[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/suqa-visites\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/suqa-visites\/","headline":"Suqa – visites","name":"Suqa – visites","description":"before-content-x4 Usine (Sanskrit \u0936, un nouveau, \u015bu, m.), Aussi Shukadeva , \u00e9tait le fils du Weisen Vyasa, l’auteur mythique de","datePublished":"2018-03-19","dateModified":"2018-03-19","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/de.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","url":"https:\/\/de.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","height":"1","width":"1"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/suqa-visites\/","wordCount":986,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Usine (Sanskrit \u0936, un nouveau, \u015bu, m.), Aussi Shukadeva , \u00e9tait le fils du Weisen Vyasa, l’auteur mythique de l’EPO Mahabharata , dans lequel son histoire de vie est racont\u00e9e. Il est d\u00e9crit comme un yogi important et tr\u00e8s dou\u00e9 qui, m\u00eame \u00e0 un jeune \u00e2ge, a acquis sans effort la lib\u00e9ration spirituelle (Moksha) et divers Siddhis. Il est \u00e9galement le compteur principal du Bhagavatapurana, qu’il a r\u00e9cit\u00e9 au roi Parikshit. [d’abord] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les premi\u00e8res mentions de Shukas se d\u00e9roulent dans le 1er livre, Adiparvan, o\u00f9 il est dit que Vyasa le subordonn\u00e9 et trois autres \u00e9tudiants du Veda et du Mahabharata. [2] Son histoire de vie est racont\u00e9e relativement d\u00e9taill\u00e9e dans le 12e livre, Shantipparvan. [3] Vyasa a eu le d\u00e9sir de devenir un enfant tr\u00e8s sp\u00e9cial et s’est consacr\u00e9 \u00e0 des exercices Askese intensifs pour gagner la faveur de Dieu Shiva. Apr\u00e8s de nombreuses privations, il r\u00e9ussit et Shiva lui promet que son fils acquiertera une grande r\u00e9putation avec sa r\u00e9alisation spirituelle. Il y a un mythe en termes de cours Shukas [4] Ce qui, cependant, ne permet aucune conclusion de tirer sur sa m\u00e8re physique. Au cours de sa naissance, les dieux et les d\u00e9esses comme Shiva et Ganga semblent saluer l’\u00e2me pure nouvellement arriv\u00e9e, qui a d\u00e9j\u00e0 une connaissance de tous les Vedas. Dans la proc\u00e9dure rapide, il acquiert beaucoup de connaissances suppl\u00e9mentaires avec l’aide de Brihaspati et de son p\u00e8re Vyasa et fait de grands progr\u00e8s dans le chemin spirituel. Enfin, son p\u00e8re l’envoie au roi Janaka de Mithila, qui a une grande r\u00e9putation en tant que femme de m\u00e9nage active du monde avec une connaissance spirituelle. Pendant le voyage, Shuka a toutes sortes d’examens et re\u00e7oit enfin une formation finale de Janaka et confirmation qu’il a atteint le plus grand objectif, Moksha, et est fermement ancr\u00e9 dans la conscience de Brahman. Soit Shuka commence \u00e0 la maison, cette fois par Siddhi \u00e0 travers l’\u00e9ther (Akasha), et atteint son p\u00e8re Vyasa en Himalaya, qui donne actuellement des \u00e9l\u00e8ves Veda. Dans le texte, il dit que Shuka est battu \u00abcomme un feu brillant, dans son brillant similaire au soleil. La grande \u00e2me n’a pas touch\u00e9 les arbres ni les rochers, \u00e9tait compl\u00e8tement concentr\u00e9 sur le yoga et frapp\u00e9 comme une fl\u00e8che, tir\u00e9 d’un arc. ” [5] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Shuka rejoint une fois de plus un petit groupe d’\u00e9tude Veda qui demande \u00e0 son p\u00e8re apr\u00e8s la fin de la formation pour le privil\u00e8ge exclusif de pouvoir transmettre des connaissances v\u00e9diques au monde. Vyasa correspond \u00e0 son souhait et lib\u00e8re ensuite ses \u00e9l\u00e8ves avec des b\u00e9n\u00e9dictions. Apr\u00e8s une rencontre avec le sage Narada, Shuka d\u00e9cide de retirer le monde dans la lib\u00e9ration absolue. Il se rend \u00e0 la montagne de Kailasa et s’approfondit dans la m\u00e9ditation, apr\u00e8s quoi il s’ouvre \u00e0 diff\u00e9rentes \u00e9tapes int\u00e9rieures d’une conscience cosmique impersonnelle. Vyasa, qui suit Shuka pendant le voyage ext\u00e9rieur et int\u00e9rieur, est triste de perdre son fils de cette fa\u00e7on, mais Shiva lui appara\u00eet et le console avec les mots: “Tant que les montagnes et la mer durent, la renomm\u00e9e et la renomm\u00e9e de votre fils dureront.” [6] Shiva rend la faveur de Vyasa qu’il verra toujours son fils comme une ombre avec lui. Puis Vyasa se lance joyeusement sur le chemin du retour. “Et y pense, l’historien qui raconte l’histoire de l’amour des Gopis dans le Bhagavatapurana] n’est autre que Shuka Deva, … qui est n\u00e9 purement, le Shuka \u00e9ternellement pur, le fils de Vyasa.” \u00abIl lui a \u00e9t\u00e9 accord\u00e9 seul de boire un peu d’eau de cette mer individuelle de chit satellite Ananda-\u00eatre, de connaissances et de bonheur absolu. La plupart des saints meurent apr\u00e8s avoir entendu le bruit des vagues sur le rivage. Quelques-uns obtiennent le spectacle, et encore moins de \u00abgo\u00fbt\u00bb. Mais il a bu de la mer de bonheur. ” [7] Usine Dans: Wilfried Huchzermeyer. Yogis, Yoginis und Asken im Mahabharata. Karlsruhe 2008, ISBN 978-3-931172-26-8, S. 32-42 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4\u2191 M.M.S. Shastri Chitrao, Bharatavarshiya Prachin Charitrakosha , Put 1964, S. 975\u201376 \u2191 MBHR. I, 57,74\u201375. Toutes les r\u00e9f\u00e9rences se r\u00e9f\u00e8rent au texte sanskrit de l’\u00e9dition critique de Pune par V.S. Doucit\u00e9. \u2191 \u015a\u0101ntparvan, Kap. 310-320 \u2191 Voir MBHR. 12.311.1\u20139 \u2191 MBHR. 12.314.25\u201327. Des sc\u00e8nes similaires se trouvent dans Paramahansa Yoganandas Autobiographie d’un yogi , voir en particulier Chap. 33. \u2191 Bhr. 12.320.26 \u2191 Les \u0153uvres compl\u00e8tes de Swami Vivekananda. Calcutta 1964, vol. 3, S. 258 und vol. 8, S. 278 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/suqa-visites\/#breadcrumbitem","name":"Suqa – visites"}}]}]