[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bureau-intergouvernemental-pour-linformatique-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bureau-intergouvernemental-pour-linformatique-wikipedia\/","headline":"Bureau intergouvernemental pour l’informatique – Wikipedia wiki","name":"Bureau intergouvernemental pour l’informatique – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Le Bureau intergouvernemental pour l’informatique (IBI) est originaire comme une transformation du Centre international de calcul (ICC) qui a","datePublished":"2018-05-05","dateModified":"2018-05-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bureau-intergouvernemental-pour-linformatique-wikipedia\/","wordCount":2913,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le Bureau intergouvernemental pour l’informatique (IBI) est originaire comme une transformation du Centre international de calcul (ICC) qui a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 par l’UNESCO en 1951 par la r\u00e9solution 2.24 de la Conf\u00e9rence g\u00e9n\u00e9rale, mettant en \u0153uvre le mandat des r\u00e9solutions 22 (iii) du 3 octobre 1946, 160 (vii) du 10 ao\u00fbt 1948, 318 (xi) du 14 ao\u00fbt , 1950 et 394 (xiii) de l’Ecosoc de l’ONU. [d’abord] [2] [3] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En raison de retards dans les ratifications des pays membres, la CPI a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9e en 1961 et est devenue pleinement op\u00e9rationnelle en 1964. [4] [5] L’IBI a cess\u00e9 d’exister en 1988. [6] [7] [8] Le si\u00e8ge social de l’IBI \u00e9tait situ\u00e9 \u00e0 23 ans, Viale Civilization of Work, 00144 Rome, Italie. [d’abord] Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Histoire [ modifier ]] Pays membres [ modifier ]] Objectifs [ modifier ]] Conf\u00e9rences et symposiums [ modifier ]] Formation en informatique [ modifier ]] D’autres activit\u00e9s [ modifier ]] Publications [ modifier ]] Dissolution de l’IBI [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Histoire [ modifier ]] L’objectif de la CPI \u00e9tait de mettre en \u0153uvre un centre de calcul qui servirait la communaut\u00e9 scientifique internationale. C’\u00e9tait \u00e0 un moment o\u00f9 on pensait que seules quelques machines de calcul deviendraient disponibles et en outre, elles \u00e9taient tr\u00e8s co\u00fbteuses. L’IBI a commenc\u00e9 ses activit\u00e9s en 1961 et il a \u00e9t\u00e9 rapidement submerg\u00e9 par la vitesse des d\u00e9veloppements technologiques au point qu’en 1969, il \u00e9tait sur le point de devenir disparu en raison d’un manque de contenu. Compte tenu de cette situation, la transformation de l’IBI a commenc\u00e9. Cette transformation a \u00e9t\u00e9 dirig\u00e9e par son directeur g\u00e9n\u00e9ral argentin \u00e0 l’\u00e9poque, Fermin A. Bernasconi, et a \u00e9t\u00e9 achev\u00e9 en 1971. [4] Pays membres [ modifier ]] L’adh\u00e9sion \u00e0 l’IBI a culmin\u00e9 en 1985 avec 43 pays membres, dont trois pays d\u00e9velopp\u00e9s, la France, l’Italie et l’Espagne ainsi que ses plus grands contributeurs. Les autres \u00e9taient des pays en d\u00e9veloppement ou sous-d\u00e9velopp\u00e9s. En 1985, la France a retir\u00e9 ses membres de l’IBI et \u00e0 la fin de 1986, l’Espagne s’est \u00e9galement retir\u00e9e. Ce fut le d\u00e9but d’une