[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/sammmlung-orleans-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/sammmlung-orleans-wikipedia\/","headline":"Sammmlung Orl\u00e9ans – Wikipedia","name":"Sammmlung Orl\u00e9ans – Wikipedia","description":"before-content-x4 Le Collection d’Orl\u00e9ans \u00e9tait l’une des collections de peinture les plus importantes du XVIIIe si\u00e8cle. [d’abord] Ses 500 peintures,","datePublished":"2022-04-05","dateModified":"2022-04-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/1a\/TitianDianaCallistoEdinburgh.jpg\/220px-TitianDianaCallistoEdinburgh.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/1\/1a\/TitianDianaCallistoEdinburgh.jpg\/220px-TitianDianaCallistoEdinburgh.jpg","height":"203","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/sammmlung-orleans-wikipedia\/","wordCount":5524,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Le Collection d’Orl\u00e9ans \u00e9tait l’une des collections de peinture les plus importantes du XVIIIe si\u00e8cle. [d’abord] Ses 500 peintures, y compris les \u0153uvres principales de l\u2019\u00e9cole italienne, ont \u00e9t\u00e9 compil\u00e9es par Philippe II. De Bourbon, Duc d\u2019Orl\u00e9ans, entre 1715 et sa mort \u00e0 Paris en 1723. En plus des collections de peinture princiers, telles que celles fa\u00e7onn\u00e9es \u00e0 Dresde, Madrid ou Stockholm, elle est consid\u00e9r\u00e9e comme l’une des collections les plus importantes de la peinture europ\u00e9enne. [2] Collections de pr\u00e9duction \u00e0 Prague, Stockholm et Rome [ Modifier | Modifier le texte source ]] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Un noyau de la collection Orl\u00e9ans est un paquet de peintures de la collection Rudolf II. Sa collection au ch\u00e2teau de Prague contenait, entre autres, le ministre de son Grand-Sailor Karl V, Cardinal Granvelle, avait rassembl\u00e9 au cours du XVIe si\u00e8cle, ou que Karl V. a \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9 comme un cadeau par la Gonzaga \u00e0 Mantea. [3] Certaines parties de la collection Rudolf II \u00e9taient la proie des troupes su\u00e9doises dans la guerre de trente ans lorsqu’ils occupaient le petit c\u00f4t\u00e9 de Prague en 1648. [4] Avec des images qui ont \u00e9t\u00e9 vol\u00e9es par les Su\u00e9dois en 1632 \u00e0 Munich, ils ont form\u00e9 un stock de base de la collection, qui a ensuite \u00e9t\u00e9 uni \u00e0 Stockholm. De cela, Christina von Su\u00e8de a pris 70 \u00e0 80 peintures et autres objets d’art, dont environ 50 photos de champions italiens, de statues et de tapisseries lorsqu’elle a quitt\u00e9 la Su\u00e8de en 1654 apr\u00e8s son abdication et enfin nied \u00e0 Rome en 1655 apr\u00e8s sa conversion au catholicisme. [5] \u00c0 Rome, Christina von Su\u00e8de a \u00e9largi la collection avec d’autres chefs-d’\u0153uvre, comme des images de la Predella of the Raffael Autels de la famille Colonna (1504\u20131505, Metropolitan Museum of Art, New York). [6] Elle a \u00e9galement re\u00e7u des photos d’autres r\u00e9gents catholiques en cadeau et a elle-m\u00eame donn\u00e9 des photos. Alors Archiduke Leopold Wilhelm von Austria a laiss\u00e9 son Titien Mort de l’alion (1559\u20131575, National Gallery, Londres). [7] Christina, \u00e0 son tour Adam et Eva (1507, Prado Museum, Madrid). [8] Apr\u00e8s sa mort en 1689, son h\u00e9ritier et son administratrice du domaine Cardinal Azzolini a repris la collection, mais il est \u00e9galement