[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-reitzel-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-reitzel-wikipedia\/","headline":"Robert Reitzel – Wikipedia","name":"Robert Reitzel – Wikipedia","description":"before-content-x4 Robert Reitzel (N\u00e9 le 27 janvier 1849 \u00e0 Weitenau, \u2020 31 mars 1898 \u00e0 D\u00e9troit) \u00e9tait l’\u00e9crivain, journaliste et","datePublished":"2021-12-06","dateModified":"2021-12-06","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/9\/96\/Robert_Reitzel.jpg\/220px-Robert_Reitzel.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/9\/96\/Robert_Reitzel.jpg\/220px-Robert_Reitzel.jpg","height":"271","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-reitzel-wikipedia\/","wordCount":1534,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Robert Reitzel (N\u00e9 le 27 janvier 1849 \u00e0 Weitenau, \u2020 31 mars 1898 \u00e0 D\u00e9troit) \u00e9tait l’\u00e9crivain, journaliste et r\u00e9dacteur en chef allemand du magazine Le pauvre diable . Reitzel a principalement travaill\u00e9 en Am\u00e9rique du Nord. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Robert Reitzel a grandi dans le sud de Weitenau (aujourd’hui district de Steinen). Alors que son p\u00e8re, le professeur d’\u00e9cole primaire et po\u00e8te en dialecte Reinhard Reitzel (1812-1889) [d’abord] , Sa m\u00e8re, une femme \u00e9duqu\u00e9e, n’\u00e9tait “pas un homme de progr\u00e8s” de la part des r\u00e9volutionnaires de 1848. C’est elle qui a nomm\u00e9 le fils de Robert Blum, le h\u00e9ros de l’\u00e9chec de la r\u00e9volution \u00e0 Vienne \u00e0 la fin de 1848 \u00e0 Vienne. Reitzel a d’abord visit\u00e9 le lyc\u00e9e de Mannheim, puis le lyc\u00e9e de Karlsruhe, mais semble avoir \u00e9t\u00e9 difficile \u00e0 entrer dans la discipline de ces institutions, de sorte qu’elle a \u00e9t\u00e9 rel\u00e9gu\u00e9e en 1869, deux mois avant l’Abitur. Son p\u00e8re \u00e9tait tr\u00e8s triste \u00e0 ce sujet: “La chose la plus triste n’est pas qu’il ne soit devenu rien, mais qu’il ne veut rien devenir.” Un Abitur sophistiqu\u00e9 et des \u00e9tudes de th\u00e9ologie d\u00e9molies, qui sont souvent mentionn\u00e9es dans des rapports sur Reitzel, n’ont jusqu’\u00e0 pr\u00e9sent pas \u00e9t\u00e9 prouv\u00e9s. [2] Reitzel a plut\u00f4t d\u00e9cid\u00e9 d’\u00e9migrer en Am\u00e9rique. Il est arriv\u00e9 \u00e0 New York en juillet 1870. En Am\u00e9rique, Reitzel s’est initialement frapp\u00e9 en tant que tramp et travailleur migrant jusqu’\u00e0 ce qu’il puisse devenir pr\u00e9dicateur d’une communaut\u00e9 religieuse s\u00e9cessionniste au d\u00e9but de 1871. Cependant, ses exp\u00e9riences avec les croyants, ainsi que son examen des croyances, \u00e0 propos de laquelle il pr\u00eachait, a rapidement fait de lui un ennemi d\u00e9cisif des \u00e9glises. Bien qu’il ait d\u00fb nourrir une famille depuis 1872, il s’est donc efforc\u00e9 de quitter son propre poste. Parce qu’il avait d\u00e9couvert ou d\u00e9velopp\u00e9 un \u00e9norme talent rh\u00e9torique dans son activit\u00e9 de pr\u00e9dication, il fut bient\u00f4t un conf\u00e9rencier recherch\u00e9 qui a trouv\u00e9 un domaine d’activit\u00e9 dans les nombreuses associations de travailleurs allemands et de citoyens – dans lesquels de nombreux quarante-voleurs ont toujours gard\u00e9 les id\u00e9aux r\u00e9volutionnaires et lib\u00e9raux de la r\u00e9volution d\u00e9prim\u00e9e. En plus de la critique religieuse et de l’anticl\u00e9ricalisme, les sujets dont il ont parl\u00e9 \u00e9taient des questions de critique sociale: des moyens socialistes et anarchistes de surmonter la mis\u00e8re capitaliste. Il a publi\u00e9 sur ces sujets dans le magazine du socialiste. Au cours des ann\u00e9es en tant que conf\u00e9renci\u00e8re des r\u00e9unions sensibles libres, le plan de son propre journal a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 \u00e0 Reitzel. Il a eu un nom depuis longtemps avant de pouvoir trouver le journal: Le pauvre diable. C’\u00e9tait “le bon nom pour une publication que le monde appara\u00eet dans le sens d’une personne authentique.” Reitzel n’a \u00e9t\u00e9 en mesure de r\u00e9aliser son plan en 1884 avec l’aide d’un fan d’attitude patronage, et il a r\u00e9ussi \u00e0 “appara\u00eetre en