[{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BlogPosting","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jean-baptiste-pomplier-wikipedia\/#BlogPosting","mainEntityOfPage":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jean-baptiste-pomplier-wikipedia\/","headline":"Jean-Baptiste Pomplier – Wikipedia wiki","name":"Jean-Baptiste Pomplier – Wikipedia wiki","description":"before-content-x4 Jean-Baptiste Fran\u00e7ois Pompallier (11 d\u00e9cembre 1801 – 21 d\u00e9cembre 1871) a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e9v\u00eaque catholique romain de Nouvelle-Z\u00e9lande","datePublished":"2021-07-05","dateModified":"2021-07-05","author":{"@type":"Person","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/#Person","name":"lordneo","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/author\/lordneo\/","image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","url":"https:\/\/secure.gravatar.com\/avatar\/c9645c498c9701c88b89b8537773dd7c?s=96&d=mm&r=g","height":96,"width":96}},"publisher":{"@type":"Organization","name":"Enzyklop\u00e4die","logo":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/wiki4\/wp-content\/uploads\/2023\/08\/download.jpg","width":600,"height":60}},"image":{"@type":"ImageObject","@id":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/b\/bc\/Jean_Baptiste_Pompallier.jpg\/220px-Jean_Baptiste_Pompallier.jpg","url":"https:\/\/upload.wikimedia.org\/wikipedia\/commons\/thumb\/b\/bc\/Jean_Baptiste_Pompallier.jpg\/220px-Jean_Baptiste_Pompallier.jpg","height":"220","width":"220"},"url":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jean-baptiste-pomplier-wikipedia\/","wordCount":3863,"articleBody":" (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});before-content-x4 Jean-Baptiste Fran\u00e7ois Pompallier (11 d\u00e9cembre 1801 – 21 d\u00e9cembre 1871) a \u00e9t\u00e9 le premier \u00e9v\u00eaque catholique romain de Nouvelle-Z\u00e9lande et, avec des pr\u00eatres et des fr\u00e8res de l’Ordre mariste, il a organis\u00e9 l’\u00c9glise catholique romaine \u00e0 travers le pays. Il est n\u00e9 \u00e0 Lyon, en France. Il est arriv\u00e9 en Nouvelle-Z\u00e9lande en 1838 en tant que vicaire apostolique de l’Oc\u00e9anie occidentale, mais a fait de la Nouvelle-Z\u00e9lande le si\u00e8ge de sa mission catholique. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4En 1848, il est devenu le premier \u00e9v\u00eaque catholique romain d’Auckland. Il est retourn\u00e9 en France en 1868 et est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 \u00e0 Puteaux, pr\u00e8s de Paris, le 21 d\u00e9cembre 1871, \u00e0 l’\u00e2ge de 69 ans. Les gens peuvent visiter ses restes. Table of Contents (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4D\u00e9but de la vie [ modifier ]] Rendez-vous et voyage [ modifier ]] Nouvelle-Z\u00e9lande [ modifier ]] Conflit et r\u00e9solution [ modifier ]] Voir \u00e9galement [ modifier ]] Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] D\u00e9but de la vie [ modifier ]] Jean Baptiste Fran\u00e7ois Pompallier est n\u00e9 \u00e0 Lyons, en France, le 11 d\u00e9cembre 1801, [d’abord] Le fils de Pierre et Fran\u00e7oise Pompallier. Pierre Pompallier est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 moins d’un an plus tard. Sa m\u00e8re a ensuite \u00e9pous\u00e9 Jean Marie Solichon, un fabricant de Silk Lyon. Fran\u00e7ois a re\u00e7u l’\u00e9ducation d’un gentleman. Pendant un certain temps, il a \u00e9t\u00e9 officier de Dragoons. En 