Exsudoporus Frostii – Wikipedia wiki

Posted on by
before-content-x4

Espèces de champignons dans la famille des Boletaceae trouvés en Amérique du Nord

after-content-x4

Exsudoporus frostii (Auparavant Boletus Frostii ), mieux connu sous le nom de Bolete de Frost ou la Boote de pomme , est un champignon bolete décrit pour la première fois scientifiquement en 1874. Un membre de la famille Boletaceae, les champignons produits par le champignon ont des tubes et des pores au lieu de branchies sur le dessous de leurs capuchons. Exsudoporus frostii est distribué dans l’est des États-Unis du Maine à la Géorgie et dans le sud-ouest de l’Arizona s’étendant au sud au Mexique et au Costa Rica. Une espèce mycorhizienne, ses corps fruits se trouvent généralement poussant près des arbres de bois franc, en particulier le chêne.

Exsudoporus frostii Les champignons peuvent être reconnus par leurs capuchons collants rouges foncées, les pores rouges, le motif de réseau du stipe et la réaction de bluging aux lésions tissulaires. Une autre caractéristique des jeunes corps de fruits humides est les gouttes de couleur ambre dégagées sur la surface des pores. Bien que les champignons soient considérés comme comestibles, ils ne sont généralement pas recommandés pour la consommation en raison du risque de confusion avec d’autres bolets toxiques à poteaux rouges et au bleu. B. Frostii Peut être distingué des autres bolet superficiellement similaires à coiffage par des différences de distribution, des espèces d’arbres associées, des réactions bleues ou de la morphologie.

Taxonomie [ modifier ]]

L’espèce a été nommée par le ministre unitarien John Lewis Russell de Salem, Massachusetts, basé sur des spécimens trouvés à Brattleboro, au Vermont. Il a nommé le champignon d’après son ami, son autre mycologue américain amateur Charles Christopher Frost, qui a publié une description de l’espèce dans son enquête en 1874 sur les Boletes of New England. [2] [3] Lorsque le nom d’une espèce est apporté par un individu, mais le nom est officiellement publié par un autre, le nom du contributeur peut être cité, séparé de l’auteur de l’édition en tant que dans ; Pour cette raison, le nom et l’autorité sont écrits Boletus Frostii Russell dans Frost dans une littérature plus ancienne. [4] Bernard Ogilvie Dodge a fait référence à B. Frostii en 1950 lors d’une adresse à la Mycological Society of America, dans laquelle il a parlé du rôle de l’amateur dans la découverte de nouvelles espèces: “Ils nous auraient tout informé de l’homme Russell, qui a nommé une belle nouvelle bolete pour son ami Frost, Et à propos de l’homme Frost, qui a nommé une belle nouvelle bolete pour son ami Russell. Boletus Frostii et Boletus Russellii sont des champignons avec personnage , même s’ils ont été décrits par des amateurs. ” [5] Cependant, en tentant d’établir un spécimen de lectotype, le mycologue Roy Halling a examiné à la fois le matériel original de Russell et ses notes d’accompagnement; Il a conclu que c’était Frost qui a fait les déterminations d’espèces d’origine, suggérant en outre qu ‘”il n’y a aucune preuve montrant que Russell a jamais collecté B. Frostii ou en a écrit une description. ” [6]

William Murrill en 1909 a placé l’espèce dans le genre Suilllus , [7] tandis que Sanshi Imai l’a transféré à Tubiporus en 1968. [d’abord] Tubiporus a depuis été synonyisé de Bolet . [8] En 1945, Rolf Singer a décrit un Boote qu’il a trouvé en Floride; bien qu’il le décrit à l’origine comme une sous-espèce de B. Frostii , [9] Il a ensuite examiné les différences entre les taxons suffisamment importants pour justifier l’édition Boletus Floride comme espèce unique. [4] Suite aux études moléculaires qui ont décrit un nouveau cadre phylogénétique pour les Boletaceae, [dix] [11] Le bolete a été transféré au genre nouvellement circonscrit Exsudopore en 2014. [douzième]

