[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/symptomatologie-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/symptomatologie-wikipedia\/","headline":"Symptomatologie – wikipedia","name":"Symptomatologie – wikipedia","description":"before-content-x4 Sous Symptomatologie est compris en m\u00e9decine l’enseignement des signes caract\u00e9ristiques de maladie ou de sympt\u00f4mes ( Sympt\u00f4me ). Ces","datePublished":"2023-01-05","dateModified":"2023-01-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/0\/03\/P_medicine_caution.svg\/25px-P_medicine_caution.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/0\/03\/P_medicine_caution.svg\/25px-P_medicine_caution.svg.png","height":"29","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/symptomatologie-wikipedia\/","wordCount":3163,"articleBody":"     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Sous Symptomatologie est compris en m\u00e9decine l’enseignement des signes caract\u00e9ristiques de maladie ou de sympt\u00f4mes ( Sympt\u00f4me ). Ces signes qui ont \u00e9t\u00e9 soumis \u00e0 la reconnaissance et \u00e0 d\u00e9terminer la souffrance sont d\u00e9termin\u00e9s comme caract\u00e9ristiques d’une certaine maladie sont consid\u00e9r\u00e9s comme d\u00e9termin\u00e9s de mani\u00e8re significative et en cons\u00e9quence classifi\u00e9e syst\u00e9matiquement et syst\u00e9matiquement. Ils sont d\u00e9limit\u00e9s par les sympt\u00f4mes g\u00e9n\u00e9raux survenant dans une vari\u00e9t\u00e9 de maladies et sont donc consid\u00e9r\u00e9s comme non sp\u00e9cifiques. La symptomatologie doit \u00eatre comprise comme une s\u00e9miologie. [d’abord]        (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4D’un autre c\u00f4t\u00e9, toute maladie globale, car elle se traduit par une certaine maladie due \u00e0 un examen concret, devient \u00e9galement le repr\u00e9sentant de la maladie. H. Dans le cas d’un processus de maladie syst\u00e9matique, qui peut encore \u00eatre m\u00eame ind\u00e9fini et donc uniquement diagnostiqu\u00e9, comme symptomatologie. [d’abord] Ce sens correspond \u00e0 la d\u00e9finition d’origine du syndrome. Il comprend \u00e9galement la possibilit\u00e9 de prendre en compte l’existence d’un diagnostic diff\u00e9rentiel non sp\u00e9cifique ou diff\u00e9rent. L’hypoth\u00e8se de base de symptomatologie peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9e que les deux signes de maladie individuels, qui sont adopt\u00e9s comme sympt\u00f4mes cl\u00e9s ou sympt\u00f4mes cardinaux, ainsi qu’une certaine vari\u00e9t\u00e9 de sympt\u00f4mes sont consid\u00e9r\u00e9s comme caract\u00e9ristiques d’une maladie sp\u00e9cifique. Ceci, selon une th\u00e9orie de la maladie, qui a chacun d\u00e9fini et d\u00e9termin\u00e9 avec plus pr\u00e9cis\u00e9ment Vari\u00e9t\u00e9 Des panneaux de maladie sont \u00e9galement utilis\u00e9s comme int\u00e9gralit\u00e9 Tous les ph\u00e9nom\u00e8nes caract\u00e9ristiques d’une maladie. Il est \u00e9galement appel\u00e9 l’image clinique. Si tous les manuels requis ou r\u00e9pertori\u00e9s dans une maladie de glossaire ne sont pas observ\u00e9s dans un certain cas de maladie, on parle de l’affaiblissement ou de Bilander ou avec une expression symptomatique att\u00e9nu\u00e9e et des oligos de