1825, il entra au Lyons Seminary, a \u00e9t\u00e9 ordonn\u00e9 en 1829 et a servi pendant sept ans dans l’archidioc\u00e8se de Lyon, se familiarisant \u00e9troitement avec la Soci\u00e9t\u00e9 de Marie fond\u00e9e par Jean-Claude Colin. [2] Rendez-vous et voyage [ modifier ]] Le dimanche 1835, le pape Gregory XVI a cr\u00e9\u00e9 l’apostolique vicariat de l’Oc\u00e9anie occidentale, [3] Le divisant du territoire confi\u00e9 \u00e0 la congr\u00e9gation des c\u0153urs sacr\u00e9s de J\u00e9sus et de Marie {p\u00e8res Picpus} comme la r\u00e9gion s’\u00e9tait r\u00e9v\u00e9l\u00e9e trop grande. Le 29 avril 1836, il a officiellement approuv\u00e9 les \u00abpr\u00eatres de la Soci\u00e9t\u00e9 de Marie\u00bb ou les p\u00e8res maristes en tant qu’institut religieux et lui attribu\u00e9 la mission de l’Oc\u00e9anie occidentale. Pompallier, qui avait \u00e9t\u00e9 \u00e9troitement associ\u00e9 aux maristes, a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 vicaire apostolique et \u00e9v\u00eaque titulaire consacr\u00e9 de Maronea le 30 juin 1836. [2] Le 24 d\u00e9cembre 1836, Pompallier a quitt\u00e9 Le Havre sur le Delphine . Il \u00e9tait accompagn\u00e9 de cinq missionnaires maristes et de deux des Marcellin Champagnat Petits Fr\u00e8res de Marie (Little Brothers of Mary), dirig\u00e9 par Peter Chanel. Ils sont arriv\u00e9s d\u00e9but janvier aux \u00eeles Canaries, o\u00f9 le p\u00e8re Claude Bret a attrap\u00e9 une fi\u00e8vre et est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 en mer deux mois plus tard. [d’abord] Ils sont arriv\u00e9s \u00e0 Valpara\u00edso le 28 juin, o\u00f9 les “Picpus P\u00e8res”, qui avaient soin du vicariat apostolique de l’Oc\u00e9anie orientale, avaient leur base. Le 10 ao\u00fbt 1837, Pompallier et les pr\u00eatres et fr\u00e8res restants se sont lanc\u00e9s dans le L’Europe \uf0d7 . L’Europe \uf0d7 Arr\u00eat \u00e0 Mangareva dans les \u00eeles Gambier le 13 septembre o\u00f9 Pompallier a rencontr\u00e9 Mgr Rouchouze, vicaire apostolique pour l’Oc\u00e9anie orientale. Le 21 septembre, ils ont atteint Tahiti. (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4Ils ont quitt\u00e9 Tahiti le 23 octobre sur la go\u00e9lette Raaea Pour d\u00e9poser le p\u00e8re Pierre Bataillon et le fr\u00e8re Joseph-Xavier \u00e0 Wallis, le si\u00e8ge principal de la mission aux Tonga. Les missionnaires sont arriv\u00e9s \u00e0 Vava’u mais ont \u00e9t\u00e9 refus\u00e9s de l’arr\u00eater, et ont ainsi continu\u00e9 leur voyage \u00e0 Futuna, arrivant le 8 novembre 1837. L\u00e0, Chanel, un fr\u00e8re la\u00efc fran\u00e7ais Marie-Nizier Delorme, et un profane protestant anglais nomm\u00e9 Thomas Boag, qui avait fait r\u00e9sident sur l’\u00eele et les avait rejoints \u00e0 Tonga \u00e0 la recherche de passage \u00e0 Futuna, a quitt\u00e9 le groupe. [4] Pompallier s’est rendu \u00e0 Rotuma mais n’a pas pu y laisser de personne. \u00c0 son arriv\u00e9e \u00e0 Sydney en Nouvelle-Galles du Sud, il a beaucoup appris sur la mission n\u00e9o-z\u00e9landaise de l’\u00e9v\u00eaque John Polding. Nouvelle-Z\u00e9lande [ modifier ]] Maison et jardins de Pompal plus. Le 30 d\u00e9cembre, Pompallier, le p\u00e8re Louis Catherin Serviteur SM et son fr\u00e8re Michel (Antoine) Colombon ont navigu\u00e9 pour le Hokianga et sont arriv\u00e9s au domicile de Thomas et Mary Poynton le 10 janvier 1838. [5] Ce devait \u00eatre son si\u00e8ge social et la sc\u00e8ne principale de son travail pendant les 30 prochaines ann\u00e9es. Pompallier a