En raison du manque de séquences suffisantes, Wu et ses collègues (2016) étaient réticents à accepter Exsudopore et l’a considéré comme un synonyme de Butyriboletus , donc ils ont transféré E. Frostii au genre Butyriboletus et a proposé une nouvelle combinaison Butyriboletus Frostii . [13] Cependant, après les analyses phylogénétiques et morphologiques clairement résolues Exsudopore En tant que genre monophylétique, homogène et indépendant Butyriboletus . [14] [15]

after-content-x4

Exsudoporus frostii est communément appelé “bolete de gel” [16] ou la “pomme bolete”. Au Mexique, son nom vernaculaire est ventre aigre , ce qui se traduit par “aigre le ventre”. [17]

Description [ modifier ]]

La forme du capuchon du corps des jeunes fruits varie d’une demi-sphère à convexe, devenant plus tard convexe à plat ou peu profondément déprimé, avec un diamètre de 5 à 15 cm (2,0–5,9 pouces). [18] Le bord du capuchon est incurvé vers l’intérieur, bien qu’en vieillisse, il peut se dérouler et monter. Dans des conditions humides, la surface du capuchon est collante en raison de sa cuticule, qui est faite d’hyphes gélatinisés. Si le corps des fruits s’est séché après une pluie, le capuchon est particulièrement brillant, [4] apparaissant parfois finement arély (ayant un motif de zones en forme de bloc similaires à la boue fissurée et séchée). [18] Les jeunes champignons ont une floraison blanchâtre à la surface du capuchon. [19]

La couleur est rouge vif initialement, mais s’estompe avec l’âge. La chair est jusqu’à 2,5 cm (1,0 pouce) d’épaisseur et varie de couleur de pâle au jaune pâle au jaune citron. [18] La chair a une réaction de coloration variable en réponse aux ecchymoses, donc certains échantillons peuvent devenir bleu profond presque immédiatement, tandis que d’autres deviennent bleu faiblement et lentement. [4]

Les tubes comprenant la surface des pores (l’hyménium) mesurent 9 à 15 mm de profondeur, jaune jaune à olivace (jaune moutarde), devenant bleu mince lorsqu’il est meurtri. Les pores sont petits (2 à 3 par mm), circulaires et jusqu’à ce que la vieillesse une couleur rouge foncé devienne finalement plus pâle. La surface des pores est souvent perlée avec des gouttelettes jaunâtres lorsqu’elles sont jeunes (une caractéristique distinctive), et colore facilement le bleu lorsqu’elle est meurtrie. Le stipe est de 4 à 12 cm (1,6 à 4,7 po) de long et de 1 à 2,5 cm (0,4 à 1,0 pouce) d’épaisseur à son sommet. Il est à peu près égal en épaisseur sur toute sa longueur, bien qu’il puisse s’affaiblir quelque peu vers le haut; Certains spécimens peuvent apparaître de ventricose (gonflé au milieu). [18] La surface de stipe est principalement rouge ou jaunâtre près de la base; c’est réticulé —Chatérisé par des crêtes disposées sous la forme d’un motif de type net. [18] Mycelia, visible à la base du stipe, sont blancs jaunâtres à jaune clair. [4]

Les jeunes corps de fruits peuvent sécréter un liquide ambré.

L’impression des spores de b . Grostii est l’olive brun. [18] Les spores sont en forme de murs épaisses, lisses et en forme de broche, avec des dimensions de 11 à 15 par 4 à 5 µm. Des spores plus longues jusqu’à 18 µm de long peuvent également être présentes. [18] La cuticule de capuchon, ou pileipellis, est faite d’une couche emmêlée d’hyphes gélatinisés de 3 à 6 µm de large. [20] Les cellules portant les spores, les basides, sont esptées quatre et mesurent 26 à 35 par 10,5–11,5 µm. Les cystides sont des cellules non fertiles entrecoupées parmi les basides, et elles sont répandues dans le tissu hyménal de E. Frostii . Ces cellules hyalines (translucides) mesurent 30 à 53 longs de 7,5–14 µm de large, et varient en forme d’un peu comme une broche (se rétrécissant à chaque extrémité, mais avec une extrémité généralement arrondi) à sous-ampère —Pelé un peu comme une bouteille enflée. [4]

