[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jane-morris-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jane-morris-wikipedia\/","headline":"Jane Morris – Wikipedia wiki","name":"Jane Morris – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Broiderer en anglais et mod\u00e8le d’artistes (1839-1914) after-content-x4 Jane Morris (n\u00e9e Fardeau ; 19 octobre 1839 – 26 janvier","datePublished":"2019-03-27","dateModified":"2019-03-27","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/c\/cd\/Jane_Burden_Morris.jpg\/170px-Jane_Burden_Morris.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/c\/cd\/Jane_Burden_Morris.jpg\/170px-Jane_Burden_Morris.jpg","height":"218","width":"170"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jane-morris-wikipedia\/","wordCount":3612,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4Broiderer en anglais et mod\u00e8le d’artistes (1839-1914) (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Jane Morris (n\u00e9e Fardeau ; 19 octobre 1839 – 26 janvier 1914) \u00e9tait un brodeur anglais dans le mouvement des arts et de l’artisanat et le mannequin des artistes qui incarnait l’id\u00e9al pr\u00e9rapha\u00e9lite de la beaut\u00e9. Elle \u00e9tait mannequin et muse \u00e0 son mari William Morris et \u00e0 Dante Gabriel Rossetti. [d’abord] Sa s\u0153ur \u00e9tait brodeuse et enseignante Elizabeth Burden. [2] Jane Burden est n\u00e9e \u00e0 Oxford, la fille d’un Stableman, Robert Burden, et de son \u00e9pouse Ann Maizey, qui \u00e9tait un serviteur domestique ou une blancheur. Au moment de sa naissance, ses parents vivaient au passage de St Helen, dans la paroisse de St Peter-in-The-East, au large de Holywell Street \u00e0 Oxford qui a depuis \u00e9t\u00e9 marqu\u00e9 d’une plaque bleue. [3] Sa m\u00e8re Ann \u00e9tait analphab\u00e8te et est probablement venu \u00e0 Oxford en tant que serviteur domestique. On sait peu de choses sur l’enfance de Jane Burden, mais c’\u00e9tait certainement pauvre. [4] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En octobre 1857, Burden et sa s\u0153ur Elizabeth, connue sous le nom de Bessie, ont assist\u00e9 \u00e0 une repr\u00e9sentation de la Drury Lane Theatre Company \u00e0 Oxford. Jane Burden a \u00e9t\u00e9 remarqu\u00e9e par Dante Gabriel Rossetti et Edward Burne-Jones qui \u00e9taient membres d’un groupe d’artistes peignant les peintures murales d’Oxford Union, bas\u00e9es sur des contes arthuriens. Frapp\u00e9es par sa beaut\u00e9, ils lui ont demand\u00e9 de le mod\u00e9liser. Burden \u00e9tait principalement assis pour Rossetti en tant que mannequin pour la reine Gueni\u00e8vre et ensuite pour William Morris, qui travaillait sur une peinture de chevalet, La Belle Iseult , maintenant dans la galerie Tate. [5] Au cours de cette p\u00e9riode, Morris est tomb\u00e9e amoureuse du fardeau et ils sont devenus fianc\u00e9s, bien que par sa propre admission, elle n’\u00e9tait pas amoureuse de Morris. [2] L’\u00e9ducation de Burden \u00e9tait limit\u00e9e, et elle \u00e9tait probablement destin\u00e9e \u00e0 aller dans le service domestique comme sa m\u00e8re. Apr\u00e8s ses fian\u00e7ailles, elle a \u00e9t\u00e9 \u00e9duqu\u00e9e en priv\u00e9 pour devenir la femme d’un gentleman. Sa grande intelligence lui a permis de se recr\u00e9er. Elle \u00e9tait une lectrice vorace qui est devenue comp\u00e9tente en fran\u00e7ais et en italien, et elle est devenue une pianiste accomplie avec une forte exp\u00e9rience en musique classique. Ses mani\u00e8res et son discours sont devenus raffin\u00e9s dans une mesure que les contemporains l’ont qualifi\u00e9e de \u00abreine\u00bb. Plus tard dans la vie, elle n’a eu aucun mal \u00e0 se d\u00e9placer dans les cercles de la classe sup\u00e9rieure. Elle \u00e9tait le mod\u00e8le de l’h\u00e9ro\u00efne du roman de 1884 Mademoiselle Brown par Vernon Lee et peut \u00e9galement avoir influenc\u00e9 George Bernard Shaw dans la cr\u00e9ation du personnage d’Eliza Doolittle