[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bazar-de-la-charte-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bazar-de-la-charte-wikipedia\/","headline":"Bazar de la Charte – Wikipedia wiki","name":"Bazar de la Charte – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Un article de Wikip\u00e9dia, l’encyclop\u00e9die libre Cet article concerne l’incendie de 1897 \u00e0 Paris. Pour la s\u00e9rie t\u00e9l\u00e9vis\u00e9e fran\u00e7aise","datePublished":"2019-06-03","dateModified":"2019-06-03","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/c\/c6\/Friedrich_M%C3%BCller_%28Fotograf%29_-_Sophie%2C_Prinzessin_in_Bayern-Birkenfeld.jpg\/150px-Friedrich_M%C3%BCller_%28Fotograf%29_-_Sophie%2C_Prinzessin_in_Bayern-Birkenfeld.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/c\/c6\/Friedrich_M%C3%BCller_%28Fotograf%29_-_Sophie%2C_Prinzessin_in_Bayern-Birkenfeld.jpg\/150px-Friedrich_M%C3%BCller_%28Fotograf%29_-_Sophie%2C_Prinzessin_in_Bayern-Birkenfeld.jpg","height":"232","width":"150"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bazar-de-la-charte-wikipedia\/","wordCount":5959,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Un article de Wikip\u00e9dia, l’encyclop\u00e9die libre Cet article concerne l’incendie de 1897 \u00e0 Paris. Pour la s\u00e9rie t\u00e9l\u00e9vis\u00e9e fran\u00e7aise dans le feu, voir Le Bazar de la Charit\u00e9. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Feu historique \u00e0 Paris 1897 Le Bazar de la Charit\u00e9 \u00e9tait un \u00e9v\u00e9nement caritatif annuel orchestr\u00e9 par l’aristocratie catholique fran\u00e7aise \u00e0 Paris \u00e0 partir de 1885, lorsqu’il a \u00e9t\u00e9 organis\u00e9 pour la premi\u00e8re fois par l’anglais Henry Blount, fils du banquier Sir Edward Blount, financier des entreprises ferroviaires en France. Le March\u00e9 a \u00e9t\u00e9 d\u00e9tenu dans divers endroits par un consortium d’organisations de bienfaisance qui partageaient des frais de location, d’agir pour r\u00e9duire les co\u00fbts et groupement des acheteurs potentiels. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le 1897 Bazar de la Charit\u00e9 est devenu connu pour l’incendie qui a remport\u00e9 126 vies, dont beaucoup \u00e9taient des femmes aristocratiques notables, dont Sophie Charlotte, duchesse d’Alen\u00e7on. Table of ContentsFeu de 1897 [ modifier ]] Notre-Dame-de-Consolation [ modifier ]] Victimes de l’incendie [ modifier ]] Dans la culture populaire [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] D\u00e8s la lecture [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] Feu de 1897 [ modifier ]] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Int\u00e9rieur, avant le feu En 1897, le March\u00e9 \u00e9tait situ\u00e9 dans le 8e arrondissement de Paris au 17 rue Jean-Goujon, \u00e0 l’int\u00e9rieur d’un grand entrep\u00f4t en bois que les organisateurs avaient reconstitu\u00e9 comme une rue m\u00e9di\u00e9vale en utilisant du bois, du carton, du tissu et de la masse papier peints. L’une des principales attractions du March\u00e9 , pr\u00e9vu du 3 au 6 mai, devait \u00eatre une installation cin\u00e9matographique qui fonctionnait avec des lampes d’\u00e9ther. Dans l’apr\u00e8s-midi du 4 mai, l’\u00e9quipement du projectionniste a pris feu, [d’abord] et 126 personnes – principalement des femmes aristocratiques – \u00e0 la suite de l’incendie suivant et de la panique de la foule pr\u00e9sente. Plus de 200 autres ont subi des blessures