crise au sein de l’IBI qui a conduit \u00e0 la dissolution de cette organisation en 1969. Les archives de l’IBI ont \u00e9t\u00e9 d\u00e9pos\u00e9es \u00e0 l’UNESCO. Les pays membres de l’IBI au moment o\u00f9 il avait le plus de membres \u00e9tait le suivant:Alg\u00e9rie, Argentine, B\u00e9nin, Bolivie, Br\u00e9sil, Burkina Faso (anciennement la R\u00e9publique d’Upper Volta), Cameroun, Colombie, Congo, Costa Rica, Cuba, Chili, \u00c9quateur, \u00c9gypte, France, Gabon, Ghana, Guin\u00e9e, Ha\u00efs Italie, C\u00f4te d’Ivoire, Jordanie, Liban, Lib\u00e9ria, Madagascar, Mali, Maroc, Mexique, Nicaragua, Niger, Nig\u00e9ria, Panama, S\u00e3o Tom\u00e9 et Pr\u00edncipe, S\u00e9n\u00e9gal, Espagne, Syrie, Swazil, Togo, Tunisie, \u00c9mirates arabes unies, Venezuela, Swaziland, Togo, Tunisie, United Arab Emirates, Venezuela, Za\u00efre. Objectifs [ modifier ]] L’IBI-ICC \u00e9tait la seule organisation intergouvernementale dont l’objectif \u00e9tait d’aider ses pays membres, de mani\u00e8re permanente, dans le domaine des technologies de l’information. Son objectif \u00e9tait de les aider \u00e0 mieux comprendre l’impact de la technologie sur la soci\u00e9t\u00e9 et \u00e0 profiter de ces opportunit\u00e9s. IBI a collabor\u00e9 et a aid\u00e9 ses pays membres \u00e0 formuler des strat\u00e9gies et des politiques pour d\u00e9velopper ce domaine. Avec ces objectifs, la CPI a organis\u00e9 le premier symposium international sur l’\u00e9conomie du traitement automatique des donn\u00e9es en octobre 1965, qui s’est tenue \u00e0 Amsterdam (Pays-Bas). L’IBI-ICC a organis\u00e9 un deuxi\u00e8me symposium international en 1974, sur l’\u00e9conomie de l’informatique tenue \u00e0 Massez (Allemagne) en septembre. En octobre 1972, IBI-ICC a organis\u00e9 la premi\u00e8re conf\u00e9rence mondiale sur l’informatique au gouvernement de Florence (Italie). (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Conf\u00e9rences et symposiums [ modifier ]] \u00c0 partir de 1975, IBI-ICC a intensifi\u00e9 ses activit\u00e9s dans le domaine du d\u00e9veloppement des politiques et strat\u00e9gies gouvernementales d’informatique. Les objectifs de l’IBI-ICC \u00e9taient donc d’aider les pays membres \u00e0 \u00e9tablir des politiques de d\u00e9veloppement de l’informatique dans leurs soci\u00e9t\u00e9s. En novembre 1975, il a organis\u00e9 un symposium international sur “la planification nationale pour l’informatique dans les pays en d\u00e9veloppement” \u00e0 Bagdad (Irak). Quelque 500 participants de 53 pays ont assist\u00e9. \u00c0 partir de 1976, IBI-ICC a organis\u00e9 une s\u00e9rie d’ateliers sur l’\u00e9tude des politiques et des strat\u00e9gies en informatique qui se sont tenues \u00e0 Punta Ala et \u00e0 Venise (Italie). Ces ateliers se sont termin\u00e9s par les strat\u00e9gies et politiques Conf\u00e9rence internationale (spin) en informatique. La conf\u00e9rence Spin a \u00e9t\u00e9 organis\u00e9e par l’IBI-ICC et l’UNESCO avec le soutien du gouvernement espagnol et a eu lieu en septembre 1978 \u00e0 Torremolinos (Espagne) avec la participation de 86 pays, parmi lesquels les “grandes puissances”, les \u00c9tats-Unis et L’URSS. D’autres probl\u00e8mes abord\u00e9s par l’IBI-ICC li\u00e9s aux flux de donn\u00e9es transfrontaliers en particulier de la protection des informations personnelles. \u00c0 