d\u00e9c\u00e9d\u00e9 dans les six semaines. Son neveu, le Marchese Pompeo Azzolini, a ensuite h\u00e9rit\u00e9 de la collection, puis l’a vendu \u00e0 Don Livio OdesCalchi. \u00c0 cette \u00e9poque, il contenait 275 peintures, dont 140 ma\u00eetres italiens ont \u00e9t\u00e9 attribu\u00e9s. [9] Apr\u00e8s sa mort en 1713, ses h\u00e9ritiers, le Marchese Baldassare Odescalchi et le cardinal Erba Odescalchi, ont n\u00e9goci\u00e9 avec Pierre Crozat, qui a agi comme n\u00e9gociateur pour Philippe II. Le commerce a \u00e9t\u00e9 d\u00e9cid\u00e9 avec le transfert des \u0153uvres en 1721, les marchands fran\u00e7ais critiquant que la reine Christina avait circoncis les peintures sur les bords. [dix] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4L’\u00e9veil du Lazare , Sebastiano del Piombo, 1516\u20131518, National Gallery, Londres La collection \u00e0 Paris [ Modifier | Modifier le texte source ]] Philippe II de Bourbon a commenc\u00e9 intensivement avec la collection de peintures vers 1715 et a \u00e9galement acquis les images de Christina de Su\u00e8de. En 1715, \u00e0 la mort de Louis XIV, Philippe est devenu r\u00e9gent pour le mineur Louis XV. Jusqu’\u00e0 ce qu’il grimpe le tr\u00f4ne en 1723. Dans ces phases, non seulement des achats importants pour la collection de peintures tombent, mais Philipp a \u00e9galement re\u00e7u des \u0153uvres importantes en tant que r\u00e9gent. Il a donc re\u00e7u trois \u0153uvres de Tizian de Philipp V d’Espagne de son \u00e9pisode de po\u00e9sie. [11] Apr\u00e8s l’achat, la collection Queen Christinas a \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9e \u00e0 Paris dans le Palais Royal. L\u00e0, les \u0153uvres \u00e9taient dans deux s\u00e9quences d’espace dans l’aile ouest du complexe, que le p\u00e8re Philipp II, Philippe I d’Orl\u00e9ans, avait utilis\u00e9 comme salle de r\u00e9ception. [douzi\u00e8me] \u00c0 partir d’un catalogue r\u00e9alis\u00e9 en 1727 des \u0153uvres publi\u00e9es dans le Palais Royal, il montre qu’il n’y avait que quinze images h\u00e9rit\u00e9es par Philippe I, tandis que la grande majorit\u00e9 des 495 peintures sont retourn\u00e9es aux activit\u00e9s de collection Philippe II. [13] Au cours du XVIIIe si\u00e8cle, la collection du Palais Royal n’\u00e9tait pas r\u00e9serv\u00e9e \u00e0 la famille royale, mais \u00e9tait accessible \u00e0 un groupe d’audience plus large. [14] La popularit\u00e9 de la collection et de ses \u0153uvres ont \u00e9galement \u00e9t\u00e9 augment\u00e9es par le fait que, en plus du catalogue de 1785, les \u0153uvres les plus importantes ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9parties dans une s\u00e9rie de 352 graphiques. Ceux-ci ont \u00e9t\u00e9 \u00e9chang\u00e9s par abonnement. La s\u00e9rie a \u00e9t\u00e9 interrompue au cours de la R\u00e9volution fran\u00e7aise et achev\u00e9e en 1808. [15] D’autres achats de Philippe II comprenaient des photos telles que Sebastiano del Piombos Approbation du Lazare (1516\u20131518, National Gallery, Londres) [16] ou nicolas poussins Les sept sacrements (2. Serie 1644\u20131648, Scottish National Gallery, \u00c9dimbourg). [17] Philippe II a acquis des \u0153uvres des collections des h\u00e9ritiers des Cardinals Richelieu et Mazarin, le cardinal Dubois et des collections d’autres noblers fran\u00e7ais importants tels que les ducs de No\u00e9es, Gramont et Vend\u00f4me. [18] La collection Orl\u00e9ans \u00e9tait li\u00e9e \u00e0 d’autres collections