Edibilité et composition nutritionnelle [ modifier ]]

Cette espèce est non porteuse. [21] Murrill a écrit en 1910 de sa modification: “Habituellement vu avec suspicion en raison de son hyménium rouge, mais ses propriétés ne sont pas connues avec précision.” [22] Depuis lors, plusieurs auteurs ont conseillé de consommer l’espèce, en raison de sa ressemblance avec d’autres boletes toxiques à rouge à rouge. [16] [18] [23] Dans son 100 champignons comestibles (2007), Michael Kuo note que bien que le champignon soit apparemment comestible pour certains, il “affecte les autres négativement”. [24] David Arora mentionne qu’il est couramment vendu sur les marchés ruraux du Mexique; [17] Une étude de 1997 suggère qu’elle n’est consommée que dans les zones rurales de l’État de Querétaro. [25] Son goût et son odeur ont été décrits comme “agréables” [16] ou “doux” [21] Et un peu comme les agrumes, [19] Bien que la cuticule du capuchon puisse avoir un goût acide. [18]

L’analyse chimique des corps de fruits frais collectés au Mexique a montré qu’ils avaient la composition suivante: l’humidité 94,53%; cendres 0,323%; fibre alimentaire 3,024%; graisse 0,368%; et protéine 1,581%. La teneur en acides gras libres des corps de fruits séchés était de 4,5%, légèrement plus que le champignon bouton commun ( Agaricus bisporus ), qui avait 3,5%. La majorité de ce total était de l’acide oléique (1,95%), suivi de l’acide linoléique (1,68%) et de l’acide palmitique (1,69%). [25]

Espèces similaires [ modifier ]]

Toxique Boletus inflammant est similaire en apparence.

D’autres bolets à rouge B. Flammans et B. rubroflammeus ; Le premier se développe le plus souvent sous les conifères, le second en association avec des bois durs de l’est de l’Amérique du Nord et du sud de l’Arizona. [17] Souvent confondu avec Exsudoporus floridanus et E. permagnifimem , mais cette dernière espèce n’est connue que d’Europe et d’Asie occidentale et se développe toujours en association avec les chênes et parfois aussi avec le châtaignier sucré. [26] [27] [15] Exsudoporus floridanus diffère de E. Frostii En ayant une couleur de capuchon plus légère et dans la texture de la surface du capuchon: c’est du tomentose (recouvert de poils dense, courts, doux et emmêlés) ou velutineux (comme du velours), par rapport à la surface relativement lisse de E. Frostii . La chanteuse note que bien que les caractéristiques physiques entre les deux taxons puissent être floues et sont difficiles à définir, la zone d’origine peut les distinguer de manière fiable: E. Floride se trouve sur les pelouses ombragées et la vireboire dans les secours en chêne ouvert dans des régions non tropicales de Floride, généralement sur un sol herbeux ou sablonneux, où il se fruit entre mai et octobre. [4]

Les corps fruits de jeunes spécimens de B. Kermesins , nouvellement décrit du Japon en 2011, ont une apparence similaire à E. Frostii . En plus de sa distribution, B. Kermesins peut être distingué de E. Frostii En ayant de la chair qui ne meurtra pas le bleu et un stipe dans lequel le réticulum n’est pas aussi profond et grossier. [28] B. pseudofrostii , trouvé au Belize, produit des bouchons plus petits de 1,7 à 2,0 cm (0,7 à 0,8 po) de diamètre. [29] Boletus Russell , trouvé dans l’est de l’Amérique du Nord, a une casquette rouge à brun rougeâtre et un stipe réticulé, mais sa surface des pores est jaune et le corps des fruits ne meurtra pas le bleu. [24]

Écologie, habitat et distribution [ modifier ]]

Spécimen immature avec CAP non complètement élargi; Les ecchymoses sont évidentes sur le stipe.

