[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/arbatel-magic-old-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/arbatel-magic-old-wikipedia\/","headline":"Arbatel Magic Old – Wikipedia wiki","name":"Arbatel Magic Old – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Grimoire de la magie c\u00e9r\u00e9monielle publi\u00e9e en 1575 after-content-x4 Le Arbatel de magie vieux (Anglais: Arbatel: Sur la magie","datePublished":"2019-05-24","dateModified":"2019-05-24","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/5\/50\/Arbatel.jpg\/220px-Arbatel.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/5\/50\/Arbatel.jpg\/220px-Arbatel.jpg","height":"367","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/arbatel-magic-old-wikipedia\/","wordCount":2998,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Grimoire de la magie c\u00e9r\u00e9monielle publi\u00e9e en 1575 (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le Arbatel de magie vieux (Anglais: Arbatel: Sur la magie des anciens ) est un grimoire latin de la magie c\u00e9r\u00e9monielle de la Renaissance publi\u00e9 en 1575 en Suisse. [d’abord] [2] A. E. Waite suppose que le titre provient de l’h\u00e9breu: Quatre (ou Arbotal ) En tant que nom d’un ange, l’auteur aurait pr\u00e9tendu avoir appris la magie. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Adolf Jacoby croyait que le nom \u00e9tait une r\u00e9f\u00e9rence au t\u00e9tragrammaton, via l’h\u00e9breu Arbothim (quadruple) et Al (ou Dieu). [d’abord] Peterson, mentionnant les possibilit\u00e9s ci-dessus, sugg\u00e8re \u00e9galement que le titre pourrait \u00eatre le pseudonyme de l’auteur. [2] Le Arbatel est not\u00e9 pour \u00eatre simple dans son \u00e9criture, positif dans son contenu et inhabituellement honn\u00eate concernant ses origines. Alors qu’un certain nombre d’\u0153uvres occultes pr\u00e9tendent provenir de p\u00e9riodes ant\u00e9rieures et d’autres r\u00e9gions que lorsqu’elles ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9ellement publi\u00e9es, des preuves textuelles d\u00e9montrent que le livre doit avoir \u00e9t\u00e9 \u00e9crit entre 1536 et 1583, qui englobe la date revendiqu\u00e9e de 1575. Le montage final de la Le livre a probablement \u00e9t\u00e9 r\u00e9alis\u00e9 par Theodor Zwinger, et a \u00e9t\u00e9 presque d\u00e9finitivement publi\u00e9 par Pietro Perna, laissant peu de doute \u00e0 l’origine suisse revendiqu\u00e9e du livre. L’auteur reste inconnu, mais Peterson pense qu’un Jacques Gohory (1520-1576) est la possibilit\u00e9 la plus probable. Gohory, comme Zwinger et Perna, \u00e9tait paracelsian. [2] Certains manuscrits allemands produits peu de temps apr\u00e8s sa publication attribuent le travail \u00e0 Paracelsus, mais sans preuve. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le Arbatel se concentre principalement sur la relation entre l’humanit\u00e9, les hi\u00e9rarchies c\u00e9lestes et la relation positive entre les deux. Les esprits olympiens qui y figuraient sont enti\u00e8rement originaux. A. E. Waite, assez clair de la nature chr\u00e9tienne de l’\u0153uvre (si elle n’est pas satisfaite de ses id\u00e9es de magie pratique), \u00e9crit que le livre est d\u00e9pourvu de magie noire et sans aucun lien avec le Plus grand ou Cl\u00e9s moindres de Salomon . Contrairement aux autres grimoires, le Arbatel exhorte le Magus \u00e0 rester actif dans leur communaut\u00e9 (au lieu de s’isoler), favorisant la gentillesse, la charit\u00e9 et l’honn\u00eatet\u00e9 sur des rituels \u00e9loign\u00e9s et obscurs. [2] La Bible est la source le plus souvent cit\u00e9e et mentionn\u00e9e tout au long des travaux (en effet, l’auteur semble avoir presque m\u00e9moris\u00e9 de grandes parties de celui-ci, ce qui fait que des paraphrases diff\u00e8rent de la Vulgate). Le Arbatel ne peut pas \u00eatre compris s’il est s\u00e9par\u00e9 de la philosophie de Paracelsus, qui semble avoir invent\u00e9 le terme “esprits olympiques”, et a \u00e9t\u00e9 l’inspiration pour le Arbatel ‘ S Compr\u00e9hension des \u00e9l\u00e9mentaires (y compris les gnomes de Paracelsus et le “sagani” paracelsian unique), le macrocosme et le microcosme, et l’exp\u00e9rimentation combin\u00e9e avec respect pour les