[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/kings-theatre-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/kings-theatre-wikipedia\/","headline":"Kings Theatre – Wikipedia wiki","name":"Kings Theatre – Wikipedia wiki","description":"Compagnie de th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9enne Kings Theatre Productions (aussi connu sous le nom Acad\u00e9mie des arts de la performance d’Amakhosi )","datePublished":"2019-07-29","dateModified":"2019-07-29","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/kings-theatre-wikipedia\/","wordCount":4180,"articleBody":"Compagnie de th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9enne Kings Theatre Productions (aussi connu sous le nom Acad\u00e9mie des arts de la performance d’Amakhosi ) est une compagnie de th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9enne bas\u00e9e au centre culturel d’Amakhosi Township Square dans le canton de Makokoba, Bulawayo. L’entreprise a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e sous son nom actuel en 1981 par Cont Mhlanga, [d’abord] et est depuis devenu une institution culturelle influente au Zimbabwe, jouant un r\u00f4le non seulement dans la stimulation de la sc\u00e8ne des arts de la performance, mais aussi dans l’examen des questions critiques en politique, en sant\u00e9, en droits des femmes et en d\u00e9veloppement avec les communaut\u00e9s urbaines et rurales gr\u00e2ce \u00e0 une m\u00e9thode d’engagement actif du public actif . [2] Origines et d\u00e9veloppement [ modifier ]] Les origines du groupe remontent \u00e0 1979 lorsque Mhlanga et ses coll\u00e8gues de Dragons Karate Club se sont pr\u00e9sent\u00e9s un jour pour leur s\u00e9ance d’entra\u00eenement au Stanley Hall de Makokoba et ont trouv\u00e9 la salle r\u00e9serv\u00e9e pour un atelier de th\u00e9\u00e2tre. Les membres du club de karat\u00e9 ont assist\u00e9 \u00e0 l’atelier par curiosit\u00e9, et c’est au cours de cette exp\u00e9rience que leur enthousiasme pour le th\u00e9\u00e2tre a d’abord \u00e9t\u00e9 enflamm\u00e9. [d’abord] Cont Mhlanga a commenc\u00e9 \u00e0 assister \u00e0 des ateliers de th\u00e9\u00e2tre \u00e0 Bulawayo et Harare en 1980 et 1981 (dans le Zimbabwe nouvellement ind\u00e9pendant), d’o\u00f9 il reviendrait pour partager des comp\u00e9tences nouvellement acquises avec son club de karat\u00e9. En 1981, le Dragons Karate Club s’est officiellement renomm\u00e9 “Amakhosi Productions”. [d’abord] Les artistes sont devenus tr\u00e8s actifs dans le canton de Makokoba et au-del\u00e0. En 1990, le groupe avait effectu\u00e9 295 fois sur sc\u00e8ne et est pass\u00e9 \u00e0 110 membres actifs. [3] Initialement, Cont Mhlanga \u00e9tait le seul \u00e9crivain, r\u00e9alisateur et producteur de toutes les pi\u00e8ces. Cependant, plus tard, d’autres dramaturges d’Amakhosi, tels que le fr\u00e8re de CONS, Styx Mhlanga, devaient contribuer au vaste r\u00e9pertoire de la soci\u00e9t\u00e9, tandis que la soci\u00e9t\u00e9 s’est \u00e9tendue et diversifi\u00e9e. [4] Contexte historique et culturel [ modifier ]] Amakhosi a \u00e9t\u00e9 fond\u00e9e dans un contexte historique et culturel unique. Avant la r\u00e9alisation de l’ind\u00e9pendance politique par le Zimbabwe en 1980, la vie culturelle et sociale rhod\u00e9sienne a \u00e9t\u00e9 polaris\u00e9e. [5] Le conf\u00e9rencier drame principal de l’Universit\u00e9 du Zimbabwe, Owen Seda, note que “en tant que soci\u00e9t\u00e9 de conqu\u00eate, la Rhod\u00e9sie coloniale avait un besoin urgent de l\u00e9gitimit\u00e9 dans ses valeurs et son existence en tant que soci\u00e9t\u00e9 de colons dominateurs … \u00e0 travers le th\u00e9\u00e2tre et d’autres arts, la civilisation occidentale \u00e9tait contrast\u00e9e