cette fin, la premi\u00e8re conf\u00e9rence internationale sur les flux de donn\u00e9es transborder a \u00e9t\u00e9 organis\u00e9e \u00e0 Rome (Italie) en septembre 1980, suivie d’une seconde tenue en 1984, \u00e9galement \u00e0 Rome (Italie). Les deux conf\u00e9rences ont connu une grande participation des pays et des experts. Dans ce contexte de politiques et de strat\u00e9gies d’informatique, l’IBI-ICC a \u00e9galement organis\u00e9 des conf\u00e9rences r\u00e9gionales. En Am\u00e9rique latine, il a organis\u00e9 les conf\u00e9rences latines am\u00e9ricaines pour les gestionnaires de l’information (CALAI) qui se sont tenues en Argentine (1970), dans le Mexique (1972), en Argentine (1979), au Mexique (1980), au Chili (1981), au Br\u00e9sil (1982), dans Uruguay (1983), dans le Mexique (1984), dans l’Argentine (1985 et 1987). Par la suite, ces conf\u00e9rences ont \u00e9t\u00e9 sur d’autres organisations. En Afrique, IBI-ICC a organis\u00e9 la premi\u00e8re conf\u00e9rence africaine sur l’informatique \u00e0 Abidjan (C\u00f4te d’Ivoire) en 1979, suivie d’une deuxi\u00e8me tenue \u00e0 Dakar (S\u00e9n\u00e9gal) en 1983. IBI-ICC a \u00e9galement parrain\u00e9 la premi\u00e8re conf\u00e9rence SEARCC tenue \u00e0 Singapour en 1976. Formation en informatique [ modifier ]] IBI-ICC \u00e9tait \u00e9galement tr\u00e8s int\u00e9ress\u00e9 par la formation en informatique. Il a cr\u00e9\u00e9 plusieurs centres r\u00e9gionaux pour la formation en informatique. Le CREI (le Centre r\u00e9gional pour l’enseignement de l’informatique) a \u00e9t\u00e9 ouvert \u00e0 Madrid (Espagne) en 1976, en collaboration avec le gouvernement espagnol et ses activit\u00e9s se sont poursuivies jusqu’en 1997. Le Crealc a \u00e9t\u00e9 cr\u00e9\u00e9 dans le district f\u00e9d\u00e9ral du Mexique en 1981 et un autre et un autre Centre de Dakar (S\u00e9n\u00e9gal) en 1983. IBI-ICC avait \u00e9galement un grand programme de bourses pour la formation des \u00e9tudiants des pays membres en d\u00e9veloppement des pays d\u00e9velopp\u00e9s. En 1983, IBI-ICC, avec le gouvernement argentin, a cr\u00e9\u00e9 une fondation en Argentine pour commencer ce qui s’appellerait plus tard l’ESLAI (\u00e9cole latine-am\u00e9ricaine pour l’informatique), lui fournissant un financement initial. D’autres activit\u00e9s [ modifier ]] En Am\u00e9rique latine, IBI-ICC a organis\u00e9 deux \u00e9v\u00e9nements majeurs en 1984. En avril, il a particip\u00e9 \u00e0 la table ronde sur “Informatique: un moyen de d\u00e9veloppement ou de d\u00e9pendance pour l’Am\u00e9rique latine” mis par X Calai-Panel 84 \u00e0 Vi\u00f1a del Mar (Chili) . La proc\u00e9dure a ensuite \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e par IBI-ICC. En mai 1984, en collaboration avec le gouvernement du pr\u00e9sident Belisario Betancourt de Colombie, IBI-ICC a organis\u00e9 “l’informatique et la Soveignty”, Strat\u00e9gies d’int\u00e9gration r\u00e9gionale, tenue en Cali (Colombie) du 10 au 12e et qui a donn\u00e9 naissance \u00e0 la formation de la formation de la formation \u00e0 la formation de la formation du club Cali. Le rapport final a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 publi\u00e9 par IBI-ICC. L’IBI a \u00e9galement trait\u00e9 d’autres domaines de l’informatique et ses applications au secteur industriel, pour