e9confortantes qui rendent son lot mis\u00e9rable supportable. Avec une am\u00e9lioration des conditions \u00e9conomiques, la religion mourra \u00e0 elle seule. [101] Une critique efficace de la religion concerne donc le changement dans la situation \u00e9conomique dominante. Dans la th\u00e9orie psychanalytique de Sigmund Freud, la religion est un produit de m\u00e9canismes psychologiques inconscients qui, en raison de la relation entre la rivalit\u00e9 et l’admiration, conduit \u00e0 l’id\u00e9e de Dieu comme un surfilant. Sur la base de Sigmund Freud, la religion est souvent observ\u00e9e dans la tradition psychanalytique des d\u00e9sirs humains, des d\u00e9sir, des peurs et des m\u00e9canismes de d\u00e9placement. En tant que probl\u00e8me fondamental de ces th\u00e9ories de projection, les critiques consid\u00e8rent le m\u00e9lange de “questions d’\u00e9mergence avec des questions de v\u00e9rit\u00e9 ou de justification des croyances”. Du fait qu’il existe des explications \u00abnaturelles\u00bb pour une condamnation, ne suivez pas que cette condamnation est incorrecte ni qu’elle n’est pas suffisamment justifi\u00e9e. “Si les th\u00e9ories de la projection \u00e9taient utilis\u00e9es comme argument contre la v\u00e9rit\u00e9 des croyances religieuses, on commetterait l’erreur d’argumentation des P\u00e9titio Princini”. [102] Nocivit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les arguments religieux qui visent \u00e0 la nocive des croyances religieuses assument principalement un certain id\u00e9al d’une vie individuelle ou sociale r\u00e9ussie, dont la r\u00e9alisation est rendue difficile \u00e0 r\u00e9aliser avec la sant\u00e9 des croyances religieuses. Il est critiqu\u00e9, par exemple, que les religions alimentent les dommages, limitent les libert\u00e9s personnelles et favorisent une moralit\u00e9 anti-vie. D’autres objections voient une pr\u00e9judice social et culturel de la religion au premier plan et critiquer des pratiques religieuses cruelles, des guerres religieuses, une mission violente et un terrorisme motiv\u00e9 religieusement. En outre, il se plaint que les religions ont entrav\u00e9 les progr\u00e8s scientifiques ou qui ont \u00e9t\u00e9 dignes de la critique en tant que dieu conscient. Surtout contre les religions monoth\u00e9istes sont utilis\u00e9es depuis Hume [103] \u00c9galement l’accusation selon laquelle ils promeuvent un \u00e9tat d’esprit d’intol\u00e9rance et la volont\u00e9 de supprimer les autres. Contre ces arguments, la l\u00e9gitimit\u00e9 est initialement dout\u00e9e de coupler la v\u00e9rit\u00e9 d’une conviction avec son utilit\u00e9. En outre, il est obtenu que les all\u00e9gations de pr\u00e9judice en mati\u00e8re de nocif \u00e9quivalent \u00e0 une discussion empirique \u00e0 peine d\u00e9cisive, car un \u00e9quilibre total des avantages d’une religion est difficile \u00e0 soulever. En tant que d\u00e9fense des religions, dans ce contexte, il est souvent soulign\u00e9 \u00e0 leurs r\u00e9alisations culturelles, \u00e0 l’engagement humanitaire des religieux, \u00e0 l’effet stimulant des religions sur le progr\u00e8s scientifique, leur influence sur le d\u00e9veloppement de l’id\u00e9e des droits de l’homme et la fonction stabilisatrice de la religion pour les individus et la soci\u00e9t\u00e9. Philosophiebibliographie: religionsphilosophie – R\u00e9f\u00e9rences suppl\u00e9mentaires \u00e0 la litt\u00e9rature sur le sujet Hans Peter Balmer: Ce que le nom divin repr\u00e9sente. Tentatives philosophiques religieuses. Readbox Unipress, M\u00fcnster 2017, ISBN 978-3-95925-040-5. 