[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/decree-des-industries-nationales-essentielles-emploi-2011\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/decree-des-industries-nationales-essentielles-emploi-2011\/","headline":"D\u00e9cree des industries nationales essentielles (emploi) 2011 wiki","name":"D\u00e9cree des industries nationales essentielles (emploi) 2011 wiki","description":"before-content-x4 Le D\u00e9cree des industries nationales essentielles (emploi) 2011 est un d\u00e9cret controvers\u00e9 d\u00e9livr\u00e9 par le \u00abgouvernement int\u00e9rimaire\u00bb dirig\u00e9 par","datePublished":"2018-11-02","dateModified":"2018-11-02","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":100,"height":100},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/decree-des-industries-nationales-essentielles-emploi-2011\/","wordCount":4549,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Le D\u00e9cree des industries nationales essentielles (emploi) 2011 est un d\u00e9cret controvers\u00e9 d\u00e9livr\u00e9 par le \u00abgouvernement int\u00e9rimaire\u00bb dirig\u00e9 par les militaires de la R\u00e9publique des Fidji en septembre 2011. Il a \u00e9t\u00e9 suivi quelques jours plus tard par la R\u00e8glement sur les industries nationales essentielles et les soci\u00e9t\u00e9s d\u00e9sign\u00e9es 2011 . (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4 Table of ContentsContexte: le coup d’\u00c9tat 2006 [ modifier ]] Le gouvernement et les syndicats avant le d\u00e9cret [ modifier ]] Conditions du d\u00e9cret [ modifier ]] Conditions du r\u00e8glement [ modifier ]] Justification et r\u00e9actions [ modifier ]] Presse du gouvernement et des Fidji [ modifier ]] Critique [ modifier ]] Aftermath: Arrestation of Trade Union Leaders [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Contexte: le coup d’\u00c9tat 2006 [ modifier ]] Le 5 d\u00e9cembre 2006, le commodore Voreqe Bainimarama, chef des forces militaires de la R\u00e9publique des Fidji, a renvers\u00e9 le Premier ministre conservateur nationaliste autochtone Laisenia Qarase, et a pris sa place \u00e0 la t\u00eate d’un “gouvernement par int\u00e9rim”, compos\u00e9 de ministres civils et militaires . Le Bainimarama a d\u00e9clar\u00e9 que ses principales raisons de renverser le gouvernement Qarase \u00e9taient qu’elle \u00e9tait corrompue et qu’il mettait des politiques raciales discriminatoires contre la minorit\u00e9 indo-fijienne du pays – \u00e0 savoir sa politique de “action positive” en faveur de la majorit\u00e9 indig\u00e8ne. Dans un discours annon\u00e7ant publiquement le coup d’\u00c9tat, il a d\u00e9clar\u00e9 que les politiques de Qarase avaient “divis\u00e9 la nation maintenant et auraient des cons\u00e9quences tr\u00e8s graves pour nos g\u00e9n\u00e9rations futures”. Il a promis de modifier les r\u00f4les \u00e9lectoraux bas\u00e9s sur la race, afin de “nous conduire \u00e0 la paix et \u00e0 la prosp\u00e9rit\u00e9 et \u00e0 r\u00e9parer la fracture raciale qui \u00e9largit toujours qui assure actuellement notre nation multiculturelle”. [d’abord] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Par la suite, son gouvernement a aboli la Constitution et impos\u00e9 une stricte censure des m\u00e9dias. [2] Le gouvernement et les syndicats avant le d\u00e9cret [ modifier ]] Pendant plusieurs mois, il y avait eu une pr\u00e9occupation consid\u00e9rable, notamment exprim\u00e9e par les organisations des syndicats \u00e9trang\u00e8res, sur les restrictions sur les droits des syndicats aux Fidji, y compris les actes de violence contre les syndicalistes. En f\u00e9vrier 2011, Amnesty