Exsudoporus frostii est une espèce mycorhizienne, [30] ce qui signifie que le champignon forme des associations avec les racines de diverses espèces d’arbres. Ces associations sont mutualistes, car le champignon absorbe les nutriments minéraux du sol et les canalise dans la plante, tandis que la plante fournit au champignon des sucres, un produit de la photosynthèse. La caractéristique de la mycorhiza est la présence d’une gaine de tissu fongique qui enveloppe le terminal et absorbant les nutriments radicelettes de la plante hôte. Le champignon forme un vaste réseau souterrain d’hyphes qui rayonnent vers l’extérieur de la surface de la gaine racinaire, augmentant efficacement la surface pour l’absorption des nutriments. Les hyphes envahissent également les cellules corticales racinaires pour former un filet Hartig. [trente et un] En utilisant des techniques de culture pure, Exsudoporus frostii Il a été démontré que Pinus Virginiana ), [30] tandis qu’une étude sur le terrain confirme une association similaire avec le chêne Quercus Laurina . [32]

Les corps fruitiers poussent de manière solitaire, éparpillée ou en groupes sur le sol sous des arbres de bois dur; Le champignon fruits en été au début de l’automne. William Murrill a noté sa préférence pour la croissance dans “des bois de chêne mince, où la lumière est suffisante pour permettre à l’herbe de pousser”, [7] Et Alexander H. Smith a mentionné sa préférence pour la croissance dans “un sol mince et sablonneux sous le chêne à broussailles”. [3] Aux États-Unis, il est distribué du Maine Sud à la Géorgie, s’étendant vers l’ouest jusqu’au Tennessee et au Michigan, et dans le sud de l’Arizona. [4] [19] Au Mexique, il se trouve souvent sous Madrone. [17] Il a également été collecté au Costa Rica, où il s’associe aux espèces de chênes Quercus copeyensis , Q. Costaricensis , Q. Rapurahuensis , et Q. Seemmanii . [33] Une publication de 1980 a provisoirement suggéré que le champignon était également présent en Italie, [34] Mais l’auteur a déterminé plus tard que le putatif E. Frostii était en fait Champignon sicilien . [27]

Les corps fruitiers peuvent être parasités par le champignon en forme de moisissure Sepedonium ampullosporum . [35] L’infection entraîne une nécrose du tissu des champignons et une couleur jaune provoquée par la formation de grandes quantités d’aluurioconidie pigmentée (conidies unicellulaires produites par extrusion à partir des conidiophores). [36]

Voir également [ modifier ]]

Les références [ modifier ]]