c\u00e9l\u00e9br\u00e9 la premi\u00e8re messe latine traditionnelle en Nouvelle-Z\u00e9lande \u00e0 Totara Point le 13 janvier 1838. Il a imm\u00e9diatement commenc\u00e9 \u00e0 \u00e9tablir des stations de mission catholiques. Il a rapidement appris l’anglais et le maori. Mgr Pompallier a beaucoup voyag\u00e9 par une go\u00e9lette aux \u00eeles Nord et du Sud, installant des stations de mission. [d’abord] En 1843, A avait des stations d’escriptions \u00e0 Hoianga, Koroka, Koreu, Opago, Opago, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua, Rotorua La station de mission de Kororareka comprenait la zone entourant ce qui est maintenant connu sous le nom de Pompallier House, Russell. Une imprimerie a \u00e9t\u00e9 import\u00e9e et, avec d’autres missionnaires catholiques, Pompallier a parrain\u00e9 l’impression de livrets de pri\u00e8re en Maoris, certaines des premi\u00e8res publications maories. Une tannerie a \u00e9t\u00e9 install\u00e9e pour produire du cuir avec lequel les brochures et les livres \u00e9taient li\u00e9s. [6] Les renforts maristes sont arriv\u00e9s sur le Reine de Paix on 18 June 1839 (Fathers Baty, Jean-Baptiste \u00c9palle [ frousser ]] et Petit et les fr\u00e8res Elie Regis, Augustin et Florentin). Le 8 d\u00e9cembre, quatre autres mates sont arriv\u00e9s. C’\u00e9taient des p\u00e8res Philippe Viard, Petit-Jean, Comte et Chevron et fr\u00e8re Attale. Pompallier \u00e9tait pr\u00e9sent \u00e0 Waitangi la veille et le matin de la signature du trait\u00e9 de Waitangi, qui se tenait de l’autre c\u00f4t\u00e9 de la baie de Kororareka, le 6 f\u00e9vrier 1840. Pompallier a pouss\u00e9 \u00e0 une libert\u00e9 de religion garantie. Cinquante ans plus tard, dans sa publication de 1890 sur le trait\u00e9, William Colenso a enregistr\u00e9 que Pompellier est arriv\u00e9 v\u00eatu de “canonicaux” (robes de c\u00e9r\u00e9monie) et n’\u00e9tait pas \u00e0 l’aise. N\u00e9anmoins, principalement en raison de l’insistance de Pompellier sur la question de la tol\u00e9rance religieuse, Henry Williams a dit aux personnes pr\u00e9sentes “e Mea ana te kawana, ko nga whakapono katoa, o ingarani, o nga weteteriana, o roma, me te ritetenga maori hoki, e Tiakina ngatahitia e ia. ” (“Le gouverneur dit que les diff\u00e9rentes [croyances] d’Angleterre, des Wesleyens, de Rome, et aussi de la coutume maorie, seront de m\u00eame prot\u00e9g\u00e9es par lui.”). [7] [8] Pompallier craignait que le trait\u00e9 entoure sa mission et Colenso entendait qu’il avait conseill\u00e9 \u00e0 certains chefs maoris catholiques de ne pas signer le trait\u00e9. [7] Ayant obtenu la d\u00e9claration de la libert\u00e9 religieuse, il n’est pas rest\u00e9, il a quitt\u00e9 le rassemblement apr\u00e8s la discussion et avant la signature des parties. [8] En novembre 1841, Pompallier a appris que Peter Chanel avait \u00e9t\u00e9 tu\u00e9 \u00e0 Futuna en avril dernier. Lui et Viard sont all\u00e9s r\u00e9cup\u00e9rer le corps et l’ont ramen\u00e9 \u00e0 Koror\u0101reka, avant d’\u00eatre finalement retourn\u00e9 \u00e0 la Soci\u00e9t\u00e9 de Marie \u00e0 Lyon. [9] Un vicariat apostolique s\u00e9par\u00e9 de la Nouvelle-Z\u00e9lande a \u00e9t\u00e9 \u00e9rig\u00e9 en 1842. Pompallier est alors devenu l’apostolique vicaire de la Nouvelle-Z\u00e9lande. En 1846, avec Viard d\u00e9j\u00e0 nomm\u00e9 son \u00e9v\u00eaque adjoint, Pompallier est parti \u00e0 Rome pour sa visite de la limina. [2] Conflit et r\u00e9solution [ modifier ]] Les missionnaires servant avec