[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/tres-wiwikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/tres-wiwikipedia\/","headline":"Tr\u00e8s – Wiwikipedia","name":"Tr\u00e8s – Wiwikipedia","description":"before-content-x4 voleur , Titre complet Livre de r\u00e9futation et de preuves au nom de la religion m\u00e9pris\u00e9e (Arabe Le livre","datePublished":"2018-01-27","dateModified":"2018-01-27","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/e\/ea\/Disambig-dark.svg\/25px-Disambig-dark.svg.png","height":"19","width":"25"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/tres-wiwikipedia\/","wordCount":1731,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 voleur , Titre complet Livre de r\u00e9futation et de preuves au nom de la religion m\u00e9pris\u00e9e (Arabe Le livre de l’argument et des preuves dans la victoire de la religion Kitab al -ujjah wal-dalil fi nu\u1e63r al-din al-dhalil , h\u00e9breu Le livre khazari Exp\u00e9dition ha-kusari “Book of the Chasaren”) est l’une des \u0153uvres les plus c\u00e9l\u00e8bres du philosophe et po\u00e8te juif espagnol m\u00e9di\u00e9val Jehuda Halevi. Halevi a travaill\u00e9 sur ce livre pendant vingt ans et l’a termin\u00e9 en 1139, peu de temps avant son d\u00e9part pr\u00e9vu en Terre Sainte. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le livre est \u00e9crit dans Jud\u00e4o-arabic, sous la forme d’une conversation entre le roi du Chasar et une mani\u00e8re juive sur les bases du juda\u00efsme. Dans un contexte historique, l’auteur sert le rapport traditionnel d’une transition volontaire du Chasar vers le juda\u00efsme, environ quatre cents ans plus t\u00f4t. \u00c0 ce jour, le livre Kusari est d’une importance fondamentale pour la philosophie juive et g\u00e9n\u00e9ralement pour l’esprit juif. Le livre contient cinq chapitres qui ma’amarim (“Article”). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsPremier chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] deuxi\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] troisi\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Chapitre quatre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Cinqui\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Premier chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le premier chapitre commence par la description d’un r\u00eave nocturne dans lequel un ange est apparu au roi des Chasaren et lui a expliqu\u00e9: “Votre train de pens\u00e9e est agr\u00e9able au Cr\u00e9ateur, mais pas \u00e0 vos actions” apr\u00e8s que le roi ait envisag\u00e9 un transfert vers le juda\u00efsme. En cons\u00e9quence, il a interview\u00e9 un philosophe, un chr\u00e9tien \u00e9duqu\u00e9 scolastique et un \u00e9rudit musulman de leurs croyances religieuses, mais n’a \u00e9t\u00e9 convaincu d’aucun d’entre eux. Il attire les philosophes conscients de la haine mortelle entre les chr\u00e9tiens et les musulmans. Il explique au musulman, en tant que non-\u00e9loignement et en raison du manque de comp\u00e9tences linguistiques, le caract\u00e8re miraculeux du livre sacr\u00e9 lui reste ferm\u00e9. Le rabbin qui a suivi surprend le roi en ne commen\u00e7ant pas ses explications par la preuve de Dieu, mais explique d’abord les miracles divins en faveur des Isra\u00e9lites. L’extrait d’\u00c9gypte et la r\u00e9v\u00e9lation de la Tora sur la montagne du Sina\u00ef servent de preuve de la sup\u00e9riorit\u00e9 du juda\u00efsme. La religion est apparue est bien sup\u00e9rieure \u00e0 une religion naturelle. La philosophie grecque, en particulier les \u0153uvres d’Aristote, a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e sans soutien divin, tandis que les proph\u00e8tes isra\u00e9lites en \u00e9taient \u00e9quip\u00e9s. deuxi\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Apr\u00e8s la description de la transition du roi Chasar et de son venin au juda\u00efsme, Halevi se concentre initialement sur la question des attributs divins. Il rejette la doctrine contemporaine de la distinction entre essentiel Et les attributs accidentels et consid\u00e8rent que tous les attributs divins sont tout aussi significatifs. Cela l’am\u00e8ne \u00e0 la question de l’anthropomorphisme dans les descriptions de Dieu. Il ne rejette pas pleinement \u00abl’humanisation\u00bb de Dieu, mais souligne que certains sites bibliques dans lesquels les parties du corps de Dieu (par exemple le visage, les yeux, la main) arrivent, ce qui peut augmenter en admiration devant lui. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4De plus, l’excellence du pays promis, des Isra\u00e9lites et de la langue h\u00e9bra\u00efque est mentionn\u00e9 dans ce chapitre, qui peut finalement \u00eatre retrac\u00e9 \u00e0 l’excellence de la Tora comme la parole r\u00e9v\u00e9l\u00e9e de Dieu. Le rabbin ou l’auteur d\u00e9crit les Juifs comme un peuple choisi, m\u00eame s’ils sont m\u00e9pris\u00e9s par les chr\u00e9tiens et les musulmans actuellement en vigueur. troisi\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Apr\u00e8s une br\u00e8ve explication des pri\u00e8res les plus importantes dans la liturgie juive quotidienne, \u00e0 savoir le Schma Jisrael et la pri\u00e8re de dix-huit bits, l’auteur n’accepte pas la tradition dans le Talmud, initialement non reconnu oralement transmis dans le Talmud. D\u00e9j\u00e0 pour la lecture et la conf\u00e9rence de la Torah, la tradition orale est n\u00e9cessaire, car le texte original de la Tora a \u00e9t\u00e9 transmis dans un script de consonne et n’\u00e9tait \u00e0 l’origine ni fourni de voyelles ni de signes saliers. Chapitre quatre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Au d\u00e9but du quatri\u00e8me chapitre, Halevi explique la diff\u00e9rence entre le nom de Dieu Elohim, qui \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 connu dans l’\u00c9gypte ancienne et d\u00e9crit les qualit\u00e9s de Dieu en tant que dirigeant mondial et le Tebrammaton. L’auteur voit les noms de Dieu tels que “Elohim”, “Saint” ou Adonai comme un attribut pour d\u00e9crire l’action de Dieu dans le monde, tandis que la v\u00e9ritable importance du Tebrammaton n’est connue que des Juifs. La diversit\u00e9 des noms de Dieu n’indique pas une vari\u00e9t\u00e9 dans son \u00eatre, car les diverses influences des rayons du soleil sur diff\u00e9rents corps impliquent une vari\u00e9t\u00e9 de soleils. Maintenant, Halevi revient sur son sujet pr\u00e9f\u00e9r\u00e9 et r\u00e9p\u00e8te que les perspectives des proph\u00e8tes refl\u00e8tent la connaissance divine pure que les enseignements des philosophes. Il avoue sa grande v\u00e9n\u00e9ration pour le Sefer Jetzira, cite de nombreux passages et se termine par un trait\u00e9 sur la connaissance astronomique et m\u00e9dicale des anciens H\u00e9breux. Cinqui\u00e8me chapitre [ Modifier | Modifier le texte source ]] Le cinqui\u00e8me et dernier chapitre est consacr\u00e9 \u00e0 une critique des diff\u00e9rents syst\u00e8mes philosophiques connus dans le monde chr\u00e9tien et islamique au moment de l’auteur. Cela comprend la cosmogonie et la m\u00e9taphysique aristot\u00e9licienne, ainsi que le concept n\u00e9oplatonique d’\u00e9manation. Lorsque Kusari demande au rabbin un bref r\u00e9sum\u00e9 des enseignements du mutakallimun, il ne r\u00e9pond pas. Il rejette cela comme une pr\u00e9occupation inutile de la dialectique des ma\u00eetres de Kalam, dont les consid\u00e9rations de la cr\u00e9ation du monde et de l’unit\u00e9 de Dieu lui apparaissent comme de simples jeux d’esprit. Ceci est suivi d’un trait\u00e9 sur la nature de l’\u00e2me et de ses comp\u00e9tences. Cela m\u00e8ne finalement \u00e0 la question du libre arbitre, que le rabbin d\u00e9fend contrairement aux \u00e9picuriens et aux fatalistes. En fin de compte, le rabbin dit au revoir au roi et exprime son souhait de quitter le pays des Chasaren et de se briser \u00e0 J\u00e9rusalem. ‘ Kusari. D\u00e9crivez maintenant les actions d’un pieux avec vous aujourd’hui. Rabbin. Le pieux en a huit dans son pays, p\u00e8se sa nourriture et tous ses besoins et lui attribue \u00e0 lui, continuent avec lui, n’affecte pas plus que la partie qui se produit. Pour ce faire, il la trouve \u00e9galement s’il en a besoin docilement, le gu\u00e9rit quand il appelle; Il ordonne et ils agissent selon son commandement; Il interdit et ils pr\u00eatent attention \u00e0 l’interdiction. Kusari. \u00c0 propos des pieux, je ne vous ai pas pos\u00e9 de questions sur le souverain! Rabbin. Le pieux est un souverain qui ob\u00e9it \u00e0 ses sens et \u00e0 ses capacit\u00e9s spirituelles et physiques, qu’il m\u00e8ne de mani\u00e8re naturelle … ” La traduction h\u00e9bra\u00efque du livre par Jehuda Ibn Tibbon du XIIe si\u00e8cle, qui a \u00e9galement servi de base \u00e0 des versions en langue ult\u00e9rieure, a atteint la conscience. En 1660, une traduction latine du B\u00e2le Hebraiten Johann Buxteorf le plus jeune est apparu, en 1868, une \u00e9mission allemande de David Cassel. Au d\u00e9but du 20e si\u00e8cle, l’Orientaliste Hartwig Hirschfeld a publi\u00e9 une traduction anglaise apr\u00e8s avoir publi\u00e9 le texte original du Jud\u00e4o-arabien de Jehuda Halevi pour la premi\u00e8re fois en 1895. [2] \u2191 Buch Kuyri , Troisi\u00e8me chapitre. S. 195\u2013196. \u2191 Daniel J. Lasker: Judah Halevi. Dans: Encyclopaedia Judaica, Bd. 11, sp. 500. Deuxi\u00e8me \u00e9dition. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/tres-wiwikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Tr\u00e8s – Wiwikipedia"}}]}]