International a exprim\u00e9 sa pr\u00e9occupation concernant “la d\u00e9tention et la bataille signal\u00e9s de plusieurs syndicalistes” aux Fidji. [3] En mars, le Congr\u00e8s des syndicats au Royaume-Uni a envoy\u00e9 une manifestation au Haut Commissariat des Fidji \u00e0 Londres et a publi\u00e9 la d\u00e9claration suivante: (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4“Le 12 f\u00e9vrier, Felix Anthony a \u00e9t\u00e9 emmen\u00e9 de son domicile par 3 officiers militaires en uniforme et soumis \u00e0 des menaces tout en \u00e9tant conduits autour des routes arri\u00e8re de Lautoka pendant environ 2 heures. Sa famille, y compris ses enfants, a \u00e9galement \u00e9t\u00e9 menac\u00e9e. Le 18 f\u00e9vrier, Anthony et d’autres responsables syndicaux de l’industrie sucre caserne militaire et soumises \u00e0 d’autres coups. Comme ils ont \u00e9t\u00e9 lib\u00e9r\u00e9s de la caserne, ils ont de nouveau \u00e9t\u00e9 menac\u00e9s de violences. ” [4] En juillet, le syndicat des travailleurs des transports en Australie a menac\u00e9 de perturber les vols vers les Fidji \u00e0 moins que Qantas ne prenne des mesures pour prot\u00e9ger ses travailleurs des Fidji “contre la violence sanctionn\u00e9e par l’\u00c9tat”. Cela a suivi les affirmations par les membres du syndicat fidjien, en particulier les gestionnaires de bagages, qu’ils avaient \u00e9t\u00e9 frapp\u00e9s, lanc\u00e9s et “frapp\u00e9s avec des ceintures en caoutchouc” par des soldats remettant en question leur loyaut\u00e9 envers le gouvernement. Le Conseil n\u00e9o-z\u00e9landais des syndicats a d\u00e9clar\u00e9 qu’il partageait les pr\u00e9occupations de l’Union australienne et publiait la d\u00e9claration suivante: “Nous sommes tr\u00e8s pr\u00e9occup\u00e9s par l’intimidation physique et les coups de responsables syndicaux aux Fidji et \u00e9galement les d\u00e9crets qui suppriment les droits de travail”. [5] En ao\u00fbt, le Conseil des syndicats australiens a condamn\u00e9 la rupture de la police d’une r\u00e9union du Congr\u00e8s des syndicats des Fidji \u00e0 Nadi. [6] Le m\u00eame mois, Brendan Barber, secr\u00e9taire g\u00e9n\u00e9ral du TUC britannique, a de nouveau \u00e9crit au haut-commissaire des Fidji \u00e0 Londres, pour exprimer “Indignation face \u00e0 l’arrestation de M. Daniel Urai, pr\u00e9sident, Fidji Trades Union Congress, le 3 ao\u00fbt 2011 \u00e0 la SUVA. Nous notons que l’arrestation du pr\u00e9sident de la FTUC vient \u00e0 la suite de l’introduction d’un nouveau d\u00e9cret qui restreint encore l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de l’exercice de Les syndicats et les droits de l’homme aux Fidji dans le cadre du r\u00e9gime militaire. Les arrestations des syndicalistes constituent une violation flagrante de la D\u00e9claration des principes et des droits fondamentaux de l’OIT. , est oblig\u00e9 d’observer les droits des travailleurs en eux. . ” [7] Le Conseil n\u00e9o-z\u00e9landais des syndicats et l’Amnesty International Aotearoa Nouvelle-Z\u00e9lande ont organis\u00e9 une manifestation apr\u00e8s l’arrestation d’Urai pour assembl\u00e9e ill\u00e9gale. Helen Kelly, pr\u00e9sidente de la CTU, a d\u00e9clar\u00e9 que “plus t\u00f4t dans l’ann\u00e9e, Felix Anthony du FTUC avait \u00e9t\u00e9 agress\u00e9e physiquement. Droits civils reconnus de libert\u00e9 d’assemblage et de n\u00e9gociation collective. ” [8] Conditions du d\u00e9cret [ modifier ]] Le d\u00e9cret a \u00e9t\u00e9 officiellement \u00e9mis par le pr\u00e9sident des Fidji, Epeli Nailatikau, dont le r\u00f4le de chef de l’\u00c9tat est essentiellement c\u00e9r\u00e9monial. Son principal