dans sa pi\u00e8ce Pygmalion (1914) et le dernier film Ma belle dame (1964). Elle est \u00e9galement devenue une aiguille qualifi\u00e9e, autodidacte dans les anciennes techniques de broderie, et est devenue plus tard r\u00e9put\u00e9e pour ses propres broderies. [2] Jane a \u00e9pous\u00e9 William Morris \u00e0 St Michael au Northgate \u00e0 Oxford le 26 avril 1859. [5] Apr\u00e8s le mariage, les Morrises ont d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 \u00e0 la maison rouge quasi-m\u00e9di\u00e9val \u00e0 Bexleyheath, Kent. [6] En y vivant, ils ont eu deux filles, Jane Alice “Jenny”, n\u00e9e le 17 janvier 1861, et Mary “May” n\u00e9e le 25 mars 1862, qui a ensuite \u00e9dit\u00e9 les \u0153uvres de son p\u00e8re. [5] Ils ont d\u00e9m\u00e9nag\u00e9 au 26 Queen Square \u00e0 Londres, qu’ils ont partag\u00e9 avec la firme de design de Morris, Marshall, Faulkner & Co., et ont ensuite achet\u00e9 Kelmscott House \u00e0 Hammersmith comme principale r\u00e9sidence. [5] Bien que Jane, ses filles Jenny et May, et sa s\u0153ur Bessie soient toutes supervis\u00e9es et brod\u00e9es pour Morris & Co., le cr\u00e9dit pour les conceptions a \u00e9t\u00e9 accord\u00e9 \u00e0 William Morris lui-m\u00eame “dans l’int\u00e9r\u00eat du succ\u00e8s commercial”. [2] Les trois panneaux brod\u00e9s repr\u00e9sentant les illustres femmes de Chaucer et l’\u00e9criture de Tennyson maintenant \u00e0 Castle Howard ont \u00e9t\u00e9 produits par Jane et Bessie dans les ann\u00e9es 1880. [2] En 1871, William Morris et Rossetti ont sorti une colocataire sur Kelmscott Manor sur les fronti\u00e8res du Gloucestershire – Oxfordshire – Wiltshire. William Morris est all\u00e9 en Islande, laissant sa femme et Rossetti pour fournir la maison et y passer l’\u00e9t\u00e9. [5] Jane Morris \u00e9tait devenue \u00e9troitement attach\u00e9e \u00e0 Rossetti et est devenue une de ses muses pr\u00e9f\u00e9r\u00e9es. Leur relation amoureuse est r\u00e9put\u00e9e avoir commenc\u00e9 \u00e0 la fin des ann\u00e9es 1860 et a dur\u00e9, \u00e0 des niveaux diff\u00e9rents, jusqu’\u00e0 sa mort en 1882. Ils ont partag\u00e9 une connexion \u00e9motionnelle profonde, et elle a inspir\u00e9 Rossetti \u00e0 \u00e9crire de la po\u00e9sie et \u00e0 cr\u00e9er certaines de ses meilleures peintures. Sa d\u00e9couverte de sa d\u00e9pendance \u00e0 l’\u00e9gard de l’hydrate de chloral, qui a \u00e9t\u00e9 prise pour l’insomnie, l’a finalement amen\u00e9e \u00e0 se distancier de lui, bien qu’ils soient rest\u00e9s en contact jusqu’\u00e0 sa mort en 1882. [7] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En 1883, Jane Morris a rencontr\u00e9 le po\u00e8te et militante politique Wilfrid Scawen Blunt lors d’une f\u00eate \u00e0 la maison donn\u00e9e par son amie proche, Rosalind Howard (plus tard la comtesse de Carlisle). [5] Il semble y avoir eu une attraction imm\u00e9diate entre eux. En 1887, au plus tard, ils \u00e9taient devenus amoureux. [8] Leur relation sexuelle s’est poursuivie jusqu’en 1894 et ils sont rest\u00e9s des amis proches jusqu’\u00e0 sa mort. [ citation requise ]] Malgr\u00e9 le socialisme de son mari, Jane est rest\u00e9e un partisan du parti lib\u00e9ral jusqu’\u00e0 sa mort. Elle \u00e9tait \u00e9galement une ardente partisane de l’Irish Home Rule. [ citation requise ]] Quelques mois avant sa mort, elle a achet\u00e9 Kelmscott Manor pour l’assurer pour l’avenir de ses filles. Cependant, elle n’est pas retourn\u00e9e \u00e0 la maison apr\u00e8s l’avoir achet\u00e9e. Jane Morris est d\u00e9c\u00e9d\u00e9e le 26 janvier 1914, alors qu’il s\u00e9journait au 5 Brock Street \u00e0 Bath. Elle est enterr\u00e9e dans le cimeti\u00e8re de l’\u00e9glise St. George \u00e0 Kelmscott. [5] Galerie [ modifier ]] Peintures et \u0153uvres [ modifier ]] La broderie de Jane Morris: Sac , Silk brod\u00e9. C.1878, Silks color\u00e9s, support en m\u00e9tal. Victoria & Albert Museum, Londres. La l\u00e9gende des bonnes femmes Panneaux brod\u00e9s, 