suppl\u00e9mentaires, [2] et la catastrophe – not\u00e9e pour les sorties mal marqu\u00e9es [2] [3] – a \u00e9t\u00e9 signal\u00e9 \u00e0 l’\u00e9chelle internationale. Certains des visiteurs fuyant dans la cour ont \u00e9t\u00e9 aid\u00e9s \u00e0 s’\u00e9chapper par les fen\u00eatres de la cuisine de l’H\u00f4tel du Palais adjacente par le directeur de l’h\u00f4tel, Mme Roche-Sautier, et Cook M Gaum\u00e9ry. [4] L’\u00e9tat des restes carbonis\u00e9s des victimes \u00e9tait tel que des dossiers dentaires \u00e9taient n\u00e9cessaires \u00e0 l’identification, qui en soi est devenu un point de rep\u00e8re au d\u00e9but de l’histoire de la dentisterie m\u00e9dico-l\u00e9gale. [5] Au lendemain de l’incendie, 937 438 francs, \u00e9quivalent au montant recueilli par l’ann\u00e9e pr\u00e9c\u00e9dente March\u00e9 , a \u00e9t\u00e9 donn\u00e9 par un bienfaiteur anonyme aux fins caritatives pour lesquelles le Bazar de la Charit\u00e9 avait \u00e9t\u00e9 organis\u00e9. [6] Notre-Dame-de-Consolation [ modifier ]] Notre-Dame de Consolation, Paris Une chapelle catholique, le Notre-Dame-de-Consolation, a \u00e9t\u00e9 construite sur l’emplacement du March\u00e9 En l’honneur des victimes de l’incendie, et appartient actuellement \u00e0 la Bazar de la Charit\u00e9 Memorial Association. Il a \u00e9t\u00e9 class\u00e9 comme monument historique en 1982 et en 2013 a \u00e9t\u00e9 d\u00e9volu \u00e0 la Soci\u00e9t\u00e9 de Saint Pie X. Victimes de l’incendie [ modifier ]] Un rapport contemporain de l’incendie Un journal roumain a publi\u00e9 des photos de certains de ceux qui ont \u00e9t\u00e9 tu\u00e9s Les individus suivants \u00e9taient compt\u00e9s parmi les 126 victimes de l’incendie. Sophie Charlotte de Bavi\u00e8re, duchesse d’Alen\u00e7on (1847\u20131897). M\u00e9rone de premier plan du bazar, elle avait insist\u00e9 pour rester jusqu’\u00e0 ce que tous ceux qui travaillaient sous elle aient \u00e9t\u00e9 secourus. Son corps \u00e9tait m\u00e9connaissable, m\u00eame pour sa femme de chambre personnelle, mais a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9e par son dentiste sur la base de ses garnitures en or. [7] Claire Beucher de Saint Ange (1829\u20131897), s\u0153ur de Laure Beucher (ci-dessous). Les deux \u00e9taient des visiteurs du bazar. [8] Son corps a \u00e9t\u00e9 br\u00fbl\u00e9 au-del\u00e0 de la reconnaissance, mais elle a \u00e9t\u00e9 initialement identifi\u00e9e par sa femme de chambre sur la base de ses flanelles rouges, et l’identification a ensuite \u00e9t\u00e9 confirm\u00e9e par son mari, le g\u00e9n\u00e9ral Eug\u00e8ne Chevals, d’une cicatrice sur son sein. [9] Laure Beucher de Saint Ange (1827\u20131897), s\u0153ur de Claire Beucher (ci-dessus). Les deux \u00e9taient des visiteurs du bazar. [dix] La baronne du corps de Saint Ange a \u00e9t\u00e9 br\u00fbl\u00e9e au-del\u00e0 de la reconnaissance mais a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9e par sa femme de chambre sur la base de trois anneaux qu’elle portait. [11] Elise Blonska (1835\u20131897). Immigrant russe qui \u00e9tait biblioth\u00e9caire de Jules Claretie, elle travaillait un stand collectant des fonds pour les aveugles. Son corps, br\u00fbl\u00e9 au-del\u00e0 de la reconnaissance, a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 par son corset orthop\u00e9dique. [douzi\u00e8me] Elle a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9e au cimeti\u00e8re Montparnasse le 13 mai. [13] Dona Ad\u00e9la\u00efda Corradi et