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Voir aussi: Andreas Koritensky: La ph\u00e9nom\u00e9nologie de la religion de Wittgenstein , Stuttgart 2002 \u2191 Rudolf Otto: Le Saint , Munich 2004 (1917) \u2191 Georg Wilhelm Friedrich Hegel: Conf\u00e9rences sur la philosophie de la religion (Tenu 1821\u20131831, premi\u00e8res publications posthumes en 1832 et 1840), Francfort 1986 \u2191 Heidegger: Ph\u00e9nom\u00e9nologie de la vie religieuse (Edition compl\u00e8te Volume 60), Francfort 1995 \u2191 Swinburne: L’existence de Dieu , Stuttgart 1987 ( L’existence de Dieu , 1979, 2e modification de l’\u00e9dition 2004) \u2191 G\u00fcnter Lanczkowski: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse , Darmstadt 1980 \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 12ff. \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 13. \u2191 Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 212. \u2191 Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 212ff. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 214f. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 215. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 81ff. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 216f. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 217f. \u2191 Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 169f. \u2191 Pour ce qui suit, voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 196\u2013204. \u2191 Georg Wilhelm Friedrich Hegel: Conf\u00e9rences sur la philosophie de l’histoire. Dans: fonctionne en 20 volumes (Suhrkamp), Francfort a. M. 1969ff, vol. 12, p. 35. \u2191 Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 201. \u2191 Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu – ou ce que nous voulons dire quand nous disons Dieu , Herder, Freiburg i. Br. 2006, S. 258 \u2191 Voir, par exemple, Keith Ward: Religion et cr\u00e9ation , S. 290 \u2191 Voir, par exemple, l’interpr\u00e9tation de la th\u00e9ologie de la cr\u00e9ation de Luther avec Reinhold R. Bernhardt: Que signifie \u00abl’acte de Dieu\u00bb? : Une reconstruction de l’enseignement de la providence , G\u00fctersloh 1999. p. 84 \u2191 Voir D. Evers: Space – Matter – Zeit, p. 258 \u2191 Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu – ou ce que nous voulons dire quand nous disons Dieu , Herder, Freiburg i. Br. 2006, S. 261 \u2191 Platon: Timaios, 28c-29c \u2191 Alfred N. Whitehead: Process and Reality, p. 611 \u2191 Sur le concept de soi -Survival cf.: Paul Overhage \/ Karl Rahner: Le probl\u00e8me de l’hominisation. Sur l’origine biologique de l’homme 1961, 43-90; B\u00e9la Weissmahr: L’\u0153uvre de Dieu dans le monde. Une contribution \u00e0 la discussion sur la question de l’\u00e9volution et du miracle 1973, 20-39; B\u00e9la Weissmahr: Auto-surpating et l’\u00e9volution du cosmos vers le Christ , dans: Harald Sch\u00f6ndorf (hg.): Les sources philosophiques de la th\u00e9ologie de Karl Rahners 2005, 143-177. \u2191 Au Cr\u00e9ation nouvelle VGL. Johannes Herzgsell: Le christianisme dans le concert des religions du monde , Blows Friedrich KG, Regensburg 2011, p. 316 \u2191 Par exemple, voyez la d\u00e9claration de J\u00e9sus dans LK 11:20 que le royaume de Dieu est d\u00e9j\u00e0 venu. \u2191 Sur les concepts traditionnels de la toute-puissance de Dieu, voir Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu , Freiburg I.Br. 2006, S. 308\u2013343. \u2191 VGL. ST. Davis: Logique et la nature de Dieu , S. 68f. \u2191 Voir C.W: Savage: Le paradoxe de la pierre , S. 76 \u2191 Cette position \u00e9tait repr\u00e9sent\u00e9e dans le christianisme dans un certain sens de Luther et Calvin. Les traditions de l’islam ont \u00e9galement tendance \u00e0 cette option \u2191 Cette position est repr\u00e9sent\u00e9e par Clark Pinnock et d’autres, entre autres, et est fortement discut\u00e9e dans la zone \u00e9vang\u00e9lique \u2191 Cette th\u00e9orie va principalement \u00e0 Karl Rahner (P. surhages \/ k. Rahner: Le probl\u00e8me de l’hominisation. Sur l’origine biologique de l’homme , 1961, S. 13\u201390) Un B\u00e9la Weissmahr (B\u00e9la Weissmahr: L’\u0153uvre de Dieu dans le monde. Une contribution \u00e0 la discussion sur la question de l’\u00e9volution et du miracle , 1973) Retour. \u2191 Sur les concepts traditionnels de l’omniscience de Dieu cf. Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu. Freiburg I.Br. 2006, pp. 343\u2013369. Voir aussi Summa Theologica, partie 1. \u2191 Boethius: Consolation de la philosophie (Trost der Philosophy) (\u00c9dition d’\u00e9tude), 2004. Chap. V. \u2191 Voir David Hume: Une enqu\u00eate sur l’esprit humain. Trans. Raoul Richter, \u00e9d. Jens Kulenkampff, 12e \u00e9dition, Meiner, Hamburg 1993, p. 113 \u2191 VGL. Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu , Freiburg I.Br. 2006, S. 385\u2013389 \u2191 VGL. Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu , Freiburg I.Br. 2006, S. 387 \u2191 VGL. Armin Kreiner: Le vrai visage de Dieu , Freiburg I.Br. 2006, S. 395\u2013431 \u2191 Pour ce qui suit, voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 120\u2013139. \u2191 VGL. W. D. Hudson: Wittgenstein et croyance religieuse. Londres 1975, S. 176. \u2191 Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 129. \u2191 Apr\u00e8s Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. P. 46f. \u2191 Au sujet de “croyances religieuses raisonnables”, voir l’aper\u00e7u de Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 46\u201352. \u2191 Immanuel Kant, \u00c9crits collect\u00e9s. Ed.: Vol. 1\u201322 Prussian Academy of Sciences, Vol. 23 Acad\u00e9mie allemande des sciences de Berlin, du vol. 24 Academy of Sciences \u00e0 G\u00f6ttingen, Berlin 1900ff., AA 000003 Iii, 401 \/ Chevaliers. \u2191 VGL. Barry Miller: Existence. Dans: Edward N. Zalta (\u00e9d.): Encyclop\u00e9die de la philosophie de Stanford ., Edgar Morscher: N’y a-t-il pas encore un pr\u00e9dicat? Dans: Philosophie naturelle. 19, 1982, S. 163\u2013199. \u2191 Pour la section suivante, voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 60\u201368. \u2191 Voir, par exemple, Immanuel Kant: Sang B 631-641 et Eberhard Herrmann: Religion, r\u00e9alit\u00e9 et une bonne vie . T\u00fcbingen 2004 \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. P. 71. Pour approfondir: Neil Manson (\u00e9d.): Dieu et le design: l’argument t\u00e9l\u00e9ologique et la science moderne . Londres et New York 2003. \u2191 David Hume: Une enqu\u00eate sur l’esprit humain. Casquette. dix \u2191 Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 80. \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 90F. \u2191 William Alston: Percevant Dieu. L’\u00e9pist\u00e9mologie de l’exp\u00e9rience religieuse. Ithaca et Londres 1991, p. 196. \u2191 Philip Quinn: \u00c0 la recherche des fondements du th\u00e9isme (American 1985, allemand par V. M\u00fcller). Dans: Christoph J\u00e4ger (\u00e9d.): Philosophie analytique de la religion , Paderborn u. un. 1998, S. 331\u2013353. \u2191 Wolfhart Pannenberg: Th\u00e9orie des sciences et th\u00e9ologie. Francfort 1973; Karl Rahner: Auditeur du mot (1941), Freiburg in. A. 1997, Cours de foi de base (1976), Freiburg 11th Edition. 2005 \u2191 VGL. Karl Rahner: Cours de foi de base. S. 31. \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 101f. \u2191 Apr\u00e8s Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 84. \u2191 Pascal: Pens\u00e9es , Fragment 233 \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 112. \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 88ff. \u2191 Sur les interpr\u00e9tations non cognitives des d\u00e9clarations religieuses, voir R.S. Heimbeck: Th\u00e9ologie et signification. Londres 1969 \u2191 J.E. Mctaggart: Quelques dogmes de religion. Londres 1906, S. 3. \u2191 Alfred Jules hier: Langue, v\u00e9rit\u00e9 et logique. Londres 1936 \u2191 Charles Kay Ogden et I. A. Richards: Le sens du sens. Londres 1923 \u2191 Charles W. Morris: Signes, langue et comportement. New York 1946 \u2191 Kenneth Burke: La rh\u00e9torique de la religion. Boston 1961 \u2191 Schmidt, P. F.: Y a-t-il des connaissances