  1. ^ un b ” Boletus Frostii J.L. Russell ” . Mycobank. Association mycologique internationale . Récupéré 2011-06-21 .
  2. ^ Frost CC. (1874). “Catalogue de Boleti de la Nouvelle-Angleterre, avec des descriptions de nouvelles espèces” . Bulletin de la Buffalo Society of Natural Sciences . 2 : 100–5.
  3. ^ un b Weber NS, Smith AH (1980). Le guide sur le terrain du chasseur de champignons . Ann Arbor, Michigan: University of Michigan Press. Pp. 104–5 ISBN 0-472-85610-3 .
  4. ^ un b c d C’est F g H Singer R. (1947). “Les Boletoideae de Floride avec des notes sur les espèces extralimitales III”. Naturaliste américain Midland . 37 (1): 77–8. est ce que je: 10 2307/2421647 . Jstor 2421647 .
  5. ^ Dodge Bo. (1952). “Les champignons entrent en eux-mêmes” . Mycologie . 44 (3): 273–91. est ce que je: 10.1080 / 00275514.1952.12024197 . Jstor 4547605 .
  6. ^ Halling Re. (1983). “Bolets décrits par Charles C. Frost” . Mycologie . 75 (1): 70–92. est ce que je: 10 2307/3792925 . Jstor 3792925 .
  7. ^ un b Murrill Wa. (1909). “Les Boletaceae d’Amérique du Nord” . Mycologie . d’abord (1): 4–18. est ce que je: 10 2307/3753167 . Jstor 3753167 .
  8. ^ Kirk PM, Cannon PF, Minter DW, Stalpers JA (2008). Dictionnaire des champignons (10e éd.). Wallingford, Royaume-Uni: Cab International. pp. 672, 709. ISBN 978-0-85199-826-8 .
  9. ^ Singer R. (1945). “New Boletaceae de Floride (une communication préliminaire)” . Mycologie . 37 (6): 797–9. est ce que je: 10 2307/3755143 . Jstor 3755143 .
  10. ^ Nuhn ME, Binder M, Taylor AFS, Halling RE, Hibbett DS (2013). “Aperçu phylogénétique des Boletineae”. Biologie fongique . 117 (7–8): 479–511. est ce que je: 10.1016 / j.funbio.2013.04.008 . PMID 23931115 .
  11. ^ Wu G, Feng B, Xu J, Zhu X-T, Li Y-C, Zeng N-K, Hosen MI, Yang ZL (2014). “Les analyses phylogénétiques moléculaires redéfinissent sept clades majeurs et révèlent 22 nouveaux clades génériques dans la famille fongique Boletaceae”. Diversité fongique . 69 (1): 93–115. est ce que je: 10.1007 / S13225-014-0283-8 . S2cid 15652037 .
  12. ^ Vizzini A. (22 août 2014). “Nomenclature-Novelties” (PDF) . Index des champignons (183): 1.
  13. ^ Wu, gang; li, yan-chun; zhu, xue-tai; zhao, kuan; han, li-Public; yang-yang; li, fang; xu, jian-ping; yang, zhu l. (Novembre 2016). . “Une centaine de bolets remarquables de Chine” . Diversité fongique . 81 (1): 25–188. est ce que je: 10.1007 / S13225-016-0375-8 . ISSN 1560-2745 . S2cid 22506275 .
  14. ^ Loizides M, Bellanger JM, Assyov B, Moreau PA, Richard F (2019). “Le statut actuel et l’avenir des champignons boletoïdes (Boletaceae) sur l’île de Chypre: diversité cryptique et menacée démêlée par une étude de 10 ans”. Écologie fongique . 41 (13): 65–81. est ce que je: 10.1016 / j.funeco.2019.03.008 . S2cid 181958289 .
  15. ^ un b Biketova Ay, Gelrtard M, Smith ME, Simonini G, Healy RA, Tanneyama Y, Vasquez G, Kovács á, Nagy LG, Wasser SP, Paint U, Nevo E, Bunard The, Vizzini A (2022). “Réévaluation du genre Exsudoporus (Boletaceae) Dans le monde entier basé sur la phylogénie multi-gene, la morphologie et la biogéographie, et les idées sur Amenoboletus ” . Journal of Fungi . 8 (2): 2–25. est ce que je: 10.3390 / jof8020101 . PMC 8874676 . PMID 35205856 .
  16. ^ un b c Phillips R. ” Boletus Frostii ” . Rogers Plants. Archivé de l’original le 2012-02-18 . Récupéré 2012-03-01 .
  17. ^ un b c d Arora D. (1986). Champignons démystifiés: un guide complet des champignons charnus . Berkeley, Californie: Ten Speed ​​Press. p. 529. ISBN 0-89815-169-4 .
  18. ^ un b c d C’est F g H je
  19. ^ un b c Betttetter Eye, Roody WC, Bessett AR (2000). Bullets d’Amérique du Nord . Syracuse, New York: Syracuse University Press. p. 114. ISBN 978-0-8156-0588-1 .