lesquels il a cr\u00e9\u00e9 un centre de recherche \u00e0 Valence (Espagne) avec le gouvernement espagnol, l’Ibidi. De plus, il a organis\u00e9 des symposiums internationaux pour examiner la relation entre l’informatique et la presse dans le symposium “Presinfo” qui s’est tenu \u00e0 Valence (Espagne) en octobre 1984 et le symposium “Sisyphe” qui a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 tenu \u00e0 Valence (Espagne) en mai 1986 qui a trait\u00e9 le changement de l’industrie \u00e0 la soci\u00e9t\u00e9 de l’information. L’IBI a promu une assistance technique pour la coop\u00e9ration avec ses pays membres en envoyant des experts pour \u00e9laborer des plans nationaux d’informatique comme cela a \u00e9t\u00e9 fait au Chili en 1976 ou en Irak en 1977 et pour la r\u00e9daction de contrats pour le march\u00e9 public d’\u00e9quipements et de services informatiques comme en Irak et en Tunisie . Au milieu des ann\u00e9es 70, l’IBI a encourag\u00e9 le d\u00e9veloppement des lois informatiques, publiant de nombreuses \u00e9tudes sur la relation entre le droit et l’informatique dans divers secteurs de la soci\u00e9t\u00e9. Plus a particip\u00e9 et collabor\u00e9 \u00e0 des conf\u00e9rences \u00e0 ce sujet. Au d\u00e9but des ann\u00e9es 80, l’IBI-ICC a collabor\u00e9 aux efforts pour normaliser l’utilisation de la langue arabe en informatique. Afin d’y parvenir, il a organis\u00e9 et financ\u00e9 un comit\u00e9, le Coarin, pour l’adaptation des personnages \u00e9crits arabes au Code ASCII qui, \u00e0 l’\u00e9poque, s’est av\u00e9r\u00e9 tr\u00e8s difficile. Publications [ modifier ]] L’International Computational Center a publi\u00e9 un bulletin de 1962 \u00e0 1969. Parmi les autres publications publi\u00e9es par l’IBI, le magazine Agora publi\u00e9 entre 1981 et 1986 avec 15 \u00e9ditions d\u00e9di\u00e9es aux sujets sur l’informatique dans un monde en mutation. Dissolution de l’IBI [ modifier ]] La disparition de l’IBI a \u00e9t\u00e9 provoqu\u00e9e par la perte de financement alors que plusieurs pays se sont retir\u00e9s de l’organisation. En 1984, des divergences persistantes entre les dirigeants de l’IBI et l’UNESCO, sur la politique et le caract\u00e8re du domaine, ont abouti \u00e0 la d\u00e9cision de l’UNESCO de cr\u00e9er un [programme d’informatique intergouvernemental] (IIP), qui a \u00e9t\u00e9 lanc\u00e9 en 1986. En outre d’\u00eatre plus \u00e9mouss\u00e9 Pour les int\u00e9r\u00eats des pays de fabrication informatique, cette nouvelle entit\u00e9 a \u00e9t\u00e9 financ\u00e9e par le budget r\u00e9gulier de l’UNESCO, tandis que l’IBI n\u00e9cessitait une contribution distincte des pays membres. La France a \u00e9t\u00e9 la premi\u00e8re \u00e0 passer de l’IBI \u00e0 l’IIP qui vient d’\u00eatre cr\u00e9\u00e9 (puis dirig\u00e9 par le scientifique fran\u00e7ais [Andr\u00e9 Danzin]). Au cours des trois prochaines ann\u00e9es, plusieurs autres pays ont embo\u00eet\u00e9 le pas, dont l’Espagne et l’Italie. De plus, plusieurs pays en d\u00e9veloppement n’ont pas pay\u00e9 leurs cotisations. [4] La situation financi\u00e8re \u00e9tant devenue intenable, l’IBI a d\u00e9cid\u00e9 de mettre fin \u00e0 ses activit\u00e9s dans sa 4e session extraordinaire en 1987 et a nomm\u00e9 un comit\u00e9 de liqueur \u00e0 cet effet. [4] [6] Deux autres sessions extraordinaires ont