[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-siodmak-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-siodmak-wikipedia\/","headline":"Robert Siodmak – Wikipedia","name":"Robert Siodmak – Wikipedia","description":"before-content-x4 Robert Siodmak (N\u00e9 le 8 ao\u00fbt 1900 \u00e0 Dresde, \u2020 le 10 mars 1973 \u00e0 Locarno) \u00e9tait un r\u00e9alisateur","datePublished":"2022-03-16","dateModified":"2022-03-16","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/robert-siodmak-wikipedia\/","wordCount":3486,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Robert Siodmak (N\u00e9 le 8 ao\u00fbt 1900 \u00e0 Dresde, \u2020 le 10 mars 1973 \u00e0 Locarno) \u00e9tait un r\u00e9alisateur allemand, un sc\u00e9nariste et un producteur de films. Avec le film Les gens le dimanche En 1929, il devint l’un des repr\u00e9sentants les plus importants de la Nouvelle objectivit\u00e9 . Il s’est enfui de la dictature nationale socialiste d’Allemagne et s’est fait un nom \u00e0 Hollywood dans les ann\u00e9es 40 en tant que r\u00e9alisateur de thrillers et de films noires, comme L’escalier en spirale et R\u00e4cher des enfers qui sont consid\u00e9r\u00e9s comme des classiques de leurs genres. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsAu d\u00e9but [ Modifier | Modifier le texte source ]] Carri\u00e8re en Allemagne et en France 1929-1939 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les ann\u00e9es am\u00e9ricaines 1939-1952 [ Modifier | Modifier le texte source ]] De retour en Europe 1952\u20131973 [ Modifier | Modifier le texte source ]] After-Effet [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au d\u00e9but [ Modifier | Modifier le texte source ]] Siodmak est venu d’une famille juive. Ses parents \u00e9taient le marchand Ignatz Siodmak et son \u00e9pouse Rosa Philippine, n\u00e9e blum. Ignatz Siodmak est venu de Sil\u00e9sie, avait \u00e9migr\u00e9 en Am\u00e9rique et s’est ensuite install\u00e9 en Allemagne en tant que citoyen am\u00e9ricain en 1899, o\u00f9 il s’est mari\u00e9. En 1902, le fr\u00e8re cadet de Rober, Curt Siodmak, est n\u00e9 ici. Sa m\u00e8re est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e d’un cancer avant son 40e anniversaire, son plus jeune fr\u00e8re Rolf s’est suicid\u00e9 \u00e0 l’\u00e2ge de 20 ans. Robert a rompu avec son p\u00e8re dans sa jeunesse. [d’abord] Siodmak a fr\u00e9quent\u00e9 le lyc\u00e9e de Dresde et a pris des cours d’acteur avec Erich Ponto. En 1918, il rejoint une sc\u00e8ne de randonn\u00e9e. En 1921, il a travaill\u00e9 comme comptable aux banques Mattorf et Schermer \u00e0 Dresde, en 1924, il a fond\u00e9 le Verlag Robert Siodmak et a bri\u00e8vement donn\u00e9 l’illustr\u00e9 Le magazine en dehors d’ici. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4L’un des premiers ordres du film de Siodmak a \u00e9t\u00e9 la traduction des titres interm\u00e9diaires pour les \u00e9tapes de Lewis Le pare-chocs de batailles (1927). Au Nero-Film AG \u00e0 Berlin dirig\u00e9 par son oncle Heinrich, il s’est impos\u00e9 comme un ma\u00eetre coup\u00e9 et directeur adjoint des films de Harry Piel et Kurt Bernhardt. Apr\u00e8s tout, Siodmak a pu le persuader de commencer le d\u00e9but de son premier film Les gens le dimanche fournir. [2] Carri\u00e8re en Allemagne et en France 1929-1939 [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c0 Les gens le dimanche (Tourn\u00e9 en 1929, cr\u00e9\u00e9 en 1930), Robert Siodmak, avec Edgar G. Ulmer, s’est r\u00e9alis\u00e9 pour la premi\u00e8re