autorit\u00e9s anciennes. En effet, le Arbatel est \u00e0 la fois largement et profond\u00e9ment enracin\u00e9 dans la culture classique, notamment la philosophie grecque antique, les oracles sibylline et le trac\u00e9, en plus de la th\u00e9ologie contemporaine et de la philosophie occulte des figures telles que Iovianus pontanus et Johannes trithemius. (Tous ces traits figurent \u00e9galement dans les \u0153uvres de Jacques Gohory, que Peterson revendique comme preuve de sa th\u00e9orie de la paternit\u00e9 de Gohory.) [2] Table of ContentsR\u00e9ception et influence [ modifier ]] \u00c9ditions [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Remarques [ modifier ]] Bibliographie [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] R\u00e9ception et influence [ modifier ]] Le Arbatel a \u00e9t\u00e9 l’une des \u0153uvres les plus influentes du genre \u00e0 partir de sa p\u00e9riode, des personnages inspirants tels que Johann Arndt, Gerhard Dorn, Adam Haslmayr, Robert Fludd, Heinrich Khunrath et Valentin Weigel, en plus de son \u00e9diteur et \u00e9diteur, Zwinger et Perna. [2] C’\u00e9tait peut-\u00eatre le premier travail \u00e0 utiliser la “th\u00e9osophie” au sens occulte (par opposition \u00e0 un synonyme de th\u00e9ologie), et pour distinguer l’homme (“anthroposophia”) et la connaissance divine (“th\u00e9osophie”). En effet, Jakob B\u00f6hme a peut-\u00eatre choisi le mot “th\u00e9osophie” pour d\u00e9crire ses id\u00e9es en raison de son utilisation dans le Arbatel . C’est l\u00e0 que Thomas Vaughan a trouv\u00e9 le terme anthroposophie, adopt\u00e9 plus tard par Rudolf Steiner pour d\u00e9crire son syst\u00e8me de croyances. [2] Cependant, toute r\u00e9ception n’\u00e9tait pas positive. Le livre a \u00e9t\u00e9 condamn\u00e9 par Johann Weyer dans son Les astuces des d\u00e9mons [2] comme \u00e9tant “plein d’impi\u00e9t\u00e9 magique”, et par le censeur r\u00e9form\u00e9 de l’\u00e9glise Simon Sulzer. En 1617, l’Universit\u00e9 de Marburg a pris des mesures contre deux professeurs qui avaient l’intention d’utiliser le Grimoire comme manuel et ont expuls\u00e9 un \u00e9tudiant obs\u00e9d\u00e9 par cela. En 1623, une sorci\u00e8re accus\u00e9e du nom de Jean Michel Menuisier a r\u00e9v\u00e9l\u00e9 que, malgr\u00e9 le fait de ne pas poss\u00e9der de copie de la Arbatel , en a utilis\u00e9 quelques invocations. John Dee a \u00e9crit sur l’\u00e9tude du Arbatel (Parmi de nombreux autres travaux occultes de la p\u00e9riode). Cette influence a conduit Nicholas Clulee \u00e0 affirmer que Dee n’a pas vu ses exp\u00e9riences ang\u00e9liques comme magiques, mais en fait religieuses, \u00e0 la fois comme les c\u00e9r\u00e9monies de Dee et le syst\u00e8me magique de la Arbatel Commencez par des pri\u00e8res \u00e0 Dieu qui m\u00e8ne prudemment aux demandes de voir des anges c\u00e9lestes. Dee a \u00e9galement enregistr\u00e9 en appelant au moins le Arbatel ‘ S Solar Olympian Spirit Och.swedish Mystic Johannes Bureus a cr\u00e9dit\u00e9 l’\u0153uvre pour son int\u00e9r\u00eat pour la Kabbale. \u00c9l\u00e9ments du Arbatel apparaissent dans un certain nombre de versions du Sixi\u00e8me et septi\u00e8me livres de Mo\u00efse . [11] Ebenezer Sible et Frederick Hockley ont incorpor\u00e9 un certain nombre d’\u00e9l\u00e9ments de la traduction de Robert Turner de la Arbatel dans leurs propres \u0153uvres magiques, y compris Le clavic ou la cl\u00e9 de la magie de Salomon et Le livre complet de la science magique , ce dernier \u00e9tait l’une des nombreuses sources ult\u00e9rieures pour le Grimeor de Turiel . [ Page n\u00e9cessaire ]] Une copie de l’\u0153uvre a \u00e9t\u00e9 r\u00e9pertori\u00e9e dans le catalogue de la biblioth\u00e8que mercantile de San Francisco en 1854. Bien que l’acc\u00e8s aurait \u00e9t\u00e9 restreint, sa pr\u00e9sence indique qu’elle a jou\u00e9 un r\u00f4le dans les croyances folkloriques am\u00e9ricaines. En 1898, Arthur Edward Waite a entrepris la premi\u00e8re \u00e9tude historique des grimoires en tant que genre, d\u00e9taillant le Arbatel comme l’une des nombreuses \u0153uvres importantes. Une copie d’une traduction allemande est apparue dans la soci\u00e9t\u00e9 d’\u00e9dition de Berlin Herman Barsdorf Verlag \u0152uvres magiques En 