religieuses? Journal of Philosophy 55 (1958), 529-38 \u2191 Richard Bevan Braithwaite: La vision d’un empiriste sur la nature de la croyance religieuse , Mitchell (1971), 72-91 \u2191 Voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 102ff. \u2191 Sur la critique de la th\u00e9orie des jeux de langue, voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 111ff. \u2191 Voir, par exemple, S\u00f8ren Kierkegaard: \u0152uvres collect\u00e9es. \u00e9d. E. Hirsch u., 36 d\u00e9partements en 26 volumes, D\u00fcsseldorf 1950\u20131969, vol. 26, p. 136. \u2191 VGL. Soren Kierkegaard: \u0152uvres collect\u00e9es. Vol. 10, p. 56 et 58f \u2191 VGL. Soren Kierkegaard: \u0152uvres collect\u00e9es. Bd. 16\/1, S. 202F. \u2191 Pour ce qui suit, voir Franz von Kutschera: Raison et croyance. S. 128. \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 119. \u2191 Rudolf Carnap: Surmonter la m\u00e9taphysique par l’analyse logique de la langue. dans Connaissance 2 (1931\/32), 219-241. \u2191 Rudolf Carnap: Surmonter la m\u00e9taphysique par l’analyse logique de la langue. Dans Knowledge 2 (1931\/32), 219-241 \u2191 Antony a vol\u00e9, Richard M. Hare, Basil Mitchell: Th\u00e9orie et falsification. Un symposium (Anglais 1950\/51, allemand par Ingolf U. Dalferth). Dans: Ingolf U. Dalferth: Logique linguistique de la foi . Munich 1974. \u2191 VGL. Karl-Poppers: Logique de la recherche (1934), 11e \u00e9dition. 2005 \u2191 Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 122. \u2191 Willard Van Orman Quine: Deux dogmes de l’empirisme , 1951, allemand: Deux dogmes de l’empirisme. Dans: D’un point de vue logique , traduit par Peter Bosch, Francfort \/ Berlin \/ Vienne 1979 \u2191 John Findlay: L\u2019existence de Dieu peut-elle \u00eatre r\u00e9fut\u00e9e? Dans: Mind 57 (1948), S. 176\u2013183. \u2191 Voir, par exemple, Alvin Plantinga: The Analytic Theist: un lecteur d’Alvin Plantinga. \u00c9dit\u00e9 par J.F. Sennett. Grand Rapids 1998 \u2191 Pour cette th\u00e8se, par exemple, Stephen Wykstra: Daniel Howard-Snyder (\u00e9d.): L’argument \u00e9vident du mal. Bloomington – Indianapolis 1996, S. 127\u2013150. \u2191 Voir, par exemple, Richard Dawkins: Le horloger aveugle. Un nouveau plaidoyer pour le darwinisme (Anglais 1986, allemand par K. de Soudas Ferreira), Munich 1987; Daniel C. Dennett: L’h\u00e9ritage dangereux de Darwin (American 19956, allemand par S. Vogel). Hambourg 1997; Daniel C. Dennett: Briser le sort: la religion comme ph\u00e9nom\u00e8ne naturel. Londres 2006 \u2191 Voir, par exemple, Andrew Newberg, Eugene d’Aquili, Vince Out: Le dieu voulu. Comment la foi dans le cerveau se produit (American 2001, allemand par H. Stadler). Munich et a. 2003; Rhawn Joseph (\u00e9d.): Neuroth\u00e9ologie: cerveau, science, spiritualit\u00e9, exp\u00e9rience religieuse . San Jose 2002 \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 132f. \u2191 Bertrand Russell: Pourquoi je ne suis pas chr\u00e9tien (Anglais 1957, allemand par M. Steipe). Munich 1963 \u2191 Antony a vol\u00e9: La pr\u00e9somption d’ath\u00e9isme et d’autres essais. Londres 1976 \u2191 William K. Clifford: L’\u00e9thique de la croyance. Dans: L’\u00e9thique de la croyance et d’autres essais . \u00c9dit\u00e9 par T.H. Madigan. Amherst 1999 (premier imprim\u00e9 1877). \u2191 Voir Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 138. \u2191 Karl Marx, Friedrich Engels: Sur la religion. Berlin (est) 1958 \u2191 Winfried L\u00f6ffler: Introduction \u00e0 la philosophie religieuse. S. 143. \u2191 David Hume: L’histoire naturelle de la religion. Sur la superstition et l’enthousiasme. Sur l’immortalit\u00e9 de l’\u00e2me. Sur le suicide. (Engl. 1757). Trans. U. Ed. v. Lothar Kreimendahl, 2e \u00e9dition. Mine, Hambourg 2000 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/religionsphilosophie-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Religionsphilosophie – Wikipedia"}}]}]