[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/vitesse-legere-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/vitesse-legere-wikipedia\/","headline":"Vitesse l\u00e9g\u00e8re – wikipedia","name":"Vitesse l\u00e9g\u00e8re – wikipedia","description":"before-content-x4 Le Vitesse de la lumi\u00e8re c {DisplayStyle C} after-content-x4 ( c {DisplayStyle C} ann\u00e9es. vitesse: Vitesse) est une constante","datePublished":"2022-07-02","dateModified":"2022-07-02","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/44a4cee54c4c053e967fe3e7d054edd4?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/86a67b81c2de995bd608d5b2df50cd8cd7d92455","url":"https:\/\/wikimedia.org\/api\/rest_v1\/media\/math\/render\/svg\/86a67b81c2de995bd608d5b2df50cd8cd7d92455","height":"","width":""},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/vitesse-legere-wikipedia\/","wordCount":19993,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le Vitesse de la lumi\u00e8re c {DisplayStyle C} (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4( c {DisplayStyle C} ann\u00e9es. vitesse: Vitesse) est une constante naturelle fondamentale. \u00c0 cette vitesse, la lumi\u00e8re et d’autres ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques r\u00e9parties dans le vide ainsi que les ondes gravitationnelles. Il joue un r\u00f4le central dans la th\u00e9orie sp\u00e9ciale et g\u00e9n\u00e9rale de la relativit\u00e9. La propagation de la lumi\u00e8re est plus petite dans un milieu mat\u00e9riel tel que l’air ou le verre. S’il ne r\u00e9sulte pas du contexte, les ensembles de mots indiquent clairement si la vitesse de la lumi\u00e8re est signifi\u00e9e dans le vide ou dans le mat\u00e9riau. Dans les deux cas, le signe de formule est utilis\u00e9 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4c {DisplayStyle C} ; Faire la diff\u00e9rence entre la vitesse lumineuse dans le vide est \u00e9galement c 0 {displayStyle c_ {0}} \u00e9crit. La vitesse de la lumi\u00e8re ne d\u00e9pend pas de la vitesse de la source de lumi\u00e8re. De cette d\u00e9claration, qui r\u00e9sulte \u00e9galement des \u00e9quations de Maxwell de l’\u00e9lectrodynamique, et le principe de la relativit\u00e9 suit que la vitesse de la lumi\u00e8re ne d\u00e9pend pas de l’\u00e9tat de mouvement du destinataire utilis\u00e9 pour le mesurer. Par cons\u00e9quent, la vitesse de la lumi\u00e8re a toujours la m\u00eame valeur. Albert Einstein a d\u00e9velopp\u00e9 la th\u00e9orie de la relativit\u00e9 \u00e0 partir de cela. Le compteur d’unit\u00e9 de longueur est d\u00e9fini par la vitesse lumineuse dans le vide et la seconde, quelle que soit la situation. La valeur de la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e9tait pr\u00e9cis\u00e9ment 299 792 458 m \/ s fix\u00e9. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Repr\u00e9sentation contemporaine d’un faisceau lumineux qui se d\u00e9place de la terre \u00e0 la lune; Dur\u00e9e: environ 1,3 seconde La valeur de la vitesse de la lumi\u00e8re dans le vide est c = 299 792 458 ms, {displayStyle c = 299,792,458 {frac {text {m}} {text {s}}},} \u00e9galement ca. 300 000 km \/ s ou 1,08 milliard de km \/ h. Cette valeur s’applique exactement parce que l’unit\u00e9 de mesure “compteur” a \u00e9t\u00e9 implicitement d\u00e9finie depuis 1983 par le fait que la vitesse de lumi\u00e8re a \u00e9t\u00e9 attribu\u00e9e \u00e0 cette valeur. [d’abord] [2] Auparavant, le compteur avait \u00e9t\u00e9 d\u00e9fini comme multiple de la longueur d’onde d’une certaine transition atomique, et la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e9tait une taille exp\u00e9rimentalement d\u00e9termin\u00e9e. Avec la progression de la mesure, cependant, la vitesse de la lumi\u00e8re pourrait \u00eatre d\u00e9termin\u00e9e plus pr\u00e9cis\u00e9ment que cette longueur d’onde et donc le compteur lui-m\u00eame. Par cons\u00e9quent, la nouvelle d\u00e9finition du compteur a \u00e9t\u00e9 d\u00e9cid\u00e9e en 1983. De nombreuses repr\u00e9sentations de la physique relativiste indiquent des longueurs \u00e0 travers les temps d’\u00e9clairage ou vice versa en raison de la longueur du chemin, la lumi\u00e8re passe pendant cette p\u00e9riode. Une ann\u00e9e l\u00e9g\u00e8re signifie alors plus court une ann\u00e9e Et le client l\u00e9ger d’abord Client l\u00e9ger = 299 792 458 M\u00e8tre {DisplayStyle 1 {text {lichtecunde} = 299,792,458 {text {m\u00e8tre}}} simplement Secondes. Dans ces unit\u00e9s de mesure (voir les unit\u00e9s Planck), la vitesse de lumi\u00e8re a l’unit\u00e9 de mesure sans dimension “deuxi\u00e8me par seconde” et la valeur c = d’abord {displayStyle c = 1} . L’image de formule des relations physiques est simplifi\u00e9e par ce choix d’unit\u00e9s, par exemple la connexion d’\u00e9nergie est ET {displaystyle e} et impulsion p\u2192{displayStyle {vec {p}}} une particule de la masse m {displaystyle m} Alors pas ET 2 = m 2 c 4 + p\u21922 c 2 {displayStyle e ^ {2} = m ^ {2} c ^ {4} + {vec {p}} ^ {, 2} c ^ {2}} , plut\u00f4t ET 2 = m 2 + p\u21922 {displayStyle e ^ {2} = m ^ {2} + {vec {p}} ^ {, 2}} . Quiconque souhaite reprendre l’\u00e9quation dans le syst\u00e8me international des unit\u00e9s (SI) \u00e0 partir d’une \u00e9quation en unit\u00e9s naturelles doit avoir chaque r\u00e9sum\u00e9 avec tant de facteurs c {DisplayStyle C} Multipliez que les deux c\u00f4t\u00e9s de l’\u00e9quation et chaque r\u00e9sum\u00e9 ont les m\u00eames unit\u00e9s SI. Par exemple, l’unit\u00e9 \u00e9nerg\u00e9tique d’une masse dans le SI a le carr\u00e9 d’une vitesse et une impulsion l’unit\u00e9 de mesure d’une masse de vitesse. Donc dans la formule ET 2 = m 2 + p\u21922 {displayStyle e ^ {2} = m ^ {2} + {vec {p}} ^ {, 2}} Sur le c\u00f4t\u00e9 droit dans les tailles de la m\u00eame unit\u00e9 de mesure, l’\u00e9nergie parfois de l’\u00e9nergie, comme \u00e0 gauche, le carr\u00e9 de masse doit donc \u00eatre inclus c 4 {displaystyle c ^ {4}} et le pouls carr\u00e9 avec c 2 {displaystyle c ^ {2}} \u00eatre multipli\u00e9. Vous obtenez donc l’\u00e9quation valide dans le SI ET 2 = m 2 c 4 + p\u21922 c 2 . {displayStyle e ^ {2} = m ^ {2}, c ^ {4} + {vec {p}} ^ {, 2}, c ^ {2}.