la maladie (forme frustration). [2] Les maladies peuvent \u00e9galement exister sans sympt\u00f4mes manifestes. Ils sont ensuite appel\u00e9s asymptomatiques. Cela montre que ce n’est pas le sympt\u00f4me qui n’est pas la cause de la maladie, mais inversement, la maladie est la cause des sympt\u00f4mes, voir Chap. Approches philosophiques . [d’abord] Les sympt\u00f4mes qui se sont produits en m\u00eame temps au cours d’une maladie peuvent \u00eatre Caract\u00e9ristiques transversales une maladie. L’hypoth\u00e8se selon laquelle une vari\u00e9t\u00e9 de sympt\u00f4mes caract\u00e9ristiques \u00e0 un moment tr\u00e8s sp\u00e9cifique au cours de la maladie augmente la probabilit\u00e9 de diagnostic pr\u00e9cis (validit\u00e9) purement statistiquement. Cette hypoth\u00e8se doit encore \u00eatre mise en perspective. Certains sympt\u00f4mes ne peuvent \u00eatre compris que comme typiques de tout le cours du stade d’une maladie, comme la pathogen\u00e8se d’une maladie, etc. d\u00e9crit. \u00c0 titre d’exemple, la formation de d\u00e9fauts dans la derni\u00e8re \u00e9tape Cours a soulign\u00e9 une maladie mentale. Ce cours-li\u00e9 Caract\u00e9ristiques longitudinales Les maladies n’ont gagn\u00e9 qu’au 19e et au d\u00e9but du XXe si\u00e8cle. Pendant ce temps, ils ont tent\u00e9 de distinguer certaines unit\u00e9s de maladie de l’abondance de cas incorrectement d\u00e9favorables. Le repr\u00e9sentant de cette perspective \u00e9tait Antoine Bayle (1799\u20131858), Karl Ludwig Kahlbaum (1828\u20131899), Emil Krapelin (1856\u20131926) et Eugen Bleuler (1857\u20131939). Cependant, l’observation du processus de processus des maladies avait d\u00e9j\u00e0 commenc\u00e9 avec Jean-\u00c9tienne esquirol (1772\u20131840). Il a diff\u00e9renci\u00e9 les quatre stades m\u00e9lancoliques \u2192 monomanie \u2192 manie \u2192 d\u00e9mence. Il a \u00e9galement accept\u00e9 une progression des maladies par le d\u00e9veloppement du stade fonctionnel-psychologique au stade structurel du corps. [3] [2]        (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Les concepts de traitement moins favorables sont disponibles, moins les moins favorables. De plus, les r\u00e9sultats pathologiques-anatomiques \u00e9difiants doivent \u00eatre consid\u00e9r\u00e9s comme caract\u00e9ristiques d’une maladie respective. Ils sont compl\u00e9t\u00e9s par des r\u00e9sultats pathohistologiques et pathochimiques qui peuvent \u00eatre \u00e9difiants. La pathologie \u00e9tait donc \u00e9galement comme un le Certaines sciences pour un cours g\u00e9n\u00e9ral de maladie. Les points de vue \u00e9tiologiques sont \u00e9galement. Important pour les caract\u00e9ristiques de la maladie. La psychiatrie ne revendique pas de position sp\u00e9ciale dans l’\u00e9valuation des sympt\u00f4mes. En principe, une maladie purement physique telle qu’un trouble de d\u00e9glutition dipht\u00e9rique peut \u00e9galement aller de pair avec des cons\u00e9quences sociales consid\u00e9rables et ainsi contribuer \u00e9galement \u00e0 des sympt\u00f4mes mentaux. Selon Thure Von Uexk\u00fcll (1908-2004), c’est la question de savoir quelle salle d’int\u00e9gration un certain sympt\u00f4me peut \u00eatre attribu\u00e9e, comme celle d’un “trouble de d\u00e9glutition”. [4] Selon l’inventaire