Pompallier \u00e9taient des mates. Des difficult\u00e9s sont survenues entre le sup\u00e9rieur mariste Jean-Claude Colin, \u00e0 Lyon, et l’\u00e9v\u00eaque Pompallier sur la juridiction et les finances. Ces probl\u00e8mes ont \u00e9t\u00e9 aggrav\u00e9s par la difficult\u00e9 de la communication \u00e0 longue distance. Colin souhaitait recevoir des rapports des missionnaires maristes sur l’\u00e9tat de la mission. Pompallier l’a accus\u00e9 d’interf\u00e9rence constante de Lyon. L’affaire a \u00e9t\u00e9 r\u00e9gl\u00e9e en 1848, tandis que Pompallier \u00e9tait toujours \u00e0 Rome. Le vicariat a \u00e9t\u00e9 divis\u00e9 en dioc\u00e8ses d’Auckland (couvrant la moiti\u00e9 nord de l’\u00eele du Nord) et Wellington (le reste de la Nouvelle-Z\u00e9lande). Pompallier a \u00e9t\u00e9 nomm\u00e9 \u00e9v\u00eaque d’Auckland, qui devait \u00eatre compos\u00e9 d’un clerg\u00e9 la\u00efque. Philippe Viard est devenu l’administrateur apostolique de Wellington, servi par les maristes. Le 8 avril 1850, Pompallier est revenu d’Europe avec 2 pr\u00eatres, 10 s\u00e9minaristes et 8 s\u0153urs irlandaises de mis\u00e9ricorde. Il a cr\u00e9\u00e9 le s\u00e9minaire de St Mary pour former les s\u00e9minaristes. Il est devenu un sujet britannique en 1851. Alors qu’en Europe, Pompallier a beaucoup voyag\u00e9 en collectant des fonds et du personnel pour son dioc\u00e8se. Il est revenu le 30 d\u00e9cembre 1860, il est revenu avec 8 Franciscains, 8 s\u00e9minaristes et 4 femmes fran\u00e7aises qui \u00e9taient destin\u00e9es \u00e0 commencer un nouvel ordre, les s\u0153urs de la Sainte Famille. Le groupe comprenait Suzanne Aubert. [dix] Au cours de son absence, la r\u00e9gion d’Auckland avait consid\u00e9rablement grandi avec la cr\u00e9ation de quatre colonies d’escarences. [11] Au milieu des difficult\u00e9s de Pompallier, il y a eu une autre consolation. Le 9 mars 1852, James et Walter McDonald sont arriv\u00e9s \u00e0 Auckland d’Irlande. James avait \u00e9t\u00e9 ordonn\u00e9 \u00e0 Dublin; Pompallier a ordonn\u00e9 Walter \u00e0 Auckland. Les fr\u00e8res ont donn\u00e9 \u00e0 Pompallier un excellent service. Ils sont devenus ses fid\u00e8les lieutenants et bons amis et en particulier aid\u00e9s Pompallier en tant qu’administrateurs dioc\u00e9sains et en s’occupant de la mission maorie. [douzi\u00e8me] Dans les ann\u00e9es 1850, Pompallier \u00e9tait bas\u00e9 \u00e0 Auckland. Une rue (Pompallier Terrace) dans la banlieue de Ponsonby porte son nom. Pompallier souffrait d’arthrite. En 1868, vieux et malade, il retourna en France. Il a d\u00e9missionn\u00e9 le 23 mars 1869 et est devenu archev\u00eaque honoraire d’Amasia. Pompallier est d\u00e9c\u00e9d\u00e9 \u00e0 Puteaux, pr\u00e8s de Paris, le 21 d\u00e9cembre 1871, dix jours apr\u00e8s son 70e anniversaire. Le 9 janvier 2001, ses restes ont \u00e9t\u00e9 exhum\u00e9s. Un contingent de N\u00e9o-Z\u00e9landais a organis\u00e9 un voyage de p\u00e8lerinage dans le style d’un Hikoi, pour retourner ses restes en Nouvelle-Z\u00e9lande. L’ossuaire des restes de Pompallier \u00e9tait accompagn\u00e9 de 24 heures par jour, alors qu’ils voyageaient d’Otago \u00e0 Hokianga, o\u00f9 ils ont \u00e9t\u00e9 r\u00e9interrog\u00e9s sous l’autel \u00e0 St Mary’s, Motuti, sur le port de Hokianga, en 2002. Les \u00e9tablissements d’enseignement nomm\u00e9s en son honneur comprennent le Pompallier Catholic College, Whangarei (1969). Il y a des maisons Pompallier au Sacred Heart College, Auckland (1903), Our Lady of the Rosary