1880, par Jane Morris et Elizabeth Burden, Castle Howard. [2] Broderie de ch\u00e8vrefeuille, Con\u00e7u en 1876, fabriqu\u00e9 des ann\u00e9es 1880, en soie et en lin, William Morris Gallery, Londres. [9] Peintures de Jane Morris par Dante Gabriel Rossetti: La robe de soie bleue , 1868. Proserpine ou Pros\u00e9rpine , 1874. Huile sur toile. Tate Britain Gallery, Londres. Astarte Syrian , 1875\u20131879. City Art Gallery, Manchester. B\u00e9atrice, un portrait de Jane Morris , 1879. Huile sur toile 13 + d’abord \u2044 2 \u00d7 11 pouces. Le r\u00eave du jour , 1880. Huile sur toile. Victoria et Albert Museum, Londres. La femme de la flamme , 1877. Craque color\u00e9. Galerie d’art de Manchester. La femme de la fen\u00eatre , 1879. Huile sur toile. Fogg Museum of Art, Harvard University, Cambridge, \u00c9tats-Unis. La femme de la fen\u00eatre , 1881 (inachev\u00e9). Jane Morris , c. 1860. Crayon. Jane Morris , 1865. Mariana , 1870. Aberdeen Art Gallery. Pandore , 1869. Pandore , 1871. La Pia de ‘Tolomei , 1866\u20131870. Huile sur toile. Spencer Museum of Art, Universit\u00e9 du Kansas. Portrait de Mme William Morris . Portrait de Jane Morris , 1858. Pen. R\u00eaverie , 1868. Craie sur papier. Ashmolean Museum, Oxford, Royaume-Uni. Le roseleaf , 1865. Crayon. \u00c9tude de la guen\u00e8vre pour Sir Lancelot dans la chambre de la reine , 1857. Saule , 1871. Mus\u00e9e d’art du Delaware Les photographies de Jane Burden par Rossetti sont disponibles \u00e0 [d’abord] . Par William Morris: Par Edward Burne-Jones: Par Evelyn de Morgan: ^ “Janey Morris: Muse pr\u00e9rapha\u00e9lite” . Galerie nationale de portraits . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 9 mars 2020 . ^ un b c d C’est F Marsh, janvier (1987). Femmes pr\u00e9rapha\u00e9lites: images de la f\u00e9minit\u00e9 . New York: Harmony Books. ISBN 0-517-56799-7 . ^ Lisle, Nicola, l’histoire de Cendrillon et autres Oxfordshire Limited Edition , Non. 249, pages 23-25, octobre 2007; et Photo de la plaque bleue ^ Marsh, janvier (2000). Jane & May Morris: une histoire biographique . Horsham, Royaume-Uni: Word imprim\u00e9. pp. 5\u20136. ^ un b c d C’est F g Parkins, Wendy (2013). Jane Morris: Le fardeau de l’histoire . Edinburgh University Press. ISBN 978-0-7486-4127-7 . Jstor 10.3366 \/ j.ctt3fgtfq.7 . ^ “Morris, Jane | Grove Art” . www.oxfordartonline.com . est ce que je: 10.1093 \/ GAO \/ 9781884446054.Article.T2021858 . ISBN 978-1-88446-05-4 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 9 mars 2020 . ^ “Famille Rossetti | Grove Art” . www.oxfordartonline.com . est ce que je: 10.1093 \/ GAO \/ 9781884446054.article.t073997 . ISBN 978-1-88446-05-4 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 9 mars 2020 . ^ Mancoff, p.98 ^ Willem. “Morris, Jane, 1839-1914” . trc-leiden.nl . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 9 mars 2020 . ^ “Une \u00e9tude de draperie pour” The Love Potion ” ” . Christie’s . 2017. D\u00e8s la lecture [ modifier ]] Marsh, janvier (1986). Jane et May Morris: une histoire biographique 1839\u20131938 . Londres: Pandora Press. ISBN 0-86358-026-2 . Marsh, janvier (2000). Jane et May Morris: une histoire biographique 1839\u20131938 ((\u00e9dition mise \u00e0 jour, publi\u00e9 en priv\u00e9 par auteur) \u00e9d.). Londres: Jan Marsh. Mancoff, Debra N. (2000). Jane Morris: Le mod\u00e8le de beaut\u00e9 pr\u00e9rapha\u00e9lite . San Francisco: grenade. ISBN 0-7649-1337-9 . Sharp, Frank C et Marsh, Jan, (2012) Les lettres collect\u00e9es de Jane Morris , Boydell & Brewer, Londres Sharp, Frank C. , \u00abMorris [Burden], Jane (1839\u20131914)\u00bb, Oxford Dictionary of National Biography , Oxford University Press, 2004 Parkins, Wendy (2013). Jane Morris: Le fardeau de l’histoire . \u00c9dimbourg: Edinburgh University Press. R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 le 9 mars 2020 de www.jstor.org\/stable\/10.3366\/j.ctt3fgtfq. 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