objectif d\u00e9clar\u00e9 est de “garantir la viabilit\u00e9 actuelle et continue et la durabilit\u00e9 des industries nationales essentielles au profit des Fidji”. Ses termes sont les suivants: Tous les syndicats existants doivent se r\u00e9inscrire afin de poursuivre leurs activit\u00e9s (art.6); “Tous les accords collectifs existants” entre les employ\u00e9s et leurs employeurs sont annul\u00e9s 60 jours apr\u00e8s le d\u00e9but du d\u00e9cret (Art.8); Les \u00e9lections des repr\u00e9sentants des syndicats sont soumises \u00e0 l’approbation du gouvernement (ART.10); Un employeur peut faire appel au gouvernement pour annuler l’\u00e9lection d’un repr\u00e9sentant s’il ou elle a \u00e0 tout moment “des informations et des preuves objectives fiables” qu’au moins 35% des travailleurs “ne soutiennent plus ce repr\u00e9sentant (ART.15); Cela permet \u00e0 l’employeur d’annuler tout \u00abaccord collectif existant ou actuel\u00bb (ART.17); “Si un employeur a subi des pertes d’exploitation pour deux exercices cons\u00e9cutifs, ou deux ans de pertes d’exploitation r\u00e9elles ou attendues au cours d’une p\u00e9riode de trois ans, il aura le droit imm\u00e9diat de ren\u00e9gocier tous ses accords collectifs existants”. Si aucun accord ne peut \u00eatre conclu avec les employ\u00e9s, l’employeur envoie alors une proposition au gouvernement, qui peut l’approuver comme contraignant les employ\u00e9s, en remplacement de toute n\u00e9cessit\u00e9 d’un accord (Art.23); Au sein des \u00absoci\u00e9t\u00e9s d\u00e9sign\u00e9es\u00bb, les employ\u00e9s n’ont aucun droit \u00e0 la r\u00e9mun\u00e9ration des heures suppl\u00e9mentaires le samedi, le dimanche ou les jours f\u00e9ri\u00e9s, sauf si l’employeur (ART.24); Art.24 abolit \u00e9galement la juridiction du Conseil des salaires sur \u00abtoute\u00ab soci\u00e9t\u00e9 d\u00e9sign\u00e9e \u00bbou industrie nationale essentielle\u00bb; Les \u00abdiff\u00e9rends concernant la discipline et la lib\u00e9ration\u00bb doivent \u00eatre r\u00e9gl\u00e9s au sein de l’entreprise, ou par le gouvernement s’ils sont finalement non r\u00e9solus, sans recours \u00e0 aucun tribunal ou \u00e0 toute institution judiciaire (Art.26); “Aucune actions d’emploi, gr\u00e8ves, malades, ralentissements ou autres activit\u00e9s nuisibles financi\u00e8rement ou op\u00e9rationnelles ne sera autoris\u00e9e \u00e0 tout moment pour quelque raison que ce soit”. Les gr\u00e8ves ne sont autoris\u00e9es que si les employ\u00e9s n\u00e9gocient sans succ\u00e8s depuis au moins trois ans pour un accord collectif avec leur employeur, et s’ils fournissent ainsi vingt-huit jours \u00e0 l’avance de la gr\u00e8ve \u00e0 leur employeur et au gouvernement, et si le gouvernement approuve la gr\u00e8ve demand\u00e9e. L’employeur peut alors verrouiller les travailleurs en gr\u00e8ve et “imposer unilat\u00e9ralement les termes et conditions d’emploi”. Tout travailleur participant \u00e0 une gr\u00e8ve non autoris\u00e9e peut encourir une peine pouvant aller jusqu’\u00e0 cinq ans d’emprisonnement, combin\u00e9e \u00e0 une amende pouvant aller jusqu’\u00e0 50 000 $. Le gouvernement peut ordonner la fin de toute gr\u00e8ve (ou lock-out) dans “toute industrie nationale essentielle” \u00e0 tout moment (art.27); Le d\u00e9cret pr\u00e9vaut sur toute incoh\u00e9rence avec toute loi existante (ART.28); Aucun tribunal, tribunal ou commission n’a de comp\u00e9tence pour examiner la l\u00e9galit\u00e9 ou la validit\u00e9 du d\u00e9cret ou de toute d\u00e9cision prise par le gouvernement ou par un employeur en application (Art.30). Conditions du r\u00e8glement [ modifier ]] Le R\u00e8glement