eu lieu en 1988, le 5 du 28 au 29 avril [7] et le 6 du 28 au 29 novembre. [8] Au moment de sa fermeture, l’IBI comptait 108 employ\u00e9s et des dettes de 20 millions de dollars am\u00e9ricains. L’UNESCO a refus\u00e9 d’assumer ces dettes ou d’incorporer les programmes d’IBI. Au lieu de cela, il n’a pris en charge que ceux des responsabilit\u00e9s d’IBI qui n’\u00e9taient pas d\u00e9j\u00e0 inclus dans l’IIP. [4] L’IBI \u00e9tait le seul corps international \u00e0 dispara\u00eetre de la Soci\u00e9t\u00e9 des Nations. Il a \u00e9t\u00e9 affirm\u00e9 que la fermeture \u00e9tait en grande partie due \u00e0 la pression du gouvernement am\u00e9ricain, qui aurait exerc\u00e9 des pressions sur les gouvernements d’Espagne et d’Italie. Selon ces affirmations, les \u00c9tats-Unis ont bl\u00e2m\u00e9 ISI pour la baisse des ventes d’\u00e9quipements aux pays en d\u00e9veloppement et ont \u00e9t\u00e9 m\u00e9contents par les projets d’IBI au Nicaragua et \u00e0 Cuba, pour lesquels le gouvernement am\u00e9ricain a menac\u00e9 de repr\u00e9sailles commerciales au Br\u00e9sil entre 1986 et 1988. [ citation requise ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ un b Julia Pohle et Roland Kiper (2011): Bureau intergouvernemental pour l’informatique . Catalogue Atom Archives de l’UNESCO, consult\u00e9 le 2019-09-20. ^ Amos Jenkins Peaslee et Dorothy Peaslee Xydis (1979): ” Bureau intergouvernemental pour l’informatique “. Dans Organisations gouvernementales internationales Documents constitutionnels , \u00e9dition r\u00e9vis\u00e9e, parties 3-4, pages 205-216. ISBN 9789024720873 ^ Eileen Mahoney (1988): “Le Bureau intergouvernemental pour l’informatique: une organisation internationale au sein de l’\u00e9conomie politique mondiale en \u00e9volution”. Chapitre 14 dans L’\u00e9conomie politique de l’information Par Vincent Mosco et Janet Wasko, pages 297-315. ISBN 9780299115708 ^ un b c d C’est Julia Pohle (2013): “D’un ordre mondial d’informatique \u00e0 l’informatique pour le d\u00e9veloppement: la mont\u00e9e et la chute du Bureau intergouvernemental pour l’informatique.” Actes de la conf\u00e9rence IAMCR 2013 (Dublin); WZB Berlin Social Science Center. Disponible chez SSRN. est ce que je: 10.2139 \/ ssrn.2827639 ^ Julia Pohle (2013): “La mont\u00e9e et la chute du Bureau intergouvernemental pour l’informatique.” Dans De NWICO \u00e0 WSIS: 30 ans de communication g\u00e9opolitique – acteurs et flux, structures et divisions Par D. Frau-Meigs, J. Nicey, M. Palmer, J. Pohle et P. Tupper (\u00e9diteurs), pages 107\u2013121. ISBN 9781841506753 ^ un b Roland Kiper (2011): Bureau intergouvernemental pour l’informatique. Comit\u00e9 de liquidation [SIC] Catalogue d’atomes Archives de l’UNESCO, consult\u00e9 le 2019-09-20. ^ un b UNESCO (1988): R\u00e9solution num\u00e9ro R.5E\/02 de la V \u00e8me Assembl\u00e9e g\u00e9n\u00e9rale extraordinaire de l’IBI tenue \u00e0 Rome, du 27 au 29 avril 1988. ^ un b UNESCO (1988): R\u00e9solution num\u00e9ro R.6E de la VI \u00e8me Assembl\u00e9e g\u00e9n\u00e9rale extraordinaire de l’IBI tenue \u00e0 Rome, du 28 au 29 novembre 1988. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/bureau-intergouvernemental-pour-linformatique-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Bureau intergouvernemental pour l’informatique – Wikipedia wiki"}}]}]