de la CIM-10, plusieurs axes sont disponibles qui prennent en compte divers facteurs de la carrosserie, de la gestion sociale et individuelle de la vie ainsi que des facteurs environnementaux possibles. [5] La symptomatologie en tant qu’enseignement des sympt\u00f4mes \u00e9tait souvent associ\u00e9e \u00e0 des approches ph\u00e9nom\u00e9nologiques. [6] La distinction entre le ph\u00e9nom\u00e8ne (= “p\u00e9chage”) et le nouumenon (= “gardant” selon Kant Kant a 248 f. Ou “ph\u00e9nom\u00e8ne primitif” selon Goethe, voir aussi la signification philosophique du concept) a \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9e \u00e0 la distinction entre le ph\u00e9nom\u00e8ne (= “p\u00e9ch\u00e9”) qui n’a pas \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 depuis Immanuel Kant (1724-1804). L’apparence empiriquement directe et donc facile \u00e0 capable, comme le cas, est dans la description et la description des sympt\u00f4mes, devrait donc \u00eatre diff\u00e9renci\u00e9e de la formation et de la classification des concepts \u00e9mergents historiques et parfois uniquement \u00e9mergents. Le apparence de b\u00e9ton doit \u00eatre s\u00e9par\u00e9 de l’apparence de – ou ici dans le cas de la m\u00e9decine Cette symptomatologie – Client. La symptomatologie donne aux clients de la maladie. En d’autres termes, les ph\u00e9nom\u00e8nes, qui peuvent \u00eatre empiriquement pas directement \u00e0 enregistrer, peuvent \u00eatre distingu\u00e9s directement, tels que les diff\u00e9rents types de maladies qui ne peuvent pas \u00eatre trouv\u00e9es directement, qui, selon l’enseignement commun de la symptomatologie, ne peuvent \u00eatre reconnus qu’avec l’aide de sympt\u00f4mes essentiels ou caract\u00e9ristiques. Cette distinction n’\u00e9tait pas toujours une question bien s\u00fbr. Certaines anomalies \u00e9taient \u00e0 l’origine consid\u00e9r\u00e9es comme des sympt\u00f4mes psychologiques de nos jours, en particulier la monomanie. Pour l’esquirol, la monomanie \u00e9tait la maladie de son temps. [3] [7] Wahn \u00e9tait une maladie dans les temps anciens, \u00e9galement une hallucination. [7] Psychiatrie         (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En ce qui concerne la division actuelle des maladies mentales, une tendance au d\u00e9veloppement re-peut \u00eatre ressenti en ce qui concerne la d\u00e9marcation historiquement progressive des unit\u00e9s de maladie. Le chap. V La classification des troubles mentaux de la CIM-10 compl\u00e8tement ou du moins partiellement ou moins consciemment did sans une vari\u00e9t\u00e9 de concepts nosologiques de psychiatrie traditionnellement utilis\u00e9s. Le caract\u00e8re nosographique-descriptif de la classification psychiatrique a \u00e9t\u00e9 renforc\u00e9, mais des termes tels que la maladie ont largement \u00e9vit\u00e9. Au lieu de cela, le concept de faute a \u00e9t\u00e9 introduit. [5] En psychiatrie, en plus de la symptomatologie en tant que vision transversale, la vision longitudinale au cours de la maladie, notamment la pathogen\u00e8se, la d\u00e9couverte pathologique-anatomique, l’h\u00e9ritage, l’endog\u00e9nicit\u00e9, la distinction entre la n\u00e9vrose et la psychose, l’\u00e9pid\u00e9miologie comme principe de comorbidit\u00e9 et de