} Les informations dans les syst\u00e8mes de t\u00e9l\u00e9communications se propagent \u00e0 100% (vide, espace, pratiquement aussi air) de la vitesse de la lumi\u00e8re avec 70% (fibre optique). Cela cr\u00e9e des temps de retard qui ne peuvent pas \u00eatre \u00e9vit\u00e9s. La distance maximale entre deux emplacements est d’environ 20 000 km le long de la surface de la Terre. Cela correspondrait \u00e0 67 ms d’ex\u00e9cution \u00e0 une vitesse de lumi\u00e8re sous vide. Le temps de transmission r\u00e9el est toujours plus long. En cas de transmission atmosph\u00e9rique, la vague se refl\u00e8te dans les diff\u00e9rentes couches de l’atmosph\u00e8re et sur le sol et doit couvrir un chemin plus long. Les microprocesseurs travaillent aujourd’hui avec des fr\u00e9quences d’horloge de 1 \u00e0 5 GHz. Pendant une horloge, les signaux \u00e9lectriques dans les circuits avec un couvercle di\u00e9lectrique \u00e0 faible ke entre 5 et 20 cm. Ces termes ne sont pas n\u00e9gligeables lors de la conception de circuits. Les satellites g\u00e9ostationnaires sont \u00e0 35 786 km au-dessus de l’\u00e9quateur. Afin d’obtenir une r\u00e9ponse aux signaux t\u00e9l\u00e9phoniques ou t\u00e9l\u00e9vis\u00e9s de cette mani\u00e8re, le signal doit avoir couvert au moins 144 000 km: de l’\u00e9metteur au satellite, puis au destinataire, puis de la m\u00eame mani\u00e8re. Ce terme est d’environ 480 ms. Les sondes de chambre sont souvent situ\u00e9es dans leurs destinations plusieurs millions ou milliards de kilom\u00e8tres de la Terre. M\u00eame \u00e0 la vitesse de la lumi\u00e8re, les signaux radio sont sur la route pendant plusieurs minutes \u00e0 des heures. La r\u00e9ponse \u00e0 la Terre prend \u00e0 nouveau le m\u00eame temps. Les v\u00e9hicules extraterrestres tels que l’opportunit\u00e9 Mars-Rover doivent donc \u00eatre en mesure de reconna\u00eetre automatiquement les contr\u00f4les et les dangers, car la station de sol ne peut r\u00e9agir qu’aux incidents quelques minutes plus tard. \u00c0 partir des \u00e9quations de Maxwell, il s’ensuit que les champs \u00e9lectriques et magn\u00e9tiques peuvent vibrer et transporter l’\u00e9nergie \u00e0 travers l’espace vide. Les champs d’une \u00e9quation d’onde, similaire aux ondes m\u00e9caniques et aux vagues d’eau, ob\u00e9issent. Les ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques transmettent l’\u00e9nergie et les informations, qui sont utilis\u00e9es dans les applications techniques pour la radio, la radio ou le laser. Table of ContentsArbre ordinaire ou arbre sph\u00e9rique dans le vide [ Modifier | Modifier le texte source ]] Arbre ordinaire ou arbre sph\u00e9rique dans un milieu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Onde transversale modul\u00e9e dans le vide [ Modifier | Modifier le texte source ]] Sp\u00e9culation sur la finit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] Mesure de la vitesse de la lumi\u00e8re [ Modifier | Modifier le texte source ]] \u00c0 la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re [ Modifier | Modifier le texte source ]] Premi\u00e8res consid\u00e9rations [ Modifier | Modifier le texte source ]] Michelson-Morley-Experiment [ Modifier | Modifier le texte source ]] Ind\u00e9pendance de la source [ Modifier | Modifier le texte source ]] Vitesse variable de lumi\u00e8re et coh\u00e9rence dans l’univers observable [ Modifier | Modifier le texte source ]] Signification pour l’espace et le temps [ Modifier | Modifier le texte source ]] Arbre ordinaire ou arbre sph\u00e9rique dans le vide [ Modifier | Modifier le texte source ]] Selon les \u00e9quations de Maxwell, la vitesse des niveaux ou des ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques sph\u00e9riques dans le vide est la r\u00e9ciprocit\u00e9 de la racine du produit du champ \u00e9lectrique constant e 0 {displayStyle Varsilon _ {0}} et le champ magn\u00e9tique constant m 0 : {displaystyle mu _ {0} colon} c = 1\u03b50\u03bc0{DisplayStyle c = {frac {1} {sqrt {varepsilon _ {0}, mu _ {0}}}}}}}}}} De cela, Maxwell a calcul\u00e9 en 1865 avec les valeurs alors connues pour e 0 {displayStyle Varsilon _ {0}} et m 0 {displayStyle mu _ {0}} la valeur de 310 740 km \/ s {displayStyle 310,740; {texte {km \/ s}}} et conclu: “Cette vitesse est si proche de la vitesse de la lumi\u00e8re, afin que nous ayons une raison forte de supposer que la lumi\u00e8re elle-m\u00eame (y compris le rayonnement thermique et d’autres rayonnements, si c’est le cas), est une onde \u00e9lectromagn\u00e9tique.” L’hypoth\u00e8se de Maxwell a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e dans toutes les observations du rayonnement \u00e9lectromagn\u00e9tique. Arbre ordinaire ou arbre sph\u00e9rique dans un milieu [ Modifier | Modifier le texte source ]] Dans un milieu, les deux constantes de champ sont modifi\u00e9es par le mat\u00e9riau, qui est d\u00fb aux facteurs auteur relatif e r{displayStyle Varsilon _ {Mathrm {r}}} et perm\u00e9abilit\u00e9 relative m r{displayStyle mu _ {mathrm {r}}} est pris en compte. Les deux s’accrochent \u00e0 la fr\u00e9quence Oh {displayStyle Omega} loin. La vitesse de la lumi\u00e8re dans le milieu est en cons\u00e9quence c medium( Oh ) = 1\u03b5(\u03c9)\u03bc(\u03c9)= 1\u03b50\u03b5r(\u03c9)\u03bc0\u03bcr(\u03c9)= c\u03b5r(\u03c9)\u03bcr(\u03c9){DisplayStyle c_ {text {medium}} (omega) =} {sqrt {1}} = {frac {1} {0}, varepsilon _ {mathrm {r}} (om\u00e9ga), dans _ {0}, mu _ {mathrm {r}}. t {C} {Mathrm {r}} (Omega), mu _ {Omega)}}}} . Le rapport de la vitesse de la lumi\u00e8re sous vide \u00e0 celle d’un milieu est l’indice de r\u00e9fraction (d\u00e9pendant de la fr\u00e9quence) n {displaystyle n} du milieu. La connexion de l’indice de r\u00e9fraction avec la permittivit\u00e9 relative et la perm\u00e9abilit\u00e9 relative signifie \u00e9galement Relation Maxwellsche: n ( Oh ) = ccmedium(\u03c9)= \u03b5r(\u03c9)\u03bcr(\u03c9){Dislastyle n (omega) = {frac {c} {medium}} = {sqrt {varepsilon _ {mathrm {r}} (om\u00e9ga)}}} (om\u00e9ga)}}} (om\u00e9ga)}}} Le point rouge se d\u00e9place avec la vitesse de phase (moyenne), les points verts \u00e0 la vitesse du groupe En raison de la d\u00e9pendance g\u00e9n\u00e9ralement donn\u00e9e sur e r{displayStyle Varsilon _ {Mathrm {r}}} et m r{displayStyle mu _ {mathrm {r}}} De la fr\u00e9quence de la vague, il convient de noter que c medium{displayStyle c_ {mathrm {Medium}}} La vitesse de phase dans le milieu mentionn\u00e9 avec les points de la m\u00eame phase (par exemple les minima ou les maxima) progresse un arbre plat avec une amplitude constante. La courbe d’enveloppe d’un ensemble d’ondes spatialement limit\u00e9, en revanche, se plante avec la vitesse du groupe. Dans les m\u00e9dias, ces deux vitesses diff\u00e8rent plus ou moins. En particulier, un indice de r\u00e9fraction signifie n < d’abord {displayStyle n 0{DisplayStyle c = 1 \/ {sqrt {varepsilon _ {0}, mu _ {0}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}} u. a. En