Am\u00e9rique”, le journal du “journal de litt\u00e9rature allemande \u00e0 base”, qui est apparu en Am\u00e9rique “” [3] d\u00e9velopper. Il est apparu tout au long de la mort de Reitzel en tant que Wochenblatt et a \u00e9t\u00e9 poursuivi par des amis pendant quelques ann\u00e9es de plus: seize ans avec un total de 822 \u00e9ditions. Max Nettlau, le “polyhistor de l’anarchisme”, a jug\u00e9 Reitzel comme l’auteur principal de son journal: “Il s’est tourn\u00e9 vers tout ce qui est beau et \u00e9tait librement intentionn\u00e9 dans la litt\u00e9rature allemande et internationale et est venu \u00e0 l’anarchisme undogmatique dans quelques ann\u00e9es. … Le pauvre diable Un tr\u00e9sor est une libert\u00e9 s\u00e9rieuse et aimable et un sentiment et une pens\u00e9e rebelles et la coupe de la critique sociale et le d\u00e9mant\u00e8lement de l’autorit\u00e9 sous toutes ses formes ouvertes et voil\u00e9es. ” [4] Reitzel s’est vu – im programme Son journal – \u00e0 une distance amicale et ironique avec les contemporains anarchistes: “Je laisse \u00e7a \u00e0 mes amis Tucker et la plupart, qui repr\u00e9sente le v\u00e9ritable anarchisme … Je ne suis qu’un pauvre diable qui s’inqui\u00e8te de la soci\u00e9t\u00e9 du futur, qui lutte contre toutes les contraintes, tous les erreurs, applaudissant chaque v\u00e9rit\u00e9, et cela aurait \u00e9t\u00e9 si douloureux, malgr\u00e9 l’\u00c9tat, malgr\u00e9 l’\u00c9tat et le public.” [5] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le pauvre diable. Hebdomadaire, Detroit 1884-1900 Num\u00e9ris\u00e9 par Google Le livre Reitzel. Un amoureux beaucoup de m\u00e9moire Detroit 1900 IM Archive Internet \u00c9crits s\u00e9lectionn\u00e9s. Premier \u00e9pisode: Adventure d’un vert. Chicago 1902 IM Archive Internet \u00c9crits collect\u00e9s au pauvre diable en trois volumes. HRSG. dans. Reitzel-Club, Detroit 1913 (vers 1500 S.) “Je veux juste dormir sur une oreille pour ne pas manquer un appel \u00e0 la libert\u00e9 …” S\u00e9lection de texte, \u00e9d. Par Manfred Bosch. Karin Kramer Verlag, Berlin 2004, ISBN 3-87956-292-X. Gustav Landauer: \u00c0 la m\u00e9moire de Robert Reitzel. Dans: The Socialist (Berlin), 7 mai 1898 (r\u00e9impression avec Ulrike Heider: Le pauvre diable. Robert Reitzel – De Vorm\u00e4rz \u00e0 Haymarket. Elster-Verlag, B\u00fchl-Moos 1986, ISBN 3-89151-033-0, pp. 191-192) Albert Weidner: Robert Reitzel. Dans: Socialist Monthly Booklets, 5th Vol., 1st Vol., Num\u00e9ro 6 (juin 1901), pp. 424\u2013430 Num\u00e9ris\u00e9 de la Fondation Friedrich Ebert Ludwig Julius Excharches: Reitzel, Robert . Dans: Biographie g\u00e9n\u00e9rale allemande (ADB). Volume 53, Duncker & Humblot, Leipzig 1907, pp. 296\u2013300. Paul Eberhard Werckshagen: Robert Reitzel. Sa personnalit\u00e9 et sa vision du monde , Universit\u00e9 de l’Illinois, 1908 IM Archive Internet Adolf E. Zucker: Robert Reitzel. Philadelphie 1917 IM Archive Internet Ulrike Heider: Le pauvre diable. Robert Reitzel – De Vorm\u00e4rz \u00e0 Haymarket. Elster-Verlag, B\u00fchl-Moos 1986, ISBN 3-89151-033-0 Emprunable sur les archives Internet Oliver Benjamin Hemmerle: “Le pauvre diable”. Un magazine transatlantique entre le mouvement ouvrier et le transfert culturel bourgeois vers 1900. Lit, M\u00fcnster 2002, ISBN 3-8258-5849-9 Randall P. Donaldson: L’h\u00e9ritage litt\u00e9raire d’un \u00abpauvre diable\u00bb: la vie et l’\u0153uvre de Robert Reitzel. Peter Lang, New York U. un. 2002, ISBN 0-8204-3466-3 Manfred Bosch: Toujours une attente. Afterword \u00e0 R. R.: “Je veux juste dormir sur une oreille pour ne pas manquer un appel \u00e0 la libert\u00e9 …” S\u00e9lection de texte, \u00e9d. Par Manfred Bosch. Karin Kramer Verlag, Berlin 2004, ISBN 3-87956-292-X, pp. 241\u2013269 \u2191 Reinhard Reitzel . (Wikisource). \u2191 Bosch 2004, S. 245 \u2191 Bosch 2004, S. 255 \u2191 Max Nettlau: Histoire de l’anarchie. Volume III. Br\u00eame o. J. (emphase), p. 389 \u2191 La citation. n. Oliver Hemmele: “Le pauvre diable.” Un magazine transatlantique entre le mouvement des travailleurs et le transfert culturel bourgeois vers 1900. M\u00fcnster 2002, S. 185 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-reitzel-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Robert Reitzel – Wikipedia"}}]}]