classification \u00e9tiologique, consid\u00e9raient traditionnellement les crit\u00e8res de maladie. En renfor\u00e7ant le caract\u00e8re descriptif du glossaire ICD-10 et en m\u00eame temps, le concept de maladie a \u00e9t\u00e9 \u00e9vit\u00e9, il y avait une expression n\u00e9cessaire qu’il y avait une expansion et une augmentation significatives des classifications diagnostiques. [8] Par rapport \u00e0 l’\u00e9dition de la CIM-9 en 1978, le glossaire de la CIM-10 de 1991 a plus que doubl\u00e9. L’expansion, etc. Les indications de traitement pertinentes dans le sens d’une assurance maladie statutaire et donc \u00e9galement un traitement m\u00e9dicamenteux ont entra\u00een\u00e9 des effets consid\u00e9rables qui ont entra\u00een\u00e9 une augmentation des ventes de l’industrie pharmaceutique. Cela a provoqu\u00e9 des critiques publiques de la prescription des m\u00e9dicaments, par exemple au TDAH. L’introduction du concept de \u00abtrouble mental\u00bb semble discutable compte tenu de la pratique de la comptabilit\u00e9 m\u00e9dicale, car les troubles ainsi que les maladies pr\u00e9c\u00e9dents sont trait\u00e9s \u00e0 cet \u00e9gard. \u00c9tant donn\u00e9 que la maladie est un concept abstrait, il se demande s’il semble judicieux de le remplacer par un autre terme abstrait tel que celui du trouble, qui semble mettre l’accent sur les points de vue plus fonctionnels. [8] En ce qui concerne la relation m\u00e9decin-patient, la bureaucratisation croissante n’a pas seulement \u00e9t\u00e9 plainte pour le rythme forfaitaire, avec trop peu de poids accord\u00e9 aux facteurs individuels. Le principe de traitement de Ludolf Von Krehl a \u00e9t\u00e9 r\u00e9f\u00e9r\u00e9 \u00e0 ce que les malades ne devraient pas \u00eatre trait\u00e9s. [8] Dans ce contexte, Karl Jaspers doit \u00e9galement \u00eatre rappel\u00e9 par Karl Jaspers, qui a d\u00e9lib\u00e9r\u00e9ment rejet\u00e9 excessivement des points de vue ph\u00e9nom\u00e9nologiquement comme “les inscriptions \u00e0 l’infini” (= \u203asympt\u00f4mes sans fin\u2039), voir l’histoire de la psychiatrie. [7] Cependant, ils ne sont pas d\u00e9pass\u00e9s, mais ont connu une renaissance en d\u00e9crivant aujourd’hui les repr\u00e9sentants de cette attitude principalement symptomatique en tant que n\u00e9o-kra\u00e9p\u00e9linien. [9] Emil Krapelin (1856-1926) a \u00e9t\u00e9 fa\u00e7onn\u00e9 par la pens\u00e9e scientifique et a donc pris une vision largement justifi\u00e9e \u00e9tiologiquement qu’une cause provoque toujours le m\u00eame \u00e9tat de condition. Dans le contexte de la symptomatologie, la question de la r\u00e9versibilit\u00e9 de ce lien se pose. Carl Wernicke (1848-1905) a d\u00e9clar\u00e9 que les syndromes psychopathologiques ne permettent pas une conclusion s\u00fbre \u00e0 leur cause. Il est pass\u00e9 des consid\u00e9rations de localisation li\u00e9es au cerveau et, contrairement \u00e0 la kra\u00e9p\u00e9line, des points de vue des types psychologiques de base. Son point de vue devait plus tard pr\u00e9valoir dans la psychiatrie allemande classique. [dix] [7] [2] Par exemple, Gerd Huber (1921-2012), par exemple, a pris le point Communaut\u00e9 d’expression Les maladies mentales peuvent \u00eatre suppos\u00e9es et non des similitudes causales. [11] Surtout