Anduga, Madame Florez (1847\u20131897), est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e de ses insultes \u00e0 l’h\u00f4pital Beaujon. [14] Claire Dalloyau (1838\u20131897), \u00e9pouse d’Auguste Bouvyer, \u00e9tait membre de la troisi\u00e8me ordonnance de Saint Dominic. [15] Elle et sa fille travaillaient au stand de la duchesse d’Alen\u00e7on. La fille a subi de graves br\u00fblures mais a surv\u00e9cu. Le corps de Mme Bouvyer \u00e9tait enti\u00e8rement consomm\u00e9 par l’incendie, sans aucune pi\u00e8ce r\u00e9cup\u00e9r\u00e9e, exigeant une ordonnance du tribunal pour la prononcer mort. [16] Lucie Dehondt (1871\u20131897), dans la religion Sr Vincent des Filles de Charit\u00e9 de Saint Vincent de Paul, \u00e9tait pr\u00e9sente avec Sr Marie Ginoux et Val\u00e9rie Verhasselt (tous deux ci-dessous) pour collecter des fonds pour les orphelins du Raincy. [17] Th\u00e9r\u00e8se Donon (1857\u20131897), baronne Saint-Didier, a assist\u00e9 au bazar pour aider la tante de son mari, la baronne douairi\u00e8re Saint-Didier (Louise Pedra, ci-dessous). Apr\u00e8s avoir \u00e9t\u00e9 secourue, elle est rentr\u00e9e dans le b\u00e2timent en pensant que sa ni\u00e8ce, Mademoiselle Kergorlay, \u00e9tait toujours \u00e0 l’int\u00e9rieur. [18] Marie du Quesne (1857\u20131897), vicomtesse Bonneval, dont le mari avait \u00e9t\u00e9 membre de la Chambre des d\u00e9put\u00e9s de la troisi\u00e8me R\u00e9publique fran\u00e7aise de 1885 \u00e0 1889. Elle aidait \u00e0 l’un des stands du bazar. Apr\u00e8s avoir \u00e9chapp\u00e9 \u00e0 l’incendie, elle \u00e9tait rentr\u00e9e dans le b\u00e2timent pour essayer d’aider un ami. Son corps a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 par son mari sur la base de ses bijoux. Sa fille de 15 ans est tomb\u00e9e malade et est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e neuf jours plus tard. [19] Les deux ont \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9s dans le coffre-fort familial \u00e0 Issoun. [20] Le Dr Henri Feulard (1858\u20131897), a visit\u00e9 le bazar avec sa femme, leur fille de dix ans, Germaine (ci-dessus), et la femme de chambre de la famille Ernestine Moreau (ci-dessous). La famille s’est s\u00e9par\u00e9e dans la bousculade. Le Dr Feulard est rentr\u00e9 dans le b\u00e2timent pour tenter de sauver sa fille, mais tous deux ont p\u00e9ri, tout comme Ernestine Moreau. Mme Feulard a subi des blessures critiques \u00e0 la br\u00fblure, [21] mais a surv\u00e9cu. [22] Juilie Garivet (1853\u20131897), dans la religion Sr Marie-Madeleine des s\u0153urs aveugles de St Paul. Anna Ginoux de Fermon (1863\u20131897), dans la religion Sr Marie des Filles de Charit\u00e9 de Saint-Vincent de Paul, \u00e9tait la sup\u00e9rieure de la maison de son ordre dans Le Raincy. Elle \u00e9tait pr\u00e9sente avec Sr Vincent Dehondt (ci-dessus) et Val\u00e9rie Verhasselt (ci-dessous) pour collecter des fonds pour les orphelins du Raincy. [23] Ses restes ont \u00e9t\u00e9 transport\u00e9s \u00e0 Brittany pour enterrer dans le coffre-fort familial. Sa messe de fun\u00e9railles a r\u00e9uni des milliers, dont les Filles de Charity of Nantes et 25 pr\u00eatres du quartier. [24] Blanche Grossier, (1852\u20131897), \u00e9pouse de l’industriel Achille Chouippe, qui employait plus de 300 travailleurs. Elle a gard\u00e9 les comptes de l’entreprise et a pris soin de bien faire les employ\u00e9s de son mari. Elle avait visit\u00e9 le bazar en tant que client. Son corps