cas de vague plate avec une direction de reproduction bien d\u00e9finie dans le vide. En revanche, chaque onde lumineuse pratiquement r\u00e9alisable a toujours un certain profil de jet. Si cela est montr\u00e9 comme une superposition de niveaux de vagues avec des directions reproductrices l\u00e9g\u00e8rement modifi\u00e9es, les niveaux individuels ont tous la vitesse de lumi\u00e8re sous vide c {DisplayStyle C} Cependant, cela ne s’applique pas \u00e0 la vague caus\u00e9e par la superposition. Il en r\u00e9sulte une onde l\u00e9g\u00e8rement lente. Cela pourrait \u00e9galement \u00eatre d\u00e9montr\u00e9 sur des rayons Bessel de forme sp\u00e9ciale de micro-ondes et de lumi\u00e8re visible, m\u00eame pour la vitesse des photons individuels. [4] [5] Avec toutes les ondes lumineuses pratiquement r\u00e9alisables, m\u00eame avec des rayons laser fortement group\u00e9s, cet effet est n\u00e9gligeable. La lumi\u00e8re est plus lente dans le vide, et comme il \u00e9tait d\u00e9riv\u00e9 ci-dessus, il y a c Medium= c \/ \/ n {displayStyle c _ {, mathrm {medium}} = {c} \/ {n}} Avec un indice de r\u00e9fraction n {displaystyle n} c’est sup\u00e9rieur \u00e0 1. [6] Dans l’air pr\u00e8s du sol, la vitesse de la lumi\u00e8re est d’environ 0,28 \u2030 plus bas que dans le vide (soit environ 299 710 km \/ s), dans l’eau, il est d’environ 225 000 km \/ s (- 25%) et dans des verres avec un indice de rupture \u00e9lev\u00e9 jusqu’\u00e0 160 000 km \/ s (- 47%). Dans certains milieux tels que Bose-Einstein-Capaciters ou Crystaux photoniques, il y a une tr\u00e8s grande dispersion pour certaines longueurs d’onde. La lumi\u00e8re se propage clairement ralenti. [7] En 1999, le groupe de recherche du physicien danois Lene Hau a pu apporter de la lumi\u00e8re \u00e0 une vitesse de groupe d’environ 17 m \/ s. [8] Borde deux supports transparents ensemble, de sorte que la vitesse diff\u00e9rente de la lumi\u00e8re dans les deux milieux provoque la rupture de la lumi\u00e8re sur l’interface. \u00c9tant donn\u00e9 que la vitesse de la lumi\u00e8re dans le milieu d\u00e9pend \u00e9galement de la longueur d’onde de la lumi\u00e8re, la couleur diff\u00e9rente de la lumi\u00e8re est cass\u00e9e diff\u00e9remment et que la lumi\u00e8re blanche se divise dans ses diff\u00e9rentes partages de couleurs. Cet effet peut \u00eatre z. B. Observez directement \u00e0 l’aide d’un prisme. Dans un milieu, les particules peuvent \u00eatre plus rapides que la lumi\u00e8re dans le m\u00eame milieu. Lorsqu’ils sont charg\u00e9s \u00e9lectriquement, comme les \u00e9lectrons ou les protons, l’effet Tscherenkow se produit: les particules rayonnent la lumi\u00e8re, tout comme un avion submerg\u00e9 tra\u00eene le sons des overs. Cela peut \u00eatre observ\u00e9, par exemple, dans les r\u00e9acteurs de la piscine. Il y a de l’eau entre les \u00e9l\u00e9ments de carburant. Les paris des produits de fission se compose d’\u00e9lectrons plus rapides que la vitesse de lumi\u00e8re dans l’eau. La lumi\u00e8re Tscherenkow que vous avez remise rend l’eau bleue. L’effet Tscherenkow est utilis\u00e9 dans les sous-tecteurs pour prouver les particules invit\u00e9es rapidement. La vitesse de lumi\u00e8re sous vide comme vitesse de bordure massive: si sa vitesse va \u00e0 l’encontre de la vitesse de la lumi\u00e8re, l’\u00e9nergie augmente, c’est-\u00e0-dire ET ( dans ) {displayStyle e (v)} , \u00e0 travers toutes les fronti\u00e8res. Les pi\u00e8ces sans masse sont toujours et dans chaque syst\u00e8me inertiel \u00e0 vitesse lumineuse. La plus grande particule de n\u0153ud de poule de masse qui montre cette propri\u00e9t\u00e9 est le photon. Il transmet l’interaction \u00e9lectromagn\u00e9tique, qui d\u00e9termine une grande partie de la physique quotidienne. Les particules de n\u0153ud de pouce suppl\u00e9mentaires sont les glluons dans le mod\u00e8le standard de physique des particules, les particules interm\u00e9diaires de la forte interaction. Les pi\u00e8ces avec une masse qui diff\u00e8rent de z\u00e9ro sont toujours plus lentes que la lumi\u00e8re. Si vous l’acc\u00e9l\u00e9rez, votre \u00e9nergie grandit ET ( dans ) {displayStyle e (v)} En raison de la relation d’impulsion d’\u00e9nergie relativiste en fonction de ET ( dans ) = mc21\u2212v2\/c2. {displayStyle e (v) = {frac {m, c ^ {2}} {sqrt {1- {v} ^ {2} \/ c ^ {2}}}}.} Y a-t-il dans {DisplayStyle V} La vitesse de la particule par rapport au syst\u00e8me inertiel choisi pour la description du processus. Plus la quantit\u00e9 de vitesse des particules est proche dans {DisplayStyle V} \u00c0 la vitesse de la lumi\u00e8re c {DisplayStyle C} est l’occasion plus approche du quotient dans 2 \/ \/ c 2 {displayStyle v ^ {2} \/ c ^ {2}} La valeur 1 sur, et plus la racine devient petite dans le d\u00e9nominateur. Plus la vitesse des particules s’approche de la vitesse de la lumi\u00e8re, plus l’\u00e9nergie requise pour cela devient. Avec enfin une \u00e9nergie \u00e9lev\u00e9e, vous pouvez acc\u00e9l\u00e9rer une particule comme vous le souhaitez, mais vous ne pouvez pas y parvenir. La relation entre l’\u00e9nergie et la vitesse pr\u00e9dite par la th\u00e9orie de la relativit\u00e9 a \u00e9t\u00e9 document\u00e9e dans diverses exp\u00e9riences. Il a Effets sur la technologie des acc\u00e9l\u00e9rateurs de particules. Les orbites d’un z. B. Dans un paquet d’\u00e9lectrons synchrotron-circulaire ne change \u00e0 peine lors de l’acc\u00e9l\u00e9ration; La synchronisation des champs alternatifs acc\u00e9l\u00e9r\u00e9s individuels peut donc \u00eatre constant. En revanche, il doit \u00eatre adapt\u00e9 en continu \u00e0 la vitesse croissante des particules plus lourdes qui sont fournies \u00e0 une vitesse inf\u00e9rieure. En physique et en astronomie, les vitesses apparaissent> dans certains cas> c sur. Cependant, ce n’est pas une v\u00e9ritable vitesse de superposition dans le sens de la transmission d’informations: Les objets astronomiques extr\u00eamement distants se d\u00e9placent de notre galaxie \u00e0 une vitesse de superposition. La raison en est pas un mouvement sup\u00e9rieur dans le Espace, mais l’expansion des Pi\u00e8ces. Certains jets cosmiques semblent avoir des vitesses> c avoir. Cependant, il s’agit d’un effet g\u00e9om\u00e9trique de l’observation en raison de diff\u00e9rentes longueurs de lumi\u00e8re. La phase ou la vitesse de groupe des ondes \u00e9lectromagn\u00e9tiques peut dans certains cas> c \u00eatre; Cependant, la vitesse du signal est cruciale pour la transmission des informations et de la causalit\u00e9. Il en va de m\u00eame pour