en psychiatrie, la d\u00e9limitation des unit\u00e9s de maladie est \u00e9galement compliqu\u00e9e par le fait qu’il existe non seulement une symptomatologie externe, purement objectivement d\u00e9termin\u00e9e, mais \u00e9galement une \u00e9valuation fortement d\u00e9termin\u00e9e de la condition. [douzi\u00e8me] [13] Depuis l’introduction du terme \u00abtrouble\u00bb, des positions critiques traditionnelles dans la clarification des maladies pr\u00e9c\u00e9dentes ont \u00e9t\u00e9 en pratique. Cette critique semble m\u00eame faire partie des \u00e9diteurs de la traduction allemande de la cl\u00e9 de diagnostic de la CPI-10 si elles parlent enfin dans la pr\u00e9face de l’\u00e9dition allemande que “des aspects plus \u00e9loign\u00e9s de la psychopathologie” tels que la psychodynamique et la psychophysiologie, ainsi que les particularit\u00e9s individuelles du patient individuel, ne peuvent pas \u00eatre perdus. [5] Autres domaines sp\u00e9cialis\u00e9s  La cl\u00e9 de diagnostic de la CIM-10 est divis\u00e9e en 21 chapitres principaux, qui sont d\u00e9sign\u00e9s par des chiffres romains. Ceux-ci correspondent en grande partie aux domaines m\u00e9dicaux individuels, y compris la psychiatrie (chapitre V). Alors que la CIM-10 a soulign\u00e9 les crit\u00e8res descriptifs de la symptomatologie dans le domaine psychiatrique, les crit\u00e8res de classification nosologiques selon la CPI-10 ont \u00e9t\u00e9 montr\u00e9s dans les domaines m\u00e9dicaux non psychiatriques selon des crit\u00e8res tr\u00e8s ou moins \u00e9clectiques. Donc z. B. Les maladies infectieuses selon l’\u00e9tiologique, les maladies respiratoires selon les complications topographiques ou de grossesse en fonction des aspects d\u00e9pendants de la situation. Cela contredit la distinction de la demande de crit\u00e8res uniformes de la maladie (r\u00e9clamation n \u00b0 4). [8] [dix] \u2191 un b c  Norbert Boss (Hrsg.): Roche Lexikon Medicine . 2e \u00e9dition. Hoffmann-La Roche AG et Urban & Schwarzenberg, Munich, 1987, ISBN 3-541-13191-8; (a) + (b) p. 1657 \u00e0 lex.-lemmata “symptomatologie” et “sympt\u00f4mes”; (c) p. 127 \u00e0 Lex.-lemma “asymptomatique”; gesundheit.de\/roche  \u2191 un b c  Essuyez H. Accepte: Histoire courte de la psychiatrie . 3. \u00c9dition. Enke, Stuttgart 1985, ISBN 3-432-80043-6; a) pp. 16, 44; 51, 55 \u00e0 STW. “Le sympt\u00f4me comme principe de division”; (b) pp. 2\u20135, 16, 44, 51, 55, 75 sur STW. “Critique et relativit\u00e9 de l’\u00e9valuation des sympt\u00f4mes”; (c) p. 78 \u00e0 STW. “Psychologie directe, psychoth\u00e9rapie”.  \u2191 un b  Klaus D\u00f6rner: Citoyens et fou . Sur l’histoire sociale et la sociologie des sciences en psychiatrie. (1969) Fischer Paperback, Books of Knowledge, Francfurt \/ M 1975, ISBN 3-436-02101-6; (a) p. 175 \u00e0 STW. “Cours de la maladie”; (B). P. 176 \u00e0 STW. “Diagnostic de temps sociologique \u00e0 travers Esquirol”.  \u2191  Thure de uexk\u00fcll: Questions de base de la m\u00e9decine psychosomatique. Broch\u00e9 Rowohlt, Reinbek pr\u00e8s de Hamburg 1963; P. 125 f. \u00c0 STW. “Sable Disorder”.  \u2191 un b c  H. Dilling et al: Classification internationale des troubles mentaux . Dans: Organisation mondiale de la sant\u00e9 (\u00e9d.): ICD-10 , Chapitre V (f). 