a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 \u00e0 partir de ses v\u00eatements. [25] L\u00e9onie Gurilaumet (1868\u20131897), une jeune femme attach\u00e9e aux filles de la charit\u00e9 de St Vincent de Paul de Saint-Louis-en-l’isle, a accompagn\u00e9 Sr Joseph Sabatier (ci-dessous) pour aider \u00e0 ses efforts. [26] Am\u00e9lie Guyard-Delalain, (1829-1897), \u00e9pouse d’Alfred Carteron et m\u00e8re de Jeanne Carteron (ci-dessus). Elle \u00e9tait au bazar pour aider \u00e0 un stand pour soutenir les \u0153uvres caritatives de la paroisse de Saint-Roch, Paris. [27] H\u00e9l\u00e8ne de Haber, Comtesse de Horn (1831\u20131897), died of her injuries in Beaujon Hospital. [28] Marie Hoskier (1858\u20131897), \u00e9tait la fille d’Emile Hoskier, le consul g\u00e9n\u00e9ral danois \u00e0 Paris, et d’Elise Weyer (ci-dessous), et l’\u00e9pouse d’Eug\u00e8ne Roland-Gosselin, qui appartenait \u00e0 une famille de premier plan des courtiers parisiens. Converti protestant au catholicisme, elle \u00e9tait tr\u00e8s active dans les projets caritatifs. [29] Sa m\u00e8re est \u00e9galement d\u00e9c\u00e9d\u00e9e dans l’incendie. Emma Jaume (1830\u20131897), \u00e9pouse de General Warnet, son deuxi\u00e8me mari. Elle avait d\u00e9j\u00e0 \u00e9t\u00e9 veuve en tant que Madame de Terrasse et avait visit\u00e9 le bazar parce que sa fille par son premier mariage dirigeait un stand au profit des filles de la charit\u00e9 de Saint-Vincent de Paul de Clichy. [30] Elle a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9e avec ses parents dans la Cim\u00e9tique Saint-Martin, perprente. [trente et un] Jeanne de Kergorlay (1849\u20131897), \u00e9pouse de Jean Guy de Poillo\u00fce, comte Saint-P\u00e9rier et m\u00e8re de (entre autres) Ren\u00e9 de Saint-P\u00e9rier. Une grande femme, elle est rest\u00e9e \u00e0 l’int\u00e9rieur du b\u00e2timent, donnant une l\u00e9g\u00e8ret\u00e9 \u00e0 d’autres s’\u00e9chappant par une fen\u00eatre haute (y compris sa ni\u00e8ce, Mademoiselle Kergorlay) jusqu’\u00e0 ce que le sol c\u00e8de. [32] Son corps a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 par la gouvernante de ses enfants sur la base de ses bijoux et de l’identification confirm\u00e9e par son p\u00e8re. [33] Eug\u00e9nie Marl\u00e9 (1853\u20131897), \u00e9pouse de Louis Chapuis, homme d’affaires du quartier de Bercy, actif dans les \u0153uvres caritatives de la paroisse de Saint Roch. Son corps a \u00e9t\u00e9 br\u00fbl\u00e9 au-del\u00e0 de la reconnaissance mais a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 en raison d’un bracelet. [34] Christianne Meilhac (1882\u20131897), 15 ans, a visit\u00e9 le bazar avec son grand-p\u00e8re, Victor Poidevin (ci-dessous), et un vieil ami de son, le Dr Ernest Rochet (ci-dessous). Apr\u00e8s avoir appel\u00e9 au stand o\u00f9 Mme Rochet aidait le vicomtesse Malezieu (ci-dessus), les trois ont pris un tour du b\u00e2timent pour admirer les d\u00e9corations. Ils \u00e9taient au point le plus \u00e9loign\u00e9 de la sortie lorsque l’incendie a commenc\u00e9. [35] Le corps de Mme Meilhac n’a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 pendant plusieurs jours, qu’apr\u00e8s que les fun\u00e9railles de son grand-p\u00e8re aient d\u00e9j\u00e0 eu lieu. [36] Laura Meinell, vicomtesse D’Avenel (1855\u20131897). L’\u00e9pouse de l’historien \u00e9conomique vicomte Georges d’Avenel, vicomtesse d’Avenel, a gard\u00e9 un salon not\u00e9 pour la pr\u00e9sence de personnalit\u00e9s de la litt\u00e9rature, les