les tunnels superluminaires. Les \u00e9quations de la th\u00e9orie sp\u00e9ciale de la relativit\u00e9 pourraient \u00e9galement \u00eatre respect\u00e9es par des particules qui sont toujours plus rapides qu’\u00e0 la vitesse de la lumi\u00e8re, donc des tachyons. Mais ceux-ci sont purement hypoth\u00e9tiques; Il n’y a aucune indication exp\u00e9rimentale de leur existence. Sp\u00e9culation sur la finit\u00e9 [ Modifier | Modifier le texte source ]] La question de savoir si la lumi\u00e8re se propage infiniment rapidement ou si elle a une vitesse finie \u00e9tait d\u00e9j\u00e0 int\u00e9ressante pour la philosophie de l’antiquit\u00e9. La lumi\u00e8re retrace un kilom\u00e8tre en seulement trois microsecondes. Avec les options d’observation de l’antiquit\u00e9, un faisceau lumineux est apparemment d\u00e9j\u00e0 en m\u00eame temps en m\u00eame temps en m\u00eame temps en m\u00eame temps. N\u00e9anmoins, Emp\u00e9docles croyait d\u00e9j\u00e0 (environ 450 avant JC), la lumi\u00e8re \u00e9tait quelque chose qui est en mouvement et avait donc besoin de temps pour couvrir les distances. Aristote, en revanche, a d\u00e9clar\u00e9 que la lumi\u00e8re venait de la simple pr\u00e9sence d’objets, mais n’\u00e9tait pas en mouvement. Il a d\u00e9clar\u00e9 que la vitesse devrait autrement \u00eatre si \u00e9norme qu’elle \u00e9tait au-del\u00e0 de l’imagination humaine. En raison de sa r\u00e9putation et de sa influence, la th\u00e9orie d’Aristote a trouv\u00e9 l’acceptation g\u00e9n\u00e9rale. Une ancienne th\u00e9orie de la vision a suppos\u00e9 que la lumi\u00e8re devait voir \u00e9tait \u00e9mise par l’\u0153il. Un objet doit donc \u00eatre vu lorsque les rayons lumineux sortent de l’\u0153il. S’appuyant sur cette id\u00e9e, Heron von Alexandria a \u00e9galement pr\u00e9conis\u00e9 la th\u00e9orie aristot\u00e9licienne. Il a d\u00e9clar\u00e9 que la vitesse de la lumi\u00e8re devait \u00eatre infiniment grande, car vous pouvez voir les \u00e9toiles lointaines vous-m\u00eame d\u00e8s que vous ouvrez les yeux. En revanche, l’id\u00e9e d’une vitesse finie de la lumi\u00e8re s’est \u00e9galement propag\u00e9e dans le monde oriental. En particulier, les philosophes et scientifiques persans Avicenne et Alhazen (tous deux vers l’an 1000) pensaient que la lumi\u00e8re avait une vitesse finie. Cependant, leurs partisans \u00e9taient envers les partisans de la th\u00e9orie aristot\u00e9licienne en minorit\u00e9. Au d\u00e9but du XVIIe si\u00e8cle, l’astronome Johannes Kepler pensait que la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e9tait infinie, du moins dans le vide, car l’espace vide pour la lumi\u00e8re n’est pas un obstacle. Ici, l’id\u00e9e semble que la vitesse d’un faisceau lumineux pourrait d\u00e9pendre du milieu crois\u00e9. Francis Bacon a fait valoir que la lumi\u00e8re ne devait pas n\u00e9cessairement \u00eatre infiniment rapide, mais peut-\u00eatre seulement plus rapide que perceptible. Ren\u00e9 Descartes a pris une vitesse de lumi\u00e8re infiniment grande. Le soleil, la lune et la terre se trouvent dans une ligne pendant une \u00e9clipse solaire. Descartes a fait valoir que ce corps c\u00e9leste pour un observateur ne semblait pas \u00eatre en s\u00e9rie lorsque la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e9tait enfin. Comme un tel effet n’a jamais \u00e9t\u00e9 observ\u00e9, il s’est vu confirm\u00e9 dans son hypoth\u00e8se. Descartes croyait tellement d’une vitesse de lumi\u00e8re infiniment grande qu’il \u00e9tait convaincu que sa vision du monde s’effondrerait si c’\u00e9tait finalement. Vers 1700, les th\u00e9ories d’Isaac Newton et de Christiaan Huygens \u00e9taient confront\u00e9es \u00e0 une vitesse de lumi\u00e8re finie. Newton a vu la lumi\u00e8re comme un flux de particules, tandis que Huygens a interpr\u00e9t\u00e9 la lumi\u00e8re comme une vague. Les deux ont pu expliquer la loi de r\u00e9fraction par proportion (Newton) ou, inversement, proportionnel (Huygens) \u00e0 l’indice de r\u00e9fraction. L’id\u00e9e de Newton a \u00e9t\u00e9 r\u00e9fut\u00e9e depuis les interf\u00e9rences et le virage depuis le 19e si\u00e8cle et la vitesse dans les m\u00e9dias pourrait \u00eatre mesur\u00e9e. Puisqu’il y a eu la premi\u00e8re mesure de la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e0 l’\u00e9poque de Huygens, qui \u00e9tait \u00e0 son avis beaucoup trop \u00e9lev\u00e9e pour atteindre les corps avec la masse, il a propos\u00e9 un milieu de fond \u00e9lastique (ni visuel ni mesurable) avec l’\u00e9ther qui permet la propagation des ondes, similaire au son dans l’air. Mesure de la vitesse de la lumi\u00e8re [ Modifier | Modifier le texte source ]] Structure exp\u00e9rimentale de l’exp\u00e9rience Fizeau Structure exp\u00e9rimentale de l’exp\u00e9rience Foucault Vers 1600, Galileo Galilei a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e0 mesurer la vitesse de la lumi\u00e8re avec des m\u00e9thodes scientifiques en affichant lui-m\u00eame et un assistant avec une \u00e9toile de signal sur deux collines avec une distance bien connue. L’assistant doit retourner le signal Galileis imm\u00e9diatement. Avec une m\u00e9thode comparable, il avait d\u00e9j\u00e0 r\u00e9ussi \u00e0 d\u00e9terminer la vitesse du son. \u00c0 son \u00e9tonnement, apr\u00e8s avoir d\u00e9duit le temps de r\u00e9ponse de l’assistant, il ne restait pas de temps reproductible. Cela n’a pas chang\u00e9 lorsque la distance a \u00e9t\u00e9 augment\u00e9e \u00e0 la visibilit\u00e9 maximale possible des lanternes. En 1629, Isaac Beeckman a propos\u00e9 une version modifi\u00e9e de l’exp\u00e9rience, dans laquelle la lumi\u00e8re doit \u00eatre refl\u00e9t\u00e9e par un miroir. Descartes a critiqu\u00e9 des exp\u00e9riences telles que superflues, car des observations plus pr\u00e9cises avaient d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 effectu\u00e9es \u00e0 l’aide de l’\u00e9clipse solaire et avaient donn\u00e9 un r\u00e9sultat n\u00e9gatif. N\u00e9anmoins, l’Accademia del Cimento a r\u00e9p\u00e9t\u00e9 l’exp\u00e9rience. Les lampes \u00e9taient \u00e0 environ un mile de distance. Encore une fois, aucun d\u00e9lai n’a pu \u00eatre observ\u00e9. Cela semblait confirmer l’acceptation par Descartes d’une propagation infiniment rapide de la lumi\u00e8re. Galilei et Robert Hooke, en revanche, ont interpr\u00e9t\u00e9 le r\u00e9sultat par une mani\u00e8re que la vitesse de la lumi\u00e8re \u00e9tait si \u00e9lev\u00e9e qu’elle ne pouvait pas \u00eatre d\u00e9termin\u00e9e avec cette exp\u00e9rience. La premi\u00e8re preuve que la vitesse