2e \u00e9dition. Hans Huber Verlag, G\u00f6ttingen, 1993, ISBN 3-456-82424-6; (a) p. 7 \u00e0 STW. “Syst\u00e8me multiaxial”; (b) p. 9 (pr\u00e9face de la traduction allemande) pour STW.  \u2191  Martin Heidegger: \u00catre et le temps . [1926]. 15e \u00e9dition. Max Niemeyer-Verlag, T\u00fcbingen 1979, ISBN 3-484-70122-6; P. 29 sur STW. “Signes de maladie”; P. 23 \u00e0 STW. “R\u00e9f\u00e9rence \u00e0 Kant et \u00e0 la” temporalit\u00e9 “(temporalit\u00e9) mise en \u00e9vidence dans l’\u00e9valuation des ph\u00e9nom\u00e8nes”.  \u2191 un b c d  Karl Jaspers: Psychopathologie g\u00e9n\u00e9rale . 9. \u00c9dition. Springer, Berlin 1973, ISBN 3-540-03340-8; Partie 4: La vision de l’int\u00e9gralit\u00e9 de la vie de l’\u00e2me. Cap. 1 La synth\u00e8se des images cliniques. (a) p. 472 \u00e0 STW. “Monomanie”; (b) p. 472 \u00e0 STW. “Wahn, hallucinations”; (c) p. 472 \u00e0 STW. “Enregistrement de l’infini”; (d) p. 472 f. \u00e0 STW. “Crit\u00e8res de Wernicke de l’unit\u00e9 de maladie”.  \u2191 un b c d  Rolf Adler (\u00e9d.): M\u00e9decine psychosomatique. Mod\u00e8les de pens\u00e9e m\u00e9dicale et d’acteur . Fond\u00e9e par Thure von Uexk\u00fcll. Urban & Schwarzenberg, Munich 2003, 1564 p., Chap. 24-ICD-10 et DSM-IV-A \u00c9nonc\u00e9 critique sur l’utilisation de la cl\u00e9 de diagnostic internationale. Pp. 389\u2013395, en particulier pp. 389\u2013391 \u00e0 STW. “Augmentation des classifications diagnostiques”.  \u2191  W.M. Compton, S.B. Guze: La r\u00e9volution n\u00e9o-kra\u00e9p\u00e9linienne dans le diagnostic psychiatrique . Eur Arch Psychiatry Clin Neurosci. 1995; 245 (4-5): 196-201. Examen. PMID 7578281 .  \u2191 un b  Rudlf degkwitz al. (Hrsg.): Malade mental . Introduction \u00e0 la psychiatrie pour les \u00e9tudes cliniques. Urban et Schwarzenberg, Munich 1982, ISBN 3-541-09911-9, partie II. Description et structure de la maladie mentale; Cap. 5.1 Conditions du cours g\u00e9n\u00e9ral de la maladie, Chap. 5.2 Structure des unit\u00e9s de maladie; P. 49 f. \u00c0 STW. “Histoire de la psychiatrie, conditionnement conceptuel pour une unit\u00e9 de maladie”.  \u2191  Gerd Huber: Psychiatrie. Texte d’enseignement syst\u00e9matique pour les \u00e9tudiants et les m\u00e9decins. F.K. Schattauer, Stuttgart 1974, ISBN 3-7945-0404-6; Pp. 40, 165, 246, 252 \u00e0 STW. “Communaut\u00e9 d’expression des troubles psychog\u00e8nes et enc\u00e9phaliques”.  \u2191  Otto Bach: Sur la d\u00e9pendance du sujet de l’image de la r\u00e9alit\u00e9 dans le diagnostic psychiatrique et le traitement . Dans: Psychiatrie aujourd’hui, aspects et perspectives . Publication comm\u00e9morative pour Rainer T\u00f6lle. 1\u00e8re \u00e9dition. Urban & Schwarzenberg, Munich 1994, ISBN 3-541-17181-2; S. 1\u20136.  \u2191  Hans-Georg Gadamer: Sur la sant\u00e9 cach\u00e9e . Library Suhrkamp, \u200b\u200bVolume 1135, Frankfurt \/ M 1993, ISBN 3-518-22135-3; Pp. 125, 138 \u00e0 STW.  Cet article traite d’un probl\u00e8me de sant\u00e9. Il sert pas l’auto-diagnostic et remplac\u00e9 pas Un diagnostic par un m\u00e9decin. Veuillez noter la note sur les probl\u00e8mes de sant\u00e9!      (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/symptomatologie-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Symptomatologie – wikipedia"}}]}]