arts et la diplomatie. En rentrant chez lui de la catastrophe, elle ne semblait pas gravement bless\u00e9e, mais elle est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e plus tard de blessures internes. [37] Elle a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9e au cimeti\u00e8re du P\u00e8re Lachaise. [38] Ernestine Moreau (1862\u20131897). Maid to the Feulard Family (ci-dessus), elle a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9e au cimeti\u00e8re de Montmartre. [39] Louiza Francesca Pedra (1816\u20131897), baronne dominante de Saint-Didier. N\u00e9e \u00e0 Londres de parents portugais et grandissant en Angleterre, en 1836, elle \u00e9pousa le baron Armand-Aim\u00e9 de Saint-Didier, magistrat qui deviendrait directeur de la Compagnie des Chemins de Fer du Nord. En tant que veuve, elle a divis\u00e9 son temps entre la socialisation et le travail de charit\u00e9. [40] P\u00e9n\u00e9lope Petrocochino (1836\u20131897), veuve d’Antoine Vlasto, est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e de ses blessures trois jours apr\u00e8s l’incident. [41] Victor Poidevin (1825-1897), a visit\u00e9 le bazar avec sa petite-fille, Christiane Meilhac (ci-dessus), et un vieil ami, le Dr Ernest Rochet (ci-dessous). Apr\u00e8s avoir appel\u00e9 au stand o\u00f9 Mme Rochet aidait le vicomtesse Malezieu (ci-dessus), les trois ont pris un tour du b\u00e2timent pour admirer les d\u00e9corations. Ils \u00e9taient au point le plus \u00e9loign\u00e9 de la sortie lorsque l’incendie a commenc\u00e9. [42] Aline Ramboug, Madame Anatole Le Brun de Sesseval (1826-1897), a \u00e9t\u00e9 sauv\u00e9e de l’incendie par sa petite-fille de 15 ans, Mademoiselle de Froissard, qui est rentr\u00e9e dans le b\u00e2timent pour la sauver, mais elle est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e de ses blessures quatre jours plus tard. [43] Marguerite R\u00e9mond (1835\u20131897), dans Religion Sr Sainte Claire des s\u0153urs aveugles de St Paul. Le Dr Ernest Rochet (1830\u20131897), a visit\u00e9 le bazar avec un ami, M. Poidevin (ci-dessus) et sa petite-fille, Christiane Meilhac (ci-dessus). Apr\u00e8s avoir appel\u00e9 au stand o\u00f9 Mme Rochet aidait le vicomtesse Malezieu (ci-dessus), les trois ont pris un tour du b\u00e2timent pour admirer les d\u00e9corations. Ils \u00e9taient au point le plus \u00e9loign\u00e9 de la sortie lorsque l’incendie a commenc\u00e9. Le Dr Rochet a \u00e9t\u00e9 identifi\u00e9 par des restes de v\u00eatements br\u00fbl\u00e9s sur son corps. [44] Ad\u00e8le Sabatier (1830\u20131897), dans la religion Sr Joseph des filles de la charit\u00e9 de Saint-Vincent de Paul, \u00e9tait l’une des trois filles de la charit\u00e9 \u00e0 mourir dans le feu, la seule de la communaut\u00e9 de Saint-Louis-en-L ‘\u00cele. [45] Val\u00e9rie Verhasselt (1876\u20131897), 20 ans, pensionnaire \u00e0 l’orphelinat dirig\u00e9 par les filles de la charit\u00e9 de St Vincent de Paul dans Le Raincy, avait accompagn\u00e9 Sr Marie Ginoux et Sr Vincent Dehondtt (tous deux au-dessus) au Bazaar. Elle a \u00e9t\u00e9 enterr\u00e9e au cimeti\u00e8re pluvieux. [quarante-six] Elise Weyer (1836-1897), \u00e9pouse d’Emile Hoskier, le consul g\u00e9n\u00e9ral danois \u00e0 Paris, est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 avec sa fille Marie Hoskier (ci-dessus), \u00e9pouse du courtier en valeurs mobili\u00e8res Eug\u00e8ne Roland-Gosselin. Dans la culture populaire [ modifier ]] L’\u00e9v\u00e9nement a