fois. [3] Gr\u00e2ce au succ\u00e8s de ce film de demi-documentaire, qui \u00e9tait occup\u00e9 exclusivement avec des la\u00efcs, il a re\u00e7u un contrat avec le film Universum (UFA), pour lequel il a organis\u00e9 des dramatiques cin\u00e9matographiques, des films criminels et des com\u00e9dies cin\u00e9matographiques. Les artistes avec lesquels Siodmak travaillait \u00e9taient rapidement des films comme Emil Jannings et Hans Albers. Quand il \u00e9tait \u00e0 1932 F.P.1 ne r\u00e9pond pas , une adaptation cin\u00e9matographique du romain de Curt Siodmak, a \u00e9t\u00e9 ignor\u00e9e \u00e0 cause de ses racines juives, il a quitt\u00e9 l’UFA. Est apparu en 1933 Secret , La version en toile de Siodmak par le romain de Stefan Zweig Secret . La performance du film a \u00e9t\u00e9 interdite par le minist\u00e8re du Reich de Joseph Goebbels pour l’illumination et la propagande des gens, qui a fait allusion \u00e0 l’incendie du Reichstag du 27 f\u00e9vrier 1933. [4] [5] Apr\u00e8s la \u00absaisie du pouvoir\u00bb par les nationaux-nationaux, Siodmak a quitt\u00e9 l’Allemagne et est all\u00e9 en France. \u00c0 Paris, il a travaill\u00e9 pour les films N\u00e9ro de son cousin Seymour Nombre, qui a d\u00fb \u00e9migrer comme Siodmak. Le film a \u00e9t\u00e9 le plus grand succ\u00e8s de cette p\u00e9riode cr\u00e9ative en 1939 Girl Dealer (Pi\u00e8ges) avec Maurice Chevalier, Marie D\u00e9pie et Erich von Stroheim. Projet de Siodmak, \u00d6d\u00f6n von Horv\u00e1th’s Roman Jeunes sans Dieu Pour filmer, \u00e9chou\u00e9 en raison de la mort subite de l’accident de l’auteur. [6] Les ann\u00e9es am\u00e9ricaines 1939-1952 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au d\u00e9but de la Seconde Guerre mondiale, Siodmak a \u00e9migr\u00e9 aux \u00c9tats-Unis. Il a d’abord travaill\u00e9 pour Paramount Pictures, 20th Century Fox et Republic Pictures. Son application \u00e0 Mark Hellinger, alors productrice de Warner Brothers, a \u00e9chou\u00e9, bien que Hellinger plus tard pour R\u00e4cher des enfers engag\u00e9. [7] En 1943, il a tourn\u00e9 Draculas Sohn Son premier film pour les studios Universal, dans lequel il est rest\u00e9 sous contrat jusqu’en 1950. R\u00e9trospectivement, Siodmak s’est exprim\u00e9 d\u00e9sobligeant T\u00e9moin recherch\u00e9 (1944) Films am\u00e9ricains qu’il consid\u00e9rait comme un pur pain travail. [8] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4T\u00e9moin recherch\u00e9 Urbain un certain nombre de thrillers et de films noirs, dont certains sont maintenant consid\u00e9r\u00e9s comme des classiques de leurs genres. T\u00e9moin recherch\u00e9 , R\u00e4cher des enfers (1946) et Alibid audacieux (1949) a promu la carri\u00e8re de Burt Lancaster, Ava Gardner, Ella Raines et Tony Curtis. “Si vous r\u00e9ussissez avec une vari\u00e9t\u00e9 de films, vous obtenez l’ordre de tourner davantage cette vari\u00e9t\u00e9”, a d\u00e9clar\u00e9 Siodmak en 1959 la pond\u00e9ration de ses films de ces ann\u00e9es. [9] Dans ce travail, les historiens du cin\u00e9ma ont d\u00e9couvert l’\u00e9tude de la “psychologie pathologique” (Charles Higham) et “Love et Hass obsessionnel” (Colin McArthur) ainsi que “l’\u00e9clairage allemand et la conversion expressionniste de la r\u00e9alit\u00e9 ext\u00e9rieure” (Foster Hirsch). [dix] David Thomson, en revanche, a d\u00e9crit Siodmak comme un \u00abdirecteur de l’ordre\u00bb pur et doutait de savoir si l’on pouvait parler de la paternit\u00e9 artistique dans son cas. [11] Universal “Car\u00eame” Siodmak \u00e0 d’autres studios, donc \u00e0 RKO Pictures pour L’escalier en spirale (1945), 20th Century Fox pour Cri de la grande ville (1948) et MGM pour l’adaptation Dostojewski Le joueur (1949). Celui mis en sc\u00e8ne pour Paramount Thelma Jordon p\u00e9nale (1950) a termin\u00e9 la s\u00e9rie noir de Siodmak. Il a rejet\u00e9 une nouvelle offre contractuelle de sept ans d’Universal. [douzi\u00e8me] En 1952, Siodmak a r\u00e9alis\u00e9 le film d’aventure Der rote croix Son dernier film am\u00e9ricain avant de quitter sa maison adopt\u00e9e. La fusillade a \u00e9t\u00e9 tir\u00e9e par des affrontements persistants entre lui et l’acteur de premier plan Burt Lancaster, qui \u00e9tait maintenant devenu une star. [13] Siodmak, l’ancien syst\u00e8me de studio hollywoodien qui s’\u00e9teint \u00e0 la fin des ann\u00e9es 40, a pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 les nouveaux relations en studio dans lesquelles dans ses mots “anarchie” et “egomaniac”, les stars seraient en charge et retournaient en Europe. [14] Curt Siodmak et l’historien du cin\u00e9ma Herv\u00e9 Dumont ont d\u00e9clar\u00e9 comme une autre raison pour le d\u00e9part de Siodmak de Hollywood qu’il avait \u00e9t\u00e9 cibl\u00e9 par sa connaissance personnelle de Charlie Chaplin au comit\u00e9 de la Chambre des activit\u00e9s non am\u00e9ricaines (HUAC), qui a v\u00e9rifi\u00e9 les cin\u00e9astes dans les ann\u00e9es 1940 et 1950. M\u00eame si cette affirmation n’est pas prouv\u00e9e [15] Ainsi, l’histoire de son dernier film \u00e0 Hollywood Der rote croix Un exemple de la fa\u00e7on dont un r\u00e9alisateur pourrait laisser les censeurs HUAC courir et exposer. Siodmak aurait r\u00e9\u00e9crit le script \u00e0 l’origine \u00e9crit par Waldo Salt en tant que com\u00e9die apr\u00e8s que Salt ait \u00e9t\u00e9 accus\u00e9 de communiste huit jours avant le d\u00e9but du tournage et le script n’a donc pas \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9 \u00e0 \u00eatre film\u00e9. [16] De retour en Europe 1952\u20131973 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au milieu des ann\u00e9es 1950, Siodmak s’est install\u00e9 \u00e0 Ascona sur la rive suisse du lac Maggiore et a \u00e9galement dirig\u00e9 l’Allemagne. Encore une fois, il a travaill\u00e9 dans des domaines aussi diff\u00e9rents que le film policier, le dramatique du film, le film occidental et historique. \u00abSi, comme Hitchcock, toute ma vie aurait fait des films criminels, mon nom serait \u00e9galement connu. Mais cela m’ennuie et j’ai essay\u00e9 dans diff\u00e9rents domaines. \u00bb(Siodmak) [17] Pour Les rats (1955), son adaptation cin\u00e9matographique de la pi\u00e8ce de Gerhart Hauptmann du m\u00eame nom, il a re\u00e7u l’ours d’or au Festival international du film Berlin. Celui mis en sc\u00e8ne par lui en 1957 La nuit quand le diable est venu Re\u00e7u de nombreux prix nationaux et internationaux, y compris une nomination aux Oscars comme le meilleur film en langue \u00e9trang\u00e8re. Le film traite du cas du pr\u00e9sum\u00e9 tueur en s\u00e9rie Bruno L\u00fcdke dans le contexte de l’histoire contemporaine du national-socialisme. Dans son autobiographie, Siodmak a remarqu\u00e9 qu’il n’\u00e9tait que fier de ses films r\u00e9alis\u00e9s apr\u00e8s son retour des \u00c9tats-Unis. [18] Siodmak a fait avec des acteurs bien connus tels que Maria Schell, Curd J\u00fcrgens, Heinz R\u00fchmann et Romy Schneider, et la plupart des films ont \u00e9t\u00e9 rentables au box-office, mais pas toujours en cours de critique. Mon ami d’\u00e9cole (1960) et