[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rudelf-beaucoup-wikipedia-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rudelf-beaucoup-wikipedia-wikipedia\/","headline":"Rudelf beaucoup – Wikipedia Wikipedia","name":"Rudelf beaucoup – Wikipedia Wikipedia","description":"before-content-x4 Rudolf beaucoup dans l’Arkadenhof de l’Universit\u00e9 de Vienne Rudolf beaucoup (N\u00e9 le 7 octobre 1862 \u00e0 Vienne, \u2020 8","datePublished":"2019-10-18","dateModified":"2019-10-18","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/8\/85\/Rudolf_Much_%28Nr._63%29_Bust_in_the_Arkadenhof%2C_University_of_Vienna-9343.jpg\/170px-Rudolf_Much_%28Nr._63%29_Bust_in_the_Arkadenhof%2C_University_of_Vienna-9343.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/8\/85\/Rudolf_Much_%28Nr._63%29_Bust_in_the_Arkadenhof%2C_University_of_Vienna-9343.jpg\/170px-Rudolf_Much_%28Nr._63%29_Bust_in_the_Arkadenhof%2C_University_of_Vienna-9343.jpg","height":"588","width":"170"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/rudelf-beaucoup-wikipedia-wikipedia\/","wordCount":3080,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Rudolf beaucoup dans l’Arkadenhof de l’Universit\u00e9 de Vienne Rudolf beaucoup (N\u00e9 le 7 octobre 1862 \u00e0 Vienne, \u2020 8 mars 1936 Ibid) \u00e9tait un m\u00e9dia germaniste et scandinave autrichien, un ancien philologue et scientifique religieux. Il \u00e9tait le fils du Matth\u00e4us pr\u00e9historique et est consid\u00e9r\u00e9 comme un repr\u00e9sentant du So-appel\u00e9 Antiquit\u00e9 germanique Et linguistique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Beaucoup provenait d’une famille nationale bourgeoise-allemand et s’est mari\u00e9 \u00e0 trois reprises. Ses enfants sont venus du deuxi\u00e8me mariage avec Elisabeth, n\u00e9 Schmidt (\u2020 1926). \u00c0 l’Universit\u00e9 de Vienne, il a \u00e9tudi\u00e9 la philologie classique et allemande; \u00c0 l’instigation de son mentor scientifique Richard Heinzel, il a \u00e9largi son spectre \u00e0 la philologie nordique. En cela, il a re\u00e7u son doctorat en 1887 avec une \u0153uvre “sur l’histoire de l’Allemagne”. Contrairement \u00e0 beaucoup, Heinzel n’a jamais \u00e9t\u00e9 en mesure de se lier d’amiti\u00e9 avec les tendances romantiques et nationalistes, mais a protest\u00e9 contre le fait que la profession de l’al en germe est li\u00e9e au sentiment national germanique et \u00e0 la science abuse du patriotisme. [d’abord] En 1888, une \u00e9tude reste au Danemark \u00e0 l’Universit\u00e9 de Copenhague et un voyage de recherche dans le reste de la Scandinavie a suivi; En 1904, il y a eu un vaste voyage vers les \u00eeles britanniques. En plus d’\u00e9tudier la philologie \u00e0 Vienne, beaucoup a \u00e9galement \u00e9tudi\u00e9 avec l’historien de la g\u00e9ographie Wilhelm Tomaschek, dont l’int\u00e9r\u00eat particulier pour les zones tribales des tribus germaniques qu’il partageait. Cela s’est refl\u00e9t\u00e9 dans son habilitation des “si\u00e8ges tribaux allemands” de 1893, avec lesquels il a re\u00e7u l’autorisation d’enseignement pour l’histoire du langage germanique et l’antiquit\u00e9. En 1901, il \u00e9tait le titre \u00abAO. Prof. \u00bbavec une position d’enseignement sur\u00ab l’antiquit\u00e9 germanique et celtique ainsi que sur les langues et les litt\u00e9ratures scandinaves \u00bb; Puis, en 1904, un professeur extraordinaire pour “l’histoire du langage germanique et l’antiquit\u00e9”. Afin d’emp\u00eacher un appel \u00e0 Berlin, il a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 ordinaire de la pr\u00e9sidente nouvellement fond\u00e9e pour “Histoire et antiquit\u00e9 du langage germanique” en 1906, qui a \u00e9t\u00e9 \u00e9largie en 1907 par l’ajout “et Scandinavi”. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En plus d’un ordinaire \u00e0 l’universit\u00e9, l’offre de d\u00e9m\u00e9nager \u00e0 Berlin y a \u00e9galement inclus la gestion du Mus\u00e9e d’ethnologie. Bien qu’il n’ait pas accept\u00e9 cela, le folklore est rest\u00e9 un domaine d’activit\u00e9 \u00e0 vie pour lui. \u00c0 partir de 1926, les partis internes sp\u00e9cialis\u00e9s figuraient parmi les sponsors de l’Association acad\u00e9mique des allemandistes de Vienne, une association \u00e9tudiante qui excluait les femmes des membres et avait un paragraphe aryen. Il avait sa chaise \u00e0 Vienne jusqu’\u00e0 sa retraite en septembre 1934, et pour des raisons de sant\u00e9, il n’a enseign\u00e9 que comme \u00e9m\u00e9rite pendant deux semestres. [2] Ses \u00e9tudiants les plus c\u00e9l\u00e8bres comprenaient Siegfried Gutenbrunner, Otto H\u00f6fler, Dietrich Kralik, Julius Pokorny, Walter Steinhauser (successeur de la chaise Muchs), Robert Stumpfl, Lily Weiser-Aall, Richard Wolfram. Les fissures id\u00e9ologiques du 20e si\u00e8cle ne se sont pas arr\u00eat\u00e9es dans la famille Muchs. Si sa troisi\u00e8me \u00e9pouse Cornelie (1880-1963) \u00e9tait une national-socialiste, son fils Dr. Med. Horand a beaucoup ex\u00e9cut\u00e9 \u00e0 Berlin en 1943 pour des raisons politiques. Grave dans le cimeti\u00e8re de Baumgartner Rudolf Much \u00e9tait dans une tombe d\u00e9di\u00e9e au cimeti\u00e8re de Baumgartner (groupe E, num\u00e9ro 331) [3] Enterr\u00e9 \u00e0 Vienne. Irene Ranzmaier a d\u00e9crit le travail technique de Muchs comme suit: “La Much School of Germanism est caract\u00e9ris\u00e9e par un train fort pour le nationalisme allemand; entre autres, leurs repr\u00e9sentants ont vu le (en commun) germanique ou dans l’\u00e9pisode de l’allemand comme le plus ancien et le plus original de la langue indo-europ\u00e9enne.” [4] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les travaux de Muchs ont essentiellement trait\u00e9 de l’histoire religieuse germanique et de la mythologie, de l’histoire tribale germanique, de l’histoire du langage, de l’histoire juridique et du folklore. Il a toujours inclus les sources de l’Altisland-Scandinave, qu’il a \u00e9galement d\u00e9di\u00e9 des trait\u00e9s s\u00e9par\u00e9s (chansons d’Edda et Sagas). Pour beaucoup, ces \u00e9crits \u00e9taient principalement des sources de langue et d’histoire religieuse, l’aspect litt\u00e9raire historique \u00e9tait moins important pour son travail. De m\u00eame, il a fourni pratiquement aucun travail de recherche sur la litt\u00e9rature allemande plus ancienne, et si oui, uniquement en termes d’utilisation comme source de linguistique, de g\u00e9ographie, de religion et de mythologie. Comme Karl Helm et d’autres, contrairement aux recherches plus anciennes, il s’est s\u00e9par\u00e9 clairement de la mythologie et de la religion des tribus germaniques. Dans l’histoire du langage, il a fait des recherches en particulier dans le domaine des peuples, mais aussi dans les zones frontali\u00e8res de la linguistique et des \u00e9tudes religieuses ainsi que la science nomm\u00e9e en g\u00e9n\u00e9ral. Dans le domaine de la science nomm\u00e9e, il s’occupait de la direction culturelle et saine de l’\u00e9tymologie, qui par programme avec l’interaction des mots et sa signification factuelle [5] Employ\u00e9s. Selon cela, il est devenu co-\u00e9diteur du magazine “Words and Things”. Le principal travail de Muchs est son commentaire sur le Germanie de Tacite, qui est souvent valable \u00e0 ce jour et a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 \u00e0 titre posthume en 1937. D’un autre c\u00f4t\u00e9, ses 248 articles sur \u00abReallexicon of the Germanic Antiquity\u00bb de Johannes (1\u00e8re \u00e9dition), qui sont souvent r\u00e9vis\u00e9s par les r\u00e9sultats des travaux plus r\u00e9cents (entre autres, la nouvelle \u00e9dition compl\u00e8te du lexique r\u00e9el) sont souvent r\u00e9vis\u00e9es. M\u00eame en tant que jeune homme, beaucoup, par le biais de son p\u00e8re, appartenait au mouvement allemand-national autour de Georg von Sch\u00f6nerer et \u00e9tait en contact avec leurs dirigeants. Avec son p\u00e8re Matth\u00e4us, Rudolf Much a beaucoup \u00e9t\u00e9 l’un des 27 compagnons Sch\u00f6ners, qui est entr\u00e9 dans le restaurant \u00e9ditorial de la “New Vienna Tagblatt”, qui a \u00e9t\u00e9 diffam\u00e9e comme juive le 8 mars 1888 et a ajout\u00e9 un combat. [6] Des informations sur son attitude allemande et anti -mitique allemande existante peuvent \u00eatre trouv\u00e9es non seulement dans les protocoles du S\u00e9nat de l’Universit\u00e9 de Vienne \u00e0 partir de la fin des ann\u00e9es 1920, mais peuvent \u00e9galement \u00eatre vus dans son appartenance \u00e0 la communaut\u00e9 allemande. Il appartenait \u00e9galement \u00e0 la clique anti-professeur anti -mite “Bear Cave”. [7] Son comportement dans l’examen scientifique des autres ainsi qu’avec le germaniste juif Sigmund Feist, l’auteur de la substrathypothesis germanique, est particuli\u00e8rement controvers\u00e9 dans lequel les r\u00e8gles \u00e9l\u00e9mentaires de courtoisie \u00e9l\u00e9mentaires ont beaucoup ignor\u00e9. Il a attaqu\u00e9 Feist dans plusieurs articles avec une nettet\u00e9 extr\u00eame, en raison de ses th\u00e8ses celtomaniques et insoutenables pour l’origine de la langue germanique et germanique. [8] Klaus von See a parl\u00e9 de “abus personnels et allusions anti-s\u00e9rie”. [9] Celui du savant litt\u00e9raire Ruth R\u00f6mer [dix] Et l’ancien philologue Allan Lund [11] Retour accusation que Much Attack a \u00e9t\u00e9 largement d\u00e9termin\u00e9 par son anti-s\u00e9mitisme, le racisme et la haine personnelle, en particulier Hermann Reichert. [douzi\u00e8me] Reichert a des preuves – comme Birkhan (1970) – qu’elle \u00e9tait seule dans les erreurs techniques massives dans un certain nombre de publications de la publication de Feist qui avait d\u00e9termin\u00e9 l’occasion, la forme et le contenu de la discussion. Bien qu’en 1926, le magazine \u00abVolk und Race\u00bb, publi\u00e9 par Julius Friedrich Lehmann publi\u00e9 par Julius Friedrich Lehmann, est devenu les sujets dont, en plus d’Otto Reche, comprenait \u00e9galement son propre \u00e9tudiant Bruno K. Schultz depuis 1930, Reichert a affirm\u00e9 que le racisme et l’anti-semittisme n’ont pas pu \u00eatre d\u00e9termin\u00e9s dans les MUSS. Peter Wiesinger d\u00e9crit l’attitude de la Much \u00e0 l’\u00e9gard de ces d\u00e9bats et de la repr\u00e9sentation non scientifique de l’antiquit\u00e9 germanique et de l’hommage germanique en tant que “strider am\u00e8re et qui aimait la v\u00e9rit\u00e9” contre tous les points de vue contemporains “\u00e9tranges” qui \u00e9taient \u00e9conomiques depuis le d\u00e9but du si\u00e8cle, enferm\u00e9es celles qui \u00e9taient des produits de l’esprit germanophile ou allemande. [13] Beaucoup ont travaill\u00e9 avec le docteur juif et social-d\u00e9mocrate Clemens von Pirquet et ont \u00e9crit 120 articles pour son “lexique pour la science nutritionnelle”. L’un de ses \u00e9tudiants les plus \u00e9minents, Julius Pokorny, avait une formation juive, et Max Hermann Jellinek lui a combin\u00e9 une amiti\u00e9 \u00e0 vie depuis son \u00e9tude. Avec un don, Jellinek a permis l’impression de la publication comm\u00e9morative de Muchs et a beaucoup contribu\u00e9 \u00e0 la publication comm\u00e9morative de Jellinek. [14] Jellinek aurait traduit simultan\u00e9ment la tombe