inspir\u00e9 le film de 1947, Le bazar \u00e9carlate (Fran\u00e7ais: La kermesse rouge ). Dans le t\u00e9l\u00e9film allemand, Une princesse passionn\u00e9e (Allemand: Sophie – la petite s\u0153ur de Sissi ), la duchesse Sophie a \u00e9t\u00e9 pr\u00e9sent\u00e9e. Dans le t\u00e9l\u00e9film fran\u00e7ais, La ma\u00eetresse du pr\u00e9sident Fran\u00e7ais: La ma\u00eetresse du pr\u00e9sident , lorsque le pr\u00e9sident de la France Felix Faure s’inqui\u00e9tait de la pr\u00e9sence hypoth\u00e9tique de sa ma\u00eetresse sur les lieux de la trag\u00e9die. Dans la coproduction TF1 \/ Netflix Le Bazar de la Charit\u00e9 (Streami\u00e9 sur Netflix sous le titre “The Jetfire of Destiny”), qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 en 2019. Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ Richard Abel, Le Cin\u00e9 va en ville: le cin\u00e9ma fran\u00e7ais, 1896-1914 (University of California Press, 1994), p. 17 ^ un b Firenet International (2010). “Histoire de la l\u00e9gislation sur la s\u00e9curit\u00e9 incendie et autres faits int\u00e9ressants” . Adresse web . Fire Net International. Archiv\u00e9 de l’original le 11 juin 2009 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 12 mars 2010 . ^ Mich\u00e8le Fontana, “Faits divers et politique: l’incendie du Bazar de la Charit\u00e9 (1897)”, in Regards populaires sur la violence , edited by Mireille Piarotas (Publications de l’Universit\u00e9 de Saint-\u00c9tienne, 2000), pp. 101\u2013107. ^ Geoffrey Cubitt, “Martyrs of Charity, Heroes of Solidarity: Responses catholiques et r\u00e9publicaines \u00e0 l’incendie du Bazar de la Charit\u00e9, Paris, 1897”, Histoire fran\u00e7aise 21\/3 (2007), pp. 331\u2013352. ^ Mary Blume, ” Remembering a Belle \u00c9poque inferno in Paris ” New York Times , 28 avril 2008. ^ Annales de la Congr\u00e9gation de la Mission (Lazaristes) et de la Compagnie des Filles de la Charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 369. ^ L’Avenir , 7 mai 1897 . ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 67. ^ L’Avenir , 7 mai 1897 . ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 67. ^ L’Avenir , 7 mai 1897 . ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 29 ^ “L’enterrement de Mlle de Blonska”, L’Express du Midi , 14 mai 1897 ^ “R\u00e9capitulation des victimes”, Le Petit Parisien , 8 mai 1897 . ^ L’Ann\u00e9e Dominicaine (1897), p. 249. ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), pp. 44-35. ^ Annales de la Congr\u00e9gation de la Mission (Lazaristes) et de la Compagnie des Filles de la Charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 362. ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), p. 247. ^ Comtesse D. de Beaurepaire de Louvagny, Les Martyrs de la charit\u00e9 (Paris, 1897), pp. 30-35. ^ “La mort tragique de la vicomtesse de Bonneval” [La mort tragique de la vicomtesse de Bonneval]. 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Marguerite bournet, Le Duc et la Duchesse d’Alen\u00e7on: un couple de trag\u00e9die , 393 pages, Perrin, 1939 (r\u00e9impression 2003, ISBN 2-262-02069-8) Dominique Paoli, Il y a cent ans: l’incendie du Bazar de la Charit\u00e9 , Paris, MDC, 1997. Venir date, H\u00e9ros et l\u00e9gendes de Fin-de-Siecle France , Cambridge University Press, 2011, pp. 33\u201375. D\u00e8s la lecture [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bazar-de-la-charte-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Bazar de la Charte – Wikipedia wiki"}}]}]