[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/concrete-the-send-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/concrete-the-send-wikipedia\/","headline":"Concrete The Send – Wikipedia wiki","name":"Concrete The Send – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Un article de Wikip\u00e9dia, l’encyclop\u00e9die libre after-content-x4 Le \u00c9tats concrets (CONCR\u00c8TE \u00c9TUDE) est le premier ouvrage de la musique","datePublished":"2018-05-03","dateModified":"2018-05-03","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/en.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","url":"https:\/\/en.wikipedia.org\/wiki\/Special:CentralAutoLogin\/start?type=1x1","height":"1","width":"1"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/concrete-the-send-wikipedia\/","wordCount":1977,"articleBody":"     (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Un article de Wikip\u00e9dia, l’encyclop\u00e9die libre        (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Le \u00c9tats concrets (CONCR\u00c8TE \u00c9TUDE) est le premier ouvrage de la musique de bande \u00e9lectroacoustique de Karlheinz Stockhausen, compos\u00e9 en 1952 et dure seulement trois minutes et un quart. Le compositeur lui a r\u00e9trospectivement donn\u00e9 le num\u00e9ro ” d’abord \u2044 5 “Dans son catalogue d’\u0153uvres.         (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Table of ContentsHistoire [ modifier ]] Analyse [ modifier ]] Discographie [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] D\u00e8s la lecture [ modifier ]] Histoire [ modifier ]] En janvier 1952, Stockhausen s’est rendu \u00e0 Paris pour \u00e9tudier avec Olivier Messiaen et, en mars, s’\u00e9tait familiaris\u00e9 avec des compositeurs tels que Pierre Boulez, Jean Barrad\u00e9 et Michel Philippot qui travaillaient avec musique concr\u00e8te au Pierre Schaeffer’s Club d’essai. \u00c0 partir de novembre, Stockhausen a pu travailler dans le studio, mais seulement enregistrer et cataloguer les sons naturels, principalement des instruments de percussion. En d\u00e9cembre, enfin, Stockhausen a \u00e9t\u00e9 autoris\u00e9 \u00e0 faire sa propre pi\u00e8ce. En utilisant des sons enregistr\u00e9s \u00e0 partir d’un piano pr\u00e9par\u00e9, il a coup\u00e9 la bande en morceaux courts, \u00e9piss\u00e9 les pi\u00e8ces ensemble et superpos\u00e9 les r\u00e9sultats. Cela impliquait de prendre le segment d’attaque de chaque son et de le r\u00e9p\u00e9ter pour produire un son relativement constant. Le r\u00e9sultat a ensuite \u00e9t\u00e9 transpos\u00e9 \u00e0 l’aide d’une machine de transposition appel\u00e9e phonog\u00e8ne . L’ensemble du processus a \u00e9t\u00e9 accompli en douze jours, conclu le 15 d\u00e9cembre 1952. C’\u00e9tait la premi\u00e8re pi\u00e8ce d’un compositeur non fran\u00e7ais fabriqu\u00e9 dans le studio de Paris. Avant m\u00eame de terminer la pi\u00e8ce, Stockhausen \u00e9tait devenue d\u00e9sabus\u00e9e avec musique concr\u00e8te . Et dans une lettre \u00e0 Henri Pousser \u00e9crite seulement quelques mois plus tard, Stockhausen a d\u00e9crit le \u00c9tude comme “r\u00e9sultat n\u00e9gatif”. Pens\u00e9 depuis longtemps aurait \u00e9t\u00e9 perdu, la bande du \u00c9tude \u00e9tait, selon une source, red\u00e9couvert