pr\u00eachant le pasteur en gothique. [15] Une attitude politique de Muchs peut \u00eatre vue dans le contexte des arguments violents de la premi\u00e8re R\u00e9publique. Pendant la p\u00e9riode du national-socialisme, le prix Matth\u00e4us et Rudolf a \u00e9t\u00e9 donn\u00e9 par l’Acad\u00e9mie autrichienne des sciences pour “People’s and Reich German Research”, mais seulement trois fois en raison de la charge sur l’homonyme et le laur\u00e9at du prix: Si\u00e8ges tribaux allemands – une contribution \u00e0 la plus ancienne histoire de l’Allemagne . Niemeyer, Halle a. P. 1892. Le s\u00fcdmark des Teutons . Dans: Contributions \u00e0 l’histoire de la langue et de la litt\u00e9rature allemandes 17, 1893, S. 1\u2013136. Le dieu du ciel germanique . Niemeyer, Halle a. P. 1898. Science tribale allemande . G\u00f6schen, Leipzig, Berlin (U.) 1900. Le nom Teutons . H\u00f6lder, Vienne 1920. La r\u00e8gle c\u00e9l\u00e9tique pr\u00e9sum\u00e9e en Germanie , dans: Volk and Race, Jg. 1, 1926, pp. 100-105. Les Teutons de Theodor Mommsen , dans: Volk und Basse, n\u00e9 le 3, 1928, p. 101\u2013104. Baudihillia et Friagabis . Dans: Publication comm\u00e9morative pour Max Hermann Jellinek , Vienne-Leipzig 1928, pp. 75\u201385. Sur l’Allemagne des tacites , expliqu\u00e9 par Rudolf beaucoup; Hiver, Heidelberg 1937, 3e \u00e9dition sous traitement par Wolfgang Lange et Herbert Jankuhn, 1967. Helmut Birkhan: Allemands et Celtes jusqu’\u00e0 la fin de la p\u00e9riode romaine. La valeur de l’\u00e9nonc\u00e9 des mots et des choses pour les premi\u00e8res relations culturelles celtiques germaniques. (= Rapports de session. Acad\u00e9mie des sciences \u00e0 Vienne, classe philosophique-historique, 272). Hermann B\u00f6hlaus successeur Verlag, Cologne \/ Vienne \/ Graz 1970. p. 55 ff. Allan A. Lund: Id\u00e9ologie germanen dans le national-socialisme. \u00c0 la r\u00e9ception de la \u00abGermanie\u00bb de Tacite dans le Troisi\u00e8me Reich. \u00c9diteur universitaire Winter, Heidelberg 1995, ISBN 3-8253-0243-1. Le\u00e7on.: Les premi\u00e8res tribus germaniques. Ethnicit\u00e9 et ethnogen\u00e8se. Universit\u00e4tsverlag Winter, Heidelberg 1998, ISBN 3-8253-0685-2, pp. 31f. Hermann Reichert: Rudolf beaucoup. Dans: Lexique r\u00e9el de l’antiquit\u00e9 germanique. Bande 20: Metuonis – M\u00e9thodes scientifiques. 2e \u00e9dition, compl\u00e8tement nouvellement modifi\u00e9e et grandement \u00e9largie. de Gruyter, Berlin U. 2002, ISBN 3-11-017164-3, pp. 273-279. Le\u00e7on.: Rudolf beaucoup. Dans: Christoph K\u00f6nig (\u00e9d.), Avec la collaboration de Birgit W\u00e4genbaur U.: Internationales Germanistenlexikon 1800\u20131950. Bande 2: H – Q. Beriych, Gepr, Firtle. Hermann Reichert, Corinna Scheungraber (\u00e9d.): Antiquit\u00e9 germanique: sources, m\u00e9thodes, r\u00e9sultats. Fichiers du Symposium \u00e0 l’occasion du 150e anniversaire de Rudolf Much Vienne, 28-30e Septembre 2012. (= Philologa allemand 35). Fassbaender, Vienne 2015, ISBN 978-3-902575-63-0. Dans ce:Helmut Birkhan: Rudolf tout comme un membre du corps professoral. S. 21\u201386. Hermann Reichert: Rudolf Much, * 7 octobre 1862 \u00e0 Vienne, \u2020 Ibid. 8 mars 1936. S. 179\u2013197. Matthias Springer: Berger contre beaucoup. Pour rechercher les peuples germaniques. S. 273\u2013313. Heiko Steuer: Rudolf Muchs explications sur le Germanie de Tacite de 1837 du point de vue de l’arch\u00e9ologie apr\u00e8s 75 ans. S. 315\u2013347. Otto H. Urban: Matth\u00e4us beaucoup, le “Schliemann Lower Autriche” et sa vision du monde. S. 355\u2013369. Irene Ranzmaier, \u00c9tudes allemandes – Approches cr\u00e9atives de la science et l’importance du soutien coll\u00e9gial , dans: Mitchell G. 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