1921. L’occultiste Stephen Skinner pr\u00e9tend que l’isopsephy des noms des esprits olympiques r\u00e9sumant \u00e0 31, la num\u00e9ration de “Al” comme dans Liber Al, a peut-\u00eatre \u00e9t\u00e9 responsable de l’inspiration d’inspiration Aleister Crowley Liber Al Vel Legis , bien que Skinner admet que l’influence sur Crowley n’\u00e9tait peut-\u00eatre pas consciente. \u00c9ditions [ modifier ]] La premi\u00e8re \u00e9dition a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e en 1575 \u00e0 B\u00e2le, sans aucune preuve pour les \u00e9ditions ant\u00e9rieures malgr\u00e9 certaines r\u00e9clamations autrement. Les autres \u00e9ditions comprennent: [2] Une r\u00e9impression en 1575, B\u00e2le. Traduction anglaise de Robert Turner, Londres, 1655, imprim\u00e9 dans la traduction de Turner du faux “quatri\u00e8me” livre de Heinrich Cornelius Agrippa’s Trois livres de philosophie occulte . La version la plus populaire du monde anglophone, mais avec quelques erreurs. Traduction allemande par Andreas Luppius, Wesel, 1686. R\u00e9imprim\u00e9 par Johann Scheible’s Le monast\u00e8re . Comprend un certain nombre d’ajouts et de modifications, y compris la marque d’une imprimante suppos\u00e9e par erreur faisant partie de l’\u0153uvre. Andreas Luppius a \u00e9galement publi\u00e9 une version du Arbatel comme Clavicule de Salomon et Th\u00e9osophie pneumatique . Traduction anglaise dans les manuscrits Sloane de la British Library, 3851. Une traduction diff\u00e9rente de Turner, avec plus de corruptions, d’erreurs et m\u00eame de sections manquantes. Copi\u00e9 \u00e0 partir du cahier d’un m\u00e9decin nomm\u00e9 Arthur Gauntlet. Il comporte cependant un “sceau de secrets” mentionn\u00e9 dans une section absente de toutes les autres versions. Cette version (dans le cadre du cahier de Gauntlet) a ensuite \u00e9t\u00e9 \u00e9dit\u00e9 et publi\u00e9e par David Rankine et Avalonia Press en tant que Le grimoire d’Arthur Gauntlet en 2011. Une autre traduction en anglais ind\u00e9pendante partielle dans le Sloane MS, 17e si\u00e8cle. Une autre traduction allemande de Scheible, Stuttgart, 1855. Suit principalement Luppius, avec quelques corrections pour correspondre au latin d’origine. Traduction fran\u00e7aise de Marc Haven, Nice, 1945. pr\u00e9tend \u00eatre traduite du latin original, mais semble \u00eatre une retranslation de la version anglaise de Turner. Texte latin avec traduction en anglais parall\u00e8le par Joseph H. Peterson, Arbatel: concernant la magie des anciens . R\u00e9cemment traduit, \u00e9dit\u00e9 et annot\u00e9 par Joseph H. Peterson, Ibis Press \/ Nicolas Hays, 2009. Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Remarques [ modifier ]] ^ un b Arbatel de Magia Veterum (Arbatel: de la magie des anciens), Anonyme, \u00e9d. Joseph Peterson; 1997. Disponible en ligne \u00e0 Archives \u00e9sot\u00e9riques ^ un b c d C’est F g H je Arbatel: Concernant la magie des anciens , Nouvellement traduit, \u00e9dit\u00e9 et annot\u00e9 par Joseph H. Peterson, Ibis Press \/ Nicolas Hays, 2009. pp. IX-XXI ^ Les sixi\u00e8me et septi\u00e8me livres de Moses, Anonymous, \u00e9d. Joseph Peterson, Ibis Press, 2008. P.XIII, XVII Bibliographie [ modifier ]] \u00c5kerman, Susanna (1998). Cross Rose sur la Baltique: la propagation du rosicrucianisme en Europe du Nord . Barbue. Davies, Owen (2009). Grimoires: une histoire des livres magiques . Oxford University Press. Dee, John (2003). Joseph H. Peterson (\u00e9d.). Les cinq livres de myst\u00e8re de John Dee . Livres de Weiser. Faivre, Antoine (2000). Th\u00e9osophie, imagination, tradition: \u00e9tudes dans l’esot\u00e9risme occidental . SUNY Press. Hockley, Frederick (2008). Un livre complet de la science magique . Teitan Press. Sibley, Ebenezer; Hockley, Frederick (2009). Joseph Peterson (\u00e9d.). Le clavis ou la cl\u00e9 de la magie de Salomon . Ibis presse. Skinner, Stephen (2015). Les tables de magicien compl\u00e8tes (5 \u00e9d.). Golden Hoard Press. Waite, Arthur Edward (1913). Le livre de la magie c\u00e9r\u00e9monielle . Londres. Liens externes [ modifier ]] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/arbatel-magic-old-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Arbatel Magic Old – Wikipedia wiki"}}]}]