essentiel des industries nationales et des soci\u00e9t\u00e9s d\u00e9sign\u00e9es de 2011 a \u00e9t\u00e9 publi\u00e9e par le commodore Bainimarama le 8 septembre “dans l’exercice des pouvoirs qui en est par l’article 31” du d\u00e9cret, pour entrer en vigueur le lendemain. Ils ont fourni une liste des \u00abindustries nationales essentielles\u00bb du pays, telles que d\u00e9termin\u00e9es par Bainimarama. Ils sont: The Australia & New Zealand Banking Group, The Bank of Baroda, The Bank South Pacific, The Westpac Banking Corporation, The Fiji Revenue & Customs Authority, Fiji International Telecommunications, T\u00e9l\u00e9com Fidji, Fidji Broadcasting Corporation, Air Pacific, The Fiji, Fiji, Fidji Broadcasting Corporation, Air Pacific, The Fiji Autorit\u00e9 de l’\u00e9lectricit\u00e9, et l’autorit\u00e9 aquatique des Fidji. Justification et r\u00e9actions [ modifier ]] Presse du gouvernement et des Fidji [ modifier ]] Le procureur g\u00e9n\u00e9ral Aiyaz Sayed-Khaiyum a jou\u00e9 l’id\u00e9e qu’il y avait quelque chose d’exceptionnel dans le d\u00e9cret, lors d’une conf\u00e9rence de presse avant sa finalisation. Il a fait valoir que “certains pays restreignent toute frappe dans les services essentiels” et que “le principe des services essentiels n’est rien de nouveau”. En r\u00e9ponse aux r\u00e9actions syndicales, il a fait valoir que le d\u00e9cret pr\u00e9serverait r\u00e9ellement les emplois: “Nous avons trouv\u00e9 dans des entreprises qui sont financi\u00e8rement instables que si certaines mesures ne sont pas prises, ils pourraient donc fermer les pertes d’emplois. Les syndicalistes qui sont Les employ\u00e9s n’ont pas d’int\u00e9r\u00eat personnel particulier \u00e0 pr\u00e9server ou \u00e0 maintenir la vie de l’entreprise. Vous devez maintenir la vie de l’entreprise pour vous assurer que les emplois sont s\u00fbrs “. [9] Le Fidji Times , sous r\u00e9serve de la censure du gouvernement, a indiqu\u00e9 simplement que \u00ab[les termes du d\u00e9cret des industries nationales essentielles (emploi) de 2011 […] r\u00e9gissent les lois du travail des entreprises d\u00e9clar\u00e9es, assurant la viabilit\u00e9 et la durabilit\u00e9 des industries tout en prot\u00e9geant Droits des travailleurs fondamentaux “. Il a cit\u00e9 la d\u00e9claration de Sayed-Khaiyum selon laquelle “[le] gouvernement prend tr\u00e8s s\u00e9rieusement les droits des travailleurs et la protection des travailleurs”. [dix] Le Fidji a publi\u00e9 un article explicatif du minist\u00e8re de l’Information, y compris une liste de “questions fr\u00e9quemment pos\u00e9es” pour rassurer les lecteurs. \u00c0 la question “Le d\u00e9cret supprime-t-il le droit des travailleurs de gr\u00e8ve, comme certains l’ont pr\u00e9tendu?”, La r\u00e9ponse fournie est: “Non. Le d\u00e9cret confirme le principe fondamental que les travailleurs peuvent frapper. Tout comme de nombreux autres pays, cela le fait Sous r\u00e9serve de certaines conditions, notamment en offrant aux employ\u00e9s un vote en faveur ou contre. ” Et \u00e0 la question “Les employeurs sont-ils autoris\u00e9s \u00e0 imposer des termes et conditions aux travailleurs?”, La r\u00e9ponse donn\u00e9e est: “Une proc\u00e9dure r\u00e9guli\u00e8re doit \u00eatre suivie comme indiqu\u00e9 dans le d\u00e9cret, impliquant des n\u00e9gociations de bonne foi pendant au moins 60 jours dans le cas de Un accord de remplacement. Ce n’est qu’apr\u00e8s cela qu’un employeur aurait le droit de mettre en \u0153uvre de nouveaux termes et conditions. Les employ\u00e9s auraient le droit de faire appel au ministre pour un examen des nouvelles conditions. ” La