Affaire Nina B. (1961) apr\u00e8s La nuit quand le diable est venu Encore une fois, le national-socialisme comme milieu th\u00e9matique. En 1964 et 1965, Siodmak a r\u00e9alis\u00e9 dans Three Karl May Films produit par Artur Brauner avec Lex Barker: Le tir , Le tr\u00e9sor azt\u00e8que et La pyramide du Dieu du soleil . En Espagne, le producteur de Siodmak pour les \u00c9tats-Unis Philip Yordan a fait l’ouest Une journ\u00e9e pour se battre . En 1968 et 1969, le film monumental \u00e0 deux parties, qui a de nouveau \u00e9t\u00e9 produit par Brown, a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 Se battre pour Rome Apr\u00e8s le roman historique de Felix Dahn publi\u00e9 en 1876 Un combat pour Rome . Se battre pour Rome Le dernier travail de r\u00e9alisateur de Siodmak est rest\u00e9, le projet \u00abAtrox\u00bb pr\u00e9vu avec James Mason n’a plus \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9. Ind\u00e9pendamment de cela, il a montr\u00e9 un grand int\u00e9r\u00eat pour l’\u00e9v\u00e9nement cin\u00e9matographique international jusqu’\u00e0 la fin, exprim\u00e9 par le Nouvelle fran\u00e7aise Vague, le cin\u00e9ma italien et Francis Ford Coppolas Le parrain . [19] Dans le film Thomas Schamonis Un grand oiseau gris bleu (1970) Siodmak a termin\u00e9 une courte apparence. Son \u00e9pouse Bertha, qu’il a \u00e9pous\u00e9e le 16 novembre 1933 \u00e0 Paris, est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e le 20 janvier 1973. Deux mois plus tard, le 10 mars 1973, Robert Siodmak est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 d’une crise cardiaque \u00e0 l’\u00e2ge de 72 ans. After-Effet [ Modifier | Modifier le texte source ]] Les n\u00e9crologies dans le miroir et dans le New York Times ont toutes deux pr\u00e9sent\u00e9 des informations d\u00e9fectueuses sur la vie et le travail du directeur: tandis que le Spiegel a d\u00e9plac\u00e9 le lieu de naissance de Siodmak aux \u00c9tats-Unis (une l\u00e9gende que Siodmak avait cr\u00e9\u00e9e dans les ann\u00e9es 1930 pour maintenir un visa \u00e0 l’\u00e9tranger [20] ), le New York Times lui a d\u00e9cern\u00e9 le titre “Master of the Low Key Thrillers des ann\u00e9es 1950”. [21] [22] \u00c0 la premi\u00e8re \u00e9dition de l’autobiographie Siodmaks (publi\u00e9e postale), l’\u00e9diteur Hans-Christoph Blumenberg a \u00e9crit: “Il a fait des films sur des obsessions meurtri\u00e8res, sur les faibles instables et d\u00e9sesp\u00e9r\u00e9s pris dans un gang familial pathologique, qui essaie de se lib\u00e9rer par des crimes […] sur le solitaire et le malheureux de la citi\u00e9: le style de la citi\u00e9 [… Des fourmis qui tiennent le tout ensemble sur exactement quarante ans et de nombreux pays se sont dispers\u00e9s. \u00bb [23] En 1965, lorsque la carri\u00e8re de Siodmak \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 \u00e0 venir, Pauline Kael a d\u00e9clar\u00e9 Je l’ai perdu au cin\u00e9ma : “Je soup\u00e7onne que tous ceux qui s’int\u00e9ressent aux films utilisent le nom d’un r\u00e9alisateur comme guide [\u2026] Dans les ann\u00e9es 40, mes amis et moi avons cherch\u00e9 les films de Robert Siodmak [\u2026] [ceux-l\u00e0] souvent attribu\u00e9s \u00e0 d’autres r\u00e9alisateurs ou producteurs de m\u00e9dias.” [24] En 1980, le London National Film Theatre a montr\u00e9 un salon de travail avec les films de Robert Siodmak. En 1998, le jeu du Festival du film international Berlin a consacr\u00e9 les fr\u00e8res Siodmak une r\u00e9trospective pour assister \u00e0 Curt Siodmak, d\u00e9c\u00e9d\u00e9 