School, Waiwhetu (1932), St. Bernard’s College, Lower Hutt (1947), Carmel College, Auckland (1957), [13] St John’s College, Hamilton (1961), St Peter’s College, Gore (1969), Liston College, Auckland (1974), St Mary’s Rotorua, Garin College, Nelson (2002) et d’autres \u00e9coles secondaires et primaires n\u00e9o-z\u00e9landaises, telles que Pomallier Primary Primary , Kiatia. Sancta Maria College, Auckland (2004) comm\u00e9more Pompallier et son travail \u00e0 travers le nom de sa go\u00e9lette, le Sancte Maria . Voir \u00e9galement [ modifier ]] ^ un b c “Pompallier History”, Pompallier Hokianga Trust ^ un b c Simmons, E. R., “Pompallier, Jean Baptiste Fran\u00e7ois”, Dictionnaire de la biographie de la Nouvelle-Z\u00e9lande , 2010 ^ Comparer “Vicari\u00e9 apostolique de l’Oc\u00e9anie occidentale” . Catholique . 29 juillet 2012 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 27 juin 2014 . \u00c9rig\u00e9: 1835 ^ Freri, Joseph. “St. Peter-Louis-Marie Chanel.” L’encyclop\u00e9die catholique. Vol. 11. New York: Robert Appleton Company, 1911. 2 avril 2013 ^ Turner, Philip. “Louis Catherin Serviteur” . Dictionnaire de la biographie de la Nouvelle-Z\u00e9lande . Minist\u00e8re de la culture et du patrimoine . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 23 avril 2017 . ^ “Le travail de mission de Pompallier se fait go-ahead gr\u00e2ce \u00e0 la campagne de dons r\u00e9ussie”, Avocat du Nord , 6 novembre 2016, “Construit en 1842, Pompallier Mission est un lieu historique de cat\u00e9gorie 1 cr\u00e9\u00e9 par les missionnaires catholiques fran\u00e7ais en tant que tannerie et imprimante, traduisant des textes de l’\u00e9glise du latin \u00e0 Te Reo Maori.” ^ un b Current, William (1890). L’histoire authentique et authentique de la signature du trait\u00e9 de Waitangi . Wellington: Par autorit\u00e9 de George Didsbury, imprimante gouvernementale . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 2 f\u00e9vrier deux mille treize . ^ un b Carleton, Hugh (1874). “Vol. II” . The Life of Henry Williams: “Early Recollections” \u00c9crit par Henry Williams . Early New Zealand Books (ENZB), Universit\u00e9 d’Auckland Library. pp. 11-15. ^ Broadbent, John V. “Viard, Philippe Joseph, 1809\u20131872: Priest, missionary, bishop” . Dictionnaire de la biographie de la Nouvelle-Z\u00e9lande . Minist\u00e8re de la culture et du patrimoine . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 5 avril 2011 . ^ Munro, Jessie (1996). L’histoire de Suzanne Aubert . Auckland: Auckland University Press, p .. 61 ^ Alexander, R.; Gibson, G.; La Roche, A.; Waiuku, Deed (1997), Les cloisons royaux n\u00e9o-z\u00e9landais , Auckland: The New Zealand Fencible Society Inc, ISBN 0473047160 ^ E.R. Simmons, Une br\u00e8ve histoire de l’\u00c9glise catholique en Nouvelle-Z\u00e9lande , Catholic Publications Center, Auckland, 1978, p. 42 ^ “Carmel College” . 1 f\u00e9vrier 2015 . R\u00e9cup\u00e9r\u00e9 1er f\u00e9vrier 2015 . Les r\u00e9f\u00e9rences [ modifier ]] Liens externes [ modifier ]] (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});after-content-x4"},{"@context":"http:\/\/schema.org\/","@type":"BreadcrumbList","itemListElement":[{"@type":"ListItem","position":1,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/#breadcrumbitem","name":"Enzyklop\u00e4die"}},{"@type":"ListItem","position":2,"item":{"@id":"https:\/\/wiki.edu.vn\/en2fr\/wiki28\/jean-baptiste-pomplier-wikipedia\/#breadcrumbitem","name":"Jean-Baptiste Pomplier – Wikipedia wiki"}}]}]