c\u00e9l\u00e8bres sur l’achat et l’h\u00e9ritage des photos. Philippe II a acquis des \u0153uvres que d’autres concessionnaires fran\u00e7ais avaient acquis en 1650 dans la “vente des biens de feu King” apr\u00e8s l’ex\u00e9cution de Charles I d’Angleterre. De cette collection, les travaux sont entr\u00e9s dans la collection du Palais Royal, que Charles que j’avais \u00e0 nouveau acquis des collections Gonzagas \u00e0 Mantoue. Par exemple, la photo de Giulio Romano appartenait \u00e0 Philippe II Le jeune Jupiter gard\u00e9 par le Korybanten sur l’\u00eele de Cr\u00e8te (environ 1553, National Gallery, Londres), qui \u00e9tait auparavant situ\u00e9 dans l’inventaire de Charles I en 1637 et peut d\u00e9j\u00e0 \u00eatre prouv\u00e9 \u00e0 Mantoue. [19] \u00c0 travers la veuve Karl I, qui vit en exil en exil en exil depuis 1665, et par le biais de la premi\u00e8re femme de son p\u00e8re, la fille Charles I, Henrietta Anne Stuart, est venue de sa collection de Philippe II. [20] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Dans son existence, la collection \u00e9tait particuli\u00e8rement caract\u00e9ris\u00e9e par les \u0153uvres de la Renaissance italienne. Elle avait donc cinq des peintes \u00e0 l’origine pour Philipp II d’Espagne po\u00e8mes par Titian, quatre images mythologiques et quatre All\u00e9gories sur l’amour Von Paolo Veronese. [21] Au total, la collection de 28 images Tizian attribu\u00e9es, 12 \u0153uvres de Rapaels, 16 peintures de Guido Reni, 16 par Paolo Veronese, 12 par Jacopo Tintoretto, 25 par Annibale Caravaggio. En plus de se concentrer sur la peinture italienne, la collection Orl\u00e9ans contenait \u00e9galement des \u0153uvres de peintres fran\u00e7ais, flamands et n\u00e9erlandais et refl\u00e8te dans cette s\u00e9lection les pr\u00e9f\u00e9rences des collectionneurs europ\u00e9ens au 17e et au d\u00e9but du XVIIIe si\u00e8cle. En images fran\u00e7aises, la collection contenait le Sept sacrements De Poussin et \u0153uvres de Philippe de Champaigne et Eustache Le Sueur. La collection flamand \u00e9tait domin\u00e9e par Rubens avec 19 pi\u00e8ces, Van Dyck avec 10 et David Teniers d. J. avec 9 \u0153uvres. Il y avait 6 photos de Rembrandt, 7 par Caspar Netscher, 3 par Frans van Mieris d. \u00c4., 3 par Gerard Dou et 4 par Philips Wouwerman. [22] Selon l’\u00e9tat actuel de la connaissance, toutes ces attributions ne peuvent pas \u00eatre conserv\u00e9es, mais malgr\u00e9 une certaine d\u00e9pr\u00e9ciation, la collection contenait un certain nombre de chefs-d’\u0153uvre de la peinture europ\u00e9enne. Le fils Philipp II, Louis I. de Bourbon, n’a pas partag\u00e9 l’amour de l’art de son p\u00e8re sans r\u00e9serve et probablement endommag\u00e9 des peintures mythologiques \u00e9rotiques \u00e0 partir de ferveur religieuse Corregos Leda et le cygne (environ 1532, Gem\u00e4ldegalerie, Berlin). [23] \u00c0 la cha\u00eene de provenance de cette image, la randonn\u00e9e de certaines \u0153uvres peut \u00eatre examin\u00e9e comme exemple avant d’entrer dans la collection Orl\u00e9ans et apr\u00e8s leur d\u00e9part. De cette fa\u00e7on, le travail de Correggios est venu \u00e0 la Cour de Charles V en cadeau des Gonzagas de Mantoue et de l\u00e0 \u00e0 la collection Rudolf II \u00e0 Prague. Il a \u00e9t\u00e9 amen\u00e9 \u00e0 Stockholm par les troupes su\u00e9doises afin d’\u00eatre emmen\u00e9e \u00e0 Rome par la reine Christina. De l\u00e0, il a achet\u00e9 Philippe II pour la collection du