de la lumi\u00e8re est finalement succ\u00e9d\u00e9 \u00e0 l’astronome danois Ole R\u00f8mer en 1676. Il a trouv\u00e9 une dur\u00e9e fluctuante pour les signaux d’horloge de Jupiter (entr\u00e9e de la lune Jupiter dans l’ombre de Jupiters), tandis que la Terre de la Terre a \u00e9t\u00e9 servie comme r\u00e9f\u00e9rence de temps stable de ce c\u00f4t\u00e9. Il a indiqu\u00e9 un terme de la lumi\u00e8re de 22 min pour le diam\u00e8tre de la Terre. La bonne valeur est plus courte (16 min 38 s). \u00c9tant donn\u00e9 que R\u00f8mer ne connaissait pas le diam\u00e8tre du chemin de fer de la Terre, il n’a donn\u00e9 aucune valeur pour la vitesse de la lumi\u00e8re. Cela a fait Christiaan Huygens deux ans plus tard. Il a fait r\u00e9f\u00e9rence au temps de fonctionnement de R\u00f8mer au diam\u00e8tre du sol de la terre, qui est presque correctement sp\u00e9cifi\u00e9 par Cassini 1673, autour du soleil (voir parallaxe du soleil pour une am\u00e9lioration progressive de cette valeur) et a atteint une vitesse de lumi\u00e8re de 213 000 km \/ s {displayStyle 213 000; {texte {km \/ s}}} . James Bradley a trouv\u00e9 une m\u00e9thode astronomique diff\u00e9rente en 1728 en d\u00e9terminant les fluctuations des positions des \u00e9toiles par un angle de 20 \u2033 pendant la circulation de la terre autour du soleil (aberration). Ses mesures ont \u00e9t\u00e9 la tentative d’observer la parallaxe des \u00e9toiles fixes afin de d\u00e9terminer leurs distances. Bradley a calcul\u00e9 que la lumi\u00e8re dix 210 {DisplayStyle 10,210} -est plus rapide que la Terre en circulation (erreur de mesure de 2%). Sa mesure (publi\u00e9e en 1729) a \u00e9t\u00e9 consid\u00e9r\u00e9e comme une preuve suppl\u00e9mentaire d’une vitesse finie de la lumi\u00e8re et – en m\u00eame temps – pour le syst\u00e8me mondial copernicien. Cependant, il avait \u00e9galement besoin du rayon des chemins de fer de la Terre pour calculer la vitesse de la lumi\u00e8re. Armand Fizeau a atteint la premi\u00e8re d\u00e9termination terrestre de la vitesse de la lumi\u00e8re avec la m\u00e9thode d’\u00e9quipement. En 1849, il a envoy\u00e9 la lumi\u00e8re \u00e0 travers un \u00e9quipement rotatif sur un miroir \u00e0 plusieurs kilom\u00e8tres, ce qui l’a refl\u00e9t\u00e9 \u00e0 travers l’\u00e9quipement. Selon la rapidit\u00e9 avec laquelle l’\u00e9quipement tourne, la lumi\u00e8re r\u00e9fl\u00e9chie qui a r\u00e9ussi un \u00e9cart de l’\u00e9quipement sur le chemin est tomb\u00e9 sur une dent, ou il revenit \u00e0 nouveau un \u00e9cart, et ce n’est qu’alors que vous pouvez le voir. \u00c0 ce moment-l\u00e0, Fizeau a obtenu une valeur de 5%. L\u00e9on Foucault a encore am\u00e9lior\u00e9 la m\u00e9thode en 1850 en r\u00e9duisant consid\u00e9rablement les voies de mesure avec la m\u00e9thode du niveau rotatif. Il a pu d\u00e9montrer la d\u00e9pendance des mat\u00e9riaux de la vitesse de la lumi\u00e8re pour la premi\u00e8re fois: la lumi\u00e8re se propage plus lentement dans d’autres supports que dans l’air. Dans l’exp\u00e9rience, la lumi\u00e8re tombe sur un miroir rotatif. Il est distrait de cela \u00e0 un miroir solide, o\u00f9 il se refl\u00e8te sur le miroir rotatif. Cependant, puisque le miroir rotatif a maintenant tourn\u00e9, le faisceau lumineux ne se refl\u00e8te plus sur le point de d\u00e9part. En mesurant le d\u00e9calage du point, il est possible de d\u00e9terminer la vitesse de la lumi\u00e8re avec une fr\u00e9quence rotative connue et des distances connues. Foucault a publi\u00e9 son r\u00e9sultat en 1862 et a donn\u00e9 c {DisplayStyle C} pour 298 000 {DisplayStyle 298 000} Kilom\u00e8tre par seconde. Simon Newcomb et Albert A. Michelson ont de nouveau construit sur l’appareil de Foucault et am\u00e9lior\u00e9 le principe. En 1926, Michelson a \u00e9galement utilis\u00e9 des niveaux de prisme rotatifs en Californie pour envoyer un faisceau lumineux du mont Wilson au mont San Antonio. Il a gagn\u00e9 299 796 km \/ s {displayStyle 299,796; {texte {km \/ s}}} , seulement 12 ppm ci-dessus la valeur d’aujourd’hui. Valeurs historiques pour la vitesse de la lumi\u00e8re Ann\u00e9e Chercheur M\u00e9thode Vitesse l\u00e9g\u00e8re en km \/ s Vers 1620 Galil\u00e9e Temps de d\u00e9lai de l’observation des lanternes couvertes \u00e0 la main Au moins plusieurs km \/ s 1676\/78 Ole R\u00f8mer \/ Christiaan Huygens Temps de temps dans les observations astronomiques 213000{DisplayStyle 213 000} 1728 James Bradley Aberration 301000{DisplayStyle 301 000} Vers 1775 ? V\u00e9nus-transit 1769 285000{Displaystyle 285 000} 1834 Charles Wheatstone M\u00e9thode de miroir de virage pour mesurer la vitesse du courant \u00e9lectrique 402336{DisplayStyle 402,336} 1849 Armand Fizeau M\u00e9thode de vitesse 315000{DisplayStyle 315 000} 1851 L\u00e9on Foucault M\u00e9thode du miroir rotatif 298000\u00b1500{DisplayStyle 298 000 pm 500} 1865 James Clerk Maxwell \u00c9quations de Maxwell 310740{DisplayStyle 310,740} 1875 Cornes Alfred M\u00e9thode du miroir rotatif 299990{DisplayStyle 299 990} 1879 Albert A. Michelson M\u00e9thode du miroir rotatif 299910\u00b150{DisplayStyle 299,910pm 50} 1888 Heinrich Hertz Mesure de fr\u00e9quence et de longueur d’onde des ondes radio debout 300000{Displaystyle 300 000} 1926 Albert A. Michelson M\u00e9thode du miroir rotatif 299796\u00b14{DisplayStyle 299,796pm 4} 1947 Louis Essen, Albert Gordon-Smith R\u00e9sonateur de la cavit\u00e9 \u00e9lectrique 299792\u00b13{DisplayStyle 299,792pm 3} 1958 Keith Froome Interf\u00e9rom\u00e8tre 299792,5\u00b10,1{displayStyle 299,792 {,} 17h 0 {,} 1} 1973 Groupe de rocher au NBS Lasermesmung 299792,4574\u00b10,001{displayStyle 299,792 {,} 4574pm 0 {,} 001} 1983 D\u00e9finition du CGPM D\u00e9termination de la vitesse de la lumi\u00e8re en red\u00e9finissant le compteur 299792,458{DisplayStyle 299 792 {,} 458} \u00c0 la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re [ Modifier | Modifier le texte source ]] Premi\u00e8res consid\u00e9rations [ Modifier | Modifier le texte source ]] Avec ses \u00e9tudes sur l’aberration de 1728, James Bradley a non seulement d\u00e9termin\u00e9 la vitesse de la lumi\u00e8re lui-m\u00eame, mais a \u00e9galement fait des d\u00e9clarations sur sa coh\u00e9rence pour la premi\u00e8re fois. Il a observ\u00e9 que l’aberration pour toutes les \u00e9toiles dans le m\u00eame sens de vue varie de la m\u00eame mani\u00e8re au cours d’une ann\u00e9e. Il a conclu que la vitesse, avec la lumi\u00e8re \u00e9toil\u00e9e sur Terre, est la m\u00eame pour toutes les \u00e9toiles dans le cadre de sa pr\u00e9cision de