  20. ^ Kuo M. (janvier 2007). ” Boletus Frostii ” . Mushroomexpert.com . Récupéré 2012-03-01 .
  21. ^ un b Miller HR, Miller OK (2006). Champignons nord-américains: un guide sur le terrain des champignons comestibles et non comestibles . Guilford, Connecticut: Falconguide. p. 385. ISBN 978-0-7627-3109-1 .
  22. ^ Murrill Wa. (1910). “Champignons toxiques” . Mycologie . 2 (6): 255–64. est ce que je: 10 2307/3753292 . Jstor 3753292 .
  23. ^ Bessette A, Miller OK Jr, Bessette AR, Miller HR (1995). Champignons de l’Amérique du Nord en couleur: un compagnon de guide de terrain vers des champignons rarement illustrés . Syracuse, New York: Syracuse University Press. p. 385. ISBN 0-8156-2666-5 .
  24. ^ un b Kuo M. (2007). 100 champignons comestibles . Ann Arbor, Michigan: University of Michigan Press. Pp. 121–2 . ISBN 978-0-472-03126-9 .
  25. ^ un b León-Guzmán MF, Silva I, López MG (1997). “Composition chimique proximée, teneurs en acides aminés libres et teneurs en acides gras libres de certains champignons comestibles sauvages de Querétaro, México”. Journal of Agricultural and Food Chemistry . 45 (11): 4329–32. est ce que je: 10.1021 / jf970640u .
  26. ^ Pöder R. (1981). ” Boletus permagnifificem Spec. Nov. – Un tube frappant de la section Lucidique Fr. associé aux chênes “[ Boletus permagnifificem Nouvelles espèces – un bolete frappant de la section Lucidique associé au chêne]. Sydia (en allemand). 34 : 149–56. ISSN 0082-0598 .
  27. ^ un b Alessio Cl. (1981). ” Champignon sicilien tremper le présumé B. Frostii Russell a trouvé en Italie “[ Champignon sicilien est le supposé Boletus Frostii découvert en Italie]. Mycologie italienne (en italien). dix (2): 40–2.
  28. ^ Takahashi H, Taneyama Y, Koyama A (2011). Boletus kermesinus , une nouvelle espèce de Bolet section Lucidique du centre de Honshu, Japon “. Mycoscience . 52 (6): 419–24. est ce que je: 10.1007 / s10267-011-0119-2 . S2cid 83544311 .
  29. ^ Obtize-Saana, Longgej DJɛ, A Slie (2007). “Bootetes du Belize et de la République dominicaine” (PDF) . Diversité fongique . 27 (2): 247–416 (voir p. 322).
  30. ^ un b Vozzo GA, Hackskaylo E (1961). “Champignons mycorhiziens sur Pinus Virginiana ” . Mycologie . 53 (5): 538–9. est ce que je: 10 2307/3756310 . Jstor 3756310 .
  31. ^ Deacon J. (2005). Biologie fongique . Cambridge, Massachusetts: Blackwell Publishers. pp. 262–3. ISBN 1-4051-3066-0 .
  32. ^ Morris MH, Pérez-Pérez MA, Smith ME, Bledsoe CS (2009). “Influence des espèces hôtes sur les communautés ectomycorhizes associées à deux chênes concomitants ( Quercus spp.) Dans une forêt de nuages ​​tropicaux ” . Écologie de la microbiologie FEMS . 69 (2): 274–87. est ce que je: 10.1111 / j.1574-6941.2009.00704.x . PMID 19508503 .
  33. ^ Halling RE, Muller GM. ” Boletus Frostii ” . Macrofungi du Costa Rica . Jardin botanique de New York . Récupéré 2011-09-29 .
  34. ^ Alessio Cl. (1980). ” Boletus Frostii Présent en Italie? “[ Boletus Frostii présent en Italie?]. Mycologie italienne (en italien). 9 (3): 15-20. ISSN 0390-0460 .
  35. ^ Sahr T, Ammer H, Besl H, Fischer M (1999). “Classification infragénérique du genre boléticole Sext : délimitation des espèces et relations phylogénétiques ” . Mycologie . 91 (6): 935–43. est ce que je: 10 2307/3761625 . Jstor 3761625 . Archivé de l’original le 2015-09-23 . Récupéré 2011-06-21 .
  36. ^ Neuhof T, Berg A, Besl H, Schweche T, Dieckmann R, de Döhren H (2007). “Production de peptaibol par Sext tente parasit les boletales “. Chimie et biodiversité . 4 (6): 1103–15. est ce que je: 10.1002 / cbdv.200790099 . PMID 17589879 . S2cid 40865857 .

Liens externes [ modifier ]]

after-content-x4