par Rudolf Frisius; Selon un autre, le compositeur a \u00e9t\u00e9 trouv\u00e9 lui-m\u00eame, “dans une pile de vieilles bandes”. M\u00eame apr\u00e8s sa red\u00e9couverte, Stockhausen n’a pas permis de publier le travail avant 1992. Il y a des r\u00e9f\u00e9rences \u00e0 une autre, ant\u00e9rieure et peut-\u00eatre non r\u00e9alis\u00e9e musique concr\u00e8te projet, \u00c9tudiez sur un ton (\u00c9tude sur un son), en deux parties. Cependant, ce m\u00eame titre, seulement en fran\u00e7ais – \u00c9tude sur un seul son – avait \u00e9t\u00e9 utilis\u00e9 par Boulez pour le premier de ses deux concr\u00e8te \u00e9tudes , r\u00e9alis\u00e9 en 1951. Pierre Schaeffer, dans une interview men\u00e9e de nombreuses ann\u00e9es apr\u00e8s coup, fait r\u00e9f\u00e9rence \u00e0 ces deux \u0153uvres par le m\u00eame titre et a rappel\u00e9 que la bande de Stockhausen \u00c9tude sur un son ne mesure que 50 centim\u00e8tres de long – en moins d’une seconde \u00e0 76,2 cm \/ s. La situation est encore compliqu\u00e9e par une entr\u00e9e dans un catalogue publi\u00e9 du studio de Schaeffer, R\u00e9pertoire acousmatique 1948\u20131980 , nommant la derni\u00e8re production de 1952 comme une \u0153uvre de Stockhausen ne dure que 1 min 13 s, et intitul\u00e9e \u00c9tude “aux mille collants” (\u00c9tude de mille \u00e9pisodes). Stockhausen mentionne \u00e9galement une premi\u00e8re tentative rat\u00e9e de r\u00e9aliser le \u00c9tude :        (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4D\u00e9j\u00e0 en entendant deux couches synchronis\u00e9es, et encore plus en entendant trois ou quatre couches, je suis devenu de plus en plus p\u00e2le et impuissant: j’avais imagin\u00e9 quelque chose de compl\u00e8tement diff\u00e9rent!Le lendemain, la sorcellerie a continu\u00e9 sans tort: \u200b\u200bj’ai chang\u00e9 ma s\u00e9rie, j’ai choisi d’autres s\u00e9quences, coup\u00e9 d’autres longueurs, \u00e9piss\u00e9 diff\u00e9rentes progressions et esp\u00e9r\u00e9 \u00e0 nouveau pour un miracle dans le son. [14] Analyse [ modifier ]] Stockhausen a construit les travaux sur un carr\u00e9 de six sur six: 5 3 4 d’abord 6 2 3 d’abord 2 5 4 6 4 2 3 6 5 d’abord d’abord 5 6 3 2 4 6 4 5 2 d’abord 3 2 6 d’abord 4 3 5 Chaque rang\u00e9e du carr\u00e9 est une transposition sur les membres successifs de la rang\u00e9e d’origine. Les dur\u00e9es sont bas\u00e9es sur des divisions d’unit\u00e9s de la longueur de bande de 216 cm, ce qui compte environ trois secondes, mais est un nombre pratique pour les subdivisions compte, depuis 2 3 \u00d7 3 3 = 216. Chaque section se voit attribuer un certain nombre de sons de un \u00e0 six. Une fois le nombre de sons d\u00e9termin\u00e9, la distribution des sons dans chaque section est sp\u00e9cifi\u00e9e par un ensemble de ce que Stockhausen a appel\u00e9 “modes”. Les sons peuvent commencer ou se terminer ensemble, la dur\u00e9e et la hauteur peuvent \u00eatre li\u00e9es (plus les sons sont plus courts), et les sons successifs peuvent pr\u00e9c\u00e9der ou suivre des silences, donnant six modes diff\u00e9rents qui peuvent \u00eatre manipul\u00e9s selon le m\u00eame carr\u00e9 num\u00e9rique. Ces modes devaient dominer les \u0153uvres de Stockhausen pour les prochaines ann\u00e9es, dans des compositions telles