mesure. Afin de clarifier si cette vitesse d’entr\u00e9e d\u00e9pend de la question de savoir si la Terre se d\u00e9place autour du soleil vers une \u00e9toile ou loin de lui, cette pr\u00e9cision de mesure n’\u00e9tait pas suffisante. Fran\u00e7ois Arago a examin\u00e9 cette question pour la premi\u00e8re fois en 1810 sur la base de la mesure de la lumi\u00e8re \u00e9toil\u00e9e dans un prisme de verre. Selon le corpusculaire de la lumi\u00e8re accept\u00e9e \u00e0 l’\u00e9poque, il s’attendait \u00e0 un changement dans cet angle d’une taille mesurable, car la vitesse de la lumi\u00e8re de l’\u00e9toile incidente devrait ajouter \u00e0 la vitesse de la terre autour du soleil. Cependant, il n’y a pas eu de fluctuations mesurables dans l’Ablenkwinkel au cours de l’ann\u00e9e. Arago a expliqu\u00e9 ce r\u00e9sultat avec la th\u00e8se que la lumi\u00e8re \u00e9toil\u00e9e \u00e9tait un m\u00e9lange de vitesses diff\u00e9rentes, tandis que l’\u0153il humain ne pouvait en percevoir que l’un de celui-ci. Du point de vue d’aujourd’hui, cependant, sa mesure peut \u00eatre consid\u00e9r\u00e9e comme la premi\u00e8re d\u00e9tection exp\u00e9rimentale de la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re. Avec l’av\u00e8nement de l’id\u00e9e de la lumi\u00e8re comme ph\u00e9nom\u00e8ne d’onde, Augustin Fresnel a formul\u00e9 une interpr\u00e9tation diff\u00e9rente de l’exp\u00e9rience d’Arago en 1818. Apr\u00e8s cela, l’analogie entre les ondes m\u00e9caniques et les ondes l\u00e9g\u00e8res a conclu l’id\u00e9e que les ondes l\u00e9g\u00e8res doivent se propager dans un certain m\u00e9dium, l’\u00e9ther So-appel\u00e9, tout comme les ondes d’eau se propagent dans l’eau. L’\u00e9ther doit repr\u00e9senter le point de r\u00e9f\u00e9rence pour un syst\u00e8me inertiel pr\u00e9f\u00e9r\u00e9. Fresnel a expliqu\u00e9 le r\u00e9sultat d’Arago en supposant que cet \u00e9ther \u00e9tait partiellement transport\u00e9 \u00e0 l’int\u00e9rieur de la mati\u00e8re, dans ce cas dans le prisme utilis\u00e9. Le degr\u00e9 de r\u00e9alisation d\u00e9pendrait de l’indice de r\u00e9fraction de mani\u00e8re appropri\u00e9e. Michelson-Morley-Experiment [ Modifier | Modifier le texte source ]] En 1887, Albert A. Michelson et Edward W. Morley ont effectu\u00e9 une exp\u00e9rience importante pour d\u00e9terminer la vitesse de la Terre par rapport \u00e0 cet \u00e9ther suppos\u00e9. \u00c0 cette fin, la d\u00e9pendance du terme l\u00e9ger a \u00e9t\u00e9 examin\u00e9e sur l’\u00e9tat de mouvement de l’\u00e9ther. Contrairement aux attentes, l’exp\u00e9rience a toujours abouti aux m\u00eames termes. Les r\u00e9p\u00e9titions de l’exp\u00e9rience sur diff\u00e9rentes phases de la circulation de la Terre autour du soleil ont toujours conduit au m\u00eame r\u00e9sultat. Une explication bas\u00e9e sur un \u00e9ther \u00e0 long terme \u00e0 travers la terre dans son ensemble a \u00e9chou\u00e9 car dans ce cas, il n’y avait pas d’aberration avec des \u00e9toiles perpendiculaires \u00e0 la direction du mouvement de la terre. Une solution avec l’\u00e9lectrodynamique Maxwell a \u00e9t\u00e9 obtenue avec la contraction de la longueur propos\u00e9e par George Fitzgerald et Hendrik Lorentz. Lorentz et Henri Poincar\u00e9 ont en outre d\u00e9velopp\u00e9 cette hypoth\u00e8se en introduisant la dilatation de temps, bien qu’elles combinent cela avec l’acceptation d’un \u00e9ther hypoth\u00e9tique, l’\u00e9tat de mouvement en principe n’a pas pu \u00eatre d\u00e9termin\u00e9. Cela signifie que dans cette th\u00e9orie, la vitesse de la lumi\u00e8re n’est “r\u00e9elle” que constante dans le syst\u00e8me \u00e9ther, quel que soit le mouvement de la source et de l’observateur. Entre autres choses, cela signifie que les \u00e9quations de Maxwell ne devraient prendre la forme habituelle que dans le syst\u00e8me \u00e9ther. Cependant, cela a \u00e9t\u00e9 pris en compte par Lorentz et Pinincar\u00e9 en introduisant la transformation de Lorentz de telle mani\u00e8re que la vitesse de lumi\u00e8re \u00abapparente\u00bb soit \u00e9galement constante dans tous les autres syst\u00e8mes de r\u00e9f\u00e9rence et donc Tout le monde peut pr\u00e9tendre se reposer dans l’\u00e9ther. (La transformation de Lorentz n’a donc \u00e9t\u00e9 interpr\u00e9t\u00e9e que comme une construction math\u00e9matique, tandis qu’Einstein (1905) devrait r\u00e9volutionner toutes les id\u00e9es pr\u00e9c\u00e9dentes sur la structure de l’espace-temps, voir ci-dessous). Poincar\u00e9 a toujours trouv\u00e9 en 1904 que la principale caract\u00e9ristique de la th\u00e9orie de Lorentzsche \u00e9tait l’in\u00e9vitable de la vitesse de la lumi\u00e8re pour tous les observateurs, quel que soit leur \u00e9tat de mouvement Par rapport \u00e0 l’\u00e9ther (Voir Lorentzsche Ether Theory). Cela signifie aussi pour Poincar\u00e9 exist\u00e9 L’\u00e9ther. Cependant, une th\u00e9orie dans laquelle le syst\u00e8me d’\u00e9ther a \u00e9t\u00e9 accept\u00e9e comme existant, mais est rest\u00e9e inconnue, \u00e9tait tr\u00e8s insatisfaisante. Einstein (1905) a trouv\u00e9 une solution au dilemme avec la th\u00e9orie sp\u00e9ciale de la relativit\u00e9 en abandonnant les id\u00e9es conventionnelles de l’espace et du temps et par le principe de la relativit\u00e9 et de la lumi\u00e8re de la lumi\u00e8re comme Points de d\u00e9part ou postulats remplac\u00e9 par sa th\u00e9orie. Cette solution \u00e9tait officiellement identique \u00e0 la th\u00e9orie de H. A. Lorentz, mais comme avec une th\u00e9orie des \u00e9missions, elle est sortie sans “\u00e9ther”. Il a pris la lumi\u00e8re de la lumi\u00e8re de l’\u00e9ther de Lorentzschen, comme il l’a expliqu\u00e9 en 1910, contrairement \u00e0 Poincar\u00e9 et Lorentz qu’il \u00e9tait du tout insens\u00e9 en raison de l’\u00e9galit\u00e9 des syst\u00e8mes de r\u00e9f\u00e9rence et donc de la ind\u00e9tectabilit\u00e9 de l’\u00e9ther. [9] En 1912, il a r\u00e9sum\u00e9 ceci: [dix] \u00abIl est g\u00e9n\u00e9ralement connu qu’une th\u00e9orie des lois de transformation de l’espace et du temps \u00e0 elle seule ne peut \u00eatre fond\u00e9e sur le principe de la relativit\u00e9. Comme on le sait, cela est li\u00e9 \u00e0 la relativit\u00e9 des termes \u00absimultan\u00e9it\u00e9\u00bb et \u00abforme du corps en mouvement\u00bb. Afin de combler cette lacune, j’ai introduit le principe de la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re qui a \u00e9t\u00e9 emprunt\u00e9 \u00e0 la th\u00e9orie de H.A. Lorentz sur l’\u00e9ther de lumi\u00e8re au repos, qui, comme le principe de la relativit\u00e9, contient une