avec la vie des peuples autochtones consid\u00e9r\u00e9s comme non civilis\u00e9s et sans culture. ” [5] Il \u00e9tait in\u00e9vitable qu’apr\u00e8s l’ind\u00e9pendance, cette s\u00e9gr\u00e9gation du th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9en se poursuivrait. En effet, pendant la premi\u00e8re d\u00e9cennie apr\u00e8s l’ind\u00e9pendance du Zimbabwe en 1980, l’Organisation nationale du th\u00e9\u00e2tre (un \u00e9tablissement colonial) a poursuivi son soutien aux compagnies de th\u00e9\u00e2tre amateur blanches exclusives. Dans ce contexte, Amakhosi est devenu un volet du th\u00e9\u00e2tre nationaliste noir r\u00e9volutionnaire, critique non seulement du colonialisme, mais aussi du leadership post-ind\u00e9pendance qu’elle a caract\u00e9ris\u00e9 comme hypocrite et corrompu. [6] La Zimbabwe Association des th\u00e9\u00e2tres communautaires (ZATC), s’est \u00e9tablie six ans apr\u00e8s l’ind\u00e9pendance, a promu le th\u00e9\u00e2tre du canton autochtone, dans le but d’encourager l’\u00e9galit\u00e9 culturelle. Cependant, les traditions du th\u00e9\u00e2tre en noir et blanc sont rest\u00e9es conflictuelles tout au long des ann\u00e9es 1980. Au d\u00e9but des ann\u00e9es 1990, les tentatives de divers militants culturels (telles que cont mhlanga) pour briser les divisions raciales dans les arts ont abouti \u00e0 un “processus de transculturalisme et d’hybridit\u00e9 dans le th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9en post-ind\u00e9pendance; conduisant \u00e0 la production de jeux qui r\u00e9sonnent avec avec les incr\u00e9dits zimbabw\u00e9ens; conduisant \u00e0 la production de jeux qui r\u00e9sonnent avec avec des ind\u00e9pendance zimbabw\u00e9enne; conduisant \u00e0 la production de jeux qui r\u00e9sonnent avec avec des ind\u00e9pendance Formes traditionnelles de th\u00e9\u00e2tre africain impr\u00e9gn\u00e9es d’\u00e9l\u00e9ments de drame occidental\u2026 (produisant) des \u0153uvres th\u00e9\u00e2trales de m\u00e9rite culturel et artistique exceptionnel. ” [7] Dans le jeu Atelier n\u00e9gatif (Voir ci-dessous) En 1986, Amakhosi a montr\u00e9 sa volont\u00e9 de collaborer au d\u00e9but de la division (en l’occurrence Chris Hurst, un acteur zimbabw\u00e9en blanc de la tradition exclusive du th\u00e9\u00e2tre blanc.) [8] Production [ modifier ]] Cont Mhlanga a \u00e9t\u00e9 d\u00e9crit par l’expert en th\u00e9\u00e2tre Jane Plastow comme “un produit de la vie du canton urbain”, contrairement \u00e0 de nombreux autres dramaturges africains qui sont originaires des classes d’\u00e9lite. [9] Les premiers jeux de Mhlanga – Enfants enfants (1983), Livre de mensonges (1983) et Guerriers en diamant (1983) – ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9s en anglais, avec peu de dialogue et une utilisation approfondie du karat\u00e9. Leurs th\u00e8mes \u00e9taient politiques – sur la colonisation, le vol du patrimoine culturel africain et sa richesse naturelle. [d’abord] [9] Je vais errer avec toi (1984) a \u00e9t\u00e9 la premi\u00e8re pi\u00e8ce \u00e0 Isindebele, la langue locale de Matabeleland, et a donc \u00e9t\u00e9 une perc\u00e9e pour Amakhosi. Cela impliquait des danseurs \u00e2g\u00e9s de la Bulawayo Traditional Dancers ‘Association, dont la participation \u00e0 la performance, selon le professeur Caleb Dube, “a l\u00e9gitim\u00e9 l’existence d’Amakhosi”. [dix] Le groupe de th\u00e9\u00e2tre avait un programme, comme le raconte Mhlanga: “L’intention \u00e9tait de faire conna\u00eetre le groupe \u00e0 Makokoba, en faire une institution locale … nous voulions que nous voulions \u00eatre importants pour un public local, et ils devraient \u00eatre en mesure de reconna\u00eetre eux-m\u00eames dans ce que nous