Palais Royal \u00e0 Paris et d’ici, la photo a finalement \u00e9t\u00e9 vendue \u00e0 Friedrich II de Prusse. [24] Discussion de la collection \u00e0 Londres [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le primitif Uren Philippe II, Philippe \u00c9galit\u00e9, a probablement n\u00e9goci\u00e9 de l’argent \u00e0 cause de la p\u00e9nurie d’argent avec un consortium sous la direction de James Christie, le fondateur de la maison de vente aux ench\u00e8res du m\u00eame nom, pour la vente de la collection Orl\u00e9ans. Auparavant, il avait vendu sa collection de Gemmen et Kame \u00e0 Katherina II de Russie en 1787. [25] Les n\u00e9gociations sont survenues jusqu’\u00e0 l’accord pour remettre les travaux pour 100 000 guines. Cependant, James Christie n’a pas pu appliquer la somme n\u00e9cessaire. [26] En 1792, Louis-Philippe II. 147 Les \u0153uvres de l’\u00e9cole allemande, n\u00e9erlandaise et flamand ont vendu \u00e0 un syndicat autour du concessionnaire de Londres Thomas Moore Slade et George Kinnaird, 7e Lord Kinnaird. Cette vente a suscit\u00e9 les critiques des artistes fran\u00e7ais et le d\u00e9biteur de Louis-Philippe II, afin que les acheteurs se soient consid\u00e9r\u00e9s comme plus s\u00fbrs de transporter les images non sur le chemin terrestre de Calais, mais par bateau via leur depuis Paris. \u00c0 Londres, les travaux ont \u00e9t\u00e9 montr\u00e9s au public en avril 1793 au Pall Mall n \u00b0 125 contre le paiement et transmis \u00e0 divers acheteurs. [27] \u00c9galement en 1792, avant m\u00eame d’\u00eatre arr\u00eat\u00e9 et ex\u00e9cut\u00e9 en novembre de la m\u00eame ann\u00e9e, Louis-Philippe II a \u00e9galement suivi la vente des photos des champions italiens et fran\u00e7ais. Pour 750 000 livres, ils ont finalement \u00e9t\u00e9 donn\u00e9s \u00e0 \u00c9douard Walkiers, un banquier \u00e0 Bruxelles, qui a imm\u00e9diatement r\u00e9pondu aux travaux \u00e0 son cousin, le collectionneur parisien Jean-Joseph de Laborde \u00e0 Paris. Ce dernier a pass\u00e9 la collection \u00e0 Londres au printemps 1793. [28] La moquerie , Paolo Veronese, ca. 1575, National Gallery, Londres \u00c0 Londres, les 305 peintures sont rest\u00e9es dans la collection Laborde pendant cinq ans. Pendant ce temps, Georg III. Avec le soutien du Premier ministre William Pitt en vain d’acqu\u00e9rir les photos de la Grande-Bretagne. Seul le London Buyer Consortium de Francis Egerton, Duke of Bridgewater, son neveu et h\u00e9ritier, Earl Gower et Frederick Howard, 5e comte de Carlisle, ont r\u00e9ussi \u00e0 acqu\u00e9rir les photos en 1798. Le prix d’achat de 43 500 \u00a3 a rapport\u00e9 cinq huiti\u00e8me du duc de Bridgewater, un quart du comte de Carslisle et un huiti\u00e8me du comte Gower. [29] Les acheteurs ont pr\u00e9sent\u00e9 les photos acquises en 1798 dans des galeries du Pall Mall et de la plage pendant sept mois. En 1798, 1800 et 1802 ench\u00e8res ont eu lieu. Cependant, le consortium a conserv\u00e9 94 \u0153uvres qui n’ont \u00e9t\u00e9 vendues dans les galeries ni lors des ench\u00e8res. Ce petit groupe appartenait aux \u0153uvres les plus \u00e9lev\u00e9es, c’est pourquoi leur valeur repr\u00e9sentait plus de la moiti\u00e9 de la valeur totale du bundle. Les ventes ont g\u00e9n\u00e9r\u00e9 un total de 42 500 \u00a3, ce qui signifie que les concessionnaires avaient presque compens\u00e9 leurs d\u00e9penses et sont donc entr\u00e9s en possession des autres peintures \u00e0 tr\u00e8s bon march\u00e9. [30] Parmi