condition physique physique qui ne semblait \u00eatre justifi\u00e9e que par les exp\u00e9riences pertinentes (tentatives de Ficeau, Rowland, etc.). ” L’ind\u00e9pendance de la vitesse de la lumi\u00e8re par rapport \u00e0 la vitesse de l’observateur uniforme est donc la base de la th\u00e9orie de la relativit\u00e9. Cette th\u00e9orie est g\u00e9n\u00e9ralement accept\u00e9e depuis des d\u00e9cennies en raison de nombreuses exp\u00e9riences tr\u00e8s pr\u00e9cises. Ind\u00e9pendance de la source [ Modifier | Modifier le texte source ]] Avec l’exp\u00e9rience Michelson-Morley, la consistance de la vitesse de la lumi\u00e8re a \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e pour un observateur se d\u00e9pla\u00e7ant avec la source de lumi\u00e8re, mais en aucun cas pour pas avec la source, les observateurs ont d\u00e9plac\u00e9. Parce que l’exp\u00e9rience peut \u00e9galement \u00eatre expliqu\u00e9e avec une th\u00e9orie des \u00e9missions, selon laquelle la vitesse de la lumi\u00e8re dans tous les syst\u00e8mes de r\u00e9f\u00e9rence uniquement Constant par rapport \u00e0 la source d’\u00e9mission IS (c’est-\u00e0-dire dans les syst\u00e8mes o\u00f9 la source se d\u00e9place avec \u00b1 V, la lumi\u00e8re se propageait donc avec C \u00b1 V). Albert Einstein a \u00e9galement bri\u00e8vement consid\u00e9r\u00e9 une telle hypoth\u00e8se avant 1905, [11] Ce qui \u00e9tait \u00e9galement la raison pour laquelle il a toujours utilis\u00e9 l’exp\u00e9rience MM dans ses \u00e9crits comme confirmation du principe de la relativit\u00e9, mais pas comme confirmation de la lumi\u00e8re de la lumi\u00e8re. [douzi\u00e8me] Cependant, une th\u00e9orie des \u00e9missions n\u00e9cessiterait une reformulation compl\u00e8te de l’\u00e9lectrodynamique, tandis que le grand succ\u00e8s de la th\u00e9orie de Maxwell a parl\u00e9. La th\u00e9orie des \u00e9missions a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 r\u00e9fut\u00e9e exp\u00e9rimentalement. Par exemple, les chemins observ\u00e9s \u00e0 partir de la Terre devraient \u00eatre d\u00e9form\u00e9s par des \u00e9toiles doubles \u00e0 diff\u00e9rentes vitesses de lumi\u00e8re, mais cela n’a pas \u00e9t\u00e9 observ\u00e9. En cas de d\u00e9sint\u00e9gration avec approximativement c {DisplayStyle C} Moving \u03c0 0 -Les m\u00e9nages auraient d\u00fb reprendre la vitesse des M\u00e9sons et auraient d\u00fb se d\u00e9placer environ au double de la vitesse de la lumi\u00e8re, mais ce n’\u00e9tait pas le cas. L’effet SAGNAC d\u00e9montre \u00e9galement l’ind\u00e9pendance de la vitesse de la lumi\u00e8re par rapport au mouvement de la source. Toutes ces exp\u00e9riences trouvent leur explication dans la th\u00e9orie sp\u00e9ciale de la relativit\u00e9, qui entre autres. a dit: La lumi\u00e8re ne d\u00e9passe pas la lumi\u00e8re. Vitesse variable de lumi\u00e8re et coh\u00e9rence dans l’univers observable [ Modifier | Modifier le texte source ]] Bien que la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re ait \u00e9t\u00e9 prouv\u00e9e exp\u00e9rimentalement, il n’y a pas d’explication suffisamment convaincante pour votre coh\u00e9rence et sa valeur particuli\u00e8re. La gravit\u00e9 quantique de boucle, par exemple, dicte que la vitesse d’un photon ne peut pas \u00eatre d\u00e9finie comme une constante, mais que sa valeur d\u00e9pend de la fr\u00e9quence des photons. [13] En fait, il y a des th\u00e9ories selon lesquelles la vitesse de la lumi\u00e8re change avec l’\u00e2ge de l’univers et qu’elle n’\u00e9tait pas constante dans l’univers pr\u00e9coce. Albrecht et Magueijo [14] Montrez que les \u00e9quations d’\u00e9volution cosmologique, ainsi qu’une vitesse variable de la lumi\u00e8re, peuvent r\u00e9soudre les probl\u00e8mes de l’horizon, de la plan\u00e9it\u00e9 et de la constante cosmologique. L’acceptation d’un espace-temps avec des dimensions de trois pi\u00e8ces et deux fois fournit une explication naturelle de la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re dans l’univers observable et \u00e9galement du fait que la vitesse de la lumi\u00e8re variait dans l’univers pr\u00e9coce. [15] Signification pour l’espace et le temps [ Modifier | Modifier le texte source ]] Avec le d\u00e9veloppement de la th\u00e9orie de la relativit\u00e9 au d\u00e9but du 20e si\u00e8cle, il est devenu clair que c {DisplayStyle C} D’une importance fondamentale pour la structure de l’espace et du temps, bien au-del\u00e0 des ph\u00e9nom\u00e8nes \u00e9lectrodynamiques. La gravitation doit \u00e9galement se propager \u00e0 cette vitesse. Apr\u00e8s la d\u00e9tection directe des ondes gravitationnelles, cela pourrait \u00eatre confirm\u00e9 avec une haute pr\u00e9cision en 2017. Une analyse de l’\u00e9v\u00e9nement GW170817 a montr\u00e9 que la d\u00e9viation relative au maximum entre – 3 C’est – 15 et + 7 C’est – 16 peut mentir. [16] Travail original: Ole R\u00f8mer: D\u00e9monstration touchant le mouvement de la lumi\u00e8re . Dans: Journal des S\u00e7avans . Je suis de Boccard, Paris 1676 ( Pdf – Engl. Version ( M\u00e9mento \u00e0 partir du 21 d\u00e9cembre 2008 dans Archives Internet )). Edmund Halley: Monsieur Cassini, ses tables nouvelles et exactes pour les \u00e9clipses du premier satellite de Jupiter, r\u00e9duit au Julian Stile et Meridian de Londres . Dans: Transactions philosophiques . Groupe 18 . Londres 1694, S. 237\u2013256 ( Archive.org ). H. L. Fizeau: Sur une exp\u00e9rience relative \u00e0 la vitesse de propagation de la lumi\u00e8re . Dans: Comptes rendus de l\u2019Acad\u00e9mie des sciences . Groupe 29 . Gauthier-Villars, Paris 1849 ( Acad\u00e9mie-sciences.fr [PDF]). J. L. Foucault: D\u00e9termination exp\u00e9rimentale de la vitesse de la lumi\u00e8re, parallaxe du Soleil . Dans: Comptes Rendus . Groupe 55 . Gauthier-Villars, 1862, ISSN\u00a0 0001-4036 . A. A. Michelson: D\u00e9termination exp\u00e9rimentale de la vitesse de la lumi\u00e8re . Dans: Actes de l’American Association for the Advancement of Science . Philadelphie 1878 ( Projet Gutenberg ). Simon Newcomb: La vitesse de la lumi\u00e8re . Dans: Nature . Londres 13. mai 1886. Joseph Perrotin: Sur la vitesse de la lumi\u00e8re . Dans: Comptes Rendus . Non. 131 . Gauthier-Villars, 1900, ISSN\u00a0 0001-4036 . A. A. Michelson, F. G. Pease, F. Pearson: Mesure de la vitesse de la lumi\u00e8re dans un vide partiel . Dans: Journal astrophysique . Groupe 81 . Univ. Press, 1935, ISSN 0004-637x , S. 100\u2013101 . Sinon: J. H. Sanders (\u00e9d. Et introduction): La vitesse de la lumi\u00e8re. Introduction et textes originaux. S\u00e9rie WTB