derni\u00e8re question est “Quelle est votre r\u00e9ponse \u00e0 l’affirmation selon laquelle le gouvernement a effac\u00e9 des d\u00e9cennies d’avanc\u00e9es pour ses travailleurs?”, Le gouvernement a r\u00e9pondu: “\u00c0 l’appui des grands progr\u00e8s des travailleurs fidjiens, les prestations de protection de la protection et de la protection de l’emploi du gouvernement fidjien sont responsables, complets et authentiques. Le gouvernement fidjien prend au s\u00e9rieux la n\u00e9cessit\u00e9 d’\u00e9quilibrer le bien-\u00eatre de l’\u00e9conomie des Fidji et sa capacit\u00e9 \u00e0 Fournir des emplois dans l’intention d’am\u00e9liorer la qualit\u00e9 de vie de tous les Fidjiens et, surtout, de respecter la justice et de promouvoir les droits des travailleurs fondamentaux. Nous ne pensons pas que ce sont des objectifs mutuellement exclusifs. Nous continuons de nous efforcer d’assurer notre corpus de lois sur l’emploi et le travail confirmer notre obligation et notre engagement envers le peuple fidjien. Pendant ce temps, les syndicats ne peuvent pas \u00eatre autoris\u00e9s \u00e0 maintenir la ran\u00e7on des industries essentielles en bloquant les modifications des termes et conditions et en prenant une action de gr\u00e8ve dommageable en toute impunit\u00e9. ” [11] Critique [ modifier ]] Aucune protestation ou d\u00e9monstration publique n’est autoris\u00e9e aux Fidji, mais le Congr\u00e8s des syndicats des \u00e9changes des Fidji a publi\u00e9 une d\u00e9claration indiquant que le d\u00e9cret “offre des armes majeures aux employeurs \u00e0 utiliser contre les syndicats […] Il interdit les syndicalistes professionnels, \u00e9limine les accords collectifs existants, promotion Un syst\u00e8me biais\u00e9 d’agents de n\u00e9gociation non professionnelle pour repr\u00e9senter les travailleurs, restreint gravement l’action industrielle, renforce les sanctions contre les travailleurs l\u00e9galement frappants et interdit les heures suppl\u00e9mentaires et autres indemnit\u00e9s pour les travailleurs dans les op\u00e9rations 24 heures sur 24 “. Attar Singh, secr\u00e9taire g\u00e9n\u00e9ral du Conseil des syndicats du Conseil des \u00eeles Fidji, a d\u00e9clar\u00e9: “Nous n’avons jamais rien vu de pire que ce d\u00e9cret. Il est sans aucun doute con\u00e7u pour d\u00e9cimer les syndicats […] en donnant \u00e0 [les employeurs] un avantage injuste sur les travailleurs et les syndicats “. [9] Amnesty International a condamn\u00e9 le d\u00e9cret comme \u00abun abus \u00e0 couper le souffle des droits fondamentaux [qui] enl\u00e8vent presque tous les droits de n\u00e9gociation collective dans les entreprises essentielles [et] abolis pratiquement le droit de frapper\u00bb. [douzi\u00e8me] Il a ajout\u00e9: “Les droits de l’homme fondamentaux sont en jeu, y compris le droit \u00e0 la libert\u00e9 d’association et d’assembl\u00e9e, et le droit d’organiser. Amnesty International est fermement solide avec les travailleurs des Fidji et du mouvement ouvrier des Fidji dans leur lutte pour d\u00e9fendre leurs droits. ” [13] Juan Somavia, directeur g\u00e9n\u00e9ral de l’Organisation internationale du travail, a d\u00e9clar\u00e9: “En allant de l’avant avec ce d\u00e9cret, le gouvernement a d\u00e9montr\u00e9 le m\u00eame manque de pr\u00e9occupation pour les opinions de la communaut\u00e9 internationale que pour les droits et les aspirations de son propre peuple. Ce qui est vraiment essentiel pour les Fidji, c’est qu’il change de cap maintenant. signifie inverser ce des d\u00e9crets de travail restrictifs et d’autres, un retour au dialogue avec les syndicats et les employeurs, la fin des