faisions. Donc, les lignes dans les pi\u00e8ces \u00e9taient dans une large mesure en fonction de ce que j’ai entendu des gens dire et de la fa\u00e7on dont ils parlaient, sur le lieu de travail, dans les bars et ainsi de suite. ” [11] Ayant captur\u00e9 l’attention et l’admiration des gens de Makokoba avec Voici l’homme En 1985, qui a remport\u00e9 cinq prix nationaux de l’organisation du th\u00e9\u00e2tre, le groupe de th\u00e9\u00e2tre s’est \u00e9tendu au-del\u00e0 du canton. [dix] \u00c0 partir de 1985, les acteurs ont commenc\u00e9 \u00e0 engager leur public dans le \u00abth\u00e9\u00e2tre de discussion\u00bb, entrant souvent dans des sujets sociaux, politiques et culturels controvers\u00e9s. [douzi\u00e8me] Une telle performance de “Th\u00e9\u00e2tre de discussion” – Atelier n\u00e9gatif (1986) – que le groupe avait voulu faire une tourn\u00e9e au Botswana et en Zambie, a \u00e9t\u00e9 interrompu car il n’a pas re\u00e7u “la b\u00e9n\u00e9diction du gouvernement”, [13] En raison de sa repr\u00e9sentation tr\u00e8s critique des dirigeants du pays comme hypocrite et corrompue. L’interdiction controvers\u00e9e de la pi\u00e8ce et les implications que cela a eues pour la libert\u00e9 d’expression des autres artistes a provoqu\u00e9 un profond sentiment de malaise dans la communaut\u00e9 artistique. Le syndicat des \u00e9crivains a vu l’\u00e9pisode comme un d\u00e9fi fondamental de la libert\u00e9 d’expression, [13] Et c’\u00e9tait pour signifier juste le d\u00e9but des nombreux probl\u00e8mes d’Amakhosi avec les autorit\u00e9s oppressives. [14] Esprit citoyen , produit en 1986, a exhort\u00e9 une revitalisation des cultures traditionnelles zimbabw\u00e9ennes, faisant valoir qu’elles devraient \u00eatre la base du d\u00e9veloppement futur. Cry-isilio (1987\/88) ont trait\u00e9 le syst\u00e8me capitaliste et sa r\u00e9pression perp\u00e9tuelle des travailleurs, ainsi que le harc\u00e8lement sexuel des femmes d\u00e9favoris\u00e9es. [15] “Stitsha” (1990) a trait\u00e9 de nombreux probl\u00e8mes graves de criminalit\u00e9, de ch\u00f4mage, de corruption et de suppression des femmes. La pi\u00e8ce a \u00e9t\u00e9 disput\u00e9e lors d’une tourn\u00e9e europ\u00e9enne en 1990. [16] En 1990, la soci\u00e9t\u00e9 s’est \u00e9tendue \u00e0 la radio avec Selon le (une s\u00e9rie populaire sur la planification familiale) et la t\u00e9l\u00e9vision avec Marrie-le , un jeu d’\u00e9cran sur le mariage et le divorce (13 \u00e9pisodes). [17] De nombreuses pi\u00e8ces et tourn\u00e9es europ\u00e9ennes ont suivi dans les ann\u00e9es 1990. Plusieurs danseurs et acteurs d’Amakhosi, tels que Alois Moyo, ont augment\u00e9 sur la sc\u00e8ne du th\u00e9\u00e2tre zimbabw\u00e9en, ou se sont dirig\u00e9s \u00e0 l’\u00e9tranger pour faire avancer leur carri\u00e8re en Afrique du Sud et en Europe. Les bouleversements politiques et \u00e9conomiques significatifs du Zimbabwe depuis 1999 ont cr\u00e9\u00e9 de s\u00e9rieux revers pour le th\u00e9\u00e2tre, \u00e0 la fois financi\u00e8rement, et dans l’\u00e9touffement de la libert\u00e9 d’expression. Cont Mhlanga a remport\u00e9 plusieurs prix pour son travail, notamment le prix Freedom to Create en 2008, pour “pratiquer le th\u00e9\u00e2tre de protestation et les id\u00e9ologies de l’\u00c9tat au Zimbabwe depuis plus de 25 ans. Il est la cible de la surveillance de l’\u00c9tat, de l’intimidation, du harc\u00e8lement, de l’arrestation et retenue.” [4] [18] Projets de changement social et de d\u00e9veloppement [ modifier ]] Le th\u00e9\u00e2tre Amakhosi a lanc\u00e9 plusieurs projets et collaborations avec des organisations africaines et europ\u00e9ennes, et a re\u00e7u un soutien de financement vital pour ses activit\u00e9s, principalement de