Sacrifice (économie) – Wikipedia

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Le Relation sacrificielle (Anglais: Compte de sacrifice ) est un slogan de la macroéconomie et indique que le pourcentage du produit intérieur brut annuel ou des employés doit être “sacrifié” afin de réduire l’inflation d’un point de pourcentage. Il est dérivé de la courbe de Phillips, qui a été élargie en 1960, à Phillips, Samuelson et Solow, qui décrit le lien entre le chômage et l’inflation.

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La courbe Phillips élargie décrit la connexion entre le chômage et l’inflation. [d’abord] Le nombre de victimes ou la relation des victimes est dérivé et calculé à partir de cette analyse de régression économétrique.

Illustration de la courbe de Phillips étendue

La cartographie de la courbe de Phillips étendue montre qu’une baisse de l’inflation (désinflation) par β correspond à une augmentation du taux de chômage de 1. La relation de victime est donc:

Relation sacrificielle = 1β{DisplayStyle {text {Ratio victime} = {frac {1} {bêta}}}

Plus précisément, cela signifie:

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Relation sacrificielle = Jahresprozentpunkt an UeberschussarbeitslosigkeitRueckgang Inflation{DisplayStyle {text {Ratio victime} = {frac {text {pourcentage annuel de chômage de surtension}} {texte {Rueckgang Inflation}}

Le pourcentage annuel de chômage excédentaire est la différence entre le chômage réel et naturel.
Par exemple, le taux de chômage naturel est de 8% et le taux de chômage de 4 ans à 10%, puis les points de pourcentage annuels de chômage excédentaire sont calculés comme suit:

(108)4 = 8 {displayStyle {Left (10-8Right) cdot 4} = 8}

Le taux de chômage à long terme est souvent utilisé comme chômage naturel. Le chômage réel décrit le taux de chômage actuel.

La baisse de l’inflation est donnée en points de pourcentage. Par exemple, une réduction du taux d’inflation de 10% à 6% signifie une désinflation de 4%.

Position de départ [ Modifier | Modifier le texte source ]]

En utilisant l’exemple des États-Unis de 1979 à 1985, la relation de victime a été calculée ici. [2]

% 1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985
Croissance du PIB 2.5 -0,5 1.8 -2.2 3.9 6.2 3.2
Taux de chômage 5.8 7.1 7.6 9.7 9.6 7.5 7.2
taux d’inflation 13.3 12.5 8.9 3.8 3.9 3.9 3.8
Chômage cumulatif 1.0 2.6 6.3 9.3 11.4 12.6
Désinflation cumulative 0.8 4.4 9.5 9.5 9.4 9.5
Relation sacrificielle 1.25 0,59 0,66 1.04 1.12 1.32

La somme du pourcentage annuel de chômage excédentaire a été utilisée pour calculer le chômage cumulé depuis 1980. Le taux de chômage naturel a été fixé avec 6,0%. La différence entre le taux d’inflation d’un an et le taux d’inflation de 1979 entraîne une désinflation cumulée.

Observations [ Modifier | Modifier le texte source ]]

  • La relation de victime est désactivée par 1. Cela signifiait qu’environ 10% de désinflation a augmenté le chômage de 10 points annuels.
  • L’économie américaine entre 1980 et 1982 montre que la relation de victime est plus faible dans le cas d’une désinflation rapide que plus (voir période 1983–1985).

critique [ Modifier | Modifier le texte source ]]

  • La perte de revenus n’est considérée comme nominale que dans la relation victime, calculée en unités monétaires, le pouvoir d’achat de l’argent n’est pas pris en compte.
  • Les options de redistribution pour l’inflation sont ignorées. Empêchez donc z. B. Contensions collectives qui suit également une augmentation des prix (inflation) une augmentation des salaires. Les bénéfices obtenus par l’augmentation des prix restent donc avec l’entrepreneur. À cet égard, la relation de victime pourrait entraîner des malentendus.
  • Le terme des accords collectifs n’est pas pris en compte. Les accords collectifs peuvent par exemple B. Empêcher les travailleurs d’être libérés en faveur de la désinflation. Ainsi, la relation de victime dans les économies avec des temps de négociation collective faibles est plus faible que dans les économies avec des temps de négociation collectifs plus longs. Cela résulte du fait qu’en cas de contenus collectifs à court terme, l’économie peut agir plus rapidement ou plus tôt dans une désinflation.

A supposé que l’État peut influencer le chômage par le biais de mesures de politique budgétaire et monétaire, elle doit choisir entre deux maux: un chômage élevé ou une inflation élevée. À court terme, il y a un «compromis» si appelé entre les deux. Parce que dans une économie, le chômage élevé est tout aussi indésirable qu’une inflation élevée.
Le naufrage du taux d’inflation est acheté dans une augmentation du taux de chômage. Étant donné que les chômeurs supplémentaires n’interviennent pas dans le processus de production, leur éventuelle productivité est donnée ou sacrifiée. D’où le nom de la relation sacrificielle.
D’un autre côté, une réduction du taux de chômage entraîne une augmentation de l’inflation.

À long terme, une inflation plus élevée ne conduit pas à un gain d’emploi ou à réduire le chômage.

  1. https://www.wiwiiki.net/index.php?title=erwiteerte_phillips-kurve Curve étendue_phillip, 20 avril 2008
  2. Propre présentation basée sur: Blanchard, Olivier et Illing, Gerhard, Macroeconomics, 3e éd., Pearson, Munich, 2004, page 287.
  • Oliver Blanchard, Macroéconomie , 3e éd., Prentice Hall International, Londres, 2003. ISBN 0-1110301-6
  • Oliver Blanchard, Gerhard Illing, Macroéconomie , 4e éd., Pearson, Munich, 2006. ISBN 3-8273-7199-6

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