que Points de contra , \u00c9tude I , et \u00c9tude II . Discographie [ modifier ]] Stockhausen, Karlheinz. Musique \u00e9lectronique 1952-1960 . \u00c9tude , \u00c9tude I , \u00c9tude II , Chant des jeunes , Contact . Stockhausen Edition compl\u00e8te CD 3. K\u00fcrten: Stockhausen-Verlag, 1992. Karlheinz Stockhausen, Pierre Boulez: Nouvelles directions en musique . Les enregistrements ACMEM193CD. Stockhausen, \u00c9tats concrets (1952), Dimensions de temps (1955\u201356), Piano Piece XI (1956, four versions, David Tudor, piano); Boulez, Le Marteau sans ma\u00eetre . Londres: \u00c9l en association avec Cherry Red Records, 2010. Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Sources  Blumr\u00f6der, Christoph Von. 1993. La fondation de la musique de Karlheinz Stockhausen . Suppl\u00e9ments \u00e0 Archive de musicologie 32, s\u00e9rie \u00e9dit\u00e9 par Hans Heinrich Eggebrecht dans le cadre de Reinhold Brinkmann, Ludwig Finscher, Kurt von Fischer, Wolfgang Osthoff et Albrecht Riethm\u00fcller. Stuttgart: Franz Steiner Verlag. ISBN 3-515-05696-3. Frisius, Rudolf. 2008. Karlheinz Stockhausen II: The Works 1950\u20131977; Conversation avec Karlheinz Stockhausen, “\u00e7a monte” . Mainz, Londres, Berlin, Madrid, New York, Paris, Prague, Tokyo, Toronto: Schott Music International. ISBN 978-3-7957-0249-6. Kurtz, Michael. 1986. “Entretien avec Pierre Schaeffer (Paris 25 avril 1984)”. Journal of Music Education 11, non. 33 (janvier): 5-21. Kurtz, Michael. 1992. Stockhausen: une biographie , traduit par Richard Toop. Londres et Boston: Faber et Faber. ISBN 0-571-14323-7 (tissu); ISBN 0-571-17146-X (PBK). Stockhausen, Karlheinz. 1992. “Etude (1952): Musique Concr\u00e8te”. Booklet for Karlheinz Stockhausen: Musique \u00e9lectronique , 5\u20137 (allemand) et 95\u2013100 (anglais). Stockhausen Edition compl\u00e8te CD 3. K\u00fcrten: Stockhausen-Verlag. Toup, Richard. 1976. “Stockhausen \u00c9tats concrets “. La revue musicale 37, no. 4 (novembre): 295\u2013300. Toop, Richard. 1979. “Stockhausen et la vague sinuso\u00efdale: l’histoire d’une relation ambigu\u00eb”. La com\u00e9die musicale trimestrielle 65, no. 3 (juillet): 379\u201391. Toop, Richard. 1981. “Stockhausen’s Electronic Works: Croquis et feuilles de calcul de 1952 \u00e0 1967”. Interface 10: 149\u2013197. D\u00e8s la lecture [ modifier ]] Assis, Gustavo Oliveira Alfaix. 2011. \u00c0 la recherche de son: la chanson de Karlheinz Stockhausen dans les ann\u00e9es 1950 . SAO PAULO: \u00e9diteur de l’UNSES. ISBN 978-85-393-0207-9. Diminuez \u00e9norm\u00e9ment Pascal et Elena. 1994. “Karel Goeyvaerts et la musique de bande s\u00e9rie”. Revue Belge de Musicologie 48: 95\u2013118. Maconie, Robin. 2005. Autres plan\u00e8tes: la musique de Karlheinz Stockhausen . Lanham, Maryland, Toronto, Oxford: Scarecrow Press. ISBN 0-8108-5356-6. Quanta, jeune fille. 2016. \u00abSur l’organisation temporelle des premi\u00e8res compositions de groupes de Karlheinz Stockhausen ( \u00c9tats concrets et Piano Piece I )”. Dans L’h\u00e9ritage musical de Karlheinz Stockhausen: en regardant en arri\u00e8re et en avant , \u00c9dit\u00e9 par M. J. Grant et Imke Misch, 35\u201351. Hofheim: Wolke Verlag. ISBN 978-3-95593-068-4.             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