deux ans plus tard. Herv\u00e9 Dumont: Robert Siodmak: Le ma\u00eetre du film noir. L\u2019age d\u2019homme, 1990 Wolfgang Jacobsen: Siodmak, Robert. Dans: Nouvelle biographie allemande (NDB). Volume 24, Duncker & Humblot, Berlin 2010, ISBN 978-3-428-11205-0, p. 475 f. ( Num\u00e9ris\u00e9 ). Wolfgang Jacobsen, Hans Helmut Prinzler (\u00e9d.): Siodmak Bros. Berlin – Paris – Londres – Hollywood. Fondation Deutsche Kinemathek et International Film Festival Berlin, r\u00e9trospective 1998. Argon, Berlin 1998, 438 pages, ISBN 3-87024-469-0 Deborah Lazaroff alpi: Robert Siodmak. Une biographie, avec des analyses critiques de ses films noirs et une filmographie de toutes ses \u0153uvres. McFarland, Jefferson, NC et Londres 1998, 406 (XI) S., ISBN 0-7864-0489-2 Kay moins: \u00abIl y a plus pour vous dans la vie que donn\u00e9e …\u00bb. Lexique des cin\u00e9astes a \u00e9migr\u00e9 d’Allemagne et d’Autriche de 1933 \u00e0 1945. Un aper\u00e7u global. S. 459 ff., Acabus-Verlag, Hambourg 2011, ISBN 978-3-86282-049-8 \u00c0 Robert Siodmak. Interview t\u00e9l\u00e9vis\u00e9e, Che \/ FRG 1971 Il n’y a pas de dimanche tous les jours. Robert Siodmak et ses films. Portrait de t\u00e9l\u00e9vision par Norbert Grob, FRG 1998 \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. Herbig, Munich 1980, ISBN 3-8004-0892-9, pp. 20, pp. 26-28. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 39\u201340, S. 42. \u2191 Selon le film Vorfann et Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 42\u201343. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 56\u201357. \u2191 F. R.: Le film du Troisi\u00e8me Reich. Dans: Arbeiter-Zeitung , 2. avril 1933, S. 19 (belle ann\u00e9e en ligne). Mod\u00e8le: Anno \/ Maintenance \/ Aze \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 79\u201381. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 117\u2013118. \u2191 Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. Disserve.com, 1999, ISBN 1-58112-081-8, P. 7-9. \u2191 “Films and Filming”, 1959, cit\u00e9 dans: Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 10. \u2191 Cit\u00e9 dans: Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 6. \u2191 David Thomson, cit\u00e9 dans: Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 5. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 210. \u2191 Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 164. \u2191 Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 20-21, S. 162. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 11; Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 162. \u2191 J\u00fcrgen M\u00fcller, le r\u00e9alisateur n’a rien \u00e0 jurer, faz, nature et science, 18 juillet 2018 \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 102. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 232. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 17. \u2191 Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 9. \u2191 Robert Siodmak . Dans: Le miroir . Non. douzi\u00e8me , 1973 ( en ligne – n\u00e9crologie). \u2191 Robert Siodmak, r\u00e9alisateur, 72 ans; Master of Low-Keyspense dans les ann\u00e9es 1950 est mort , N\u00e9crologie du New York Times du 12 mars 1973, consult\u00e9 le 6 janvier 2013. \u2191 Robert Siodmak, Hans C. Blumenberg (\u00e9d.): Entre Berlin et Hollywood. Souvenirs d’un grand r\u00e9alisateur. S. 12\u201313. \u2191 Cit\u00e9 dans: Joseph Greco: Le dossier sur Robert Siodmak \u00e0 Hollywood, 1941\u20131951. S. 5, S. 185. 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