voies de fait et le harc\u00e8lement des syndicalistes, et la restauration imm\u00e9diate des libert\u00e9s civiles de base. ” [14] Mahendra Chaudhry, chef du Parti travailliste des Fidji, a publi\u00e9 une d\u00e9claration en juillet qui n’a pas sp\u00e9cifiquement mentionn\u00e9 le d\u00e9cret mais a abord\u00e9 les politiques plus larges du gouvernement concernant les syndicats: “Les Fidji ont ratifi\u00e9 les conventions […] de l’OIT et doivent agir conform\u00e9ment \u00e0 eux. Il ne peut pas promulguer des lois qui contrevient \u00e0 ces conventions ou contourner les dirigeants syndicaux physiquement. […] Les syndicats locaux et le mouvement international du commerce du commerce du commerce du commerce ont \u00e9crit au gouvernement pour protester contre ses politiques et d\u00e9crets anti-syndicaux. Il n’y a eu aucune r\u00e9ponse. Comment r\u00e9soudre les probl\u00e8mes avec un gouvernement qui ne r\u00e9pond pas aux pr\u00e9occupations exprim\u00e9es, ne consulte pas et pense qu’elle peut gouverner par arbitraire d\u00e9cisions, suppression des droits, intimidation et violence physique […]? ” [15] Shaista Shameem, ancienne directrice de la Fidji Human Rights Commission, qui avait d’abord soutenu le coup d’\u00c9tat militaire de 2006, a d\u00e9clar\u00e9 que “de nombreux droits ont \u00e9t\u00e9 compl\u00e8tement diminu\u00e9s ou m\u00eame supprim\u00e9s” par le d\u00e9cret. Elle a ajout\u00e9 qu’il montrait que le gouvernement de Bainimarama n’\u00e9tait plus int\u00e9ress\u00e9 par l’\u00e9laboration consensuelle de politique. [douzi\u00e8me] En octobre, lors de la r\u00e9union des chefs de gouvernement du Commonwealth en Australie, Ged Kearney, pr\u00e9sident du Conseil australien des syndicats, a d\u00e9clar\u00e9 que, au sein du Commonwealth, les pires abus des droits des travailleurs se produisaient actuellement aux Fidji et au Swaziland. Le groupe syndical du Commonwealth a appel\u00e9 \u00e0 la condamnation du d\u00e9cret. [16] Sayed-Khaiyum a rejet\u00e9 la critique, en disant que cela \u00e9tait bas\u00e9 sur la “d\u00e9sinformation” et sur les gens qui tentent de d\u00e9former la situation aux Fidji. [17] Aftermath: Arrestation of Trade Union Leaders [ modifier ]] Fin octobre et d\u00e9but novembre, les dirigeants du Congr\u00e8s des syndicats fidjiens Daniel Urai et Felix Anthony ont tous deux \u00e9t\u00e9 arr\u00eat\u00e9s s\u00e9par\u00e9ment et auraient \u00e9t\u00e9 d\u00e9tenus sans accusation. Le gouvernement australien a d\u00e9clar\u00e9 que les autorit\u00e9s des Fidji “visaient et intimidaient les syndicalistes”. [18] Liens externes [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] ^ “Commandant RFMF – D\u00e9claration publique de prise de contr\u00f4le militaire” Archiv\u00e9 15 septembre 2009 \u00e0 The Wayback Machine, Fidji Government, 5 d\u00e9cembre 2006 ^ “Bainimarama dit qu’il est l’avenir” , Michael Field, Stuff.co.nz, 17 avril 2009 ^ “Fidji: les d\u00e9tentions et les coups arbitraires doivent s’arr\u00eater” , Amnesty International, 24 f\u00e9vrier 2011 ^ “Fidji: mettre fin \u00e0 l’intimidation militaire et aux coups de responsables syndicaux” Archiv\u00e9 11 novembre 2011 Sur Wayback Machine, Congr\u00e8s des syndicats, mars 2011 ^ “Les syndicats n\u00e9o-z\u00e9landais consid\u00e8rent les interdictions des Fidji” , ABC Radio Australia, 19 juillet 2011 ^ “Plus de probl\u00e8mes au paradis: le harc\u00e8lement des syndicats fidjiens par le gouvernement militaire s’aggrave” [ lien mort permanent ]] , Communiqu\u00e9 de presse actu, 13 ao\u00fbt 2011 ^ “Arrestation de M. 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