les acheteurs des \u0153uvres, il y a des nobles tels que John Bligh, 4. Earl of Darnley, Edward Lascelles, 1. Earl of Harewood, ou William Fitzwilliam, 4. Earl Fitzwilliam, dont la collection a ensuite form\u00e9 la fondation du mus\u00e9e Fitzwilliam \u00e0 Cambridge. Des concessionnaires et des banquiers tels que Thomas Hope ou John Julius Angerstein, dont les \u0153uvres ont form\u00e9 le point de d\u00e9part de la National Gallery \u00e0 Londres, ont \u00e9galement acquis des photos. De plus, il existe des marchands d’art professionnels comme Michael Bryan, un peintre comme Richard Cosway et un connaisseur d’art comme William Beckford ou Samuel Rogers. [trente et un] Les peintures de la possession de Frederick Howard sont maintenues sur le si\u00e8ge des comtes de Carslisle, Castle Howard, bien que la collection ait \u00e9t\u00e9 r\u00e9duite par les ventes, les cadeaux et les incendies. Apr\u00e8s la mort de Francis Egerton, duc de Bridgewater, en 1803 Earl Gower, a maintenant h\u00e9rit\u00e9 Marquis de Stafford, a h\u00e9rit\u00e9 de sa part d’\u0153uvres. Avec plus de 250 autres peintures, il a expos\u00e9 les 47 photos de la collection Orl\u00e9ans en sa possession de 1806 dans sa r\u00e9sidence de Londres, Cleveland House. [32] Cette galerie Stafford a \u00e9t\u00e9 transf\u00e9r\u00e9e \u00e0 la nouvelle maison Bridgewater en 1854 par son fils, Francis Egerton, 1. comte d’Ellesmere. Au d\u00e9but de la Seconde Guerre mondiale, la collection a \u00e9t\u00e9 amen\u00e9e en \u00c9cosse dans la maison Bridgewater. Il y a 26 images depuis 1946, dont 16 peintures de la collection Orl\u00e9ans, \u00e0 la Scottish National Gallery (anciennement Galerie nationale d’\u00c9cosse ) \u00e0 \u00c9dimbourg. Donc c’est Pr\u00eat de Sutherland ou. Pr\u00eat Bridgewater Les collections de successeurs les plus \u00e9tendues ont conserv\u00e9 un paquet. [33] [34] En 2008, l’ancien propri\u00e9taire des peintures, Francis Egerton, 7e duc de Sutherland, a annonc\u00e9 qu’ils voulaient vendre deux tiziens de la collection au mus\u00e9e. Au printemps 2009, la Scottish National Gallery et la National Gallery de Londres ont rapport\u00e9 qu’ils \u00e9taient des peintures de Titian Diana et Aktsion ont acquis 50 millions de livres sterling. [35] En 2012, le duc de Sutherland a vendu le travail de Tizian Diana et Kallisto La Scottish National Gallery \u00e0 \u00c9dimbourg et la National Gallery de Londres sont devenues communes pour 45 millions de livres sterling. [36] Hugh Brigstocke: Peintures italiennes et espagnoles dans la National Gallery of Scotland , 2e \u00e9dition, National Galleries of Scotland, \u00c9dimbourg 1993, ISBN 0-903598-22-1. William Buchana: M\u00e9moires de peinture, avec une histoire chronologique de l’importation de photos de grands ma\u00eetres en Angleterre par les grands artistes depuis la R\u00e9volution fran\u00e7aise , Ackermann, Londres 1824. Cecil Gould: Les \u00e9coles italiennes du XVIe si\u00e8cle , National Gallery Catalogs, Londres 1975, ISBN 0-947645-22-5. Christopher Lloyd: Les photos de la reine, les collectionneurs royaux \u00e0 travers les si\u00e8cles , National Gallery Publications, Londres 1991, ISBN 0-947645-88-8. Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle, Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, ISBN 1-85709-913-3. Gerald Reitlinger: L’\u00e9conomie du go\u00fbt. Bande I: La mont\u00e9e et la baisse des prix des images 1760-1960 , Barrie et Rockliffe, Londres 1961. Hugh Trevor-Roper: Princes et artistes, patronage et id\u00e9ologie \u00e0 quatre tribunaux de Habsbourg 1517-1633 , New Edition, Thames & Hudson, Londres 1991, ISBN 0-500-27623-4. Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Hutchinson, Londres 1990, ISBN 0-09-174637-X. Buchanan, William: M\u00e9moires de peinture, avec une histoire chronologique de l’importation de photos de grands ma\u00eetres en Angleterre par les grands artistes depuis la R\u00e9volution fran\u00e7aise , Ackermann, Londres en 1824. Les 200 premi\u00e8res pages du premier volume traitent de la vente de la collection Orl\u00e9ans \u00e0 Londres avec des listes d’\u0153uvres et d’acheteurs. Disponible en ligne \u00e0 livres Google , consult\u00e9 le 17 mars 2011 Le Syndicat Bridgewater , une collection de sites Web de la National Gallery \u00e0 Londres pour le consortium des acheteurs autour du duc de Bridgewater, consult\u00e9 le 17 mars 2011 Manuscrit de cours Par Susanna Avery-Quash, conservatrice de recherche \u00e0 la National Gallery de Londres le 9 d\u00e9cembre 2009, consult\u00e9e le 17 mars 2011 \u2191 Louis-Fran\u00e7ois Dubois de Saint-Gelais: Description des tableaux du Palais Royal avec la vie des peintres \u00e0 la t\u00eate de leurs ouvrages , 1727 Gen\u00e8ve. Des informations sur toutes les travaux peuvent \u00eatre trouv\u00e9es dans Getty Provenance Index (Remarque: \u00e0 la recherche de “Orl\u00e9ans” sous les “documents d’archives”), consult\u00e9 le 2 mars 2011. \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 461. \u2191 Hugh Trevor-Roper: Princes et artistes, patronage et id\u00e9ologie \u00e0 quatre tribunaux de Habsbourg 1517-1633 , Thames & Hudson, Londres 1976, p. 112. Une \u0153uvre qui peut \u00eatre trouv\u00e9e dans toutes les collections de la cha\u00eene de provenance du cardinal Granvelle \u00e0 la National Gallery de Londres est l’usine de Corregio V\u00e9nus avec Mercury et Cupido (The School of Love) , un 1525 (Inventanummer: NG10). \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 463. \u2191 Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, S. 127\u2013129. \u2191 Num\u00e9ro d’inventaire: 16.30AB. Voir Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, pp. 127-129. Les photos de Predella sont aujourd’hui au Metropolitan Museum of Art de New York ( Christ sur le \u00d6lberg ; Inventarnummer: 32.130.1), \u00e0 la Der National Gallery \u00e0 Londres ( Procession au Calvaire ; Num\u00e9ro d’inventaire: NG2919) et dans la galerie de photos de Dulwich \u00e0 Londres ( Salut. Anthony Padoue , Inventarnummer: DPG243; St. Franz von Assisi ; Num\u00e9ro d’inventaire: DPG241) et dans le mus\u00e9e Isabella Stewart Gardner \u00e0 Boston ( Compassion ; Num\u00e9ro d’inventaire: P16E3) Gard\u00e9. \u2191 Num\u00e9ro d’inventaire: NG6420 BGG. Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, p. 255. La peinture est toujours dans David Teniers D.J. Image Archiduc Leopold Wilhelm dans sa galerie \u00e0 Bruxelles (Environ 1651, Kunsthistorisches Museum Vienne) dans le cadre de la collection de l’archiduc. \u2191 Num\u00e9ros d’inventaire: P02177 ou P02178 \u2191 Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, S. 170. \u2191 Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, S. 196\u2013197. \u2191 Hugh Brigstocke: Peintures italiennes et espagnoles dans la National Gallery of Scotland , 2e \u00e9dition, National Galleries of Scotland, 1993 \u00c9dimbourg, p. 