Soranos d’Ephésos – Wikipedia Wikipedia

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Soranos von Ephesos, gynécologie Dans un traitement latin antique tardif: représentations de manières enfants (embryons dans l’utérus). Les illustrations de cette transcription réalisées vers 900 sont à l’origine due aux dessins du Sorano. Bruxelles, Bibliotèque Royale, 3714, fol. 28r

Soranos von Ephesos – Latin Soranus , Allemand aussi Soran (d’Ephesos) – était un médecin grec qui travaillait à Rome vers 100 après JC. Il appartenait à l’école méthodique, était l’un de ses représentants les plus célèbres, a écrit un manuel standard en gynécologie et est considéré comme un représentant important de l’ère prévisible de la médecine ancienne.

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Soranos était le fils de Meandros et du Phoibe. Il a étudié dans la ville mineure d’Asie d’Éphèques et à Alexandrie avant de travailler à Rome au moment de l’empereur Trajan et Hadrien. Là, il appartenait à l’École des méthodologues et a écrit plusieurs œuvres médicales et populaires qui ne sont que partiellement préservées, entre autres sur les maladies des femmes (préservant de plusieurs livres sur la gynécologie, qui contient également des textes sur l’obstétrique et les sages-femmes, ainsi que pour l’embryologie et les soins pour nourrissons), la médecine reproductive, les maladies chroniques, l’hygiène et la chirurgie (il y a deux traitements et des Bones.). La mesure de la signification de l’anatomie de Sorano, qui la différencie de la méthodie rigide. Entre autres choses, il a écrit une description largement correcte des organes d’attachement des fruits dans l’embryon humain. [d’abord] Il y a quelques autres œuvres, notamment biographiques (Hippocrate vita), étymologiques (sur la nomenclature des parties du corps) et philosophiques ( Psychos , de Tertullien dans D’Anima Polices utilisées). Au 5ème siècle, Caelius Aurelianus a fait des traductions latines de ses œuvres, auxquelles il a ajouté ses propres opinions. Ils sont leur seule source préservée. [2] Les trois livres sur Acute et les cinq livres sur les maladies chroniques méritent d’être mentionnés ici, car le contenu des écrits perdus a été préservé avec eux et les Moyen Âge latin étaient disponibles. Deux de ses œuvres gynécologiques étaient de 500 par un certain muscle [3] (Oder Musto) [4] Traduit en latin.

  • H. Lüneburg (trad.), Johann Christian Huber (éd.): Gynécologie (Peri Gynaikeiōn) de Soranus d’Ephèse: obstétrique, femmes et maladies enfants, alimentaire des nouveau-nés. Lehmann, Munich 1894.
  • Johannes Ilberg (Hrsg.): Sorani Gynaeciorum Book 4 (= Le corps du grec médical. Volume 4). Leipzig / Berlin 1927.
  • Karl Christoph Sproll: Les fragments des “Cheirugumuna” de Soran von Ephèse. Introduction, traduction, commentaire . Würzburg 1998.
  • Paul Burguière, Danielle Gourevitch, Yves Homme: Soranos d’ Éphèse, Maladies des femmes , Tome I, livre 1. Texte établi, traduit et commenté. Les Belles Lettres, Paris 1988
  • Jutta Kollesch, Diethard Nickel: Art de guérison ancienne – Textes sélectionnés. Philipp Reclam Jun., Stuttgart 1994, ISBN 978-3-15-009305-4. Seul Gynécologie, livre I, chap. 3. 4 (= CMG IV, pp. 4,13–6,3) et […] En regardant. 57. 58 (= CMG IV, pp. 41,15–44,4) Livre III, Chap. 26–28. Sur la suffocation hystérique (= CMG IV, S. 109,9–112,3).
  • Caelii Aurelian Celerios Volume 3, Slowlars 5 , éd. par Gerhard Bendz, traduit par Ingeborg Pape, Vol. 1: Berlin 1990, vol. 2: Berlin 1993 (= Corps du latin médical. VI.1 und vi.2).
  • Jochen Althoff: Soranos von Ephésos. Dans: Bernhard Zimmermann, Antonios Rengakos (éd.): Manuel de la littérature grecque antique. Bande 2: La littérature de l’époque classique et hellénistique. C. H. Beck, Munich 2014, ISBN 978-3-406-61818-5, pp. 581–583
  • Véronique Boudon-Millot: Soranos d’Éphèse. Dans: Richard Goulet (HRSG.): Dictionnaire des philosophes antiques. Band 6, CNRS Éditions, Paris 2016, ISBN 978-2-271-08989-2, S. 477–480
  • Israël Edward Drabkin: Soranus et son système de médecine. Dans: Bulletin de l’histoire de la médecine 25, 1951, S. 503–518.
  1. ↑ Jutta Kollesch, Diethard Nickel: Ancienne guérison de l’art de la guérison. Textes sélectionnés à partir de la littérature médicale des Grecs et des Romains. Philipp Reclam Jun., Leipzig 1979 (= Réclame Universal-Bibliotek. Volume 771); 6e édition ibid. 1989, ISBN 3-379-00411-1, pp. 29, 95–97 ( Soran, gynécologie, livre I, chap. 57. 58 ), 181 et 190 f.
  2. ↑ Dieter Jetter: Histoire de la médecine. Introduction au développement de la médecine de tous les pays et de tous les temps. Stuttgart et New York 1992, p. 100.
  3. ↑ Rino radicchi: La gynécaine di Muscine: Manuel pour les sages-femmes et les mères du 6ème siècle. d. C. Pise 1970.
  4. ↑ Wolfgang Wegner: Mustio (Muscio). Dans: Werner E. Gerabek, Bernhard D. Hauage, Gundolf Keil, Wolfgang Wegner (éd.): Antécédents médicaux de l’encyclopédie. Finyy Comes, Finle, Finper / Tuk 2005, 1017-447.

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