Scientific Paperbacks, Volume 57, Akademie Verlag \/ Vieweg 1970. Subhash Kak: La vitesse de la cosmologie l\u00e9g\u00e8re et puranique. Annals Bhandarkar Oriental Research Institute 80, 1999, S. 113\u2013123, Arxiv: physique \/ 9804020 . S. D\u00e9barbat, C. Wilson: Les satellites galil\u00e9ens de Jupiter de Galileo \u00e0 Cassini, R\u00f6mer et Bradley . Dans: Ren\u00e9 Taton (hrsg.): Astronomie plan\u00e9taire de la Renaissance \u00e0 la mont\u00e9e de l’astrophysique. Partie A: Tycho Brahe \u00e0 Newton . Univ. Press, Cambridge 1989, ISBN 0-521-24254-1, S. 144\u2013157 . G. Sarton: D\u00e9couverte de l’aberration de la lumi\u00e8re (avec fac-simil\u00e9 de la lettre de Bradley \u00e0 Halley 1729) . Dans: Isis . Groupe 16 , Non. 2 . Univ. Press, novembre 1931, ISSN 0021-1753 , S. 233-248 . George F.R. Ellis, Jean-Philippe Uzan: \u00abC\u00bb est la vitesse de la lumi\u00e8re, n’est-ce pas? Dans: Am J Phys. 73, 2005, S. 240\u2013247, doi: 10.1119 \/ 1.1819929 , Arxiv: GR-QC \/ 0305099 . J\u00fcrgen Fast: Unit\u00e9s et constantes fondamentales en physique et chimie, sous-volume b . Dans: B. Kramer, Werner Martinssen (\u00e9d.): Donn\u00e9es num\u00e9riques et relations fonctionnelles dans la science et la technologie . Groupe d’abord . Springer, Berlin 1992, ISBN 3-540-54258-2. John H. Spence: LightSpeed: L’\u00e9ther fantomatique et la course pour mesurer la vitesse de la lumi\u00e8re. Oxford UP 2019. \u2191 R\u00e9solution 1 du 17e CGPM. D\u00e9finition du compteur. Dans: Bipm.org. Bureau International des Poids et Mesures, 1983, R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 le 15 avril 2021 (Anglais). \u201eLe compteur est la longueur du chemin parcouru par la lumi\u00e8re sous vide pendant un intervalle de temps de 1\/299792458{DisplayStyle 1 \/ 299,792 458} d’une seconde. ” \u2191 R\u00e9solution 1 du 26e CGPM. Sur la r\u00e9vision du syst\u00e8me international des unit\u00e9s (SI). Bureau International des Poids et Mesures, 2018, consult\u00e9 le 21 d\u00e9cembre 2022 (Anglais). \u201eLe SI est le syst\u00e8me d’unit\u00e9s dans lesquelles […] la vitesse de la lumi\u00e8re dans le vide c est 299 792 458 “m \/ s” […]. ” \u2191 Les relations pour la vitesse de phase ou la vitesse de groupe deviennent math\u00e9matiquement simples si vous au lieu de la fr\u00e9quence F {displaystyle f} La fr\u00e9quence circulaire Oh = 2 Pi F {displayStyle Omega = 2pi F} Et au lieu de la longueur d’onde l {displaystyle lambda} La taille r\u00e9ciproque k : = 2 Pi l {Displaystyle k: = 2pi lambda} Utilis\u00e9, le “num\u00e9ro d’onde” si appel\u00e9: alors la vitesse de phase est par le quotient vP= Oh k {displayStyle v_ {p} = omega k} donn\u00e9, la vitesse de groupe vG= dOh \/dk {DisplaySyllllle v_ {g} = mathrm {d} omga \/ mathrm {d} k En d\u00e9rivant la fonction Oh ( k ) . {displayStyle Omega (k).} \u2191 D. jeunesse U. un .: Des photons structur\u00e9s spatialement qui voyagent dans un espace libre plus lent que la vitesse de la lumi\u00e8re. Sur: Sciencemag.org. 22 janvier 2015. doi: 10.1126 \/ science.aaa3035 . \u2191 Light Quantum Dawds dans le vide. Sur: Pro-physik.de. 22 janvier 2015. \u2191 \u00c0 proprement parler, il est suppos\u00e9 que les processus \u00e0 un seul \u00e9chauffement se sont d\u00e9j\u00e0 calm\u00e9s et que vous avez affaire \u00e0 des conditions d’hospitalisation. Fait int\u00e9ressant, en tout cas, les formules analogues en mati\u00e8re s’appliquent au potentiel soi-disant retard\u00e9 et au potentiel vectoriel comme dans le vide, i. c’est-\u00e0-dire qu’il y a aussi le retard avec la vitesse d’\u00e9clairage \u00e0 vide: les effets de polarisation de la mati\u00e8re ne sont que dans les deuxi\u00e8mes dates de la charge effective et de la densit\u00e9 d’\u00e9lectricit\u00e9 \u00e0 retard \u03c1E( = div( D\u2212P) ) {DisplayStyle rhho _ {e} ,, (= mathrm {div} ,, (mathbf {500-p}))} et jB( = rot( H+M) ) . {DisplayStyty matbf {j} _} ,, ((nihrm {rouge ,, rouge ,,} (mo}))).}) Cela correspond pr\u00e9cis\u00e9ment au texte suivant. \u2191 Lumi\u00e8re lente dans les r\u00e9sonances photoniques. \u2191 R\u00e9duction de la vitesse lumineuse \u00e0 17 m\u00e8tres par seconde dans un gaz atomique ultracold. Article dans la nature pour ralentir la lumi\u00e8re dans un Bose-Einstein-Condensate. \u2191 A. Einstein: Sur le d\u00e9veloppement de nos points de vue sur la nature et la constitution des radiations . Dans: Magazine physique . Groupe dix , Non. 22 , 1909, S. 817\u2013825 ( Wikisource (Englisch) , PDF (allemand) ). \u2191 A. Einstein: Relativit\u00e9 et gravit\u00e9. Remplacement \u00e0 une remarque de M. Abraham . Dans: Annales de physique . Groupe 38 , 1912, S. 1059\u20131064 , est ce que je: 10.1002 \/ etp.19123431014 ( En ligne [PDF; 506 kb ; consult\u00e9 le 17 ao\u00fbt 2021]). \u2191 J. D. Norton: Investigations d’Einstein sur l’\u00e9lectrodynamique covariante galil\u00e9enne avant 1905 . Dans: Archive pour l’histoire des sciences exactes . Groupe 59 , 2004, S. 45\u2013105 , est ce que je: 10.1007 \/ S00407-004-0085-6 ( Pitt.edu ). \u2191 J. Stachel: Einstein et Michelson: le contexte de la d\u00e9couverte et du contexte de la justification . Dans: Nouvelles astronomiques . Groupe 303 , Non. d’abord , 1982, S. 47\u201353 , est ce que je: 10.1002 \/ ASNA.2103030101010 . \u2191 G. Amelino-Camelia, John Ellis, N. E. Mavromatos, D. V. Nanopoulos, Subir Sarkar: Sensibilit\u00e9 potentielle des observations de bourses \u00e0 rayons gamma \u00e0 la dispersion des vagues sous vide . Dans: Nature . Groupe 393 , 1998, S. 763\u2013765 (Anglais, En ligne [PDF; 247 kb ; Consult\u00e9 le 29 septembre 2018]). \u2191 Andreas Albrecht, Joao Magueijo: Une vitesse de lumi\u00e8re variant dans le temps comme solution aux puzzles cosmologiques . Dans: Revue physique D . Groupe 59 , Non. 4 , 1999, doi: 10.1103 \/ PhysRevd.59.043516 . \u2191 Christoph K\u00f6hn: La longueur de Planck et la constance de la vitesse de la lumi\u00e8re dans un espace-temps en cinq dimensions param\u00e9tr\u00e9 avec deux coordonn\u00e9es de temps . Dans: J. High Energy Phys., Grav et Cosm. Groupe 3 , Non. 4 , 2017, S. 635\u2013650 , Arxiv: 1612.01832 [ABS] (Anglais). \u2191 LIGO, VIRGO, Fermi Gamma Ray Burst Monitor, int\u00e9grale: Ondes gravitationnelles et rayons gamma \u00e0 partir d’une fusion d’\u00e9toiles \u00e0 neutrons binaires: GW170817 et GRB 170817A arXiv: 1710.05834 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/all2fr\/wiki1\/vitesse-legere-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Vitesse l\u00e9g\u00e8re – wikipedia"}}]}]