181. Plus pr\u00e9cis\u00e9ment, ce sont les images qui ont maintenant \u00e9t\u00e9 pr\u00e9serv\u00e9es \u00e0 \u00c9dimbourg Diana et Kallisto (1556\u20131559, Scottish National Gallery, \u00c9dimbourg, num\u00e9ro d’inventaire: NGL 059.46) et Diana et Aktsion (1556\u20131559, Scottish National Gallery, \u00c9dimbourg, num\u00e9ro d’inventaire: NG 2839) et le Vol d’Europe (1560\u20131562, Isabella Stewart Gardner Museum, Boston, Inventarnummer: P26E1). \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Bande II: Venise 1540\u20131600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 464. \u2191 Louis-Fran\u00e7ois Dubois de Saint-Gelais: Description des tableaux du Palais Royal avec la vie des peintres \u00e0 la t\u00eate de leurs ouvrages , 1727 Paris. Voir Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, pp. 185\u2013186. Le duc a \u00e9galement re\u00e7u des \u0153uvres de la succession de l’amant de son p\u00e8re, le Chevalier de Lorraine. Au total, Philippe aurait h\u00e9rit\u00e9 de plus de 550 peintures (y compris des miniatures). \u2191 Robert W. Berger: Acc\u00e8s public \u00e0 l’art \u00e0 Paris , The Pennsylvania State University Press, University Park 1999, S. 201-208. \u2191 Galerie du Palais royal, grav\u00e9e d’apr\u00e8s les Tableaux des differentes Ecoles qui la composent: avec un abr\u00e9g\u00e9 de la vie des peintres & une description historique de chaque tableau, par Mr. l’abb\u00e9 de Fontenai Dedi\u00e9e \u00e0 S. A. S. Monseigneur le duc d’Orl\u00e9ans, premier prince du sang, par J. Couch\u00e9 , 3 volumes, Jacques Couch\u00e9, Paris 1786\u20131808. Les copies \u00e9taient un m\u00e9lange de gravure en cuivre et de gravure. Voir Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Bande II: Venise 1540\u20131600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 466\u2013467. \u2191 Inventarnummer: Ng1 \u2191 Le sacrement de la derni\u00e8re huile , Inventarnummer: NGL 067.46 g, Le sacrement de la confirmation , Inventarnummer: NGL 067.46 B, Le sacrement du bapt\u00eame , Inventarnummer: NGL 067.46 a, Le sacrement du mariage , Inventarnummer: NGL 067.46 C, Le sacrement de la confession , Inventarnummer: NGL 067.46 D, Le sacrement de l’\u00e9tablissement , Inventarnummer: NGL 067.46 E, Le sacrement du dernier sacrement , Num\u00e9ro d’inventaire: NG 067.46 F. VGL. Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Bande II: Venise 1540\u20131600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 462. \u2191 William Buchana: M\u00e9moires de peinture, avec une histoire chronologique de l’importation de photos de grands ma\u00eetres en Angleterre par les grands artistes depuis la R\u00e9volution fran\u00e7aise , Bd. 1, Ackermann, Londres 1824, S. 14. \u2191 Num\u00e9ro d’inventaire: NG624; VGL. Cecil Gould: Les \u00e9coles italiennes du XVIe si\u00e8cle , National Gallery Catalogs, Londres 1975, S. 119. \u2191 Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, S. 186. \u2191 Ce sont en d\u00e9tail: Diana et Aktsion (Titian, 1556\u20131559, Scottish National Gallery, \u00c9dimbourg, num\u00e9ro d’inventaire: NG 2839), Diana et Kallisto (Titien, 1556\u20131559, Scottish National Gallery, \u00c9dimbourg, num\u00e9ro d’inventaire: NGL 059.46), Vol d’Europe (Titian, 1560\u20131562, Isabella Stewart Gardner Museum, Boston, num\u00e9ro d’inventaire: P26E1), Mort de l’alion (Titien 1559-1570, National Gallery, Londres, num\u00e9ro d’inventaire: NG6420), Pers\u00e9e et Androm\u00e8de (Titian, 1554\u20131556, Collection Wallace, Londres, num\u00e9ro d’inventaire: P11); Hermes, Herse und Aglauros (Paolo Veronese, 1576\u20131584, Fitzwilliam Museum, Cambridge, Inventarnummer: 143), Le choix entre la vertu et le vice (Paolo Veronese, 1580, Frick Collection, New York, Inventarnummer: 1912.1.129), Sagesse et amour (Paolo Veronese, 1580, Frick Collection, New York, Inventarnummer: 1912.1.128), Mars et V\u00e9nus se combine \u00e0 travers l’amour (Paolo Veronese, 1570s, Metropolitan Museum of Art, New York, num\u00e9ro d’inventaire: 10.189), L’infid\u00e9lit\u00e9 , La moquerie , Respect et Bonheur (Paolo Veronese, vers 1575, National Gallery, Londres, Inventarnummern: NG1318, NG1324, NG1325, NG1326). \u2191 William Buchana: M\u00e9moires de peinture, avec une histoire chronologique de l’importation de photos de grands ma\u00eetres en Angleterre par les grands artistes depuis la R\u00e9volution fran\u00e7aise , Vol. 1, Ackermann, Londres 1824, pp. 167\u20139, 182\u20134 et 189ff. \u2191 Inventarnummer: 218 \u2191 Gerald Reitlinger: L’\u00e9conomie du go\u00fbt. Bande I: La hausse et la baisse des prix des images 1760\u20131960 , Barrie et Rockliffe, Londres 1961, S. 7. \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 466. \u2191 William T. Whitley, Artistes et leurs amis en Angleterre 1700-1799 , Band 2, Londres 1928, S. 179\u2013180. \u2191 William Buchana: M\u00e9moires de peinture, avec une histoire chronologique de l’importation de photos de grands ma\u00eetres en Angleterre par les grands artistes depuis la R\u00e9volution fran\u00e7aise , Band 1, Ackermann, Londres 1824, S. 159. \u2191 Peter Watson: Sagesse et force, la biographie d’un chef-d’\u0153uvre de la Renaissance , Vintage, New York 1990, S. 241\u2013244. \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 466\u2013467. \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 467. \u2191 Gerald Reitlinger: L’\u00e9conomie du go\u00fbt. Bande I: La mont\u00e9e et la baisse des prix des images 1760-1960 , Barrie et Rockliffe, Londres 1961, S. 30 \u2191 Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008, S. 468. \u2191 Trustees de la National Gallery of Scotland, Un guide compagnon de la National Gallery of Scotland , National Galleries of Scotland Publications, \u00c9dimbourg 2000, S. 32\u201335. \u2191 Penny (2007, p. 461) parle de 25 peintures \u00e0 la National Gallery de Londres, qui reviennent \u00e0 la collection Orl\u00e9ans. Voir Nicholas Penny: Les peintures italiennes du XVIe si\u00e8cle. Band II: Venise 1540-1600 , National Gallery Publications, Londres 2008. \u2191 Site Web des Galeries nationales d’\u00c9cosse \u00e0 la collection Bridgewater ( M\u00e9mento des Originaux \u00e0 partir du 19 novembre 2015 Archives Internet ) Info: Le lien d’archive a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 automatiquement et non encore v\u00e9rifi\u00e9. Veuillez v\u00e9rifier le lien d’origine et d’archiver en fonction des instructions, puis supprimez cette note. @d’abord @ 2 Mod\u00e8le: webachiv \/ iabot \/ www.nationalgalleries.org , consult\u00e9 le 19 novembre 2015. \u2191 Pauline McLean: Le chef-d’\u0153uvre de Titien Diana et Callisto ont sauv\u00e9 pour la nation , Articles en ligne de la BBC du 7 mars 2012. (consult\u00e9 le 25 ao\u00fbt 2019) (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/sammmlung-orleans-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Sammmlung Orl\u00e9ans – Wikipedia"}}]}]