Scandinavie, par le biais d’ONG telles que Norad, Danida et Hivos. [19] Son lieu principal, le Centre culturel de Kings Township Square , avec ses bureaux, sa biblioth\u00e8que, ses salles de pratique, son bar et sa sc\u00e8ne en plein air, est un centre culturel accueillant des spectacles, des concerts, des ateliers de danse et de th\u00e9\u00e2tre. [4] Pendant une grande partie de la d\u00e9cennie depuis l’an 2000, Amakhosi Productions a manqu\u00e9 de financement et de revenus suffisants pour soutenir le niveau d’activit\u00e9 qu’il a auparavant pu soutenir. Cependant, dans un nouveau lieu alternatif en 2011, dans le centre-ville de Bulawayo – le Kings Elite 400 (d\u00e9j\u00e0 d\u00e9crit comme “Premiere Arts and Culture Hub du Zimbabwe”) – La soci\u00e9t\u00e9 a tent\u00e9 de relancer ses activit\u00e9s et d’organiser un \u00e9ventail diversifi\u00e9 d’\u00e9v\u00e9nements de performance. [20] Voix du Zimbabwe [ modifier ]] Des voix du Zimbabwe ont commenc\u00e9 par une d\u00e9claration de cont Mhlanga du th\u00e9\u00e2tre Amakhosi en 2007, annon\u00e7ant le lancement d’un mouvement pour “soutenir les artistes cr\u00e9atifs de toutes les disciplines pour produire, interpr\u00e9ter, distribuer et amplifier les voix de la majorit\u00e9 qui vivent dans des moments difficiles tandis que Exposer la supercherie et l’hypocrisie de la minorit\u00e9 qui vivent dans les bons moments, alors qu’ils pr\u00e9tendent agir au nom du peuple et du pays, en prenant des \u0153uvres aussi critiques et parfois protester par tous les moyens disponibles et possibles. ” [21] [ modifier ]] Cr\u00e9\u00e9e en 2001, ce programme utilise une m\u00e9thodologie particuli\u00e8re cr\u00e9\u00e9e par le th\u00e9\u00e2tre Amakhosi pour \u00absoutenir et impliquer les membres de la communaut\u00e9 rurale dans la lutte contre le VIH \/ sida\u00bb gr\u00e2ce \u00e0 l’utilisation efficace du drame. [22] Il int\u00e8gre des m\u00e9dias folkloriques comme la chanson, la danse et le r\u00e9cit avec une participation spontan\u00e9e, pour communiquer la question de la pand\u00e9mie du VIH \/ sida. [23] (Dans les interviews, Mhlanga souligne que le th\u00e9\u00e2tre fait partie de l’activit\u00e9 quotidienne des gens, et dans le contexte africain, il doit diverger dans un certain sens de la notion occidentale de th\u00e9\u00e2tre.) [24] Le programme initial de formation aux comp\u00e9tences en th\u00e9\u00e2tre TCA a dur\u00e9 1 an et a enseign\u00e9 la m\u00e9thodologie TCA \u00e0 7 districts de la province de Matabeleland, ce qui a entra\u00een\u00e9 des pi\u00e8ces jou\u00e9es \u00e0 80 000 personnes. Les organisateurs ont d\u00e9clar\u00e9 que “le th\u00e9\u00e2tre communautaire peut faire passer le message aux gens, au lieu d’amener les gens au th\u00e9\u00e2tre”. La m\u00e9thodologie de d\u00e9veloppement du TCA d’Amakhosi continue d’\u00eatre mise en \u0153uvre par Amakhosi au Zimbabwe et d’autres groupes de d\u00e9veloppement ailleurs en Afrique. [25] Le th\u00e9\u00e2tre a re\u00e7u un financement substantiel de la Canadian International Development Agency (CIDA) pour “s’attaquer au VIH \/ sida et promouvoir l’\u00e9galit\u00e9 des sexes \u00e0 travers la musique et le th\u00e9\u00e2tre”. [26] Drame de l’\u00e9cole secondaire [ modifier ]] Pendant ce temps, Styx Mhlanga continue de mettre en \u0153uvre un nouveau projet \u00e0 Matabeleland, enseignant les textes de la litt\u00e9rature des \u00e9coles secondaires aux \u00e9tudiants en travaillant avec eux sur des adaptations th\u00e9\u00e2trales. [4] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ un b c d Dube, C. (1992). “Kings Thults: No-Balawo”. TDR , 36 (2), p. 44 ^ Chinyowa, K. C. 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